Récit de Géronimo.
La cabane au fond du jardin.
A quelques kilomètres du pavillon des Guillet de Saint-Hilaire se trouve un centre de formation d’apprentis. Les jeunes qui vont étudier dans ce CFA sont en échec scolaire et tente d’apprendre un métier pour pouvoir s’en sortir. Ils habitent tous dans les quartiers « populaires » de Bordeaux, mais ils viennent régulièrement le soir déambuler dans les quartiers chics dans l’espoir d’apercevoir une jolie bourge qu’ils pourraient draguer, tout en sachant qu’une fille qui habite dans ce quartier ne s’intéresse pas à des jeunes comme eux. Mais le destin réserve parfois de drôles de surprises.
Le dîner a été servi par Ambre et Sophie, habillées en bonniches, et leurs tourmenteurs se sont régalés. Jean-Yves, toujours attaché à son fauteuil, a de nouveau été le témoin de l’avilissement de sa femme et sa fille qui ont dû subir tout au long du repas des attouchements. Chaque fois qu’elles apportaient un plat, Maître Christian Panaris, Diop et surtout Katia, introduisaient leurs doigts dans leurs chattes et leurs trous du cul. Entre le fromage et le dessert, Sophie a dû sucer sous la table Panaris et Diop pendant que Ambre devait lécher la chatte de Katia. Elles ont ensuite débarrassé la table et fait la vaisselle sous la surveillance de Katia qui leur fouette le cul quand elle trouve qu’elles ne vont pas assez vite. Sophie et Ambre ont ensuite été envoyées dans leurs chambres pour s’habiller toujours sous la surveillance de Katia.
Sophie revient dans le salon vêtue d’une longue robe noir fendue sur les côtés laissant apparaître la lisière des bas. On aperçoit à chaque pas l’attache du porte-jarretelles. Elle est perchée sur des talons aiguilles à brides. Un profond décolleté échancré donne l’impression que son opulente poitrine va jaillir de la robe dès qu’elle respire.
Ambre, elle, est toujours habillée genre « petite fille modèle » mais en plus sexy. Un chemisier blanc transparent porté sans soutien-gorge permet de voir ses seins. Une courte jupe écossaise sur des bas blancs avec des talons aiguilles rouges vernis complètent le tableau. La jupe est vraiment courte et on peut voir sa fente par moment. Katia a poussé le vice à lui faire des couettes lui donnant un air de petite fille perverse.
Les entraînant toutes les deux en dehors du pavillon, Panaris leur expliquent qu’elles vont arpenter le trottoir et se débrouiller pour appâter le client. Sophie rechigne disant que ce n’est pas possible, pas devant leurs respectables voisins.
- Je me fous de ce que pourraient penser de toi tes voisins, ma chérie, si ça trouve parmi eux certains ont envie de te baiser depuis longtemps.
Panaris explique que quand elles auront trouvé un client et qu’elles auront discuté tarif avec lui, elles l’emmèneront dans la cabane au fond du jardin qui sert de débarras pour ranger les outils de jardinage de Diop et que celui-ci a déjà aménagé en petite chambre avec un matelas posé à même le sol.
Sous la surveillance de Katia, qui s’y connaît et pour cause, Sophie commença à marcher sur le trottoir, ondulant de la croupe, ses talons claquant sur le bitume, croisant sa fille qui part avec Diop sur le trottoir d’en face.
Jean-Yves a été détaché et emmené dans le jardin pour qu’il puisse assister aux premiers pas dans la prostitution de sa femme et sa fille. Diop l’a bâillonné avec une paire de bas de sa femme roulée en boule qu’il a enfoncé dans sa bouche et qu’une autre paire nouée autour de la tête maintient solidement. Tout ceci afin qu’il ne puisse pas ameuter les voisins. La grille est ouverte et il peut voir passer sa femme et entendre les conseils de Katia, qui lui dit de bouger son cul en marchant. La nuit est tombée mais les réverbères illuminent le quartier presque comme en plein jour. Il frémit en entendant des voix qui se rapprochent.
- Eh les mecs, regardez, je rêve ou quoi ?
Un des jeunes apprentis du CFA qui vient de poser cette question n’en revient pas en découvrant cette femme qui pourrait être sa mère (sauf que sa mère est moche et grosse en tous cas c’est ce qui dit son père) qui approche du groupe d’une démarche ondulante suivie par une autre fille qui leur parait plus jeune. Katia les interpelle :
- Eh les jeunes, ça vous dirait de vous taper une bourge ,
Les apprentis regardent la femme avec des yeux ronds n’en croyant pas leurs oreilles.
- C’est sérieux ? demanda un des jeunes, interloqué.
- Très sérieux, cette bourge est une salope qui veut se faire baiser par des petits jeunes comme vous.
Sophie rougit en entendant cela, mais elle ne proteste pas.
Pour leur montrer qu’elle est sérieuse, Katia contraint Sophie à s’agenouiller sur le trottoir devant eux. Un des jeunes s’avance vers elle et sort sa bite déjà gonflée à bloc. Il l’approche du visage de cette femme si belle dans sa robe de cocktail.
Katia appuie fermement sur la nuque de Sophie. Elle penche la tête et aspire la bite de ce jeune qu’elle ne connaissait pas 5 minutes avant. Sa pine s’engouffre dans la bouche de Sophie qui réprime un haut le cœur. Elle sent que des mains avides saisissent ses seins dans son décolleté, les triturant sans aucune douceur, elle pousse un gémissement quand elle sent qu’on lui pince les tétons. Un des jeunes fit le tour, souleva la robe et enfonça ses doigts dans son vagin dégoulinant.
- Elle mouille cette salope. ! S’exclama-t-il.
Sophie pompe la bite du jeune homme, il donne des coups de reins pour s’enfoncer encore plus loin. Katia relève Sophie sous les exclamations déçues des jeunes.
- Si vous en voulez plus, il faut payer les gars.
- Combien ? demandèrent-ils en lorgnant Sophie Guillet de Saint-Hilaire avec avidité.
- 50 Euros.
Sophie ne connaît pas les tarifs d’une prostituée « normal » mais elle se doute bien que cela va au-delà des 50 Euros. Non seulement elle est contrainte de se prostituer, mais elle l’est au rabais ! Le comble de l’humiliation.
Les cinq jeunes fouillèrent dans leurs poches et arrivèrent à réunir la somme. Katia encaissa et les fit rentrer dans le jardin les dirigeant vers la cabane du jardinier. Ils ne virent pas Jean-Yves dans le fond du jardin. Katia poussa la porte les faisant rentrer. Sophie se retrouva à quatre pattes sur le matelas, la robe troussée. Elle sentit que des mains la prenaient aux hanches et un sexe dur et épais s’engouffra dans son vagin lui faisant pousser un petit cri bref. Le jeune homme entama un va-et-vient rapide faisant claquer son ventre contre ses fesses dodues. Elle poussa un gémissement en sentant la bite qui la limait. Une main la tira par les cheveux et une bite se présenta devant sa bouche.
- Suce salope !
Docile, elle ouvrit la bouche et la queue la pénétra. Elle commença sa caresse buccale avec application pendant que ses seins gigotaient dans tous les sens sous les coups de boutoir du jeune qui la pilonnait avec brutalité. Le gland de celui qu’elle suce heurte son palais et il s’enfonce plusieurs fois aussi loin qu’il le peut manquant de l’étouffer. Des larmes lui viennent aux yeux. Celui qui la baise donne des coups de reins de plus en plus violents et il lâche soudain des torrents de sperme dans son vagin en poussant un râle de plaisir. Celui qu’elle suçait se déversa sur son visage, des traînées de sperme chaud giclant sur ses lèvres pulpeuses coulant sur son menton.
Ils se retirèrent tout de suite, mais ils furent remplacés immédiatement par les trois autres. Elle fut prise ainsi plusieurs fois, par tous les trous. Enculées, baisées, contraintes de sucer. ..Tous ses orifices furent explorés, pénétrés avec méchanceté par ces jeunes trop heureux de l’aubaine.
Pendant que sa mère se fait sauter dans la cabane au fond du jardin, Ambre a été emmenée un peu plus loin, dans une ruelle ou peu de personne mettent les pieds. Diop qui connaît l’endroit a eu l’idée dès qu’il a eu Ambre en charge. C’est le coin des SDF, des sans domicile fixe. 2 SDF sursautent, dérangés pendant qu’ils cuvent le vin qu’ils ont bu dans la journée, en entendant les talons aiguilles d’Ambre qui résonnent dans la ruelle.
Elle hésite et supplie Diop en voyant les SDF mais celui-ci impitoyable la contraint à avancer. Les deux hommes restent allongés par terre, après des années de galère dans la rue peu de choses peuvent encore les surprendre mais la. Bien entendu, ils ne peuvent pas payer mais Diop, grand Seigneur, a décidé de leur offrir Ambre. Il soulève la jupe d’Ambre dévoilant sa chatte aux deux SDF qui pour le coup réagissent. Ils se relèvent péniblement, l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Ambre frémit en les voyant s’approcher d’elle sous les encouragements de Diop qui « vend » sa marchandise.
- Venez les gars, vous pouvez toucher, elle n’attend que ça, venez vous vider les couilles, c’est gratos !
Ambre faillit vomir en sentant l’odeur écœurante qui se dégage des deux hommes. Elle resta muette d’horreur quand un des SDF saisi son sein gauche à pleine main à travers son chemisier. Le deuxième homme s’est agenouillé et il regarde la chatte d’Ambre n’osant pas toucher, la reniflant. Ambre, des sanglots dans la voix, supplie :
- Oh non, Diop, je vous ferais tout ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, pas eux.
- Eh pourquoi pas ? Ce n’est pas parce qu’ils sont exclus par la Société notamment par des bourgeoises comme toi et ta mère qu’ils n’en sont pas moins des hommes.
Un des SDF, celui qui reniflait la chatte d’Ambre, lui enfonça son index et son majeur et commença à les faire coulisser. Diop déboutonne le chemisier d’Ambre faisant saillir sa poitrine. Le SDF s’empresse de lui sucer les seins avec avidité, lui pinçant les tétons avec ses dents faisant couiner de douleur Ambre. Celui qui la masturbe enfonce ses doigts de plus en plus loin et de plus en plus vite, la fente dégoulinante d’Ambre fait un bruit de clapotis.
Les deux hommes extirpent leurs membres impressionnant de leurs pantalons. Diop contraint Ambre à s’agenouiller sur les pavés humides de la ruelle et elle a mal aux genoux. Elle repousse la tête en arrière en sentant l’odeur qui se dégage de leurs sexes tendus. Elle émet une protestation vite étouffée par le membre qui pénètre sa bouche. Le SDF lui agrippe les couettes et fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle alterne entre les deux hommes, les suçant à tour de rôle.
Maitre Panaris arrive suivi de Jean-Yves, toujours bâillonné, dans la ruelle. Il pousse un gémissement sourd en découvrant sa fille en train de faire une pipe a ces deux SDF. Il a déjà vu sa femme se faire baiser à la chaîne dans la cabane par ces jeunes qui semblent infatigables (privilège de la jeunesse) et qui la défonce par tous les trous. Les yeux exorbités, il observe sa fille en train d’administrer une fellation à ces deux hommes repoussant de saleté. Ambre, une queue dans chaque main, les branlent et leur sucent le gland.
Diop la relève soudain et l’entraîne vers une poubelle dans le fond de la ruelle, elle manque s’affaler à cause des talons aiguilles qui glissent sur les pavés. Il la courbe sur la poubelle exposant ses fesses fermes aux deux SDF qui s’empressent de les malaxer, les seins écrasés sur le couvercle. N’en pouvant plus, un d’entre eux, la pénètre de toute sa longueur faisant crier Ambre. Il l’agrippa aux hanches et commença à la pilonner à grands coups de reins. La poubelle, sur roulette, avance toute seul sous les formidables coups de bites du SDF qui a de la ressource. L’autre SDF, à côté, attend son tour en se branlant, le diamètre de sa bite est également très impressionnant.
Celui qui bourre Ambre en ahanant et en soufflant comme une bête se retira de son vagin et éjacula, libérant des traînées de foutre sur le cul d’Ambre. Prostrée, elle reste courbée sur la poubelle. Diop la relève et l’oblige à s’empaler sur la bite dressée du deuxième SDF qui s’est allongé par terre. Elle pousse un cri en sentant la colonne de chair la pénétrer et elle fait la grimace. L’homme commence à lui donner des coups de reins faisant coulisser sa queue dans sa chatte. Ses seins sont secoués par les coups de boutoir de l’homme. Panaris prends des photos pour son album dit il en regardant Jean-Yves. Il l’a contraint à sortir sa queue et à se masturber en regardant sa fille se faire humilier dans cette ruelle sordide.
Le SDF se dégage et s’emparant de ses seins, il coince sa bite entre les deux globes de chair faisant coulisser sa queue, la frottant contre les masses chaudes. A chaque va et vient, Ambre doit téter le gland du SDF. Il ne tarda pas à éjaculer, aspergeant le visage d’Ambre de son foutre. Au même moment, Jean-Yves éjacula, en poussant un cri rauque, souillant les pavés de la ruelle de son sperme.
Sophie Guillet de Saint-Hilaire vit un véritable calvaire dans la cabane. Après avoir subi le ramonage de ces cinq jeunes, Katia a continué de lui trouver des clients et ce qu’elle redoutait le plus est arrivé. Un de ses voisins, le mari d’une femme austère, qui travaille au Cabinet du Maire a accepté de payer. À genoux, Sophie est en train de se faire enculer par cet homme qu’elle connaît depuis longtemps, qu’elle croise tous les matins, qui a déjà été invité chez elle et elle chez eux. Jamais elle n’aurait cru qu’il rêvait de la baiser comme il était en train de le faire en ce moment.
Il la besogne comme une brute. Il a tout de suite voulu l’enculer. Quand il l’a pénétrée, Sophie a poussée un hurlement strident. Katia lui a immédiatement fessé le cul. Elle sent la bite coulisser dans l’étroit boyau. l’homme est petit et gros, tout le contraire de sa femme, grande, élancée, cette quinquagénaire occupe des fonctions importantes à la Mairie de Bordeaux ou elle est directrice de cabinet. Sophie est poussée en avant par chaque coup de boutoir de l’homme, son gros ventre claque contre ses belles fesses. C’est dans cette position que Jean-Yves découvre sa femme. Il reste stupéfait en reconnaissant son voisin. Il n’en revient pas. Lui ! Un homme si respectable.
L’homme, le visage congestionné, s’active de plus en plus vite dans les entrailles de son épouse qui, la bouche ouverte, halète. Il se retire et tenant sa queue à pleines mains, il se positionne devant le visage de Sophie et se masturbe au-dessus d’elle. Il poussa un cri en éjaculant. Elle reçut des giclées de sperme blanchâtre sur son nez, sa bouche, son menton . Le gros homme se relève et dévisage Jean-Yves avec un air goguenard.
- Eh bien mon cher Jean-Yves, je n’aurais jamais cru que ta femme était aussi salope. Et tu as l’air de ne rien trouver à y redire.
Il ne semble pas plus surpris que ça de le voir bâillonné. Il découvre Ambre, le visage barbouillé de sperme et comprend qu’elle aussi vient de se faire baiser. Il se tourne vers Katia et Panaris.
- Je ne sais pas trop ce que se passe ici, mais je m’en fous, tout ce que je veux c’est pouvoir continuer à baiser cette chienne et devant cette lopette dit-il en désignant Jean-Yves.
- Pas de problème, tant que vous payez ! Lance Panaris.
L’homme sort de la cabane en se rajustant et se dirige tranquillement vers la demeure familiale distante de quelques mètres.
Considérant que la nuit avait assez rapporté d’argent et qu’on ne trouverait plus personne à cette heure avancée de la nuit, Panaris décide de retourner dans le pavillon afin de se reposer. Ambre, Jean-Yves et Sophie, la tête basse le suivent sans dire un mot.
A suivre...
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