samedi 27 février 2021

Anne, femme d'officier

 Publié en 2008 sur le blog d'André Auteur inconnu.

Anne et deux de ses amies ont choisi, ce soir, d'aller en discothèque. Ces femmes d'officiers de marine nationale ont pris soin de confier la garde de leurs jeunes enfants respectifs, pour se réserver la soirée. En effet, leurs maris sont embarqués depuis déjà trois semaines, et pour encore deux bons mois.

Afin de briser cette solitude et cet isolement, ces femmes de militaires ont créé une sorte d'association, par laquelle, elles se retrouvent de temps en temps, par petits groupes.

Ce soir-là, trois d'entre elles, des femmes d'officiers, regroupées par affinités ou niveau social, ont opté pour une soirée en discothèque. Anne, 28 ans, jolie femme de taille moyenne, a laissé pour l'occasion ses deux jeunes enfants pour la nuit, chez ses beaux parents qu'elle a la chance d'avoir presque sous la main. Ce soir, elle a envie de se détendre et de s'amuser un peu.

Les trois femmes sont accostées par des jeunes hommes proches de la vingtaine, pour danser un slow. Pourquoi pas ! se disent-elles. Elles dansent donc chacune d'elle en compagnie de ces jeunes hommes.

Anne est la plus jeune des trois femmes. Les autres sont âgées de 32 et 33 ans. Anne écoute le jeune homme, qui lui caresse le dos en lui parlant de banalités qui finissent par la faire rire. Ce jeune, impertinent, et aux allures de voyou rangé, est intéressé, comme ses copains, par ces trois femmes à la fois jolies, mûres, et bien vêtues de façon classique. Le slow terminé, les deux autres femmes retournent près du bar alors qu'Anne est entraînée à la table des trois jeunes hommes. Elle va y passer la soirée à discuter, rigoler, et danser de temps en temps. En fait, elle est là pour s'amuser. Vers une heure du matin, ses copines viennent la chercher.

- Anne, tu viens ? On s'en va…

Anne n'a pas le temps de répondre, tandis le jeune homme prend la parole :

- Déjà ! Vous vous couchez comme les poules, ma parole !

- Et oui ! On a nos enfants à récupérer et demain, il faudra se lever pour les emmener à l'école.

Anne commence à se lever. Le jeune homme, toujours avec beaucoup de toupet rétorque :

- Toi aussi tu as des enfants ? Allez ! Reste. Mesdames, je la ramènerai chez elle, en tout bien et tout honneur.

Après ces propos, Anne se rassoit :

- Bon je reste. Il me ramène. Rentrez bien les filles.

- Comme tu veux Anne.

Les femmes s'embrassent et se quittent. Anne continuera la soirée à danser et à discuter d'elle répondant à chacune des questions indiscrètes du jeune hommes. C'est dans ses propos qu'elle avouera être mariée depuis l'âge de ses 21 ans, ne pas avoir connu d'homme, ni d'expérience avant son mari, se consacrer à l'éducation de ses enfants sans son époux souvent absent.

Anne va danser sur la piste. Elle est observée par les jeunes hommes, la regardant de la tête aux pieds en faisant des commentaires. Pour la circonstance, Anne est vêtue d'un pantalon à pinces, et d'une veste tailleur comme seul vêtement, ouvrant un large décolleté. Cet ensemble lui permet à la fois de suggérer une poitrine qu'elle n'a quasiment pas, de cacher ses fesses plates et ses hanches élargies par le double accouchement de ses enfants. Mais Anne, sous ses airs classiques de femme de bonne éducation, est agréable à regarder, avec ses longs cheveux bruns et son serre-tête.

L'heure de la fermeture est venue. Les deux copains du jeune homme et Anne se regroupent près de la voiture de l'un d'eux. Anne a un peu la tête qui tourne. Elle a bu 2 ou 3 verres de vodka orange; elle qui n'a pas l'habitude de consommer d'alcool habituellement. Après avoir guidé le conducteur jusqu'à son domicile, Anne sort de la voiture et commence à remercier les jeunes hommes, à voix basse, pour la soirée passée.

Il est presque 3 heures du matin. Le petit lotissement résidentiel, dort d'un profond sommeil. Le moteur de la voiture s'arrête.

- On ne va pas se quitter comme ça, tu nous offres un petit verre pour finir ou un café…

Sous la pression des trois effrontés, et la peur d'ameuter le quartier par le bruit des jeunes, insistants, Anne ne peut que les laisser rentrer dans sa maison.

- Évitez de faire du bruit, vous allez réveiller les voisins. Ce sont des officiers et sous-officiers de marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l'on pense n'importe quoi sur moi.

- Alors, il vaut mieux qu'on discute à l'intérieur, n’est-ce pas les gars ?

Après avoir bu un verre et un café, pendant lequel les langues se sont déliées au point de brancher la discussion sur le sexe, les trois jeunes hommes commencent à regarder Anne avec un air intéressé. Anne, fatiguée, est pressée d'aller se coucher.

- Tu dois être en manque de rapport vu les absences de ton mari ? dit l'un d'eux.

- Je suis fidèle à mon mari. Je suis mariée et mère de famille.

- L'un, n'empêche pas l'autre.

- Tu devrais nous sucer tous les trois avant de partir. Ou plus si tu veux ?

Anne, gênée se relève de son fauteuil en se penchant en avant. L'un d'eux en profite pour lorgner dans son décolleté.

- En tout cas, elle porte un soutif en dentelle rose.

- Bon, maintenant je suis fatiguée. J'aimerais aller me coucher. Ne comptez pas sur moi pour faire des cochonneries de la sorte.

- OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va te faire de la publicité dans le quartier. J'imagine peint à la bombe sur tes murs : « Anne, bonne à baiser » ou autres choses. Cela va corroborer avec le fait que tes copines t'ont laissée seule avec 3 mecs. Imagine le scandale. Et ton mari, à son retour, tu y penses. Pense à tes mômes qui vont apprendre que tu sors avec des mecs pour te faire sauter. Alors un conseil, fais-nous plaisir…

- Vous êtes vraiment des porcs.

Se sentant piégée et ne sachant que faire, Anne s'effondre en sanglots. Le leader de l'équipe s'approche d'elle.

- Allez ne pleure pas. On va te consoler. 3 bites à ta disposition. Allez… Mets-toi à poil.

Anne figée, est incapable d'agir. Elle sanglote doucement et occupe ses mains à essuyer ses yeux. Pendant ce temps, le leader déboutonne la veste tailleur d'Anne. Les deux autres se sont placés debout à côté. Ils participent au déshabillage. La veste est retirée doucement, tandis qu'Anne, tremblante, n'oppose pas de résistance.

- Joli petit soutien-gorge. C'est pour faire plaisir à qui, si ce n'est pas à nous ?

Anne porte un petit soutien gorge à balconnet de dentelle rose pâle. Sa petite poitrine (80B) y est parfaitement moulée. La transparence de la dentelle laisse voir les petits mamelons roses se détachant de sa peau blanche.

-" Maintenant, on voudrait bien voir le bas.

Anne a honte.

- Je vous en supplie, laissez-moi. Je suis une femme respectable.

Le leader défait le pantalon d'Anne et le descend sèchement à ses pieds.

- Ouha ! ! ! Le petit slip. La salope !

Des sifflements, des réflexions affluent des trois jeunes hommes en direction d'Anne, restée figée comme une statue au milieu du salon. Elle porte un mini slip de dentelle rose assortie au soutien-gorge. Slip tellement petit, qu'il couvre juste le sexe par une partie triangulaire de dentelle et de tulle. Les parties avant et arrière du slip sont juste reliée par un fin élastique de dentelle. La transparence laisse deviner une petite touffe brune.

- Alors, la petite femme modèle lorsqu'elle est en petite tenue, elle ressemble plutôt à une petite salope.

- Tu vois, tu nous attendais.

- On va bien te baiser, mais avant enlève tes dessous, toi-même en disant : Je suis une salope.

Anne troublée et honteuse retire son soutien en disant à voix basse : 

-  Je suis une salope, je suis une salope.

Elle baisse ensuite son mini slip en réitérant les mêmes propos sous les sourires et les regards vicieux de son public. Sa toison fraîchement épilée couvre juste la fente de son sexe.

- Ma parole, j'ai du mal à croire que tu es aussi fidèle que ça. Avoue que tu attendais que cela depuis longtemps. Tu ne vas pas être déçue ma belle. Trois d'un seul coup.

-Avec un cul comme le tien on va bien s'amuser. Tu vas sucer mes copains pendant que je te prends en levrette. Allez, mets-toi à quatre pattes.

Anne s’exécute sans rien dire. Elle se positionne à quatre pattes. Le leader lui inflige une fessée pour lui demander d'écarter les jambes. Anne écarte. Cette humiliation supplémentaire l'excite encore plus. Elle est trempée. Elle a l'impression que son sexe coule. L'homme lui enfonce sa bite sans ménagement.

- Ça glisse tout seul. Elle est trempée la salope. Allez suce mes copains maintenant.

Anne engouffre un sexe dans sa bouche. Le va-et-vient de l'un se coordonne avec la fellation de l'autre. C'est la première fois de sa vie qu'elle est dévoilée, nue devant des inconnus, qu'elle subit cette humiliation. Elle découvre une nouvelle forme d'excitation, autre que celle qu'elle imaginait dans ses fantasmes. Anne a l'habitude de se caresser le soir dans son lit durant les longues absences de son mari. Lorsqu'elle rentre le soir de ses réunions, elle se déshabille devant un miroir, elle s'imagine qu'elle le fait devant un public de vicieux, elle se caresse le sexe en pensant qu'un inconnu la viole.

Ce soir, elle vit son fantasme mais ça va plus loin que ce qu'elle imaginait. Anne change de sexe dans sa bouche. Les hommes la tiennent par les cheveux. Le leader la burine, faisant claquer les fesses de sa partenaire. Au moment de jouir, il accélère la cadence ne laissant pas insensible Anne, qui dans un élan de plaisir accélère son rythme.

- Ah je jouis dans cette salope de petite bourgeoise.

Après en avoir terminé avec elle, le Leader laisse sa place pour se boire une bière qu'il s'est procurée dans la cuisine. Anne est aussitôt chevauchée par un deuxième partenaire qui a préféré la prendre par-devant. Placée sur le dos sur le tapis, il lui écarte les jambes au maximum.

- Fais voir ta petite chatte et ton clito. Prends ça ! ! ! 

Le troisième :

- Tu m'appelles quand tu en as fini avec elle. Je vais boire une bière.

Anne continue à prendre du plaisir et se met à jouir avant que le deuxième de l'équipe n’en ait terminé avec elle. Des gémissements profonds sont sortis de sa gorge tandis que son bas ventre s'est contracté. Le deuxième sentant cela, s'est immédiatement mis à jouir.

- A toi, elle vient de jouir. Remets lui cela…

Le troisième prenant la même position, se met à entamer les mêmes gestes que le précédent. Il ne tardera pas à jouir non plus. Anne épuisée reste allongée, nue, sur le tapis. Les trois jeunes hommes se rajustent et sont sur le point de départ. Il est cinq heures du matin.

- On serait bien restés mais notre devoir nous appelle.

- T'es quand même une bonne salope. Salut Anne et merci. Si tes copines en veulent autant…

La porte se referme et Anne rentre dans la salle de bain pour prendre une douche avant de se coucher épuisée, mais riche d'une expérience qui la motivera pour se caresser durant ses longues nuits de solitudes.

Le lendemain, elle a rencontré ses copines à qui elle a dit qu'un des jeunes hommes l'avait sagement raccompagné chez elle.

FIN

jeudi 25 février 2021

18 Maîtres Ch. 03

Traduction d'un texte de Penitr8me.

invitée à une retransmission de football.

Encore une fois, je suis agenouillée, nue, devant une porte. Mais cette fois-ci je ne suis pas devant une porte de chambre d'hôtel. Quand ils m'ont demandé de me déshabiller et de marcher nue jusqu'à la porte d'entrée de la maison, je me suis imaginée devoir courir pour ne pas m'exposer devant les voisins. Mais j'ai eu tort de m'inquiéter. La maison est immense et bien entourée de haies hautes et impénétrables. Nous pourrions faire un gang-bang sur la pelouse, personne de l'extérieur nous verrait.

Je me suis déshabillée dans la voiture et je me suis dépêchée, plus parce qu'on est un jour froid de février que par peur d'être vue.

Je frappe et j'attends, mes yeux sur le paillasson. C'est un type de paillasson avec des poils très durs, douloureux pour mes genoux. Mon corps est encore marqué des sévices lors du gang-bang du dernier vendredi. Les ecchymoses les plus légères commencent à disparaître mais certaines vont encore rester plusieurs jours. Mon cul et ma chatte sont toujours endoloris de toutes les intrusions subies. Maintenant, les poils durs du paillasson entrent dans la peau tendre de mes genoux. J'essaie de respirer lentement, consciente de la douleur et du froid qui pique mes mamelons.

Je peux entendre des voix à l'intérieur. 18 hommes. Je me demande si je dois sonner? Mais non, ils m'ont dit de frapper. 18 hommes avec des queues bien raides. Et deux genoux douloureux. Respire! J'ai mal aux genoux. Vont-ils me laisser ici toute la journée? Ils pourraient. Je dois leur obéir. Pas à un seul d'entre eux, à tous. Je sais qu'appeler 18 hommes « Maître » n'est pas ce qui se fait habituellement, mais ça marche bien pour moi actuellement. Respire! Mal aux genoux! Ignore le froid! Respire!

Finalement la porte s'ouvre. Je garde les yeux sur ce putain de paillasson. Je vois deux paires de pieds masculins nus. Ils ne disent rien. Mes genoux sont à l'agonie. Je tremble. Je prends une grande respiration profonde.

- C'est douloureux n'est-ce pas?

C'est la voix de Chris. C'est sa maison, son putain de paillasson.

- Oui Maître.

- Bien! Continue à regarder le sol, mais mets tes mains derrière ta tête.

J'obéis. Le léger changement de poids aggrave la situation de mes genoux. Je prends une autre respiration profonde.

- Remue tes seins!

J'obéis. Les poils durs du paillasson entrent encore plus profondément dans mes genoux. Je sens que mes yeux commencent à s'humidifier sous la douleur. Je sens aussi une main qui caresse mon sein gauche, puis joue avec le mamelon. Ce petit plaisir compense juste un peu la douleur de mes genoux.

- Très bien! Suis-moi!

La main s'éloigne de ma poitrine et je me penche précautionneusement pour mettre mes mains sur le sol à l'intérieur de la maison. Puis je déplace mes genoux lentement sur le sol carrelé de l'entrée. C'est un joli dallage, le genre brut que j'adore d'habitude, mais pas pour mes genoux endoloris. Cependant, pas bien loin, mes genoux s'enfoncent dans un tapis moelleux de couleur crème. Même si j'ai encore mal, je suis les pieds nus de mon Maître en sentant l'autre Maître marcher derrière moi.

Nous arrivons à un escalier moquetté, et mon maître me le fait gravir encore à quatre pattes. Au bout d'un long couloir, se trouve une grande pièce destinée aux loisirs. Elle a une moquette sombre mais luxueuse. On m'arrête à quelques pas dans cette pièce.

- Reste là!

Il me donne des ordres comme à un animal domestique. J'aime. Je m'agenouille, sentant mes gros seins pendre sous moi, mon cul et ma chatte meurtris visibles pour tous ceux qui regardent. Je suppose qu'ils regardent tous car les conversations ralentissent et s'arrêtent quand ils me remarquent.

- Lève-toi!

Je bouge avec précaution pour ne pas augmenter la douleur de mes genoux, même s'ils sont sur une moquette. Je me mets debout tout en gardant les yeux sur le sol.

- Les mains derrière la tête!

J'obéis, le regard toujours baissé. Des mains parcourent mon corps. L'homme m'inspecte, prêtant attention aux bleus sur mes seins. Il pousse sur ma tête pour me pencher et vérifie les ecchymoses sur les fesses. Il en touche certaines, me faisant grimacer. Saisissant mes cheveux, il me redresse et tourne mon visage vers le sien. Il me fixe dans les yeux tout en continuant de tirer mes cheveux, attendant que la douleur me fasse grimacer. Après cela il rit et me repousse.

- Détends toi! On veut juste passer du bon temps. On va regarder un match de foot et on te baisera après.

Il me montre un énorme téléviseur à écran plat qui occupe presque tout un mur. Pour la première fois, je peux voir les autres hommes, mes autres Maîtres. Ils sont tous habillés de façon décontractée, jeans et t-shirts ou shorts. Certains regards sont rivés sur moi, d'autres ont recommencé à discuter en petits groupes. Chris me tend une serviette marron, aussi moelleuse que la moquette.

- Si tu t'assois, tu utilises cette serviette! Veux-tu une bière?

- Euhh oui... Merci!

Il m'a dit de me détendre. Mais je ne sais pas comment réagir. Un match de football? Je ne connais rien au football mais je sais qu'ils jouent tous dans la même équipe.

Chris se tourne vers les autres gars et leur dit :

- Vous pouvez la toucher autant que vous le voulez. Mais ne la faites pas jouir et ne la baisez pas avant le match.

Il ouvre un frigo dans une petite kitchenette. Cette pièce est vraiment immense, plus grande que mon appartement. Il y a des dizaines d'endroits où s'asseoir, tous avec une bonne vue sur la télévision. Un lit escamotable se trouve dans un coin. Des portes vitrées coulissantes donnent sur une terrasse arborée. Chris me tend une bouteille très froide, déjà ouverte, avec de la mousse qui commence à s 'évader.

- Nous avons un peu de temps avant que le match commence. Tu étais à l'heure. Hé Andy? Je parie que tu meurs d'envie de lui toucher les pieds?

Andy est un des hommes qui m'observent attentivement depuis mon arrivée. Il est grand avec des cheveux roux et des yeux verts. Il a aussi de grandes mains. Il se lève et s'approche de moi. Il prend ma petite main dans la sienne et me conduit vers un canapé en cuir. Je dois jongler avec la serviette et la bière. Mais il finit par m'installer sur la serviette, le dos contre le bras du canapé et mes pieds sur ses genoux. Ses mains énormes ont pris mon pied gauche et ont commencé à le masser.

Je sens des mains sur mes épaules. Je lève les yeux et je vois un homme plus petit et chauve qui se tient derrière moi. C'est Clark. Il ne me regarde pas vraiment. Ses yeux sont posés sur mes seins. Il commence à me pétrir les muscles des épaules, me faisant me cambrer. Je pense qu'il le fait juste pour voir mes seins bouger. Quelques gars nous regardent, d'autres parlent et boivent leur bière. Chris me regarde attentivement, mais il devait avoir un œil sur la télé parce que dès que commence le match, il monte le volume du son. Tous les hommes se tournent vers l'écran. Tout du moins au début.

Andy se partage entre mes pieds et la télé. Je suppose que rien que toucher les pieds d'une fille l'excite car je vois sa bite durcir. Clark regarde le coup d'envoi du match puis ses yeux reviennent sur ma poitrine. Il me masse quelques minutes de plus en observant mes seins. Assise là, avec deux hommes qui me touchent, je sens que mes tétons durcissent. Dès que Clark s'en aperçoit, il abandonne son massage sur mes épaules et il vient sur le canapé pour commencer à me tripoter les nichons et titiller mes mamelons. Dès qu'il a bougé, quelqu'un a pris sa place dans mon dos et une autre paire de mains commence à me caresser les cheveux et masser mon cuir chevelu. Je ne prends pas la peine de regarder qui le fait, je ferme juste les yeux et j'apprécie ce moment où trois hommes me touchent. Les mains de Clark m'excitent et je commence à bouger mes hanches. Andy change de pied.

Je sens des mains toucher les petites lèvres de ma chatte alors j'ouvre les yeux. Un mec avec la peau couleur café et des cheveux courts et noirs écarte mes petites lèvres et commence à caresser mon clitoris. Je ne sais pas comment ils vont tous pouvoir me toucher alors ils se serrent pour tous poser la main sur moi. J'aurais aimé être sur un lit afin qu'encore plus d'hommes puissent me toucher. Je gémis doucement, approchant d'un merveilleux état de tension.

- Ne la fais pas jouir Nick! Avertit Chris.

Mes yeux se dirigent vers lui pour voir qu'il regarde toujours le match. Il doit avoir une bonne vision périphérique. Ou peut-être peut-il sentir que je suis une chienne en chaleur.

Nick, le black, s'éloigne de mon clitoris, mais avant il ouvre ma fente, se penche et souffle doucement sur ma chatte, me faisant frissonner. Il lève les yeux et voit ma bière sur la table basse. Il prend et pose la bouteille froide et mouillée sur mon clitoris. J'essaie de reculer mes hanches mais Nick et Clark me tiennent solidement pendant que la bouteille est tenue sur ma chatte. J'aime la pression exercée sur mon sexe et je jouis presque.

Ma lutte sur le canapé et mes gémissements sous la stimulation attirent l'attention. Un homme blond, très mince saisit mon pied droit et demande à Andy de prendre le pied gauche. Il tire sur mon pied pour écarter mes jambes, ensuite il déplace sa main le long de mon mollet et de ma cuisse. Ça me chatouille, c'est très érotique. Cela me fait me tortiller encore plus. Mes jambes ainsi écartées, Nick continue son inspection plus en avant et écarte mes petites lèvres jusqu'à ce que mon trou soit bien visible.

- Calmez*vous les gars, pas de pénétration, gardez ça pour plus tard!

Je pense que si Chris n'était pas intervenu, j'aurais joui mais ses paroles changent l'ambiance. Même si ce sont tous des Maîtres, c'est Chris qui dirige. Alors les hommes reculent un peu.

- Laissez quelqu'un d'autre la tripoter! Pourquoi pas toi?

Un autre gars, Tom je crois, s'approche du canapé et m'offre sa main pour me relever sur mes pieds. Ensuite il me tourne afin de pouvoir toujours regarder l'écran tout en se penchant pour prendre mon téton gauche dans sa bouche. C'est un homme assez trapu, comme un lutteur, avec des épaules larges. Sa main attrape mon autre nichon et le presse assez fort pour me tirer une petit gémissement de douleur. Josh avance vers Tom et repousse sa main en disant :

- Partage!

Josh a des cheveux bruns plaqués sur son crâne. Ils sont un peu blancs aux extrémités. Il a aussi une bouche d'oreille en forme de diamant sur l'oreille gauche. Il attrape mon mamelon droit avec sa bouche et le suce en le mordillant avec ses dents. Je me souviens de lui le vendredi précédent. Il est un de ceux qui m'ont fait jouir sur la table.

Josh et Tom s'amusent avec ma poitrine avec agressivité. Je serai presque tombée mais je sens une poitrine solide contre mon dos et un énorme renflement entre mes fesses. Je suis prise en sandwich entre deux bouches affamées et un homme qui se frotte derrière moi. J'ai l'impression que cette situation va me faire jouir. Mais je ne sais pas ce qui va se passer si je désobéis, et je ne veux pas le savoir. Mais je ne peux pas stopper l'agression sexuelle de trois hommes déterminés et forts. Alors je me mets à regarder la télé en espérant que cette distraction refroidisse mes envies.

Sur une chaise, pas loin de moi, je vois que Tim a sorti sa bite et se masturbe. C'est un gars costaud avec de beaux muscles pas trop proéminents. Ses cheveux noirs sont frisés et ses yeux sont petits et sombres. Sa bite est longue et très fine si bien que je me demande si ce n'est pas elle qui m'a sodomisée vendredi dernier. Sa queue est l'une des plus fines que je n'ai jamais vues. Mais mon cul me brule quand je me rappelle la sensation d'avoir le trou du cul transpercé. Cette pensée me calme un peu.

Je regarde l'horloge. Je ne me suis pas rendue compte du temps qui passe, mais ça fait déjà 30 minutes que des hommes me tripotent et me caressent. Et il y a encore tellement de gars qui ne m'ont pas encore touchée.

- A mon tour...

Je ne peux voir qui parle, mais les autres hommes laissent la place. Je vois qu'on étale ma serviette sur le sol devant la télé puis on me force à m'allonger dessus sur le ventre. Je sens quelqu'un se mettre à califourchon sur moi au niveau de la taille puis je sens des mains, enduites de lotion, masser mon cou et le haut de mon dos. Je ferme les yeux et laisse ces mains incroyables me tripoter. J'ai encore des bleus du vendredi précédent et je sursaute quand une main passe dessus, mais je ne veux pas que l'homme arrête. Je soupire d'aise et j'apprécie ces mains huilées qui parcoure mon corps. Je souhaite que l'homme me retourne et me prenne simplement.

Puis j'entends les autres se déplacer. Je pense alors que ça doit être la mi-temps du match.

- C'est moi le prochain!

Mon Dieu du massage s'éloigne alors. Quelqu'un me fait rouler sur le dos et m'attrape par les cheveux. Je lève les yeux et vois un visage tanné et bronzé, avec des yeux noisette encadrés de sourcils épais et touffus. Ses cheveux sont bruns et mal peignés. Jusqu'à présent, je me suis toujours sentie en sécurité avec ces gars. Ils ont repoussé mes limites et fait des choses que personne ne mentionnerait dans une conversation normale. Mais ils ont tous l'air de souhaiter et aimer que je sois ici. Toutefois, ce type, Donald, me regarde avec beaucoup de mépris. S'il m'avait craché dessus, je n'aurais pas été surprise. Il me chevauche, toujours en tenant douloureusement ma chevelure. De son autre main, il me pince le mamelon gauche si fort que je pousse un petit cri.

- Ne crie pas! Ne dis rien même si ça fait mal! Ordonne-t-il.

Je hoche la tête du mieux que je le peux avec son emprise sur mes cheveux. Il sourit et pince encore plus fort. Juste au moment où je pense que je ne vais pas pouvoir en supporter plus sans crier, il me lâche, me laissant grimaçante. Mais avant que je puisse me remettre, il pince l'autre mamelon aussi brutalement. Je me fige, le visage tordu sous l'effort pour ne pas crier. Il attend un petit peu avant de me lâcher et me repousser en souriant, puis il part prendre une autre bière.

Je reste là à me demander ce qui va se passer quand un autre homme se met à genoux entre mes jambes, les forçant à s'écarter. Il a des cheveux blonds et des grands yeux bruns avec des cils si longs qu'ils paraissent faux. Tous les hommes de la pièce sont musclés et en forme, mais ce type ressemble à un bodybuilder. Il se positionne de telle façon que sa bouche soit près de mon oreille. Et, d'une voix douce et sexy, il commence à me raconter toutes les choses vraiment obscènes qu'il veut faire avec moi, comme me déshabiller dans un bar bondé et me baiser sur une table. Il dit que je suis une pute et qu'il aimerait me faire sucer sa queue sous son bureau pendant qu'il passe ses coups de téléphone. Je suis excitée et horrifiée en même temps.

- Laisse lui prendre une pause Oliver! Dit Chris en s'asseyant une bière fraiche à la main.

- Je préfère la baiser Chris! Pourquoi ne violons-nous pas déjà cette pute? Elle en a envie. Répond Oliver.

Il me repousse et se remet à genoux, puis, sans avertissement, il pousse trois doigts dans ma chatte, les agite et les sort. Ils sont trempés. Il a raison, je veux qu'ils me baisent tous. Mais je suis honteuse de voir couler le jus de ma chatte.

- Carton jaune Oliver! Tu veux un rouge?

Oliver se contente de rire et se relève en disant :

- Sérieux, si nous ne lui donnons pas de la bite bientôt, elle voudra baiser toute la ville. Et deux fois, cette salope!

- Pete?

Chris fait un signe de tête vers un gars aux cheveux bruns et aux yeux bleus. Celui-ci m'aide à me relever et m'emmène vers un autre canapé. Il me met à genoux dessus. J'ai peur qu'il commence à me fesser mais il me caresse juste le cul, passant ses doigts le long de mes contusions ainsi que dans mon dos. Je me détourne de la télé et je ferme les yeux, essayant de me détendre. Je sens quelques mains sur mon corps, mes pieds, mes cheveux. Je suppose que je me suis assoupie.

Quand je reprends mes sens, je réalise que la télé est éteinte et qu'il y a un doigt qui pénètre mon cul. Je commence à me crisper, mais j'entends quelqu'un dire « chuuuuttt ». J'essaie de me détendre en respirant lentement. Pete me caresse toujours le dos, mais il m'a bougé pour que mes seins soient sur ses jambes. Quelqu'un pousse un oreiller sous mes hanches.

Je sens le doigt pénétrer plus profondément, puis se retirer avant de replonger. Je ne peux pas tourner la tête assez loin pour voir qui viole mon cul ainsi. Alors je ferme les yeux. Après quelques minutes de ce traitement, je me sens assez détendue pour commencer à en profiter. La pénétration est une sensation étrange. Les muscles de mon trou du cul essayaient d'agripper le doigt mais celui-ci était si bien lubrifié qu'il continuait de glisser.

Je peux dire que tout le monde me regardait et sentait que ma chatte commençait à bruler. Puis, je ressens de la douleur lorsqu'un nouveau doigt accompagne le premier, étirant mon petit trou lentement. J'aime ça et je veux plus sur mon clitoris et dans ma chatte. Mes hanches commencent à remuer sur le canapé pour essayer de bloquer mon bas-ventre sur quelque chose, mais je ne trouve rien. Mais Pete bouge et me laisse frotter mon bassin sur l'oreiller. Ensuite, avec bonheur, les doigts glissent dans mon vagin et commence à remuer autour de mon clitoris. Je vibre sous ce plaisir soudain tout en essayant de ne pas jouir quand une bite lubrifiée pénètre mon cul. Je commence à comprendre pourquoi des personnes aiment la sodomie.

Je sens l'homme me pénétrer et bouger de plus en plus vite jusqu'à ce qu'il se jette sur moi, enfonçant ses doigts dans ma chatte. Ils se raidit et pousse un petit cri étranglé pendant que je sens une vague d'humidité envahir mon cul. L'homme reste immobile une minute, un doigt sur mon clitoris. Finalement il soupire et s'éloigne de moi, me laissant sur ma faim.

Une autre bite bien lubrifiée glisse en moi, plus facilement cette fois. Ça me fait un peu mal mais bientôt je me concentre sur le plaisir de la queue qui entre et sort de mon cul ainsi que des doigts sur mon clito. Je commence à ressentir les prémices de la jouissance.

- S'il vous plaît Maître, puis-je jouir?

- Pas encore! Dit Chris.

Je retiens mes gémissements et j'essaie de rester présente sans céder à mon plaisir qui augmente. Mes hanches partent à la rencontre de mon agresseur et cela semble l'encourager. Il éjacule. Alors qu'il se retire, je sens un peu de foutre couler sur mon cul meurtri.

- Mettez la sur le lit!

Je pense que c'est Chris qui vient de donner l'ordre. Il a l'ait d'avoir repris la tête de la troupe. Deux hommes me soulèvent et me transportent jusqu'au matelas. Je remarque qu'ils sont nus. Sur le lit, Barry attend, lui aussi nu, sa grosse bite debout. Je commence à avoir peur en pensant à la largeur de sa bite étirant mon trou du cul. Mais lorsque je suis déposée sur le lit, Barry empale ma chatte sur son gros gourdin. Mon clitoris est si sensible que je jouis presque quand il heurte l'homme. J'essaie de remonter mais je sens une main dans mon dos qui me pousse en avant. Puis je sens une queue glisser lentement dans mon cul. Je suis certaine que ça ne va pas aller. Je les sens tous les deux si gros en moi avant même qu'ils ne bougent. Puis peu à peu les deux hommes remuent, se poussant l'un l'autre, me broyant entre eux. Alors que j'ouvre la bouche pour crier, un autre homme pousse sa bite dans ma gorge et baise ma bouche. Je lutte pour empêcher mes dents d'égratigner cette nouvelle queue. Triple pénétration enfin!

Je veux supplier qu'on me laisse jouir mais je ne peux pas avec la bouche pleine. Heureusement, j'entends la permission de Chris dans mon oreille alors qu'il me sodomise.

- Jouis salope! Montre-nous que tu aimes que l'on te remplisse tous tes trous.

Mon corps explose. Mon orgasme provoque une réaction en chaîne. D'abord Chris pilonne mon cul et éjacule puis c'est Barry qui grogne de plaisir :

- Putain de salope, c'est bon...

Je le sens jouir alors qu'il enterre sa queue au plus profond de ma chatte.

Mon visage est baisé quelques instants de plus avant que la bite sorte de ma bouche et pulvérise une bonne quantité de sperme sur mon front. Je suis tellement heureuse que je voudrais le montrer. Mais avant que je ne puise faire quoi que ce soit, Chris se retire et Barry me soulève et s'écarte aussi. Je dois garder les yeux fermés car le sperme descend sur mes paupières. Mais ça n'a pas d'importance si je ne vois plus. Ma chatte est empalée sur une nouvelle queue et immédiatement après une autre bite pénètre mon cul. Un troisième membre fraye son chemin dans ma bouche

Je suis baisée encore et encore, remplie et baisée. Je sais qu'il n'y a que 18 hommes mais j'ai l'impression qu'il y en a deux fois plus. Après le troisième ou quatrième tour de bites, je suis inondée de sperme. Les hommes n'ont plus besoin de lubrifier leurs bites avant de les enfoncer dans mon trou du cul. C'est bien qu'ils alternent entre ma bouche et mon visage quand ils éjaculent sinon j'aurais été noyée. Je pense que j'ai eu un autre orgasme mais tout est flou. Je sais juste qu'à un moment une bite est sortie et n'a pas été remplacée par une autre. Puis tous mes trous sont laissés vides. Je me couche, le sperme dégoulinant de partout, mes yeux cimentés par le sperme séché et je m'endors.

Je suis désorientée quand je me réveille. Je me sens comme vendredi dernier lorsque j'ai quitté l'hôtel couverte du sperme de 24 hommes, pas exactement pareil mais beaucoup plus souillée. Mes cils sont collés. Je les frotte doucement en essayant d'ouvrir les yeux pour regarder autour de moi. C'est si calme.

- Tu es réveillée?

C'est la voix de Chris. Pour seule réponse, je fais un son incompréhensible qui est un croisement entre un grognement et un gémissement.

- Reste tranquille! Ordonne-t-il.

J'entends l'eau couler, puis des pas près de moi. Je le sens s'asseoir sur le lit. De l'eau ruisselle sur mon visage et un chiffon tiède est passé sur ma figure pour laver le sperme séché sur mes yeux. Il continue avec mon nez et ma bouche puis il s'arrête. Je tremble dans l'espoir qu'il lave tout mon corps de cette façon. Je veux qu'il me touche de partout. Je ne comprends pas pourquoi je peux vouloir ça après avoir été abusée pendant des heures. Quelle heure est-il? Il fait sombre mais la nuit tombe tôt en hiver. Je vois l'horloge : 19h20. Je lève les yeux ver Chris qui est en train de m'étudier.

- Est-ce que tu aimes ça?

- Oui Maître!

Il déplace sa main sur sa poitrine, la caressant et la pétrissant. Je me cambre. Son autre main se faufile entre mes jambes et il pénètre ma chatte avec ses doigts. Je gémis un peu de douleur après cette soirée active. Mais ça ne l'arrête pas.

- As-tu aimé la triple pénétration?

- Oui M... Maître.

- Et si tu n'avais pas tout eu à la fois?

Je sais qu'il y a une bonne réponse à donner mais je n'arrive pas à savoir laquelle. Alors je réponds simplement :

- J'aimerai tout ce que vous voudrez faire avec moi Maître.

- Mais serais-tu satisfaite d'un seul homme?

Il frotte mon clitoris et pince mon mamelon.

- Oui... Oui Maître. Gémis-je.

- Je ne te crois pas, tu es la salope la plus insatiable que je n'ai jamais rencontrée.

Il me pénètre avec trois doigts et commence à sucer mon téton dur.

- Maître, puis-je jouir?

- Oui.

Tandis qu'il mordille mon téton avec ses dents, j'ai un nouvel orgasme avec ses doigts enterrés dans mon vagin.

- Merci Maître! Dis-je en soupirant de plaisir.

J'écarte encore plus mes jambes en espérant qu'il va me baiser.

- Je pense que tu n'es pas faite pour être possédée par un seul homme. Tu ne seras jamais satisfaite à moins que plus d'une douzaine d'hommes te baisent n'est-ce pas?

- Je... Je n'y ai jamais vraiment réfléchi... Ca ne fait que quelques semaines Maître. Allons-nous continuer ou est-ce... terminé?

- Que veux-tu esclave?

C'est une question facile.

- Je veux continuer encore et encore. Je veux que vous continuiez à me baiser jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher. Je veux que vous m'utilisiez de toutes les manières qui vous rendent heureux.

Après ces mots, il me bouscule et me fait rouler sur le lit afin que je sois sur le ventre. Puis il me tient et commence à me fesser vigoureusement. Je pleure et je me débats.

- Et si ça me rend heureux de te fesser esclave? Tu aimes ça? Tu aimes avoir mal?

Il fait une pause, me laissant une minute pour récupérer et reprendre mon souffle.

- Je n'aime pas la douleur Maître, mais j'aime bien me soumettre.

- Que vas-tu penser de ça?

Il tend la main et ramasse une raquette en bois qui était appuyée contre le mur. Avant que je ne réalise ce qui allait arriver, il me frappe violemment sur une fesse. Je crie, ma respiration coupée pendant quelques secondes sous l'effet de la douleur cuisante. Puis celle-ci commence à s'estomper.

- Est-ce que tu aimes ça? les coups? les bleus?

Il me frappe sur l'autre fesse avant que la douleur du premier coup soit partie. Puis il frappe une troisième fois sur la première fesse mais un peu plus bas. Tout mon cul rayonne de douleur.

- NON NON NON NON NON!!!!!!!

Il me laisse me tortiller en me relâchant légèrement.

- Veux-tu utiliser tes mots de sécurité?

- NON! Crié-je.

De nouveau, il me maintient sur le ventre et me frappe avec la raquette.

- MAITRE! Crié-je.

Tout mon corps résonne de douleur.

- Alors si moi j'aime ça, si c'est ce que je veux faire tous les jours, toutes les heures, tu le voudras aussi? Juste pour me rendre heureux?

- Oui Maître! Dis-je en pleurant.

- Pourquoi? Comment peux-tu accepter ça?

- je ne sais pas Maître. Est-ce important?

- Non, je suppose que non. Soupire-t-il.

Il s'assoit sur le lit. Je reste sur le ventre, redoutant la raquette. Mais il me regarde en la faisant tournoyer. Et il me raconte :

- Il y a quelques années, j'étais dans un club de strip-tease privé. J'ai vu une femme amenée par un homme. Elle était nue et ses poignets étaient attachés ensemble. L'homme accrocha les bras de la femme à une chaîne qui pendait au plafond. Ensuite il la frappa plusieurs fois avec une canne, un peu comme je viens de faire. Elle avait des rayures rouges incroyables sur son cul et ses jambes. L'homme s'est ensuite tourné vers nous et il a dit : « Ma pute de femme est insatiable. S'il vous plaît, baisez là pour la soumettre. Puis il s'est assis à une table, la laissant là. Alors les hommes se sont avancés vers elle, seulement quelques-uns au début mais au bout d'un temps tous étaient autour. Il y avait même des femmes avec des godes ceinture. Je me suis dit que ça allait être l'enfer. Et ça a du l'être pour la pauvre femme quand 40 personnes l'ont baisée. Ça a duré des heures. A la fin, elle pouvait à peine bouger. L'homme l'enveloppa dans un drap puis il l'emmena. Je ne les ai jamais revus. Je ne sais pas quel lien ils avaient, si c'était une habitude ou une punition pour quelque chose qu'elle avait fait. Je ne sais pas si elle a aimé. Et je ne sais même pas si elle avait un mot de sécurité.

Chris se lève en me regardant droit dans les yeux et il me demande :

- Si je faisais cela avec toi, si je t'emmenais dans une telle situation, que ferais-tu?

Je frissonne à l'idée d'une multitude d'hommes faisant la queue pour me baiser. Je reste silencieuse pendant une minute.

- Alors? Insiste-t-il.

- Je... Ont-ils... Ont-ils utilisé des préservatifs?

- Certains l'ont fait, mais la plupart non. Pourquoi?

Je baisse les yeux.

- Ça ne semble pas sur Maître. Je veux dire pour les maladies. Est-ce qu'il s'assurait qu'il ne se passe rien de mal?

Je le regarde dans les yeux.

- Je veux dire que si j'étais dans cette situation, je voudrais être sûre d'être en sécurité.

- Donc tu as bien un instinct d'auto-préservation. Donc même si ça me rendait heureux de te lancer comme ça dans une foule, tu n'irais pas aussi loin?

- J'aime ça Maître. J'aime énormément ça. Même les moments où ça me plaît moins, j'aime s'il y a du sens. Mais il doit y avoir de la sécurité. C'est la raison pour laquelle j'ai choisi votre groupe. Même avec tant d'hommes, vous m'avez dit clairement que je serai en sécurité, comme avec les mots de sécurité ou la petite lampe que je peux allumer quand je suis bâillonnée. Si je sais que je suis en sécurité, je peux vous laisser faire n'importe quoi.

- Mmmmm.

Il hoche la tête. Il se déplace pour mieux voir mes fesses. Je sens ses doigts passer sur les marques qu'il m'a faites. Je grimace un peu.

- Tu vas avoir de grosses contusions ici.

Je souris. J'aime la pensée de devoir porter les marques qu'il m'a infligées.

- Il faut que je me vide avant de te renvoyer chez toi. Où veux-tu que je le fasse?

- Où vous voulez Maître!

Il me tourne et pénètre ma chatte d'un seul coup, me faisant grimacer. Mon sexe est presque à vif après toutes ces bites. Il ne montre aucune pitié et me pilonne jusqu'à ce qu'il soit à bout de souffle. A la dernière seconde il se retire et gicle sa semence sur mon visage et ma poitrine.

- Dehors maintenant!

Il me soulève hors du lit. Je grimace un peu de douleur, du foutre coulant sur mon visage.

- Va-t'en comme tu es venue!

Je me déplace à quatre pattes, sur mes mains et mes genoux encore endoloris. Je sens le sperme sur mon visage. J'essaie d'aller le plus vite possible pour le suivre, descendre l'escalier et me diriger vers la porte d'entrée.

- Ne te lave pas avant le matin salope! Je veux que tu rêves de nous alors que tu dors dans des draps souillés.

- Oui Maître.

Il ouvre la porte et je sors nue, à quatre pattes, dans la nuit.

A suivre...

mardi 23 février 2021

Coralie Miss Camping ! Ch. 15

Suite du Texte d'Alexis, écrit par Florian MC

Coralie se soumet à ses envies

Je me retournai. Loïc était là, son sexe formidable formant une bosse dans son caleçon.

- Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.

Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassai sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans son maillot de bain et me saisissant de son engin délicieux.

- Tu as encore envie de moi ?

Je pressai sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.

- Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.

Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de son caleçon.

- Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?

Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».
 
- Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout à l’heure…

Je m’agenouillai devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter. La belle princesse me sourit en disant :

- Une queue comme ça, ça se partage…

Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.

Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie, qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à son tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour son plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse.

Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua son bikini et son string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il.

Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.

Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant son gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.

Je suçai le bel et grand ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher son pubis de mes lèvres avec son énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérai la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.

- Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.

Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant son beau derrière rondelet, une main sur sa minette. L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça son gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre son dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.

Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unisson avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoison. 

Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.
 
Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout, qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié le monde alentour, je craignais que ses gémissements très sonores n’attirent les curieux.

Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de son pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus son sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant son orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.

Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.

- Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.

Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchais de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…

- Viens manger avec nous !

Sarah se faisait insistante. Nous étions allongées, nues, avec Sylvie, à côté de Jean. J'avais la tête lovée sur son pectoral gauche, je sentais sa poitrine se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration. Mes doigts étaient croisés dans ceux de Sylvie, sur sa bite au repos. Loïc avait dû partir, me promettant de repasser dans la soirée pour me montrer ce qu'il aurait filmé de la séance de massage avec Laëtitia. Sarah voulait absolument m'inviter à déjeuner.

- Tu verras, mon mari est charmant. Viens avec ton Jean !

J'hésitai. Je me sentais vidée, mais un peu mieux qu'après mon viol matinal. Je savais que si j'acceptais, Sarah voudrait "m'offrir" à son mari, selon ses propres termes, et, si elle avait profité du mien par deux fois déjà, je n'étais pas sûre de vouloir ajouter une nouvelle pine à mon tableau de chasse - ou plutôt à mon tableau de chatte - de la journée.

En même temps, Sarah était si adorable... Je me retournai, la pris dans mes bras et l'embrassai sur les lèvres, un baiser sincère et tendre. Nos seins se touchaient délicatement, nos langues qe trouvèrent, et je m'abandonnai aux caresses de ses doigts sur mes fesses. Elle relâcha son étreinte et me dit: 

- Dois-je prendre ça pour un oui ?

Je hochai la tête timidement, cherchant à nouveau ses lèvres. Elle me mordilla la langue. Ses doigts glissèrent vers mon entrejambe moite. Elle fourra son pouce dans mon vagin entrouvert, je fermai les yeux, profitant de la douce volupté qui m'envahissait.

- Tu vas te montrer gentille avec mon mari, n'est-ce pas ?

Je n'ouvris pas les yeux, je me concentrai sur les sensations que me procuraient son doigt en moi et ses gros seins contre les miens. Je la serrai plus fort et lui mordillai le nez, les joues, le menton, en ondulant mes hanches doucement pour mieux me planter sur son pouce dressé. Je sentis Jean se tourner vers moi, peut-être pour reluquer le divin échange, peut-être pour mieux entendre ma réponse. Sarah insista encore.

- Dois-je aussi prendre ça pour un oui ?

Je souris et hochai à nouveau la tête discrètement. Jean soupira. Sarah voulait m'entendre dire clairement que j'avais bien compris le sous-entendu.

- Tu seras gentille-gentille ?

La pensée que Jean pouvait encore éprouver de la jalousie me fit chaud au cœur. Je décidai de contenter la belle princesse.

- Si ton mari me trouve à son goût, il pourra m'avoir toute à lui, promis. Je le laisserais même me prendre devant toi, si tu veux. J'écarterais les jambes comme jamais je ne les ai écartées pour te faire plaisir.

- Tu sais que je t'adore, toi ?

Le pouce de Sarah accéléra sa course folle dans ma chatte, et c'est elle qui m'embrassa avec fougue, cette fois. Je sentis que Jean se détournait de moi et j'entendis bientôt les gémissements satisfaits de Sylvie tandis qu'il la suçait ardemment.

- Viens, ils vont nous attendre !

Jean traînait des pieds. Il était bientôt 12h00 et je ne voulais pas arriver tard - j'avais rendez-vous avec la petite Véro en début d'après-midi, et, si je devais manger et baiser avec le mari de Sarah, il ne fallait pas que j'arrive trop tard. Mais Jean ne semblait pas très chaud pour me donner à un inconnu.

- Pourquoi n'y vas-tu pas toute seule ? Tu n'as pas besoin de moi pour faire la gentille pupute avec ce connard.

Je ne relevais pas l'insulte.

- Tu as baisé sa femme, à ce Monsieur, ne l'oublie pas... Si j'y vais seule, je risque de me faire sauter sur le chemin, tout le camping a l'air de vouloir me passer dessus, je te le rappelle. Et si tu as besoin qu'on te rafraîchisse la mémoire, c'est toi qui insistais pour que je fasse la pupute sur le podium, lors de ce concours imbécile. 'Vas-y à fond, Coralie, tu peux faire mieux, montre tes seins Coralie, allume-les tous, montre ton cul, Coralie, promets-leur de te balader nue, suce-les sur la scène s'il le faut, je n'ai pas d'argent pour payer le camping, ne fais pas ta timide, ouvre bien la chatte...' ça te rappelle quelque chose ? Oh, et l'animateur m'a sautée ce matin, au fait, il a dit qu'il rêve de moi depuis le concours. Il a une toute petite bite, tu ne le croirais pas.

Je souris. Jean parut choqué, mais il me suivit. Je pris sa main dans la mienne, et nous nous dirigeâmes vers le mobil-home de Sarah, nus sous le soleil. Plusieurs ados me reluquèrent sur le chemin, deux voitures nous klaxonnèrent, mais personne ne nous aborda.

Sarah était en maillot devant un barbecue qui sentait bon la viande grillée. Elle eut un sourire radieux en nous voyant, et appela son mari dans le mobil-home.

- Vincent ! Coralie est là !

Le mari de Sarah sortit et mon cœur manqua un battement. C'était mon violeur scatologique. Je me mis à trembler involontairement. La tête me tournait. Je voulais m'enfuir. Ce n'était pas possible !
Il serra la main de Jean.

- Vincent, enchanté.

Il se tourna vers moi avec un sourire neutre.

- Vous savez, Coralie, j'avais hâte de vous rencontrer enfin, Sarah me dit beaucoup de bien de vous !

J'avais envie de hurler. Il faisait comme s'il ne me connaissait pas, comme s'il ne m'avait pas forcée à le sucer sous la menace pendant que je déféquais, comme s'il ne m'avait pas sodomisée en groupe, comme s'il ne m'avait pas imposé une double-pénétration, le salaud ! J'étais paralysée, je ne pouvais tout de même pas dire à mon amie que son mari était un salopard, mais en même temps, je ne pouvais pas faire comme si de rien n'était !

- Coralie ? ajouta Vincent. Tout va bien ?

Sarah me regarda d'un air curieux. Jean fronça les sourcils.

- Non... Je... veux dire... oui, j'ai... juste... un peu chaud, c'est ça, il fait une de ces chaleurs…

Les yeux de Vincent brillèrent de plaisir.

- J'ai un excellent remède pour les jeunes femmes qui se sentent chaudes !

- Ah ? Dis-je d'une voix faible, tremblant devant le sous-entendu grossier.

Il me fourra un verre empli de glaçon dans les mains.

- Un petit apéritif de ma composition, délicieux, vous verrez…

Je bus à petites gorgées. J'étais désespérée. J'avais promis à Sarah de me montrer gentille avec lui, je ne pouvais plus reculer. Je me sentais prise au piège.

- Coralie, tu veux bien aider Vincent à mettre la table pendant que je te prends ton Jean qui va couper la viande pour moi ?

Je tressaillis. Je ne voulais surtout pas me retrouver seule dans le mobil-home avec ce violeur ! Il me prit par la main et m'attira à lui, passant négligemment un bras autour de mes épaules, laissant sa main retomber sur la naissance de mes seins.

- Venez, c'est par là !

Sarah me fit un clin d'œil. Je ne pouvais pas me défiler. A peine entré dans le mobil-home, il me prit par les fesses et me força à l'embrasser, en frottant son caleçon sur ma chatte rasée. Je le repoussai de toutes mes forces et dis entre mes dents:

- Ne me touchez pas !

Il prit une grande cuillère en bois sur la table et m'en donna un coup sur le haut des fesses. Je sursautais de douleur, mais ne criai pas.

- Arrête de faire ta vierge effarouchée. Monte sur la table à quatre pattes, on va faire un petit jeu. Vite !

- Il n'en est pas question ! sifflais-je rageusement. Vous m'avez assez maltraitée ce matin ! Je n'ai encore rien dit à votre femme, mais…

Il rit.

- Qui te dit qu'elle ne le sait pas déjà ? Allez, monte, et tends-moi ton petit trou.

Je reculais d'un pas, respirant difficilement. Sarah ne pouvait pas savoir, elle pensait que je ne connaissais pas son mari !

- Non !
Il avança sa main et saisit un de mes seins par le téton.

- Très bien, disons donc à Jean que je t'ai vu chier par terre et baisée dans ta merde ! (il se pencha à la fenêtre) Sarah, Jean, venez voir !

Je ne pouvais pas le laisser tout raconter à Jean ! L'humiliation serait trop grande !

- Non, s'il vous plaît, ne dites rien !

Au dehors Sarah répondit :

- Une minute, j'arrive !

Il me regarda d'un air narquois.

- À quatre pattes sur la table.

J'obéis. La table n'était pas très grande, je dus me cambrer pour y tenir sans me casser la figure. Ma croupe se trouva face à lui, j'étais à sa merci. Il se pencha à nouveau à la fenêtre :

- Je n'ai plus besoin de vous, j'ai ce que je cherchais. On vient dresser la table dans une minute.

Il humecta ses doigts dans ma chatte ouverte et fourra sa langue dans mon anus. Sarah répondit de loin:

- Ok, ne traîne pas trop, c'est presque cuit.

Il me caressa le bas du dos, la croupe, le haut des cuisses. Puis il fit couler un filet d'huile le long de ma raie et y fit courir un doigt en tournant délicatement sur ma pastille tendre. Le doigt trouva son chemin sans difficulté, pénétrant le trou douillet sans souci, et, couplé avec le pouce tendu entre mes petites lèvres qui malaxait mon clitoris, il provoqua une sensation que j'eus honte de trouver plus qu'agréable.

- Je t'explique les règles du jeu.

- Mmm, oui... s'il vous plaît, non, arrêtez…

Ses doigts se firent plus brutaux, son pouce pénétra mon vagin, le plaisir s'intensifia.

- Mmm... Non... s'il vous plaît…

- Tu vas rester sagement sur cette table pendant tout notre repas. Je viendrai te voir régulièrement, et, si tu es bien sage, je te donnerai du plaisir. Sinon…

Il se pencha sur ma croupe et me mordit la fesse jusqu'au sang, en me pressant un sein avec sa seconde main. J'eus envie de hurler, mais seul un gémissement plaintif sortit de ma gorge, je ne pouvais pas risquer que Jean apprenne ce que j'avais accepté de subir le matin - accepté jusqu'à un certain point... mais accepté tout de même.

- C'est bien. Je ne sais pas si j'ai eu l'occasion de te dire que j'adore tes gros nichons... J'ai un traitement spécial pour eux. Reste comme ça, je reviens.

Je tremblais, à quatre pattes sur la table, cul relevé en arrière, seins pendouillant, jambes légèrement écartées. Vincent pris des assiettes et des couverts et descendit mettre la table. Je pensais qu'il n'allait rien dire à Jean et Sarah. Je me trompais.

- Coralie n'a pas voulu attendre la fin du repas pour se montrer gentille avec moi, je m'amuse un peu avec elle, ça ne vous embête pas trop, Jean ?

J'entendis mon mari émettre un grognement incertain. Vincent parut ravi.

- Je vois que vous profitez des charmes de mon épouse, c'est donc parfait ! Sarah, puisque tu es déjà à moitié nue sur lui, autant enlever ton string aussi... Tu sais combien le voisin aime te mater !

Sarah gloussa. Je fermai les yeux, mes genoux commençaient à me faire mal. Vincent remonta, passa devant moi sans me toucher, alla dans la petite chambre et revint une minute plus tard. Il posa une boîte au pied de la table et en tira une étoffe soyeuse.

- Enfile ça.

Il me passa un petit haut en soie blanche, qui me parut très petit.

- Je... Je n'ai pas le droit de porter de vêtements. C'est le règlement de miss camping…

- Allons, ne sois pas ridicule, tu dois te balader cul nul dans le camping, mais à l'intérieur, tu fais ce que tu veux. Enfile ce haut, grouille !

Je m'exécutai. Le haut était bien trop petit, ma poitrine étirait le tissu d'une façon telle que j'avais du mal à respirer. Le frottement de la soie sur mes seins était terriblement sensuel, érotique, mes tétons durcirent au contact frais, et je me surpris à attendre la suite avec, sinon délice, du moins curiosité. Vincent sembla lire dans mes pensées, il abaissa son caleçon, plaça sa bite sous ma main, sur la table, et caressa mes nichons enveloppés de soie tout en m'embrassant avec une certaine tendresse. L'étreinte fit grimper le plaisir d'un degré. Je branlai le sexe en le malaxant sur la table, encouragée par les coups de langue plus prononcés de mon violeur délicat. Je ne voulais plus que ce baiser cesse. J'entendais Sarah gémir à l'extérieur, j'essayai d'accrocher mes sensations à l'unisson des siennes. Nos lèvres se séparèrent.

- De beaux gros seins, ouais.

Je souris en gonflant ma poitrine, clairement provocante, cherchant à nouveau sa bouche, trouvant ses joues rasées de frais.

- Tu vois que tu es une gourmande... Vite effarouchée, vite chaude ! J'ai quelque chose pour toi, ma belle, tu veux voir ?

Je tortillais le cul et projetait mes nichons en avant, et hochais la tête d'un air faussement timide. Il fouilla une seconde dans la boîte, en tira un objet long couleur chair. Un godemiché. Énorme. Long. Large. Veiné. Avec une paire de couilles moulées tout au bout. La bite de Loïc en latex.

- Ecarte les jambes.

Je ne protestai pas. Le haut soyeux m'avait comblée, le baiser aussi, je décidai de lui faire confiance. Gardant mes genoux pliés, je posai ma tête et mes seins sur la table, et cambrai mes hanches au maximum pour accueillir le gode géant. Il sembla apprécier la soumission.

- Je vois que tu commences à comprendre, Coralie.

Je remuai le cul, anticipant la pénétration. Il sourit, vint derrière moi, et me suça complètement, du clito à l'anus, introduisant longuement sa langue épaisse et humide dans mes deux orifices. Quand il me suçait l'intérieur de la chatte, le bout de son nez titillait mon petit trou d'une manière divine. Je me donnai un peu plus, desserrant les fesses autant que je le pouvais en m'aidant de mes mains. Je haletais des encouragements sincères.

- Oui... oui, comme ça, encore, mmmm, oui... encore…

Il me dégusta comme une grosse glace, j'étais parcourue de frissons incontrôlables, cul en l'air, genoux en feu, tête et seins écrasés inconfortablement contre la table. Il s'affaira plus précisément sur mon anus offert, et pressa le godemichet taille XL dans ma chatte, sans prévenir. L'engin me déchira les lèvres, déclenchant des éclairs dans mon clitoris tendu.

- Aïe ! Aah ! Oui ! Aah !

Plaisir et douleur s'entremêlèrent. Il se releva, et remua le gros gode dans ma chatte, tirant un nouvel objet de la boîte.

- Mets les mains dans le dos.

- Aah oui tout ce que vous voulez !

Il me passa un bracelet autour d'un poignet, puis un autre autour du deuxième. Des menottes ! La position était terriblement inconfortable, je tentai de me relever, mais il m'appuya sur les épaules pour m'en empêcher.

- Ne bouge pas.

Il actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer dans mon vagin. Je serrais les jambes incapable de me contrôler.

-Aaah oui ! Aaah !

Il vint placer sa bite à hauteur de ma bouche, je la happai sans me poser de question, toute au mélange de sensations qui s'entrechoquaient dans mon corps, douleur dans mes genoux, sur mes épaules tirées par mes bras prisonniers des menottes, dans mon cou, sensualité de la soie sur mes tétons dressés et dans mon dos, et plaisir intense dans le ventre, dans la chatte, dans la bouche. Je soufflai par le nez en couinant, je sentis la cyprine couler le long du gode endiablé.

- Oh, belle Coralie, suce-la bien, c'est ça…

Je redoublai les coups de menton, désireuse de l'avaler tout entier, pleinement consentante, cette fois. Sa bite était dure et gonflée sur ma langue, une sensation que je commençais à connaître mieux, et à apprécier énormément. Il se pencha vers mon cul, toucha le gode une seconde et le rythme s'accéléra encore dans mon vagin. Je crachais la pine écarlate en criant:

- Aah oui !!!

Il remonta son caleçon et sortit du mobil-home en disant:

- Chauffe-toi bien, je reviens bientôt.

A suivre...

dimanche 21 février 2021

Femme infidèle - Marie-Josiane

 Charles-Henri De Fontjoli est le chatelain et le maire d'un joli village de province. Il a 60 ans et il est maire depuis 30 ans. Il a succédé à son père qui était resté près de quarante ans le notable du village. Chez les De Fontjoli, on ne connaît pas la défaite.

Pourtant, cette année, Charles-Henri risque de perdre les élections. Il est devenu la risée de ces concitoyens depuis que circule une photo de sa femme en train de faire une fellation au jeune instituteur du village. 

Charles-Henri est furieux contre Marie-Josiane son épouse. Ils se sont mariés il y a quarante ans. Marie-Josiane avait alors 18 ans et il l'avait épousé contre l'avis de sa mère qui la trouvait de trop basse naissance.

- Vous vous rendez compte Marie-Josiane ! Tout le monde rigole dans mon dos ! Vous vous rendez compte qu'ils me traitent tous d'aristocrate cocu ! Fulmine Charles-Henri très en colère.

- Je suis désolé mon époux, je ne voulais pas vous mettre dans l'embarras. Je ne comprends pas, j'ai perdu la tête. Voulez-vous bien m'excuser s'il vous plaît ? Essaie de supplier Marie-Josiane. 

Mais Charles-Henri est furieux.

- Vous pardonner ? Alors que vous ne pensez qu'à vous vautrer dans la luxure ? Vous allez faire ce que je vous dis, sinon c'est la porte et le trottoir.

Marie-Josiane a trop peut de perdre tout ce qu'elle a, alors elle baisse la tête en signe de soumission pour montrer à son mari qu'elle accepte la sentence.

Charles-Henri l'oblige alors à monter en voiture et il l'emmène dans une forêt pas très loin. Il la dépose au pied d'un arbre dans un chemin et il lui dit :

- Vous êtes incapable de résister à une bite, eh bien vous allez en avoir. Ici il paraît que c'est un endroit coquin. Si quelqu'un vous aborde et vous demande ce que vous faîtes, vous répondrez que vous être prêtes a faire tout ce que la personne voudra. C'est compris ?

- Oui Charles-henri ! Mais...

- Pas de mais ! Obéissez, je reviendrai vous chercher plus tard en espérant que vous aurez compris la leçon.

Charles-Henri s'éloigne alors en laissant son épouse apeurée appuyée contre un arbre.

Une dizaine de minutes plus tard, elle voit une homme dans la trentaine s'approcher tranquillement. Il la regarde fixement mais elle refuse de le fixer. C'est alors que l'homme lui demande :

- Vous attendez le bus ma petite dame ?

Marie-Josiane ne sait que répondre. Alors elle reste silencieuse, le regard droit devant elle.

- Je peux vous aider ? Que faites-vous là ?

- Je vais... faire ce que vous voudrez. Répond Marie-Josiane en refusant de regarder l'homme.

- Bien, mais tu es trop vieille pour moi, je ne saute que des jeunes. Par contre, tu as l'air d'avoir une belle poitrine, laisse-moi voir tes nichons !

Sans attendre de réponse, il déboutonne le chemisier de Marie-Josiane, sort ses nichons du soutien-gorge et commence à les tripoter sans ménagement. L'épouse du maire le laisse faire sans sourciller et en espérant qu'il se lasse bientôt. Ce qui arrive au bout de cinq minutes. L'homme s'éloigne sans un autre mot.

Dix minutes après, arrive un autre homme. Le rituel est le même, l'homme demande ce qu'elle fait là, elle lui répond qu'elle fera ce qu'il veut.

L'homme commence alors à la toucher de partout. Il tripote ses seins avant de soulever sa jupe et de glisser un doigt dans son intimité. Marie-Josiane a honte et ne sait pas comment réagir.

C'est alors que l'homme baisse son pantalon, prend la main de la femme et la pose sur sa bite semi-bandante.

- Branle-moi ! Ordonne-t-il d'un ton sec.

Marie-Josiane va obéir et masturber l'homme pendant qu'il continue à la doigter et la tripoter. Elle va sentir la queue grossir dans sa main et quelques minutes plus tard, l'homme éjacule dans l'herbe. Il remonte alors son pantalon et s'en va sans rien ajouter.

Quinze minutes plus tard, Marie-Josiane est horrifiée, elle voit un homme qu'elle connaît qui s'approche en souriant. Il s'agit de Paul, un ancien camarade de classe, mais aussi son petit copain avant qu'elle connaisse Charles-Henry. Du jour au lendemain elle l'a laissé tomber comme une vieille chaussette. 

Et depuis 40 ans, Paul ne lui a jamais pardonné cette abandon et lâcheté. Il sourit et dit alors :

- Bonjour Madame De Fontjoli ! Vous ici ? Mais que faites-vous donc ? Demande-t-il sarcastique.

Marie-Josiane ne sait que répondre. Elle sait que Paul lui en veut depuis des années. Elle bégaie :

- Bon... Bonjour... Bonjour Paul !

- Alors Marie, tu es toute seule ? Où se trouve ton noble de mari ? Que fais-tu ici ?

- Je... Je dois... obéir aux gens qui passent. Répond-elle en baissant la tête.

- Hein quoi ? Répète ?

- Je dois obéit à ce que veulent les gens qui passent. c'est un ordre de Charles-Henry. Répond-elle doucement en rougissant et en refusant de regarder son ancien petit ami.

- Ah d'accord ! Si je comprends bien, tu as dû jouer à la salope avec ton mari comme tu l'a fait avec moi il y a quarante ans ? Non ?

Comme elle ne répond pas, l'homme continue :

- Oui ne réponds pas ! Mais comme tu dois obéir, je vais bien en profiter ! Quarante ans que je veux toucher ta peau, tripoter tes nichons, fesser ton gros cul de bourgeoise !

Marie-Josiane est effrayée, mais elle ne peut rien y faire, alors elle fixe un point au loin sans rien dire.

Paul en profite alors pour sortir ses seins de son chemisier, les tripoter, sucer les tétons. Puis il soulève sa jupe et baisse sa culotte. Il pétrit son cul et ne se gêne pas pour la doigter.

Après cinq minutes de tripotage intensif, il se déshabille et il demande à son ancienne petite amie de le masturber. Enfin il la force à se mettre à genoux et il lui demande de le sucer. Bien sûr, il n'hésite pas à humilier celle qui l'a rejeté il y a quelques années :

- Bourgeoise salope ! Pute de haut vol ! Tu es vieille, mais tu as de beaux restes, tu arrives à me faire bander. Maintenant fais-moi jouir, salope ! Tu vas avaler mon foutre et ensuite tu me remercieras ! Compris grosse pute ?

Marie-Josiane obéit. elle avale le sperme de l'homme et elle le remercie honteusement. Paul, satisfait, s'habille et lui donne une grande claque sur le cul avant de partir en disant :

- On se reverra salope !

Marie-Josiane est complétement défaite. Elle a honte et elle se demande quand son mari va revenir la chercher.

Elle passe les quinze minutes suivantes à se lamenter et à se demander pourquoi elle a trompé son mari. Elle comprend que son infidélité l'a mené dans ce chemin où elle doit jouer à la pute.

Puis ce sont deux hommes qui arrivent ensemble. Marie-Josiane les connaît bien. ce sont deux fermiers qui louent des terres à son mari. Ils sont rustres et pas très aimables. Elle sait que son mari ne leur fait pas de cadeaux sur les fermages qu'ils doivent, alors elle ne s'attend pas à de la compassion.

Et elle a raison. Les hommes s'approchent d'elle et disent :

- Tiens vlà Mdame De Fontjoli qui joue à la pute dans les bois ! Elle veut se faire sauter par des paysans, la bourgeoise ?

Manifestement les deux hommes ont dû être mis au courant de la situation de Marie-Josiane. Ils n'attendent pas de réponse et ils commencent à déshabiller la femme rouge de honte. Leurs quatre mains couvrent chaque morceau de peau, s'attardent dans tous les endroits intimes. Puis l'un des hommes baissent son pantalon, plaque Marie-Josiane contre l'arbre et guide sa bite dans sa chatte. Il va la baiser debout jusqu'au moment où il éjacule en elle. L'autre paysan prend ensuite le relais, courbe la femme en deux et l'encule sans prendre de précaution.

Les deux hommes vont profiter de Marie-Josiane pendant vingt minutes. Ils vont la baiser dans tous les trous avant de la laisser couverte de foutre, épuisée.

D'autres hommes passeront avant que Charles-Henri ne revienne chercher sa femme. Il la retrouvera complétement soumise, puante l'urine et le sperme. Il a peut-être perdu sa place de maire, mais il a gagné une épouse soumise à tout ses désirs.

vendredi 19 février 2021

Domination familiale Ch. 07

Récit de Géronimo.

La cabane au fond du jardin.

A quelques kilomètres du pavillon des Guillet de Saint-Hilaire se trouve un centre de formation d’apprentis. Les jeunes qui vont étudier dans ce CFA sont en échec scolaire et tente d’apprendre un métier pour pouvoir s’en sortir. Ils habitent tous dans les quartiers « populaires » de Bordeaux, mais ils viennent régulièrement le soir déambuler dans les quartiers chics dans l’espoir d’apercevoir une jolie bourge qu’ils pourraient draguer, tout en sachant qu’une fille qui habite dans ce quartier ne s’intéresse pas à des jeunes comme eux. Mais le destin réserve parfois de drôles de surprises.

Le dîner a été servi par Ambre et Sophie, habillées en bonniches, et leurs tourmenteurs se sont régalés. Jean-Yves, toujours attaché à son fauteuil, a de nouveau été le témoin de l’avilissement de sa femme et sa fille qui ont dû subir tout au long du repas des attouchements. Chaque fois qu’elles apportaient un plat, Maître Christian Panaris, Diop et surtout Katia, introduisaient leurs doigts dans leurs chattes et leurs trous du cul. Entre le fromage et le dessert, Sophie a dû sucer sous la table Panaris et Diop pendant que Ambre devait lécher la chatte de Katia. Elles ont ensuite débarrassé la table et fait la vaisselle sous la surveillance de Katia qui leur fouette le cul quand elle trouve qu’elles ne vont pas assez vite. Sophie et Ambre ont ensuite été envoyées dans leurs chambres pour s’habiller toujours sous la surveillance de Katia.

Sophie revient dans le salon vêtue d’une longue robe noir fendue sur les côtés laissant apparaître la lisière des bas. On aperçoit à chaque pas l’attache du porte-jarretelles. Elle est perchée sur des talons aiguilles à brides. Un profond décolleté échancré donne l’impression que son opulente poitrine va jaillir de la robe dès qu’elle respire.

Ambre, elle, est toujours habillée genre « petite fille modèle » mais en plus sexy. Un chemisier blanc transparent porté sans soutien-gorge permet de voir ses seins. Une courte jupe écossaise sur des bas blancs avec des talons aiguilles rouges vernis complètent le tableau. La jupe est vraiment courte et on peut voir sa fente par moment. Katia a poussé le vice à lui faire des couettes lui donnant un air de petite fille perverse.

Les entraînant toutes les deux en dehors du pavillon, Panaris leur expliquent qu’elles vont arpenter le trottoir et se débrouiller pour appâter le client. Sophie rechigne disant que ce n’est pas possible, pas devant leurs respectables voisins.

- Je me fous de ce que pourraient penser de toi tes voisins, ma chérie, si ça trouve parmi eux certains ont envie de te baiser depuis longtemps.

Panaris explique que quand elles auront trouvé un client et qu’elles auront discuté tarif avec lui, elles l’emmèneront dans la cabane au fond du jardin qui sert de débarras pour ranger les outils de jardinage de Diop et que celui-ci a déjà aménagé en petite chambre avec un matelas posé à même le sol.

Sous la surveillance de Katia, qui s’y connaît et pour cause, Sophie commença à marcher sur le trottoir, ondulant de la croupe, ses talons claquant sur le bitume, croisant sa fille qui part avec Diop sur le trottoir d’en face. 

Jean-Yves a été détaché et emmené dans le jardin pour qu’il puisse assister aux premiers pas dans la prostitution de sa femme et sa fille. Diop l’a bâillonné avec une paire de bas de sa femme roulée en boule qu’il a enfoncé dans sa bouche et qu’une autre paire nouée autour de la tête maintient solidement. Tout ceci afin qu’il ne puisse pas ameuter les voisins. La grille est ouverte et il peut voir passer sa femme et entendre les conseils de Katia, qui lui dit de bouger son cul en marchant. La nuit est tombée mais les réverbères illuminent le quartier presque comme en plein jour. Il frémit en entendant des voix qui se rapprochent.

- Eh les mecs, regardez, je rêve ou quoi ?

Un des jeunes apprentis du CFA qui vient de poser cette question n’en revient pas en découvrant cette femme qui pourrait être sa mère (sauf que sa mère est moche et grosse en tous cas c’est ce qui dit son père) qui approche du groupe d’une démarche ondulante suivie par une autre fille qui leur parait plus jeune. Katia les interpelle :

- Eh les jeunes, ça vous dirait de vous taper une bourge ,

Les apprentis regardent la femme avec des yeux ronds n’en croyant pas leurs oreilles.

- C’est sérieux ? demanda un des jeunes, interloqué.

- Très sérieux, cette bourge est une salope qui veut se faire baiser par des petits jeunes comme vous.

Sophie rougit en entendant cela, mais elle ne proteste pas.

Pour leur montrer qu’elle est sérieuse, Katia contraint Sophie à s’agenouiller sur le trottoir devant eux. Un des jeunes s’avance vers elle et sort sa bite déjà gonflée à bloc. Il l’approche du visage de cette femme si belle dans sa robe de cocktail.

Katia appuie fermement sur la nuque de Sophie. Elle penche la tête et aspire la bite de ce jeune qu’elle ne connaissait pas 5 minutes avant. Sa pine s’engouffre dans la bouche de Sophie qui réprime un haut le cœur. Elle sent que des mains avides saisissent ses seins dans son décolleté, les triturant sans aucune douceur, elle pousse un gémissement quand elle sent qu’on lui pince les tétons. Un des jeunes fit le tour, souleva la robe et enfonça ses doigts dans son vagin dégoulinant.

- Elle mouille cette salope. ! S’exclama-t-il.

Sophie pompe la bite du jeune homme, il donne des coups de reins pour s’enfoncer encore plus loin. Katia relève Sophie sous les exclamations déçues des jeunes.

- Si vous en voulez plus, il faut payer les gars.

- Combien ? demandèrent-ils en lorgnant Sophie Guillet de Saint-Hilaire avec avidité.

- 50 Euros.

Sophie ne connaît pas les tarifs d’une prostituée « normal » mais elle se doute bien que cela va au-delà des 50 Euros. Non seulement elle est contrainte de se prostituer, mais elle l’est au rabais ! Le comble de l’humiliation.

Les cinq jeunes fouillèrent dans leurs poches et arrivèrent à réunir la somme. Katia encaissa et les fit rentrer dans le jardin les dirigeant vers la cabane du jardinier. Ils ne virent pas Jean-Yves dans le fond du jardin. Katia poussa la porte les faisant rentrer. Sophie se retrouva à quatre pattes sur le matelas, la robe troussée. Elle sentit que des mains la prenaient aux hanches et un sexe dur et épais s’engouffra dans son vagin lui faisant pousser un petit cri bref. Le jeune homme entama un va-et-vient rapide faisant claquer son ventre contre ses fesses dodues. Elle poussa un gémissement en sentant la bite qui la limait. Une main la tira par les cheveux et une bite se présenta devant sa bouche.

- Suce salope !

Docile, elle ouvrit la bouche et la queue la pénétra. Elle commença sa caresse buccale avec application pendant que ses seins gigotaient dans tous les sens sous les coups de boutoir du jeune qui la pilonnait avec brutalité. Le gland de celui qu’elle suce heurte son palais et il s’enfonce plusieurs fois aussi loin qu’il le peut manquant de l’étouffer. Des larmes lui viennent aux yeux. Celui qui la baise donne des coups de reins de plus en plus violents et il lâche soudain des torrents de sperme dans son vagin en poussant un râle de plaisir. Celui qu’elle suçait se déversa sur son visage, des traînées de sperme chaud giclant sur ses lèvres pulpeuses coulant sur son menton.

Ils se retirèrent tout de suite, mais ils furent remplacés immédiatement par les trois autres. Elle fut prise ainsi plusieurs fois, par tous les trous. Enculées, baisées, contraintes de sucer. ..Tous ses orifices furent explorés, pénétrés avec méchanceté par ces jeunes trop heureux de l’aubaine.

Pendant que sa mère se fait sauter dans la cabane au fond du jardin, Ambre a été emmenée un peu plus loin, dans une ruelle ou peu de personne mettent les pieds. Diop qui connaît l’endroit a eu l’idée dès qu’il a eu Ambre en charge. C’est le coin des SDF, des sans domicile fixe. 2 SDF sursautent, dérangés pendant qu’ils cuvent le vin qu’ils ont bu dans la journée, en entendant les talons aiguilles d’Ambre qui résonnent dans la ruelle.

Elle hésite et supplie Diop en voyant les SDF mais celui-ci impitoyable la contraint à avancer. Les deux hommes restent allongés par terre, après des années de galère dans la rue peu de choses peuvent encore les surprendre mais la. Bien entendu, ils ne peuvent pas payer mais Diop, grand Seigneur, a décidé de leur offrir Ambre. Il soulève la jupe d’Ambre dévoilant sa chatte aux deux SDF qui pour le coup réagissent. Ils se relèvent péniblement, l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Ambre frémit en les voyant s’approcher d’elle sous les encouragements de Diop qui « vend » sa marchandise.

- Venez les gars, vous pouvez toucher, elle n’attend que ça, venez vous vider les couilles, c’est gratos !

Ambre faillit vomir en sentant l’odeur écœurante qui se dégage des deux hommes. Elle resta muette d’horreur quand un des SDF saisi son sein gauche à pleine main à travers son chemisier. Le deuxième homme s’est agenouillé et il regarde la chatte d’Ambre n’osant pas toucher, la reniflant. Ambre, des sanglots dans la voix, supplie :

- Oh non, Diop, je vous ferais tout ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, pas eux.

- Eh pourquoi pas ? Ce n’est pas parce qu’ils sont exclus par la Société notamment par des bourgeoises comme toi et ta mère qu’ils n’en sont pas moins des hommes.

Un des SDF, celui qui reniflait la chatte d’Ambre, lui enfonça son index et son majeur et commença à les faire coulisser. Diop déboutonne le chemisier d’Ambre faisant saillir sa poitrine. Le SDF s’empresse de lui sucer les seins avec avidité, lui pinçant les tétons avec ses dents faisant couiner de douleur Ambre. Celui qui la masturbe enfonce ses doigts de plus en plus loin et de plus en plus vite, la fente dégoulinante d’Ambre fait un bruit de clapotis.

Les deux hommes extirpent leurs membres impressionnant de leurs pantalons. Diop contraint Ambre à s’agenouiller sur les pavés humides de la ruelle et elle a mal aux genoux. Elle repousse la tête en arrière en sentant l’odeur qui se dégage de leurs sexes tendus. Elle émet une protestation vite étouffée par le membre qui pénètre sa bouche. Le SDF lui agrippe les couettes et fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle alterne entre les deux hommes, les suçant à tour de rôle.

Maitre Panaris arrive suivi de Jean-Yves, toujours bâillonné, dans la ruelle. Il pousse un gémissement sourd en découvrant sa fille en train de faire une pipe a ces deux SDF. Il a déjà vu sa femme se faire baiser à la chaîne dans la cabane par ces jeunes qui semblent infatigables (privilège de la jeunesse) et qui la défonce par tous les trous. Les yeux exorbités, il observe sa fille en train d’administrer une fellation à ces deux hommes repoussant de saleté. Ambre, une queue dans chaque main, les branlent et leur sucent le gland.

Diop la relève soudain et l’entraîne vers une poubelle dans le fond de la ruelle, elle manque s’affaler à cause des talons aiguilles qui glissent sur les pavés. Il la courbe sur la poubelle exposant ses fesses fermes aux deux SDF qui s’empressent de les malaxer, les seins écrasés sur le couvercle. N’en pouvant plus, un d’entre eux, la pénètre de toute sa longueur faisant crier Ambre. Il l’agrippa aux hanches et commença à la pilonner à grands coups de reins. La poubelle, sur roulette, avance toute seul sous les formidables coups de bites du SDF qui a de la ressource. L’autre SDF, à côté, attend son tour en se branlant, le diamètre de sa bite est également très impressionnant.

Celui qui bourre Ambre en ahanant et en soufflant comme une bête se retira de son vagin et éjacula, libérant des traînées de foutre sur le cul d’Ambre. Prostrée, elle reste courbée sur la poubelle. Diop la relève et l’oblige à s’empaler sur la bite dressée du deuxième SDF qui s’est allongé par terre. Elle pousse un cri en sentant la colonne de chair la pénétrer et elle fait la grimace. L’homme commence à lui donner des coups de reins faisant coulisser sa queue dans sa chatte. Ses seins sont secoués par les coups de boutoir de l’homme. Panaris prends des photos pour son album dit il en regardant Jean-Yves. Il l’a contraint à sortir sa queue et à se masturber en regardant sa fille se faire humilier dans cette ruelle sordide.

Le SDF se dégage et s’emparant de ses seins, il coince sa bite entre les deux globes de chair faisant coulisser sa queue, la frottant contre les masses chaudes. A chaque va et vient, Ambre doit téter le gland du SDF. Il ne tarda pas à éjaculer, aspergeant le visage d’Ambre de son foutre. Au même moment, Jean-Yves éjacula, en poussant un cri rauque, souillant les pavés de la ruelle de son sperme.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire vit un véritable calvaire dans la cabane. Après avoir subi le ramonage de ces cinq jeunes, Katia a continué de lui trouver des clients et ce qu’elle redoutait le plus est arrivé. Un de ses voisins, le mari d’une femme austère, qui travaille au Cabinet du Maire a accepté de payer. À genoux, Sophie est en train de se faire enculer par cet homme qu’elle connaît depuis longtemps, qu’elle croise tous les matins, qui a déjà été invité chez elle et elle chez eux. Jamais elle n’aurait cru qu’il rêvait de la baiser comme il était en train de le faire en ce moment.

Il la besogne comme une brute. Il a tout de suite voulu l’enculer. Quand il l’a pénétrée, Sophie a poussée un hurlement strident. Katia lui a immédiatement fessé le cul. Elle sent la bite coulisser dans l’étroit boyau. l’homme est petit et gros, tout le contraire de sa femme, grande, élancée, cette quinquagénaire occupe des fonctions importantes à la Mairie de Bordeaux ou elle est directrice de cabinet. Sophie est poussée en avant par chaque coup de boutoir de l’homme, son gros ventre claque contre ses belles fesses. C’est dans cette position que Jean-Yves découvre sa femme. Il reste stupéfait en reconnaissant son voisin. Il n’en revient pas. Lui ! Un homme si respectable.

L’homme, le visage congestionné, s’active de plus en plus vite dans les entrailles de son épouse qui, la bouche ouverte, halète. Il se retire et tenant sa queue à pleines mains, il se positionne devant le visage de Sophie et se masturbe au-dessus d’elle. Il poussa un cri en éjaculant. Elle reçut des giclées de sperme blanchâtre sur son nez, sa bouche, son menton . Le gros homme se relève et dévisage Jean-Yves avec un air goguenard.

- Eh bien mon cher Jean-Yves, je n’aurais jamais cru que ta femme était aussi salope. Et tu as l’air de ne rien trouver à y redire.

Il ne semble pas plus surpris que ça de le voir bâillonné. Il découvre Ambre, le visage barbouillé de sperme et comprend qu’elle aussi vient de se faire baiser. Il se tourne vers Katia et Panaris.

- Je ne sais pas trop ce que se passe ici, mais je m’en fous, tout ce que je veux c’est pouvoir continuer à baiser cette chienne et devant cette lopette dit-il en désignant Jean-Yves.

- Pas de problème, tant que vous payez ! Lance Panaris.

L’homme sort de la cabane en se rajustant et se dirige tranquillement vers la demeure familiale distante de quelques mètres.

Considérant que la nuit avait assez rapporté d’argent et qu’on ne trouverait plus personne à cette heure avancée de la nuit, Panaris décide de retourner dans le pavillon afin de se reposer. Ambre, Jean-Yves et Sophie, la tête basse le suivent sans dire un mot.

A suivre...