vendredi 29 septembre 2023

Apprentie salope

 Texte de Love_in_pain

*****

Ce soir-là, Cheryl était sortie voir un ami en ville. Elle avait un faible pour lui depuis le début, depuis longtemps, cependant jamais elle n'avait pu arriver à ses fins. Cheryl l'avait rejoint dans un restaurant italien au centre. Pour l'occasion elle s'était vêtue d'une mini-jupe qui laissait entrevoir le haut de ses cuisses. Par ailleurs, elle portait des jarretelles, un string en dentelle et un haut très moulant. Elle avait hésité de mettre un soutien-gorge, mais avait préféré ne pas en mettre, pour avoir toutes ses chances. 
 
Quand elle arriva, il lui fit la bise. Il ne sut ignorer son décolleté plongeant. Elle s'assit en face de lui, les mains lissant le tissu de sa minijupe. Le serveur vint aussitôt les servir.
 
- Nero d'Avola et une carafe d'eau, s'il vous plaît, si tu es d'accord bien sûr. 

- Je te laisse choisir, les vins ce n’est pas vraiment mon rayon.
 
Un sourire vint se dessiner sur les lèvres de son ami Alan. La carafe arrivée, il lui rempli son verre, glissa quelque chose au serveur avant que celui-ci ne fasse le service des autres tables.
 
- Alors, tu as trouvé facilement ? Le cadre te plaît ? 

- Oh oui, c'est parfait. Je suis heureuse de passer la soirée avec toi, ça me fait vraiment plaisir 

- Et dire que la soirée commence seulement. Ton plaisir, tu l'auras.

Les entrées furent disposées joliment sur la table, Cheryl s'apprêtait à manger quand, en voulant la resservir, le garçon renversa la carafe entière sur son décolleté. On voyait à présent ses tétons pointer, probablement excités par le fait d'avoir pris une douche froide si subitement.
 
- Je suis désolé mademoiselle !
 
Le serveur luttait entre le fait de lui venir en aide ou de prendre ses deux seins dans ses mains et les pétrir jusqu'à ce qu'elle s'offre à lui, là sur le sol.
 
- Voyons, ce n'est rien. Je vais aller aux toilettes, peut-être que j'arriverai à récupérer ma chemise. Heureusement que ce n'est que de l'eau. 

- Je pense pouvoir vous apporter une chemise de nos serveuses… Ce n'est pas la même classe, mais ça fera l'affaire avant que vous ne repartiez. 

- Ce ne serait pas de refus.

Cheryl se leva avec élégance, alors que beaucoup de regards étaient fixés sur sa poitrine qui pointait toujours, de plaisir, d'excitation et de honte. Le claquement des talons sur le carrelage brisa le silence. Elle se réfugia dans les toilettes, prenant bien soin de fermer la porte à clé. 

Alan n'avait pas bougé un instant, même lorsque l'eau s'était répandue sur elle. Un frappement à la porte la fit sortir de ses pensées. Elle entrouvrit la porte, voulant protéger son trouble. Elle reconnut le patron du restaurant qui l'avait accueilli quand elle était arrivée.
 
- Mademoiselle, je vous apporte une chemise sèche. Votre jupe a semblé être mouillée aussi, je me suis permis de vous amener également une jupe et un tablier. Je ne sais pas ce que vous préférerez mettre. 

- Passez-moi la chemise, ma jupe n'a pas trop souffert.
 
Pour pouvoir recevoir les habits, elle dû ouvrir la porte entièrement. Le patron en profita pour se glisser à l'intérieur et refermer vivement la porte. 

- Mais, je…

- Allez, tais-toi ma mignonne. On voit bien qu'avec une poitrine comme ça, tu ne peux pas être un ange. Contente-toi de te déshabiller, sinon tu peux retourner avec ta chemise mouillée dans la salle.
 
Haïssant le pauvre serveur auquel Alan avait demandé de renverser la carafe, mais qui avait visiblement apprécié la manœuvre, elle obtempéra et ôta lentement sa chemise. Bouton après bouton, elle se dévoilait progressivement au patron qui s'était adossé contre le mur, savourant le spectacle. Quand elle eut fini d'ôter sa chemise, elle la posa sur le lavabo, évitant de croiser le regard de l'homme qui la matait. Pour pouvoir se rhabiller, elle dû s'avancer vers lui et prendre le vêtement qu'il lui avait apporté. Elle tendit un bras, il fut plus rapide et lui saisit le poignet la faisant virevolter contre lui. A la hauteur de ses fesses, elle sentait son sexe dur qui devait être dressé comme jamais.
 
- Par-là, ma jolie. Laisse-toi faire.
 
Il lui saisit la poitrine, la malaxa violemment, puis il la mordit dans le cou. Elle ne put s'empêcher de soupirer.
 
- C'est que t'aime ça en plus. Allez, rhabille-toi avant que je ne te demande plus. Il faudra que je finisse un jour ce que j'ai commencé avec toi…
 
Et en prononçant ces mots, il lui lança la chemise propre et sèche à la figure, ouvrit la porte l'exposant à d'éventuels regards.
 
- …Et laisse la porte ouverte ! Lui lança-t-il, comme s'il lui faisait ses adieux.
 
Elle s'empressa d'enfiler la chemise. Alan l'observa quand elle revint dans la salle. Il abordait même un regard légèrement moqueur.
 
- Je pensais que tu t'étais perdue dans les toilettes. Il y avait du monde ? 

- Oui, si on veut. Excuse-moi. 

- Allez, mangeons plutôt. J'ai une faim de loup.
 
Le dîner fini, Alan paya la note, tandis que le garçon tournait toujours autour de sa proie. Au moment de passer la porte, le patron vint donner sa carte de visite à Alan qui tenait la porte. Il le remercia et s'en fut vers l'extérieur. Au passage, il effleura les fesses de Cheryl qui frissonna comme si un coup de vent l'avait surprise.
 
- Je te propose un club sympa que j'ai trouvé il n'y a pas longtemps. Je suis pratiquement sûr que tu vas adorer. 

- Oui, tant que c'est près, c'est bon. 

- Pourquoi, quelque chose ne va pas ? 

- Il fait plutôt frais…
 
En effet, ses tétons pointaient à nouveau comme put le constater Alan. Il lui proposa de lui prêter sa veste, mais elle refusa poliment. En quelques minutes, ils eurent rejoint le club à la devanture sombre. Elle se demanda quel genre d'établissement c'était, car il n'y avait pas de queue à l'extérieur. Ils descendirent une volée de marches qui menaient à l'entrée. Un vigile grand et intimidant attendait à l'entrée. Il mata Cheryl de la tête aux pieds avant de leur faire un signe qu'ils pouvaient passer.
 
-  Avec toi, quand tu veux, chérie… Murmura-t-il, comme si elle avait pu l'entendre, car déjà la musique enveloppa son corps et le reste de raison qu'elle avait.
 
Alan lui souriait tandis qu'elle découvrait l'endroit. Il désigna le podium de danse d'un coup de tête et elle s'empressa d'y aller, pour pouvoir faire son show, pour lui, pour qu'il finisse par céder. Elle crut qu'il viendrait aussi danser avec elle, mais au lieu de cela, il se saisit d'une chaise et se posta devant elle, en bas du podium. Au bout de quelques minutes, alors que Cheryl se faisait entraîner par le rythme de la musique, elle dansait merveilleusement bien. Beaucoup d'hommes avaient rejoint Alan et tentaient d'apercevoir l'antre chaude et humide de la belle. 

Soudainement, un homme traversa la salle, un homme vêtu de noir, il devait avoir la cinquantaine. Il monta sur l'estrade, dansa quelques instants avec Cheryl avant de se coller à elle. Son déhanché envoûtait ces messieurs. En dehors d'elles, quelques couples dansaient, des femmes se vautraient sur les fauteuils. C'était une ambiance chaude et le gars qui la collait n'était pas resté insensible à son charme.

Alan vit qu'il lui glissa un mot à l'oreille avant de continuer à danser. Elle rejoint bien plus tard Alan qui était resté à l'observer depuis le bar. Tout son corps était en sueur, un sourire flottait sur ses lèvres.
 
- Tu m'as regardée tout ce temps ? 

- Tu n'es pas désagréable à regarder. Que t'as dit l'homme qui était venu danser avec toi ? 

- Qu'il y a une antichambre dans laquelle nous pourrions aller pour que je danse pour toi et pour lui. 

- Et ? 

- Et, je lui ai dit que j'allais t'en parler avant.
 
En effet, l'homme sortait des toilettes, embrassa la salle du regard et la trouva. Il eut un sourire pervers qui s'estompa avec la lumière opaque. En quelques pas rapides, il se trouva devant ce qu'il prit pour un couple, Cheryl et Alan.
 
- Toujours aussi chaude, toi. Je suppose qu'elle vous a parlé de mon idée, monsieur… 

- Appelez-moi tout simplement Alan. Cheryl, puis-je m'entretenir rapidement avec lui, sans que tu sois là ?
 
Elle sirota la fin du cocktail qu'il avait pris tandis qu'elle s'amusa à les observer. Jamais elle ne sut ce qu'Alan avait dit à son cavalier, mais ils arrivèrent rapidement à un accord, se secouèrent la main, une tape sur l'épaule qu'ils revenaient vers elle.
 
- Allez, on y va dans l'antichambre. lui dit Alan en la prenant par la taille.
 
L'homme qui s'appelait Thierry la mena jusqu'au centre de la salle. Le sol était de moquette et de tapis avec des couvertures et des coussins çà et là. Le mobilier devenu rare épousait parfaitement les dimensions et l'ambiance de l'antichambre.
 
- Fais-nous ton show, maintenant. On verra pour ce qui viendra ensuite.
 
Probablement sous l'effet de l'alcool qui lui montait toujours très rapidement à la tête, elle se plaça sur une petite estrade, reprit le rythme de la musique et se déshabilla devant eux, jusqu'à ce qu'il ne reste que les jarretelles, sans son string. Thierry se rapprocha d'elle avec une chaise, qu'il posa le dos vers la porte d'entrée.
 
- Assied-toi, écarte tes jambes et fais-toi belle. lui proposa-t-il gentiment.
 
Quand elle fut assise, il se saisit de ses poignets, les lia derrière le dossier et finalement il lui banda les yeux. Des voix d'hommes, des bruissements, des rires et puis son supplice commença. Quelqu'un, soit Alan, soit Thierry, lui tenait les épaules. Le premier homme malaxa sa poitrine en frottant aléatoirement son sexe dressé sur elle, le deuxième entreprit de déchirer ses bas avec les dents, tandis que les autres l'encourageaient, un suivant lécha ses seins, jusqu'à ce qu'il fut sûr qu'elle était à l'aise, alors il mordit sauvagement ses tétons. Tous la trouvaient excitante, tous profitèrent de son corps de quelconque façon.

Sauf que ce n'était que le début et que la soirée était longue. Cheryl s'imagina Alan dans cette foule d'hommes, en train de fumer le cigare et prendre des photos. Il pourrait les lui montrer plus tard et lui dirait :

- Tu te rappelles, comment tu étais une putain de salope ce soir-là ?
 
Ou encore lui montrer les divers épisodes de son supplice. Au bout de ce qu'il lui semblait être une éternité, quelqu'un décida de la détacher les mains et de la faire passer de mains en mains jusqu'à un endroit propice pour la baiser. Il n'y avait aucun respect de qui que ce soit, à commencer par elle, mais autant que cette situation lui était inconnue, autant elle mouillait énormément et répondait par des gémissements ou des halètements. Un premier homme lui fourra son sexe dans la bouche. Elle était à genoux et devait être probablement exposée à tous ceux qui voulaient. Le sexe était gros et gonflé de plaisir et d'envie de se faire sucer. Elle donna son mieux pour satisfaire le propriétaire de cette queue, qui lui, sans faire attention à elle, le lui fourrait de plus en plus profond dans sa gorge, au risque de l'étouffer. Quelqu'un s'écria :
 
- Regardez, comme elle aime sucer, cette salope !
 
La même personne lui cracha dessus, ce que tous les autres imitèrent. Ils devaient être une dizaine, car elle reconnaissait différentes voix et avait pu les ordonner, à sa façon. Alan, lui, la regardait de haut, baissant les yeux sur son sexe. Peu à peu, il arriva, se retira et la poussa à terre. Elle était sur le dos et il enfonça sans prévenir son sexe dans son intimité, tellement subitement qu'elle cria de douleur. Au bout de quelques minutes, il se retira, puis se vida sur elle, ses seins.
 
- Vas-y, enduis-toi de la sauce, quelqu'un t'en lavera après. lui lança une voix, peut-être Thierry.
 
Des rires s'élevèrent et puis elle sentit un liquide chaud lui couler sur tout le corps. Les quantités étaient trop importantes pour être le fruit d'un homme. De l'urine. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais fut directement étranglée avec le liquide qui allait directement dans sa bouche. Pour ne pas s'étouffer, elle dut l'avaler.
 
- Ah, Giancarlo, tu es là. On t'attendait ! 

- Eh, c'est trop gentil, où est-ce qu'elle est cette chienne que je la dresse ?
 
Le prénommé Giancarlo qui n'était personne d'autre que le patron du restaurant où Alan et Cheryl avaient dîné s'avança jusqu'à l'apercevoir. Elle était trempée et son corps moite de sueur, de sperme et d'urine.
 
- Le matériel, Luca… Poursuivit Giancarlo.
 
L'instant d'après, elle hurla de douleur, tellement la manœuvre l'avait surprise. Ce n'était pas le sexe d'un homme qui l'avait empalée, mais un gode qui, elle ne l'apprendrait que plus tard, représentait une queue de black, aussi, un collier lui fut mis autour du cou. Ainsi « préparée » elle fut trainée dans une autre pièce au sol dur et froid. De l'eau glacée lui tomba dessus, probablement pour la laver des liquides qui maculaient son corps. Giancarlo lui fit sa toilette, faisant bien attention à frotter longuement son clitoris jusqu'à ce qu'elle en gémisse et qu'elle mouille de plus en plus. Ses tétons étaient super-sensibles, tellement, que le moindre pincement faisait trembler tout son corps. Elle était épuisée et n'avait plus aucun contrôle sur son corps. 

Dans l'antichambre, les hommes l'attendaient, avec impatience. Derrière la porte qui donnait sur cette salle de bain improvisée Giancarlo s'occupait du sort de Cheryl. Avant qu'elle ne retourne dans la salle, il lui introduisit une boule grosse comme une prune dans la bouche, lui resserra le bandeau sur ses yeux, lia ses mains ensemble, tout comme ses pieds qui finalement vinrent liés ensemble. Elle n'était que trop entravée dans ses mouvements. 

Puis le claquement sec d'un fouet se fit entendre avant que le coup ne finisse sur ses fesses. Giancarlo la poussa au sol, retira tout aussi violemment le gode avant de continuer de la fouetter risquant à tout moment que le coup ne finisse sur ses lèvres. 

Des sifflements et hurlements l'accueillirent lorsqu'elle fut trainée à nouveau dans l'antichambre. Une dizaine d'hommes, tous encore à moitié vêtus avaient attendu qu'elle revienne pour bander de plus belle. Elle fut libérée de ses liens, sa bouche sèche n'arrivait à articuler un mot.
 
- Ce soir, je vous ai amené une nouvelle. Apprivoisez-la, domptez-la, afin que l'apprentie salope devienne une chienne soumise, baisable en toutes circonstances. Ce n'est pas une leçon d'autorité, c'est une leçon de vie.
 
Si Cheryl avait été encore entièrement consciente, elle aurait pu reconnaître la voix d'Alan. Jamais elle n'aurait pensé qu'il soit le principal organisateur de sa soirée.

FIN

1 commentaire:

  1. Dommage que ce récit soit déjà fini, j’aurais aimé lire l’évolution de Cheryl comme salope soumise ainsi que les épreuves qu’on lui aurait fait subir pour gagner ce titre…

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