Traduction d'un texte de PAS par Coulybaca.
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La vengeance d'un employé renvoyé sur dénonciation.
Christine travaillait dans l'importante section DVD/Vidéo depuis assez longtemps pour accéder à un statut d'aînée. Pour une jeune fille qui n'allait plus au lycée, ce n'était pas une mauvaise affaire.
La jolie rouquine jeta un coup d'œil circulaire, elle adorait voir les hommes qu'elle croisait fascinés par ses gros nibards qui dansaient au rythme de ses pas. Ses lunettes la vieillissaient d'une paire d'années d'autant plus quand elle se faisait une queue de cheval de sa longue tignasse rousse, elle était un peu enrobée, quelques kilos de trop, mais pas assez pour empâter sa silhouette.
Charlie travaillait dans la section caméra du même magasin. Son meilleur ami, Barry venait de se faire virer : Christine l'avait pris à laisser un de ses copains dérober quelques CD.
Les deux amis avaient pensé que Christine se contenterait de ramener la marchandise dans le rayon et ne le dénoncerait pas. Mais, en fait, elle en informa le chef de rayon qui avait viré Barry et porté plainte contre son ami Léo.
Charlie n'avait pas été inquiété, même si l'on pouvait supposer qu'il était au courant des mauvaises actions de Barry, et comme Barry ne l'avait pas mis en cause, personne ne l'avait impliqué dans l'affaire. Son plus grand désir était de venger ses amis.
En fait, Charlie était certain que Christine n'était pas indemne de tout reproche et qu'elle dérobait certains articles qui lui plaisaient, il la surveillait étroitement pour la prendre la main dans le sac.
Christine s'enfermait fréquemment dans l'arrière bureau, pour y passer de nombreux coups de fils personnels. Elle profitait du fait qu'elle était la seule fille autorisée à utiliser l'arrière bureau en tant que vestiaire pour enfiler son uniforme bleu. Christine avait ainsi l'occasion de se cacher des autres employés qui vaquaient à leurs occupations.
Charlie était persuadé que Christine dissimulait parfois des articles dans l'arrière bureau pour les reprendre à la fermeture lorsqu'elle se changeait. Aussi, comme il maîtrisait parfaitement l'utilisation des caméras, il en dissimula une dans l'arrière bureau, dans un endroit indécelable.
Plus tard, avant la fermeture il retourna dans l'arrière bureau et appuya sur le bouton "enregistrement".
Quelques instants plus tard, Christine s'enfermait dans l'arrière bureau pendant une vingtaine de minutes pour changer de tenue.
Tout le monde parti, Charlie qui s'était attardé, retourna dans l'arrière bureau et prit la cassette, rangeant prestement la cassette enregistrée dans une grande poche de son pantalon, puis il ramena la caméra dans son rayon.
En rentrant chez lui, Charlie visionna tout de suite la cassette, elle était bien plus compromettante qu'il l'espérait. Il passa immédiatement un coup de fil à Barry et Léon les invitant à le rejoindre rapidement. Lorsqu'il leur passa la cassette, les mâchoires leur en tombèrent. Ils virent d'abord Christine entrer dans le bureau, avec ce qui paraissait être trois lecteurs MP3 qu'elle rangea dans son sac. Cela suffisait pour la faire virer, Barry et Léo se désintéressèrent alors de la cassette, mais Charlie leur dit d'attendre la suite.
Elle empoigna le téléphone et appela quelqu'un alors qu'elle enlevait son corsage. Les trois hommes écarquillèrent les yeux à la vue de ses gros nibards que nul soutien-gorge ne soutenait. A leur grande déception, elle enfila un autre corsage dérobant ses nichons à leurs regards envieux. D'après ce qu'ils entendirent, elle discutait avec son petit ami, à leur grand plaisir, elle déboutonna son pantalon et glissa sa main droite à l'intérieur.
Quelques secondes plus tard elle enlevait caleçon et petite culotte et, assise sur le bureau, sa caméra en plein champ de la caméra, elle de doigtait profondément tout en continuant sa conversation téléphonique. Cela dura quelques minutes le temps qu'un brûlant orgasme la foudroya.
La cassette terminée, ils restèrent tous trois assommés sur leurs chaises, bandant comme des ânes.
- C'est bien mieux que si tu l'avais uniquement filmée en train de voler.
Charlie acquiesça d'un signe de tête.
- Bordel, on peut faire des copies de cette cassette et les diffuser largement ! Non seulement elle perdra son boulot, mais elle devra affronter le fait que désormais tout le monde pourra la voir se gamahucher allègrement...
Barry secoua la tête et risqua :
- Ne pensez-vous pas qu'il y a bien mieux à faire !
- Que veux tu dire ? l'interrogea Charlie curieux de connaître son idée.
Barry se frotta les couilles machinalement.
- Bordel les gars... On peut se servir de cette cassette pour la faire chanter ! On peut l'obliger à devenir notre jouet, notre petite pute personnelle. Ce serait bien mieux que de lui faire perdre son boulot et révéler à tous quelle salope elle est !
Sur ces mots, Barry dévoila son plan.
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Le lendemain matin, Charlie dit à Christine qu'il fallait qu'il lui parle. Elle hésitait pensant que c'était suite à ses révélations concernant les méfaits de Barry et Léo. Tout au moins jusqu'au moment où il lui révéla que quelque chose d'important c'était passé la veille dans le magasin. Ne sachant pas de quoi il s'agissait, elle accepta de discuter avec lui une fois le travail terminé.
Plus tard, alors que tout le monde était parti, Charlie lui demanda de le rejoindre à la salle de pointage, lui disant qu'ils ne risquaient pas de se faire surprendre dans cette pièce. Une fois dans la petite pièce Christine l'interrogea :
- Que veux-tu Charlie ? De quoi veux-tu me parler ?
Charlie se dirigea vers le petit poste de télé meublant la salle de repos, Christine nota qu'il avait une cassette en main.
- Je pense que tu serras bien contente de voir ceci ! se marra-t-il en enfonçant la cassette dans le magnétophone.
Puis il appuya sur le bouton "lecture", Christine regardait attentivement apparaître les images du bureau vide. Son cœur manqua un battement en se voyant entrer dans la salle trois lecteurs MP3 en main.
- Eh merde s'exclama-t-elle grossièrement...
- C'est le bon mot... répliqua Charlie hilare. Mais continue à regarder, le spectacle n'est pas terminé !
Son visage devint écarlate lorsque la scène de masturbation commença. Elle réfrénait ses larmes alors que Charlie lui faisait regarder la cassette jusqu'à l'instant ou elle avait follement joui.
- Qu'as tu l'intention de faire de ça ? s'enquit-elle effondrée.
- Je ne sais pas encore... répliqua Charlie sarcastiquement.
- Je pense que tu serais virée pour vol si le patron la voyait... Et pour t'être masturbée pendant les heures de service !
- Est-ce que tu me donnerais cette cassette si je ne témoignais pas contre Léo ? lui demanda-t-elle cherchant à reprendre les rênes.
- Maudit soit ce con de Léo... s'esclaffa-t-il.
- Il s'est foutu lui même dans la merde !
- Je vais te proposer un marché bien meilleur ! Si tu me suces la queue tout de suite, je te donne la cassette !
- Tu n'es pas sérieux ? s'exclama-t-elle incrédule.
- Ou tu me suces, ou tout le monde verra ta performance !
Christine était mortifiée, Charlie ne lui plaisait pas, ce garçon de 18 ans, efflanqué, boutonneux qui semblait plus jeune de deux ans n'avait rien pour plaire. De plus il était certainement puceau, et voila qu'il la faisait chanter, exigeant une pipe en échange de cette maudite cassette.
- Qu'attends-tu ? questionna-t-il impatient.
- Tu me fais une rapide petite gâterie, ou je mets ces images où on te voit nettement te doigter sur le web ! En prime tu perds ton boulot !
Christine ne savait que faire, elle n'était plus vierge, ces trois dernières années elle avait couché avec trois hommes différents, et elle aimait sucer son petit ami. Elle se dit en son fort intérieur qu'elle n'avait qu'à fermer les yeux en pensant à son petit ami, ça ne serait juste qu'un mauvais moment à passer. Il fallait qu'elle récupère cette cassette avant qu'il ne la montre à Barry et à Léo.
- C'est d'accord. l'avisa-t-elle d'une voix rauque.
Charlie, adossé à la table, lui fit signe de s'approcher de lui. Il prit la liberté de lui palper ses gros nibards alors qu'elle se tenait devant lui sans défense.
- Dégrafe ma braguette. lui ordonna-t-il.
Christine desserra sa ceinture, puis déboutonna son pantalon qui tomba au sol. Elle voyait nettement la grosse bosse déformant son slip.
- Baisse-le !
Christine plaça ses mains de chaque coté de sa taille et roula son sous-vêtement sur ses cuisses jusqu'aux genoux. Elle était juste au niveau de ses 19 cm de bite.
- Lèche moi les couilles ! lui ordonna Charlie impatient.
Christine ne s'attendait pas à cela, elle hésita quelques instants puis se mit à lui lécher les burnes alors que Charlie se penchait en arrière ravi de sentir sa langue se promener sur ses couilles velues. Après quelques minutes, il se redressa dos à la table et s'appuya plus en arrière, cambrant le ventre.
- Lèche moi le trou du cul !
- Salaud, enculé... protesta Christine révulsée par cette demande.
- Rappelle toi notre marché ! la menaça-t-il durement.
- Non, je t'en prie, pas ça... C'est trop sale !
- Je t'ai dit de me lécher le trou du cul ! insista-t-il menaçant.
Christine était secouée de nausées alors qu'elle suivait de la langue sa raie culière pour aboutir à son œillet malodorant qu'elle entreprit de titiller malgré son dégoût. Charlie gémit de plaisir. Puis semblant fatigué de l'humilier il se remit dans sa position initiale.
- Fais moi une pipe maintenant !
Christine prit sa bite en bouche soulagée d'en finir avec ses caresses malsaines. Elle ferma ses oreilles aux commentaires grossiers de Charlie alors qu'elle travaillait sa bite d'une bouche experte, cherchant à le faire gicler le plus vite possible.
Charlie gémissait de plus en plus fort, il sentait ses couilles se remplir alors que l'orgasme approchait.
Christine savait qu'il était sur le point de jouir. Elle saisit sa hampe et le branla tout en le suçant sachant que cette manœuvre hâterait encore son éjaculation, elle voulait en finir rapidement.
Charlie se raidit sur ses hanches et poussa son ventre en avant en sentant le foutre jaillir à gros bouillons dans sa bouche asservie. Il projeta plusieurs giclées crémeuses au fin fond de sa gorge puis lui repoussa la tête, empoignant sa bite de la main gauche il projeta ses une paire de jets sur son visage. La première giclée atteignit ses lunettes et s'écoula lentement sur sa joue, la seconde poissa ses narines et courut vers ses lèvres, puis il se remit en bouche et elle continua à le sucer alors qu'il s'amollissait entre ses lèvres.
Christine sentait le foutre s'écouler lentement sur son visage, elle ne pouvait rien y faire pour l'instant, la semence couvrant son verre droit de lunette gênait sa vue. Mais elle continua à le travailler jusqu'à la fin. Elle le repoussa et enleva ses lunettes, s'essuyant d'un revers de la main avant de nettoyer ses lunettes sur son corsage.
- Donne moi la cassette maintenant ! réclama-t-elle sa part de marché accomplie.
Charlie ne faisait pas un geste pour se rhabiller. Il se tenait devant elle sa bite flasque pendouillant entre ses cuisses. Une dernière goutte de sperme pendait sur son gland, il tendit la main et pressa le bouton "eject" sur la camera, sortit la cassette et la lui tendit.
- Tiens la voila, comme promis ! rit-il à gorge déployée.
Christine empoigna la cassette et se redressa se dirigeant vers la porte.
- Ne te vante de cela auprès de personne, tu t'en mordrais les doigts ! lui dit-elle en s'enfuyant.
Charlie reprenait lentement sa respiration, avant de remonter son slip et son pantalon. Puis il gagna un fauteuil le long du mur et enleva le cache qui dissimulait la seconde caméra, il pressa le bouton d'arrêt et éjecta la cassette, puis il la mit dans le magnétoscope retourna en arrière quelques instants et appuya sur la touche "lecture".
L'image de Christine, du foutre s'écoulant sur ses joues alors qu'elle terminait sa pipe, était claire et nette, l'angle était parfait, on l'identifiait parfaitement. Une fois qu'il sut que l'enregistrement était impeccable, il éjecta la cassette et la rangea dans sa poche. Il riait à l'idée que Christine pensait détenir l'unique copie de sa performance de la veille au soir.
A suivre...
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