lundi 15 février 2021

18 Maîtres Ch. 02

 Traduction d'un texte de Penitr8me.

Mon deuxième gang-bang.

Si quelqu'un sort de l'ascenseur, il me verra agenouillée devant la porte de la suite de l'hôtel. Il verra immédiatement que je suis nue, à part des talons aiguilles. Il verra mon manteau soigneusement plié à côté de moi. Mes longs cheveux bruns tombent dans mon dos. Je ne sais pas s'il pourra voir le plug anal dans mon cul. Et il ne verra surement pas les pinces sur mes seins et mon clitoris. Cette vue est pour les hommes qui vont ouvrir la porte.

J'ai encore du mal à croire que mon premier gang-bang a eu lieu il y a juste une semaine. Autrefois, quand j'ai perdu ma virginité, la nuit avant d'aller à l'université, j'ai pensé que j'étais devenue une autre personne, mais ce n'était pas le cas. Après m'être laissée violée par 18 hommes la semaine dernière, j'avais eu l'impression d'être transformée. J'étais rentrée à la maison à l'aube, couverte de bleus et de sperme séché. Le lendemain je me suis demandé « L'avais-je vraiment fait? Ne l'avais-je pas simplement imaginé? J'avais de nouveau contacté le groupe pour organiser une deuxième soirée car je ne pouvais vivre sans cette expérience intense. C'était plus qu'avoir simplement du sexe avec 18 hommes. Chris, le chef du groupe, avait su ce qui m'excitait, un mélange de bondage, douleur et soumission ainsi que la reconnaissance au fond de moi-même que je suis une salope qui doit être utilisée brutalement.

Je prends une profonde inspiration et je frappe trois fois. Je fais une pause et je frappe encore trois fois comme on m'a ordonné de faire. La porte s'ouvre, et comme indiqué, je garde les yeux sur le tapis et les mains dans le dos. J'attends. Je suis contente que les hommes qui vont me baiser ne peuvent voir mes mains, car elles tremblent.

On me place un bandeau sur les yeux et un ball-gag est attaché dans ma bouche. Quelqu'un passe derrière moi pour mettre des attaches en cuir autour de mes poignets et de mes chevilles. Ils attachent mes poignets dans mon dos. Je sens que l'on pose un boitier avec un bouton dans ma main comme la dernière fois. Il s'agit d'une petite lampe rouge que je peux utiliser pour tout arrêter comme le bâillon m'empêche de parler. On me relève et je sens qu'on me met un collier avec une laisse. Je suis ensuite traînée dans la suite. La porte se referme avec un bruit lourd.

On me place dans ce qui me semble être le milieu d'une grande pièce, bien que je n'en sois pas sûre. Mes jambes sont écartées et une barre est attachée à mes chevilles. Je n'ai aucune idée de ce qui se passe et de ce qui va se passer. Bien sûr, je sais que je vais être baisée mais nous n'avons pas parlé des détails comme la dernière fois, juste des limites.

- Messieurs, notre pute est ici!

Je m'attendais à entendre la voix de Chris, mais je ne reconnais pas l'homme qui a parlé. Je sens cette personne mystérieuse bouger ses mains sur mon corps au rythme de ses mots.

- Regardez ces énormes seins, nous avons passé un bon moment à les fouetter la semaine derrière n'est-ce pas? Et ce cul, il était rouge vif quand nous avons fini.

J'entends des murmures d'approbation. Ce souvenir me fait mouiller. Des mains me forcent à me pencher, mes cheveux tombant vers le sol, ma chatte et mon cul bien exposés pour mon public invisible. Après quelques minutes, ils me tournent et me penchent pour m'exposer à une autre partie de la pièce.

- Regardez comme cette putain mouille! Elle est prête à nous servir tous.

Je sens des doigts écarter les lèvres de ma chatte et la pénétrer peu après. Puis la main se retire et je la sens sous mon nez.

- Messieurs, venez voir notre jouet!

On me redresse. Puis je sens des mains sur mes fesses, mes seins. D'autres doigts me pénètrent. Puis des mains saisissent mes cheveux et les tirent. D'autres giflent mon visage et mes fesses. Avec le bandeau sur les yeux, mes sensations sont amplifiées.

- Très bien, très bien, bonne salope!

Les hommes finissent par se réinstaller dans la pièce.

- Donc, la semaine dernière, notre équipe a pris possession de la chatte de notre esclave. Elle nous a bien servi mais elle n'en a pas eu assez n'est-ce pas?

Je hoche la tête.

- Donc nous avons trouvé huit autres gars qui veulent aussi en profiter. Tu veux ça salope? Tu veux 24 bites bien dures?

L'homme mit sa main sur mon menton et me força à hocher de la tête. De toute façon je l'aurai fait, j'ai hâte d'être baisée et plus ils seront mieux ça sera.

- Commençons avec son cul! Attachez-lui les mains par devant et penchez-la là-bas. Laissons la barre d'écartement.

Mon visage est poussé sur le coussin du canapé. Mes hanches sont posées sur le bras du canapé et mon cul se retrouve en l'air. J'ai toujours les jambes bien écartées et attachées à une barre solide. Je sens que l'on retire le plug anal. Je crie derrière mon bâillon car ça fait mal.

- Hé Doc, viens voir, assure-toi qu'elle va bien.

J'entends un homme bouger derrière moi, le claquement d'un gant en caoutchouc que l'on enfile, le son d'un bouchon de bouteille en plastique que l'on ouvre et le son d'un liquide épais qui s'écoule. Puis je sens qu'un doigt est poussé dans mon trou du cul, et pas doucement. Je secoue la tête et le ball-gag se détache. Je commence à hurler mais une main se pose sur ma bouche et mon cri est étouffé.

- Elle est encore très serrée, commençons par une queue mince et ça ira bien. N'oublions pas le lubrifiant.

L'homme sort son doigt. Le gars à la voix inconnue ordonne à ses amis de déterminer qui a la bite la plus mince. Il s'avère qu'il s'agit de l'un des huit nouveaux hommes. Mais ils décident qu'il n'est pas juste qu'un invité prenne mon cul avant un de mes maîtres. Alors ils recherchent la prochaine bite mince. Je ne peux voit tout ça mais j'entends la discussion.

J'entends de nouveau le bouchon de la bouteille de lubrifiant et le « gloup » du liquide. Je me prépare mais cela ne suffit pas à endiguer la douleur intense quand la bite déchire mon cul. Je sais qu'il essaie de pénétrer lentement mais ça ne m'aide pas. Chaque millimètre de pénétration me fait plus mal que le précédent. Je sanglote, mais j'ai toujours une main qui couvre ma bouche et les coussins du canapé qui étouffe mes pleurs.

Finalement, l'homme arrête de bouger. Je suppose donc qu'il a enfoncé toute sa bite, ou du mois tout ce qu'il peut. La douleur dans mon cul s'estompe un peu alors qu'il attend là, ses mains sur mes hanches.

Et alors, il commence à me baiser. Il recule pour mieux me pénétrer. Il commence lentement ses coups de reins mais bientôt il me sodomise avec passion. L'homme qui a sa main sur ma bouche se penche et murmure à mon oreille :

- Tu sais que tu veux ça salope. Tu sais que tu en as besoin petite pute. Tu as besoin de bites dans tous tes trous, tout le temps.

C'est Chris. Je ne peux pas tourner la tête pour le regarder mais je reconnais le son de sa voix. Ça me calme, il a raison. Je ne pourrai jamais profiter d'une double pénétration avant de passer par là. Mais ça n'arrête pas la douleur pour autant. Quelques coups de reins plus tard, je sens que le Maître qui m'encule se raidit et vide ses couilles dans ma cavité anale douloureuse. Il ne bouge plus et grogne avant de se retirer.

- Merde, c'est le cul le plus serré que je n'ai jamais baisé!

Il me donne plusieurs claques sur les fesses. Chris retire sa main de ma bouche et se penche pour me murmurer à l'oreille :

- Ça va? Feu vert?

- Ve... vert. Peut-être... un peu jaune...! Haleté-je encore sous le choc de la douleur.

Chris m'attrape par les cheveux, enlève mon bandeau, et tourne ma tête pour pouvoir me regarder droit dans les yeux.

- Tu as besoin de ça esclave. Tu dois te soumettre à tes Maîtres non?

Je hoche la tête.

- Et maintenant? Demande quelqu'un.

Je regarde Chris, mais il hausse simplement les épaules et fait un signe de tête vers quelqu'un derrière moi.

- Ce n'est pas moi qui dirige ce soir, c'est son tour. Murmure-t-il.

- Amenez sur la table! Ordonne celui qui mène les opérations.

La barre qui écarte mes jambes est retirée. On me relève et me retourne. Je suis portée par deux hommes jusqu'à une sorte de table d'examen médical chez un gynécologue. Mes chevilles sont enchainées sur les étriers, exposant ainsi ma chatte. Mes poignets sont ensuite liés à la table. Je vois un homme s'approcher au-dessus de moi.

- Regardez notre salope, enchaînée et complétement impuissante!

C'est la voix que j'ai entendue tout au début. Maintenant que je peux voir son visage, je me souviens de lui. Ce fut le dernier à jouir sur moi lors de la séance de bukkake de la dernière fois. Son nom est Barry.

- Je ne pense pas que tu ais apprécié que l'on t'encule, n'est-ce pas esclave?

- Non Maître.

- As-tu joui?

- Non Maître.

- Nous allons continuer à te le faire jusqu'à ce que tu aimes ça, jusqu'à ce que tu nous supplies de te sodomiser. Tu le feras tu le sais. Ma queue est trop épaisse pour que je te prenne maintenant salope, mais nous allons continuer à perforer ton cul jusqu'à ce qu'il soit assez large pour ma bite.

Je me dis qu'il a quelque chose à prouver depuis la dernière fois. A moins que je veuille m'en aller, ce que je n'ai pas fait, je me dis que la meilleure chose à faire est d'être plus soumise.

- Oui Maître, je veux votre grosse queue Maître.

Barry sourit et poursuit le déroulement prévu de la soirée.

- Ce petit jeu en ouverture est pour te montrer que même si nous aimons blesser notre esclave, nous pouvons aussi être généreux. Tu n'as pas encore joui, mais bientôt tu iras mieux.

Il me regarde dans les yeux, mais son regard est différent de celui de Chris. Avec celui-ci, j'ai l'impression qu'il sait exactement ce que je veux dans mon profond subconscient de salope. Avec Barry, j'ai l'impression qu'il veut me voir blessée.

- Nous allons nous donner trente minutes pour s'occuper de ta chatte. Je t'ordonne de jouir autant de fois que tu le peux. Mais le nombre de fois que tu jouiras, seras le nombre de coups de fouet que chaque homme te donnera. Mais si tu ne jouis pas du tout, alors tout le monde pourra te fouetter autant qu'ils le voudront.

Il regarde autour de lui et fait un geste pour dire :

- Qui veut commencer? Tim?

Barry brandit une énorme baguette vibrante, avec au bout un accessoire en forme de gode, hérissé de petits bouts blancs et avec une partie incurvée pour le clitoris. Tim s'approche et saisit l'appareil. Il l'allume, augmente la vitesse, et avant que je m'en aperçoive, il écarte les lèvres de ma chatte et m'introduit l'engin. En gémissant, j'essaie de fermer les genoux contre cette invasion.

- Tenez lui les cuisses ouvertes! Ordonne Barry.

Deux hommes interviennent et tiennent mes genoux écartés, si bien que je ne peux plus bouger mes jambes. C'est une humiliation supplémentaire et mon excitation monte d'un cran. Tim bouge le gode dans ma chatte et appuie l'embout incurvé contre mon clitoris. Il appuie sur un autre bouton, ralentit, accélère puis ralentit à nouveau. Il répète l'opération deux fois avant que je ne sente un orgasme me traverser. Je suis surprise que ça ait pris tant de temps. Les hommes applaudissent.

- C'est un gros orgasme! Crie quelqu'un.

- Gardons la dans cet état! dit un autre.

J'essaie de fermer mes jambes pour protéger mon clitoris à vif de l'orgasme qui vient de me terrasser. Généralement c'était le moment où je voulais que mon amant se retire et me laisse me prélasser dans la jouissance. Mais mas Maîtres avaient d'autres plans. Quelqu'un, Josh je crois, se présente entre mes cuisses et commence à titiller mon clito trop sensible avec sa langue. Je commence à crier mais Barry met sa main sur ma bouche.

- Vas-y, lèche cette pute, elle devrait aimer ça.

J'entends à peine son commentaire tellement la sensation est intense. Cela fait très longtemps que l'on ne m'avait fait un cunnilingus. Mon ex-petit ami n'aimait pas le faire et lorsqu'il voulait bien, il le faisait mal. Mais Josh semble apprécier de jouer de sa langue. Il l'enfonce au fond de ma chatte, laissant un bref répit à mon clitoris, mais cela ne dure pas. Il recommence à titiller mon clito, à le lécher, le sucer. Je sens mon corps se réchauffer puis s'embraser quand un deuxième orgasme explose, un orgasme plus fort que je n'ai jamais ressenti. Je ne peux pas crier avec la main sur ma bouche mais je respire fort, tendue comme un câble. Quand je me remets, j'entends les hommes applaudir.

- Regardez cette sale pute! Deux orgasmes coup sur coup! Elle n'en a jamais assez! Rigole Barry.

Mais il semble que ça m'a pris toute mon énergie et le temps est presque écoulé avant que je ne jouisse de nouveau. Je crois que, chacun à leur tour, quatre ou cinq gars ont pris le gode vibrant. Ils le font fonctionner à fond dans ma chatte et sur mon clito. Ils lèchent et sucent celui-ci. Mais il est beaucoup moins sensible. Donc c'est agréable mais pas assez pour que je jouisse.

Un instant plus tard, un des hommes réalise que mes seins rebondissent et surtout sont disponibles pour s'amuser. Tom attrape mon sein gauche et commence à sucer durement le mamelon, le mordillant parfois. Je me souviens de lui qui, la fois d'avant, avait été le premier à éjaculer sur mes seins. Je suis sortie de ma pensée par un autre homme qui attrape mon sein droit et se met à le sucer lui aussi. C'est incroyable! J'ai déjà eu des hommes qui me suçaient les seins, ils aimaient tous ma poitrine. Mais il n'y avait eu jusqu'à présent qu'un seul mec pour mes deux seins, et un côté se sentait toujours un peu négligé. Aujourd'hui je me fais peloter et triturer en stéréo. Je ne sais même plus ce que l'on fait à ma chatte au même moment. Le troisième orgasme vient de la stimulation de mes seins seulement. Je me débats sauvagement alors qu'ils s'accrochent à ma poitrine.

Barry dit à tout le monde qu'il ne reste que quelques minutes alors les hommes continuent à s'acharner sur moi. Il travaille mon sexe avec le gode. Il le pousse jusqu'au réglage le plus élevé jusqu'à ce que j'en tremble. Ils sucent et mordillent mes seins. Ils lèchent ma petite fente. Mais je n'ai pas d'autre orgasme avant la fin des trente minutes.

Barry leur dit alors de ranger le matériel. Puis il me dit :

- Si tu sens que tu vas encore jouir ce soir, avant tu dois nous supplier de te laisser jouir. Nous déciderons alors si tu le peux ou non. Mais si tu jouis sans notre permission tu seras fouettée. Maintenant nous allons te punir pour avoir pris du plaisir. Tu as eu trois jolis orgasmes donc chaque gars va pouvoir te donner trois coups avec ça.

Il sort une cravache. Avec le bout, il suit les contours de mon corps pour finir sur ma chatte trempée.

- Attachez-la!

On m'aide à me relever de la table et on m'amène au milieu de la pièce. Les hommes attachent des chaînes à mes chevilles et mes poignets et ils tirent dessus, m'écartelant. Il remette le ball-gag dans ma bouche ainsi que la petite lampe dans ma main. Je réalise que je n'ai plus de collier dans mon cou. Est-ce bizarre de dire que je me sens toute nue sans cet objet?

Barry met tout le monde en ligne. Je ne sais pas si ça ce fut mieux ou pire que la dernière fois. La semaine dernière, j'avais des hommes qui me fessaient pendant que d'autres cravachaient mes seins au même moment. Cette semaine il y a juste la cravache et un seul homme à la fois, les 23 autres regardant. Je crois que certains me frappent fort car ils se savent surveillés. Certains sont plus nerveux et ne mettent pas beaucoup de force derrière leurs coups. Des hommes frappent mes fesses, d'autres mes seins et d'autres ma chatte, et enfin d'autres alternent sur les parties de mon corps.

Certains utilisent le bout de la cravache, d'autres le corps. Je pense qu'il s'agit de joueurs de baseball, vu l'adresse avec laquelle ils atteignent les parties voulues de mon corps. Je commence à m'ennuyer une peu et je regarde ces hommes qui font la queue. Comme ils sont encore habillés je me concentre sur leurs visages.

J'ai des DVD de gang-bang que j'aime bien regarder. Il y a toujours des scènes qui ne manquent pas de me faire mouiller. Je réalise cependant, en voyant cette file de 24 hommes, que je regarde toujours les visages des femmes dans les films. Je vois leurs expressions dans la douleur, dans la jouissance et même dans une conversation normale lorsque le film est terminé. Mais je n'ai absolument aucune idée de ce à quoi ressemblent les hommes. Il y a des scènes avec des bites mémorables, et quelques tatouages que j'associe avec de la baise brutale ou des coups de fouet, mais je serai bien incapable de reconnaître ces hommes. Pour moi il n'y a que les femmes et ce qu'ils lui font. Ce soir, pour la deuxième fois, il s'agit de moi et de ce qu'on me fait, et de ce que l'on va me faire. Je reconnais la plupart des hommes dans la file et je me retrouve à me souvenir de la façon dont un a poussé sa bite dans ma bouche et baisé mon visage, de la façon dont un autre m'a regardé en me montant dessus.

Mes bras commencent à être douloureux. C'est la première fois que je suis punie aussi longtemps. J'ai l'impression de m'évader de mon corps et de regarder la scène d'en haut, regarder les visages de ces hommes. Certains observent attentivement, d'autres rient avec leurs amis, et d'autres frottent leur entrejambe avec excitation.

Puis la prochaine chose que je sais, c'est que je suis sur le sol et un homme me regarde avec une petite lampe braquée dans mes yeux.

- Elle va bien. Dit-il.

Je réalise que c'est la même voix qui avait un peu plus tôt sondé mon cul. Je suppose qu'il était vraiment médecin. Je bouge mes mâchoires et je me rends compte que je ne suis plus bâillonnée.

Que m'est-il arrivé? Demandé-je.

Ma voix me semble plus faible que d'habitude. Je regarde autour de moi et je vois Chris qui me tient la main, un peu inquiet.

- Tu t'es évanouie, je crois que c'était trop dur et que tu n'étais pas prête.

Il regarde Barry qui est agenouillé de l'autre côté. Celui-ci a l'air un peu énervé et pas concerné par ma faiblesse. Connard!

- Est-ce qu'elle peut continuer?

Le docteur me regarde et dit :

- Oui, mais ne tirez pas sur ces bras.

- As-tu quelque chose à dire salope? Demande Barry.

- Sérieusement, tu n'es pas obligée de continuer ce soir. Si tu ne te sens pas en forme, nous pouvons arrêter maintenant et reprendre une autre nuit. Dit Chris.

Bon sang, je ne sais que faire. Alors que je me remets lentement, la douleur me rattrape. Je peux voir les marques rouges qui couvrent mon corps. Je sens la douleur cuisante de ces balafres. 3 coups pour chacun des 24 hommes? Je ne sais pas combien j'en avais déjà reçu mais je pense que c'est beaucoup déjà. J'ai mal. Et même si l'attitude de Barry me décourage, je suis touchée par l'inquiétude de Chris. Je sais qu'il me respecte et qu'il est tout à fait d'accord pour que j'arrête. D'une certaine façon ça me donne le courage de continuer. Et une partie de moi a envie de dire « Va te faire foutre Barry ». Comme si je veux lui prouver que je peux supporter tout ce qu'il veut me faire. Je veux pousser mes limites. C'est de ça qu'il est question non? J'ai fixé des limites strictes, pas d'excréments, pas de sang, pas d'étranglement, et je sais que mes maîtres les respecteront. Je commence à voir comment mes limites peuvent être poussées selon celui qui dirige les soirées. Jusqu'à maintenant, il n'y a eu que deux Maîtres principaux, que va-t-il se passer quand les 16 autres auront leur chance? Ça pourrait aller. Ou je pourrai arrêter. Ils me regardent tous et je leur retourne leurs regards alors que je suis enchaînée, à leur merci. J'ai l'impression de les décevoir et du coup, me décevoir moi-même. Je veux continuer.

- Je vais bien Maître. Je ne veux pas partir sans avoir été baisée par vous, par vous tous.

- Ok, nous continuons. Qui n'a pas eu l'occasion de fouetter la pute?

Il ne reste que trois hommes à passer. Je suis un peu énervé contre Barry qui tout de suite me remet sur la sellette. Mais je me rappelle que ça fait partie de l'accord. Je veux être leur esclave alors je vais obéir. Je serre les dents et me soumet aux coups de fouet. Je suis contente quand ça finit.

Ensuite, au lieu d'une baise effrénée et désorganisée, Barry mit en place une file d'attente bien ordonnée. Pas étonnant qu'il ait commencé avec mon trou du cul, c'est sa personnalité. Une colonne se forme. Ils m'enchaînent à la table où ils m'ont obligée à avoir trois orgasmes. Cela me semble idiot car ils ne peuvent pas vraiment me toucher à part mon sexe. Mais je suis contente que mes fesses reposent sur la couverture sur la table et qu'elles soient hors de portée. Mes chevilles sont liées aux étriers, mes poignets sont attachés au niveau de mes épaules, laissant mes seins exposés. Mes cuisses sont aussi attachées afin que mes jambes soient bien écartées, me laissant vulnérable à toutes ces bites. Ils remontent légèrement la tête de la table afin que je puisse bien voir la file d'attente pour me violer.

Barry est le premier. C'est bien qu'il ait une grosse bite. Je la sens bien dans ma chatte humide. Après quelques coups de reins, il réussit à mettre un doigt dans mon cul. Mon anus est plus lâche donc avec sa bite travaillant ma chatte, le doigt ne me fait pas autant mal. Mais suis un peu effrayée de l'avenir en pensant qu'il me sodomisera peut-être un jour. Il me baise durement et il ne lui faut pas longtemps avant de déverser son foutre dans mon ventre. Dès qu'il a fini, Chris prend sa place. Je n'ai pas eu de plaisir avec Barry, mais maintenant que Chris me pilonne et me lance son regard intense, je suis excitée. Le regardant droit dans les yeux, je me sens jouir profondément. Chris éjacule un moment plus tard, en grognant comme un tigre alors qu'il pousse sa bite en moi au plus profond qu'il le peut.

Je suis encore sous le choc de mon orgasme si bien que je ne sais pas qui vient ensuite. Dès que Chris se retire, une autre bite bien raide me remplit. C'est tout à fait ce que je voulais ressentir quand je fantasmais d'être soumise à un gang-bang. Je suis remplie encore et encore. La plupart des hommes éjaculent assez rapidement. Mais certains me baisent, se retirent et retournent au bout de la file pour faire durer leur plaisir.

Bien que je me délecte des queues qui glissent dans et hors de moi, je reste immobile, enchaînée à la table. Alors je regarde les hommes qui me baisent, détaillant leur visage au-dessus de moi. J'aime danser et draguer pendant que je danse. Je ferme les yeux et j'imagine que mon partenaire me baise. Je fantasme que j'ouvre les yeux et que je vois son visage sous l'effort. J'ai baisé avec quelques danseurs mais ça n'a jamais été aussi bien que dans mes fantasmes. Mon ancien petit ami était un partenaire de danse qui m'avait paru prometteur, mais l'illusion s'est évanouie rapidement.

Aucun de mes baiseurs de ce soir n'ont eu un contact visuel avec moi, à part Chris. Ils ferment les yeux ou regardent mes seins ou ma chatte.

Je regarde la file et je constate qu'il ne reste qu'une douzaine d'hommes. L'homme actuel décharge dans mon ventre et laisse la place à un autre. Celui-ci a de beaux yeux noirs, des cheveux noirs et une peau d'olivier. Il ne me regarde pas non plus. Je fléchis mes jambes contre les liens. J'aime être étendue comme ça, J'aime ne pas pouvoir protéger ma chatte, ne pas pouvoir fermer mes jambes contre ses hommes et leurs queues.

Je tire sur mes bras et mes poignets, souhaitant passer mes mains sur mes seins. Et j'ai un mini-orgasme rien qu'en y pensant.

Puis vient un autre homme, puis un autre. J'ai préféré la dernière fois où j'étais entourée par tous ces yeux avides de sexe, attendant leur chance de me baiser. Avec cette file d'attente bien ordonnée, chaque homme se vide et s'éloigne ensuite dans la pièce. J'entends une télé avec une émission sportive. De temps en temps, un gars commente quand un autre me baiser durement, l'encourageant à le faire encore plus fort. Quelque fois, quand mon baiseur n'arrive pas à jouir assez vite, quelqu'un derrière lui lui dit de se presser ou de reprendre la file d'attente.

Finalement, il ne reste plus qu'un gars. Ma chatte est badigeonnée de sperme. Je peux le sentir sortir de mon ventre et couler vers mon cul sur le bord de la table. Tandis que le dernier homme me pilonne, Barry demande si quelqu'un veut passer une deuxième fois. Quelques hommes se remettent en ligne. Cette fois ils prennent plus de temps avant d'éjaculer. Et je souhaite qu'ils se dépêchent. Mais dès qu'ils ont fini, je souhaite qu'ils n'aient pas été aussi pressés.

Quand tout le monde a fini de jouir autant qu'il le voulait, Barry vient se tenir au-dessus de moi. Le regard qu'il me lance est glacial. J'ai une boule qui se forme dans mon ventre. Il attrape mes cheveux et se penche vers moi :

- Qu'est-ce que je t'ai dit à propos de jouir salope?

Vlan, la cravache tombe sur mes seins, juste sur mon mamelon le plus sensible, celui qui avait été déjà un peu entaillé. J'essaie de remettre mon cerveau en route, mais mon esprit est aussi abîmé que le reste de mon corps.

Vlan, encore un autre coup sur mon mamelon brûlant. Je hurle de douleur. L'autre main de Barry couvre ma bouche.

- je t'ai dit que tu devais demander la permission de jouir!

Vlan.

- As-tu demandé la permission sale pute?

Vlan.

Je réfléchis. Je me rappelle vaguement avoir joui mais ça me semble si loin. Et je ne peux pas lui répondre car sa main couvre ma bouche et me bâillonne.

Vlan! Je lutte contre mes liens, mais je sais que je ne peux pas protéger mes seins.

Vlan! La douleur est atroce.

Vlan! Je commence à penser aux mots qui peuvent arrêter mon martyre et comment je peux les dire avec ma bouche couverte par la main quand j'entends la voix de Chris.

- Elle n'a pas besoin d'être plus fouettée Barry. Elle ne le sent même plus tellement elle a mal. Tu peux peut-être la punir autrement.

- A quoi penses-tu?

Barry semble méfiant. Je crois qu'il n'aime pas être mis au défi. Mais la suggestion suivante de Chris réussit à lui faire croire que l'idée est bonne pour lui.

- Tu te rappelles combien tu as aimé la semaine dernière lorsque nous l'avons mise sous la douche. Tu te souviens à quel point elle a détesté. Refais-lui ça!

Barry me regarde avec un air vicieux. Il ordonne que l'on me détache et que l'on n'emmène dans la salle de bain. Merde, non, pas encore! J'ai adoré humiliation et la dégradation de la pute que je suis, mais je ne veux pas la douche froide ou la pisse.

Ils me remettent debout et alors qu'ils commencent à marcher vers la salle de bain, je m'échappe en criant :

- NON, NON, NON, NON, NON...

Je m'éloigne en agitant les bras.

- Attrapez-la! Crie Barry.

Je continue à hurler « NON » et je me débats. Barry essaie encore de couvrir ma bouche et je le mords. Je ne crois pas avoir traversé la peau mais je l'ai bien mordu. Alors que je lutte et que je suis épinglée sur le sol, j'entends Chris demander au docteur de regarder la main de Barry. Je me débats encore, futilement, contre les gars qui me tiennent. Mes émotions partent dans tous les sens. Je veux ça, je ne veux pas ça. Je suis excité par toutes ces mains qui me tiennent et je suis malade à la pensée de ce qui va suivre. Je ne sais pas vraiment ce que je veux.

Chris me chevauche pour m'empêcher de ruer et il me gifle durement. Ça me fait taire.

- Regarde-moi! Ordonne-t-il.

Je ne peux pas lui obéir. Je me sens comme un animal piégé. Alors je recommence à me débattre en criant « NON », pas tout aussi fort pourtant. Chris me gifle à nouveau.

- REGARDE-MOI! Commande-t-il.

Je le regarde.

- Utilises-tu tes mots de sécurité?

Je suis confuse. Je ne sais pas. Je ne dis rien.

- Es-tu blessée?

Je suis maintenue durement au sol. Je suis couverte de balafres dues au fouet, Mon visage me brûle à cause des gifles. Ma chatte dégouline de sperme.

- Non! Murmuré-je.

Je suis giflée de nouveau.

- Non Maître! Dit Chris.

- Non Maître! Répété-je.

Je me calme.

- Voilà ton problème. Tu es arrivée avec des idées sur ce qu'il allait se passer ce soir. Une partie de toi pensait que tu pourrais tout contrôler. Mais tu ne désires pas avoir le contrôle, tu le sais très bien. Pourquoi viens-tu ici? Pourquoi te faut-il tant d'hommes? Parce qu'un seul homme qui te contrôle ne te suffit pas. Tu fixes des limites, mais ce que tu veux vraiment c'est que nous contrôlions tout ce qui se passe ce soir. Tu te débats depuis que nous t'avons sodomisée ce soir. Arrête! tu ne vas pas aimer tout ça, mais tu peux le tolérer et tu le toléreras. Si tu te soumets à tes Maîtres, tu peux en retirer du plaisir même si tu n'aimes pas.

Je dois avoir l'air intriguée.

- Oui exactement. Tu as eu mal la semaine dernière lorsque nous t'avons fouettée?

- Oui. Murmuré-je.

- Oui Maître! Ordonne-t-il en me tirant les cheveux.

- Oui Maître.

- Et tu as aimé même si tu as eu mal?

- Oui Maître.

- Je sais ce que tu aimes, je t'ai donné ce que tu voulais parce que tu aimes être dégradée de la façon dont je l'ai fait. Barry ne se soucie pas de ce que tu aimes. Mais ce qui compte c'est ce que nous aimons. Tu es ici pour nous servir, tu es ici pour nous faire plaisir. Nous allons t'utiliser comme nous le voulons même si ça ne te plaît pas. Barry aime bien te faire des choses que tu n'aimes pas. N'est-ce pas Barry?

- Putain c'est vrai! Approuve Barry.

- Tu ne veux pas aller dans la douche n'est-ce pas?

Je sens la panique monter en moi de nouveau à la pensée de la douche. Je commence à frissonner en pensant à l'eau froide et à la pisse chaude. Je secoue la tête, incertaine de pouvoir parler pour lui répondre.

- Chut, calme-toi, écoute ma voix, regarde-moi!

J'arrête de secouer la tête et je le regarde.

- Tu es ici dans une suite d'hôtel. Tu es nue. Il y a 24 hommes nus qui veulent tous te baiser comme tu peux l'imaginer. Regarde autour de toi, sens comme tu es coincée par terre, sens leurs mains sur ton corps.

Je regarde autour de moi et je ne vois que des hommes nus. Je sens la moquette de la suite sous mon dos, sous mes fesses. Je sens les mains me retenir. Peut-être que j'irai sous la douche, peut-être pas, mais je n'en suis pas encore là. Je sens ma respiration ralentir. Je n'avais même pas réalisé que j'étais à court de souffle.

- Pourquoi es-tu ici esclave?

Je réfléchis un moment. Parce que mon petit copain a rompu avec moi? Parce que je sais que je vieillis? Parce que j'ai aimé la séance de la semaine dernière? Mais, tandis que Chris me regarde, je connais la bonne réponse :

- Parce que je veux vous plaire Maître.

- Crois-tu que ça nous plaise que tu paniques comme ça?

- Non Maître.

- Alors? Demande Chris dans l'expectative.

- je suis désolée Maître, je n'aurais pas dû faire ça.

- Mérites-tu d'être punie?

- Oui Maître, je mérite d'être punie.

Il attrape mon visage, ses doigts creusant mes joues.

- Ne répète pas ce que je te dis esclave. Réfléchis à ce que tu as fait, réfléchis à la façon dont tu as protesté quand on t'a enculé! Tu as voulu crier et j'ai dû te couvrir la bouche. Est-ce ainsi que se comporte une bonne esclave?

- Non Maître.

- Quand nous t'avons fouetté, tu t'es évadée dans ton esprit n'est-ce pas? Tu as cessé d'être là et de ressentir ce que nous te faisions. Puis quand on t'a baisée, j'ai vu tes yeux. Tu étais là sans être là. Tu dois être ici, tu dois tout ressentir, TOUT.

Il a raison. Je me suis débattue car ça ne s'est pas passé comme je le pensais. J'avais aimé la semaine dernière, j'avais beaucoup aimé. Mais si les autres soirs, semaine après semaine, c'est simplement une répétition de la première soirée alors ça va m'ennuyer. Je repense à ce que m'a dit Chris quand il tenait ma tête sur le canapé, que j'avais besoin d'être sodomisée pour complètement les accepter. Lutter contre la douleur ne m'aide pas. Je pense que la manière dont Barry dirige les choses est ennuyeuse mais peu importe ce que je pense.

Avec cette prise de conscience, je sens que mon corps se détend et se dénoue. Chris remarque le changement. C'est alors qu'un immense sentiment de honte m'envahit. Bizarre. Je n'ai pas honte d'être le jouet de 24 hommes nus, mais j'ai honte d'avoir déçu mes Maîtres par mon comportement. Pire encore, je l'avais fait devant les autres hommes qu'ils avaient invité ce soir. Chris lit dans mes pensées :

- Oui tu nous as déçu, tu le comprends maintenant. Mais ça va, nous allons te punir et nous serons contents et toi tu te sentiras mieux après. En fait tu vas te sentir de mieux en mieux. Mais nous devons te punir et ce doit être quelque chose que tu ne veux vraiment pas, ou cela ne compensera pas ce que tu nous as fait.

Je sais exactement quelle doit-être ma punition. Et je sais aussi combien ça ne me plaît pas. Je prends une profonde inspiration et je dis :

- Vous devriez m'emmener sous la douche Maître et m'arroser d'eau glaciale.

- Pendant combien de temps?

- Tant que vous le voudrez Maître. Je dois subir jusqu'à ce que vous décidiez d'arrêter.

- Bonne réponse! Et c'est tout?

- Non! Vous devriez tous me pisser dessus aussi, Vous tous.

- Vas-tu te débattre?

- Non Maître.

- Avons-nous besoin de t'attacher?

Je réfléchis. J'aime être attachée. Mais il s'agit d'une punition. Ça va être difficile de supporter sans contraintes mais je sais que je dois le faire.

- Non Maître, je resterai immobile sans être ligotée.

- Vas-tu t'évader dans ta tête?

- Non Maître, je vais rester consciente de tout.

- Si tu te mets à rêver une seule seconde je le saurais

Je hoche la tête.

- Alors, « FEU VERT » pour être punie? Et si tu te comportes bien nous te récompenserons en te baisant comme tu aimes.

- Oui Maître « FEU VERT »

Chris demande aux autres hommes de me relâcher. Quand ils se préparent à m'aider pour me relever Chris intervient :

- Non, elle peut très bien ramper! Avance esclave!

Je me mets à quatre pattes et lentement je commence à ramper vers la porte de la salle de bain. Je sens une main me fesser le cul assez fort, puis une autre. Je continue à avancer. Je me concentre sur la sensation de la moquette sous mes genoux et mes mains. Je me concentre sur le claquement des mains sur mon cul nul et douloureux. Je me concentre sur ce que j'avais fait et comment j'allais compenser. En suivant les ordres de mes Maîtres, je trouve la salle de bain et je me couche sur le dos dans la douche pour attendre ma punition.

La douche de cette suite est encore plus grande que celle du dernier hôtel. Elle a trois pommes de douche et une douchette que s'empresse de prendre Barry. Il ouvre en grand l'eau et je suis frappée par quatre sources d'eau glacée. Je veux crier, mais je ne le fais pas. Je veux me rouler en boule, mais je reste allongée à plat. Je me concentre sur ma respiration et je sens l'eau froide couler sur mon corps. Je repense à ce que Chris m'a dit, que je peux le tolérer même si je n'aime pas. Je me rappelle que ce que j'aime a peu d'importance, que seul compte ce que mes Maîtres aiment. Je peux haïr ma punition, mais aimer me soumettre à cela.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Je tremble. J'ai l'impression que ça dure depuis longtemps mais ce n'est sûrement pas le cas.

- Alors esclave? Veux-tu que je m'arrête? Demande Barry.

Je prends une profonde respiration du mieux que je peux sous le jet froid et je réponds :

- Peu importe ce que je veux Maître. Vous le faites aussi longtemps que vous le voulez.

- Bien esclave.

Malgré l'eau froide, je ressens un peu de chaleur. L'homme laisse couler l'eau quelques secondes de plus. Quand il éteint, mes dents claquent et je frissonne, mais je me sens mieux. Je prends une autre profonde inspiration en me rappelant que je ne peux échapper à ce qui va suivre.

Je n'ai pas réalisé à quel point l'endroit est chic. Il y a une grande baignoire dans cette salle de bain. Un homme me prend et me met dans cette baignoire. Puis les autres m'entourent complètement. Il n'y a pas assez de place pour tout le monde, mais ils peuvent se relayer.

Je sais que l'urine est antiseptique. Je sais que ça ne va pas me faire de mal. Je ne peux pas sincèrement fixer une limite à ça. Mais je déteste quand même. Ça réveille certains tabous au fond de mon esprit. Je m'allonge dans le fond de la baignoire et je sens des jets chauds de pisse venir de tous les côtés à la fois. Même si j'avais voulu me recroqueviller ou me cacher, il n'y avait nulle part où aller. Ils me couvrent d'urine des pieds aux cheveux. Plusieurs fois, je me retiens de m'évader, de partir dans un autre fantasme. Ceci fait partie de mon fantasme, je sens que mon visage commence à se tordre de dégoût, mais je me force à me relaxer. Je me concentre sur les sensations sur ma peau, sur l'odeur, sur les commentaires que font les gars. Ils ne disent pas tous quelque chose, mais certains disent que c'est une chose qu'ils voulaient faire depuis toujours mais qu'ils ne croyaient pas pouvoir faire un jour. Je n'aime toujours pas cette idée mais je sens que ma chatte mouille en sachant que je réalise leur fantasme.

Barry revient quand le dernier homme a secoué les dernières gouttes de sa queue :

- Encore un esclave!

- Oui Maître, j'attends le dernier.

- Tu es la dernière. Pisse-toi dessus esclave!

Oui, encore une humiliation. Je laisse mes muscles se détendre et je me force à uriner. Je sens ma propre urine s'accumuler autour de moi alors que je suis encore allongée. Je lève les yeux et je vois Barry et Chris sourire de satisfaction.

- De l'eau chaude maintenant et on la sèche. Mais on ne la baise pas encore. Qui veut la laver? Demande Barry.

Quatre hommes se proposent. Il règle l'eau à une température agréable, pas trop chaude et ils se relaient pour me savonner et me rincer. Ils ne me baisent pas, mais ils ne se gênent pas pour me sonder avec leurs doigts. Pour bien me laver, ils me font mettre dans toutes sortes de positions intéressantes. Quand ils en ont fini, je me sens encore plus excitée qu'au début de la nuit lorsque j'ai eu mes trois orgasmes.

Ensuite ils m'essuient et me conduisent hors de la salle de bain, Ils me font mettre à quatre pattes sur une couverture qui est déjà sur une bâche, peut-être la même que la dernière fois.

Puis Barry annonce que c'est l'heure du bukkake. Ils ont commencé à me prendre en levrette et se faire sucer pour que leurs queues soient prêtes. Ensuite ils m'allongent sur le dos et se vident sur moi. Tout le monde a l'occasion d'éjaculer sur la partie de mon corps qu'il préfère. J'ai beaucoup de sperme sur mon visage et mes seins, mais ils arrivent à couvrir le reste de mon corps. Je suis épuisée. Je veux fermer les yeux et m'endormir, mais je sais bien que je ne peux pas. Je dois rester consciente. En fin de compte, je trouve beau ces jets blancs qui me tombent dessus.

Barry n'est pas le dernier à jouir cette fois. Il est le premier à laisser tomber un énorme tas de foutre pour couvrir mon visage. Chris a plâtré mes seins. Je crois que c'est Andy qui a trouvé mes pieds. 24 hommes, ça fait beaucoup de sperme même s'ils avaient déjà joui plus tôt. Je suis trempée. Je sais que j'ai l'air d'une actrice porno, recouverte d'une blancheur laiteuse sur une couverture bleu foncé. Je commence de nouveau à avoir chaud. J'espère que quelqu'un va me baiser.

- Ok les gars, faisons une pause, laissons-la sécher.

Barry emmène les hommes dans une autre pièce de la suite en me laissant là.

- Ne bouge pas, ne t'essuie pas, ne te gratte pas, reste comme ça! Ordonne Barry avant de me laisser seule.

Je dois avoir somnolé. Je me réveille quand je sens les doigts de quelqu'un dans ma chatte.

- Ouais, elle est encore mouillée. On peut la baiser encore? Demande-t-il.

Je ne sais pas qui c'est, peut-être l'un des nouveaux.

- Oui bien sûr, Mais ne la laisse pas nettoyer le sperme. Dit Barry de l'autre pièce.

J'ai la sensation d'une pâte sèche partout sur ma peau. Je peux voir que certaines tâches sont simplement brillantes mais d'autres sont de grosses plaques croustillantes de sperme séché. Le gars me remet à quatre pattes et me baise en levrette. D'autres arrivent et commencent à jouer avec mes seins pendant qu'un autre homme me fourre sa bite dans la bouche. Certains de ces gars sont épuisés et ne peuvent plus jouir, mais ils veulent tous me baiser une dernière fois. Ils consultent le docteur et décident que je dois prendre une autre décharge de sperme dans le cul pour la soirée. Je ne crie pas cette fois quand on m'encule, même si ça me fait mal. Je suis même excitée par la douleur.

Après avoir été sodomisée, je sens qu'on me remet sur le dos. Chris me monte dessus et plaque ses mains sur ma tête pendant qu'il me saute. Il demande à deux gars de bien écarter mes jambes et de me tenir bien ouverte.

- Souviens-toi de me demander la permission si tu veux jouir esclave.

- Oui Maître. S'il vous plaît, puis-je jouir? Haleté-je.

- Déjà? Non pas encore!

Il me sourit et s'active un peu plus. Il baisse la tête et suce mes tétons. Il goûte probablement des résidus de sperme sur mes seins. Je gémis en montant mes hanches. Il me pistonne de plus en plus vite. Je le supplie alors :

- S'il vous plaît, s'il vous plaît, puis-je jouir Maître?

- Pas encore! Aboie-t-il.

Je vois ses yeux se voiler et je sens qu'il n'est pas loin de jouir. Il dit alors :

- Maintenant! Jouis maintenant!

Je me lâche en le sentant se vider dans mes entrailles. Je me sens me débattre encore une fois, comme contre les mains qui me tenaient tout à l'heure. Mais cette fois-ci c'est de l'extase, pas de la peur. Je ne veux pas partir, j'aime être retenue, contrôlée. Je veux les sentir me marquer, faisant de moi leur propriété. Quand Chris se retire, une file s'est formée et ceux qui peuvent me baisent encore et encore tandis que d'autres envahissent ma bouche et se font sucer encore et encore.

Je suppose que je me suis encore assoupie. Le pied de quelqu'un tape mon coude. Barry me remet sur mes pieds.

- Nous en avons fini avec toi sale pute! Sors d'ici!

Ils se moquent de moi en me poussant vers la porte. Ils me traitent de salope et prostituée. Ils me disent à quel point je suis dégoûtante de les avoir laissés m'utiliser comme ils l'ont fait. Je ne sais pas pourquoi j'ai aimé, mais je l'ai fait.

Toujours totalement nue, couverte de sperme séché, ils me poussent dans le couloir de l'hôtel. J'entends mes affaires tomber à côté de moi sur la moquette et la porte se fermer sur un claquement.

Je pose mon manteau sur mes épaules. Je sens mes clés dans une poche et mes bijoux d'esclave dans l'autre. Je mets mes chaussures et j'avance lentement vers l'ascenseur.

Je suis sur le point d'appuyer sur le bouton quand la porte de la suite s'ouvre. Chris marche vers moi. Mes cheveux sont raides de sperme quand il les écarte de mon visage. Il attrape le manteau et le retire de mes épaules puis il me suce les seins.

Enfin il m'attrape par les cheveux et me regarde attentivement avant de me dire :

- Ne prends pas de douche avant qu'on ne t'appelle demains. Porte notre sperme jusqu'à ce qu'on te dise que tu peux l'enlever. Nous n'en avons pas encore fini avec toi.

Il retire complètement le manteau, me laissant encore totalement nue dans le couloir. Puis il pousse le bouton pour appeler l'ascenseur. Il m'embrasse fortement en attendant que les portes s'ouvrent. Dieu merci, il n'y a personne à l'intérieur. Il me pousse toujours nue dans la cabine, détaillant mon corps meurtri et tâché de sperme. Juste au moment où les portes se referment, il jette le manteau à mes pieds.

J'ai subi un genre de gang-bang complètement différent. Je n'avais jamais été baisée aussi bien et aussi longtemps. Je ne pense pas avoir sucé chaque bite. Cependant je me sens plus satisfaite ce soir que la dernière fois. Je me couvre avec mon manteau et je frissonne en savourant ce dernier moment avec Chris et en pensant avec frayeur de ce qu'ils vont encore me faire.

A suivre...

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