Changements de vie pour Jessica Ch.01

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Le jeune nettoyeur de piscine.

Je pousse un profond soupir en m'allongeant finalement sur une chaise longue dans mon jardin. Nous sommes vendredi après-midi et la semaine passée a été particulièrement stressante. Ce n'est seulement qu'aujourd’hui que j'ai l'occasion de me détendre. Cette journée d’été, chaude et ensoleillée, est idéale pour le faire.

Mais je pense que je dois me présenter tout d'abord. Je m'appelle Jessica ADDAMS, j'ai 32 ans et je travaille pour un cabinet de consultant. Il s’agit d'une petite entreprise locale plutôt qu'une grosse entreprise mondiale. Elle est composée de deux départements et dirigée par un PDG. Je suis responsable du département de gestion et je suis principalement impliquée dans les projets de consultation en gestion.

En un mot, je suis toujours débordée par ce travail stressant. Mais d'un autre côté, j'ai une position importante dans une entreprise à prédominance masculine. Je dirige une équipe de dix employés. C'est pas mal pour une femme de 32 ans non ? Cependant, le succès a des inconvénients.

Il y a un mois, j'ai été abandonnée par mon petit ami après une relation de quatre ans. Ce fut une rupture assez difficile. Il avait l'impression de ne pas recevoir assez d'attention de ma part, étant trop occupée par mon travail.

Mais qu'a-t-il fait à ce sujet ? Au lieu de m'en parler, il a commencé une liaison avec une femme plus jeune. Et après m'avoir trompé plusieurs mois, il a eu enfin le courage de me dire qu'il était tombé amoureux d'une autre fille. Ce fut la fin de notre relation.

Et ce fut tout après quatre années de vie commune. Je ne l'ai pas vu venir. Je suppose que j’étais trop occupée dans mes dossiers professionnels. Tout d'un coup, j’ai dû faire mes valises, rechercher une nouvelle maison et dire au revoir à mon ancienne vie. Et ceci tout en continuant d'assurer le suivi de mes dossiers au travail.

Et donc me voici, célibataire, dans une nouvelle maison, avec un peu de temps libre. Allongée au soleil, un cocktail bien frais à côté, j'ai le temps de réfléchir à ma rupture. Les premières semaines, j’avais été furieuse. J'avais été bouleversée et en colère de la façon dont les choses s’étaient passées. Et tout ce que je voulais c’était de déverser ma rage sur mon ex.

Mais plutôt que faire cela, j'avais dissipé ma colère d'une façon différente. Pour la première fois depuis des années, je n'avais pas passé mes week-ends à travailler. Au lieu de ça, j'avais renoué avec de vieilles copines et nous étions sortis en boîte. Il avait été plus simple de m'amuser plutôt que de ruminer le passé. D'une certaine manière, cet état d'esprit m'avait libérée. Et chaque week-end, j’étais rentrée chez moi avec un homme différent.

Du coup, je me sentais plus vivante. J'avais des rapports sexuels sans conséquences et sans conditions, juste un amusement, rien de plus, rien de moins. C’était tout ce que je voulais pour le moment. Et les séances de sexe étaient géniales, sans amour tendre mais des baises passionnées.

J'avais l'impression d'avoir beaucoup de retard à rattraper. Pour être honnête, ma vie sexuelle avec mon ancien petit ami n'avait rien eu de folichon. C’était loin d’être passionné. Bien au contraire nous étions tombés dans la routine. Mais maintenant, c’était fini. C’était le moment pour moi de vivre mes fantasmes.

Ce n'est pas seulement le sexe que j’appréciais lors de ces week-ends. Mais j'aimais le flirt des hommes et le sentiment d’être le centre de l'attention. Le fait que tout le monde me regarde m'excitait. Je pense que j'ai un côté un peu exhibitionniste.

Pendant ma relation avec mon ex, j'avais complètement oublié à quel point j'avais été fêtarde à l’Université. Mais mon travail et cette relation sérieuse m'avaient calmée. Aujourd’hui je suis célibataire et ces week-ends m'aide à dissiper le stress de ma vie et surtout celui de mon travail.

Je ne suis plus une jeune étudiante, mais je n'ai pas perdu mon physique. On dit que je suis éclatante avec mon sourire radieux, mes longs cheveux châtains et mes yeux bleus étincelants. Le reste de mon corps n'est pas mal non plus. Je pense avoir les formes adéquates. Je mesure 1m65. Cette petite taille rend ma poitrine 95C et mon cul bien rond encore plus impressionnants.

Mes pensées sur ma relation passée avec mon ex sont interrompues par un coup frappé sur la porte du jardin. Je n’attendais aucune visite, mais je suis reconnaissante de pouvoir sortir de ces pensées déprimantes. Quand j'ouvre la porte, je me retrouve en face d'un jeune latino qui doit avoir à peine 20 ans. Il me fait un grand sourire en me saluant.

C'est alors que je me rends compte que je suis debout devant lui en maillot de bain. Comme je n'attendais personne, je ne m’étais pas habillée. Mon maillot de bain n'est qu'un petit string rouge et un haut très fin que je ne porte que pour bronzer. Il ne couvre que le strict nécessaire. Il me semble un peu inapproprié de saluer un inconnu dans cette tenue. Mais bon, je suis quand même chez moi.

Le jeune homme musclé ne semble pas s’en soucier non plus. Immédiatement son regard se pose sur ma poitrine et je sens son excitation. Ça me donne la confirmation que je sais toujours comment faire pour qu’un homme m’admire.

- Bonsoir Mademoiselle ADDAMS, je m’appelle Daniel RODRIGUEZ. J’étais l’employé qui entretenait la piscine pour les SMITH.

- Bonjour Daniel.

Je le salue, bien que je sois un peu déconcertée par son apparition soudaine.

- Oh… Personne ne m’appelle Daniel Mademoiselle. Tout le monde me dit Dan.

Il répond avec un sourire éclatant. Il ajoute :

- Je me demandais, maintenant que les SMITH sont partis, si vous n’auriez pas besoin vous aussi de quelqu’un pour entretenir la piscine.

J'observe le joli visage du jeune homme ainsi que ses bras musclés pendant qu'il parle. Je n'ai jamais pensé à l'entretien de la piscine ou du jardin auparavant. Et je n'aime pas les travaux d'entretien. Alors pourquoi pas ? De plus si celui qui le fait est aussi beau que ce garçon, je ne vais pas me plaindre. Je lui réponds alors :

- Oui bien sûr, ça serait génial. Quand pouvez-vous commencer ?

- Immédiatement si ça vous va, mademoiselle ADDAMS. Répond le jeune homme en me montrant du doigt l'équipement qui se trouve dans le coffre de son camion.

- Ça me va. Dis-je pour signifier mon accord.

Peut-être est-ce le cocktail, peut-être est-ce les soirées avec mes copines, mais je sens une poussée d'adrénaline traverser mon corps à l'idée de regarder ce garçon musclé travailler dans ma cour arrière. Je m'allonge de nouveau sur ma chaise longue et je m'offre un autre cocktail pendant qu'il récupère son équipement.

Pendant une demi-heure, Dan s'occupe de la piscine pendant que je profite du soleil et tente de lire un livre. « tente » est bien le mot car je ne lis pas beaucoup. Subrepticement, par-dessus le bord du livre, je regarde travailler le jeune homme. Il y met tout son cœur et son tee-shirt moulant est trempé de sueur. Mon Dieu, il est vraiment beau. Et je suis plus que prête pour une nouvelle aventure sexuelle.

Je suppose que mon observation n'est pas aussi discrète que je le pensais. Après un moment, le garçon enlève son tee-shirt et continue de travailler torse nu. Je peux bien voir les tatouages qui couvrent son bras musclé. Ils lui donnent un air plus viril. Ses muscles roulent sous sa peau alors qu'il s'active à nettoyer la piscine. Plusieurs fois il me surprend à admirer ses abdominaux musclés. Il me renvoie mes regards avec un sourire entendu. Bien sûr, je feins de ne rien voir.

Pourtant, je continue mon voyeurisme. CA m'excite fortement. Tous mes soucis sont oubliés, j'apprécie le moment. Inconsciemment, je commence à serrer les cuisses et je sens mon entrejambe devenir humide.

A chaque minute qui passe, je deviens de plus en plus osée. Je range mon livre et je prends mon verre. De la manière la plus séduisante possible, je ferme mes lèvres autour de la paille et je commence à suçoter le breuvage. A plusieurs reprises, mes douces lèvres rouges glissent de haut en bas de la paille en plastique.

Je sais que j'ai attiré l'attention du jeune homme. Alors je feins une maladresse en laissant la paille tomber du verre. Elle glisse le long de mes seins jusqu'à mon ventre. Je prends mon temps pour la ramasser et je la laisse glisser sur ma poitrine d'une manière très sexy.

Si mon ex-petit ami pouvait me voir, il serait mort de jalousie. Mais il ne m'avait jamais autant excitée. Pour le moment, je suis complètement d'humeur taquine. Je me rends compte, qu'en tant que femme adulte, il ne doit pas être difficile de séduire un si beau jeune homme. Cette seule pensée de flirter avec un garçon juste sorti de l'adolescence fait vibrer mon corps.

Quand il a fini le nettoyage de la piscine, j'ai l'impression de mijoter dans mon jus. Alors qu'il commence à ramener ses outils dans son camion, je me dis que c'est maintenant ou jamais. Comme si j'avais été frappée par la foudre, je saute de la chaise longue pour me précipiter dans ma cuisine. Quand Dan revient pour récupérer les outils restants, je l'attends avec un verre d'eau. Je lui dis :

- Vous avez fait un très bon travail Dan. Et vous avez été si rapide que vous devez être épuisé. Je vous ai apporté un rafraîchissement. Pourquoi ne prendriez-vous pas un verre avec moi ?

J'essaie de le garder un peu plus longtemps. En lui tendant le verre d'eau, je m'approche de lui. Mes seins touchent presque sa poitrine nue et musclée. Mes mamelons pointent clairement à travers le tissu fin de mon haut de maillot de bain. Je pense avoir clairement annoncé mon intention. Toutefois, le garçon ne réagit pas comme prévu. Il est trop bête pour comprendre ou il me fait marcher ?

Quoi qu'il en soit, je suis trop excitée maintenant et je suis allée très loin. Je dois avoir ce gars. Il faut que j'arrête les allusions subtiles. Mon envie d'aller plus loin est une surprise, même pour moi.

Je sais que mes voisins sont absents. Il n'y a personne tout autour qui peut m'espionner et voir ce qui se passe dans mon jardin. Il est vrai que je ne veux absolument pas que mes voisins découvrent mes aventures coquines. Mais là, sans personne alentour, j'ai une chance unique qu'il faut que je saisisse. Je m'écrie alors de manière exagérée :

- Fiou, il fait tellement chaud que j'ai l'impression que ma peau brûle. Mon corps aurait besoin d'être refroidi.

Je ronronne en levant mes sourcils de façon séduisante. Je me sens vicieuse. Je suis une femme adulte qui se tient à quelques centimètres d'un jeune garçon musclé et qui le drague ouvertement. Mais peu importe, je me sens si vivante.

Après mes mots, je vois une lueur s'illuminer dans les yeux du gars. Il a très bien compris mes intentions. Mais il ne réagit pas, il ne fait aucun mouvement. Il voit bien que je suis nerveuse et excitée. Merde, il joue avec moi ! Et ça ne fait que m'exciter encore plus. J'ai l'impression que ma chatte dégouline.

Finalement, avec l'air très cool, le garçon croise ses bras et me dit :

- Je peux vous aider à vous rafraîchir Mademoiselle ADDAMS. Mais la question est : que pouvez-vous m'offrir en retour ?

Ses paroles me frappent de plein fouet. Comment parle-t-il ? Son intonation est brutale, j'ai l'impression d'avoir à faire à un membre de gang. De plus, son comportement a totalement changé. Le gentil jeune homme est parti. Et planté devant moi, il ne reste qu'un macho intimidant qui ne pourrait supporter un refus.

Je ne m'attendais pas à ça. Il veut que je lui offre quelque chose ? Il a de l'audace pour un jeune. Après tout, c'est lui qui a de la chance non ? C'est lui qui a l'occasion de pouvoir baiser une femme chaude et adulte. Que veut-il de plus ?

- OOHHH… Crié-je d'étonnement avant de pouvoir lui répondre.

Le garçon me prouve que son comportement dominant n'est pas un hasard. Il utilise son verre d'une façon que je n'aurais pas imaginé. Il l'incline et répand l'eau sur ma poitrine. Il mouille mes seins et trempe le haut de mon maillot de bain rouge.

- Montre-moi ce que tu as à offrir, Miss Allumeuse ! Dit-il d'une voix ferme.

Le jeune homme prend le contrôle de la situation. C'est clairement un type qui aime dominer. C'est quelque chose de totalement nouveau pour moi. D'habitude, c'est moi qui donne les ordres. Je suis la responsable de dix employés qui m'obéissent. Mais là, maintenant, ce jeune voyou macho est sur le point de renverser la situation en me donnant des ordres.

J'ai quelques secondes d'hésitation. Mais je ne sais pas trop comment revenir en arrière. Après tout, je n'avais pas été innocente, c'était moi qui m'étais jetée sur lui. Je lui avais explicitement offert mon corps. Et maintenant il le voulait sans que j'objecte.

Je suis sur le point de protester. Nous sommes dans ma cour. Et dans ma maison c'est moi qui fixe les règles non ? Toutefois quelque chose m'empêche de me rebeller. Quelque chose m'attire chez ce voyou macho et dominant, quelque chose que je n'arrive pas tout à fait à comprendre.

- Allez Miss Allumeuse ! Dit-il impatient.

Le surnom qu'il me donne est si vicieux qu'il fait palpiter ma chatte. C'est ça, je suis tellement excitée que j'ai passé le point de non-retour. Je suis tellement dans le besoin que je ne peux m'imaginer être rejetée. A ma grande incrédulité, je suis disposée à suivre le mouvement et à laisser ce jeune homme musclé prendre les rênes. Étrangement, son comportement macho, agressif et dominant est excitant.

Je suis là, une belle et respectée femme d'affaires qui va obéir aux ordres d'un jeune voyou. Les rôles sont totalement inversés. Je frissonne du danger que ça ajoute à la situation. Comme si baiser le nettoyeur de la piscine dans mon jardin n'était pas assez vicieux. Je n'arrive pas à décrire mon enthousiasme. Pourquoi ne pas essayer quelque chose de nouveau ? Pourquoi ne pas aller plus loin ? Après tout c'est ce que je recherchais avec mes aventures sexuelles. Mon Dieu, je le voulais.

Tandis que mon esprit est occupé à trier toutes mes pensées sur cette situation, mon corps réagit tout seul. Me faire appeler « Miss Allumeuse » et être traitée comme une fille facile avaient déclenché un feu en moi. Ma chatte était brûlante. Mes hanches ont commencé à se balancer d'un côté sur l'autre, dansant sur un rythme imaginaire. Je passe ma main sur la bordure de mon haut de maillot de bain rouge. Puis j’attrape les petits triangles fragiles qui couvrent mes seins et je les tire sur les côtés. Je suis devant un jeune de 20 ans qui vient de nettoyer ma piscine et je lui montre mes seins.

Mais je ne peux pas reculer. Je fais de mon mieux pour danser de la façon la plus sexy pour ce jeune. Je balance mes hanches, secoue mon cul et remue mes seins pour le plus grand plaisir de ses yeux. Pendant ce temps, le garçon ne reste pas passif. Il rempli son verre avec l’eau de la piscine et éclabousse une deuxième fois mes seins exposés.

- Ouhhhhhh. Crié-je quand le liquide froid frappe la chair sensible de ma poitrine.

L’eau froide me fait frissonner au début. Mais j’ai si chaud que j’ai l’impression que le liquide s’évapore instantanément sur ma peau brûlante. Les gouttes d’eau pétillent sur mes seins fermes et s’écoulent lentement. Je peux voir que la vue de mes globes de chair humides et luisants mettent l’eau à la bouche de Dan. Pour augmenter son envie, je place mes mains sur les côtés de mes nichons pour les presser ensemble. Je frotte les deux monticules mous l’un contre l’autre et je masse l’eau froide sur ma chair.

- Ouhhhhhh. Crié-je de nouveau lorsqu’il éclabousse une troisième fois mes seins en récompense de mes efforts.

Toutefois, cette fois-ci, il s’agit plus d’un gémissement que d’un cri. Continuant à presser mes seins l’un contre l’autre, mes gémissements deviennent plus forts.

- Libérez vos nichons Miss, secouez l’eau et faites rebondir vos lolos. Dit Dan.

Je me suis complètement abandonnée au moment présent, alors je n’hésite pas une seconde. Cela s’annonce comme une aventure inoubliable alors je veux en profiter au maximum. Ce voyou macho m’appelle encore « Mademoiselle » alors que clairement c’est lui qui me domine. Ce contraste saisissant donne à la situation un ensemble lubrique et excitant.  Je sens que ma chatte est vraiment humide et avide.

J’enlève mes mains de mes seins. Ils se tiennent fièrement. Je commence à bouger les épaules en faisant des mouvements circulaires, tout doucement au début, puis en accélérant peu à peu.

Mes gros seins bien ronds ont commencé à se balancer d’un côté à l’autre. Au début, ils remuent lentement comme un pendule. Mais plus mes épaules bougent, plus ils s’agitent. Enfin, ils rebondissent sans restriction dans toutes les directions. L’eau gicle de tous les côtés, certaines éclaboussant même mon visage.

Je sens tout le poids et la traction de ma poitrine qui tire ma peau. Je vois le jeune homme presque baver à cette vue fascinante. Et le picotement dans ma chatte se change en un désir irrésistible. Je n’ai jamais été aussi excitée auparavant.

Quand j’ai fini de secouer l’eau qui se trouvait sur mes seins qui rebondissaient, Dan me prend par les hanches et me retourne. Sa poigne ne me permet aucune résistance. Je suis comme une poupée de chiffon dans ses mains.

- C’est le moment de me présenter votre cul d’enfer, Miss Allumeuse. Dit Dan.

La façon dont il qualifie mes fesses avec l’expression « cul d’enfer » me fait sourire avec fierté. Alors, je n’hésite pas et je saisis mon string rouge sur les côtés. Ma culotte de maillot de bain est tellement trempée par le jus de ma chatte qu’il colle étroitement à mon entrejambe. En balançant mes hanches, je tire le petit morceau de tissu en dessous de mes fesses bien rondes. De cette façon, l’élastique pousse mon cul vers le haut, le rendant encore plus arrondi.

- Putain, ton cul est bien joli, bien rond et bien gros. Dit le garçon en versant une bonne dose de l’eau de la piscine sur mes fesses.

Je sens le liquide froid couler sur mon cul en fines traînées. Je sais ce qu’il veut sans qu’il le demande. Alors je commence à bouger mon fessier en rond. Une fois encore, je commence lentement puis j’accélère. Finalement, je secoue mon cul vigoureusement, projetant de fines gouttes d’eau dans tous les sens.

J’ai l’impression d’être une de ces filles dans les vidéos de hip-hop qui ne font qu’exciter les hommes qui les regardent. Mon exhibition audacieuse est due au comportement virile et macho de Dan. Je me sens bien loin de mon pouvoir au sein de mon travail. Mais tout le stress et les soucis liés à ma position professionnelle sont tout aussi éloignés. Je me sens incroyablement libre et vivante. Rien d’autre ne m’importe plus que d’étancher ma soif sexuelle.

En regardant par-dessus mon épaule, je vois que la langue de Dan pend presque au dehors de sa bouche à cause de son excitation. De ce fait, je ressens le besoin d’augmenter encore la vision lascive de mon cul rebondissant. Alors je change de rythme. J’arrête de balancer mes hanches et je me penche légèrement en avant. Puis je commence à faire jouer les muscles de mes fesses en les faisant monter et descendre.

- Yeah ! Bouge ton cul comme une vraie salope. Commente Dan.

Depuis un moment, il n’y a plus d’eau sur mes fesses. A présent elles brillent de sueur. Mais cette quantité de sueur n’est pas plus importante que le jus de chatte qui coule entre mes jambes. Tout mon corps brille de manière séduisante à la lumière du soleil. Je me sens tellement vicieuse, tellement vulgaire de danser dans mon propre jardin et de me donner en spectacle comme une salope pour ce jeune voyou. Mais je me sens plus sexy que jamais.

CLAC ! CLAC !

Je sens une main s’abattre sur chacune de mes fesses rebondissantes. C’est plutôt une petite claque passionné qu’une gifle. Mais ça arrête le tremblement de mon cul. Cette fessée me pique quand même la peau. Et cette douleur descend dans ma chatte et explose dans une sensation de plaisir.

- Quel cul d’enfer à fesser ! Dit dans en continuant de claquer mon cul.

Sa remarque me fait ressentir la fessée sous un jour nouveau. J’apprécie la façon dont ce macho loue mon corps. D’une certaine manière, j’ai l’impression d’avoir gagné ces claques et d’avoir travaillé dur pour les obtenir.  Je ne sais pas pourquoi mon comportement dévergondé et pitoyable m’excite tellement. Mais je ne suis pas d’humeur à y penser, je suis d’humeur à me faire bien baisée.

- Regardez ! J’ai l’impression que ce spectacle de salope a attiré les regards. On dirait que vous avez un fan. S’exclame Dan en montrant du doigt la maison des voisins.

Confuse, je me pétrifie. De quoi parle-t-il ? Ma cour arrière est séparé de celle de mes voisins par une haie haute et épaisse. Il n’est pas possible de voir dans ma cour depuis leur porche. Et puis, ils sont en vacances.

Mais en suivant le doigts du garçon avec mes yeux, je vois qu’il pointe une fenêtre du premier étage. Mes yeux s’écarquillent sous le choc. Il y a un plombier penché à la fenêtre ouverte qui nous regarde.

Je me mets à paniquer et j’essaie de cacher mes seins nus. Merde, ça n’aurait pas dû arriver ! Que fait ce plombier chez les voisins ? Comment aurais-je pu savoir qu’ils avaient fait appel à un ouvrier pour faire des réparations alors qu’ils ne sont pas là ?

Il vient de me voir nue. Il vient de me voir me déshabiller et danser pour le garçon qui nettoie ma piscine. Il va le dire à mes voisins et je vais passer pour une vraie salope dans tout le quartier. Je viens juste d’emménager ici, je ne veux pas que ma réputation soit ruinée après seulement quelques semaines.

CLAC, CLAC.

Dan vient de me mettre deux claques sur les fesses en réponse à ma tentative effrénée de me cacher. Puis il saisit fermement mes poignets et les tire dans mon dos.

- Arrêtez de faire tant de bruits Miss Allumeuse. Arrêtez de dramatiser !

Il me crie dessus et ajoute :

- C’est juste un homme qui profite du spectacle d’une salope qui s’amuse. Vous ne pouvez pas le nier non ? Laissez-le s’amuser à vous regarder, il ne dira rien à personne.

Le ton de Dan est ferme, toutefois il ne me convainc pas. Je suis sur le point de m’énerver et de libérer mes bras. Mais le garçon me prend par surprise en criant au plombier :

- Hé mec, tu aimes le show ? Elle a un beau cul pour une vieille n’est-ce pas ?

J’ai le souffle coupé. Il vient de crier à cet inconnu en disant que je suis vieille. Je me sens tellement gêné. Je me sens tellement salope. Je ne peux plus me cacher. La situation devient incontrôlable.

- Qu’est-ce que tu en penses ? Tu veux me regarder baiser cette chaude et vieille salope ? Continue Dan à l’attention de l’ouvrier.

L’homme à la fenêtre réagit en applaudissant. Évidemment il aime l’idée. En revanche, moi, je n’aime pas ça. Ses applaudissements me font rougir. Mon visage est cramoisi. J’ai vraiment honte. Le pire c’est que je suis toujours debout, légèrement penchée, mes seins nus pendant, et les bras derrière mon dos. J’ai l’impression d’être une pute prête à être utilisée.

- D’abord, tu dois me promettre quelque chose, mec !  Tu n’en parles à personne. Tu es d’accord ?

Dan fixe les règles. Une fois encore, le plombier frappe dans ses mains et il lève les pouces pour indiquer qu’il est d’accord. Pour rien au monde il va gâcher la chance de voir une chaude salope se faire baiser.

- Vous voyez, il ne dira rien à vos voisins. Votre vie privée est en sécurité ici. Me dit Dan.

Je ne suis toujours pas convaincue. Mais comment puis-argumenter ? Les faits sont là. Le plombier vient de me voir toute nue. Il en a déjà assez pour ruiner ma réputation et les chances qu’il révèle ce secret à mes voisins sont plus importantes si je refuse d’obéir à Dan. Je ne peux vraiment rien faire d’autre que de continuer.

- En plus, regardez vos tétons Miss Allumeuse, ils sont durs comme du bois. Que l’on vous regarde vous excite non ? Vous êtes un peu exhibitionniste n’est-ce pas ? Me dit le jeune garçon.

Je veux le nier. Je veux me libérer de son emprise et me précipiter chez moi. Mais je ne le fais pas. Ma volonté est trop faible. Le jeune gars a raison, même si je ne veux pas l’admettre. Toute la peau de mon corps me picote. Le fait que ce simple ouvrier me regarde jouer ce rôle de salope ajoute à mon excitation. Mon corps veut continuer cette aventure.

J’ai un peu honte de mes réactions corporelles. Mais je ne peux rien faire contre ça. Toutes ces sensations me submergent. Elles obscurcissent mon esprit et me font suivre mes besoins charnels. Alors, je reste silencieuse et je garde ma position penchée. Le nettoyeur de la piscine prend ça comme un consentement. Alors il libère mes bras. Il attrape mes épaules et me conduit vers ma chaise longue pour m’y asseoir. Quand je suis dessus, immédiatement, j’écarte les jambes. Ma chatte est en feu et veut qu’on s’occupe d’elle. Le plombier qui regarde depuis la fenêtre des voisins est presque oublié.

Sans que l’on me le demande, je saisis le bas de mon maillot de bain et je le retire complètement. Puis je m’allonge sur la chaise longue et j’écarte les cuisses pour présenter vulgairement ma chatte au regard de jeune gars.

Je pense avoir une belle petite chatte que j’entretiens et que je garde bien taillée. Mes petites lèvres sont gonflées par l’excitation, ce qui leur donne un aspect incroyablement juteux. On peut voir le rose de l’intérieur de mon sexe ainsi que l’humidité dont il est tapissé.

Je n’arrive pas à supporter les picotements qui envahissent ma chatte en manque. Alors je tends la main pour la poser sur mon clitoris. Toutefois cette action ne reçoit pas l’approbation de Dan.

- Laissez votre clito tranquille Mademoiselle Allumeuse. Tripotez-vous les seins plutôt ! Ordonne-t-il.

Sa voix me semble plus clair et plus puissante. J’ai l’impression qu’il se rend compte que j’apprécie cette inversion des rôles où je suis commandée. Donc il devient de plus en plus dominant. Je m’absorbe dans mon rôle de salope. Je veux seulement faire ce que ce macho m’ordonne. Alors j’attrape mes seins bien ronds et lourds et je commence à malaxer mes chairs tout en pinçant fort mes tétons dressés entre mes index et majeurs.

- Vous êtes une vraie salope d’allumeuse. Vous croyez que vous méritez ma bite ? Me gronde le jeune nettoyeur de piscine.

Je ne peux le croire. Un jeune de vingt ans qui vient juste de sortir de l’école qui se permet de me réprimander. C’est pourtant moi l’adulte ici ! C’est moi qui devrais donner une leçon à ce garçon. Pourtant, me voilà complètement nue, allongée sur une chaise longue, les jambes écartées, laissant un jeune homme me réprimander vulgairement. CA devrait m’énerver, mais au contraire ça m’excite encore plus.

- Oh s’il te plaît, viens bourrer cette salope. Dis-je honteuse.

Le supplier pour sa queue est tellement embarrassant. Jamais je n’ai osé dire de telle choses à qui que ce soit, et encore moins à un homme aussi jeune. Mais mon excitation avait eu raison de moi.

- S’il te plaît, donne à cette salope ce dont elle a besoin.

Mes supplications se transforment en gémissements lorsque Dan touche mon clitoris sensible. Ce contact me frappe comme un éclair et je me tortille sur la chaise longue. Mais à peine a-t-il touché mon clito, qu’il a déjà retiré sa main. Poussant mon entrejambe en avant, ma chatte essaie avidement de retenir son doigt, elle veut être pénétrer. Mais le garçon garde sa main loin de moi.

- OoooooHhhhh…

Je gémis de nouveau lorsqu’il remet son doigt sur mon clitoris. Mais encore une fois, il disparaît aussi rapidement que la fois d’avant.

- Nonnnnnnnn… Grogné-je de frustration.

Ma chatte brûle de désir et chaque brève pression sur mon clito aggrave mon état en intensifiant la chaleur. Malgré tout, je continue d’obéir à Dan et je garde mes mains sur mes seins pour les malaxer vigoureusement.

Le garçon avance son doigt à quelques centimètres de ma chatte. Automatiquement j’avance le bassin, mais j’échoue lamentablement dans ma tentative de m’embrocher dessus. Dan retire sa main à la dernière seconde.

- Loupé ! Commente ce voyou sans retenue avec des rires moqueurs.

Il commence à jouer avec mon corps. Tenant son doigt près de ma chatte, il le passe sur mes cuisses et approchent mon entrejambe maintes et maintes fois. Je me tortille de façon obscène sur le transat :

- Ooooohhh… Aaaahhhh… Ooohhh !

Je ne peux pas m’empêcher de gémir encore et encore. Ses taquineries me rendent folle.

- OOOOOHHHHHHHH !

Finalement, il se lasse du jeu et introduit vivement son index dans mon sexe dégoulinant, me faisant grogner comme un animal. Mes yeux roulent dans ma tête. J’ai l’impression que chaque nerf de mon corps est soumis à une décharge électrique. Pendant ce temps, le jeune macho ajoute lentement un deuxième puis un troisième doigt dans mon intimité humide.

- Ohhhh putain ! ohhhhhh ! ooouuiii !

Je suis là, une femme adulte gémissante de plaisir dans mon propre jardin alors qu’un plombier inconnu admire le spectacle. J’augmente la vitesse du malaxage de mes seins et je tire sur mes mamelons. Quand Dan commence à pousser ses trois doigts dans et hors de ma chatte, mes gémissements se transforment en grognements saccadés.

Je me rapproche d’un gros orgasme. Étonnamment, ma chatte n’a pas encore été touchée par une bite. Mais toutes les conditions sont là : l’humiliation de se comporter ainsi en plein jour, l’idée d’une femme mure se faisant baiser par un jeune garçon, et la honte de se faire dominer par un voyou machiste. C’est beaucoup plus puissant que n’importe quel contact physique.

- OOOOAAAARRRGGGGHHHHH !

Je hurle quand finalement la vague de plaisir éclate et m’envahit. Les vagues successives de ma jouissance traversent mon corps. Et ma chatte réagit en même temps en serrant les doigts de Dan.

A suivre…