samedi 9 septembre 2023

De gentils voisins.

 Récit de Berna-Prof.

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Lui, 1,65 m, frêle et le visage féminisé par des traits fins, en d’autre mot un gringalet. Il a la trentaine et pendant toute sa jeunesse il s’est fait chahuté à l’école, au lycée et à l’Unif par ses condisciples. Il a été tous le temps le souffre douleur des plus grands de ses camarades.

Maintenant, au travail, c’est un peu la même chose, on lui fait des blagues, on le sous-estime et même on se moque de lui. Pourtant dans toute cette noirceur, il y a un trait de blanc. Sa femme, une petite blonde de 23 ans, 1,69 m, mince, ventre plat, petite poitrine mais pas inexistante et un visage d’adolescente. Si on lui fait deux couettes, elle parait facilement 14, 15 ans tellement son visage semble juvénile. C’est arrivé à deux reprises qu’on lui ait demandé sa carte d’identité pour entrer au cinéma. Bien entendu la caissière s’est confondue en excuse lorsqu’elle a vu son âge. 

Depuis, leur mariage, ils habitent un immeuble à appartements assez vaste. Il y a six appartements par étage et il y a 15 étages. Eux habitent au 10ème. L’appartement en face du leur est actuellement vide et l’affiche de location vient d’être retirée depuis quelques jours.

C’est un samedi matin que sortant de chez elle, Julie vit deux grands noirs, carrure d’athlète et 1,90 m vider l’ascenseur de caisses et sacs en tout genre.

— Heu ! Bonjour !Vous… Vous êtes les nouveaux locataires ? Demande-t-elle en rougissant devant ces deux monstres de la nature.

— Waouh ! Vous êtes la voisine ?

— Heu !. Oui !

— Mazette !. Regarde un peu Omar ! Vise-moi le châssis ! S’écrie le noir devant elle se reculant pour que son copain puisse la voir.

— Hum !. Voilà qui va faire passer plus facilement le prix du loyer ! Dit Omar en ouvrant de grands yeux.

Julie est rouge comme une pivoine et ne s’attendait vraiment pas à de tels remarques. Elle semble hésiter à rentrer chez elle ou attendre que l’ascenseur soit vide et pouvoir descendre chercher les pains au chocolat de ce samedi matin, pour son mari.

— Attendez ! On retire encore les deux caisses et l’ascenseur est à vous ! Dit le noir dont elle ne connaît pas encore le nom.

Trois secondes plus tard, Omar lui tient la porte ouverte et l’invite à entrer dans l’ascenseur. Julie prend son courage à deux mains, fait les pas nécessaires pour avancer jusque dans l’ascenseur. Le noir qui lui tenait la porte rentre directement après elle et referme la porte. Sans laisser le temps à Julie de faire ou de dire quoi que ce soit, il pousse sur le bouton du rez-de-chaussée et regarde Julie dans les yeux.

— Comment s’appelle cette jolie voisine ?

— Je… Heu… Julie !

— Hum ! Moi c’est Baka !

— Baka ?

— Oui, c’est un diminutif de Bakamounda et tout le monde m’appelle ainsi.

— Heu ! Enchan … Enchantée ! Dit-elle en tendant une main timide.

Julie reçut une décharge d’adrénaline dans le sang en voyant sa minuscule main disparaître dans celle de Baka. Ce dernier emprisonna la main sans faire mal mais, suffisamment ferme pour empêcher Julie de la retirer.

— Comme nous sommes voisins, je crois qu’un bisou sur la joue s’impose.

Baka se penche et place ses lèvres à un millimètre des lèvres de Julie, dévie au dernier moment et dépose un bisou baveux de salive sur la commissure des lèvres de Julie.

Julie ne peut s’empêcher de sursauter, car la manœuvre de Baka a été tellement rapide que sa réaction de retrait n’a pas empêché le baiser. De plus Baka lui tenant toujours la main, a presque obligé Julie de se rapprocher de lui.

— Je crois que nous allons bien nous entendre ! Conclut-il en se redressant et relâchant la main de Julie.

La descente semble durer une éternité pour Julie et du coin de l’œil elle observe Baka dont les muscles saillants lui font un drôle de nœud dans le ventre. Enfin l’ascenseur s’arrête, Baka ouvre la porte et fait semblant de se retirer pour que Julie sorte de la cabine. C’est en passant devant Baka que l’étroitesse de la porte l’oblige à frôler, avec son bras, le bassin de Baka et la bosse dure à l’avant de son jogging.

— Heu ! Au revoir ! Dit-elle encore plus rouge et gênée.

— Salut, ma belle poupée ! Dit Baka en passant sur ses lèvres une grosse langue rose.
Julie courut jusqu’à la boulangerie pour se calmer un peu. Elle traîna un maximum avant de revenir vers l’immeuble et regarda si le noir était toujours là. Le chemin était libre, mais c’était sans compter avec la grosse camionnette devant l’entrée qui était encore à moitié remplie de meubles et de cartons. Au moment du passage de Julie derrière la camionnette grande ouverte, Baka sauta de celle-ci et accosta Julie.

— Hum !. C’est pour moi ces bonnes petites choses ?

— Heu !. Non ! C’est notre déjeuner ! Fit-elle candide et rougissante à nouveau.

— Dommage !. On aurait pu faire connaissance devant un bon café et petits pains !

— Heu ! Ce… Ce sera pour une autre fois ! S’entendit dire Julie étonnée elle-même de cette phrase.

— Top-là ! Ma belle ! Fit Baka en tendant la main paume vers le haut.

Une fois de plus, Julie put voir la grandeur des mains du noir et une fois de plus son entre-jambe se mouilla sous l’afflux d’adrénaline. Elle courut vers l’ascenseur en voyant un autre habitant ouvrir la porte. Elle n’osa se retourner et monta dans un silence gêné jusqu’à son étage. L’autre locataire allait plus haut. 

Julie rejoignit son mari encore au lit et lorsqu’elle apporta le plateau du petit déj, Alex, son mari ne la remercia même pas de cette petite attention. Julie regarda son mari et vit la différence de carrure entre lui et Baka, ensuite elle se remémora le bisou au coin de sa bouche dans l’ascenseur. Elle dut reconnaître que cela ne l’avait pas laissée complètement indifférente et même l’avait passablement excitée.

Le bruit dans le corridor se fit encore entendre pendant tous le reste de la matinée et ce n’est que le soir vers 18h00 qu’on sonna à la porte de l’appartement. Alex, affalé dans le divan ; sursauta et cria à Julie dans la cuisine d’aller voir qui c’était. Julie s’essuya les mains et alla vers la porte d’entrée, ouvrit celle-ci et se trouva en présence d’Omar et de Baka tout sourire et encadrant totalement l’entrée.

— Nous vous invitons à boire le verre de l’amitié ! Disent-ils en cœur en reluquant les formes de Julie seulement vêtue d’une petite robe moulante.

— Heu ! Je… Je ne sais… Je ne crois pas que… Je…

— Laisse-nous rentrer ! Dit Baka en entrant d’office dans l’appartement de Julie.

Elle se recula et Omar suivit Baka pour entrer. Julie semblait toute petite à côté d’eux qui la dépassaient de presque 30 cm. Sans-gênes, ils entrèrent et virent Alex affalé dans le fauteuil. Celui-ci sursauta à leur vue, se leva et devint livide de peur. Lorsque Baka lui tendit une main, sa peur redescendit légèrement mais quand sa main fut écrasée par la poigne de Baka, son sourire se transforma en grimace douloureuse.

— Salut mon pote ! Dit Baka d’une voix forte, c’est ta petite poupée qui nous a invité à venir boire un verre de bienvenue !

— Heu ! Ou… Oui ! Entrez donc !

Omar lui serra la main de la même façon que Baka et Alex sut qu’il ne pourrait plus se servir de sa main avant plusieurs heures, le temps que ses os et muscles se remettent du choc et de l’écrasement.

— Une bière pour mon pote et moi ! Commanda Baka en regardant Alex dans les yeux.

Alex n’osa piper un mot et se dirigea vers la cuisine. Lorsqu’il revint, il faillit lâcher les bouteilles et verres, car les deux noirs avaient pris place dans le divan et Julie était entre eux, la main droite d’Omar posée sur le début de la cuisse de Julie. La pauvre semblait être une petite fille à côté de ces deux malabars noirs. 

C’est en tremblant un peu qu’Alex déposa les verres et les bouteilles sur la table basse et regarda Omar comme s’il attendait des ordres.

— Julie, va nous servir ! Ordonna Baka.

Julie se leva péniblement d’entre les deux hommes et se pencha vers la table pour y prendre une bouteille et un verre. Elle versa la bière en tremblant un peu ce qui fit mousser la bière. La mousse déborda et coula sur la table du salon. Elle tendit le verre à Baka et servit Omar de la même façon. 

Julie, déposant la bouteille vide sur la table, voulut s’éloigner pour se réfugier à la cuisine, mais Omar fut bien plus rapide et attrapant Julie par le bas de sa robe la tira entre Baka et lui. Julie retomba assise dans le divan et sentit de suite la main ouverte de Baka sous ses fesses. À peine assise, elle voulut se relever en s’excusant, mais Omar lui posa la main sur la cuisse l’obligeant à rester assise sur la main de son copain. Une seconde plus tard, Julie sentit un gros doigt lui caresser la vulve par-dessus le tissu. 

Le doigt de Baka toucha son clitoris par-dessus son string et sans le vouloir vraiment, un soupir de plaisir s’échappa de la bouche de Julie. Alex assista à tout cela et était complètement paralysé devant ces deux hommes faisant chacun le double de son poids.

Omar vida la moitié de son verre, le posa sur la table en se penchant vers l’avant et en se remettant dans le divan plaça la main qui venait de déposer le verre sur la petite poitrine de Julie et malaxa le sein dans sa main. Le doigt de Baka poussa le tissu du string sur le côté de la vulve et se remit à la recherche du clitoris de Julie qu’il trouva directement tant il était gonflé.

— T’es une chaude, toi ! Dit Baka.

— Super chaude ! Renchérit Omar. Tu devrais sentir ses tétons, ils sont durs comme de l’acier.

— Et son clito est presque aussi gros qu’une quéquette de blanc. Dit Baka en rigolant.

Julie crut devenir folle, tant les sensations agréables envahissaient son corps et son esprit. Sans se rendre compte, Baka lui prit une main et la mit dans son jogging. Julie sentit l’énorme saucisse de Baka et cru jouir à cet instant. Omar profita de l’absence de rébellion de Julie pour lui rouler un patin digne de ce nom. Le bruit de salive et de respiration que firent Julie et Omar déclencha un orgasme terrifiant à cette dernière. Le sexe dans sa main grossit au-delà des possibilités de la main de Julie et Baka baissa l’avant de son Jogging. Il ne portait aucun slip et lorsqu’Alex, complètement paralysé par ce qu’il voyait, crut s’évanouir en voyant la grandeur et la grosseur du sexe que masturbait péniblement sa petite femme se faisant en même temps démonter la bouche par une langue géante. 

Julie ne savait où elle était, seul un immense plaisir l’envahissait des orteils à la pointe des cheveux. 

Omar lâcha enfin la bouche de Julie et força la tête de celle-ci vers le sexe qu’elle masturbait. Ses dents touchèrent le bout du gland et lorsqu’elle ouvrit la bouche, le gland démesuré lui entra dedans. Le gland et quelques centimètres de cette colonne de chair suffirent à remplir totalement la petite bouche de Julie. Mais, lorsque Baka donna des petits coups de rein, le gros sexe s’enfonça toujours plus loin.

La main de Baka remplaça celle de son copain Omar, sur la tête de Julie lui donnant un rythme à lui.

Omar profita de l’indisponibilité de Julie de se défendre, se recula un peu et ôta en quelques secondes le string de Julie. Il prit les hanches de la fille et les souleva pour mettre Julie à genoux sur le divan. Il baissa l’avant de son jogging et laissa apparaître un sexe aussi gros et grand que celui de Baka.

Alex vit avec horreur qu’Omar attrapa les deux poignets de Julie, les croisa dans son dos, se mit à genoux derrière elle tout en tenant d’une main les poignets de Julie et approcha le gland de son sexe sur l’anus de la pauvre Julie.

— Putain ! S’écrie Omar, son trou dégouline ! Je vais y rentrer comme dans du beurre !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Omar abaissa un peu son sexe et le rentra presque d’une seule poussée, profondément dans le vagin de Julie. 

Alex vit parfaitement le spasme de Julie au moment de l’introduction dans son vagin de la bite d’Omar qui était plus du double de la sienne et malgré la bite profondément dans sa bouche, elle émit un grognement assez significatif d’une respiration coupée par la douleur.

Omar, tout en tenant les poignets de Julie, croisés sur son dos, commença un défonçage de son vagin. Il entrait plus du trois quart dans la femme qui à chaque pénétration aussi profonde arquait son corps vers le haut et émettait un cri étouffé par le sexe remplissant totalement sa bouche.

C’est Baka qui du jouir le premier car il souleva ses fesses, se bloqua au fond de la bouche de Julie et eut des spasmes représentant parfaitement les jets de sperme qu’il envoyait au fond de la gorge de Julie.

C’est au même moment qu’Alex jouit avec une puissance jamais surpassée depuis lors et envoya au moins deux jets à plus de 50 cm de haut, qui retombèrent sur ses cuisses et sa chemise. Le reste lui englua sa main et lorsqu’il ouvrit les yeux après son orgasme, il put voir le sexe d’Omar complètement dans sa petite femme et Omar avoir des soubresauts éjaculatoires.

Il n’en crut pas ses yeux et son sexe ne débanda pas. Omar se collait sur les fesses de Julie. Pas un centimètre entre son bassin et les fesses de Julie. Cette dernière avait toujours le sexe de Baka bien enfoncé dans sa bouche. Ils restèrent ainsi bien enfoncés pendant plusieurs minutes qui semblaient une éternité tant pour la pauvre Julie que pour Alex et comme si tout était prévu à l’avance, les deux noirs se retirèrent dans un ensemble parfait. 

Julie complètement exténuée ayant eu plusieurs orgasmes pendant son viol, tomba ou plutôt glissa lentement hors du divan lorsque ses poignets, sa bouche et son vagin furent libérés des deux noirs.

— Waouh ! Quel accueil ! S’écria Baka qui remit son sexe toujours bandé dans son jogging.

— Putain ! Tu peux le dire ! S’exclama à son tour Omar en prenant sa bière sur la table et vidant son verre en une ou deux gorgés.

Baka, rhabillé, fit la même chose et se tourna vers Alex, toujours assis, son sexe gluant de sperme dans sa main, les regardant comme des extra-terrestres.

— Bon ! Boire un coup c’est bien, mais il faut aussi qu’on aille un peu s’amuser ! Dit-il en s’adressant à Alex.

— Ouais ! T’as raison !. Mais faut reconnaître que notre voisin sait recevoir ! Continua Omar finissant de se remettre le sexe correctement.

— En tous cas, n’hésite pas à nous offrir un verre à l’occasion !

— De toute façon, on va sûrement se croiser souvent ! dit Omar qui s’approcha d’Alex et lui donna une tape gentille sur l’épaule.

— Merci, mec ! Toi au moins tu sais ce que veut dire : « L’hospitalité » dit Baka en se dirigeant vers la porte.

Les deux hommes souriants et visiblement satisfaits de cette soirée quittèrent l’appartement d’Alex et Julie non sans avoir promi de revenir souvent. Julie, les vêtements en bataille, le regard hagard, les yeux vitreux essayait péniblement de se relever. Elle retomba assise dans le divan et s’écroula dessus, laissant ses jambes à l’extérieur et cuisses ouvertes. Du sperme d’Omar ressortait par petites volutes de son vagin encore luisant et entre-ouvert. 

Alex voyant sa femme ainsi offerte, respiration haletante, et le corps secoué de petits sanglots, se leva, s’approcha d’elle et se masturba au-dessus de son entre-jambe offert. Il avait complètement perdu la tête et ne se rendait pas compte de ce qu’il faisait. Il accéléra ses mouvements faisant tomber des gouttes de sa précédente éjaculation sur la robe complètement chiffonnée et formant pour la partie basse, une ceinture autour des hanches de sa femme.

Julie ne réagit même pas et plusieurs minutes passèrent avant qu’Alex se baissa brusquement et entra dans le vagin gluant de sa femme et juta dedans comme un damné, mélangeant son sperme à celui d’Omar. 

Julie eut un sursaut au moment de l’introduction, puis retomba dans sa démence de post-jouissance. Alex se vida les couilles de quelques malheureux jets de sperme et sortit du vagin dès qu’il sentit que sa jouissance était finie. Il se dirigea vers la salle de bain sans un mot et pris une douche. 

Vingt minutes plus tard, il retourna au salon et vit que Julie dormait dans la même position que lorsqu’il l’avait quittée. Elle se réveilla plus d’une heure et demie plus tard, se leva difficilement, tituba jusqu’à la salle de bain et prit la plus longue douche de sa vie.

Une heure plus tard, Julie sortit complètement nue de la salle de bain et se mit au lit. Alex mangea tous seul et alla rejoindre Julie qu’il crut endormie.

Au matin, c’était un dimanche, Alex se réveilla et trouva le lit vide. Julie n’était pas dedans. Il regarda l’heure et vit qu’il était près de 11h00 du matin. Il n’entendait rien dans l’appartement. Il se leva, fouilla les quatre pièces qui composaient son appartement et ne trouva pas sa femme. Pas de petit mot, sur aucune table ou meuble. Il chercha son Gsm et fit le numéro de Julie. A la première sonnerie, la porte de l’appartement s’ouvrit et Julie entra. Elle était habillée d’une petite mini-jupe en cuir, d’un débardeur ultra moulant et de bottes remontant jusqu’à ses cuisses. Alex la regarda comme s’il la voyait pour la première fois de sa vie. Il se rappela que ce genre de tenue, Julie l’utilisait avant leur mariage et uniquement lorsqu’il sortait en « Boîte ». Depuis qu’ils étaient mariés, elle n’avait plus jamais mis ce genre de tenue. Il la dévisagea et lui trouva un air coquin et joyeux. Julie se retourna pour refermer la porte et il vit qu’elle faisait un signe de la main à quelqu’un dans le couloir de l’étage.

— Déjà debout, mon chéri ? Dit-elle dès que la porte fut refermée.

— Je… Heu ! Mais d’où viens-tu ?

— Oh ! Tu sais, cette nuit, je n’ai pas beaucoup dormi et je me suis levée tôt. Je suis partie chercher les petits pains aux chocolats et en revenant, j’ai croisé Baka et Omar. Ils m’ont invité à boire le café chez eux et comme tu dormais toujours j’ai accepté !

— Mais… mais ? Tu ne leur en veux pas ?

— De quoi ?.... Mon chéri ?.... De m’avoir donné des orgasmes comme je n’ai jamais eus ?

— Mais,… enfin ?

— Tu sais, pendant qu’ils mangeaient TES petits pains aux chocolats, ils m’ont gentiment demandés de les sucer. Je n’ai pu leur refuser et j’ai pris mon déjeuner avec eux…

— Tu… Tu… Tu les as sucés ?

— Ben oui !

— Mais…. Heu ! T’as av… Avalé ? Demanda Alex en voyant encore une trace sur la joue de sa femme.

— Oh, oui ! Et ils ont bon goût ! Tu sais !

— Mais… Mais t’es une sal…

— Salope ! Je ne sais pas mais, s’ils me le demandent encore…. Je n’hésiterai pas !

Puis Julie, balançant son derrière comme une putain faisant le trottoir, se dirigea vers la cuisine. Alex resta dans le hall d’entrée, muet et tétanisé par ce qu’il avait vu et entendu. Impossible pour Alex de prononcer un mot, tant dans sa tête se bousculait dégoût et excitation. Il se rendit compte que sa petite femme allait devenir le jouet sexuel de ses deux noirs et qu’elle semblait aimer ça ! Sa vie allait complètement changer et à un point qu’il ne se doutait vraiment pas. Mais, ça c’est une autre histoire…

FIN

2 commentaires:

  1. Très beau texte, j’aurais aimé une suite pour découvrir l’evolution de cette nouvelle relation…

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  2. Un début prometteur, peut-etre aura t-on une suite. Elle serait bienvenue.

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