Suite du Texte d'Alexis, écrit par Florian MC
Coralie va mettre son mari au pas.
J'imaginai le choc de Laetitia. La scène qui s'offrait à elle. Michael, qui me prenait en levrette, les mains sur mes fesses, moi, qui suçait sa fille pendant que Jean la sodomisait, puis qui happait Jean, hurlant sous ma morsure tandis que le sperme coulait sur mes lèvres, au rythme de l'éjaculation saccadée de mon mari.
Je n'en restai pas la. Véronique avait dégagé le sexe de Jean de son joli petit cul, portant ainsi son doux abricot ouvert et dégoulinant de salive a quelques centimètres de mon nez. Je lui attrapais les fesses et, laissant Jean a sa douleur, je fourrai ma langue blanche de sperme dans sa petite chatte rose, engloutissant le clitoris fragile dans un baiser sincère et gourmand.
Malgré son effroi, Véronique plaqua ma tête contre elle, enfonçant ma langue dardante dans ses grandes lèvres en faisant mine de se dégager. J'étalais le sperme sur le sexe rasé en me repaissant de ce dernier instant de partage.
Laetitia hurlait, elle avait attrapé Michael, qui jouissait encore quand sa bite sortit de ma minette en feu, puis elle poussa Véronique hors de mon étreinte, et gifla Jean, recroquevillé sur sa queue blessée.
Il ne restait plus que moi, agenouillée, nue, épuisée, tremblante et excitée, au milieu de la famille au grand complet. Je fis un sourire a Axel, qui avait toujours son caleçon taché de sperme et dont les joues avaient manifestement tâté de la gifle de sa mère…
- Espèce de salope !!! Hurla cette dernière en attrapant une cravache accrochée près d'autres équipements d'équitation, a l'entrée du mobil-home. Ce n'est pas dix coups que tu vas te prendre cette fois ! Debout ! Montre-moi ton cul !
Je sais que je n'aurais pas dû sourire.
- Tu n'as aucun droit de me frapper, juste de me peloter…
- Debout, chienne ! sinon je diffuse la vidéo de ton élection à miss camping sur Internet dans dix minutes, avec un lien à tous les collègues dont j'ai les E-mail, ainsi qu'au patron !
Je pâlis légèrement et me levais lentement.
- Ton cul, tends-le vers moi !
Je me retournai, et fis ce qu'elle me demandait, tête basse. Le premier coup tomba, très fort, une brûlure soudaine sur le haut des fesses. Je décidai de ne pas crier, et de ne pas pleurer. Un second puis un troisième coup suivirent, sur mon cul nul et déjà douloureux. J'ouvris les yeux, à l'agonie et remarquai qu'Axel et Michael sursautaient à chaque coup de trique, et que Véronique me regardait
Intensément, presque amoureusement. Je lui rendis son regard, tandis que les coups se succédaient, terribles, et pus me repaître de son petit corps jeune, si bien proportionne, de sa taille fine, de sa blondeur, de ses hanches larges, de la délicatesse de ses lèvres... Je me mordis jusqu'au sang pour ne pas hurler.
- Tu vas pleurer, salope ! Tu aimes les coups ? Prends celui-là ! Et celui-là !
Je fermai les yeux, espérant que la douleur cesse, et qu'elle me laisse partir mais les coups tombaient et tombaient encore. Je sentis les larmes monter, rouvris les yeux et fixai le sexe rasé et les seins parfaits de Véronique, qui serrait les poings et se mordait aussi les lèvres dans une espèce de communion avec moi.
Finalement, Laetitia laissa tomber la cravache et me gifla trois ou quatre fois. Elle attrapa mes seins amples dans ses mains et les griffa très fort, et sans me lâcher, elle dit:
- Sors d'ici immédiatement et si je te revois tourner autour de ma famille, je te pourrirai la vie jusqu'à ce que tu me supplies de t'oublier !
Jean se leva et me prit la main, et nous sortîmes du mobil-home. Je repoussai sa main, mais, les larmes aux yeux et le cul en feu - elle m'avait fouettée là ou les deux miss perdantes m'avaient tapé sur la plage - je le suivis silencieusement jusqu'aux douches. Là, il me laissa prendre une douche seule, où je pus pleurer en silence et m'apitoyer sur la douleur qui me vrillait les seins, le cul et les joues. Je me massai le sexe, qui n'avait jamais autant connu d'hommes en vingt-huit ans. Je laissai longtemps l'eau froide couler sur mon corps et me ressaisis. Ce séjour était une catastrophe, mais je sortis de la douche bien déterminée à en profiter. Jean m'attendait encore, l'air malheureux.
- Coralie, tout est de ma faute, pardonne-moi je…
Je le regardai férocement.
- Enlève ton slip !
- Pardon ?
- Tu veux discuter avec moi ? Enlève ton slip et montre ta queue en public. Je ne veux plus être la seule a me balader cul nul dans le camping. Si tu obéis, on rentre à la tente et on discute. Sinon, je fais ma valise, et tu ne me reverras plus jamais.
- Mais je ne peux pas... Que vont penser les... enfin…
- Décide-toi. Je ne serai plus la seule à faire la pute dans ce camping pour payer tes dettes. Tu n'imagines pas combien de fois on m'a baisée et humiliée aujourd'hui.
Il suffoquait, pale comme un linge. Je pris le chemin de la tente, sous les regards voyeurs des campeurs de tous âges qui rentraient de la plage et venaient se doucher.
- Jolis seins, Coralie.
Une main me frôla les tétons, une autre me tâta franchement. Je fis un sourire forcé et continuai d'avancer.
- La belle croupe !
Deux mains me frottèrent douloureusement, un index s'attarda sur mon anus en fleur sans le pénétrer. Sourire et larmes a peine retenues.
- Rase-toi la moule, miss camping, mes doigts glisseront mieux !
Un gars énorme essaya de fourrer ses doigts dans mon vagin. J'écartai les cuisses en regardant autour de moi, paniquée. Je vis Jean, nu comme un ver, repousser le type et me prendre la main.
- Désolé mon vieux, ma femme a envie d'un plaisir avec son homme, dit-il en forme d'excuse.
Le gros eut un sourire porcin et éructa :
- Baise la bien, et envoie-la-moi après, j'aime les moules quand elles sont bien préparées, et encore toutes chaudes ! Je serai a la piscine !
Et il éclata d'un rire gras.
Nous continuâmes à marcher vers la tente, moi, nue, seins rouges et gonflés, fesses en feu, lui, piteux, bite pendante, rougissant a chaque fois que nous croisions des campeurs au regard interloqué. Sa présence eut au moins un avantage: personne n'osa me toucher en chemin.
Nous entrâmes dans la tente, je m'écroulai littéralement sur le duvet, fermai les yeux en réfléchissant a ce que j'allais dire maintenant. Il fallait que ce soit ferme, sans appel, cruel, vengeur, et jouissif pour moi.
J'ouvris les yeux et me tournai vers Jean, l'air résolu.
- Bien, dis-je. Soyons très clairs: Tu m'as transformée en femme-objet du camping pour quelques centaines d'euros. Une pute bon marché pour des vacances a l’œil. Tu vas donc payer tes dettes de la même manière que moi: a poil tout le temps, tu accepteras les avances de tous les campeurs - les femmes, s'il y en a, mais les hommes aussi.
- Coralie…
- Deuxièmement: Tu m'accompagneras partout ou je te demanderai de venir. Aux toilettes. Aux douches. A la plage. Partout. Tu repousseras les hommes que je ne trouve pas a mon goût, et tu me regarderas faire tout ce que bon me semble avec les autres hommes si je te l'ordonne. Ou avec les autres femmes. Fellation. Baise. Sodomie. Lesbianisme. Tout.
- Coralie je…
- Troisièmement: tu m'aideras à me venger de Laetitia. Cette salope a un film qu'elle veut utiliser pour me ridiculiser au boulot, je veux ce film ou un autre moyen de pression pour l'en empêcher.
- Coralie…
- Quatrièmement: J'entends profiter de MES vacances. Si je dois subir les assauts de tous les mecs du camping, si je dois dépuceler tous les adolescents qui connaissent leurs premiers émois, si je dois sucer toutes leurs sales bites, et me faire violer par tous les trous sous tes yeux, je veux en tirer le plus grand plaisir. Tu vas déplacer la tente dans un endroit isolé du camping, dès ce soir, pour que je puisse recevoir au calme les gars qui me plairont le plus, ou avec lesquels je réaliserai les fantasmes qui me viendront a l'esprit.
- Coralie, tu…
- Je n'ai pas fini. Quand cela arrivera, tu iras là ou je te dirai d'aller. Tu resteras si je le souhaite. Tu sortiras si je te le demande, comme un bon toutou. Si tu es sage, je te sucerai, soit pendant que je me fais baiser, soit après. Si tu n'es pas sage, je te sucerai quand même, mais si tu veux éjaculer dans ma bouche, je mordrai encore ta petite queue de salaud. Autrement, tu n'as pas le droit de me toucher, ni de me faire l'amour, ni évidemment de me sodomiser. Si je partage une expérience lesbienne, c'est la fille qui décidera si tu peux en profiter ou non.
-…
- Enfin, si tout se passe comme JE le décide, que tu supportes les trois semaines a venir, et que notre couple survit à la débauche de sexualité qui m'a vue me faire éjaculer dessus en deux jours plus qu'en toute une vie, me faire vriller l'anus, frapper, insulter, remplir de foutre et de jus de moule, comme dirait le gros porc qui m'attend a la piscine, alors je te donnerai une deuxième chance et nous essayerons de reconstruire une vie commune... Sinon tout s'arrête maintenant. Je fais mon sac, je me rhabille, et tu ne me revois plus.
Jean respirait difficilement. Il geignait sans s'en rendre compte. Se balançait d'avant en arrière. Je me relevai. Sortis ma trousse de toilette, et farfouillai dedans. J'y trouvai ce que je cherchais.
- Coralie…
- Je t'écoute.
Il baissa les yeux.
- Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Même a ce prix. J'accepte.
Je souris méchamment. Je montrai l'objet que j'avais pris dans ma trousse de toilette. Un rasoir.
- Parfait. Nous allons donc ressortir ensemble, aller aux douches, et, je me raserai la minette pour qu'elle soit bien appétissante pour ces messieurs. A dix-neuf heures, a la piscine il y a une séance de massage aux huiles essentielles pour 15 euros la demi-heure. Tu vas me payer une heure. Pendant ce temps, tu déplaceras la tente. Je vais commencer a prendre du bon temps !
(a suivre...)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours