dimanche 3 septembre 2023

Les tribulations de Béatrice Ch. 03

 Texte de Xmaster.

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Gang-banguer par quatre arabes.

Moustafa souffle un peu en gardant sa bite qui ramollie quelque peu bien plantée dans cette chatte distendue, le temps qu'il sente une tape sur l'épaule. C'est Ali qui est à côté de lui et qui, préservatif mis en place, se prépare à prendre maintenant la blonde. Sa queue, si elle est tout de même moins volumineuse que celle de son pote, est toutefois déjà d'un bon diamètre. Moustafa se pousse en retirant sa capote et en laissant la place. 

Ali prend les cuisses flasques de la pauvre femme, les relève le plus haut possible de manière à décoller le cul de la table, puis il applique son gland contre le sphincter en disant d'une voix menaçante :

- Moi je vais t'enculer vieille bâtarde... 

La pauvre femme vidée ne réagit pas et se laisse faire. Après cet orgasme foudroyant elle cherche à reprendre son souffle, mais a bien du mal à y parvenir. 

Ahmed voyant son pote Moustafa retirer son préservatif plein de foutre, l'apostrophe :

- Non, attends, ne jettes pas ta capote, vas lui faire boire ton jus de couilles... 

Aziz, dont la bite vient d'être éjectée de cette chaude bouche, se pousse sur le coté pour laisser la place à son ami. Moustafa prend le menton dans sa main et force la pauvre femme à ouvrir la bouche, puis, il amène le réservoir de plastique juste au-dessus, et laisse couler son sperme dans la bouche contrainte. Ali suit le spectacle de près et attend pour faire entrer sa large bite dans l'étroit boyau.

- Régale-toi de ce jus d'homme, avale tout et n'en perds pas une goutte, salope ! 

Ahmed, tout en prononçant ces mots, se concentre sur sa prise de vue et fait un gros plan du foutre qui coule doucement de la capote pour atterrir sur la langue. Complètement dans les vapes, elle se laisse faire et avale le foutre tiède sans se rendre compte du volume important que l'homme a éjaculé. Lâchant le menton, l'homme vient presser le bout du préservatif pour faire couler la totalité de son sperme dans la bouche grande ouverte. Quand il a terminé, il annonce à la cantonade :

- Voilà, boîte à bites a tout bu... 

Puis, se penchant un peu sur elle en lui pinçant le téton droit, il ajoute encore : 

- Elle est bonne ma crème, hein ?

- Hum... Ne peut que répondre Béatrice tant elle est dans le cirage.

- Viens filmer l'entrée de ma teube dans son cul, demande Ali qui commence à avoir une sérieuse envie d'enfiler la salope à sa disposition.

- J'arrive, attends... 

Et Ahmed se déplace pour pouvoir être aux premières loges. Quand il estime être tout à fait prêt et à la bonne place, il donne son feu vert à son copain en arabe. Ali pousse de tout son poids sur sa queue qui entre dans le boyau en arrachant un grand cri de douleur à la pauvre femme. Béatrice bave, sperme et salive mêlés ressortent de sa bouche sans qu'elle ne puisse rien contrôler tant la douleur vient d'être fulgurante. Pour se protéger, dans un réflexe, elle se cambre et essaye de serrer son anus de toutes ses forces. 

Ahmed filme également la tête de la femme qui bave, puis revient sur la queue de son pote qui commence à limer ce cul serré. Ali, très fière de son membre épais, a reprit le contrôle du corps de la blonde. Il a repoussé loin devant lui les jambes maigrelettes en les écartant du mieux qu'il peut de manière à ce que le trou du cul soit tout au bord de la table et qu'il puisse faire entrer sa queue le plus loin possible dans l'étroit boyau. Maintenant, et s'assurant que son pote peut toujours bien filmer la scène, il commence à donner d'amples coups de reins à un rythme très lent. 

Bien qu'elle bave toujours, Béatrice commence à oublier la douleur première et à prendre goût à ce sexe qui va et vient en elle. Elle sent sa poitrine malaxée par des mains puissantes, et très vite elle se retrouve avec une queue dans la bouche, c'est celle, avec le goût particulier du latex, de Moustafa qu'elle entend vaguement lui ordonner :

- Lave moi la bite avec ta langue, pétasse... 

Aziz se masturbe excité qu'il est du spectacle que ses amis lui offre. Il aimerait se faire sucer par la blonde, mais il n'ose pas déranger son pote Moustafa qu'il sait pouvoir être violent parfois.

Ahmed s'éclate à filmer cette vieille salope qui n'est plus qu'un simple jouet sexuel entre leurs mains. Il remarque que la chatte toujours entrouverte suinte encore beaucoup et il décide d'y mettre ses doigts. Il libère sa main gauche et, pendant que la blonde râle sous les assauts de cette bite qui lui ramone le cul, il fait entrer trois doigts dans le sexe détrempé qu'il pénètre sans aucune difficulté. Ali fait une réflexion salace en arabe à son copain, puis s'adresse à la blonde :

- T'as vu, bâtarde de truie, t'as tous les trous d'occupés ! 

Les obscénités qu'elle perçoit et ces doigts qui semblent lui déchirer le ventre amènent Béatrice au bord d'un nouvel orgasme. Ne pouvant plus se contrôler, elle recrache la grosse queue qu'elle a en bouche et se met à pousser des cris violents en tournant sa tête dans tous les sens.

- Tu prends ton pied hein vieille salope... Dit Moustafa en s'emparant des deux tétons et en tirant fortement dessus.

- Regardez, lance Ahmed à la cantonade, elle a une bite dans le cul et trois doigts dans la moule, et je peux encore en mettre un de plus ! 

Ce qu'il fait aussitôt. Le sphincter de la blonde se sert de plus en plus à mesure que sa chatte est dilatée par les doigts. Béatrice gueule de plus bel. Ali, sentant qu'il ne va pas tarder à exploser lui aussi, se met à ruer comme un beau diable. Ahmed, voyant son ami Moustafa se reculer de la table en emportant le préservatif usagé presque vide, a subitement une idée. Il interpelle son pote :

- Ne jettes pas ta capote ! on lui fera bouffer après... 

La tête bougeant de droite à gauche, le regard absent, Béatrice jouit dans un concert de cris. Son ventre explose, la brûle, mais elle jouit encore plus fort. Ali jouit à son tour en râlant et s'exclamant :

- Qu'est ce qu'elle est bonne cette vieille pute ! Tu sent mon foutre, salope ?

- Hum, hum...

- Elle le sent et elle va même y goûter, va lui vider ta capote dans la gueule à cette morue, ordonne Ahmed à l'homme. 

Aziz vient prendre la place qui vient de se libérer entre les jambes de la blonde et enfile un préservatif. Ahmed retire ses doigts dégoulinant de cyprine et suit avec son caméscope le trajet de Ali qui retire doucement sa capote et vient la mettre dans la bouche de la pauvre femme. Celle-ci, totalement soumise au vice, ouvre d'elle même la bouche et accueille le précieux liquide épais et tiède qui commence à couler.

- Ouais... Reste comme ça Ali, je fais un gros plan de cette bouffeuse de foutre. 

Aziz, ayant enfilé son gant de latex, prend possession de la chatte détrempée et s'enfonce dans le corps de la femme aussi facilement qu'il est possible d'imaginer. Excité comme il est, il lime très vite, sa bite plus fine mais très longue va taper au fond du vagin béant. A chaque fois que la queue de l'homme vient cogner contre le col de l'utérus, Béatrice pousse un petit cri qui sort déformé de sa bouche pleine de salive et de sperme mêlés.

- Prends cette vieille enculée par-derrière, je viens te filmer, annonce le cameraman amateur en se déplaçant à nouveau tout en continuant de prendre le sperme qui coule doucement de la capote et tombe dans la bouche grande ouverte. 

Aziz ne se fait pas prier, il ressort sa bite, la prend en main et l'introduit dans l'anus encore ouvert. Le membre, emballé de latex, glisse sans problème dans le boyau dilaté. L'homme commence à donner de grands coups de reins très amples. A nouveau la blonde se pâme sous les assauts de cette queue qui semble vouloir lui rentrer toujours plus loin dans le ventre. En filmant maintenant la bite qui va et vient dans les intestins de la pauvre femme, Ahmed demande encore à son pote Ali :

- Toi non plus tu ne me jettes pas la capote quand elle est vide... 

Ali, un petit sourire narquois au coin des lèvres, pose le préservatif usagé plus loin sur la table. Puis tenant et présentant devant la bouche ouverte sa queue déjà flasque, il ordonne :

- Laves moi la teube, salope... 

Béatrice prend le membre mou en bouche et le tète avidement pendant que sa main droite se pose sur son pubis et qu'elle commence à se caresser le clitoris. Après le déchirement anal qu'elle a subi plus tôt, cette queue longue et fine qui semble vouloir la transpercer lui donne un plaisir inouï. Ahmed, recadrant pour prendre toute la scène avec son appareil et attirant l'attention de ses complices sur la masturbation de la blonde en arabe, encourage la blonde :

- Vas-y, branle-toi bien, vieille pute... 

La femme, presque au bord de l'asphyxie, mais continuant tout de même à téter la bite qu'elle a en bouche, ne se contrôle absolument plus. Et, alors qu'un nouvel orgasme dévastateur la secoue, elle lâche une petite série de pets alors que Aziz joui dans la capote en s'affalant sur le corps de la pauvre blonde avec un cri d'animal blessé. Prenant l'homme affalé par l'épaule, Ahmed, tout en continuant de filmer, lui ordonne :

- Va lui faire boire ton foutre. 

Dès que son ami s'est reculé, il enfonce les cinq doigts de sa main gauche qui forment un cône de chair dans le sexe béant. Béatrice pousse un grand cri car elle a l'impression qu'on la déchire. Ce faisant, elle recrache le sexe mou, redresse sa tête et attrape le poignet de l'homme pour tenter de retirer les doigts qui la font souffrir. Bien qu'il ne puisse pas enfoncer sa main plus loin que la base des doigts, l'homme se met à pilonner sauvagement le sexe détrempé qui émet des bruits. Malgré les deux petites mains qui lui enserrent le poignet et qui essayent vainement de le retenir, il s'active de plus en plus vite et finit par dire d'une voix troublée :

- Branle-toi le clito, salope. 

L'impression de déchirement commençant à s'estomper, la pauvre femme s'exécute. Lâchant subitement le poignet, reposant sa tête en arrière, de sa main droite elle commence à s'astiquer le bouton avec autant de frénésie que l'homme. 

Aziz a retiré son préservatif, il vient le placer au-dessus de la bouche entrouverte et le vide en pinçant le sommet et en faisant glisser deux doigts le long du latex. Béatrice, trop occupée qu'elle est par cette main qui veut s'enfoncer toujours plus loin en elle et s'occupant frénétiquement de son bouton d'amour qui semble prêt à exploser, ne s'occupe même pas du foutre qui coule sur ses lèvres et s'insinue dans sa bouche. De toutes façons, au point où elle en est, elle ne cherche plus à esquiver quoi que se soit. Elle entend vaguement des échanges de propos en arabe, puis, d'un seul coup, alors que la main qui commençait à lui procurer du plaisir se retire brusquement, elle entend :

- Continues à te branler qu'on te filme... 

Moustafa a pris la relève avec le caméscope et enregistre la masturbation de la blonde en prenant soin de la cadrer entièrement. Ali s'occupe des tétons en les pinçant, puis en les étirant comme s'il avait décidé d'allonger les seins de la pauvre femme. Aziz récupère son foutre avec ses doigts dont une partie a coulé sur la joue et dans le cou, pour ramener sa précieuse semence dans la bouche. 

Ahmed vient de sortir de la pièce et revient au bout de trois minutes. Il apporte un énorme plug blanc  qui doit bien faire dans les six ou sept centimètre de diamètre dans sa partie la plus large. Il pose l'objet sur la table près de la tête de la blonde, défait sa ceinture et sa braguette, baisse son pantalon en même temps que son caleçon. Puis, attrapant les joues de Béatrice pour lui faire tourner la tête vers lui, ordonne :

- Maintenant suce-moi salope, c'est ta récompense. 

Moustafa, voyant que la femme arrête sa masturbation, ordonne à son tour :

- Branle-toi en même temps, vieille traînée.

- C'est bon hein ! Des bonnes bites d'arabes qui te font bien crier, hein ! 

Excité à son tour, Ahmed sent qu'il ne résistera pas très longtemps. La blonde totalement partie dans sa masturbation, excitée qu'elle est par cette folle soirée, suce la belle queue de l'homme presque machinalement. Elle ne se rend pas compte du tout de cette situation obscène, elle, une femme mariée, qui vient de rejeter tout ce qu'elle avait construit avec son mari pour suivre un bel inconnu. Elle se retrouve allongée sur une table, les jambes écartées, à se masturber comme une jeune fille impudique, un goût de foutre et de caoutchouc dans la bouche, le cul et la chatte dilatés. Et elle est la vedette malgré elle d'un film X amateur. Très vite Ahmed, tenant toujours le menton de la blonde, donne les signes de sa jouissance prochaine. Il retire sa bite de la bouche chaude, se branle frénétiquement pendant quelques secondes sans lâcher la femme, puis, approchant à nouveau son membre du visage, éjacule en longues saccades en criant :

- Tiens ! prends ça dans la gueule, grosse pute... 

Quelques gouttes de sperme chaud viennent dans l’œil de la pauvre femme qui les ferme dans un réflexe. D'être ainsi humiliée et traitée de pute devant tout le monde déclenche un nouvel orgasme qui lui fait pousser de grands cris.

- Filme bien tout ça qu'on ait des preuves, lâche Ahmed sur un ton sadique à l'attention de son ami Moustafa qui ne rate pourtant rien de la scène.

- T'inquiète pas, je n'en perds pas une miette, d'ailleurs je vais faire un gros plan sur sa gueule. 

Ahmed lâche le menton, se recule un peu, puis de la même voix dit :

- Relève la tête et fixe bien l'objectif, que l'on voit bien la salope que tu es. 

Sans broncher, la blonde s'exécute docilement. elle se redresse sur ses coudes et fixe l'objectif de l'appareil avec un drôle d'air. Elle semble comme dans un autre monde.

- C'est bien pétasse, tu vas dire à la caméra comment tu t'appelles ! interroge Moustafa.

- Béatrice Dubreuil.

- Tu fais quoi dans la vie ?

- Je suis secrétaire à la mairie.

- Ton mari sait que tu es une pute pour arabes comme ça ?

- Non...

- T'as des enfants ?

- Oui...

- Quel âge ?

- Marc a vingt ans et Franck a seize ans...

- Ils font quoi ?

- Marc travaille, Franck est au lycée.

- Et ils se doutent que leur mère est une vraie traînée ?

- Ben non...

- Ça va ! Intervient Ahmed d'un ton mauvais. Pour le moment on s'en fout de son pedigree à cette vieille connasse en chaleur, moi je veux qu'elle se doigte devant le caméscope pour faire un bon film !

- T'as entendu salope, mets-toi les doigts dans la moule, hurle Moustafa contrarié par l'intervention peu aimable de son ami.

A suivre...

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