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Quand il veut punir Géraldine, François son mari l'envoie s'exhiber pas loin de chez eux, dans un chemin de campagne.
Elle doit porter son collier de chienne, ouvrir son chemisier pour exposer ses gros nichons, écarter les jambes et remonter sa robe pour exposer sa chatte de salope.
Quelques paysans du coin sont habitués aux exhibitions de Géraldine. ils s'arrêtent parfois pour la tripoter, tirer sur ses tétons pour faire bouger ses mamelles. Ils ne se gênent pas pour la doigter étant donné qu'elle n'a pas le droit de se plaindre et qu'elle doit se laisser faire.
Souvent elle se retrouve à quatre pattes, en train de sucer une bite alors qu'une autre martèle sa chatte ou son cul.
Quand elle rentre chez elle, couverte de foutre, elle doit attendre l'autorisation de son mari pour pouvoir entrer dans la maison. Elle doit lui raconter les heures passées et si François estime qu'elle a été assez humiliée et souillée, la punition est terminée.
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Georgette est mariée depuis 40 ans avec son mari Fernand. Dès le début du mariage, il l'a complètement soumise.
Elle est fière et hautaine, une vraie bourgeoise de bonne famille. Alors pour la rabaisser, Fernand lui ordonne certaines fois d'aller s'exposer le soir sur un banc sur les bords de la rivière qui longe leur habitation.
Elle doit s'asseoir, ouvrir sa robe afin d'afficher ses seins, sa chatte et ses jambes gainées de bas noir. Elle doit écarter les jambes et attendre.
La dernière fois, trois jeunes passaient par là. l'un d'eux lui demanda :
- Bonjour Madame, que faites-vous ?
Elle répondit :
- Mon mari me met à la disposition de tous ceux qui veulent profiter de moi. Je dois obéir sans conditions.
Aussitôt les trois jeunes se mirent à la tripoter. ils claquèrent ses seins et ses grosses cuisses. Ils tordirent ses seins, puis ils s'amusèrent à enfoncer dans sa chatte un gros bâton trouvé sur le sol.
Georgette subit ces sévices en gémissant, mais sans se plaindre. Puis elle dut sucer les trois jeunes à genoux sur la gravier du sentier. Ils éjaculèrent dans sa bouche et elle avala docilement.
Avant de partir, les jeunes marquèrent leur numéro de portable sur sa poitrine avec le message suivant : "Bonne grosse salope, appelez nous si vous voulez qu'on l'encule."
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Francine est mariée depuis trente ans avec Christian. Pour ne pas se retrouver à la rue, elle a appris à lui obéir sans rechigner.
Christian adore attacher ses gros seins et il adore encore plus l'humilier en la forçant à faire de l'exhibitionnisme.
La dernière fois, il l'a emmené à la campagne dans un pré et il lui a demandé de poser nue et d'attendre. Derrière la haie, se trouvait un camp de gitans.
Bientôt, quatre d'entre eux arrivèrent et interpellèrent Christian :
- Hé Monsieur, qu'est-ce que c'est, qu'est que vous faites ?
- J'oblige ma femme à m'obéir ! Comment la trouvez-vous ?
- Oh ! elle est bien en chair, avec un gros cul et de jolis seins. Et elle vous obéit bien ?
- Oui, elle est bien dressée. Vous voulez que je vous montre ?
- Oui bien sûr !
- Salope ! A genoux et suce ces messieurs !
Francine s'agenouille alors que les quatre hommes s'approchent d'elle. Elle défait leur pantalon et sort leur bite. Elle fait la grimace devant l'odeur des queues mal lavées. Mais elle commence à leur faire une fellation l'un après l'autre. ils ne mettent pas longtemps à vider leur foutre dans sa bouche. Elle regarde son mari et avale en faisant la grimace.
Mais il semble que cela ne suffise pas aux gitans. L'un d'eux demande à Christian :
- Je recommence à bander ! Nous pourrions peut-être baiser cette salope ? Dit-il en regardant le mari.
Christian regarde sa femme qui l'implore du regarde de ne pas les laisser faire et acquiesce de la tête. Les gitans se jettent sur la femme, l'allonge par terre. l'un d'eux se couche sur elle et l'empale sans avertissement. Les autres présentent leurs queues à sa bouche pour qu'elle recommence à les sucer.
Francine sera baisée sans ménagement pas les quatre gitans sous le sourire vicieux de son mari. Elle sera même mise à quatre pattes et enculée par l'un d'eux. Ensuite elle devra nettoyer leur bite crasseuse.
Elle rentrera à la maison encore plus obéissante et soumise à Christian.
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Christiane, avocate, a pris l'habitude que son mari Eric l'emmène dans des endroits à voyeurs.
Ce soir, il lui a demandé de laisser son chemisier dans la voiture et d'avancer dans les bois, dans le noir avec pour seule lumière les phares de la voiture.
Bientôt, elle se retrouve face à un homme âgé de soixante ans environ qui lui dit :
- Bonjour ma petite dame. Vous avez autre chose à montrer ?
Humiliée, un sourire forcée sur le visage rougissant, elle relève sa jupe sans rien dire. L'homme voit ses jambes habillées de bas noir et sa chatte exposée. Il dit alors :
- Mais quelle belle salope !
Il s'avance, met une main sur un sein et descend l'autre sur la chatte offerte. Il pince un téton et introduit facilement un doigt dans l'antre intime de l'avocate. Il ordonne alors :
- Embrasse-moi !
Christiane obéit et place sa bouche sur celle du sexagénaire. L'homme introduit sa langue dans la bouche offerte et la tourne autour de celle de la soumise. Il pince fort le mamelon et doigte maintenant avec deux doigts la chatte de l'avocate qui commence à gémir.
Puis il stoppe l'embrassade et appuie sur les épaules de la femme pour qu'elle s'agenouille. Ils sort sa bite et ordonne :
- Les mains dans le dos ! Suce-moi !
Rouge de honte, Christiane engouffre le sexe ridé du vieillard. Bien qu'il soit âgé, l'homme a toujours de la vigueur et sa bite prend bientôt une proportion assez énorme. Et comme il trouve que la femme ne s'applique pas assez, il met ses mains derrière sa tête et baise sa bouche comme il le ferait d'une chatte. L'avocate étouffe plusieurs fois sous les coups de bites du vieux. Puis celui-ci donne une dernier coup de rein en tenant la tête de la femme près de son aine et se vide directement dans sa gorge.
Christiane ne peut qu'avaler le foutre chaud et gluant de l'homme. Quand il la relâche, il lui faut un bon moment pour reprendre son souffle. Le vieux range sa bite et lui dit avant de s'éloigner :
- Merci Maître N. , je passerai peut-être un jour à votre cabinet.
L'avocate est surprise et complètement humiliée. Elle retourne à la voiture et raconte à son mari qu'elle a été reconnue. Eric se borne à dire :
- Pas grave ! Une salope comme toi devrait bien arriver à s'occuper d'un petit vieux.
j adore l exhibe le voyeurisme les cochonnes humm il a de la chance votre maris
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