dimanche 17 septembre 2023

Le cauchemar de Christine Ch.02

Traduction d'un texte de PAS par Coulybaca.

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La vengeance se développe.

Christine fit de son mieux pour éviter Charlie le lendemain. Sa façon de la toiser lorsqu'ils se croisaient la faisait rougir de honte. Elle espérait qu'il se tiendrait tranquille maintenant qu'elle lui avait fait la pipe qu'il avait réclamée.

Elle aurait aimé que son petit ami soit de retour mais il était interne dans un lycée et ne rentrerait pas avant vendredi soir. Et on n'était que mercredi. Au moins elle ne serait pas là jeudi, elle avait pris un jour de congé au cas où elle devrait aller témoigner au procès de Léo.

Mais elle avait appris qu'il avait accepté de transiger acceptant de payer une forte amende, mais sans peine de prison. Aussi pourrait-elle faire ce qu'elle voulait ce jeudi.

Ayant évité de rencontrer Charlie pendant toute la journée, elle se sentit soulagée en voyant la journée tirer à sa fin, encore une heure et demi et c'en serait fini. Une heure avant la fermeture, Charlie s'approcha d'elle :

- "Christine ! J'ai encore une autre cassette que tu ferais mieux de venir voir !"

Son cœur s'affola. De peur des représailles si elle refusait de le suivre, elle l'accompagna jusqu'à la section télé. Il n'y avait pas de clients, et il attira son attention sur une petite caméra digitale avec un petit écran affichant les images. Lorsqu'il pressa le bouton "lecture", Christine avala sa salive, c'était elle sur l'écran, en train de lui faire une pipe.

- "Sale bâtard !" l'insulta-t-elle furieuse.

Charlie sortit la cassette de la caméra.

- "Ce n'est qu'une copie... De plus j'ai une copie de celle que je t'ai donné hier soir..."

Christine s'était figée, muette de peur.

- "Du calme... " lui dit-il alors.

- "Je veux juste encore un peu plus de gâteries !"

- "Il n'en pas question... je refuse ce chantage..." s'insurgea-t-elle énergiquement.

- "Pas de problème..." ricana Charlie.

- "Je vais juste me contenter d'envoyer une copie de ces cassettes à ton petit ami ! Ainsi qu'au directeur du magasin... Et tu te fous de savoir que je vais en mettre plusieurs en circulation en ville, n'est ce pas ?"

Sur ces mots il tourna les talons. Christine était terrifiée par ses menaces. L'humiliation de savoir que tout le monde pourrait la voir faire une pipe à ce salopard, lui léchant le trou du cul et les couilles, tout en le branlant l'horrifiait. Mais ce qui la tracassait encore plus, c'était qu'il détenait la preuve qu'elle dérobait du matériel du magasin.

Christine avait sauté sur l'occasion de dénoncer Barry et Léo pour une raison bien simple, cela lui permettait de couvrir ses vols personnels. De temps à autre elle dérobait quelques articles de valeur, souvent des marchandises qu'elle pouvait facilement écouler. En fait cette dénonciation lui procurait une sorte de sécurité, les choses qui s'avéreraient disparues lors du prochain inventaire seraient considérées comme dérobées par Barry et Léo, c'était l'explication la plus évidente, celle qui s'imposerait. Mais il en serait tout autrement si le directeur venait à connaître cette foutue cassette, l'idée qu'elle risquait gros s'imposait en elle.

- "Attends..." l'appella-t-elle brusquement.

Charlie se retourna. Christine voyait une énorme bosse déformer le devant de son pantalon. Elle connaissait déjà la réponse à sa question suivante, mais elle la posa tout de même :

- "Que veux-tu de moi ?"

- "Je veux que tu viennes chez moi passer la nuit en ma compagnie ! Et que tu me laisses faire tout ce que je voudrai faire avec toi !"

La bouche de Christine s'assécha soudainement. Elle aurait voulu le gifler, mais elle était bien trop désespérée pour ce faire.

- "C'est d'accord..." souffla-t-elle effondrée.

Puis elle retourna à ses tâches, évoluant dans un nuage jusqu'à l'heure de la fermeture. Elle se souvint alors qu'elle devait appeler son petit ami, elle pouvait le faire cette nuit, mais il se demanderait pourquoi elle ne l'avait pas appelée à l'heure habituelle.

Aussi se dirigea-t-elle vers l'arrière bureau. A sa grande surprise Charlie lui emboîta le pas. Le couple pénétra dans le bureau, Charlie ferma la porte à clef dans leur dos. Elle fit le numéro de son petit ami, elle lui dit être seule dans le bureau. 

Comme de bien entendu il voulut avoir une conversation sexuée. Christine chercha à le dissuader, mais Charlie lui fit signe d'y aller franco. Rouge de la tête aux pieds, elle glissa sa main dans son caleçon. Charlie lui fit signe de se dévêtir, de peur de le mettre en colère, elle obéit docilement. Il ne fut vraiment satisfait que lorsqu'elle fut assise entièrement nue sur le bureau. Ses gros nichons bien fermes se balançaient mollement au gré des mouvements de son buste, ses mamelons dardaient. Elle continuait à se prétendre seule alors qu'il se mettait à lui triturer le clito, écoutant son petit ami lui parler d'une voix de plus en plus saccadée trahissant ce qu'il se faisait.

Charlie enleva son pantalon et se mit à se branler yeux rivés sur Christine qui se masturbait allégrement. Elle était fascinée par la grosse bite de Charlie. Puis Charlie s'approcha d'elle et s'agenouilla à ses pieds.

Elle aurait voulu le repousser alors qu'il enfouissait son visage dans sa chatte velue, mais elle ne pouvait pas protester sans révéler sa présence à son petit ami, elle se mit à haleter alors qu'il entreprenait de léchouiller son clito, il ne fallut pas longtemps pour qu'elle jouisse. 

Son petit ami aussi fut terrassé par un orgasme en entendant ses gémissements de plaisir.

Charlie se releva et se mit à jouer avec ses tétons alors qu'elle bavardait de plus en plus difficilement avec son petit ami. Dès qu'elle eut raccroché il se marra :

- "Il semblerait que je sois le seul de nous trois à ne pas avoir encore joui !"

Christine était prête à s'allonger sur lui, elle pensait que c'était ce qu'il escomptait. Mais, Charlie lui intima de s'allonger au sol, sur le dos.

- "J'ai toujours eu envie de me faire faire une cravate de notaire, mais je n'ai jamais rencontré de filles ayant d'assez grosses mamelles !" lui dit-il avec un large sourire.

- "Il semblerait que tes nibards soient assez gros pour ça !"

Christine s'allongea au sol, il enfourcha son buste. Il plaça sa bite dans la douce vallée séparant ses deux gros globes charnus et les resserra sur sa hampe enfouissant sa mentule entre eux. Puis il se mit à coulisser dans l'étroit fourreau.

Christine avait déjà pratiqué ce genre d'exercice, mais elle trouvait cela plus dégradant que plaisant, et de ce fait évitait au maximum de le faire. Mais elle savait qu'elle ne pouvait rien refuser à Charlie sous peine de représailles.

Elle regardait sa bite coulisser entre ses deux melons qui l'enserraient étroitement attendant le moment inévitable où il cracherait son foutre dans son cou et sur son menton.

Lorsqu'elle voulut se détourner, Charlie lui intima de continuer à le regarder faire, de peur de lui déplaire, elle s'exécuta prestement. Charlie serrait ses nibards l'un contre l'autre, il ignora ses plaintes lorsqu'il lui fit mal en exerçant une pression trop forte.

C'était une chose dont il avait envie depuis longtemps, il observait depuis longtemps l'opulente poitrine de Christine lorsqu'il la croisait dans le magasin, se demandant ce que cela pouvait bien faire de fourrer sa bite entre ses globes mammaires. Et voilà que son fantasme prenait corps, et la nuit était loin de se terminer.

Christine vit des gouttes de pré-sperme perler au méat de la bite de Charlie ce qui la fit supposer qu'il ne tarderait plus à éjaculer. Elle le maudit silencieusement alors qu'il lui tordait douloureusement les seins, les serrant encore plus étroitement su sa hampe alors qu'il coulissait de plus en pus vite.

Une première giclée de sperme jaillit de son méat s'écrasant sur son menton, plusieurs jets suivirent lui poissant le cou alors que la force de son orgasme déclinait. Il continua à coulisser entres ses nibards longtemps après qu'il eut fini d'éjaculer, puis se redressant il lui intima :

- "Nettoie moi la bite..." tout en la pressant contre ses lèvres.

Elle ouvrit la bouche et lui suça sa grosse mentule jusqu'au moment où il l'estima propre et l'extirpa de sa bouche asservie, impatiente de se libérer pour s'essuyer les yeux inondés de foutre qui lui brûlaient les yeux.

- "Hmm... Que c'était bon..." souffla-t-il ravi.

- "Et maintenant partons ! Je t'emmène dans un endroit ou on pourra vraiment avoir du bon temps !"

A suivre...

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