Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Le plombier voyeur se joint à la fête.
Il me faut un peu de temps avant de revenir à la réalité. Quand j’ouvre les yeux, le garçon se tient devant moi, sa bite bien raide et dure tirée de son pantalon. Bon sang, c’est une belle queue ! Le garçon a une bite qui rendrait la plupart des hommes jaloux. Elle est très longue mais sa circonférence est encore plus impressionnante.
- Il est temps de s’occuper de ma bite Miss Allumeuse. Dit-il en secouant son engin.
Le nettoyeur de piscine vient de me donner l’orgasme le plus intense que j’ai jamais connu. Donc je suis plus que disposée à lui donner un retour sur investissement. Je me mets à genoux sur la chaise longue. Et je ronronne :
- Mmmmm, tu veux que ces lèvres de velours entourent ta queue ? Tu veux que je te fasse une fellation d’enfer ?
Je tire la langue et lèche toute la longueur de sa hampe, la faisant briller d’humidité. Puis je tourne ma langue douce autour de son gland avant de glisser lentement mes lèvres sur son engin. Je commence à le sucer tout en continuant d’attaquer son gland avec ma langue. De toute évidence, le jeune homme apprécie mes efforts car il gémit.
Ça me stimule encore plus. Je veux lui faire une pipe qu’il n’oubliera pas de sitôt. Alors je commence à bouger ma tête de haut en bas sur sa queue tout en laissant frotter ma langue le long de la tige.
Comme ma vie sexuelle avec mon ex avait été plus que classique, je ne suis pas très habile à sucer des bites. Lors de ma dernière soirée, j’avais découvert à quel point j’aimais le faire. Ce n’était pas la fellation en elle-même mais plus la réaction du gars que j’avais aimé. J’avais l’impression que son existence était suspendue à mes lèvres.
Dans mon état d’excitation amplifié, je n’utilise même pas mes mains pour tenir la bite du garçon. Je le suce seulement avec mes lèvres. Et j’ai l’impression qu’il apprécie, ses gémissements en sont une bonne indication.
Lentement j’augmente la vitesse de ma tête sur sa queue. De la bave coule de ma bouche et de mes lèvres. La quantité de salive provoque même des bruits de succion.
Et ça me fait sentir encore plus salope. Je suis une femme dirigeante d’entreprise qui fait une fellation bruyante et humide à un jeune voyou macho dans mon propre jardin. Quelle conduite obscène ! Quelle aventure scandaleuse ! La plus vicieuse et la plus excitante de ma vie, je crois !
Ça doit être un bon spectacle, car j’entends le plombier siffler avec approbation. Ses sifflements combinés aux pensées perverses qui me traversent l’esprit, m’excite encore plus. Inconsciemment mes hanches commencent à se balancer et mon cul à tourner, au plus grand bonheur de l’ouvrier qui a une vue parfaite de mon cul tremblant et de ma chatte brillante d’humidité. Une fois encore, j’entends un sifflement d’approbation.
Merde, je veux plus ! Je viens de jouir, mais ce n’est pas suffisant pour satisfaire mes envies. Toute cette situation est pour moi une nouvelle source d’excitation.
CLAC !
Une claque atterrit sur ma fesse gauche. Mon joli cul bien rond a bien évidemment invité Dan à lui donner un autre coup.
CLAC !
La main atterrit cette fois-ci sur ma fesse droite. Cette fois, les claques sont plus fortes. De toute évidence ce petit macho devient de plus en plus excité et ne se retient plus. En tout cas je sens bien la brûlure des coups, et ça ajoute à la chaleur de mon corps. Mon côté salope est accentué.
Du coup, j’essaie de mettre encore plus de son sexe dans ma bouche. Je travaille dur pour arriver à sucer les deux tiers de son sexe. Bien sûr, la quantité de salive qui s’écoule de ma bouche augmente et coule sur mon menton. Mais Dan s’en fiche.
CLAC ! CLAC !
Chaque fois que je retire ma bouche me vaut une claque sur les fesses. Je sens que mon cul irradie de chaleur et je m’imagine qu’il doit être rouge vif. Mais, ce traitement brutal a pour effet de me faire bouger mon fessier plus rapidement et de m’appliquer à bien sucer la queue du garçon. Chaque claque provoque des démangeaisons dans ma chatte. Je la sens de nouveau s’emplir d’humidité.
Finalement le jeune macho se penche sur mon corps agenouillé et saisit chacune de mes fesses avec ses mains. Il commence à les pétrir et je ne peux m’empêcher de gémir. Son massage force les lèvres de ma chatte à se presser et à se séparer en rythme. La moiteur entre mes jambes produit des bruits de succion qui viennent de ma chatte.
Comme c’est vicieux, comme c’est sale ! Mais il n’y a qu’une seule pensée dans mon esprit. J’ai besoin de la bite de ce garçon dans ma chatte. J’en ai besoin ici et maintenant.
Quelques secondes plus tard, Dan se lève et me saisit par les épaules. Facilement il me force à m’allonger sur la chaise longue. Une fois de plus, je me retrouve devant lui, couchée sur le dos, jambes écartées pour tout montrer à ce gars musclé.
Il n’hésite pas. Il passe rapidement entre mes jambes ouvertes et il positionne sa queue rigide sur ma chatte. Son gland écarte mes petites lèvres gonflées. Je frissonne d’excitation.
- Tu me veux en toi Miss Allumeuse ? Demande-le comme une bonne salope alors ! Ordonne-t-il d’un ton moqueur.
Instantanément, sans même réfléchir, je lui jette :
- S’il te plaît, fais de moi ta chienne ! Donne-moi ta bite !
Je finis en un long gémissement quand il plonge sa queue dans ma chatte humide et me remplit de sa chair bien dure. Tenant son membre au fond de mon antre sans bouger, il attend manifestement quelque chose. Je ressens de la frustration, je suis si près d’avoir ce dont j’ai besoin. Alors je supplie :
- S’il te plaît Dan, baise-moi ! Transperce ma chatte avec ta belle bite bien raide. Punis-moi d’être si salope !
Je n’arrive pas à croire à quel point je me dégrade sans vergogne devant ce jeune homme C’est pathétique. Mais tout ce que je pense c’est d’être soulagée. Je suis prête à faire n’importe quoi pour avoir un deuxième orgasme.
Mon état d’excitation fait sourire le nettoyeur de piscine. Il attrape grossièrement mes seins et les utilise comme prises pendant qu’il commence lentement à entrer et sortir de ma chatte avec de longs coups de reins. Mon bassin suit chaque mouvement pour garder sa grosse queue en moi. Je savoure au maximum chaque sensation.
Il malmène ma poitrine tout en augmentant ses coups de reins. Il martèle ma chatte en y mettant tout le poids de son corps. Il me pince les tétons en disant :
- Tu es tellement mouillée. Et tu es une femme facile Miss Allumeuse. J’ai jamais vu une telle salope.
- Ouiiii ! Baise-moi avec ta jeune bite bien dure ! Oh ouiiii ! Baise cette salope ! Fais-moi jouir comme une pute.
Mon corps et mon esprit sont envahis de sensations. J’ai l’impression que ma chatte est directement câblée avec mon cerveau et que le circuit est en surcharge. Je suis si proche de jouir. Je sens déjà l’explosion imminente.
Mais tout à coup, la queue est partie ! Je sens l’air froid se précipiter dans ma chatte ouverte et me ramener à la réalité. Le garçon a retiré sa bite et me laisse insatisfaite. Je gémis de frustration, j’ai besoin de son sexe. Ma libération était si proche.
- Il est temps de travailler un peu Miss Allumeuse. Déclare Dan.
Il attrape mon bras et me relève de la chaise longue. Avant que je ne puisse réaliser ce qui se passe, il s’est allongé sur le transat. Il veut que je le chevauche, que je m’empale sur sa queue.
- Tu ne veux pas négliger notre spectateur n’est-ce pas ? Dit-il pour me rappeler que l’on nous regarde.
Je lève les yeux vers le plombier. Une fois encore, je l’avais totalement oublié. Immédiatement mon corps recommence à me picoter quand je le vois regarder ma poitrine. Je ne sais pas ce qu’il me prend, mais je soulève mes nichons jusqu’à ma bouche et je donne un coup de langue à chaque mamelon tout en regardant l’ouvrier et en lui jetant un regard salace. Puis je me retourne et je me penche. Je tends la main et écarte les lèvres luisantes de ma chatte tout en remuant mon cul de façon obscène. Je dois vraiment ressembler à une cochonne. Et c’est ce que je pense être à ce moment.
Ma chatte me démange comme une piqûre de moustique. Elle a désespérément besoin d’être remplie. Je ne perds pas de temps et je saute sur les genoux du jeune gars. J’écarte les jambes et pose les pieds de chaque côté du transat. Je saisis sa queue et je me baisse. Je guide rapidement son sexe vers l’entrée de ma chatte dégoulinante. Avec tout ce jus, sa queue a facilement glissé à l’intérieur.
- Ooooohhhhh ! Gémis-je quand sa bite disparaît complètement dans mon corps.
Sautant sur ses genoux avec un rythme rapide, je m’applique à remonter mon corps jusqu’à ce que son gland sorte presque de mon sexe puis je replonge sur le gros membre. C’est assez dur de chevaucher la queue d’un homme si celui-ci ne fait rien pour aider. Le jeune gars se repose simplement sur la chaise en laissant la salope que je suis faire le travail. Rapidement, je commence à transpirer à cause de l’effort, et la tension sur mes jambes commencent à se faire sentir.
- Allez, empale-toi sur ma bite ! Montre au plombier que tu es une bonne chienne. M’encourage Dan.
Je prends mes gros seins en coupe et je me penche en avant pour presser ma poitrine sur le visage du garçon, lui offrant ainsi librement mes tétons à sucer et grignoter. Une nouvelle décharge électrique explose dans mon esprit quand je sens le jeune homme mordre doucement mes mamelons durs et sensibles.
Encore une fois, je me rapproche de mon deuxième orgasme. La sueur dégouline de mon front sur mes seins et les muscles de mes jambes sont douloureux. Mais je le remarque à peine. Je chevauche la bite du garçon comme une cavalière de rodéo. Je suis prête à jouir. Rien ne peut empêcher mon orgasme cette fois-ci.
Soudain, je me sens tomber à reculons. Dan m’a repoussé de sur ses jambes. Je suis tellement surprise que je tombe sur mes genoux. La seconde suivante, le garçon se présente au-dessus de moi et dirige sa bite tendue directement sur mon visage.
Je hurle de surprise quand sa bite libère sa charge. Il commence à pulvériser son sperme comme un tuyau d’arrosage. Giclée après giclée, la semence collante sort de sa queue et atterrit sur mes joues. Je n’ai jamais été couverte de sperme auparavant. C’est si collant et gluant que ça me fait frissonner. Pendant ce temps, mon corps continue de me démanger avec mon plaisir refoulé. Toute mon excitation crie pour être libérée. Je ne peux pas m’empêcher d’approcher la main de mon clitoris.
Je suis sur le point de frotter énergiquement mon petit bouton rose quand Dan me gifle. Je gémis de frustration.
- Tu as besoin de plus de queue, salope ? Amène ton cul là-bas pour servir son bout de viande ! S’exclame le macho en me montrant la porte du jardin.
Après avoir suivi la direction des yeux, mon cœur manque s’arrêter. Le plombier ne regarde plus de la fenêtre de la maison des voisins. Au lieu de cela, il est dans ma cour, en train de branler sa queue. Dan ajoute alors.
- Il mérite de profiter d’un morceau du cul chaud d’une vieille, tu ne penses pas ? Après tout, il a promis de se taire ! Et il vaut mieux s’en assurer.
Je sais qu’il me tient. Bien sûr que je veux m’assurer que personne ne soit au courant de cette aventure. Mais j’ai l’impression qu’il s’amuse avec moi. Le plombier m’a vu baiser le jeune nettoyeur de piscine, ça aurait dû suffire non ?
- Ooooooohhhh !
Surprise, je gémis de nouveau. Tandis que je réfléchissais à cette nouvelle situation, Dan avait attrapé mes tétons bien durs et les avait pincés. Mon envie refoulée et non libérée revient. Le garçon continue à tripoter mes seins et malmener mes mamelons si bien que l’excitation supprime mon embarras. Mon corps a toujours besoin de soulagement. Dan me dit :
- Regarde sa queue Miss Allumeuse ! tu en as l’eau à la bouche non ?
Je suis tellement excitée que je ne peux pas m’empêcher de répondre avec des gémissements. Mon corps se tord de manière incontrôlable sous son contact. Je suis toujours à genoux, le visage recouvert de sperme.
- Tu as besoin de jouir non, petite salope ? Demande le garçon.
- Ohh oui, viens baiser la chatte de la salope ! dis-je sans réfléchir.
- Je parie que le plombier peut t’aider Miss Allumeuse. Me répond Dan avec un petit rire.
Et il ajoute :
- Tu veux que ta chatte soit remplie ou non ? Et si tu le supplies gentiment, il pourra peut-être te faire jouir.
Je le regarde les yeux grands ouverts. Il veut que je baise un deuxième étranger dans la journée. Il veut me transformer en vraie salope. Ce n’est pas moi qui voulais du plombier. Le garçon me demande de lui offrir mon corps. Comment ose-t-il ? je suis toujours dans ma maison !
Mais de toute façon cependant, mon esprit est tellement empli de convoitise que je prends son ordre d’une manière différente que j’aurais dû le faire. J’ai taquiné le plombier tout le temps que Dan m’a baisé non ? Je l’ai excité sans m’en soucier non ? Il me semble donc juste de le satisfaire. Et après tout, je vais sûrement obtenir mon orgasme aussi.
Pour le moment, ce raisonnement me semble totalement rationnel. Mon esprit est guidé par le sexe. Toutes les conséquences négatives sont oblitérées. Sans plus réfléchir, je me lève et je me dirige vers le plombier. Tout comme Dan, le nettoyeur de ma piscine, il est plus jeune que moi, sûrement dans ses vingt ans. Il est banal avec de courts cheveux bruns et un physique en pleine forme.
En me déplaçant, je balance mes hanches de façon aussi sexy que je le peux. Dans mon était de folie sexuelle, je suis en pleine séduction. Arrivée devant l’ouvrier, je me rappelle que mon visage est encore recouvert du sperme de Dan. Je dois vraiment donner l’impression d’être une vraie salope. Mais ça fait sourire le plombier.
Je lève ma main droite et je commence à gratter le foutre qui sèche sur mes joues. Avec le regard sexuellement évocateur de mes yeux bleus, je lèche le sperme de mes doigts. Pendant tout ce temps, je remue mes hanches pour le plombier, dansant encore une fois sur un rythme imaginaire. Je continue jusqu’au moment où j’ai nettoyé tout le sperme de mes joues et que je l’ai avalé.
- Bonjour mon beau, je suis Jess. Et toi qui es-tu ? As-tu apprécié le spectacle ? Dis-je finalement.
- Oui sûr, j’ai toujours voulu mettre la main sur une vieille. S’exclame le plombier en allant droit au but.
Puis il continue :
- Je suis Trévor. Et toi tu es une sacrée salope. J’aime bien tes seins de vieille salope. Je veux baiser ces nichons. Bouge salope ! Fais-les balancer pour moi et va les mouiller ! Dit-il brusquement
Wouah, quelle attitude ! Quelle autorité ! Sans attendre que je réagisse, l’ouvrier enlève son bleu de travail et son corps apparaît à la lumière. Ses bras sont complètement recouverts de tatouages, même ses cuisses le sont. Je crois que j’avais eu tort. Après tout il n’est pas banal. C’est plutôt une brute grossière et dure.
Mais j’y fais à peine attention. Je suis trop hypnotisée par son énorme bite. La grosseur est frappante. Cette queue allait bien étirer ma chatte. Et pour le moment je ne pouvais penser qu’à ça.
- Mmmmm, oui ! Ronronné-je.
Puis je lui suggère avec une voix la plus séduisante possible :
- Tu peux faire ce que tu veux avec mes nichons pourvu que tu remplisses ma chatte de salope.
Plus je suis excitée, plus je deviens vulgaire. Je ne me reconnais plus. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir à ça pour le moment. J’ai une envie à assouvir. Je me tourne et je marche vers la piscine. Le plombier ne me suit pas tout de suite, préférant me regarder jouer la salope. Sur le chemin, je m’assure de secouer mon joli cul bien rond à chaque pas. Quand j’atteins la piscine, j’ai une nouvelle idée vicieuse.
Je ne prends pas le verre pour le remplir d’eau et arroser ma poitrine. Au lieu de ça, je me mets à genoux et je penche en avant le haut de mon corps au-dessus de la piscine. Très lentement, je m’incline jusqu’à ce que l’eau de la piscine touche mes mamelons. Je continue jusqu’à ce que mes seins soient complètement dans l’eau. Puis je relève les épaules. L’eau coule de ma poitrine quand je retire mes seins de la piscine. J’attends patiemment que le liquide ait fini de couler. D’après le visage des hommes, ce spectacle devait être hypnotique.
Leur réaction m’incite à agir encore plus vicieusement. Je remets mes seins fermes dans l’eau. Et cette fois, je passe mes mains sur mon cul et je descends vers ma chatte. Puis j’écarte mes petites lèvres. Agenouillée au bord de la piscine, je présente mon intimité rose tout en gardant ma poitrine dans l’eau. Puis je la relève et laisse une fois encore l’eau s’écouler. J’ai l’impression que le plombier va jouir à cette seule vue.
Avec un sourire sexy sur mes lèvres, je me relève et je me dirige vers l’ouvrier débraillé. Je m’agenouille directement devant lui et j’attrape mes seins par-dessous pour les lui offrir comme un cadeau.
Immédiatement, le plombier insère sa bite entre mes gros nichons. Je prends mes seins sur les côtés et je les serre sur la hampe épaisse pour lui permettre de sentir la douceur de ma peau sur son membre. Et je commence à monter et descendre mon buste contre sa queue. Puis je baisse la tête pour que ma bouche accueille son gland à chaque fois qu’il sort de mon décolleté. Les gémissements de l’homme m’indiquent clairement qu’il apprécie ce traitement. Alors je lui murmure :
- Tu aimes mes grosses loches autour de ta bite ? Attends de sentir ma petite chatte serrée !
Je fais de mon mieux pour attirer son attention sur mon envie de baiser. Et ça semble fonctionner. L’homme me relève et me retourne. Puis il me pousse en avant jusqu’à ce que je touche la table de jardin. La main sur mon dos, il me fait pencher jusqu’à ce que mes seins fermes et bien ronds reposent sur le dessus de la table.
Il n’est pas très doux avec moi. Mais l’espoir et l’envie d’avoir ma chatte bourrée par son engin me font oublier sa rudesse.
- Oooohhhhh ouiiii, c’est ça ! Prends cette salope d’allumeuse !
Je gémis de plaisir quand il enfonce deux doigts dans ma chatte. Il les remue dans mon intimité qui fuit, ce qui me fait frémir d’excitation. Mon sexe répond avec des bruits de succion qui illustrent mon envie.
- Voilà ce que tu souhaitais salope ! Ta chatte est remplie. Chuchote le plombier à mon oreille après s’être penché sur moi.
Je ne peux qu’acquiescer avec de grands gémissements.
- Et qu’est-ce que je fais de ma bite maintenant ? C’est bien que tu me le demandes !
Manifestement il se moque de moi. Il poursuit :
- Maintenant que j’ai réalisé ton souhait, je vais prendre ton cul pour être remercié !
- Nonnnn !!! Crié-je immédiatement.
Je serre les fesses et mon petit trou du cul tellement j’ai peur. Je n’ai jamais été sodomisée auparavant et je ne l’ai jamais voulu. Mais l’ouvrier a toujours ses doigts dans ma chatte et il me tient solidement plaquée sur la table de jardin.
Quelques va-et-vient de ses doigts dans et hors de mon sexe font que je me détends rapidement et que je desserre les fesses. Mon esprit n’a plus le contrôle de mon corps. J’essaie de réprimer mes gémissements et je commence à supplier :
- S’il te plaît, ne sens-tu pas à quel point ma chatte est serrée ? Ta bite va adorer y pénétrer.
Puis je gémis :
- S’il te plaît, tu m’as promis de mettre ta queue dans ma chatte…
Mais je ne peux que reprendre mes gémissements pendant que l’ouvrier bouge sa main dans et hors de mon sexe. Il déclare alors :
- Ces gémissements m’indiquent que la chatte de cette salope est déjà bien remplie.
Puis il me demande sournoisement :
- Je suppose que tu veux que je retire mes doigts ?
- Nonnnn ! S’il te plaît, laisse-les et continue : Hurlé-je.
Je gémis comme une folle alors qu’il continue de me pilonner avec ses deux doigts tout en commençant à frotter mon clitoris sensible avec son pouce.
Cette sensation supplémentaire est presque trop pour moi. Mes jambes ont commencé à plier et mon corps est devenu tout mou. Il n’y avait plus de résistance en moi.
- Il est temps de profiter de cette salope ! Dit l’ouvrier en tenant fermement mon épaule avec sa main gauche.
Mais il arrête de bouger. Ses doigts sont toujours à l’intérieur de ma chatte et son pouce sur mon clitoris. Il attend que je réponde. Alors je hurle presque :
- Ouiiiii, profite de moi, doigte ma chatte, baise-moi s’il te plaît !
Satisfait de mon accord, il me fait lentement reculer alors qu’il avance. Je sens sa bite pousser contre mon petit trou du cul serré. Puis mon anus s’ouvre pour de bon. Je veux crier de douleur, mais mon cri se mêle à mes gémissements.
- Ouuuhhh… Oooohhhh… Ouuuuhh.
Je gémis à la fois de douleur et de plaisir. Je respire lourdement en disant :
- Ooohhhh merde ! S’il te plaît… Nonnnnn !
Soudain mes cris sont étouffés. Apparemment, me voir en train de me faire défoncer le cul par le plombier a réveillé le sexe du nettoyeur de piscine. Daniel ne perd pas de temps pour enfoncer sa queue dans ma bouche ouverte.
Ça annule toute chance de me soustraire à l’intrusion anale. Si j’avance pour éloigner mon cul, j’empale ma gorge sur le sexe de Daniel, et si je recule, j’empale mon cul sur la bite du plombier.
Je continue à crier et gémir autour de la bite du jeune nettoyeur de piscine alors que j’essaie de détendre mes fesses pour accueillir l’intrus. Pendant tout ce temps, les doigts du plombier ont continué leur attaque agréable sur ma chatte et mon clitoris. Je ressens de la douleur, mais l’intrusion anale n’est pas aussi désagréable que je l’imaginais. Je suis tellement excitée que je crois que mon corps supporterait n’importe quels sévices.
A ma plus grande honte, je me rends même compte que la sodomie augmente mon état d’excitation. Je suis une femme d’affaires adulte qui se fait embrocher par deux jeunes queues dans son propre jardin. Je suis dans un état de plaisir jamais connu auparavant.
Les deux hommes prennent un rythme soutenu. Ils me balancent d’avant en arrière entre eux deux.
Pendant ce temps, mes seins se balancent sous moi alors que je serre de mes mains la table de jardin pour essayer de rester stable. La queue qui étire mes fesses me plonge dans un nouveau monde de sensations. Mon cerveau est assailli par des plaisirs jusque-là inconnus. Et les doigts sur ma chatte me rendent folle. De plus, à chaque fois que ma poitrine se balance d’avant en arrière, mes mamelons frottent sur le dessus rugueux de la table, envoyant ainsi des décharges courtes mais intenses de félicité à travers mes nerfs.
Soudain, tout devient noir. Pendant un instant, le monde est devenu muet et le temps s’est arrêté. La seconde suivante, des éclairs se sont allumés devant mes yeux et mon corps a éclaté comme un volcan. Un orgasme incroyablement intense a explosé dans mon cerveau. Des ondes électriques ont parcouru tout mon corps comme de la lave.
J’ai joui si intensément que du jus a jailli de ma chatte. Il a giclé si fort que les doigts du plombier ont presque été éjectés. L’homme tatoué a réagi en frottant furieusement mon clitoris pendant que mon jus sortait de mon sexe. Je pense que j’aurais renversé la table si je n’avais pas été emboîtée sur deux gros mandrins qui me maintenaient en place. C’est mon premier orgasme alors que l’on m’encule.
Tous mes muscles se contractent tandis que mon corps tremble de façon incontrôlable. Cela déclenche une réaction chez les deux hommes. Mon cul et ma bouche serrent fermement leur queue, c’est trop pour eux. Alors que je me tortille et que je me tords encore, ils me poussent rapidement par terre. L’instant suivant, leurs bites éclatent simultanément. Leur sperme pleut sur moi comme une douche. Les hommes visent évidemment mon visage, qui, pour la deuxième fois de la journée, reçoit un soin. Je n’ai aucune chance d’esquiver le foutre, car Daniel me tient fermement la tête en place en attrapant mes cheveux châtains.
Les jets de leur semence semblent me frapper de partout. Le plombier asperge mon côté gauche et le nettoyeur de piscine crépit mon côté droit. Ils couvrent mes deux joues, l’arête de mon nez ainsi que mon menton avec leur sperme blanc. Il colle à ma peau et il est extrêmement épais et gluant.
Finalement, quand leurs queues ont fini de me pulvériser comme un tuyau d’arrosage, mon orgasme s’est enfin calmé. Je suis en sueur après cet évènement intense. En fait, la sueur qui coule sur mon corps rivalise avec l’énorme quantité de sperme recouvrant mon visage. Je tends la main pour essayer d’enlever le foutre, mais Daniel m’arrête :
- Garde le sperme sur ton visage Miss Allumeuse. C’est une décoration parfaite pour une salope comme toi.
Je me contente de sourire pour répondre. Je sais que ça a l’air bizarre. Mais à ce moment-là, je sens que le foutre sur mon visage est la plus grande preuve que j’ai ce qu’il faut pour séduire deux jeunes hommes. Je viens de vivre l’aventure sexuelle la plus formidable de tous les temps. Je me sens tellement mieux sans mon ex.
Je suis tellement épuisée, que je m’effondre sur place. Les couilles vidées, les deux jeunes ne semblent plus se soucier de moi. Daniel commence à rassembler son matériel de nettoyage qui reste pendant que le plombier se rajuste et sort de chez moi.
Pendant un bon moment, j’essaie de reprendre mon souffle. Puis je réussis à m’asseoir sur mon transat tandis que le nettoyeur fait des allers-retours entre son camion et mon jardin. Pendant tout ce temps, je garde le sperme sur mon visage. Je peux le sentir sécher au soleil et me coller de plus ne plus la peau. Je ne pense même pas à remettre en question l’ordre de Daniel, ça fait partie de cette aventure coquine. C’est si vicieux. Mais que c’est bon. Je suis tellement absorbée par le moment que je lui fais signe de la main et que je lui fais mon meilleur sourire couvert de sperme quand finalement il part. Quand je n’entends plus le moteur du camion qui s’éloigne, je rentre et je me lave le visage et le corps sous la douche.
Le reste du week-end, je n’arrête pas de fantasmer sur mes nouvelles prouesses sexuelles. Rétrospectivement, ça me semble encore plus humiliant, une puissante et élégante femme d’affaires se soumettant à un latino macho et à un ouvrier ordinaire. Ça ressemble plus à un épisode ringard dans un porno bon marché qu’à un évènement s’étant réellement passé. Je suis encore plus excitée.
Donc, au cours du reste du week-end, je n’arrête pas d’imaginer d’autre aventures sexuelles, avec le livreur de pizza, le facteur ou encore d’autres voyous.
**** Semaine 1 ****
Le lundi suivant, j’arrive au travail plus détendue que je ne l’avais été depuis longtemps. Mon cabinet se situe dans un vieil hôtel particulier proche du centre-ville. Alors que les employés ordinaires sont situés au premier étage, je dispose d’un grand bureau fermé au deuxième étage, pas loin de celui du PDG, M. O’BANNON et de mon homologue, M. ORTEGA. Ce lundi, je ne maudis pas les escaliers comme j’ai l’habitude de le faire.
Comme j’ai un peu de temps avant la première réunion de la journée, je lis le courrier arrivé quand Carlos ORTEGA entre dans mon bureau. Il est le responsable de l’autre département de la société et mon éternel rival. Comme le PDG, M. O’BANNON est sur le point de prendre sa retraite, il nous laisse nous disputer pour savoir qui va prendre la tête du cabinet. Il est évident que dire que nous ne pouvons pas nous supporter. Nous sommes en concurrence pour tout, les projets, les revenus, les connaissances professionnelles…
Comme il est de coutume dans notre entreprise, il est en train de présenter ses stagiaires dans tous les bureaux et à tout le personnel. Ces nouveaux stagiaires sont quatre, tous des hommes. Il y a Justin qui ressemble à un étudiant en commerce avec un polo de luxe et des cheveux gélifiés. Matt est un garçon typique avec un air arrogant. Les deux autres sont des joueurs de football universitaire de l’ancienne confrérie de M. O’BANNON : Taylor, un grand noir bien musclé, et Daniel, qui m’a l’air terriblement familier.
C’est Daniel RODRIGUEZ, le nettoyeur de piscine. Il me salue avec un large sourire.
A suivre…
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