Traduction d'un texte de Penitr8me.
Mon fantasme se réalise.
Depuis toujours, je fantasme sur l'idée de subir un viol collectif. Je veux des bites, beaucoup de bites, me pénétrant, se vidant sur moi, faisant de moi une esclave. Mais je dois trouver un petit ami assez bizarre pour satisfaire mes multiples désirs. Lorsque l'homme avec lequel j'étais depuis 3 ans me quitte pour une autre femme, je décide alors de réaliser mes fantasmes.
J'avais pris l'habitude de lire certaines publications avec des publicités bien explicites à caractère sexuel. Parfois, incapable de me contrôler, je les lis dans le train, sur le chemin de retour. J'aime quand un homme qui réalise ce que je lis, me regarde fixement. Je décide donc de passer une annonce dans ces pages, de m'exposer comme la prostituée que je rêve d'être. Voici mon annonce : « Secrétaire solitaire désire ardemment un viol collectif. La trentaine, petite avec de belle courbes, 95E de poitrine, 1 mètre 58, 59 kilos. Envoyez des photos de vous et de vos amis. Si votre groupe est sélectionné vous devrez louer une belle suite d'hôtel. Le BDSM est encouragé mais il faudra respecter certaines limites. Vous savez que vous me voulez »
Quelques jours après, je reçois un flot de réponse avec les publicités habituelles. Plus de trente groupes allant de trois à douze hommes me répondent qu'ils veulent me violer. En fin de compte je choisis un grand groupe avec des mecs très mignons. Je le choisis en partie parce qu'ils sont 18 dans le groupe mais aussi parce que j'aime leur réponse :
« Charmante secrétaire solitaire, nos dix-huit queues sont à votre disposition pour que votre fantasme devienne réalité. Nous sommes un groupe de beaux mâles célibataires qui jouent au foot ensemble. Nous sommes costauds et endurants. Nous allons vous dépouiller et vous couvrir de sperme, vous violer à plusieurs reprises, jusqu'à ce que vous nous demandiez d'arrêter (Si vous utilisez les deux mots « FEU ROUGE » nous comprendrons que vous ne pouvez supporter plus et nous arrêterons immédiatement). Si vous n'utilisez pas ces mots, attendez-vous à être baiser violemment. Vous ne pourrez plus marcher pendant au moins trois jours. Il vous faudra bien une dizaine de douches pour enlever le sperme de vos cheveux. Vous serez fouettée et humiliée comme la pute que vous voulez être et vous aimerez chaque minute passée entre nos mains. Vous savez que nous vous voulons. Tous. »
Putain, je veux des queues, je veux de la bite. Dix-huit gars, je mouille rien qu'à l'idée. Je vais être une star de porno pendant une nuit, réalisant enfin mon fantasme.
L'équipe organise la soirée et loue une suite dans le plus bel hôtel de la ville. Tout ce que j'ai à faire est de me montrer désirable et excitée. Ce n'est pas difficile car je n'avais pas arrêté de penser au jour de cette rencontre. De plus lors de nos négociations, les hommes m'avaient ordonné de ne plus me toucher, me masturber ou avoir de rapports sexuels. J'aime cette autorité qu'ils ont mis en place. Ca et ma frustration sexuelle font que je suis prête à sucer n'importe quelle bite.
Je me lave soigneusement et j'applique de la crème sur tout mon corps. Je me rase la chatte et ne garde qu'un petit ticket de métro. J'applique un rouge à lèvres foncé pour faire ressortir ma bouche. J'enfile un corset de cuir noir avec des bas résilles noirs autofixants. Je prends aussi de longs gants. J'aime vraiment le look bondage. Le corset fait gonfler mes seins déjà énormes. Il couvre à peine mes gros mamelons bruns. Il me serre à la taille avec une douleur délicieuse. Mon cul est nu à part les sangles du porte-jarretelle. Ma chatte est complètement exposée. Ils m'ont demandé de ne pas porter de sous-vêtements. Je me cache dans un grand et long manteau et je prends un taxi jusqu'à l'hôtel.
Ils m'ont déjà donné le numéro de la suite, alors je prends l'ascenseur et me retrouve au dernier étage : La suite « Penthouse ». Qui sait, peut-être un d'entre eux écrira un article sur la soirée dans ce magazine dans la rubrique « Cher Penthouse, je n'aurais jamais pensé que ça m'arriverait ».
Je frappe. Auparavant j'entendais des conversations et des rires à l'intérieur mais lorsque je toque à la porte, un grand silence se fait. Au bout d'un moment, un mec magnifique, grand, avec des cheveux noirs et des yeux d'un bleu profond, vient répondre à la porte. Il s'agit de Chris, l'homme avec lequel j'avais correspondu. Il m'invite à entrer et passe derrière moi. Il fait glisser doucement le manteau sur mes épaules, révélant ainsi ma tenue bondage. On aurait pu entendre voler une mouche. Je me sens timide. Je ne sais pas trop comment démarrer mon fantasme. Chris m'avait dit qu'il avait déjà fait cela plusieurs fois mais personne d'autre de son équipe ne l'a jamais fait.
Il pose sa main sur mon dos et me guide vers un premier gars pour me le présenter. Il s'appelle Terry. Je mets mes mains sur ses épaules et je l'embrasse profondément. Sa bouche a un goût de menthe poivrée. Je sens alors les mains de Chris sur mon cul nu. Il me guide jusqu'au prochain gars qui s'appelle Tim. Encore une fois, j'embrasse l'homme profondément en glissant ma langue dans sa bouche. Je sens sa bite durcir contre mon estomac.
Chris me déplace devant chacun des hommes à tour de rôle. Je me sens de plus en plus étourdie. Ils ont tous le goût de la menthe poivrée. Ils ont du tous sucer le même bonbon avant d'arriver. Ils sont tous chauds et ils sentent le sexe. Je perds la notion des noms après Chris, Terry et Tim. En vérité je m'en fiche des noms, je veux de la bite. Je me sens comme une petite fille à Noël qui attende de pouvoir déballer ses cadeaux.
Je parle à chacun d'eux et je sens bien qu'ils deviennent de plus en plus excités. Tout se passe comme il le faut. Certain me passent une main au cul et la plupart d'entre eux regardent mon décolleté incroyablement profond. L'un d'entre eux pose sa main contre ma chatte nue, mais je la saisis, je l'embrasse et le regarde dans les yeux en disant :
- Pas encore!
Finalement, quand j'ai fini mon tour, je regarde cet homme, Gary peut-être... Qui sait... et je lui fais signe :
- Puisque tu es si impatient, peut-être devrais-tu être celui qui me déshabille.
Il me regarde intensément comme s'il pouvait lire à travers moi. Puis il s'approche lentement. Mais Chris l'intercepte et dit en souriant vicieusement :
- Pas encore! Je pense que nous sommes censés te dire que faire putain, et pas l'inverse.
Je suis surprise et choquée un court instant, mais une goutte de mon jus vaginal coule le long de ma jambe et me trahit, indiquant ainsi que je veux être prise en charge de cette façon.
- Penche-toi en avant! Commande Chris.
Il me tient avec un bras tout en frappant mon cul nu avec sa main libre. Je sens la douleur et une autre goutte coule le long de ma jambe.
- Regardez les gars! Vous voyez comment cette putain mouille? Je pense qu'elle a envie d'être baisée! Commente Chris.
Puis il fait le tour de la pièce avec son regard et demande :
- Alors, qui veut baiser cette pute?
Je suis encore appuyée sur son bras mais je peux entendre dix-sept hommes dire «MOI ».
- Pas encore! Dit Chris sévèrement.
Il regarde attentivement le gars qui avait touché ma chatte et il ajoute :
- D'abord nous devons la punir pour avoir essayé de dire à Gary ce qu'il faut faire. Gary? Cette prostituée a besoin d'un coup de fouet.
Chris dégage son bras et, tout en me forçant à m'asseoir sur le canapé il ordonne :
- Peter, Franck, allez chercher les liens, elle doit être attachée pour cette partie.
Puis il me murmure doucement à l'oreille pour que je sois la seule à entendre :
- Feu vert?
- Oui très vert! Murmuré-je en retour.
Il rit puis avec un de ses amis ils me mettent des liens en cuir autour des poignets et des chevilles. Un autre gars me met un collier autour de la gorge. Toutes les manchettes ont un gros anneau en D. Les hommes attachent des chaînes à ces anneaux. Bientôt je ressemble à un prisonnier dangereux. Ils me tirent jusqu'au dos du canapé. Deux gars prennent les chaînes attachées à mes poignets et les fixent à l'avant du canapé pour que je ne puisse pas bouger mes bras. Deux autres hommes attachent les chaînes sur mes chevilles aux pieds du canapé afin que je ne puisse plus bouger les jambes non plus. Étant petite, mes pieds ne touchent presque plus le sol. Je suis sans défense.
- Allez Gary, à toi! Commande Chris.
Je sens une vive douleur sur mon dos alors que quelque chose de mince coupe l'air et frappe ma peau.
- Ça va laisser quelques marques! Merde! Dit Gary.
Il me fouette encore quelques fois puis Chris intervient :
- Attends!
Il agrippe mes cheveux et me regarde dans les yeux.
- Tu mérites ça espèce de pute. C'est toi qui l'a voulu en arrivant à moitié nue dans une pièce pleine d'hommes. Tu mérites tout ce qui va t'arriver ce soir.
Il me donne une énorme claque sur le cul, si forte que je ne peux m'empêcher de sangloter.
- Le ball-gag! Ordonne-t-il.
Immédiatement une grosse boule ronde est poussée dans ma bouche et attachée derrière ma tête. Chris me saisit à nouveau par les cheveux.
- Tu vas te taire putain! Personne ne viendra t'aider maintenant. Et tu ne vas pas gâcher notre plaisir avec tes cris. Tu auras soit cette boule soit une bite dans la bouche toute la nuit vu que tu ne veux pas te taire.
Puis il me fesse avec le plat de sa main, cinq claques violentes qui ajoutent à la douleur du fouet.
- Regardez les gars, regardez ce cul tout rouge. Je pense que nous allons devoir faire une pause avant de recommencer. Jerry, amène les glaçons!
Tandis que l'homme va chercher ce qu'il a commandé, Chris passe devant le canapé et met quelque chose sous mon pouce. Il s'agit d'un petit boîtier avec un bouton poussoir. Il appuie sur ce bouton avec mon pouce pour me montrer que je peux le faire et aussitôt une lumière rouge s'allume. Il me dit :
- Au cas où! Mais je ne pense pas que tu en auras besoin salope affamée de sexe!
Chris repasse derrière moi et soudainement mon cul est en feu, mais pas à cause du fouet mais sous l'effet de la glace. Heureusement que je suis bien bâillonnée sinon mon cri aurait ameuté tout le voisinage. Tout aussi vite, la glace est remplacée par le fouet. Je pense qu'ils se l'échangent entre eux. Puis un autre me donne des claques sur le cul et enfin la glace revient.
- A toi Franck! Dit quelqu'un mais je ne sais pas qui.
Un des hommes devant le canapé échange sa place avec un autre. Mon tourment continue. Certains hommes me fessent, d'autres prennent leur temps et me taquinent la chatte avec le bout du fouet. Et de temps en temps ils appliquent de la glace. Parfois Chris commente leur technique et leur donne des conseils. Je regarde le petit boîtier sous mon pouce, juste une petite poussée et ça s'allumera, mais je ne suis pas prête à arrêter. Ma peau me pique et me brûle, mais je n'ai pas eu droit encore aux bites. Je suis impatiente.
Au bout d'un moment, il semble que chacun des hommes avait pu me fouetter comme il le voulait. Chris était prêt à changer de jeu.
- Ok les gars, levez la mais laissez-lui les chaînes.
Je suis tirée de dessus le canapé et déplacée vers le centre de la pièce. Les deux gars qui tiennent les liens sur mes bras les tirent et celui qui tient mon collier fait de même. Si bien que ma poitrine est poussée en avant. Pendant que j'étais battue sur le canapé, mes seins étaient sortis du corset et maintenant ils étaient complètement exposés. Deux autres hommes tirent sur les chaînes attachées à mes pieds, forçant mes jambes à s'écarter, exposant ma chatte humide.
- Maintenant on va te dépouiller salope! Nous sommes prêts à te voir nue maintenant que tu as été punie. Mais tu veux peut-être être encore plus punie? Dit Chris.
- NON! Dis-je d'une voix étouffée par la balle toujours dans ma bouche.
- Non quoi? Demande Chris en saisissant mes cheveux et en tirant ma tête en arrière pour me fixer dans les yeux.
- Non, je ne veux plus de punition! Dis-je du mieux que je le peux, gênée de voir ma voix trembler.
Je secoue la tête pour mettre l'accent sur ma réponse, tirant sur mes cheveux dans sa main. Il resserre son emprise sur ma chevelure et gronde :
- Dorénavant, à chaque fois que je te poserai une question, tu t'adresseras à moi en tant que Maître. D'accord salope, d'accord esclave?
A chaque exclamation, il me claque le cul déjà rouge vif.
- Comprends-tu?
- Oui Maître! Marmonné-je derrière le bâillon.
- Et tous ces hommes sont tes maîtres ce soir n'est-ce pas?
- Oui Maître! Marmonné-je encore.
Chris fait un signe à un homme à cheveux roux :
- Josh, enlève la boule, je veux entendre notre esclave nous supplier.
Le ball-gag enlevé, mon visage se détend et je fais travailler mes mâchoires endolories. J'avale aussi toute la salive qui s'était entassée dans ma bouche. Mon Dieu, que ça faisait du bien! Mais Chris n'en avait pas encore fini avec moi.
- Appelle-moi Maître! Dit Chris avec un sourire méchant.
- Oui... Maître. M'étrangle-je.
- Et lui, qui est-ce? Demande Chris en désignant le gars roux.
- Mon Maître, Maître.
J'espère avoir bien répondu et j'espère que je me suis bien adressé à lui en répondant. J'ai l'impression que Chris est un peu énervé pour insister comme cela.
- Qui sont tous ces hommes, esclave?
- Ce sont tous mes Maîtres, Maître.
J'essaie de paraître correctement soumise en regardant dans la pièce les dix-sept hommes qui sont en train de se masturber.
- Et qu'est-ce qu'ils vont faire de toi ce soir? Demande Chris durement, en tirant mon menton en arrière pour me forcer à le regarder.
- Ils vont me punir Maître. Dis-je en regardant ses magnifiques yeux bleus.
Je n'ai jamais été aussi excitée.
- Pourquoi vont-ils te punir esclave?
Je connais la réponse qui est en moi, au plus profond de mon âme. C'est une chose que j'avais toujours voulu dire à tous mes copains timides au cours des années.
- Parce que je suis une mauvaise fille et que j'ai besoin de discipline. Haleté-je.
Je me perds dans ses yeux, j'en oublie ma situation. Je ne vois pas le fouet avant que je ne le sente, durement, sur ma chatte. Je glapis avant qu'un autre coup ne tombe :
- Maître, Maître, ça fait mal...
Chris me répond lentement :
- Oui... Tu as été très vilaine mais nous allons te briser et t'éduquer. Nous allons faire de toi la reine des esclaves. N'est-ce pas les gars?
Il regarde autour de lui et ajoute :
- Arrêtez de vous masturber, gardez tout pour cette pute!
Les hommes rient et l'humeur dans la pièce semble moins tendue, mais juste pendant une minute.
- Josh?
Chris commande et tout d'un coup je retrouve la boule dans ma bouche et je sens les sangles mordre mon cou.
Chris fouette ma chatte à plusieurs reprises, ma laissant me tordre de douleur. Je ne peux même pas me protéger car cinq hommes me tiennent solidement. C'est comme si ma chatte était immobile, en attente du fouet. Je crie inutilement à travers le bâillon. Chris regarde un autre homme et lui dit :
- Gary? Fous-la à poil!
L'homme se place devant moi et étudie le corset. J'ai déjà vu des gens se débattre avec mes soutien-gorge mais jamais encore je n'avais porté de corset.
- Comment ça se détache? Demande finalement un Gary perplexe.
Je regarde Chris et je hausse légèrement les épaules, la boule toujours dans ma bouche. Il rigole et fait signe à quelqu'un de desserrer légèrement les sangles du ball-gag.
- Les crochets se défont sur le devant, Maître. Ajouté-je précipitamment peu désireuse de me faire encore fouetter la chatte.
Mon bâillon est à nouveau resserré. Lentement Gary enlève les crochets, un par un en commençant par le bas, enlevant ainsi le minuscule habit décent que j'avais sur moi. Lorsque le dernier crochet est enlevé, mes gros seins retombent. Gary les attrape, les malaxe et les gifle plusieurs fois. Tous les hommes murmurent leur approbation.
- Enlève-lui le reste! Commande Chris à Gary.
L'homme trouve les fermetures éclairs sur mes gants et il arrive à en baisser un vers le bas, mais il est bientôt coincé à cause du bracelet en cuir autour de mon poignet.
- Tenez-lui le bras! Dit Gary à quelques-uns de ses amis.
Trois gars viennent m'entourer, l'un pour tenir mon bras par-devant, un autre par-derrière et le dernier pour tenir ma main gantée. Je peux sentir l'homme derrière moi se frotter contre mon cul. Gary déboucle le bracelet en cuir et le gars qui tient ma main fait glisser le gant le reste du chemin. Gary remet rapidement le bracelet en place. Alors que trois autres hommes s'installent pour prendre mon autre bras et que Gary défait l'autre bracelet, je fléchis le bras et je me débats, en partie pour voir ce qu'ils vont faire et en partie pour faire rebondir mes seins devant leurs visages. Je peux dire que ça leur a fait de l'effet. Je n'aurai pas du probablement déplaire à Chris, mais je n'ai pu m'en empêcher. Je paye ma désobéissance quand il saisit un de mes seins et le tord durement.
- Tu aimes ça hein? Tu ne peux pas t'empêcher de désobéir à tes Maîtres. Mais nous te briserons, tu... Tu obéiras à tous nos ordres.
Il souligne chaque mot en tordant encore plus mon sein. Puis il fait de nouveau signe à Gary.
- Les jambes! Elle doit être totalement nue.
Gary commença à tirer maladroitement sur l'élastique du haut de mes bas.
- Pffff, tu es trop lent! Dit Chris.
Il sort alors un couteau qui a l'air bien tranchant et il le déplace devant mes yeux. Il se penche à mon oreille pendant qu'il passe le bout du couteau sur ma gorge.
- Quoi que je fasse, je t'achèterai le double. D'accord? Feu vert? Murmure-t-il.
Je frissonne, non par la peur de la lame de couteau, mais par le sentiment de tomber dans un puits sans fond. Je hoche la tête, sentant une nouvelle fois mon excitation couler le long de ma jambe. Après mon signe de tête, Chris se penche et découpe mes bas. Je sens le tranchant mais pas la morsure de la lame. Il bataille un peu au niveau des chevilles. Il ordonne à quelqu'un de retirer mes talons aiguilles. Je reste la, un peu déséquilibrée pendant qu'une de mes chaussures est enlevée et le bas tranché. Puis l'homme remet ma chaussure et Chris répète l'opération sur mon autre jambe.
Quand il a fini, il fait courir lentement la pointe de son couteau sur mon corps nu frémissant, jouant avec ma chatte et mes seins tout en me regardant dans les yeux. Les hommes qui me tiennent par les chaînes et les liens m'aident à ne pas m'effondrer comme une vieille serpillière. Bientôt, je suis debout, nue, avec comme seul habillement les manchettes en cuir et mes hauts talons. J'avais toujours voulu vivre ce moment mais la réalité était plus intense que mon fantasme.
- Tu ne te sens pas un peu exposée esclave? Regardez notre salope les gars! Êtes-vous prêt pour cette pute? Dit Chris.
Quelques hommes commencent à défaire leur pantalon, mais ils s'arrêtent quand ils voient Chris me regarder fixement en disant :
- Pas encore!
Ses yeux violent mon corps nu. >Puis il me donne un coup de fouet sur les seins. La boule dans ma bouche étouffe mon cri quand le cuir tombe sur mes mamelons délicats. Je n'avais jamais imaginé cela. Je veux dire que je n'avais jamais imaginé qu'être fouettée m'exciterait même si ça me faisait un mal de chien.
Un autre homme se déplace derrière moi, prend mes hanches dans ses mains et pousse son entrejambe contre mon cul. Puis rapidement il recule et me donne une fessée. Chris et l'homme me batte en rythme, une claque sur mon cul, un coup de fouet, une autre claque, un autre coup de fouet. Après cinq ou six fois, la douleur l'emporte sur l'excitation. Mais les gars n'arrêtent pas. Les 18 hommes vont me fesser et me fouetter. De temps en temps, ils posent des glaçons qui brûlent mes seins et rendent mes mamelons à vif.
Quand j'essaie de fermer les yeux, Chris me gifle le visage :
- Garde les yeux ouverts salope! Tu dois regarder chaque minute de ton humiliation.
Et il ajoute à l'intention de ses amis :
- D'ailleurs, amenez la dans cette chambre!
Sur ces ordres, les hommes me traînent dans la pièce par les chaînes. Dans cette chambre, il y a un grand placard dont les portes sont couvertes de miroirs. Je trébuche et vacille sur mes talons. Chris me place devant le miroir et suit les marques de fouet sur ma poitrine. Il ordonne :
- Tourne-toi, penche-toi et regarde ton cul entre tes jambes!
Je ne peux retenir un petit cri étouffé quand je vois à quel point mon cul est rouge et marqué par les fessées et le fouet. Chris me relève, me regard intensément et me demande froidement :
- En veux-tu plus? Ou devons-nous passer à autre chose?
Je ne peux que lui rendre son regard. J'essaie de réfléchir à ce que je peux dire avec mon bâillon.
-Oh c'est vrai! Je suppose que si nous arrêtons un peu de te fouetter pour te faire obéir, nous pouvons aussi enlever cette boule et te mettre quelque chose de mieux.
Chris fait un signe de tête à un de ses acolytes. Je sens qu'on m'enlève le ball-gag et je l'entends frapper le sol quand l'homme le jette dans un coin.
- Est-ce l'heure des cadeaux? Demande un autre homme.
- Pourquoi pas, c'est une bonne idée. Va chercher les autres jouets Andy! Dirige Chris.
Le gars nommé Andy s'approche avec un plateau sur lesquels il y a plusieurs objets. Mais je ne sais pas à quoi ils servent. Chris sent ma confusion et me demande :
- Sais-tu ce que c'est esclave?
- Non Maître. Dis-je faiblement.
D'un ton malicieux et vicieux, il m'explique :
- Ces petites pinces sont pour tes petits tétons. Andy? Serre-les jusqu'à ce qu'elle te demande d'arrêter. Toutefois c'est toi qui décide de stopper ou non.
L'homme prend un petit cercle chromé avec quatre minuscules vis. Il se penche et suce mon téton gauche jusqu'à ce qu'il durcisse. Je dois étouffer un gémissement de plaisir alors que sa langue titille mon téton à vif. Puis il éloigne sa bouche et enfile l'anneau sur mon mamelon et serre les vis. J'ouvre la bouche pour crier de douleur mais une grosse main me ferme les lèvres.
- Ne crie pas, ou on te remet la boule. Dit une voix rauque.
Je hoche la tête et la main est retirée.
- Trop serrée ma chérie? Sourit Andy.
- Oui Maître! Haleté-je.
- Bien! Dit-il.
Et il serre un peu plus avant de passer à l'autre sein. Quand il a fini, mes tétons sont en feu et je me remets à mouiller.
- On continue. Dit Joyeusement Andy.
Il place alors une plus grande pince avec des petits fils de perles sur mon clitoris. Je peux voir ces fils se balancer doucement quand je bouge et je peux sentir les perles balayer mes cuisses.
- Je pense qu'il est temps pour vous tous de vous soulager avant que vos couilles ne soient complètement congestionnées. Sortez la bâche! Dit Chris.
Je suis tirée sur une grande bâche bleue comme on utilise quand on va en camping. Chris explique les règles du prochain événement :
- Messieurs, il est temps de baptiser notre charmante esclave et de la recouvrir de tous ce que nous pouvons donner. Je veux qu'elle soit couverte des cheveux jusqu'aux orteils. Vous êtes soulagés et elle obtient ce qu'elle mérite pour être une salope à baiser. Préparez-vous, le premier qui gicle gagne un prix!
Pour la première fois de la nuit, je vois une bite. Je suis entourée par les hommes qui se bousculent pour se mettre en position. Certains se laissent tomber à genoux sur le sol. Les autres restent debout tout en se masturbant rapidement. Je suppose qu'ils sont heureux parce qu'ils commencent à jouir presque immédiatement. Un jet blanc frappe mes seins.
- Tom est le premier à gicler! Annonce Chris.
- Ah... C'est parce qu'il est vers les seins, c'est un mec à nichons. Se plaint quelqu'un.
Je vois Tom sourire, secouant sa bite et vidant sa dernière charge sur moi. Bientôt un autre jet de sperme me frappe au visage. Je commence à fermer les yeux.
- Les yeux ouverts salope! Ordonne Chris.
J'obéis et je vois une autre décharge voler vers ma joue. Par contre, je ne peux pas le voir, mais je sens l'humidité baigner mes pieds puis ma cuisse. Puis, mon Dieu, je sens deux jets frapper mes cheveux de chaque côté de moi. Ensuite, c'est mon entrejambe, mes seins, mon visage encore. Ils avaient promis qu'ils me couvriraient de sperme. J'aime cette sensation collante, chaude. Mais ma chatte crie de frustration.
Le dernier homme se branle lentement et commence à être moqué par ses amis. Chris dit alors :
- Hé Barry, Va t'aider avec la bouche de cette pute! Toi salope, ouvre grand!
Chris tord l'anneau sur un de mes mamelons. J'ouvre la bouche et je sens le sexe de Barry sur ma langue. Cela semble faire l'affaire car après deux ou trois coups de langue il commence à haleter.
- Sors! Sur son visage! Ordonne Chris.
Le jet de sperme frappe mon front. C'est une grosse quantité comme si elle avait eu le temps de s'accumuler. Quelqu'un m'incline la tête et ça me coule dans les yeux. Je cligne furieusement, essayant de voir à travers la brume blanche, pendant que les gars acclament Barry. Chris dit alors :
- Bien! Tom? Voilà ton prix : Tu peux l'emmener sous la douche et la nettoyer à l'eau froide pour qu'elle reste en forme. Mais ne la baise pas encore!
Pendant qu'il parle, un autre homme me remet le ball-gag dans la bouche. Un gars blond et barbu me sourit et attrape la chaîne autour de mon cou. Il avait enlevé pantalon et chemise.
- Enlève ces chaussures de pute salope! A moins que tu ne veuilles qu'elles prennent une douche. Dit Tom.
Je lutte pour m'asseoir et atteindre mes pieds. Je tâtonne sur les boucles spongieuses autour de mes chevilles. Andy avance rapidement et enlève mes chaussures tout en caressant mes pieds. Tom me redresse et me remorque jusqu'à la salle de bain. Il me pousse dans l'immense douche à l'italienne.
Tous les gars se sont rassemblés pour regarder le spectacle. La douche possède une petite douchette à main en plus de l'énorme pomme de douche. Tom la saisit et ouvre l'eau. Elle est glacée et je crie, choquée par l'eau froide qui tombe à la fois du plafond et qui sort de la douchette tenue par Tom. J'essaie vainement de me couvrir et de m'accroupir dans un coin, mais l'eau m'atteint quand même.
- Non, Arrêtez s'il vous plaît!
J'essaie de crier, mais mes lèvres ne peuvent que marmonner derrière cette saloperie de boule.
- Hé patron, elle m'a crié quelque chose mais je ne crois pas qu'elle ait dit « Maître »! Puis-je lui pisser dessus? Crie Tom pour couvrir le son de la douche.
- Pas de soucis, elle ne l'a pas interdit dans sa liste! Répond Chris.
Tom arrête l'eau et entre dans la douche. Il attrape sa queue de sa main libre et la pointe sur moi. Un flot d'urine me frappe le visage. Toute l'équipe applaudit, quelques-uns lèvent même les bras en criant « BUT ». Au moins je suis dans la douche et cette fois je suis contente quand Tom ouvre de nouveau l'eau glacée. Je la laisse laver mon humiliation récente. J'avais été curieuse de voir si j'aimais, mais ce n'était pas le cas. De toute façon ça n'a pas d'importance.
- Vous savez les gars, je ne pense pas que notre pute aime les douches, du moins pas celles de pisse. Dit Tom en éteignant l'eau.
- Qui se soucie de ce que notre pute aime? C'est pour cela qu'elle est une esclave. Frotte cette salope! Hurle un gars avec une voix grave.
- Ah oui, la frotter, c'est une bonne idée. Dit Tom en attrapant une grosse brosse de douche.
Il met du savon sur la brosse et il m'ordonne de me lever et d'écarter mes bras et mes jambes. Mais Andy souligne :
- Tu sais, il y a assez de place là-dedans pour qu'on puisse l'enchaîner à nouveau et s'assurer qu'on la récure à fond.
Ils sont tous d'accord pour dire que c'est une bonne idée. Alors une fois de plus je suis enchaînée, étirée et bien exposée. Tom prend la brosse savonneuse et récure mon corps en commençant par-devant. Et même s'il ne s'est passé que quelques minutes depuis la séance sur la bâche, je peux voir que les hommes recommencent à bander en voyant mes seins bousculés par la brosse. Merde, les poils de la brosse me faisaient mal sur les zébrures laissées par le fouet. La sensation de la brosse contre les anneaux sur mes mamelons me coupe le souffle. Ensuite, les gars m'obligent à me tourner et à me pencher pour que Tom puisse aussi brosser mon cul. La brosse tord la pince sur mon clitoris. Je crie fort sous la douleur mais l'eau glacée me frappe. J'ai presque remercié qu'elle m'engourdisse, presque.
Tom attrape la chaîne reliée au collier et me sort de la douche. En regardant Chris, il lui demande :
- Est-ce qu'on la sèche?
- Non, laissons-la comme ça pour le moment. Amène-la sur la bâche!
Je suis remorqué dans l'autre pièce et on me met à genoux. Les hommes forment un cercle autour de moi. Ils sont tous nus à présent et ils caressent lentement leurs bites. Il y a de longues bites, des courtes, des épaisses, des minces mais elles me paraissent toutes belles. Je les veux en moi. Mais il n'est pas encore temps pour mon viol, du moins pas le viol de ma chatte. Un homme m'enlève la boule dans ma bouche et la remplace par autre chose, une bague avec des lanières en cuir. Chris m'explique alors!
- C'est un ring-gag esclave! Ça gardera ta bouche bien ouverte pendant que nous te baiserons. Tu ne vas sûrement pas aimer cela, du moins je l'espère.
Les hommes décrochent les chaînes à mes poignets et mettent une bite dans chacune de mes mains puis m'ordonne de les branler. Pendant ce temps, une queue est poussée dans ma bouche, puis entre et sort pour baiser ma gorge. Si mes mains s'arrêtent de travailler, je reçois immédiatement un coup de fouet sur le cul. Mais je ne peux pas crier à cause du pieu enfoncé dans ma bouche. Il s'agit d'une sorte de danse : branlette, branlette, branlette, jouissance, sperme que j'avale, changement de partenaire, branlette à nouveau et ainsi de suite. Ma bouche me fait mal à cause de l'anneau. Ma salive tombe sur la bâche. Bientôt je fatigue et j'ai froid, je suis dans le brouillard.
Puis je me rends compte que Chris se tient devant moi et pousse sa grosse queue entre mes lèvres étirées. Il recule et replonge sa bite plusieurs fois, m'étouffant presque. Il me regarde toujours profondément dans les yeux. Il est hypnotisant.
Chris ne jouit pas dans ma gorge. Il se retire et ordonne aux hommes de mettre des sangles autour de mes cuisses. Des chaînes sont ajoutées à ces sangles et mes poignets sont à nouveau attachés. Quelqu'un enlève le ring-gag et met trois doigts dans ma bouche pour que je les suce. Ensuite ils me traînent jusqu'au lit. Deux hommes me tiennent les poignets au-dessus de la tête pour bien faire ressortir mes seins. Deux autres tirent sur les chaînes de mes cuisses pour bien écarter mes jambes et deux autres tiennent mes pieds pour qu'ils ne se balancent pas. Je ne me suis jamais sentie aussi exposée et vulnérable. Chris me rejoint et se positionne juste devant moi en me regardant de nouveau profondément dans les yeux. Sa queue brille avec ma salive et semble impatiente.
- Voilà petite pute, c'était l'échauffement, on s'est bien amusé avec ta bouche. Mais maintenant ta chatte va se faire déchirer par toutes ces queues. Tu peux toujours nous supplier d'arrêter. Mais nous allons te violer et tu ne pourras pas nous arrêter. Tes jambes resteront ouvertes jusqu'à ce que le dernier d'entre nous soit passé. Et même, peut-être que quelqu'un d'autre sera de nouveau en forme pour te violer. Tu peux crier, mais on va fourrer des bites dans ta bouche et la baiser pour te faire taire. As-tu quelque chose à dire salope, vide-couilles?
Je suis stupéfaite? Je n'aurai jamais imaginé ressentir tout cela aussi profondément, l'humiliation, la punition. Je ne veux pas que ça s'arrête, mais je suis terrifiée par la suite. Je savais que ça allait me changer d'une manière dont je n'aurai jamais pensé quand j'ai mis cette foutue annonce. Il s'agissait d'un fantasme mais maintenant c'est sérieux. Je peux tout arrêter, ma bouche est libre. Il me suffit de crier « FEU ROUGE », ils reculeraient tous et je pourrai rentrer chez moi. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas aller si loin et ne pas continuer. Chris me fixe encore avec ses yeux brûlants :
- Veux-tu que nous arrêtions?
Je prends une forte inspiration. Mes seins bougent à peine car mes bras sont bien tendus. Et je supplie :
- S'il vous plaît, s'il vous plaît Maître, s'il vous plaît ne me violez pas, ne me faites plus mal, c'est trop pour moi, trop de bites!
Chris sourit. Manifestement il savoure ma prière, il apprécie ma soumission totale. Il pousse sa queue dans mon vagin. Instantanément je jouis quand il me pénètre. Vague après vague je frissonne de mon orgasme.
- Oh, regardez cette pute, elle adore!
Je me débats contre les chaînes, luttant pour fermer mes jambes et le forcer à se retirer. Mais il me pilonne de plus en plus fort. Puis ça se termine et il grogne en déchargeant son foutre dans mon ventre.
Il se retire et a à peine le temps de s'éloigner qu'un autre homme se place entre mes jambes. Gary? Barry? Je n'arrive pas à me souvenir de son nom. Maintenant pour moi ils se nomment tous « Maître ». Je suis leur esclave. Le gars suivant me laboure pendant quelques instants et je jouis de nouveau pendant qu'ils rigolent tous. Ce n'était pas seulement la baise qui me faisait jouir, mais plutôt l'expérience du viol collectif. Je suis marquée par leur sperme au plus profond de moi. Je peux le sentir jaillir, après le quatrième ou cinquième gars, sur mes cuisses. Je commence à pleurer, les suppliant d'arrêter mais je n'utilise pas les mots de sécurité.
- Ferme la sale pute! Crie quelqu'un.
Je suis tirée de telle sorte que ma tête se balance sur le bord du lit et qu'une bite puisse facilement glisser dans ma bouche. Ainsi, je suis violée des deux côtés. Mon esprit s'évade. Je sens le sperme gicler dans mon ventre et dans ma bouche en même temps. Et ça continue, encore et encore. Mes jambes me font mal. Ma chatte et mes lèvres sont meurtries par toutes ces queues. Mais je ne peux pas l'arrêter même si je le veux. En vérité, je ne veux pas arrêter.
Il se passe plusieurs heures. Ils me changent de position plusieurs fois. Ils me mettent en levrette et baise toujours mes deux trous. Ils aiment cette position car mes gros seins rebondissent sous les coups de boutoirs. Certains hommes se glissent sous moi pour les sucer.
Ensuite, ils me déplacent vers le canapé, mettant ma tête sur le coussin et mes hanches sur le bras du canapé, jambes écartées. Je suis baisée pendant des heures. Je ne peux pas crier car j'ai toujours une bite dans la bouche. Mes mâchoires me font mal. Ma gorge se gargarise avec leur sperme. Je m'aperçois qu'ils commencent à fatiguer quand ils torturent plus mes seins que ma chatte.
Juste au moment où je pense que ma chatte va saigner avec tous ces abus, Chris arrête ses amis :
- je pense qu'il est temps de laisser reposer sa chatte.
Je gémis presque de soulagement. Mais j'aurai dû comprendre qu'il n'allait pas me laisser aussi facilement. Je ferme les yeux, et pour une fois il me le permet.
Les hommes me poussent au sol sur mes genoux. Je sens quelqu'un saisir mes cheveux et m'embrasser. J'ouvre les yeux et je me rends compte que c'est Chris. Je sens sa langue pénétrer ma bouche imbibée de sperme. Je pense à lui qui est en train de goûter le jus de tous ses amis. Mais bientôt mes pensées sont détournées. Un homme me remet le ball-gag brutalement dans la bouche. Un autre me pousse pour que je tombe à quatre pattes comme un chien. Deux gars commencent à me sucer les seins. Un autre homme pousse un glaçon dans ma chatte. En même temps, quelqu'un plonge une bite bien lubrifiée dans mon trou du cul. Je n'ai jamais ressenti une telle douleur fulgurante auparavant. J'ai l'impression d'être écartelée. Mon cul est si serré qu'il ne peut pénétrer plus avant.
- Je pense que ce cul a besoin de plus de préparation avant d'être utilisé. Dit Chris avec regret.
Puis il ajoute :
- Mais je vais laisser ma marque afin qu'elle sache que nous possédons chaque morceau d'elle.
Je sens sa main caresser mon cul alors qu'il se prépare à jouir. Dès qu'il éjacule, je sens le sperme en moi et je sais que je suis définitivement à eux.
Ensuite l'action ralentit. Quelque gars ont encore joui, certains dans ma bouche. Finalement Chris clôture la soirée :
- Je pense que notre esclave a été assez violée pour cette nuit. Elle a dû être pénétrée une bonne centaine de fois et même pas dans le cul. Mais nous y travaillerons plus tard. Quelqu'un veut-il encore lui dire quelque chose?
Les hommes rigolent et secouent la tête. Je ne sais pas qui est le plus épuisé.
- Détachez-la et revoyons-la chez elle si elle peut encore marcher!
Ils enlèvent chaînes et sangles et m'aident à me relever. Mes jambes tremblent tellement que je manque de tomber. Je sens quelqu'un m'attraper et me mener vers le canapé. Deux gars me remettent mes talons aiguilles. Ils sont couverts de sperme séché. Deux autres hommes m'aident à me lever et m'emmènent nue vers la porte Un autre arrive avec mes gants et mon corset. Mais Chris secoue la tête et m'aide à enfiler mon manteau. Il dit :
- Elle rentre chez elle nue. Je veux qu'elle ait honte d'elle ce soir.
Puis il se retourne et me regarde dans les yeux :
- Quand tu seras chez toi, tu n'auras pas le droit de prendre une douche avant que 24 heures ne soient passées. Tu dois sentir notre foutre. Rappelle-toi que tu nous appartiens et si tu désobéis, nous le saurons et tu seras punie.
- Oui Maître! Murmuré-je.
Ma langue est si fatiguée que je peux à peine prononcer ces mots.
- As-tu autre chose à dire avant de partir sale pute?
J'arrive à dire ces derniers mots :
- Oui. Pouvons-nous recommencer la semaine prochaine et pouvez-vous amener plus d'hommes avec vous?
A suivre...
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