Publié en 2008 sur le blog d'André - Auteur inconnu.
Anne et deux de ses amies ont choisi, ce soir, d'aller en discothèque. Ces femmes d'officiers de marine nationale ont pris soin de confier la garde de leurs jeunes enfants respectifs, pour se réserver la soirée. En effet, leurs maris sont embarqués depuis déjà trois semaines, et pour encore deux bons mois.
Afin de briser cette solitude et cet isolement, ces femmes de militaires ont créé une sorte d'association, par laquelle, elles se retrouvent de temps en temps, par petits groupes.
Ce soir-là, trois d'entre elles, des femmes d'officiers, regroupées par affinités ou niveau social, ont opté pour une soirée en discothèque. Anne, 28 ans, jolie femme de taille moyenne, a laissé pour l'occasion ses deux jeunes enfants pour la nuit, chez ses beaux parents qu'elle a la chance d'avoir presque sous la main. Ce soir, elle a envie de se détendre et de s'amuser un peu.
Les trois femmes sont accostées par des jeunes hommes proches de la vingtaine, pour danser un slow. Pourquoi pas ! se disent-elles. Elles dansent donc chacune d'elle en compagnie de ces jeunes hommes.
Anne est la plus jeune des trois femmes. Les autres sont âgées de 32 et 33 ans. Anne écoute le jeune homme, qui lui caresse le dos en lui parlant de banalités qui finissent par la faire rire. Ce jeune, impertinent, et aux allures de voyou rangé, est intéressé, comme ses copains, par ces trois femmes à la fois jolies, mûres, et bien vêtues de façon classique. Le slow terminé, les deux autres femmes retournent près du bar alors qu'Anne est entraînée à la table des trois jeunes hommes. Elle va y passer la soirée à discuter, rigoler, et danser de temps en temps. En fait, elle est là pour s'amuser. Vers une heure du matin, ses copines viennent la chercher.
- Anne, tu viens ? On s'en va…
Anne n'a pas le temps de répondre, tandis le jeune homme prend la parole :
- Déjà ! Vous vous couchez comme les poules, ma parole !
- Et oui ! On a nos enfants à récupérer et demain, il faudra se lever pour les emmener à l'école.
Anne commence à se lever. Le jeune homme, toujours avec beaucoup de toupet rétorque :
- Toi aussi tu as des enfants ? Allez ! Reste. Mesdames, je la ramènerai chez elle, en tout bien et tout honneur.
Après ces propos, Anne se rassoit :
- Bon je reste. Il me ramène. Rentrez bien les filles.
- Comme tu veux Anne.
Les femmes s'embrassent et se quittent. Anne continuera la soirée à danser et à discuter d'elle répondant à chacune des questions indiscrètes du jeune hommes. C'est dans ses propos qu'elle avouera être mariée depuis l'âge de ses 21 ans, ne pas avoir connu d'homme, ni d'expérience avant son mari, se consacrer à l'éducation de ses enfants sans son époux souvent absent.
Anne va danser sur la piste. Elle est observée par les jeunes hommes, la regardant de la tête aux pieds en faisant des commentaires. Pour la circonstance, Anne est vêtue d'un pantalon à pinces, et d'une veste tailleur comme seul vêtement, ouvrant un large décolleté. Cet ensemble lui permet à la fois de suggérer une poitrine qu'elle n'a quasiment pas, de cacher ses fesses plates et ses hanches élargies par le double accouchement de ses enfants. Mais Anne, sous ses airs classiques de femme de bonne éducation, est agréable à regarder, avec ses longs cheveux bruns et son serre-tête.
L'heure de la fermeture est venue. Les deux copains du jeune homme et Anne se regroupent près de la voiture de l'un d'eux. Anne a un peu la tête qui tourne. Elle a bu 2 ou 3 verres de vodka orange; elle qui n'a pas l'habitude de consommer d'alcool habituellement. Après avoir guidé le conducteur jusqu'à son domicile, Anne sort de la voiture et commence à remercier les jeunes hommes, à voix basse, pour la soirée passée.
Il est presque 3 heures du matin. Le petit lotissement résidentiel, dort d'un profond sommeil. Le moteur de la voiture s'arrête.
- On ne va pas se quitter comme ça, tu nous offres un petit verre pour finir ou un café…
Sous la pression des trois effrontés, et la peur d'ameuter le quartier par le bruit des jeunes, insistants, Anne ne peut que les laisser rentrer dans sa maison.
- Évitez de faire du bruit, vous allez réveiller les voisins. Ce sont des officiers et sous-officiers de marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l'on pense n'importe quoi sur moi.
- Alors, il vaut mieux qu'on discute à l'intérieur, n’est-ce pas les gars ?
Après avoir bu un verre et un café, pendant lequel les langues se sont déliées au point de brancher la discussion sur le sexe, les trois jeunes hommes commencent à regarder Anne avec un air intéressé. Anne, fatiguée, est pressée d'aller se coucher.
- Tu dois être en manque de rapport vu les absences de ton mari ? dit l'un d'eux.
- Je suis fidèle à mon mari. Je suis mariée et mère de famille.
- L'un, n'empêche pas l'autre.
- Tu devrais nous sucer tous les trois avant de partir. Ou plus si tu veux ?
Anne, gênée se relève de son fauteuil en se penchant en avant. L'un d'eux en profite pour lorgner dans son décolleté.
- En tout cas, elle porte un soutif en dentelle rose.
- Bon, maintenant je suis fatiguée. J'aimerais aller me coucher. Ne comptez pas sur moi pour faire des cochonneries de la sorte.
- OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va te faire de la publicité dans le quartier. J'imagine peint à la bombe sur tes murs : « Anne, bonne à baiser » ou autres choses. Cela va corroborer avec le fait que tes copines t'ont laissée seule avec 3 mecs. Imagine le scandale. Et ton mari, à son retour, tu y penses. Pense à tes mômes qui vont apprendre que tu sors avec des mecs pour te faire sauter. Alors un conseil, fais-nous plaisir…
- Vous êtes vraiment des porcs.
Se sentant piégée et ne sachant que faire, Anne s'effondre en sanglots. Le leader de l'équipe s'approche d'elle.
- Allez ne pleure pas. On va te consoler. 3 bites à ta disposition. Allez… Mets-toi à poil.
Anne figée, est incapable d'agir. Elle sanglote doucement et occupe ses mains à essuyer ses yeux. Pendant ce temps, le leader déboutonne la veste tailleur d'Anne. Les deux autres se sont placés debout à côté. Ils participent au déshabillage. La veste est retirée doucement, tandis qu'Anne, tremblante, n'oppose pas de résistance.
- Joli petit soutien-gorge. C'est pour faire plaisir à qui, si ce n'est pas à nous ?
Anne porte un petit soutien gorge à balconnet de dentelle rose pâle. Sa petite poitrine (80B) y est parfaitement moulée. La transparence de la dentelle laisse voir les petits mamelons roses se détachant de sa peau blanche.
-" Maintenant, on voudrait bien voir le bas.
Anne a honte.
- Je vous en supplie, laissez-moi. Je suis une femme respectable.
Le leader défait le pantalon d'Anne et le descend sèchement à ses pieds.
- Ouha ! ! ! Le petit slip. La salope !
Des sifflements, des réflexions affluent des trois jeunes hommes en direction d'Anne, restée figée comme une statue au milieu du salon. Elle porte un mini slip de dentelle rose assortie au soutien-gorge. Slip tellement petit, qu'il couvre juste le sexe par une partie triangulaire de dentelle et de tulle. Les parties avant et arrière du slip sont juste reliée par un fin élastique de dentelle. La transparence laisse deviner une petite touffe brune.
- Alors, la petite femme modèle lorsqu'elle est en petite tenue, elle ressemble plutôt à une petite salope.
- Tu vois, tu nous attendais.
- On va bien te baiser, mais avant enlève tes dessous, toi-même en disant : Je suis une salope.
Anne troublée et honteuse retire son soutien en disant à voix basse :
- Je suis une salope, je suis une salope.
Elle baisse ensuite son mini slip en réitérant les mêmes propos sous les sourires et les regards vicieux de son public. Sa toison fraîchement épilée couvre juste la fente de son sexe.
- Ma parole, j'ai du mal à croire que tu es aussi fidèle que ça. Avoue que tu attendais que cela depuis longtemps. Tu ne vas pas être déçue ma belle. Trois d'un seul coup.
-Avec un cul comme le tien on va bien s'amuser. Tu vas sucer mes copains pendant que je te prends en levrette. Allez, mets-toi à quatre pattes.
Anne s’exécute sans rien dire. Elle se positionne à quatre pattes. Le leader lui inflige une fessée pour lui demander d'écarter les jambes. Anne écarte. Cette humiliation supplémentaire l'excite encore plus. Elle est trempée. Elle a l'impression que son sexe coule. L'homme lui enfonce sa bite sans ménagement.
- Ça glisse tout seul. Elle est trempée la salope. Allez suce mes copains maintenant.
Anne engouffre un sexe dans sa bouche. Le va-et-vient de l'un se coordonne avec la fellation de l'autre. C'est la première fois de sa vie qu'elle est dévoilée, nue devant des inconnus, qu'elle subit cette humiliation. Elle découvre une nouvelle forme d'excitation, autre que celle qu'elle imaginait dans ses fantasmes. Anne a l'habitude de se caresser le soir dans son lit durant les longues absences de son mari. Lorsqu'elle rentre le soir de ses réunions, elle se déshabille devant un miroir, elle s'imagine qu'elle le fait devant un public de vicieux, elle se caresse le sexe en pensant qu'un inconnu la viole.
Ce soir, elle vit son fantasme mais ça va plus loin que ce qu'elle imaginait. Anne change de sexe dans sa bouche. Les hommes la tiennent par les cheveux. Le leader la burine, faisant claquer les fesses de sa partenaire. Au moment de jouir, il accélère la cadence ne laissant pas insensible Anne, qui dans un élan de plaisir accélère son rythme.
- Ah je jouis dans cette salope de petite bourgeoise.
Après en avoir terminé avec elle, le Leader laisse sa place pour se boire une bière qu'il s'est procurée dans la cuisine. Anne est aussitôt chevauchée par un deuxième partenaire qui a préféré la prendre par-devant. Placée sur le dos sur le tapis, il lui écarte les jambes au maximum.
- Fais voir ta petite chatte et ton clito. Prends ça ! ! !
Le troisième :
- Tu m'appelles quand tu en as fini avec elle. Je vais boire une bière.
Anne continue à prendre du plaisir et se met à jouir avant que le deuxième de l'équipe n’en ait terminé avec elle. Des gémissements profonds sont sortis de sa gorge tandis que son bas ventre s'est contracté. Le deuxième sentant cela, s'est immédiatement mis à jouir.
- A toi, elle vient de jouir. Remets lui cela…
Le troisième prenant la même position, se met à entamer les mêmes gestes que le précédent. Il ne tardera pas à jouir non plus. Anne épuisée reste allongée, nue, sur le tapis. Les trois jeunes hommes se rajustent et sont sur le point de départ. Il est cinq heures du matin.
- On serait bien restés mais notre devoir nous appelle.
- T'es quand même une bonne salope. Salut Anne et merci. Si tes copines en veulent autant…
La porte se referme et Anne rentre dans la salle de bain pour prendre une douche avant de se coucher épuisée, mais riche d'une expérience qui la motivera pour se caresser durant ses longues nuits de solitudes.
Le lendemain, elle a rencontré ses copines à qui elle a dit qu'un des jeunes hommes l'avait sagement raccompagné chez elle.
FIN
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