Charles-Henri De Fontjoli est le chatelain et le maire d'un joli village de province. Il a 60 ans et il est maire depuis 30 ans. Il a succédé à son père qui était resté près de quarante ans le notable du village. Chez les De Fontjoli, on ne connaît pas la défaite.
Pourtant, cette année, Charles-Henri risque de perdre les élections. Il est devenu la risée de ces concitoyens depuis que circule une photo de sa femme en train de faire une fellation au jeune instituteur du village.
Charles-Henri est furieux contre Marie-Josiane son épouse. Ils se sont mariés il y a quarante ans. Marie-Josiane avait alors 18 ans et il l'avait épousé contre l'avis de sa mère qui la trouvait de trop basse naissance.
- Vous vous rendez compte Marie-Josiane ! Tout le monde rigole dans mon dos ! Vous vous rendez compte qu'ils me traitent tous d'aristocrate cocu ! Fulmine Charles-Henri très en colère.
- Je suis désolé mon époux, je ne voulais pas vous mettre dans l'embarras. Je ne comprends pas, j'ai perdu la tête. Voulez-vous bien m'excuser s'il vous plaît ? Essaie de supplier Marie-Josiane.
Mais Charles-Henri est furieux.
- Vous pardonner ? Alors que vous ne pensez qu'à vous vautrer dans la luxure ? Vous allez faire ce que je vous dis, sinon c'est la porte et le trottoir.
Marie-Josiane a trop peut de perdre tout ce qu'elle a, alors elle baisse la tête en signe de soumission pour montrer à son mari qu'elle accepte la sentence.
Charles-Henri l'oblige alors à monter en voiture et il l'emmène dans une forêt pas très loin. Il la dépose au pied d'un arbre dans un chemin et il lui dit :
- Vous êtes incapable de résister à une bite, eh bien vous allez en avoir. Ici il paraît que c'est un endroit coquin. Si quelqu'un vous aborde et vous demande ce que vous faîtes, vous répondrez que vous être prêtes a faire tout ce que la personne voudra. C'est compris ?
- Oui Charles-henri ! Mais...
- Pas de mais ! Obéissez, je reviendrai vous chercher plus tard en espérant que vous aurez compris la leçon.
Charles-Henri s'éloigne alors en laissant son épouse apeurée appuyée contre un arbre.
Une dizaine de minutes plus tard, elle voit une homme dans la trentaine s'approcher tranquillement. Il la regarde fixement mais elle refuse de le fixer. C'est alors que l'homme lui demande :
- Vous attendez le bus ma petite dame ?
Marie-Josiane ne sait que répondre. Alors elle reste silencieuse, le regard droit devant elle.
- Je peux vous aider ? Que faites-vous là ?
- Je vais... faire ce que vous voudrez. Répond Marie-Josiane en refusant de regarder l'homme.
- Bien, mais tu es trop vieille pour moi, je ne saute que des jeunes. Par contre, tu as l'air d'avoir une belle poitrine, laisse-moi voir tes nichons !
Sans attendre de réponse, il déboutonne le chemisier de Marie-Josiane, sort ses nichons du soutien-gorge et commence à les tripoter sans ménagement. L'épouse du maire le laisse faire sans sourciller et en espérant qu'il se lasse bientôt. Ce qui arrive au bout de cinq minutes. L'homme s'éloigne sans un autre mot.
Dix minutes après, arrive un autre homme. Le rituel est le même, l'homme demande ce qu'elle fait là, elle lui répond qu'elle fera ce qu'il veut.
L'homme commence alors à la toucher de partout. Il tripote ses seins avant de soulever sa jupe et de glisser un doigt dans son intimité. Marie-Josiane a honte et ne sait pas comment réagir.
C'est alors que l'homme baisse son pantalon, prend la main de la femme et la pose sur sa bite semi-bandante.
- Branle-moi ! Ordonne-t-il d'un ton sec.
Marie-Josiane va obéir et masturber l'homme pendant qu'il continue à la doigter et la tripoter. Elle va sentir la queue grossir dans sa main et quelques minutes plus tard, l'homme éjacule dans l'herbe. Il remonte alors son pantalon et s'en va sans rien ajouter.
Quinze minutes plus tard, Marie-Josiane est horrifiée, elle voit un homme qu'elle connaît qui s'approche en souriant. Il s'agit de Paul, un ancien camarade de classe, mais aussi son petit copain avant qu'elle connaisse Charles-Henry. Du jour au lendemain elle l'a laissé tomber comme une vieille chaussette.
Et depuis 40 ans, Paul ne lui a jamais pardonné cette abandon et lâcheté. Il sourit et dit alors :
- Bonjour Madame De Fontjoli ! Vous ici ? Mais que faites-vous donc ? Demande-t-il sarcastique.
Marie-Josiane ne sait que répondre. Elle sait que Paul lui en veut depuis des années. Elle bégaie :
- Bon... Bonjour... Bonjour Paul !
- Alors Marie, tu es toute seule ? Où se trouve ton noble de mari ? Que fais-tu ici ?
- Je... Je dois... obéir aux gens qui passent. Répond-elle en baissant la tête.
- Hein quoi ? Répète ?
- Je dois obéit à ce que veulent les gens qui passent. c'est un ordre de Charles-Henry. Répond-elle doucement en rougissant et en refusant de regarder son ancien petit ami.
- Ah d'accord ! Si je comprends bien, tu as dû jouer à la salope avec ton mari comme tu l'a fait avec moi il y a quarante ans ? Non ?
Comme elle ne répond pas, l'homme continue :
- Oui ne réponds pas ! Mais comme tu dois obéir, je vais bien en profiter ! Quarante ans que je veux toucher ta peau, tripoter tes nichons, fesser ton gros cul de bourgeoise !
Marie-Josiane est effrayée, mais elle ne peut rien y faire, alors elle fixe un point au loin sans rien dire.
Paul en profite alors pour sortir ses seins de son chemisier, les tripoter, sucer les tétons. Puis il soulève sa jupe et baisse sa culotte. Il pétrit son cul et ne se gêne pas pour la doigter.
Après cinq minutes de tripotage intensif, il se déshabille et il demande à son ancienne petite amie de le masturber. Enfin il la force à se mettre à genoux et il lui demande de le sucer. Bien sûr, il n'hésite pas à humilier celle qui l'a rejeté il y a quelques années :
- Bourgeoise salope ! Pute de haut vol ! Tu es vieille, mais tu as de beaux restes, tu arrives à me faire bander. Maintenant fais-moi jouir, salope ! Tu vas avaler mon foutre et ensuite tu me remercieras ! Compris grosse pute ?
Marie-Josiane obéit. elle avale le sperme de l'homme et elle le remercie honteusement. Paul, satisfait, s'habille et lui donne une grande claque sur le cul avant de partir en disant :
- On se reverra salope !
Marie-Josiane est complétement défaite. Elle a honte et elle se demande quand son mari va revenir la chercher.
Elle passe les quinze minutes suivantes à se lamenter et à se demander pourquoi elle a trompé son mari. Elle comprend que son infidélité l'a mené dans ce chemin où elle doit jouer à la pute.
Puis ce sont deux hommes qui arrivent ensemble. Marie-Josiane les connaît bien. ce sont deux fermiers qui louent des terres à son mari. Ils sont rustres et pas très aimables. Elle sait que son mari ne leur fait pas de cadeaux sur les fermages qu'ils doivent, alors elle ne s'attend pas à de la compassion.
Et elle a raison. Les hommes s'approchent d'elle et disent :
- Tiens vlà Mdame De Fontjoli qui joue à la pute dans les bois ! Elle veut se faire sauter par des paysans, la bourgeoise ?
Manifestement les deux hommes ont dû être mis au courant de la situation de Marie-Josiane. Ils n'attendent pas de réponse et ils commencent à déshabiller la femme rouge de honte. Leurs quatre mains couvrent chaque morceau de peau, s'attardent dans tous les endroits intimes. Puis l'un des hommes baissent son pantalon, plaque Marie-Josiane contre l'arbre et guide sa bite dans sa chatte. Il va la baiser debout jusqu'au moment où il éjacule en elle. L'autre paysan prend ensuite le relais, courbe la femme en deux et l'encule sans prendre de précaution.
Les deux hommes vont profiter de Marie-Josiane pendant vingt minutes. Ils vont la baiser dans tous les trous avant de la laisser couverte de foutre, épuisée.
D'autres hommes passeront avant que Charles-Henri ne revienne chercher sa femme. Il la retrouvera complétement soumise, puante l'urine et le sperme. Il a peut-être perdu sa place de maire, mais il a gagné une épouse soumise à tout ses désirs.
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