mercredi 17 février 2021

La Femme du Consul Ch. 06

Texte de Coulybaca.

Une soirée entre amis.

Les présentations faites, ils s'assirent sur des poufs, à l'orientale, une table basse couverte de verres et d'amuses gueules les séparant.

Elisabeth offrit un verre à son maître, puis, elle prit place entre les genoux d'Hafid, un des invités, dégrafa sa ceinture, fourragea dans son caleçon et sortit une belle queue déjà dressée qu'elle emboucha séance tenante.

Comme interloquée Odile regardait ce spectacle incongru, Abdou l'invita à l'imiter :

- Allez chérie, honneur à notre hôte... Occupe toi de lui...

Sans un murmure, elle obtempéra dégageant à son tour la flamberge du maître de maison, puis, agenouillée entre ses cuisses, d'un mouvement souple du col elle l'avala avec science et habileté.

Elle le sentait grossir dans sa bouche, elle se retira alors et se mit à lui picorer les couilles, les léchant, les mâchouillant à son grand plaisir, jetant un œil rapide sur Elisabeth, elle vit que celle-ci en hôtesse achevée léchait la hampe de son invité, des couilles au méat qu'elle titillait d'une langue malicieuse avant de reprendre ses caresses labiales sur ses couilles velues de l'ami de son maître. Consciente que la charmante jeune femme déployait un talent consommé, elle ne tarda pas à l'imiter, prenant de la galanterie une nouvelle leçon.

Lassé des ces préliminaires, d'un même mouvement les deux hommes les invitèrent à conclure d'une légère tape amicale sur la tête.

Alors de concert, elles les reprirent en bouche, s'ingéniant à les recevoir au-delà des amygdales, bien au fond de l'arrière gorge, elles ne tardèrent pas à sentir les glorieuses biroutes vibrer entre leurs lèvres.

Conscientes que la fin était proche, elles se firent tendres, accueillantes et ils ne tardèrent pas à vomir des flots de foutre au fin fond de leurs gosiers. Elle avait appris avec Abdou à respirer par le nez lorsqu'il éjaculait dans sa bouche, aussi est-ce avec une certaine facilité qu'elle déglutit et savoura la chaude semence légèrement salée. En bonne petite ménagère, elle s'attarda nettoyant son fut dans le moindre détail avant de le ranger dans son caleçon. Du coin de l'œil, elle vit qu'Elisabeth ayant aussi terminé sa première fellation s'installait entre les cuisses de Nourad, lui proposant les mêmes faveurs, elle s'installa donc entre les genoux de Kamel et l'entreprit à son tour.

Elles satisfairent ainsi les 6 amis avant qu'ils ne prennent à place à table.

Odile enfila alors un tablier de soubrette que lui tendait Elisabeth et la seconda dans le service de table.

Elles devaient passer les plats et rester immobile, jambes écartées à coté de l'individu à qui elles présentaient les mets. Bien entendu l'occasion était belle pour l'invité placé en arrière de tester leurs charmes, aussi furent elles palpées toute la durée de repas, leurs croupes furent pétries, leurs différents orifices doigtés par chacun des invités.

Elles desservirent tandis que les hommes passaient au salon allumer un cigare, puis leurs tâches ménagères accomplies elles vinrent silencieusement offrir leurs charmes.

Odile était bien consciente qu'elle passait là un test, Abdou la proposait à ses amis et entendait bien qu'elle les satisfasse totalement, elle devait donc s'attacher à appliquer toutes les nouvelles techniques qu'il lui avait enseignées pour plaire à ces hommes.

Par chance ils étaient tous bien élevés, et baisables, elle n'avait pas à se forcer outre mesure pour combler leurs désirs.

Mais l'instant n'était plus à la méditation, déjà Ahmed l'attirait sur ses genoux. Elle s'installa à califourchon sur ses cuisses sous l'œil approbateur d'Abdou constatant que déjà elle se comportait en hétaïre expérimentée, suspendue au dessus de son gourdin tendu, elle empoigna la bite de son amant et la positionna au creux de ses babines onctueuses, puis lentement elle s'embrocha un large sourire aux lèvre sur la mentule dressée.

Sa corolle s'ouvrait complaisamment alors qu'avec de petites crispations de ses muscles vaginaux elle l'aspirait véritablement en elle. Ahmed, peu habitué à ce genre de traitement lascif haletait déjà, il commenta pour ses amis :

- Bon sang les gars,  c'est incroyable. Elle aspire ma bite dans sa chatte. Elle me masse la hampe de ses muscles vaginaux. On dirait qu'elle me trait la pine. Ahhhhhhhh... Que c'est bon... Ahhh... Je... Je vais jouir... Ahhhhhhhhhhhhh...

A ces mots elle s'empala jusqu'à la racine sur la bite tressautante, et agita ses muscles internes en un mouvement rotatif qui effectivement provoqua en quelques secondes l'éjaculation de son amant. Il vomit des torrents de foutre dans son utérus accueillant, l'emplissant de ses giclées chaudes.

La saisissant aux hanches il la maintint empalée sur lui savourant la détumescence de sa bite qui s'amollissait dans son conduit palpitant. Enfin elle se releva et du sperme s'écoulant goutte à goutte de la chatte, elle s'approcha d'Abdou guettant un signe de contentement de sa part. Signe qu'il ne tarda pas à lui décerner, mais déjà, assis sur le canapé Nourad la sollicitait.

Elle s'approcha, il tendit la main et lui enfonça tout de go un doigt dans l'anus, elle frémit, bien sûr Abdou la prenait chaque jour et plusieurs par jour par cet orifice, mais de là à admettre que son pertuis appartenait à tous, il y avait un pas qu'elle hésitait à franchir.

Par ailleurs elle n'était pas encore habituée à cette pratique, son anus n'était pas rodé, elle était encore très étroite, l'élasticité de son anneau lui permettant d'admettre de très gros calibres sans faillir et surtout sans en garder de distension trop importante.

Abdou nota son geste de recul et d'un bref signe de tête lui intima de complaire à son copain.

Veulement elle tenta de se relaxer, il en profita pour sortir le doigt de son anus pour l'enduire de sécrétions en le trempant dans sa chatte engorgée de foutre, puis il entreprit de lui dilater le goulot tout en dessinant de petits cercles qui apprivoisaient son œillet frémissant.

Elle se laissait manipuler docilement, il la retourna puis l'attira sur lui, à califourchon, mais le dos contre son ventre, il lui enjoignit alors de le guider, et comme précédemment elle s'empala d'elle-même sur la colonne vibrante, grimaçant sous l'effort, elle avait détourné les yeux de son et seigneur et maître qui enculait lentement Elisabeth visiblement rodée à cette pratique.

Il l'attira sur son ventre et inscrit dans son anus, il s'allongea sur le dos hélant d'un signe Hafid qui attendait cet instant, le moment de la prendre en sandwich.

Ils étaient tous deux ravis, sachant que ce serait là son premier sandwich, son premier sandwich conscient s'entend bien sûr puis qu'Abdou et ses comparses l'avaient déjà possédées ainsi dès la première nuit au bal de l'ambassadeur.

Elle frémit effarouchée et miaula :

- Nonnnnnnn... Je vous en prie... Abdou pas ça... Nonnnn... Je ne veux pas !

S'extirpant du cul d'Elisabeth, Abdou bondit et lui décocha une violente gifle au travers du visage lui rappelant :

- Rappelle toi salope ! Tu n'as rien à refuser, je commande, t'obéis ! J'ai décidé de te prêter à mes amis. Ils veulent te prendre à deux, à trois, te partouzer. Tu ouvres les cuisses, tu détends ton anus, et tu écartes les mâchoires. Compris !

- Oh Oui... Oui... J'obéirai... Ne m'en veux pas... C'était un malheureux réflexe... Avança-t-elle se frottant la joue.

Et servile, elle attira Hafid par la bite et le guida en elle yeux fermés son visage affichant sa crainte et son désespoir.

Il s'enfonça au plus profond de sa chatte alors que Nourad se tenait immobile le temps qu'elle s'habitue à cette double présence qu'elle trouvait incongrue. Ils l'envahirent doucement, sans la brusquer, ce qui atténua notablement la douleur, bien qu'elle en ait les larmes aux yeux, puis au bout de quelques minutes, ils se mirent en branle la labourant alternativement, lorsque l'un reculait, l'autre avançait et ainsi de suite.

Bien coordonnés ils acquirent un certain rythme, ses yeux roulaient dans leur orbite, l'orgasme montait dans ses reins, elle gémissait sourdement en planant aux frontières de l'orgasme :

- Hummmmmmmm... Aggrhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... 

Abdou qui était demeuré en place pour la voir appliquer pour la première fois cette technique lui releva le menton, elle comprit tout de suite son intention, et d'un geste souple du col elle avala sa mentule jusqu'aux burnes frottant contre son nez.

Ce fut un moment de délire fou, jamais elle n'avait connu cela, ils la travaillaient à trois et elle aimait ça! Elle avait verrouillé ses chevilles autour de son chevaucheur de con et agrippait les hanches de son maître à deux mains.

Nourad, la bite serrée dans son œillet fut le premier à cracher son foutre au fin fond de son intestin en mugissant d'une vois rauque :

- Ca y'est... Je... je lui remplis le boyau... Je... Arrrggghhhhhhhhhh... Que c'est bon !

Ces cris provoquèrent immédiatement l'explosion des deux autres qui se vidèrent les burnes dans ses deux orifices restants. Instruite de la qualité des émissions de son maître elle s'empressa de déglutir la chaude semence alors qu'elle sentait de chauds jets de semence lui tapisser la matrice avant de s'écouler entre ses cuisses grandes ouvertes.

Lorsqu'ils se retirèrent, sans même qu'Abdou ait à le lui ordonner, en bonne petit ménagère accomplie, elle prit successivement les trois bites en bouche les nettoyant d'habiles coups de langues, aspirant goulûment les dernières gouttes suintant de leurs méats, avant de les ranger docilement dans leurs caleçons.

Pour terminer la soirée elle s'occupa de la bite du dernier des convives qu'elle n'avait pas encore connu bibliquement, puis elle somnola longuement suçotant la bite de son maître la tête sur ses cuisses.

Enfin, ils prirent congé, elle suça une dernière fois les cinq hôtes tandis qu'Elisabeth accordait la même gâterie à son "homme", puis ils prirent le chemin du retour.

Affalée sur son siège, elle se rengorgea lorsqu'il la félicita pour sa performance, notant cependant qu'elle ne semblait pas encore très performante du trou du cul. Il lui signifia qu'elle allait subir un entraînement spécial d'ici la fin de la semaine et le retour de mari son pour remédier à cette faiblesse.

FIN

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