- Tu pisses ici vieille conne, devant nous...
- Non !
- Si ! Avec ce qu'on a déjà vu de toi, c'est pas une petite pissette de pute qui va nous rendre aveugle !
Les trois autres hommes rient de bon cœur, autant d'entendre les propos vicieux de leur pote, que de voir la tête qu'affiche la pauvre femme qui se remet à pleurer.
- Allez, écarte tes cuisses et pisse tout debout...
Béatrice reprend sa place, les yeux au sol, mais n'écarte pas les cuisses et tente encore de se retenir.
- Si tu n'obéit pas, je vais défaire ma ceinture et t'en donner quelques bons coups sur le cul pour t'apprendre ta place chienne !
Sur ce, il s'empare du caméscope qu'il avait posé près du fauteuil, le rallume, et commence à filmer l'entre-jambe de la femme.
Toute honte bue, pressée par sa vessie, la blonde finie par obtempérer. Elle écarte ses cuisses et laisse l'urine chaude jaillir vers le sol en éclaboussant ses chevilles. Une bonne minute passe, le jet ne tarie pas, et c'est une grande flaque qui inonde le carrelage. Les quatre hommes regardent avec un air narquois la pauvre femme uriner. Béatrice se sent soulagée, un mince filet coule maintenant le long de ses jambes, mais elle n'en a cure, dans l'état de nerf où elle se trouve, ce n'est plus un peu d'urine sur ses cuisses qui va déranger grand-chose.
Ahmed coupe l'enregistrement et se lève sans mot dire. Il sort de la pièce et revient très vite, cette fois il porte un seau qui contient une serpillière. Il s'arrête devant la pauvre femme et lui tend l'objet en lui ordonnant :
- Ramasses ta pisse salope...
Puis il retourne s'asseoir confortablement dans son fauteuil et remet en route le caméscope. Béatrice passe plusieurs minutes à éponger son urine et à tordre la serpillière dans le seau. Dans cette position accroupie, le plug se rappelle à son bon souvenir, et elle tente désespérément de trouver une position qui lui fasse moins mal, mais c'est peine perdue. Elle se sent humiliée comme jamais auparavant, mais toutefois, cette tache ménagère, même si elle n'est pas agréable, lui permet de s'échapper de ses peurs durant toute l'opération. Lorsque la femme a fini de ramasser son urine, Ahmed ordonne encore en faisant un gros plan sur le visage de la pauvre :
- Ouvre la bouche que je vois que tu as toujours tes capotes...
Sans aucun commentaire, la femme s'exécute en ouvrant la bouche en grand. Elle attend quelques secondes que l'homme lui autorise de refermer la bouche, puis reprend sa position debout, droite, à attendre.
- Tourne-toi et penche-toi en avant que je vois une fois encore si le plug est bien en place.
Une fois encore, sans broncher, la belle se tourne et se penche en avant. Le mouvement est assez douloureux, mais moins tout de même que lorsqu'elle était accroupie.
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug tout à l'heure, remarque, ça lui donnera peut-être quelques idées neuves pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu.
Béatrice est tout à coup effrayée, elle sent que l'homme va mettre ses menaces à exécution et qu'il va la ramener nue chez elle. Elle tente de se diriger vers la table pour prendre sa robe qui traîne par terre, mais la main puissante de Ahmed la bloque à nouveau.
- A poil ! je t'ai dis que je te ramène à poil, t'as pas encore compris ce que veux dire : A poil ?
- Pitié...
Une grande gifle vient en guise de réponse, puis l'homme poursuit encore :
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! maintenant ce sont nos conditions, un point c'est tout !
- Mais je ne peux pas...
Une nouvelle gifle vient la faire taire.
- A poil comme la vieille pute que tu es !
Et il entraîne la pauvre femme vers l'extérieur. Les trois complices suivent le couple en faisant de fines allusions sur le plug mais en arabe, si bien que la femme ne comprend pas ce qui se dit, néanmoins, elle se doute bien qu'elle est l'objet des quolibets qui fusent, fussent-ils dans une langue étrangère. Chacun reprend sa place dans la voiture, et bientôt la voiture démarre. Dès qu'elle commence à rouler, Ahmed défait sa braguette et ordonne encore à la pauvre blonde :
- Profite du voyage pour me sucer la bite.
Et pour que les choses aillent dans son sens, il prend la nuque et baisse la tête de la femme sur sa queue. Le conducteur ne pose pas de question car il a noté tout à l'heure mentalement l'adresse de la femme, et, connaissant bien la ville, il sait exactement où il doit se rendre pour la déposer.
- C'est trop marrant une pute qui te suce avec des capotes en guise de chewing-gum...
Les trois autres hommes rigolent à nouveau, et reprennent leur discussion en arabe. Béatrice essaye de sucer cette queue dont elle avait pourtant une énorme envie en début de soirée, mais avec tous ces événements, c'est bien à contrecœur qu'elle prend le membre en bouche. Mais ne voulant pas provoquer l'homme qu'elle sait maintenant être dangereux, elle s'applique en se disant que son calvaire touche à sa fin. Commençant à se dégriser, sa propre haleine commence aussi à la gêner, seul le plug devient de moins en moins douloureux au fur et à mesure que le temps passe.
La voiture s'arrête enfin. Sans aucun ménagement Ahmed attrape les cheveux de la blonde et la retire en arrière. Il la lâche pour rentrer son dard dans son pantalon et refermer sa braguette, puis la reprend par las cheveux et la tire derrière lui en sortant de la voiture. Béatrice voudrait crier, appeler au secours, mais nue, cela lui parait être la dernière des choses à faire. Elle suit donc le mouvement et se retrouve dans la rue, debout sur la chaussée, nue comme au premier jour, avec l'homme qui se tient devant elle. Ahmed fixe la blonde dans les yeux, puis, sans crier gare, il lui crache au visage en lui disant :
- Rentre chez toi vieille pute, vas retrouver ton mari à qui tu as fait du mal pour ton unique plaisir de salope en chaleur.
L'homme se retourne et entre dans la voiture qui redémarre avant qu'il n'est eu le temps de claquer sa portière. Béatrice se retrouve sur la chaussée, le regard perdu, les larmes lui montent aux yeux. Elle entrevoit tout juste ce qu'elle vient de faire car les vapeurs de l'alcool commencent à se dissiper. Elle reste plantée, nue, un plug dans le cul, les capotes toujours en bouche dans la fraîcheur du début de matinée, son cerveau se refusant de croire ce qui vient de se passer.
Le voisin d'en face aperçoit sa voisine et reste figé pendant quelques instant de voir cette femme, souvent sympathique, mais qui reste comme inaccessible, là, devant lui, nue à pleurer. Le premier moment de stupeur passé, il se précipite à l'intérieur, attrape le téléphone et compose le numéro de son voisin. Après de nombreuses sonneries, et tout en vérifiant par la fenêtre que la femme est toujours sur la route, il entend :
- Oui ?
- Salut Richard, c'est Maurice, ton voisin, sais-tu que ta femme est nue sur la route devant chez toi ?
- Heu !
- je t'assure, je la vois en ce moment même, elle est comme pétrifiée...
- Ha bon !
Et le mari se précipite à son tour à la fenêtre, il voit effectivement sa compagne nue sur la chaussée. il lâche le téléphone qui tombe au sol et se rue dehors en courant. Comme dans un rêve, Béatrice voit son compagnon de toujours courir vers elle, mais elle ne peut bouger tant la honte l'envahie subitement. Richard la prend dans ses bras et la ramène en essayant de faire vite dans le pavillon. malheureusement il sent bien que son épouse a du mal à marcher, aussi fait-il l'effort de ralentir pour qu'elle puisse avancer sans trop souffrir. Il voit parfaitement sa femme cracher trois morceaux de latex dans la pelouse, mais le moment n'est pas aux questions, il est urgent de faire rentrer son épouse avant que tout le voisinage ne la surprenne ainsi.
Dès que la porte d'entrée est refermée derrière elle, la pauvre femme éclate en sanglot. une longue plainte lugubre s'échappe de sa bouche entrouverte. Puis elle se laisse tomber aux pieds de son époux et s'écrie :
- Pardon, mille fois pardon mon chéri, si tu savais comme je regrette...
L'homme, malgré la soirée épouvantable qu'il vient de passer, se baisse et aide sa compagne à se redresser. C'est en la voyant horriblement grimacer qu'il comprend qu'elle est blessée quelque part, aussi il demande d'une voix compatissante :
- Mais tu as mal où ?
- Les salauds, ils m'ont mis un énorme gode et j'ai mal au cul, pardon mon chéri...
Et elle éclate à nouveau en sanglots. Comprenant qu'il est arrivé quelque chose de grave à son épouse, Richard se penche sur le coté et constate effectivement que sa femme a un gros morceau de caoutchouc blanc qui lui marque ses fesses plates. Il passe derrière sa femme et lui demande gentiment de se pencher en avant. Cette fois, se sentant enfin en sécurité, Béatrice se penche en avant en faisant tout de même attention à laisser son dos le plus droit possible. maintenant que les effets pervers de l'alcool se sont évanouis, elle écarte ses jambes et tend son intimité à l'homme qu'elle a choisie jadis pour la vie.
- Les salauds ! Les salauds ! répète continuellement le pauvre homme pensant que son épouse a subi de terribles sévices sexuels contre sa volonté. Les salauds! On va porter plainte contre ces malades...
Les souvenirs reviennent très vite à la mémoire de Béatrice. Et si elle se souvient bien des horreurs qu'elle vient de subir, elle se souvient aussi de l'excitation et des orgasmes que les quatre salopards lui ont tout de même apporté. Elle se souvient même de s'être laissé entraîner, et avoir pris du plaisir à être exhibée, triturée, malaxée par des mains inconnues. Et, malheureusement, elle a également le souvenir du caméscope qui a enregistré toutes les scènes, et là, elle sait que tout n'est pas à son avantage, de loin s'en faut. aussi décide-t-elle de temporiser la légitime colère de son mari en disant :
- Non ! Pour le moment j'ai besoin de repos, pas question que je me fasse encore toucher, ne serait-ce que par un médecin.
Richard a bien essayé de tirer sur la base du plug, mais il s'est vite aperçu que l'objet était bien arrimé et que sa sortie risquait fort d'être des plus douloureuse. Mais il n'est pas question non plus de laisser ce symbole de torture en place, aussi demande-t-il à sa femme :
- Tu as mal quand je tire doucement comme ça ?
- Aie ! Oh que oui ! Tires d'un coup sec, je crois que c'est encore la meilleure solution...
- Alors attention, cramponne-toi...
Et, à deux mains, Richard tire l'objet de toutes ses forces. Le peu de force qui reste à Béatrice lui sert à pousser pour faire sortir l'infernal objet de ses entrailles. Le plug finit par sortir en faisant un bruit de bonde de lavabo. Puis, tout de suite après, alors que l'homme est encore juste à côté de l'anus, un pet pestilentiel sort du trou encore béant. Ensuite, suinte un jus infâme. Richard fâché de l'incident, mais aussi et encore après son épouse dont les frasques de la veille l'ont mis à mal, regarde fixement le diamètre impressionnant du jouet et ne peut s'empêcher de dire :
- Tu devais être sacrément excitée pour qu'un tel monstre puisse entrer dans ton cul !
- Je t'en prie chéri, ne parlons pas de ça maintenant, j'ai réellement besoin de me reposer, pardonne-moi encore pour hier soir, si tu savais comme j'ai honte de moi.
- Mais comment t'es tu retrouvée devant la maison ?
- Ces infâmes salauds m'ont déposé en voiture et m'ont laissé nue.
- Attends ! ils t'ont violée ?
- Oui... Enfin non... Peut-être qu'ils m'ont droguée, je ne me souviens plus exactement.
- C'est pas très claire ton histoire...
- Je t'en prie chéri, laisse-moi aller me coucher pour le moment, je t'en supplie !
En colère mais sans être inhumain, Richard accompagne son épouse au bord de l'épuisement dans la chambre à coucher. Là, tout doucement, il l'aide à s'allonger, puis la recouvre du drap. Béatrice ferme les yeux et tente de s'endormir, mais c'est peine perdue, toute la soirée lui revient sans cesse en mémoire, et avec de plus en plus de détails.
A suivre...
Je suis impatient de connaître la réaction de Richard lorsque Béatrice devra lui raconter sa nuit…
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