mardi 29 décembre 2020

Domination familiale Ch. 02

 Récit de Géronimo.

Le Contrat.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire se regarda dans la grande glace dans sa chambre à coucher. Le corps élancé, les longues jambes fines et son orgueilleuse poitrine faisait d’elle une fort jolie femme. Mais aujourd’hui, en s’observant dans la glace, elle ne pouvait s’empêcher de se rappeler ce qui c’était passé vendredi dernier dans le bureau de son patron, Maître Christian Panaris. L’infâme salaud l’avait contrainte par un chantage ignoble aux pires bassesses, l’obligeant à se comporter comme la dernière des salopes. Mais elle devait obéir, elle le savait...Sinon, c’était la prison. Elle n’en avait pas encore parlé à son mari qui en ce dimanche après midi se trouve à la maison avec sa fille Ambre.

Le carillon de la porte d’entrée la fait sursauter. Qui cela peut-il être ? Elle n’attend personne.  Elle entend sa fille qui va ouvrir la porte. Puis des exclamations, des bruits de voix.  

Elle s’observe une dernière fois dans la glace. Elle est vêtue pour le week-end assez simplement d’un pull fin et d’un jeans moulant sa croupe. Elle descend l’escalier et arrive dans le salon, un sourire aux lèvres s’apprêtant à demander à son mari qui a sonné. Ses mots se bloquent dans sa gorge. Elle croit s’évanouir. Maître Christian Panaris est là qui la regarde avec un air goguenard. Jean-Yves, son époux, semble étonné de le voir se présenter à eux un dimanche. Panaris s’approche de Sophie et lui baise la main :

- Chère amie, vous n’avez pas encore parlé à votre mari de notre arrangement ?

Bouleversée, Sophie ne sait que répondre. Sa fille et son mari la dévisage. Que peut-elle dire ?

Maître Christian Panaris prend alors la parole demandant à Jean-Yves de s’asseoir sur le canapé. Il obéit et Ambre également. Elle remarque à plusieurs reprises le regard de Christian qui s’attarde sur ses jambes moulées dans le collant noir. Sa petite jupe plissée remonte quand elle s’assoit dévoilant largement ses cuisses. Maître Christian Panaris regarde tout ce petit monde, salivant déjà à l’idée qu’ils vont devenir ses jouets. Il s’adresse à Jean-Yves et lui raconte qu’il a tout découvert et comment Sophie s’est livrée à lui vendredi. Sophie écoute, tête baissée.

- Mais.  Comment avez-vous pu ? Espèce de.  S’écrie Jean-Yves, hors de lui, le regard fou.

- Mais comment ! Cher Confrère, c’est bien vous qui avez mandaté votre femme pour qu’elle m’espionne et recueille des éléments confidentiels et les sortent du cabinet afin que vous puissiez vous en servir contre moi ?

Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire ne répond pas, vaincu.

- Que comptez-vous faire ? Croassa-t-il.

- Je pourrais porter plainte et vous iriez moisir en prison, vous savez cela n’est-ce pas ?

En entendant le mot « prison » la jeune Ambre pousse un petit cri.

- Mais je pense que nous pouvons trouver un arrangement à l’amiable. Poursuivi l’avocat.

Il farfouilla dans sa mallette et en sortit un paquet de feuilles qu’il tendit à Jean-Yves.

- J’ai tapé un contrat vous concernant.

- Un contrat ?

Jean-Yves ne comprend pas où Maître Christian Panaris veut en venir. Il s’empare des feuilles et commence à lire le contrat. Il blêmit dès la première page, à la deuxième, il se lève du canapé, fou de rage.

- Hors de question ! Vous entendez, c’est hors de question !

- Croyez-vous avoir le choix ? lui lance Panaris, triomphant.

Jean-Yves baisse les yeux sur le contrat qu’il a entre les mains. Un contrat d’un genre très particulier stipulant que si la famille Guillet de Saint-Hilaire ne voulait pas être déshonorée par la condamnation et la radiation du Barreau de Maître Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, celui-ci devait signer ce contrat acceptant sans aucune condition de mettre à la disposition de Maître Christian Panaris sa femme Sophie Guillet de Saint-Hilaire ainsi que sa fille Ambre pour une durée indéterminée. Leur époux et père ne devrait pas protester, ne pas en parler à la police sous peine d’être lui-même envoyé en prison. Il est également précisé que Madame et Mademoiselle Guillet de Saint-Hilaire devront dorénavant accepter toutes les demandes faites par Maître Panaris. Blême de fureur contenue, Jean-Yves repose le contrat sur la table, anéanti.

Il regarde sa femme et sa fille qui l’interroge du regard ne sachant pas encore ce que contient le contrat.

- Veuillez lire le contrat à haute voix, Jean-Yves, que votre femme et votre fille sache à quoi s’en tenir.

Humilié comme jamais, il s’exécute. Au fur et à mesure de la lecture, Sophie devient blanche et Ambre pousse des cris en se réfugiant dans les bras de sa mère. Celle-ci tente une négociation !

- Je vous en prie, faites ce que vous voulez de moi mais laissez ma fille tranquille, elle n’est pour rien dans cette histoire.

- Je ne pense pas que vous soyez en mesure d’exiger quoi que ce soit, chère Madame.

Se tournant vers Jean-Yves, il lui demanda de signer le contrat acceptant de ce fait toutes les conditions.

- Jamais ! lança Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, outré.

- Très bien, dit Maître Panaris en prenant son manteau, je m’en vais et je vais porter plainte, vous dormirez bientôt en prison !

Ce fut un concert de cris et de supplications venant de la part de Sophie et d’Ambre. Comprenant qu’il était coincé, Jean-Yves Guillet de saint-Hilaire pris le stylo que lui tendait Maître Panaris et signa le contrat ayant l’impression de signer un pacte avec le Diable.

- C’est parfait, mon cher Jean-Yves, lança Panaris en rempochant le précieux contrat. Nous allons pouvoir commencer tout de suite n’est-ce pas, vous n’y voyez pas d’objection ?

Jean-Yves ne répondit pas, totalement effondré.

- Mme de Saint-Hilaire, veuillez vous mettre à genoux.

Rouge de honte, Sophie s’exécuta. Sous les ordres de Christian, elle se mit à marcher à quatre pattes dans le salon sous les yeux de sa fille et de son mari. Elle s’arrêta devant Panaris.

- Tu vas me faire une petite pipe comme dans le bureau vendredi soir ou j’ai pu admirer tes talents de suceuse.

Elle s’activa sur la braguette du pantalon de Christian et en sortit un sexe épais et dure qu’elle engouffra dans sa bouche. Horrifié, Jean-Yves regardait sa femme administrer une fellation à cet être abject sous les yeux de sa propre fille en plus. Celle-ci d’ailleurs fut bientôt appelée par Panaris qui lui demanda de venir également à quatre pattes les rejoindre. Ambre obéit et dès qu’elle fut devant Panaris celui-ci souleva sa petite jupe plissée dévoilant un cul rebondi moulé dans le collant. Il donna une petite claque sur les fesses et Ambre laissa échapper une plainte.

- Dorénavant, tu ne mettras plus de petites culottes sous ton collant, tu ne mettras plus non plus de pantalon, que des jupes du moins quand tu sortiras avec moi. Pareil pour vous, Mme de Saint-Hilaire jamais de pantalon et des hauts talons, lingerie raffinée, je vous veux putes toutes les deux.
Sophie et Ambre frémissent en entendant cela.

- Regarde ta mère, Ambre comme elle suce bien, prends des leçons, bientôt ce sera ton tour.

Ambre rougit, observant sa mère s’activer sur le membre dressé de Panaris. Sa tête monte et descend avec régularité avec des bruits de succions qui lui paraisse écœurant. Sophie tète le gland, lui léchant la hampe par moment et replongeant la tête dessus. Christian Panaris donne des coups de reins pour s’enfoncer encore plus. Il appuie fermement sur la nuque de Sophie lui enfonçant encore plus sa bite au fond de la gorge. Manquant de s’étouffer, Sophie tente de protester et pousse un gémissement. Christian la repousse soudain et les entraîne toutes les deux vers le canapé ou se trouve toujours Jean-Yves.

Sophie doit enlever son jeans et se mettre à quatre pattes sur le canapé, il ordonne à Ambre de se mettre de la même façon. Il retrousse la jupe d’Ambre et lui déchire son collant ce qui fait hurler Sophie qui supplie Jean-Yves de faire quelque chose. Celui-ci, lâchement, ne répond pas. Il regarde, les yeux exorbités, Panaris en train de malaxer les fesses de sa fille. Il enfonce un doigt dans la chatte de sa fille et fait de même avec sa femme. Ils les branlent ainsi toutes les deux pendant de longues minutes. On n’entend plus dans le salon que les halètements de Panaris et les gémissements de Sophie et Ambre. Puis il s’arrête et se dirige vers sa mallette en lançant :

- Je vous ai ramené votre jouet, Mme de Saint-Hilaire !

Ne comprenant pas, Jean-Yves regarde l’objet que sort Panaris de sa mallette. Un gode ! Il s’agit d’un gode rose ! Se pourrait-il que sa femme s’en soit déjà servi ? se demande- t-il, interloqué.

Panaris revient et enfonce le gode dans la chatte de sa femme en lui donnant une claque sur les fesses.

- Vous reconnaissez votre jouet, n’est-ce pas ? Je vais vous en faire cadeau car dorénavant il faudra qu’il soit toujours dans votre sac avec vous, prêt à l’emploi. Il fait coulisser le gode de plus en plus rapidement et Sophie Guillet de saint-Hilaire commence à couler. Elle remue ses fesses comme pour mieux s’empaler sur le gode. Elle halète.

- Je vais pouvoir baiser votre femme, mon cher confrère, elle est prête.

Panaris sort le gode et le tend à Jean-Yves.

- Gode ta fille ! lui ordonne-t-il.

Jean-Yves le regarde avec un air misérable. 

- Non ce n’est pas possible ! Ne ne me demandez pas de faire cela.

Maître Christian Panaris lui lance un regard dur, méprisant.

- Obéis ! Sinon. 

Refoulant un sanglot, Guillet de saint-Hilaire s’empare du gode et l’enfonce dans la chatte de sa fille. Celle-ci pousse un gémissement sourd.

- Oh papa, supplie-t-elle, non.  Oh Mon Dieu. 

Sophie pousse un feulement rauque quand Panaris l’envahit d’un puissant coup de reins. Les mains crochées aux hanches il commence à la pilonner, son ventre claquant sur les fesses de Sophie. Jean-Yves, sous les directives de Christian, agite de plus en plus vite le gode dans la chatte de sa fille qui secoue la tête dans tous les sens en gémissant.

- Ta fille est une vraie salope, comme ta femme. Telle mère, telle fille, c’est bien connu. Je vais en faire des gagneuses de 1ere ! s’exclame Panaris en haletant.

Les fesses de Sophie tressautent sous les coups de reins puissants de Panaris. Il s’active encore quelques minutes arrachant des gémissements de plus en plus fort de la part de Sophie et il se retire soudain, la bite encore dressée. Il ordonne à Jean-Yves d’arrêter de « goder » sa fille et retourne Ambre pour se positionner devant elle. Ambre a un mouvement de recul en voyant la monstrueuse colonne de chair palpitant devant elle. Christian lui agrippe les cheveux et approche son visage de sa queue, l’enfonçant inexorablement dans sa bouche. Elle émet une protestation étouffée puis commence à bouger la tête.

- Oui, c’est ça, l’encourage Christian, comme ta mère, une vraie suceuse.  Ce doit être génétique dit il en ricanant.

Ne pouvant plus se retenir, il éjacula, aspergeant le palais d’Ambre Guillet de Saint-Hilaire de sa semence amère. Ambre fit la grimace et voulu recracher le sperme, mais, impitoyable, Maître Christian Panaris obligea la pauvre Ambre à tout avaler en lui tenant fermement la nuque. Panaris se redressa laissant les deux femmes se réconforter. Il se rajusta regardant Jean-Yves qui a toujours le gode dans la main.

- Nettoie-le avant de le redonner à ta femme.

Comme il se dirigeait vers la salle de bains, il lui cria :

- Mais non, idiot ! Avec ta langue ! Suce-le !

Interloqué, Jean-Yves regarde Panaris se demandant si il plaisante. Mais il semble évident que non.
Écœuré, il nettoie le gode à coups de langue, goûtant la cyprine de sa propre fille. Quand le gode est bien sec, il le redonne à Sophie qui doit le ranger dans son sac à main.

- Je vous rappelle qu’il faut que vous l’ayez toujours sur vous.  Ou en vous.  Lâche Panaris en éclatant de rire. De toutes façons, pour le travail, je vous rassure j’en ai un autre que vous devrez toujours porter sous votre jupe.

Il se tourne vers Jean-Yves.

- Demain soir, après le travail, je viendrais chercher ta femme et ta fille, je dois les emmener quelque part. J’ai des amis à leur présenter. Notre collaboration ne fait que commencer. 

A suivre...

dimanche 27 décembre 2020

La Femme du Consul Ch. 01

 Texte de Coulybaca.

Soirée chez les princes.

Les soirées du scheik Abdoul el Hassan étaient réputées pour leur magnificence, la splendeur du palais formait un écrin parfait pour une débauche de mets fins, de précieux vins millésimés, et de toutes sortes de délices que pouvaient inviter ses cuisiniers pâtissiers et autres hommes de bouche.

De plus on était sur d'y croiser le gratin de la société saoudienne qui ne quittait ses palais fastueux que pour de telles fêtes ou se mêlaient richissimes émirs, diplomates, et escrocs de tout poil.

Vincent Delerme, fraîchement débarqué en Arabie Saoudite se réjouissait de se retrouver dans cette soirée.

Nommé au consulat de France en tant que directeur adjoint, dans l'attente de la libération du poste de consul qui lui était promis, il voyait dans cette soirée, l'opportunité d'identifier les notables présents, que lui désignait son premier secrétaire, afin d'établir avec eux des relations qu'il espérait rapidement profitables.

A son bras, sa femme remplissait pleinement son rôle, elle semblait sortir d'un écrin : la trentaine épanouie, la douce Odile lui faisait honneur, et c'était peu de le penser, d'ailleurs il n'avait jamais douté d'elle. Elle était parfaite, sa timidité naturelle transparaissait dans son sourire légèrement figé par l'appréhension, dans son attitude légèrement gauche, dans sa réserve affirmée.

Arrimée à son mari, elle suivait tous ses déplacements, naviguant de petit groupe en petit groupe au gré de son époux, saluant d'un hochement de tête ici, tendant une main fragile là, esquissant parfois un sourire gracieux lorsqu'elle croisait une personne déjà connue.

Sa tenue elle-même témoignait de son bon goût : elle portait une robe d'apparence très simple de lin léger, d'un vert pastel, discrètement décolletée sur une gorge opulente révélée, ay gré des mouvements par la souplesse du tissu englobant parfois ses charmes pour mieux les mettre en valeur. Outre cette gorge pigeonnante, la fluidité de la robe soulignait la longueur des jambes de la jeune femme ainsi que la charmante ampleur de ses hanches en amphore.

Conscient des regards envieux que jetaient discrètement ses interlocuteurs sur les charmes de sa femme, Monsieur le futur consul se rengorgeait fier d'avoir une telle compagne à son bras, et ce d'autant plus qu'elle ne semblait aucunement se rendre compte de l'intérêt que beaucoup lui portait. Elle passait, insouciante des désirs primaires de possession qu'elle éveillait chez ces hommes pourtant habitués aux jeunes houris très serviables qu'ils côtoyaient à longueur de journée. C'est d'ailleurs ce cité quelque peu virginal qui lui conférait un cet aspect d'inaccessibilité qui la caractérisait le mieux.

Bien installé dans un confortable fauteuil, Hakim, le chef de la sécurité, jetait un œil aux nombreux écrans de surveillance qui tapissaient le mur de son QG. Il était de sa responsabilité d'éviter tout attentat, tout esclandre qui pouvait survenir au cours de ces soirées; au besoin, ses sbires intervenaient discrètement pour évincer le indésirables.

Pour l'instant; il suivait les évolutions des différents couples dans la grande salle de réception, notant qui paradait au bras de qui, s'attardant parfois sur de frais minois, échafaudant des plans visant à circonvenir quelques beautés qui lui seraient bien utiles dans les alcôves de ces messieurs il avait d'ailleurs déjà repéré deux ou trois femmes mariées, qu'il avait corrompue et qui, par peur du scandale lui obéissait au doigt et à l'œil. Il se servait de ces créatures aussi bien pour espionner les maris, leurs services que pour agrémenter ses après-midi personnel, ou les nuits de certain de ses amis toujours heureux de pouvoir disposer à discrétion de ces femmes habituellement inabordables.

Son regard s'attardait sur la compagne du futur consul, il appréciait fortement ce genre d'ingénue, qui bien souvent se révélait volcanique une fois matée. Il avait déjà furtivement rencontré la jeune femme dans des cocktails mondains et avait su apprécier son impact sur les mâles de l'assistance, dans un brusque sursaut, il se redressa, sa décision était prise. Il fit appeler Mohamed et Bruno ses bras droits pour leur donner des ordres visant à circonvenir madame et mettre momentanément hors de circuit monsieur. Des caméras ajoutées au circuit, à l'insu de tous lui permettraient de suivre et de filmer à satiété le développement de son plan.

Au salon les choses se précisaient, chacun prenait place dans la grande salle de réception, s'asseyant en fonction de l'étiquette aux places désignées, enfin les agapes commencèrent, les sbires d'Hakim veillant à ce que le couple soit abreuvé considérablement. Un bal devait ensuite réunir les convives, et c'est ce moment que guettaient Mohamed et Bruno pour intervenir, enfin les prémisses s'annoncèrent selon un emploi du temps dûment respecté. Se levant de son trône, le cheik Abdallah convia ses invités à un dernier toast signal de l'exode vers les salons de danse, c'était le moment, les serviteurs tendirent à chacun une coupe à vider cul sec, Vincent Delerme vida ainsi sa coupe épicée de somnifère, alors que sa douce épouse consommait la sienne additionnée de rohypnol, ou drogue du sexe. Cette drogue avait tous les avantages pour les drogueurs, elle annihilait toute volonté de la victime, la livrant corps et âme à ses suborneurs, et bien que lui permettant de ressentir pleinement les sensations lors des manipulations subies au cours de son absence, ne lui laissant au réveil que des flashs récurrents, des images fugitives, entraînant un profond sentiment de culpabilité, bien utile, par la suite pour subjuguer les proies des maîtres chanteurs.

Comme prévu, les drogues ne tardèrent pas à produire leur effet, ce fut d'abord Vincent qui tituba, ayant de plus en plus de mal à tenir les yeux ouverts, Mohamed lui prêta une épaule secourable tandis que le sourire d'Odile se figeait dans une expression hagarde, immédiatement, les deux comparses appelèrent à l'aide deux serviteurs et les emmenèrent en toute discrétion vers les chambres du palais, Vincent fut bordé dans un large lit douillé, tandis qu'ils emmenaient Odile dans la chambre voisine, rejoignant Hakim qui avait momentanément quitté son poste d'observation, ladite chambre se trouvant d'ailleurs sous caméra reliée à un graveur de DVD qui immortaliserait le développement de la soirée, à l'insu même du garde à qui il avait momentanément confié la surveillance de la soirée.

Sur le pas de porte, il accueillit la charmante droguée testant ses réactions.

- "Bonjour charmante Odile", lui lança-t-il avec désinvolture, "venez donc m'embrasser".

Et, comme un sourire hésitant aux lèvres elle le rejoignait, lui tendant la joue, il surenchérit,

- "Ce n'est pas ta joue que je veux, tu vas me rouler un patin, une galoche"!

Avec un imperceptible frisson, elle tendit alors ses lèvres dont il s'empara avec fougue, lui installant tout de go la langue dans la bouche, de façon à lui visiter intimement le palais. Bien que n'ayant jamais subi ce genre d'assaut de la part de son mari, après un faible recul, totalement désinhibée, elle se laissa aller, ouvrant largement les lèvres pour mieux le laisser s'aventurer dans sa bouche.

- "Maintenant que nous avons fait connaissance, intima-t-il tu vas rouler une pelle à chacun de mes copains, pour leur montrer ta bonne volonté,"

ajoutant pour ces derniers :

- "A voir comment elle est réceptive, on va se marrer les gars... vous allez en tirer tout ce que vous voudrez... mais vous avez votre temps ... la dose est déterminée pour agir 8 heures!

Et docilement, elle se laissa embrasser, participant même aux fiévreux baisers échangés.

Hakim la reprit alors en main, assis sur le lit, il l'attira à lui, saisissant le bas de sa robe il la releva vivement sans qu'elle esquisse le moindre geste de protestation et lui fit passer par dessus la tête, elle se retrouva alors en slip, soutien-gorge, bas et porte-jarretelles sous les yeux enfiévrés de ses ravisseurs.

En tant que chef, Hakim voulait profiter le premier de ses charmes, il voulait se servir de ses trois trous à satiété avant de la livrer à ses sbires, retournant lui-même à sa mission de surveillance, il savait que s'il voulait satisfaire tous ses désirs il devait se dépêcher, ne disposant pas de l'éternité.

Cependant, ayant détecté des tendances à la luxure chez sa victime, il voulait provoquer ses sens, la rendre coopérante, participante, pour que les flashs réminitoires soient bien imprégnés de sa contribution à sa déchéance, ce qui ne pourrait que renforcer son sentiment de culpabilité.

L'attirant entre ses genoux, fébrilement il dégrafa son soutien-gorge et l'en libéra, livrant ses seins fermes à ses caresses abusives. Il empauma les globes élastiques, en évalua rapidement la fermeté toute naturelle avant de survoler d'un doigt léger les larges aréoles qui tout de suite granulèrent traduisant l'effet immédiat de la caresse sur ses sens s'exacerbant, le mamelon bientôt pincé entre deux doigts experts se raidit, c'est alors qu'il saisit le tétin turgescent entre ses dents, le mordillant, le mâchouillant avec vigueur avant de sucer la mamelle épanouie. Odile frissonna longuement, puis elle pressa son buste sur les lèvres de son suborneur, accentuant encore les sensations délicieuses émanant de sa poitrine si habilement cajolée.

Son bassin, mu d'une force propre se mit alors en action, basculant d'avant en arrière, recherchant visiblement la caresse salvatrice, conscient de son emprise sur les sens de la belle, il décida alors de contenter ses sens. D'un geste rapide, il empoigna et descendit son slip sur ses jarrets, elle ouvrit largement les cuisses et sa main se perdit dans la douce chaleur des cuisses offertes. Cambrant le ventre elle vint alors à la rencontre des doigts qui s'enfouirent profondément dans sa chatte, sans aucun préalable, elle gémit alors sa béatitude, s'agitant avec fièvre sur les doigts possessifs. Le pouce ne tarda pas à rejoindre ses compagnons dans son anus, y trouvant une rondelle élastique, assez détendue et graissée par la cyprine s'échappant à grosses gouttes de sa cramouille pour permettre une intrusion aisée. Alors qu'en temps normal, elle se serait refusé à toute initiative de ce genre, se serait même rebellé contre de telles pratiques si étrangères de ses mœurs, réservées aux femmes de mauvaise vie, cette fois, toute censure abolie, elle se livra avec enthousiasme à ces manipulations lui évasant le fondement, déjà pensa-t-il elle savait intuitivement que cette initiative préparait son inéluctable défloration anale.

Le ventre soudain lourd d'envie, les jambes flageolantes elle se laissa tomber sur ses genoux, ouvrant encore plus le compas de son intimité pour se livrer encore plus à ses doigts initiateurs, pressé de goûter à ses charmes, il l'entraîna à plat dos sur le lit, s'étendit sur son corps frémissant, tandis qu'elle empoignait avec décision son sexe dardé, le guidant vers le centre de sa féminité dans lequel il s'engouffra sans coup férir. Tout de suite, il la força à ralentir le rythme, s'enfouissant en de vastes et langoureux allées au plus profond de sa fente subjuguée, avant que d'en presque ressortir avec a même lenteur majestueuse. Elle était comblée, jamais elle n'avait ressenti telle sensation d'empalement, de possession totale.

Il la laissa ensuite adopter son propre rythme, se tourna sur le dos se laissant chevaucher, maîtrisant parfaitement la montée de sève dans son pénis, la contrôlant de façon à faire durer son plaisir.

Elle se démena assez longuement sur son torse, échevelée, avant de s'écrouler vagissante sur son ventre, abattue par une jouissance extrême, qu'elle avoua à plein poumon, heureusement, les chambres étaient parfaitement insonorisées pensa-t-il furtivement, détaché de son orgasme.

Pantelante, étalée sur lui, il la laissa reprendre lentement son souffle avant de renouer possession de son sexe. Lentement il lui caressait le dos, trois doigts enfouis dans son anus lui évasant lentement le goulot, enfin d'une claque légère sur les fesses il la disposa en levrette, un oreiller plaqué sous son ventre pour mieux rehausser sa croupe. Désireux de toujours la faire participer, il lui fit empaumer ses fesses, et comprenant le message induit elle écarta largement ses fesses, exhibant la corolle de son anus déjà entrouvert par la manuelisation subie.

Décidé il approcha son gland de l'étroite grotte, il paraissait inenvisageable qu'elle put s'adapter, se conformer aux dimensions de ce qu'il prétendait introduire dans son boyau culier, et pourtant, inexorablement il força la rondelle à s'arrondir, et tandis que le souffle de la future enculée se faisait haletant, avec un plop sonore, le gland franchit les sphincters récalcitrants, se logeant jusqu'à la hampe dans le cul maintenant soumis. Il s'immobilisa quelques instants, la laissant s'habituer à cette présence incongrue dans son fondement, puis d'un seul élan, il s'enfouit avec détermination jusqu'au ras des couilles dans le boyau résigné, elle accompagna ce lent empalement d'un feulement désespéré, et soudée à son enculeur, le corps tremblant elle profita d'une nouvelle pause de son ravisseur pour laisser s'adapter son tunnel plus du tout secret aux dimensions de son hôte.

Lentement la douleur déserta ses lombes, elle osa un mouvement du ventre, faisant ainsi coulisser son implacable envahisseur dans son conduit soumis, une fulgurante vague de sensations luxurieuses partit alors de ses reins pour exploser dans son cerveau, et c'est avec furie qu'elle se déhancha sur sa mentule tendue à l'extrême, inconsciente de son épaisseur, de sa longueur, se défonçant le tuyau sur ce chibre envoûtant. A nouveau, au bord de l'évanouissement elle cria son bonheur avant de s'effondrer sur le lit, haletant de tous ses flancs, éperdue de jouissance.

Elle reprit lentement ses esprits, une force inouïe la poussait à continuer ses découvertes alors que maintenant sa tête se révoltait de ce qu'elle avait subi. C'était pire encore, une petite voix susurrait dans son cerveau qu'elle n'avait pas tant subi que ça... et même que....

Elle ne pouvait se douter à ce moment que revenue à elle-même, sortie de la drogue qui embrumait son cerveau cette impression stockée dans les cases censurées de son cerveau filtrerait au cours des flashs réminiscents qu'elle subirait... que cette idée même serait le fondement de la culpabilité qu'elle engendrerait de façon sournoise, mais sûre.

Soudain une masse mafflue vint frotter ses lèvres, une voix autoritaire ordonna :

-" Ouvre la bouche..."

Docile elle écarta les lèvres, tout de suite le pénis de son futur maître se planta au fin fond de sa gorge.

– "Suce " ordonna la même voix.

Et avec veulerie, elle se livra à cet acte que jusqu'ici elle considérait comme dégradant, accordé avec parcimonie à un mari exigeant sur ce point précis, aussi bien que peu experte c'est avec une technique rudimentaire mais efficace qu'elle se lança à bouche perdue dans cet acte avilissant. Hakim, qui sentait sa sève bouillir en lui n'en demandait pas plus, et après quelques lècheries plus ou moins appuyées sur le gland et la hampe, il sentit la semence gronder dans ses burnes, lui agrippant alors les oreilles pour interdire tout retrait, avec délectation il se vida à gros bouillon dans la bouche conquise. Au bord de la suffocation, la bouche pleine de ses secrétions, le sperme filtrant aux commissures de ses lèvres, elle déglutit et avala l'épais breuvage qui l'enivra aussi sûrement qu'un vin millésimé, inconsciemment elle en apprécia la viscosité, le goût, légèrement salé et l'onctueuse abondance.

Epuisée, elle ferma les yeux sur son plaisir inavouable et sombra dans un état semi comateux, absolument normal lorsqu'elle ne se trouvait pas stimulée.

Hakim les quitta alors, leur spécifiant :

- "Prenez tout votre plaisir avec elle ... farcissez lui tous les trous ....... Faites participer Abdou, comme ça elle aura appartenu à deux arabes un noir et un métis dans la même soirée ....... Et qui sait si en plus son milieu s'avérait raciste ... Moi je vous quitte, je dois reprendre mes fonctions .... Ah n'oubliez pas, sur le coup de six heures, vous la nettoyez avec soin, la rhabillez, et l'allongez chastement aux cotés de son mari .... Rien de ce s'est passé cette nuit ne doit subsister ......"

A suivre...



vendredi 25 décembre 2020

Erika, esclave sexuelle - Ch. 05

  Traduction d'un texte de HotStuffPrya.

un ami, un client et un livreur de pizza.

Le lendemain matin, quand j'entre dans ma cuisine, j'y trouve Erika en train de préparer mon petit déjeuner. Elle est habillée d'un simple soutien-gorge et string en dentelles noires. Je balance une grande claque sur son cul puis je baisse son string et lui demande d'écarter les jambes.

Je défais mon pantalon et je glisse ma bite dans son cul serré. J'attrape sa queue de cheval et je la baise. Elle commence à gémir et crier.

- Mets tes mains derrière ton dos. Ordonné-je.

- AAAHH OUI Maître.... AAAAhhhh OOOOOhhhh.

Elle m'obéit. Je prends ses poignets avec une main alors que l'autre tire sur ses cheveux.

- Abois! Dis-je.

- Ouaf ouaf ouaf!

- Plus fort! Dis-je en claquant son cul.

- OUAF OUAF OUAF! crie-t-elle plus fort.

Je sors ma bite de son cul pour l'enfiler dans sa chatte. Je la pilonne dur et elle rebondit sur moi. Puis j'éjacule tout au fond de son vagin. Quelques secondes après je me retire. Aussitôt, ma soumise se baisse et lèche ma verge pour la nettoyer. Puis elle se doigte pour récupérer le sperme chaud afin de l'avaler.

- Merci Maître.

- Merci pour quoi salope?

- Merci pour votre sperme chaud. Je l'aime et j'en veux plus Maître.

Je la repousse et lui demande de continuer à faire mon petit déjeuner. Puis je vais dans la salle à manger et je m'assois. Quelques minutes plus tard, Erika arrive avec des œufs au plat et du café. Elle les place devant moi et attend pendant que je mange.

La sonnerie de la porte retentit. Je demande à la jeune fille d'aller ouvrir. Il est seulement 6 heures 30. Je me demande qui est là .

Erika ouvre la porte. Il s'agit de Joe ALPINE, un de mes voisins un peu plus loin. Il regarde la jeune femme en soutien-gorge et string puis il vérifie l'adresse.

- Euhhh, Robert est à la maison? Demande-t-il en hésitant, ne sachant pas s'il doit rester ou partir.

Erika laisse mon ami sur le pas de la porte et dit :

- Maître, vous avez un visiteur.

Joe entre et me voit manger. Il dit :

- Maître? Suis-je entré dans la quatrième dimension?

- Salut Joe. Tu as faim?

- Ça dépend de ce que tu entends par faim. Dit Joe en rigolant.

Il s'approche et prend une chaise à côté de moi. Erika, elle, était revenue à mes côtés, debout, les mains dans le dos. Joe la regarde puis demande :

- Tu vas me dire ce qu'il se passe?

- Dis-lui qui tu es et ce qui se passe ici! Demandé-je à la jeune fille.

Je regarde Joe. Je veux voir sa réaction quand Erika parle.

- Je suis sa pute, une pute stupide qui a juste besoin de se faire baiser. Mon Maître est assez gentil pour utiliser mes trois trous. Dit Erika à Joe en le fixant.

Joe regarde Erika, puis moi, puis de nouveau la jeune fille et il dit :

- Oh merde, qu'est-ce qui se passe? Tu veux que je revienne plus tard?

- Ahahahah, mais non. C'est sérieux. Je possède cette petite salope pendant un certain temps. On va dire que c'est un paiement pour ses actions malhonnêtes. Elle fait ce que je dis quand je le dis. Elle obéit comme un bon petit toutou. Sinon je la punis. Je vais te montrer son obéissance.

Je me tourne vers Erika et je lui ordonne :

- Enlève soutien-gorge et string puis vas t'assoir sur les genoux de Joe.

Erika dégrafe son soutien-gorge puis glisse ses index dans le string pour l'abaisser. Une fois nue, elle se dirige vers Joe qui reste sans voix, la bouche grande ouverte. La jeune fille s'assoit sur ses genoux et il passe son bras droit sur son épaule. Le sein gauche repose contre sa poitrine. L'homme met sa main gauche sur les cuisses nues.

- Putain mec, comme fais-tu cela?

- Ne t'inquiète pas et profite du spectacle. Tu as vu ses seins, ils sont incroyables.

Joe lève sa main gauche et commence à tripoter la poitrine d'Erika. Il serre les seins, pince les mamelons. Puis il dit :

- Superbe poitrine. Mais ce n'est pas juste. Je suis marié.

- Ahaha. Je ne vois pas Janet ici. Et toi?

Il répond en montrant Erika :

- Non, mais si elle dit quelque chose à Janet?

- Ne sois pas bête, je possède cette stupide salope. Elle ne parlera pas si je lui demande. Dis-lui Erika!

- Mon Maître a raison. J'ouvre la bouche seulement lorsqu'on me demande de parler ou de sucer une bite.

- Ah ok.

Joe me regarde, hausse les épaules puis continue à tripoter la poitrine d'Erika. Il serre un des seins puis lèche le mamelon. Il met le sein dans sa bouche et suce. Il mordille le mamelon et fait sursauter de douleur la jeune fille.

- Elle a bon goût aussi. Dit-il.

- Et ouais. Mais bon, laissons cette chienne nettoyer la table et se préparer à aller en cours.

Sur ce, Erika range la table puis s'éloigne. Joe la regarde quitter la pièce. Il me dit :

- Tu es un salaud mon ami : Me tenter comme ça!

- Avoue que tu as apprécié chaque moment.

- C'est sûr. Qui n'apprécierait pas?

Une vingtaine de minutes plus tard, j'entends Erika ouvrir la porte. Je crie son nom et elle arrive en courant dans la salle à manger et demande :

- Oui Maître?

Joe regarde la jeune fille dans son uniforme. Il sourit. J'ordonne à Erika :

- Enlève ton string!

Elle soulève sa jupe et fait descendre le petit bout de tissu sur ses jambes. Elle ramasse le string et le met dans ma main tendue. Je jette le sous-vêtement sur la table et lui dit qu'elle peut aller en cours. Elle nous dit au revoir et s'en va. Je dis à Joe :

- J'aurais peut-être du lui demander d'enlever son soutien-gorge aussi.

Joe regarde fixement le string sur la table et hoche la tête. C'est un homme de 49 ans mais il en fait 10 de moins. Sa femme Janet est une vraie femme au foyer. Ils vivent avec leurs deux enfants à un pâté de maison de chez moi.

Et même si nous avons 15 ans d'écart, Joe et moi, nous plaisantons ensemble comme de vieux copains de collège. Joe n'est pas une personne hautaine qui pense tout savoir. C'est un gars cool qui aime bien plaisanter de tout. Je lui demande :

- Alors dis-moi ce que tu fous chez moi à cette heure?

- Eh bien, les enfants sont partis sur la côte en vacances jusqu'à lundi. Et Janet voulait aller voir ses parents car sa mère est malade. Donc j'ai déposé tout le monde à l'aéroport. Et j'ai essayé d'appeler hier soir mais pas de réponse. Maintenant je comprends pourquoi.

- Ah oui! Je n'étais pas là hier soir.

- J'ai appelé pour savoir si tu voulais passer la soirée avec moi comme je n'ai ni femme ni enfants. Mais bon, vu ce que tu as chez toi, je comprendrai que tu refuses.

- Attend! Pourquoi ne viens-tu pas ici ce soir. Erika répondra à chacun de nos caprices.

- Mais je ne peux pas mon ami. Je ne peux pas tromper ma femme. Répond Joe peu convaincant.

- C'est une occasion qui ne se produit qu'une fois dans la vie. Elle pourra te faire des choses que Janet ne te fera jamais. Mais si tu veux, tu n'es pas obligée de la baiser. Il suffit de t'amuser avec elle.

- C'était déjà bien ce matin. Je vais réfléchir et je viendrais peut-être. Mais je ne te fais pas de promesses ok?

- D'accord. Si tu te décides, viens vers 19h00.

Je sais qu'il viendra. Pas un seul homme, après avoir vu Erika nue et l'avoir tripotée ne louperait cette occasion.

Le reste de la journée s'écoule lentement. Je travaille un peu, donne des coups de téléphone à certains clients. A 16 heures, j'entends Erika ouvrir la porte et entrer. Elle va à la cuisine, se déshabille, mets le collier avec la laisse et vient dans mon bureau.

Elle ne sait pas que je suis avec un client. Donc elle entre dans le bureau, voit l'homme et elle s'arrête en ne sachant plus que faire. Elle reste plantée là. Mon client la voit et cesse de parler. Juste en face de lui se trouve une jeune fille habillée d'un simple soutien-gorge avec un collier autour du coup et une laisse. Je dis à Erika que je suis occupé. Je lui demande de se mettre à genoux et d'attendre. Elle obéit. Mon client essaie de se concentrer tout en lorgnant la jeune femme.

- Elle est belle? Lui demandé-je.

« Mmmm » est tout ce que peut répondre Ross. C'est un homme de 40 ans, grand, maigre avec une barbe épaisse. Il est en train de la caresser en regardant Erika.

- Viens ici Erika! Dis-je.

Elle se remet debout et s'approche de moi en passant devant Ross. Elle s'immobilise devant moi. Je prends la laisse et tire fort vers le bas. La jeune fille tombe sur son cul bien dodu sur le tapis. Je me penche derrière elle et dégrafe son soutien-gorge. Je jette le sous-vêtement et demande à Erika d'aller s'assoir sur les genoux de Ross, face à lui.

Elle s'approche de lui, lève une jambe et enfourche une cuisse. Elle laisse lentement descendre son cul. Elle met ses mains derrière le dos et pose sa tête sur son épaule. Immédiatement Ross saisit les fesses de la jeune fille.

- Alors Ross, de quoi parlions-nous? Un problème avec la facture?

- Quoi? Quelle facture? Quel problème? Je demanderai à ma secrétaire de payer la facture. Dit Ross en serrant de ses deux mains le cul d'Erika.

- Je suis content qu'il n'y ait pas de problème. Je dois passer un coup de fil donc je vais au salon. Erika, occupe-toi de Ross, je ne veux pas qu'il se plaigne.

Tout en sortant du bureau j'entends :

- Oui Maître.

Je reste pas loin de la porte pour guetter ce qui va arriver.

Ross tire brusquement sur la laisse et la tête d'Erika bondit en arrière. L'homme accentue la tension sur le bout de cuir si bien que le corps de la jeune femme penche aussi en arrière. Utilisant son autre main, Ross agrippe la poitrine d'Erika et pince les mamelons. Puis il en met un dans sa bouche et commence à le sucer. Erika gémit. Il lèche les tétons puis mord dedans. Ma soumise laisse échapper un cri. L'homme lâche la laisse et demande à la fille de descendre. Elle obéit. Ross reprend la laisse et l'entoure autour de son poignet pour qu'Erika ne puisse pas trop bouger. Il commence à caresser sa chatte, puis il introduit un doigt, puis deux dans son vagin. Il doigte habilement la jeune femme qui gémit en se mordant la lèvre inférieure.

- Vous aimez n'est-ce pas?

- OUI. Répond-elle.

Ross pilonne la chatte avec ses deux doigts. Puis il ajoute deux autres doigts.

- AAAAAAAhhhhhh... OHHHHHH... AAAHHHH. Gémit Erika.

Quelques secondes plus tard, Ross retire sa main, déboutonne son pantalon et se lève. Il enroule son bras autour de la taille de la femme pour la soulever. Lorsque les jambes d'Erika sont enroulées autour des hanches de l'homme, celui-ci guide sa queue raide dans la chatte humide. Puis il la fait rebondir sur son sexe.

- Oh putain! Une salope, tu es une vraie salope, une grosse pute. Dis-le que tu es une pute! Crie l'homme.

- je suis une pute, une grosse pute à baiser! Hurle Erika.

Ross continue à la baiser en la faisant rebondir de haut en bas sur sa queue. Puis, tout d'un coup, il la lâche et la jette sur le sol. Quand elle atterrit sur son cul, Ross éjacule. Ses jets de sperme tombent sur le visage, les cheveux et la poitrine d'Erika. Enfin, il saisit sa tête et engouffre son sexe dans sa bouche en ordonnant!

- Suce salope, nettoie ma bite!

Erika enveloppe la queue avec ses lèvres puis la suce. Elle lèche les couilles pour bien tout nettoyer. Ross saisit ses cheveux et la pousse sur le côté. Il remet son pantalon mais avant de partie il crache au visage de la fille en disant :

- Stupide salope. A cause de toi, je vais devoir payer la facture.

Quand il quitte le bureau il me rentre dedans et sourit.

- Tout va bien? Demandé-je.

- Oui ça va. Je paie la facture dès demain.

Puis il quitte la maison.

A l'intérieur Erika se lève et me fait face. Elle est couverte de sperme et de salive. Ses cheveux sont complétement ébouriffés et recouvrent une partie de son visage. Des gouttes de sperme et de salive sont tombées sur ses seins. Quelle belle vue! Je prends rapidement mon téléphone portable pour faire quelques photos.

- Vas te nettoyer salope! Dis-je.

Environ 30 minutes plus tard, elle revient, sentant le printemps. Bien sûr elle est nue car elle ne veut pas faire la même erreur que la dernière fois. Ses cheveux sont humides et tombent sur ses épaules.

Elle entre dans le salon. Je tire sur sa laisse pour la faire mettre à genoux sur le sol. Je passe ma main dans ses cheveux puis je la gifle :

- Tu as laissé du sperme sur le tapis!

- je suis désolée Maître. Répond-elle.

Je la gifle à nouveau et lui dit :

- Tu es une salope stupide sans valeur tu sais ça?

- Oui Maître je sais. Je ne vaux rien, je suis juste bonne à être baisée.

Je la laisse te je lui dis d'aller mettre sa robe verte. Je lui donne 30 secondes pour revenir. Il est 18h00 et je veux avoir un peu de plaisir avec elle. Cette robe verte est celle qu'elle portait quelques mois plus tôt. Elle était courte et mettait bien en valeur ses formes. Je me rappelle qu'elle tournait autour de moi et elle m'aguichait. Elle s'était même baissée, me montrant ainsi sa petite culotte en satin blanc. Je n'ai jamais oublié cette image.

Aujourd'hui je veux que les autres la voient dans cette robe mais sans la culotte. Je prends un vibromasseur, mon téléphone et nous sortons de la maison. Nous montons dans la voiture et je me dirige vers son école. Sur le terrain de football, il n'y a que 3 ou 4 gars. Ils ressemblent à des joueurs de foot mais quand je me rapproche, je vois qu'ils font partie de la fanfare. Leurs instruments de musique sont déposés sur les gradins à côté de leurs sacs à dos et vestes. Je donne des instructions à Erika et je m'installe bien confortablement pour jouir du spectacle.

Erika se dirige vers les jeunes. Quand ils la voient, ils s'arrêtent de jouer et la regardent fixement. Ils l'ont sans doute reconnue, difficile de ne pas connaitre une beauté comme Erika.

Elle marche devant eux puis va s'assoir sur un gradin un peu plus loin. Elle se penche en arrière, pose les coudes sur les marches derrière elle. Elle écarte les jambes. Un coup de vent soulève sa jupe au-dessus de la taille, découvrant ainsi sa chatte totalement rasée.

Les jeunes ont cessé de parler et s'approche d'elle. Elle leur sourit et lève l'objet qu'elle a amené. Elle allume l'instrument et un son doux et vibrant en sort. Elle porte l'objet entre ses jambes et le regarde masser sa chatte. Puis elle l'insère dans son vagin et l'enfonce de plus en plus profond. Elle commence à gémir et elle se caresse la poitrine avec l'autre main.

Les garçons se tiennent là, un peu apeurés mais stupéfaits. La jeune fille les regarde un à un et ils lui rendent son regard. Certains portent la main à leur entrejambe et commence à se masturber.

Erika, quant à elle, continue avec son vibromasseur. Ses gémissements couvrent le bruit de l'objet. Elle caresse encore ses seins et tire sur ses mamelons. Elle fixe les gars en se mordant la lèvre inférieure. Elle enfonce encore plus son jouet et ses gémissements augmentent d'intensité. Elle se baise pendant quelques minutes jusqu'à atteindre la jouissance. Ses gémissement et cris deviennent de plus en plus bruyants jusqu'au moment où elle écarte au maximum les jambes et que l'orgasme la terrasse.

Quelques instants plus tard, quand elle est remise, elle sort le vibromasseur enduit du jus de sa chatte. Elle regarde ses spectateurs et lèche l'objet pour le nettoyer. Elle le pousse dans sa bouche autant qu'elle le peut et elle fait semblant de faire une fellation. Puis elle le ressort. Elle se lève et se dirige vers les garçons. Elle passe lentement sa main sur leurs entrejambes. Puis elle sourit et elle part. Les gars sont ébahis. Ils se regardent entre eux et se demandent ce qu'il vient de se passer.

De retour dans la voiture, je claque sa cuisse en lui disant que c'était un bon spectacle, mieux que la dernière fois mais qu'aucun gars n'a fait de gestes. Je lui dis qu'elle n'est pas assez convaincante et que nous essaierons de nouveau demain. Elle ne peut que me répondre :

- Oui Maître.

Alors que nous nous éloignons de l'école, je regarde ma montre pour constater qu'il est presque 19 heures. Mon voisin Joe sera presque chez moi.

Quand je m'engage dans l'allée devant le garage, je vois Joe assis dans sa voiture sur une place de stationnement. Quand il me voit arriver, il sourit et sort de sa voiture.

- J'étais sur le point de repartir. Dit-il quand Erika et moi sortons de mon auto.

- Menteur, tu aurais attendu jusqu'à 22 heures. Dis-je sur le ton de la boutade.

Joe regarde Erika et dit :

- Peut-être...

Nous entrons dans la maison. Erika se dirige aussitôt à la cuisine pour enlever sa robe et mettre le collier de chien avec la laisse. Ensuite, nue, elle nous rejoint dans le salon avec deux bières fraiches. Joe prend une canette, les yeux rivés sur les seins exposés. Il se penche en arrière, ouvre la bière et demande :

- Alors, quel est le plan pour ce soir?

- Tout ce qu'on veut. On peut commander à manger, sortir, jouer avec elle... Dis-je en prenant une bonne gorgée de bière.

Joe se lève, se dirige vers Erika et prend un de ses seins dans la paume de sa main tout en buvant.

- Je dois l'admettre mon ami : C'est vraiment une chaude salope.

- Tu as déjà touché ses seins. Doigte là elle aime ça.

Joe descend sa main le long du ventre plat puis la glisse dans l'entrejambe de la jeune fille. Il commence à glisser un doigt dans son sexe, puis deux. Il s'exclame :

- Woaow! Seule une jeune femme peut avoir un vagin aussi serré. En vieillissant il devient plus lâche.

Il continue à bouger ses doigts et Erika commence à gémir.

- TAIS TOI! crié-je à Erika

Puis je rajoute à l'adresse de mon ami!

- Cette salope ne fait que gémir et crier.

Joe continue d'explorer le sexe humide. Un troisième doigt a rejoint les deux premiers. Erika se mord la lèvre en faisant très attention de ne pas faire de bruits. Joe accélère son mouvement et la jeune fille commence à trembler. Ses genoux deviennent cotonneux et elle tombe presque. Mais Joe la retient.

Il sort ses doigts de la chatte et les met, l'un après l'autre dans la bouche d'Erika. Elle les lèche pour les nettoyer.

- C'est bon? demande Joe.

- Pas aussi bon que du sperme. Répond-elle.

- Ah ah! Bonne salope! Dit Joe en se rasseyant.

Je prends mon téléphone et j'appelle Domino Pizza pour faire une commande.

Trente minutes plus tard, la sonnette de la porte retentit. Je demande à Erika d'aller chercher les pizzas. Elle se dirige vers la porte et l'ouvre. Le livreur de pizza la regarde et laisse tomber la bouteille de soda. Il se dépêche de la ramasser en disant :

- Euhhhh.... 19,90 s'il vous plaît.

Erika saisit les pizzas et la bouteille puis retourne dans le salon. Le livreur entre. Ses yeux sont rivés sur le cul de la fille.

- Combien ça fait? Demandé-je.

Il nous regarde Joe et moi. Il semble déçu. Je pense qu'il espérait qu'Erika soit seule à la maison. Il me donne le prix. Je ris et dis :

- Ecoute mon gars, je n'ai pas de monnaie. Mais écoute bien : si tu nous laisses les pizzas gratuites, je te laisse baiser la gorge de la fille.

- Diable oui! Dit le livreur.

Il déboucle rapidement son pantalon et se dirige vers Erika qui s'est déjà mise à genoux. Elle l'aide à baisser son pantalon puis elle engouffre sa bite. Maintenant elle doit être à 10 bites différentes sucés, 3 pour ce jour.

Le livreur de pizza, la queue dans la bouche de la jeune femme, met une de ses mains derrière la tête et une sur sa gorge. Puis il dit :

- Tire la langue comme une chienne.

Erika obéit. Le livreur nous dit :

- Regardez-moi! Regardez-moi pendant que j'enfonce ma bite dans sa gorge.

Erika essaie de garder les yeux ouverts tandis que l'homme enfonce de plus en plus sa queue dans sa gorge. Sa bite est raide et dure. A la moitié il ne peut pas aller plus loin. Mais il force. Elle pousse un cri bâillonné par la queue alors le gars se retire. Il enlève sa main de la gorge et utilise les deux pour attraper la chevelure féminine. Il enfonce de nouveau son pieu dans la bouche de ma soumise puis il se met à la baiser violemment. Erika fait de drôles de bruits et essaie de sucer l'homme.

Assis, Joe et moi encourageons notre nouvel ami en mangeant une part de pizza. Mon ami, ne voulant pas être en reste, se lève et se dirige vers Erika et le livreur. Il enlève son pantalon et pousse le livreur de pizza. Puis il enfonce sa grosse queue dans la gueule de la jeune fille et commence à lui pilonner la bouche. Erika a des hauts le cœur. Joe sort sa bite et lui gifle le visage avec en lui disant de se tenir tranquille.

Le livreur de pizza se place derrière la jeune fille et met une main entre ses jambes et commence à triturer la chatte humide. Avec son autre main, il claque la poitrine d'Erika. Il frappe les seins encore et encore. Ceux-ci rebondissent et ma soumise se trémousse sous les coups. Elle essaie de crier mais la bite de Joe au fond de sa gorge l'empêche.

Le livreur tire la laisse mais la tête d'Erika ne bouge pas car Joe la tient bien. Alors le garçon tord les mamelons de sa victime.

Les deux hommes se relaient dans la gorge de mon esclave sexuelle. Quand un a sa queue dans la bouche, l'autre doigte ou gifle les seins de la fille.

Enfin, le livreur de pizza laisse une épaisse quantité de sperme dans la bouche d'Erika. Avant qu'elle n'avale je lui dis d'attendre, de tout garder dans sa bouche et de venir me voir. Je me branle et j'éjacule aussi dans sa gueule. Je dis à Joe de faire la même chose.

Mon ami, toujours un peu fier, jouis non seulement dans sa bouche mais aussi dans ses yeux. Quand il a fini, je demande à Erika de se gargariser avec le sperme. Puis j'attrape une part de pizza et je lui demande de cracher le sperme dessus et de l'étaler avec sa langue.

Avec Joe nous allons nous assoir et nous regardons Erika manger avec avidité la tranche de pizza recouverte de sperme.

- C'est vraiment une bonne salope! Dis-je.

- J'aimerai que toutes mes livraisons se passent de la même façon. Dit le livreur de pizza.

Il se dirige vers la porte et gifle une fois de plus les seins d4erika quand il passe à côté.

- Que fait-on maintenant? Demande Joe excité comme un gamin dans un magasin de bonbons.

- Je ne sais pas mon ami. Qu'as-tu envie de faire?

Joe appelle Erika. Quand elle arrive il saisit la laisse et tire dessus. Elle tombe sur ses genoux. Il malaxe ses seins en me demandant :

- On pourrait peut-être sortir et s'amuser avec elle.

Je rigole et réponds :

- Tu a lu dans mon esprit.

J'ordonne à Erika d'aller se nettoyer. Pendant qu'elle obéit, je vais dans sa chambre et choisit une jupe jaune et blanche et un chemisier. Cette jupe est trop petite pour elle. A chaque fois qu'elle s'assoit, elle remonte sur son derrière. Quelques mois auparavant, elle m'aguichait avec cette tenue.

30 minutes plus tard, la jeune fille revient toute propre et sentant bon. Je lui jette la tenue choisie en lui demandant de s'habiller. Joe est assis dans le canapé et la regarde mettre la jupe et la fixer sur le côté puis enfiler le chemisier et le fermer bouton par bouton. Quand elle a fini, elle lève les yeux et dit :

- je suis prête Maître.

Je prends la laisse et nous sortons. Il est 22 heures, c'est le début de la nuit.

A suivre...

mercredi 23 décembre 2020

Coralie Miss Camping ! Ch. 09

  Suite du Texte d'Alexis, écrit par Florian MC

Massage d'un scout.

Jean me réveilla peu avant la séance de massage. Nous avions mangé en silence, une salade et deux sandwiches, accompagnés d'une bière fraîche, puis je m'étais allongée à l'ombre, à côté de la tente, légèrement cachée par les arbustes secs qui bordaient notre parcelle, mais suffisamment visible pour que les vacanciers qui passaient sur le chemin puissent me mater.

Jean ne m'avait pas demandé de le sucer, après l'épisode de la douche, mais je ne savais pas si c'était parce qu'il ne pouvait plus bander après deux rapports sexuels dans la journée, ou parce que, techniquement, le gros José ne m'avait pas sautée. Un doigt dans le vagin, une branlette, une fellation et des bouillons de sperme rance avalés de force n'étaient pas de la baise à proprement parler. Ou peut-être était-il trop dégoûté pour vouloir que je le prenne en bouche... Il n'était pas au bout de ses peines, dans ce cas !

Je m'étais vite endormie, pendant que Jean faisait le tour du camping à la recherche d'un emplacement isolé pour notre tente - afin que je puisse y recevoir discrètement les messieurs et les demoiselles que j'inviterais à disposer de moi au calme. Avant qu'il ne parte, il m'avait raconté que plusieurs campeurs l'avaient abordé, lui demandant pourquoi il se baladait à poil, et qu'il n'avait pas trop su répondre.

- Si on te pose la question, avais-je dit, tu répondras que tu es le mari de miss camping, et que tu partages sa nudité, parce que je ne veux pas être seule à me faire peloter par tout le monde. Tu leur diras - hommes ou femmes - qu'ils peuvent te toucher comme ils le souhaitent et que si tu n'obéis pas, ils n'ont qu'à me le dire, je ferai ma valise immédiatement. Et s'il y en a un qui t'encule dans une douche ouverte devant une dizaine de campeurs, tu auras une idée de comment je me suis sentie ce matin !
 
Il avait hoché la tête, docile, et était parti, cul nu, pine à l'air, dans son exploration du camping.

Je m'étirai, bien en vue, plus reposée que je ne l'aurais cru possible. Jean déplantait les sardines de la tente. Les sacs étaient déjà chargés dans le coffre de la voiture grand ouvert.

- J'ai trouvé un emplacement qui te conviendra, je pense. C'est le numéro 1. Il est en plein milieu du camping, le long du chemin qui mène à la plage, à côté de sanitaires.

Je ne comprenais pas comment la tente serait isolée dans ces conditions, mais je lui faisais confiance, il avait, lui aussi, toutes les raisons de s'abriter des regards. Je me montrai conciliante.

- Je vais au massage. Prends les sous, tu me montreras en chemin.

Nous arrivâmes vite à l'emplacement qu'il m'avait décrit. Effectivement, il était à peu près au centre du camping, tout proche du chemin de la plage et à dix mètres des douches. C'était une parcelle complètement invisible, entourée de grands thuyas, et ornée de deux oliviers énormes, qui prodiguaient une ombre bienvenue. On y entrait par une trouée dans les thuyas, mais en garant la voiture juste devant, les arbustes protégeraient totalement notre intimité.

- C'est parfait, dis-je sincèrement. Tu peux installer la tente, je te rejoins après la séance de massage. Je serai peut-être accompagnée, ne sois pas étonné.

Il hocha la tête, et marcha à mes côtés, sans un mot de plus, jusqu'à la piscine.

Quelques femmes faisaient la queue, installées sur des bancs, près de deux grandes tentes blanches. Parmi elles, Laëtitia, Véronique, et, juste devant, Sarah, toujours aussi belle dans un paréo bleu nuit, qui discutait avec l'une des filles que j'avais vues aux lavabos, après que le gros porc se soit soulagé sur moi.

Sarah m'aperçut, elle sourit en scandant:

- Faites place à notre miss camping ! Viens, Coralie, à toi l'honneur du premier massage !

Je me frayai un chemin, seins hauts, démarche chaloupée, mes belles fesses - marquées des coups de cravache - attirant les regards curieux ou voyeurs des campeuses et de leur mari, mais ce fut ma minette rasée qui contribua certainement à l'effet enivrant que je provoquai sur mon passage. Quand je fus à hauteur de Laëtitia, qui me gratifia d'un "sale pute" très audible, je pus voir le regard intense de Véronique, auquel je répondis par un petit clin d’œil mutin. Elle eut un sourire en coin, et mon ventre me chatouilla agréablement.

Sarah m'accueillit à bras ouvert, en me faisant deux bises légères.

- Ça n'a pas encore commencé, tu seras la première à te faire dorloter, je te conseille la tente de gauche, le gars qui y est entré est à croquer !

Un panneau à l'entrée indiquait que les scouts du coin massaient pour quinze euros la demi-heure, pour financer un voyage en faveur d'enfants d'une œuvre catholique. Au moins, je n'avais pas trop à m'inquiéter: un massage de scout catho, il y avait sans doute plus érotique…

Elle me fit une place à côté d'elle et me présenta à sa copine, Sylvie, enseignante, une jolie femme, la quarantaine, aux yeux très doux, sourire coquin avec la langue qui tâtait souvent ses dents, en un tic adorable. Je ne pus que remarquer ses petits seins ronds, un peu mollassons, et ses fesses amples, rebondies mais pas grosses, dans un maillot de bain blanc très serré. Elle était gentille et agréable, et je passai ainsi les minutes avant 19h00 à discuter gaiement, oubliant ma nudité.

A l'heure dite, Sarah me fit une bise plus appuyée en me murmurant à l'oreille:

- Si tu le trouves à ton goût, goûte-le, surtout.

Elle me fit un petit clin d’œil et me poussa à entrer dans la tente de massage. Un jeune homme finissait de ranger ses crèmes et ses bouteilles d'huiles essentielles - cela sentait très bon déjà. Pour un scout, il était effectivement magnifique ! Il mesurait plus de 1m90, tout en longueur, une musculature très fine mais impressionnante, celle d'un nageur, ou d'un basketteur peut-être. Il portait un short rouge mi-long et un foulard de scout autour du cou.

Il s'aperçut de ma présence et sourit, intimidé par ma nudité.

- Bonjour... Euh... Vous n'êtes pas obligée de vous déshabiller totalement, vous savez…

Je lui expliquai rapidement l'histoire du concours des miss.

- Oh, je comprends.

Il ne semblait pas très à l'aise. Je m'allongeai sur la table, sur le ventre. Il vit les marques rouges sur mes fesses.

- J'ai un onguent pour ce type d'irritation. Ça chauffe un peu, mais vous n'aurez plus rien au bout de quelques heures.

Je hochai la tête.

- Avec plaisir, alors. Tu m'en étaleras aussi sur les seins, j'ai quelques griffures très désagréables, et c'est une zone assez sensible chez moi... Fais-moi ce qui te paraît le mieux pour me détendre, je suis toute à toi.

Il sourit gentiment et posa ses mains sur mon dos. Et là, ce fut le choc: Ses mains étaient divines, elles m'électrisaient totalement ! Il parcourut mon dos, lentement, massant avec douceur. Mon rythme cardiaque s'accéléra, ma respiration se fit plus rapide, je me sentais mouiller comme une adolescente au printemps. J'essayai de me contrôler, j'avais eu plus de sexe dans cette seule journée qu'en un mois de temps avec Jean, question intensité, je ne pouvais tout de même pas avoir encore envie de me faire prendre ici !

Sans se rendre compte de rien, le scout masseur prit une pommade, s'en mît un peu sur les mains et l'appliqua sur mes fesses blessées. Je grimaçai. Il s'en aperçut et me dit doucement:

- La crème va vous brûler un instant, mais ça ne va pas durer.

Je fermai les yeux. Ses mains me malaxaient les fesses, et la sensation de chaleur s'estompa, pour laisser place à une fraîcheur réparatrice. Les caresses se firent plus prononcées, il s'attardait sur mon cul, ses pouces entrouvrant ma raie, ses mains continuant d'affoler mes sens. J'écartai un peu les jambes, l'incitant à laisser promener ses doigts un peu plus loin entre mes cuisses, consciente d'exposer mon petit trou à son regard.

Il me massa les jambes, les mollets, les pieds, et remonta vers mes fesses, mon dos, je m'abandonnai totalement, gémissant parfois, lorsque, passant sur mes omoplates, ses doigts effleuraient mes seins. Il passa sur le devant de la table, à hauteur de mon visage, pour me masser le cou. Je rouvris les yeux. Son sexe dépassait légèrement de son caleçon, un gland énorme, de la taille de mon poing. Mon ventre se tordit de désir en constatant la force de son érection.

- Je te plais ? demandai-je d'un ton léger. Si j'en juge par ton engin, je dirais que oui…

- Oh je suis désolé, dit-il d'un air gêné, je n'ai pas l'habitude de masser des filles nues... Et vous êtes très belle.

- Ce n'est rien. Tes mains sont merveilleuses, je me demande ce qu'elles me feraient dans des endroits plus intimes... Je peux te toucher pendant que tu me masses ?

Il déglutit. Je pris ça pour un 'oui'. J'abaissai son caleçon, et libérai une bite énorme qui se déroula comme la trompe d'un éléphant. Je la pris à deux mains, mais sa verge était si longue qu'un bon morceau dépassait encore de celles-ci. Je le branlais lentement pendant que, penché sur moi, il me massait le bas du dos. Je l'attirai au bord de la table, et pris son gland dans ma bouche, ouvrant grand les mâchoires pour y parvenir sans qu'il sente mes dents... Ses mains malaxèrent mes fesses, j'écartai les jambes, et sentis ses doigts glisser vers ma chatte trempée, puis la pénétrer toujours avec douceur. Je soulevai les fesses pour m'empaler plus profond sur ses doigts et poussai sa longue bite au fond de ma gorge. Elle était trop grosse, mais je la dégustai réellement, au sens propre du mot, ressentant un plaisir indicible à sentir ce gros membre battre et glisser sur ma langue, taper sur ma gorge, essayant de se frayer un chemin dans ma trachée.

Je libérai le sexe délicieux, crachai dessus un flot de salive et le happai à nouveau, mâchoire écartelée, langue enveloppante, toutes papilles dehors. Je ne pouvais pas en avaler plus de la moitié, mais je m'activai pour le branler en l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge. Ses doigts faisaient des merveilles dans ma chatte, je voulais qu'il me prenne et me mette son bâton de joie bien profondément dans mes entrailles, qu'il me lime avec ardeur, qu'il me fasse jouir comme jamais. Je crachai encore un flot de bave sur son sexe immense, et lui sourit, haletante, titillant sous le méat avec le bout de ma langue.

- Je ne savais pas que les scouts avaient des bites aussi grosses ! Tu as beaucoup de copains à me présenter ?

Il m'embrassa. Puis Je le repris dans ma bouche, en un baiser passionné. Il hésita et chuchota, excité:

- On est une vingtaine dans ma patrouille…

Je ris en le libérant lentement, évacuant la salive en bavant sur son gland gonflé.

- Baise-moi, déjà, on verra plus tard pour les autres !

Je m'allongeai sur le dos, jambes écartées, chatte ouverte, offerte, abandonnée. Il se mit un peu de crème sur les doigts et malaxa mes seins griffés, qui paraissaient minuscules dans ses grandes mains, en frottant son membre sur ma fente rasée et mouillée, écartant les lèvres, s'humectant de mon jus généreux. C'était divin. Je pensai à Laëtitia et eut une idée démoniaque. Mes seins brûlèrent sous la crème, puis se rafraîchirent, me procurant une sensation très intense, qui se répercuta dans tout mon corps, mon clitoris battant au rythme de mon cœur emballé. Il me fallait ce sexe dans ma chatte, vite !

- Viens !

Je saisis son membre à deux mains et le plantait en moi, en gémissant de bonheur. Je sentis l'énorme engin pénétrer au plus profond dans la chaleur moite de ma minette, puis ressortir presque entier, avant de revenir, puissant et doux à la fois, dans une extase jouissive, je mouillai comme lors de ma première fois. Je lui attrapai les fesses et le tirai en moi, contemplant son corps musculeux, ses traits fins, je le baisai, je le sautai, je m'en servis comme d'un gode vivant, accueillant sa bite divine au fin fond de mon corps, de mon minou déchiré mais affamé.

Je me masturbai, ma main tournoyant sur mon sexe rasé, tandis qu'il me prenait par les hanches et m'empalait, me transperçait, me libérait et m'empalait encore sur son membre énorme dans un va-et-vient bestial et joyeux.

- Viens dans ma bouche, je veux te boire tout entier.

Il sourit, accéléra la cadence dans ma chatte, sortit tout entier et, bite à la main, vint vers mon visage. J'ouvris la bouche en grand et accueillis les jets chauds et odorants sur ma langue, avalant de grosses gorgées crémeuses, gluantes, au rythme de son éjaculation bouillonnante et interminable. Pas de haut-le-cœur cette fois, je bus son nectar comme un bon vin, me délectant de la moindre goutte, essayant d'en extraire davantage en pressant son sexe entre mes doigts et en le branlant sans répit. Je le suçai encore longtemps après le dernier jet, la dernière gorgée, satisfaite et heureuse, jambes écartées, tandis qu'il me masturbait lentement, tout à son plaisir, à son désir étanché. Je le serrai dans mes bras, pressant mes seins contre son corps musculeux.

- C'était magique.

- Pour moi aussi.

Je pensais un instant à ce que j'allais dire, comment j'allais amener mon idée, et je me lançai, en jouant encore avec son sexe incroyable.

- J'ai un marché à te proposer. Si tu me rends un petit service, tu pourras m'avoir tous les jours si tu le veux.

Il hocha la tête, impatient.

- Quel service ?

- Il y a une nana dehors, brune-rousse, la quarantaine, jolis seins, taches de rousseur.

Il entrouvrit la tente et jeta un œil.

- Je la vois.

- Elle s'appelle Laetitia, et je voudrais que tu lui fasses dix séances de massage. Tu lui dis que je lui offre pour me faire pardonner.

Il parut étonné.

- C'est tout ?

- Non. Je voudrais que tu la séduises, avec ton beau corps et tes mains merveilleuses, et que tu lui fasses l'amour. Et que tu en aies une preuve, photo ou film. Elle a un film sur moi et m'a violentée, je veux me venger. Avoir un moyen de pression sur elle.

- Je peux faire ça. Mon téléphone permet de filmer, ça peut faciliter les choses.

Je jubilai.

- Si tu essayes, tu me montres les films chaque jour. En échange, tu peux me prendre où tu veux, quand tu veux, à toute heure du jour ou de la nuit. Je suis à l'emplacement numéro 1 pendant encore trois semaines et je serai heureuse de te retrouver !

Il semblait tout excité.

- Si tu arrives à la baiser, et à avoir le film, je t'offrirai mon petit trou. Une belle sodomie, tu pourras me mettre ta bite entière dans l'anus, et me fourrer jusqu'à ce que tu aies la trique qui fume !

Il déglutit. Aux anges. Je ne savais pas comment je pourrai me faire prendre par une aussi grosse et longue tige, mais je le ferai.

Il réfléchit un instant, et me dit:

- Je suis d'accord, mais je voudrais que tu acceptes aussi de t'occuper de mes copains de la patrouille.

Mon cœur manqua un battement. Vingt mecs ! Il eut un regard d'excuse et expliqua:

- Beaucoup sont encore puceaux, ce serait vraiment sympa…

- Je…

Vingt mecs ! Je pensai à Laetitia, à la cravache, au concours des miss, à Jean, au gros porc, à ma vengeance. Vingt mecs !

- Ils sont majeurs ?

- Tout juste oui, comme moi.

Je tressaillis. Aïe. Il ajouta rapidement:

- Et je suis super consentant et ils le seront aussi. Tu n'es pas obligée, tu sais. J'accepte le marché tel quel: toi à n'importe quel moment, où et quand je veux, et, si j'y arrive, tu m'offres ton... derrière. C'est déjà génial pour moi !

Je ne répondais toujours pas. Il était juste majeur, avec ce corps, ces muscles, cette bite formidable... Il devait avoir juste 18 ans. Et il voulait que je me tape ses copains, vingt mecs, tous à peine 18 ans. Mais en même temps, il n'en faisait pas une condition, et ma minette en avait vu d'autres depuis quelques jours.

J'hésitai.

- Pour tes copains, je vais réfléchir. Si j'accepte, ce ne sera pas les vingt en même temps, en tout cas. Et aucun ne me la mettra dans le cul. Toi seulement. Ok ?

Il exultait.

- Oui, tout ce que tu veux.

- Et aucun gamin non majeur.

- Ok.

- C'est important. A cet âge ils sont capables de comprendre ce qu'ils vont faire... C'est à cet âge que j'ai eu mon premier rapport, et je savais très bien ce que ça impliquait…

- ok, ok, tout ce que tu voudras, vraiment.

Il m'embrassa.

- Je m'appelle Loïc, au fait. Et toi ?

On avait baisé comme des bêtes sans même connaître nos prénoms !

- Coralie. Enchantée. Je me mis à genoux, fis un dernier baiser sur son sexe et remontait son caleçon. Rappelle-toi: je veux voir les films, même s'il ne se passe rien, et que tu me racontes tout !

Il me sourit, me passa la main sur les seins, et m'attira à lui en me prenant par les fesses.

- Emplacement numéro 1 et sodomie, je n'oublierai pas.

Je sortis de la tente, un peu désorientée, une douce torpeur dans tout le corps. Sarah m'attendait.
Elle marcha à mes côtés tandis que Laëtitia entrait dans la tente de Loïc. Mon cœur battait dans mon ventre…

- Je me suis fait masser dans l'autre tente, expliqua-t-elle. Approche.

J'obéis. Elle me montra une goutte blanchâtre sur sa langue, et m'embrassa. Je lui rendis son baiser léger et goûtai le sperme qu'elle m'avait gardé sous sa langue. Je lui souris en disant:

- J'ai été plus gourmande que toi, avec mon scout... J'ai tout avalé...!

Elle rit de bon cœur et m'accompagna un moment, en discutant gaiement, me racontant par le menu ce qu'elle avait fait avec son scout, un blond aux yeux bleus qui avait bandé hors de son caleçon dès qu'elle avait ôté son paréo, et s'était retrouvée nue devant lui. Il ne s'était pas fait prier pour que le massage devienne plus intime !

- En parlant de ça, me dit-elle, comment ça se fait que ton mari se promène le zguègue à l'air ?

J'éclatai de rire et lui expliquai.

- Il a accepté ? Il est plus ouvert qu'il n'en a l'air... Ça ne t'embête pas si je viens le titiller un peu ?

- Pas du tout ! On arrive à mon nouvel emplacement, viens avec moi !

Nous passâmes l'entrée de thuyas et constatâmes que Jean n'était pas seul à monter la tente. Un campeur le matait à poil, son sexe en érection dans sa main...

A suivre...

lundi 21 décembre 2020

Femme Infidèle - Marie-Rose (2ème partie)

Marie-Rose a honte d'ouvrir au traiteur dans sa tenue, mais, le rouge aux joues elle réceptionne le repas sans un mot. Le livreur salive sur la poitrine exposée.

Elle va s'appliquer à dresser la table, une belle nappe, des beaux couverts et des bougies pour avoir l'ambiance que désire le gros actionnaire.

Celui-ci va bientôt revenir vêtu seulement d'un peignoir blanc. Marie-Rose l'attend sagement dans sa position soumise. L'homme dit alors :

- J'ai faim ! Mangeons !

Les deux s'installent à la table, Marie-Rose reste la poitrine à l'air. Pendant tout le repas elle va jouer à l'hôtesse attentive au besoin de son invité. Elle va tout faire pour le satisfaire.

A la fin du repas, le gros actionnaire s'essuie les lèvres avec sa serviette et commence à parler :

- Madame de Fontvallon, je suis le plus gros actionnaire de votre société. Lorsqu'elle gagne de l'argent j'en gagne aussi. Par contre, si elle en perd, j'en perds aussi. Et je déteste perdre de l'argent sans raison. Votre erreur pour le dépôt de l'appel d'offre vient de me faire perdre une petite fortune. Et vous êtes la seule responsable, n'est-ce pas ?

- Oui Monsieur ! Répond Marie-Rose en baissant les yeux.

- J'ai parlé avec votre PDG qui m'a indiqué que vous étiez prête à vous faire pardonner votre erreur. Est-ce exact Madame ?

- Oui Monsieur, je suis motivée pour me faire pardonner.

- Vous comprenez que je dois vous punir non ? 

- Oui Monsieur !

- Levez la tête !

L'homme prend alors une  bougie sur la table et fait couler la cire chaude un des seins de Marie-Rose. Celle-ci reste les dents serrés. C'est douloureux, mais elle subit cette torture avec seulement quelques grimaces de douleur. Le gros actionnaire semble prendre plaisir à la voir ainsi grimacer. Il continue et recouvre bientôt les deux seins d'une bonne couche de cire.

- Très bien, mais il faut enlever tout ça maintenant. Venez vous mettre à genoux à côté de moi, les mains dans le dos !

Marie-Rose obéit, heureuse que ce soit fini, mais anxieuse de la suite. Quand elle est en position, l'homme claque brusquement sa poitrine pour faire tomber la cire. Marie-Rose ne peut s'empêcher de pousser des petits cris de douleur. Mais l'homme continue. Après une dizaine de claque il semble satisfait. Il prend les nichons à pleine main pour les pétrir fermement. Puis il dit en ouvrant son peignoir et en exhibant une grosse bite bien dressée :

- Vous allez me sucer maintenant Madame de Fontvallon. Et sans les mains  ! Vous allez me donner du plaisir si vous voulez garder votre travail. Essayez d'être plus efficace qu'au boulot.

Marie-Rose sait qu'elle n'a pas le choix. Jusqu'à aujourd'hui elle n'a fait de fellation qu'à son mari. Elle espère que l'actionnaire ne va pas s'apercevoir de son inexpérience. Elle se penche et commence à lécher la bite avant de l'avaler. Elle est vraiment grosse, mais elle fait son possible pour en avaler le plus tout en faisant tournoyer sa langue. Puis elle bouge sa tête de haut en bas en tenant ses lèvres bien serrées sur la tige.

Elle s'active pendant cinq minutes sous le sourire de bien-être de l'homme, puis celui-ci met ses mains derrière sa tête pour appuyer dessus. La queue s'enfonce dans sa gorge et elle sent bientôt un liquide chaud et gluant s'en échapper alors que l'homme crie :

- Putain ! Tiens salope !

Marie-Rose essaie tant bien que mal de tout avaler sans étouffer. Mais la quantité de foutre diminue et l'homme relâche la pression sur sa tête en disant :

- Nettoyez bien ma bite Madame de Fontvallon et vous pourrez partir !

Marie-Rose s'exécute, trop contente de pouvoir prendre congé de l'actionnaire. Quand elle a fini, elle range sa poitrine et reboutonne son chemiser, tout en se demandant si elle peut se permettre de questionner l'homme sur son avenir. Mais celui-ci la devance :

- Je vais vous appeler un taxi pour que vous rentriez chez vous. Je prendrai ma décision demain et j'avertirai votre PDG. 

*****

Le lendemain, Marie-Rose retourne au travail sans avoir raconté sa soirée à son mari. que pouvait-elle lui dire ? Elle doit prendre un train à 15h00 avec son patron. L'attente est longue jusque là, elle reste dans l'expectative et se demande si elle a sauvé son boulot. Dans le train, son patron ne lui dit rien non plus. Ils arrivent à leur destination et à leur hôtel. Son patron n'a pris qu'une chambre. Marie-Rose est inquiète et choquée.

Elle suit le PDG jusqu'à la chambre. Celui-ci va la faire entrer et lui dit alors :

- Il semble que vous êtes arrivée à vous faire pardonner de notre plus gros actionnaire. Il ne demande plus votre renvoi.

Marie-Rose laisse échapper un soupir de soulagement. Mais l'homme continue :

- Toutefois, je suis le patron et le dernier à décider ! Cette nuit vous allez m'obéir sans aucune résistance ou plaintes, vous comprenez ?

- Oui Monsieur le Directeur !

- Il va se passer des choses. Mais vous pourrez dire "stop" à tout moment, mais dans ce cas vous perdrez votre emploi. 

- Oui Monsieur le Directeur !

- Bien asseyez-vous sur le lit !

Marie-Rose obéit. Son patron sort alors tout un attirail de sa valise. Il s'agit de plusieurs objets en cuir et des chaînes. 

L'homme va commencer par lui mettre un collier en cuir noir avec un anneau, puis il va lui mettre des bracelets en cuir sur les poignets et les chevilles.

Marie-Rose, bien qu'inquiète, ne dit rien et le laisse faire. Son PDG va alors sortir un grand foulard noir qu'il va lui attacher sur les yeux. Elle ne peut plus rien voir.

- Les mains dans le dos ! entend-elle.

Elle s'exécute et sent son patron ouvrir son chemisier et sortir ses seins de son soutien-gorge. Elle frissonne. 

- J'ai toujours rêvé de tripoter ces gros nichons que vous me mettiez sous le nez. Dit l'homme en pétrissant les seins de Marie-Rose.

Puis soudainement, il saisit ses tétons et tire brusquement dessus. Marie-Rose esquisse une grimace de douleur avant de redevenir stoïque.

Elle sent ensuite que son PDG pose des petites pinces sur ses mamelons. la douleur est vive, mais s'estompe lentement. Puis il lui enlève sa veste et lui demande de ses mettre debout et de rester sans bouger.

Le temps passe lentement pour Marie-Rose. Elle se demande ce qui va lui arriver encore. Un quart d'heure plus tard, elle entend frapper à la porte. Son patron va ouvrir et elle entend plusieurs hommes entrer dans la chambre. Ceux-ci sifflent en la voyant et l'in d'eux dit :

- Belle marchandise !

- Vous pouvez toucher ! répond son patron.

Marie-Rose sent que quelqu'un saisit les pinces sur ses seins et tord ses mamelons brutalement.

Elle ne peut éviter de crier très fort sous la douleur.

- Elle va ameuter le quartier, attendez j'ai autre chose !

Bientôt elle sent que l'on glisse une boule dans sa bouche et que l'on l'attache dans son cou. elle a déjà entendu parler de ces ball-gag pour les jeux de soumission. Mais elle n'a jamais imaginé en essayer.

On recommence à tordre ses seins et ses cris sont, cette fois, étouffés par la boule dans sa bouche. Elle entend les hommes rirent. Plusieurs mains se relaient sur sa poitrine. Elle est tripotée, palpée, tirée, tordue, giflée, chaque homme voulant avoir sa part. 

Marie-Rose commence à sangloter et mouiller le foulard sur ses yeux. Alors celui-ci est rapidement remplacé par un masque en cuir noir.

Puis on lui attache les poignets dans le dos à l'aide des bracelets en cuir. Elle entend le tintement d'une chaîne qui est attachée à son cou et reliée à une autre qui lie ses chevilles. Ainsi elle se retrouve légèrement penchée, incapable de faire quoi que ce soit.

Marie-Rose est horrifiée par ce qu'on lui fait subir, elle, une de Fontvallon. Jamais ses ancêtres n'ont été aussi humiliés. Sa résolution faiblit et elle est presque sur le point de dire "Stop". mais elle repense à son mari et à leur vie heureuse. Alors elle sert les dents.

Les hommes dans la pièce vont alors continuer à la tripoter. Ils vont soulever sa jupe et glisser leurs doigts dans sa culotte pour explorer sa chatte et son cul. Ils vont faire des commentaires vulgaires sur elle. Elle va être examiné ainsi une bonne demi-heure avant que son patron l'oblige à s'agenouiller et lui retire la boule dans sa bouche.

C'est alors que des bites vont se présenter devant elle. Elle va s'appliquer à les sucer l'une après l'autre jusqu'à ce qu'elles se vident dans sa gorge. Elle avale tout sans se plaindre. Enfin, plus aucune bite ne se présente à sa bouche et elle entend bientôt les hommes sortirent de la chambre. Elle ne sait pas combien elle a sucé. 

Son patron lui enlève alors son bandeau et ses chaines, puis il dit :

- Déshabillez-vous et à quatre pattes sur le lit !

Marie-Rose a honte d'obéir, mais elle le fait. Elle voit son PDG se déshabiller aussi. Puis il se place derrière elle et sans avertissement il plonge sa bite dans sa chatte.

- Depuis longtemps je rêve de vous sauter ! J'ai toujours eu envie de me faire une aristocrate.

Agrippant ses hanches, il la besogne avec vigueur pendant une dizaine de minutes. Marie-Rose sanglote en pensant qu'elle trompe involontairement son mari. Puis l'homme pousse un gros gémissement et se vide en elle. Elle sent le liquide envahir son ventre. Enfin son patron se retire et s'écroule sur le lit.

- Allez vous laver ! Ordonne-t-il.

Marie-Rose va prendre une longue douche qui va la soulager des sévices subis ce soir dans la chambre. Quand enfin elle sort de la salle de bain, elle voit son patron endormi dans le lit. Elle se glisse sous les draps en faisant bien attention de ne pas le toucher et elle se recroqueville dans un coin pour essayer de dormir. Elle redoute les suites à venir.

En fait son patron ne la touchera plus et le travail reprendra son cours. Le lendemain matin, ils rejoignent une salle de conférence dans une entreprise cliente. Lors de la réunion, Marie-Rose se rend compte que plusieurs hommes la regardent et lui sourient. Certains lui font même des clins d'œil.  Rouge de honte, elle se plonge alors dans ses papiers.

De retour chez eux, son patron ne lui dira rien sinon qu'elle peut prendre en congé la fin de la semaine et qu'il l'attend dès lundi pour un nouvel appel d'offres.

FIN.

samedi 19 décembre 2020

Domination familiale Ch. 01

 Récit de Géronimo.

La mère.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sortit de son bureau et se dirigea vers celui de son patron, Monsieur Christian Panaris, qui l’employait depuis 2 ans comme secrétaire intérimaire dans son Cabinet. Maître Christian Panaris est avocat à la Cour… Un avocat renommé qui possède une clientèle triée sur le volet. Membre de la haute bourgeoisie de Bordeaux, Sophie est mariée depuis plus de 20 ans à Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, héritier d’une grande Famille bordelaise, également avocat à la Cour et surtout concurrent de Maître Panaris.

Au début, quand Sophie avait trouvé ce poste de secrétaire chez son principal rival en affaire, Jean-Yves n’avait pas apprécié du tout, mais Sophie avait insisté pour qu’il la laisse avoir ce poste. Bourgeoise oisive s’ennuyant dans leur grande maison isolée sur les hauteurs de Bordeaux, elle n’avait rien à faire, à part disputer leurs domestiques et notamment leur jardinier sénégalais qu’elle n’hésitait jamais à rabaisser. Leur fille, Ambre, jolie brune de 18 ans, étudie le droit à la Faculté de Bordeaux. Sophie s’arrêta devant la porte et frappa trois coups discrets.

- Entrez !

La voix de son patron la fit frissonner. Monsieur Christian Panaris est un homme assez autoritaire notamment avec les femmes. On murmure dans les couloirs du Cabinet. Des rumeurs qui parlent de droit de cuissage. Mais ce ne sont sûrement que des rumeurs se dit Sophie en pénétrant dans le bureau directorial. Maître Christian Panaris la dévisagea avec un air sévère quand elle entra. Elle fut étonnée qu’il ne lui propose pas de s’asseoir mais ne dit rien restant debout devant le bureau. Il ne dit rien pendant quelques secondes, la détaillant de la tête aux pieds, ce qui accentua son malaise. Il lui sembla que son regard s’attardait sur ses jambes gainées de nylon noir. A 45 ans, Sophie Guillet de Saint-Hilaire est une belle femme, son corps étant parfaitement entretenu par des soins qu’elle peut se payer dans des instituts de beauté. Christian Panaris lui dit soudain :

- Vous m’avez déçu, Sophie…

Elle sursauta et se sentit rougir.

- Mais…bafouilla-t-elle, comment Monsieur ?

- Comment avez-vous pu me trahir ?

Sophie Guillet de Saint-Hilaire eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre et elle blêmit sous son maquillage. Il savait ! Mais comment l’avait-il découvert se demanda-t-elle, angoissée.

- Vous avez abusé de la confiance que j’avais placée en vous ! cria-t-il soudain en se levant brusquement. Alors que j’avais eu la gentillesse de vous embaucher… Vous, l’épouse d’un concurrent ! Vous imaginez bien qu’en temps normal je n’aurais jamais accepté.

Il sembla se calmer d’un coup et continua d’une voix plus douce :

- J’ai découvert que vous aviez donné des informations confidentielles sur certains de nos clients à votre mari pour qu’il puisse gagner des procès. Je vais être obligé de porter plainte, Sophie, je pense que vous serez condamné à une peine de prison. Vous et votre mari. En tout cas, il sera radié par l’Ordre des Avocats et ne pourra plus exercer.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire, effondrée, crut qu’elle allait fondre en larmes, regrettant amèrement le jour ou son mari, Jean-Yves, lui avait effectivement demandé de lui fournir des renseignements sur certains clients de Maître Panaris ; Elle pensait avoir été prudente mais ce n’était visiblement pas le cas.

- Mais…parvint elle à articuler entre deux sanglots refoulés, on peut peut-être trouver un arrangement…

Quand elle vit passer la lueur de triomphe dans le regard de Maître Christian Panaris, elle comprit qu’elle venait de franchir un pas et qu’elle ne pourrait plus revenir en arrière.

- Je peux « oublier » ma chère Sophie, reconnut Maître Christian Panaris, mais alors, j’exigerais de vous une obéissance sans faille, il faudra exécuter le moindre de mes caprices ! Êtes-vous prête à accepter cela ?

Sophie crut qu’elle allait s’évanouir. Il était facile de comprendre de quoi il s’agissait. Christian Panaris voulait qu’elle devienne son esclave. Mais c’était ça ou la prison et pire que tous, le déshonneur et la ruine.

- Je suis d’accord, souffla-t-elle dans un murmure presque inaudible.

Christian Panaris fit le tour de son bureau et s’approcha d’elle. C’est un bel homme de 50 ans aux tempes argentées qui plaît aux femmes, surtout aux bourgeoises de province qui s’ennuient à la maison. Il parait qu’il a plein de maîtresses et que parfois quand le client ne peut payer ses honoraires, très élevés, il se fait payer en nature. Il s’arrête à quelques pas de Sophie qui regarde ses pieds n’osant plus lever la tête, terrifiée. Il pose ses mains sur ses hanches, la caressant. Elle ne proteste pas, elle a simplement un sursaut. Ses mains remontent vers le chemisier de soie et s’empare de ses seins. Elle supplie :

- Non, je vous en prie, je vous donnerai de l’argent…

- Votre fric ne m’intéresse pas Mme de Saint-Hilaire, c’est votre cul que je veux !

Qu’il l’appelle par son nom est encore plus humiliant. Il malaxe ses seins à travers la soie, les triturant… Les malaxant… Sophie Guillet de Saint-Hilaire, les joues rouges, subit cet infâme attouchement sans rien dire, soumise, vaincue. L’avocat descend ses mains et remonte la jupe du tailleur, découvrant les bas et le porte-jarretelles. Mme de Saint-Hilaire aime la lingerie fine. Le souffle court, la respiration oppressée, Sophie sent la main de son patron lui caresser les jambes et remonter jusqu’au string. Il l’écarte et s’aventure dans son intimité. Il lui caresse la vulve tout doucement. Puis, il introduit un doigt dans sa chatte, le faisant aller et venir de plus en plus rapidement. Il le retire et oblige Sophie à le sucer pour le nettoyer. Au bord de l’évanouissement, écœurée, elle s’exécute sortant timidement sa langue pour sucer sa propre mouille.

- Vous aimez ça, le goût de votre cyprine ?

Christian Panaris a un regard triomphateur ! Il prend visiblement un sale plaisir à rabaisser cette bourgeoise, à l’avilir. Il se recule et observe Sophie, jupe troussée.

- Veuillez ouvrir votre chemisier, Mme Guillet de Saint-Hilaire…

Maître Christian Panaris prend beaucoup de plaisir à l’appeler par son nom si distingué et à la vouvoyer, cela donne encore plus de piment à la situation. Sophie commence à déboutonner son chemisier en tremblant…Elle l’ouvre découvrant un soutien-gorge en dentelle… L’avocat pervers s’approche et lui baisse les balconnets du soutien-gorge, dégageant son opulente poitrine, les bouts des seins sont dressées. Il s’en empare et commence à les tordre. Sophie gémit presque malgré elle. Il malaxe les seins, les soupesant, les laissant retomber. Il les triture encore un bon moment en soufflant puis il s’arrête et recule de nouveau.

- Mettez-vous à genoux…

Sophie croit avoir mal entendu.

- Pardon ? Bafouille-t-elle.

- A genoux ! A mes pieds, salope ! hurle Christian.

Terrorisée, elle s’exécute, se mettant à genoux devant lui. Il s’approche et il la saisit par les cheveux, il l’oblige à marcher à quatre pattes dans son bureau. Elle avance se faisant mal aux genoux malgré la moquette. Ses seins ballottent par le chemisier ouvert. Il baisse le string dévoilant sa fente. Il s’assied à son bureau et lui demande d’attendre un peu en attendant qu’il signe des papiers. Sophie Guillet de Saint-Hilaire prosternée à ses pieds, le chemisier ouvert, la jupe relevée, obéit. Elle a l’impression que son attente dure des heures. Puis, Maître Christian Panaris fait pivoter son fauteuil.

- Vous allez me faire une petite pipe…

Il la tire de nouveau par les cheveux et la contraint à se positionner entre ses cuisses.

- Qu’attendez-vous ? Ouvrez ma braguette vous-même, comme une bonne petite pute…

Sophie s’exécute, elle tend ses doigts aux ongles vernis et ouvre la braguette de Christian. Son sexe jaillit comme un ressort. Il a une érection impressionnante. Il est encore plus gros que celui de son mari, pense, honteuse, Sophie. Il appuie sur sa nuque et sa bouche descend vers la bite de Christian. Elle a un mouvement de recul mais, impitoyable, il appuie encore plus et l’oblige à prendre son membre entre ses lèvres pulpeuses. Il donne des coups de bassin, faisant coulisser sa bite. Il observe avec délectation la tête monter et descendre le long de sa bite. Il appuie dessus enfonçant sa queue dans la bouche de Sophie et celle-ci émet une protestation étouffée. Bâillonnée par cette matraque de chair, elle ne peut se plaindre. Christian Panaris lui donne des directives :

- Plus vite, enroule ta langue, salope…T’as jamais sucé ton mari ou quoi ? Ça ne se fait pas dans ton milieu ? dit-il en ricanant.

Elle s’active sur la queue, salivant dessus. La bave coule sur son menton. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle enroule sa langue, lui titille le gland. Il lui ordonne d’arrêter pour lécher ses couilles et elle obéit, soumise. Sophie passe sa langue sur la hampe de chair et de nouveau replonge dessus. Soudain, Christian lui dit d’arrêter. Il la relève et la courbe sur son bureau. La croupe cambrée, les seins écrasés sur le bois du bureau. Elle sent qu’il lui écarte le string et lui enfonce deux doigts dans sa chatte. S’emparant du clitoris, il commence à la branler. Les cheveux dans la figure, elle pousse un gémissement et supplie :

- Non, non, je vous en prie, pas ça…

Christian Panaris lui donne une claque sur ses fesses dodues.

- Tais-toi, traînée !

Il lui prend les hanches et s’enfonce dans son vagin en poussant un « Han ». Il lui donne de violents coups de reins et la traite de tous les noms. Ce qui l’excite encore plus et humilie encore plus Sophie Guillet de Saint-Hilaire, prise en levrette dans le bureau de son patron. Son ventre claque contre ses fesses. Il la besogne avec une telle violence que le bureau bouge tout seul. Sophie halète sous les coups de boutoir de Christian. Elle gémit. Maître Panaris se retire par moment pour replonger dedans avec encore plus de violence. Sophie, le ventre en feu, pousse un cri quand elle sent le membre de son patron s’enfoncer encore plus dans sa chatte. Elle s’agrippe au bureau pour ne pas tomber sous les coups de reins puissants de Maître Panaris. Il s’arrête soudain et se retire, la laissant frustrée.

Elle doit de nouveau s’exhiber devant Maître Panaris. Elle prend ses seins à pleines mains et les soulève pour pouvoir elle-même sucer leur pointes. Il la contraint à s’allonger par terre pour se caresser la chatte. Elle déniche le clitoris et se masturbe devant lui. Il lui ordonne d’arrêter chaque fois qu’il voie qu’elle va avoir un orgasme, la laissant pantelante. Il lui enlève un de ses escarpins et lui tend, l’obligeant à s’enfoncer le talon aiguille dans sa chatte et à se masturber avec. Il lui ordonne d’avancer dans le bureau. Il lui donne de nouveau des instructions :

- Avancez ! Tournez-vous ! Baissez-vous et touchez vos pieds…

Elle obéit et se penche parvenant à toucher avec le bout de ses doigts ses escarpins. Elle doit rester dans cette position pendant que Christian ayant fait le tour lui enfonce un objet dans sa chatte. Elle pousse un gémissement sourd ce demandant ce qu’il lui a enfoncé. Il la relève et l’entraîne vers un miroir. Il la retourne et tournant la tête, elle découvre horrifiée que Maître Panaris lui a enfoncé un gode rose dans son vagin.

- Vous allez le garder dans votre chatte de pute, chère Mme de Saint-Hilaire quand vous retournerez travailler.

Elle ne répond pas, mortifiée. Ce n’est pas possible, comment peut-elle garder cet objet en elle toute la journée ? Elle doit avancer à quatre pattes, le gode dépassant de sa chatte, dans le bureau. Maître Panaris a retiré sa ceinture et lui assène quelques coups sur les fesses pour la faire avancer plus vite. Elle a le cul qui rougit et elle souffle en avançant maladroitement sur la moquette. Par moment, il manipule le gode le faisant coulisser dans sa chatte dégoulinante. Puis, elle doit se relever et sautiller sur place. Ce qui amuse beaucoup Maître Christian, qui se réjouit de voir ses seins ballotter dans tous les sens. Elle manque de tomber déséquilibrée par ses talons aiguilles.

N’en pouvant plus, Christian lui ordonne de se mettre de nouveau à quatre pattes. Il lui retire le gode et l’oblige à le nettoyer. Elle donne de petits coups de langue, léchant sa propre sécrétion vaginale. Puis, Panaris s’enfonce brutalement dans sa chatte la limant avec brutalité. Elle pousse un gémissement subissant les assauts de Christian. Il la bourre violemment agrippé à ses hanches grasses. Il lui enfonce soudain un doigt dans son anus et Sophie Guillet de Saint-Hilaire pousse un cri strident.

- Quoi, Mme de Saint-Hilaire, voulez-vous me faire croire que vous êtes encore vierge du cul à votre âge ?

Il fait coulisser le doigt dans son cul et Sophie halète partagée en la souffrance d’avoir un doigt dans son cul et le plaisir qu’elle ressent d’être envahi par le membre imposant de Christian Panaris. Les coups de reins sont de plus en plus violents et l’avocat bafouille :

- Ah salope, je vais tout te larguer sur ta petite gueule de bourge…

Se retirant, il se positionne rapidement devant le visage ravagé de Sophie et se masturbe au-dessus d’elle. De longues traînées de sperme jaillissent soudain de son pénis avec violence allant s’étaler sur son front, coulant sur ses joues et ses lèvres. Il lui enfonce sa bite dans la bouche, lui demandant de la nettoyer et elle obéit, totalement avilie. Elle se relève et comme promis, Maître Panaris lui enfonce profondément le gode dans sa chatte. Elle doit renfiler son string pour éviter que le gode ne tombe et remettre la jupe de son élégant tailleur.

- Allez ! Retournez travailler Mme de Saint-Hilaire, lui lance Panaris, en lui donnant une claque sur les fesses. Ce soir, avant de rentrer chez vous, vous repasserez me voir et vous me remettrez votre gode. Que vous porterez demain…

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sort du bureau, choquée, et avance dans le couloir. Gênée par le gode qui s’enfonce chaque fois qu’elle marche. Elle croise des collègues et rouge de honte, elle se demande si on peut se rendre compte que sa chatte est envahie par ce corps étranger.

A suivre…