Texte de Xmaster.
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Béatrice est de plus en plus humiliée.
Elle serait bien en peine d'expliquer pourquoi elle répond aux questions indiscrètes et fait toutes ces choses obscènes qu'on lui demande sans réagir outre mesure, mais toujours est-il que Béatrice porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts en fixant toujours autant l'objectif de l'appareil.
- Ouais, comme ça... Ouvres toi bien la chatte salope.
La femme écarte ses doigts de manière à dilater l'entrée de sa chatte qui a déjà été bien ouverte auparavant par le passage du gros sexe de Moustafa. Très vite la sensation, l'ambiance, recommencent à lui échauffer les sangs et elle prend plaisir à cette introduction obscène.
Ahmed s'empare du gros plug et vient se placer à côté de son pote. Là, sans s'occuper de la pauvre femme, il lui soulève les jambes, lui écartes les fesses d'une main sûre, puis applique l'extrémité de l'engin contre la rosette. Se tournant vers son ami, il lui lance :
- Fais nous un gros plan sur son trou qui pète...
Béatrice semble ne pas se rendre compte de ce qui l'attend, effectivement elle n'a pas vu l'énorme plug, mais elle sent tout de même qu'un objet va lui être introduit dans le rectum. Reprenant légèrement conscience de ce qu'elle est en train de vivre, elle retire ses doigts et tente de se redresser un peu plus pour voir ce qui se passe exactement.
Bloquant le corps de la femme de son bras droit en lui appuyant sur le hauts des cuisses retournées, Ahmed, qui vient de prendre la base du plug de sa main gauche, pousse de toutes ses forces pour faire entrer le jouet de caoutchouc dans l'étroit boyau. En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus. Un cri d'effroi remplit la pièce, la pauvre femme vient de ressentir une énorme brûlure au passage du plug, et, à nouveau, elle a cette sensation de déchirement. Dès que le gros de la douleur est passée, elle s'affale sur la table dans un bruit sourd.
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant ! S'écrit le sinistre Ahmed avec un sourire mauvais au coin des lèvres.
La blonde se met à pleurer à chaudes larmes, la douleur vient de la ramener à la réalité de façon très brutale. Maintenant non seulement elle a très mal au cul, mais en plus, elle commence à se demander pourquoi elle est ici, allongée sur la table, avec ces mecs vicieux qui l'humilient.
Quelques rires gras et des paroles en arabe sont très vite échangés. Ahmed, très pervers, relâche l'étreinte sur les cuisses, puis attrape les bras de la femme, la tire à lui pour la mettre debout, tout en ordonnant encore :
- Marche un peu dans la pièce qu'on voit comment tu t'en tires.
- Non, je ne veux...
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
- Mais vous n'avez...
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute...
Sentant que l'homme n'a pas vraiment envie de plaisanter, elle se laisse aider et se retrouve debout devant la table. Là, elle sent que l'homme fait glisser sa robe vers le bas. Puis, une grande claque sur la fesse droite lui donne l'élan de départ, et elle commence, à pas menus, à se rendre vers le canapé où elle espère bien pouvoir s'asseoir. Ahmed n'a pas dit son dernier mot, il attend que la blonde soit prêt du canapé, là il l'apostrophe à nouveau :
- Reviens ici maintenant vieille chienne.
Tout en se demandant comment elle va pouvoir se sortir de ce guêpier, la femme obéit et revient vers la table. Elle marche doucement, le plug lui faisant un mal de chien à chaque pas, de plus, elle n'est pas vraiment pressée non plus de voir la suite des événements, car elle commence à comprendre, que si elle n'obéit pas au doigt et à l’œil à ces quatre hommes, elle risque de le payer chèrement. L'homme tire une chaise en arrière, la désigne du menton et ajoute :
- Viens t'asseoir ici...
C'est avec une précaution extrême que Béatrice s'assoit sur la chaise. Le gros plug la contraint à rester la plus droite possible, mais même en restant telle un "i", elle souffre le martyre. Encore quelques mots en arabes qui sont échangés sans que la pauvre femme ne puisse rien comprendre. Puis l'homme l'interroge à nouveau :
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe ma pute...
- Mais...
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout.
Béatrice se retrouve avec un stylo et une feuille de papier sous les yeux avant qu'elle n'est pu comprendre ce qui allait se passer.
- Voilà, tu nous laisses ton numéro qu'on puisse t'appeler quand on aura envie de se vider les couilles.
- J'm'en souviens plus...
- Attention! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue pauvre conne...
Sentant que les menaces sont de plus en plus précises, et ne voulant pas se faire découper en petits morceaux par ces hommes, elle note finalement son numéro sur le papier. Ahmed se penche par-dessus son épaule, donne quelques indication à Aziz en arabe, et celui-ci décroche le combiné pour faire le numéro. Après quelques sonneries d'attente, l'homme fait un signe de tête prouvant que le numéro est bon. il vient de tomber sur le répondeur.
- Bien, une vieille bourge comme toi ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi.
Cette fois la pauvre blonde ne cherche pas à se rebiffer et note directement le deuxième numéro.
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter également ton adresse exacte.
Sachant qu'avec le numéro de téléphone les sales types pourront toujours retrouver son adresse, une fois encore, sans lever le nez, elle note ses coordonnées.
- Parfait ! Nous on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
- Mais ? s'étonne la pauvre blonde en se demandant quand ces salauds vont enfin la laisser tranquille.
- Dans le bar du meuble, allez, magne toi le cul !
A nouveau des phrases en arabes sont échangées, et les quatre hommes, goguenards, se rendent tranquillement dans le canapé. Seul Ahmed s'assoit dans le fauteuil. Béatrice vient servir ses persécuteurs pendant que Ahmed discute aimablement, semble t il, avec ses amis. Frissonnant dans l'atmosphère qui se rafraîchit un peu, elle en profite pour demander :
- Je peux avoir ma robe ?
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
- Mais ! S'offusque la blonde qui estime qu'il est grand temps de mettre un terme à ce petit jeu pervers.
- J'ai dit non connasse !
L'homme en profite pour lui donner une grande claque sonore sur la fesse à sa portée, puis il ordonne encore :
- Mets toi à genoux devant moi salope.
Avec la peur au ventre, elle s'agenouille devant ce monstre d'homme qui lui a fait perdre la tête en début de soirée. Évitant de croiser son regard, elle fixe le sol sous elle. Ahmed demande à ses acolytes qu'on lui passe la bouteille de whisky, puis, quand il la tient, il attrape à nouveau le menton de la pauvre femme, et porte le goulot de la bouteille à ses lèvres pour la faire boire. Surprise, la blonde, après un petit temps d'arrêt, se laisse faire et boit de grandes gorgées d'alcool en espérant que le breuvage puisse lui faire oublier et sa douleur rectale, et l'humiliation qu'elle subit en ce moment même.
- Bois pétasse, comme ça, quand on te lâchera devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote...
Les larmes montent immédiatement aux yeux de Béatrice qui s'imagine déjà descendre de la voiture sous les regards de tous ses voisins, et la honte qu'elle aura à traverser son jardin pour aller à la porte d'entrée.
Repoussant si violemment la pauvre femme qu'elle se retrouve sur le cul par terre, ce qui a pour effet de raviver instantanément la douleur rectale que l'alcool avait quelque peu apaisée, Ahmed, d'un ton de plus en plus mauvais, ordonne encore :
- Va chercher les capotes qui traînent sur la table, vieille pute.
La blonde a un mal fou à se relever. De plus, pas un de ces quatre monstres ne lui prêterait assistance, bien au contraire, ils la regardent en rigolant. Une fois debout, voulant éviter toutes sources de conflit ou d'humiliation, elle va chercher les trois préservatifs posés sur la table pas loin d'où elle était allongée quelques minutes plus tôt. Elle s'en empare, et les ramène à Ahmed, toujours les yeux fixés sur le sol.
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirée...
- Non ! S'écrit la pauvre femme.
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari !
- Pitié...
- Pas de pitié pour les vieilles putes qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi tu trinques, compris ?
- Oui...
Et Béatrice baisse à nouveau les yeux en priant secrètement que son martyre finisse au plus tôt.
Un bon quart d'heure s'écoule, les hommes discutent en arabe et ne s'occupent plus du tout de la pauvre femme qui reste debout devant eux, comme si elle faisait déjà partie du décor. Malheureusement pour la blonde, tout l'alcool qu'elle a ingurgité durant la soirée demande à ressortir, commençant un danser d'une jambe sur l'autre pour attirer l'attention sur elle, et ne voyant aucun résultat, elle finit par demander le plus poliment du monde, d'une voix bizarre dûe aux trois préservatifs qu'elle a toujours en bouche :
- Excusez moi, pourriez vous me dire où se trouve les toilettes ?
- Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser une pute comme toi saloper mes toilettes non !
- Oui mais j'ai très envie...
- Pisse devant nous, tu nettoieras après...
Et Ahmed reprend sa conversation en arabe comme si de rien n'était.
A suivre...
Les choses s’enveniment, comment va réagir le mari en la voyant rentrer nue? Il me tarde de lire la suite de ces aventures…
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