Récit de Géronimo.
L’éducation de Jean-Yves.
Une fois revenu dans le pavillon des Guillet de Saint-Hilaire, Maître Panaris ordonna à Ambre et Sophie d’aller se doucher et se changer pour la soirée. Jean-Yves dut se déshabiller sous le regard ironique de Katia qui en profita pour l’humilier en le pelotant sans vergogne. Elle lui prend son sexe à pleine main et le masturbe tout en guettant les signes annonciateurs du plaisir sur son visage. Mort d’humiliation, Jean-Yves baisse les yeux.
- Branle-toi, lopette ! lui ordonne Katia, je veux te voir juter.
Honteux, Jean-Yves prend son membre et commence à se masturber. Son poignet effectue des vas-et-vient autour de sa bite, lentement.
- Plus vite ! Pétasse, comment veux-tu y arriver ! lance Katia prise d’un fou rire.
Panaris et Diop se délectent de l’affront qu’est en train de subir Maître Guillet de Saint-Hilaire, Avocat à la Cour. Katia a pris sa badine et elle donne des petits coups secs sur les cuisses velues de Jean-Yves pour l’encourager à aller plus vite. Elle lui prend sa queue à pleine main, l’astiquant violemment, lui griffant sa verge de ses ongles longs, ce qui arrache un gémissement de douleur à Jean-Yves. La prostituée eut une lueur de satisfaction dans son regard froid quand elle sentit la bite durcir dans ses mains.
- Ah ! Tu bandes enfin, je croyais que tu n’allais jamais y arriver, espèce d’impuissant.
Elle prend un plaisir immense à l’insulter. Elle a demandé la permission à Maître Christian Panaris d’en faire son soumis, son esclave sexuel et bien entendu il a donné son accord. Elle l’assied sur un fauteuil qu’elle positionne au milieu du salon bien en vue, le membre dressé à la verticale et elle lui attache les mains avec une corde ainsi que les chevilles aux pieds du fauteuil l’immobilisant totalement. Elle sort un gode de son sac qu’elle enfourne dans sa bouche malgré ses protestations, le bâillonnant avec.
Sophie et Ambre revinrent dans le salon habillées comme leur avait ordonné Christian Panaris devenu leur « Maître ». Sophie est habillée d’une longue jupe et d’un cardigan laissant apercevoir la naissance de ses seins. Elle porte dans les cheveux un serre-tête faisant très « bourgeoise catholique ». Ambre, elle, est vêtue comme une petite fille modèle. Le genre « Couvent des Oiseaux » : Un chemisier blanc, une jupe plissée sur des collants avec des ballerines. Elles restent sans voix en découvrant Jean-Yves, attaché, nu, au milieu du salon, le gode dans la bouche.
Maître Panaris s’approche de Sophie lui glissant une main dans l’échancrure de son décolleté pour lui saisir un sein ferme. Bien entendu, elle ne porte pas de soutien-gorge. Il la saisit aux hanches et ses mains descendent sur ses cuisses commençant à relever sa jupe découvrant le porte-jarretelles et les bas fumés. Il la retourne pour vérifier qu’elle porte bien son Plug.
- C’est bien, Mme de Saint-Hilaire, vous avez votre jouet, mais bientôt vous n’en aurez plus besoin.
- C’est sûr, lance Katia, tout en continuant de branler énergiquement Jean-Yves, à force de prendre des kilomètres de bites dans son cul, il sera tellement élargi que le Plug ne sera plus assez gros.
Elle éclate de rire en disant cela et Sophie rougie violemment sous l’insulte. Panaris lui enfonce deux doigts dans son cul après avoir retiré le Plug et les agitent dedans. Ne voulant pas être en reste, Diop s’appropria Ambre lui demandant une petite gâterie. Ambre s’agenouilla entre les cuisses du grand Black et sortit de ses doigts fins sa matraque de chair. Prosternée à ses pieds, elle prend sa bite dans sa bouche et commence à lui sucer le gland.
Katia s’arrête de branler son esclave pour regarder Ambre Guillet de Saint-Hilaire, réduite au rôle de chienne à dresser et cela l’excite prodigieusement. Folle de désir, elle revient vers Jean-Yves, lui retirant son gode de sa bouche.
- Suce-le, salope !
Jean-Yves s’exécute, le léchant avec servilité, humilié comme jamais. Du coin de l’œil, il voit sa fille tailler une pipe à Diop pendant que sa femme se fait explorer tous les orifices par Panaris. Sophie a été contrainte de s’allonger sur le sol et Panaris à genoux lui lèche sa chatte, lui titillant le clitoris en faisant des bruits de succions écœurant.
Katia s’enfonce le gode dans son vagin et le fait coulisser rapidement entre ses lèvres vaginales. Un cri strident lui fait tourner la tête. Sophie, haletante, le rouge aux joues, vient d’avoir un orgasme sous les caresses précises de Panaris. Elle secoue la tête de droite à gauche en tentant de reprendre sa respiration. Katia fait aller et venir le gode de plus en plus vite dans sa chatte en regardant Jean-Yves qui a une érection d’enfer.
- Tu voudrais bien me baiser, hein sale vicieux, je pourrais être ta fille ! lui crie-t-elle en lui donnant une gifle ! Mais c’est vrai que tu l’as déjà sauté ta fille ! T’es vraiment un pervers !
Jean-Yves baissa les yeux en repensant à ce qu’il avait fait avec sa fille, sous la contrainte certes, mais comment oublier qu’il en avait pris un plaisir immense ?
Il tourna la tête, regardant Ambre continuer sa fellation. Elle a du mal à ne pas s‘étouffer à cause du diamètre impressionnant de la bite de Diop. Il lui pose la main sur sa nuque et appuie dessus pour la contraindre à aller plus loin. Elle fait coulisser la queue entre ses lèvres, de la salive lui coule sur le menton.
Maître Panaris a relevé Sophie et l’a jeté à genoux contre le canapé du salon, juste à côté du fauteuil où est attaché son mari. Sa main agrippa la jupe longue et la releva découvrant le porte-jarretelles et les bas fumés.
- Je vous en supplie. Souffla Sophie.
Cette supplication excita encore plus Maître Panaris. Il haletait collé à Sophie qui agenouillée sur le sol, le buste sur le divan, la tête dans les coussins, les cheveux dans la figure émit un grognement étouffé quand elle sentit quelque chose de dur frôler sa croupe. Christian Panaris s’enfonça brutalement dans son ventre la clouant sur le canapé. Grognant, soufflant, Panaris lui donna de violents coups de reins, la poussant en avant sous ses coups de boutoirs.
Katia, haletante, retira son gode et se pinça le clitoris déclenchant un orgasme foudroyant qui la laissa pantelante. Reprenant ses esprits, elle s’approcha de Jean-Yves avançant le gode luisant de sécrétions vaginales.
- Nettoie ! Espèce de chien.
Soumis, il avança la tête, prenant le gode dans sa bouche, le pompant comme s’il s’agissait d’une queue, salivant dessus, le nettoyant entièrement sous le regard triomphateur de Katia.
Diop émit un râle quand il déchargea son sperme dans la bouche d’Ambre la contraignant à tout avaler. Elle eut un haut le cœur, hoqueta, mais réussi à tout avaler. Malgré toutes les pipes qu’elle a pu faire depuis que Panaris et ses sbires les ont réduits en esclavage, elle n’arrive pas à s’y habituer.
Maître Panaris agite son bassin s’enfonçant dans le ventre de Sophie qui pousse des gémissements étouffées par les coussins qu’elle mord par moment pour ne pas hurler. Elle mouille comme une fontaine en sentant la queue de Panaris la limer furieusement. Son ventre claque contre ses fesses à chaque aller et retour. La saisissant aux hanches il s’activa soudain plus vite en marmonnant.
- Salope, je vais te défoncer.
Il lui donna des coups de reins de plus en plus violents, la faisant crier. Il sortit du ventre inondé de Sophie et la forçant à se retourner il lui lâcha de longues giclées de foutre blanc qui allèrent s’écraser sur son visage.
Panaris a emmené Sophie devant Jean-Yves. Elle le regarde, pitoyable, son visage ravagé par le plaisir qu’elle vient de prendre à son corps défendant, le mascara coulant et les traces de sperme la rendent hideuse. Ambre les rejoint. Katia a encore eu une idée extrêmement perverse. Elle soulève les jupes de Sophie et Ambre, elle baisse le collant d’Ambre sur ses cuisses. Elle saisit fermement la nuque de Jean-Yves et le contraint à lécher la chatte de sa fille.
Panaris lui détache ses mains, et l’oblige à enfoncer un doigt dans la chatte encore dégoulinante de sperme de sa femme pour la branler. Choqué, Jean-Yves veut repousser sa tête mais Katia a une main de fer et le contraint à obéir. Il sort timidement sa langue et, Ambre avançant son bassin, il lèche sa vulve, s’enfonce entre ses lèvres, lui dénichant le clitoris. Ambre pousse un gémissement. Il entend sa femme étouffée un sanglot pendant que Panaris lui aussi a introduit un doigt dans son vagin. Les deux index l’explorent sans ménagements.
Diop arrive et enfonce brutalement un doigt dans le cul d’Ambre. Les deux femmes sont ainsi explorées pendant que Jean-Yves doit toujours téter le clitoris de sa fille qui donne des coups de bassin comme pour une invite muette.
Jubilant, Katia continue d’insulter « son soumis » :
- Salaud, tu branles ta fille et tu bandes comme un taureau et devant ta salope de femme en plus. Vous êtes vraiment des dépravés dans cette famille.
- C’est souvent le cas dans les familles bourgeoises, lui lança Panaris toujours occupé à faire aller et venir ses doigts dans la chatte de Sophie qui halète de plus en plus vite, il ne suffit que d’un déclic pour qu’ils se lâchent et deviennent des esclaves soumis. Quant aux femmes, elles sont en général refoulées et deviennent très vite de vraies salopes.
Jean-Yves, le visage barbouillé de la mouille de sa fille, continue de lui lécher la vulve à grand coups de langues. Ambre pousse de nouveau un gémissement. Katia prend sa badine et fouette violemment Jean-Yves sur les cuisses.
- Allez ! Active-toi, on ne va pas y passer des heures, on a encore d’autres projets pour ta salope de femme !
Jean-Yves enfonça sa langue et mordilla le clitoris de sa fille. Elle poussa un cri quand l’orgasme la submergea. Au même moment, Sophie jouit également et manqua s’affaler par terre si elle n’avait pas été soutenue par Panaris.
Katia obligea Ambre à s’agenouiller entre les cuisses de son père. Comprenant ce qu’elle avait en tête, elle voulut se relever et elle reçu une claque violente sur ses fesses.
- Tu vas sucer ton père, espèce de chienne !
Cela la rendait complètement hystérique de pouvoir humilier ces bourgeois bien pensants. Elle força Ambre à baisser la tête et bientôt le sexe de son père fut à quelques centimètres de sa bouche qu’elle refusait obstinément d’ouvrir. Sophie supplia qu’on leur épargne cette nouvelle humiliation et Jean-Yves voulut protester également. Katia, avec sa badine, cingla le torse de Jean-Yves.
- Toi, la lopette, tu la fermes !
Panaris et Diop obligèrent Sophie à se mettre à genoux également et Diop la fessa la faisant couiner de douleur. Vaincue, résignée, Ambre ouvrit la bouche avalant la bite de son père qui ne put retenir un gémissement. Guidée par Katia qui la tient par les cheveux, elle commença sa fellation, suçant son père. Sa tête monte et descend le long du membre. Katia lui donne des instructions.
- Bouffe lui la bite, Pétasse, suce-lui le gland, lèche-le, caresse-le.
Jean-Yves, le regard fou, observe sa fille lui pomper la queue. Il a honte, mais il sent déjà des picotements venant de son ventre. Il va jouir ! Il est en train de se faire faire une pipe par sa propre fille et il va jouir !
Ambre a pris le sexe de son père dans une main et elle le branle, lui tétant le gland, lui malaxant les couilles. Elle entend les cris de sa mère que Diop continue de fesser.
Jean-Yves poussa soudain un cri rauque et éjacula, libérant un torrent de sperme qui alla s’écraser sur le doux visage de sa fille Ambre. Les filaments s’écrasèrent sur le nez, tombant sur son menton. Katia obligea Jean-Yves à nettoyer le visage de sa fille avec sa langue.
Sophie et Ambre sont attachées avec des cordelettes à rideaux sur le canapé, les cuisses largement ouvertes et Katia s’amuse à leur introduire tout ce qui lui tombe sous la main. Comme c’est l’heure de l’apéritif, elle a eu l’idée du whisky-coca. Ce qui consiste à enfoncer le goulot d’une bouteille de whisky dans la chatte béante de Sophie pendant qu’elle introduit la bouteille de coca dans l’anus de sa fille. Tout cela sous les yeux de Jean-Yves toujours immobilisé dans son fauteuil.
Katia fait coulisser les bouteilles sans prêter attention aux supplications des deux femmes qui poussent des gémissements plaintifs, mais qui ont la chatte trempée.
Elle sourit en pensant à ce que vient de lui dire Panaris. Après avoir mangé, repas servi par les deux soubrettes de service, Sophie et Ambre. Il a l’intention de contraindre Sophie à faire la pute sur le trottoir devant leur pavillon. Il a remarqué qu’il y avait du passage, surtout des jeunes.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours