Texte de Coulybaca.
Soirée chez les princes.
Les soirées du scheik Abdoul el Hassan étaient réputées pour leur magnificence, la splendeur du palais formait un écrin parfait pour une débauche de mets fins, de précieux vins millésimés, et de toutes sortes de délices que pouvaient inviter ses cuisiniers pâtissiers et autres hommes de bouche.
De plus on était sur d'y croiser le gratin de la société saoudienne qui ne quittait ses palais fastueux que pour de telles fêtes ou se mêlaient richissimes émirs, diplomates, et escrocs de tout poil.
Vincent Delerme, fraîchement débarqué en Arabie Saoudite se réjouissait de se retrouver dans cette soirée.
Nommé au consulat de France en tant que directeur adjoint, dans l'attente de la libération du poste de consul qui lui était promis, il voyait dans cette soirée, l'opportunité d'identifier les notables présents, que lui désignait son premier secrétaire, afin d'établir avec eux des relations qu'il espérait rapidement profitables.
A son bras, sa femme remplissait pleinement son rôle, elle semblait sortir d'un écrin : la trentaine épanouie, la douce Odile lui faisait honneur, et c'était peu de le penser, d'ailleurs il n'avait jamais douté d'elle. Elle était parfaite, sa timidité naturelle transparaissait dans son sourire légèrement figé par l'appréhension, dans son attitude légèrement gauche, dans sa réserve affirmée.
Arrimée à son mari, elle suivait tous ses déplacements, naviguant de petit groupe en petit groupe au gré de son époux, saluant d'un hochement de tête ici, tendant une main fragile là, esquissant parfois un sourire gracieux lorsqu'elle croisait une personne déjà connue.
Sa tenue elle-même témoignait de son bon goût : elle portait une robe d'apparence très simple de lin léger, d'un vert pastel, discrètement décolletée sur une gorge opulente révélée, ay gré des mouvements par la souplesse du tissu englobant parfois ses charmes pour mieux les mettre en valeur. Outre cette gorge pigeonnante, la fluidité de la robe soulignait la longueur des jambes de la jeune femme ainsi que la charmante ampleur de ses hanches en amphore.
Conscient des regards envieux que jetaient discrètement ses interlocuteurs sur les charmes de sa femme, Monsieur le futur consul se rengorgeait fier d'avoir une telle compagne à son bras, et ce d'autant plus qu'elle ne semblait aucunement se rendre compte de l'intérêt que beaucoup lui portait. Elle passait, insouciante des désirs primaires de possession qu'elle éveillait chez ces hommes pourtant habitués aux jeunes houris très serviables qu'ils côtoyaient à longueur de journée. C'est d'ailleurs ce cité quelque peu virginal qui lui conférait un cet aspect d'inaccessibilité qui la caractérisait le mieux.
Bien installé dans un confortable fauteuil, Hakim, le chef de la sécurité, jetait un œil aux nombreux écrans de surveillance qui tapissaient le mur de son QG. Il était de sa responsabilité d'éviter tout attentat, tout esclandre qui pouvait survenir au cours de ces soirées; au besoin, ses sbires intervenaient discrètement pour évincer le indésirables.
Pour l'instant; il suivait les évolutions des différents couples dans la grande salle de réception, notant qui paradait au bras de qui, s'attardant parfois sur de frais minois, échafaudant des plans visant à circonvenir quelques beautés qui lui seraient bien utiles dans les alcôves de ces messieurs il avait d'ailleurs déjà repéré deux ou trois femmes mariées, qu'il avait corrompue et qui, par peur du scandale lui obéissait au doigt et à l'œil. Il se servait de ces créatures aussi bien pour espionner les maris, leurs services que pour agrémenter ses après-midi personnel, ou les nuits de certain de ses amis toujours heureux de pouvoir disposer à discrétion de ces femmes habituellement inabordables.
Son regard s'attardait sur la compagne du futur consul, il appréciait fortement ce genre d'ingénue, qui bien souvent se révélait volcanique une fois matée. Il avait déjà furtivement rencontré la jeune femme dans des cocktails mondains et avait su apprécier son impact sur les mâles de l'assistance, dans un brusque sursaut, il se redressa, sa décision était prise. Il fit appeler Mohamed et Bruno ses bras droits pour leur donner des ordres visant à circonvenir madame et mettre momentanément hors de circuit monsieur. Des caméras ajoutées au circuit, à l'insu de tous lui permettraient de suivre et de filmer à satiété le développement de son plan.
Au salon les choses se précisaient, chacun prenait place dans la grande salle de réception, s'asseyant en fonction de l'étiquette aux places désignées, enfin les agapes commencèrent, les sbires d'Hakim veillant à ce que le couple soit abreuvé considérablement. Un bal devait ensuite réunir les convives, et c'est ce moment que guettaient Mohamed et Bruno pour intervenir, enfin les prémisses s'annoncèrent selon un emploi du temps dûment respecté. Se levant de son trône, le cheik Abdallah convia ses invités à un dernier toast signal de l'exode vers les salons de danse, c'était le moment, les serviteurs tendirent à chacun une coupe à vider cul sec, Vincent Delerme vida ainsi sa coupe épicée de somnifère, alors que sa douce épouse consommait la sienne additionnée de rohypnol, ou drogue du sexe. Cette drogue avait tous les avantages pour les drogueurs, elle annihilait toute volonté de la victime, la livrant corps et âme à ses suborneurs, et bien que lui permettant de ressentir pleinement les sensations lors des manipulations subies au cours de son absence, ne lui laissant au réveil que des flashs récurrents, des images fugitives, entraînant un profond sentiment de culpabilité, bien utile, par la suite pour subjuguer les proies des maîtres chanteurs.
Comme prévu, les drogues ne tardèrent pas à produire leur effet, ce fut d'abord Vincent qui tituba, ayant de plus en plus de mal à tenir les yeux ouverts, Mohamed lui prêta une épaule secourable tandis que le sourire d'Odile se figeait dans une expression hagarde, immédiatement, les deux comparses appelèrent à l'aide deux serviteurs et les emmenèrent en toute discrétion vers les chambres du palais, Vincent fut bordé dans un large lit douillé, tandis qu'ils emmenaient Odile dans la chambre voisine, rejoignant Hakim qui avait momentanément quitté son poste d'observation, ladite chambre se trouvant d'ailleurs sous caméra reliée à un graveur de DVD qui immortaliserait le développement de la soirée, à l'insu même du garde à qui il avait momentanément confié la surveillance de la soirée.
Sur le pas de porte, il accueillit la charmante droguée testant ses réactions.
- "Bonjour charmante Odile", lui lança-t-il avec désinvolture, "venez donc m'embrasser".
Et, comme un sourire hésitant aux lèvres elle le rejoignait, lui tendant la joue, il surenchérit,
- "Ce n'est pas ta joue que je veux, tu vas me rouler un patin, une galoche"!
Avec un imperceptible frisson, elle tendit alors ses lèvres dont il s'empara avec fougue, lui installant tout de go la langue dans la bouche, de façon à lui visiter intimement le palais. Bien que n'ayant jamais subi ce genre d'assaut de la part de son mari, après un faible recul, totalement désinhibée, elle se laissa aller, ouvrant largement les lèvres pour mieux le laisser s'aventurer dans sa bouche.
- "Maintenant que nous avons fait connaissance, intima-t-il tu vas rouler une pelle à chacun de mes copains, pour leur montrer ta bonne volonté,"
ajoutant pour ces derniers :
- "A voir comment elle est réceptive, on va se marrer les gars... vous allez en tirer tout ce que vous voudrez... mais vous avez votre temps ... la dose est déterminée pour agir 8 heures!
Et docilement, elle se laissa embrasser, participant même aux fiévreux baisers échangés.
Hakim la reprit alors en main, assis sur le lit, il l'attira à lui, saisissant le bas de sa robe il la releva vivement sans qu'elle esquisse le moindre geste de protestation et lui fit passer par dessus la tête, elle se retrouva alors en slip, soutien-gorge, bas et porte-jarretelles sous les yeux enfiévrés de ses ravisseurs.
En tant que chef, Hakim voulait profiter le premier de ses charmes, il voulait se servir de ses trois trous à satiété avant de la livrer à ses sbires, retournant lui-même à sa mission de surveillance, il savait que s'il voulait satisfaire tous ses désirs il devait se dépêcher, ne disposant pas de l'éternité.
Cependant, ayant détecté des tendances à la luxure chez sa victime, il voulait provoquer ses sens, la rendre coopérante, participante, pour que les flashs réminitoires soient bien imprégnés de sa contribution à sa déchéance, ce qui ne pourrait que renforcer son sentiment de culpabilité.
L'attirant entre ses genoux, fébrilement il dégrafa son soutien-gorge et l'en libéra, livrant ses seins fermes à ses caresses abusives. Il empauma les globes élastiques, en évalua rapidement la fermeté toute naturelle avant de survoler d'un doigt léger les larges aréoles qui tout de suite granulèrent traduisant l'effet immédiat de la caresse sur ses sens s'exacerbant, le mamelon bientôt pincé entre deux doigts experts se raidit, c'est alors qu'il saisit le tétin turgescent entre ses dents, le mordillant, le mâchouillant avec vigueur avant de sucer la mamelle épanouie. Odile frissonna longuement, puis elle pressa son buste sur les lèvres de son suborneur, accentuant encore les sensations délicieuses émanant de sa poitrine si habilement cajolée.
Son bassin, mu d'une force propre se mit alors en action, basculant d'avant en arrière, recherchant visiblement la caresse salvatrice, conscient de son emprise sur les sens de la belle, il décida alors de contenter ses sens. D'un geste rapide, il empoigna et descendit son slip sur ses jarrets, elle ouvrit largement les cuisses et sa main se perdit dans la douce chaleur des cuisses offertes. Cambrant le ventre elle vint alors à la rencontre des doigts qui s'enfouirent profondément dans sa chatte, sans aucun préalable, elle gémit alors sa béatitude, s'agitant avec fièvre sur les doigts possessifs. Le pouce ne tarda pas à rejoindre ses compagnons dans son anus, y trouvant une rondelle élastique, assez détendue et graissée par la cyprine s'échappant à grosses gouttes de sa cramouille pour permettre une intrusion aisée. Alors qu'en temps normal, elle se serait refusé à toute initiative de ce genre, se serait même rebellé contre de telles pratiques si étrangères de ses mœurs, réservées aux femmes de mauvaise vie, cette fois, toute censure abolie, elle se livra avec enthousiasme à ces manipulations lui évasant le fondement, déjà pensa-t-il elle savait intuitivement que cette initiative préparait son inéluctable défloration anale.
Le ventre soudain lourd d'envie, les jambes flageolantes elle se laissa tomber sur ses genoux, ouvrant encore plus le compas de son intimité pour se livrer encore plus à ses doigts initiateurs, pressé de goûter à ses charmes, il l'entraîna à plat dos sur le lit, s'étendit sur son corps frémissant, tandis qu'elle empoignait avec décision son sexe dardé, le guidant vers le centre de sa féminité dans lequel il s'engouffra sans coup férir. Tout de suite, il la força à ralentir le rythme, s'enfouissant en de vastes et langoureux allées au plus profond de sa fente subjuguée, avant que d'en presque ressortir avec a même lenteur majestueuse. Elle était comblée, jamais elle n'avait ressenti telle sensation d'empalement, de possession totale.
Il la laissa ensuite adopter son propre rythme, se tourna sur le dos se laissant chevaucher, maîtrisant parfaitement la montée de sève dans son pénis, la contrôlant de façon à faire durer son plaisir.
Elle se démena assez longuement sur son torse, échevelée, avant de s'écrouler vagissante sur son ventre, abattue par une jouissance extrême, qu'elle avoua à plein poumon, heureusement, les chambres étaient parfaitement insonorisées pensa-t-il furtivement, détaché de son orgasme.
Pantelante, étalée sur lui, il la laissa reprendre lentement son souffle avant de renouer possession de son sexe. Lentement il lui caressait le dos, trois doigts enfouis dans son anus lui évasant lentement le goulot, enfin d'une claque légère sur les fesses il la disposa en levrette, un oreiller plaqué sous son ventre pour mieux rehausser sa croupe. Désireux de toujours la faire participer, il lui fit empaumer ses fesses, et comprenant le message induit elle écarta largement ses fesses, exhibant la corolle de son anus déjà entrouvert par la manuelisation subie.
Décidé il approcha son gland de l'étroite grotte, il paraissait inenvisageable qu'elle put s'adapter, se conformer aux dimensions de ce qu'il prétendait introduire dans son boyau culier, et pourtant, inexorablement il força la rondelle à s'arrondir, et tandis que le souffle de la future enculée se faisait haletant, avec un plop sonore, le gland franchit les sphincters récalcitrants, se logeant jusqu'à la hampe dans le cul maintenant soumis. Il s'immobilisa quelques instants, la laissant s'habituer à cette présence incongrue dans son fondement, puis d'un seul élan, il s'enfouit avec détermination jusqu'au ras des couilles dans le boyau résigné, elle accompagna ce lent empalement d'un feulement désespéré, et soudée à son enculeur, le corps tremblant elle profita d'une nouvelle pause de son ravisseur pour laisser s'adapter son tunnel plus du tout secret aux dimensions de son hôte.
Lentement la douleur déserta ses lombes, elle osa un mouvement du ventre, faisant ainsi coulisser son implacable envahisseur dans son conduit soumis, une fulgurante vague de sensations luxurieuses partit alors de ses reins pour exploser dans son cerveau, et c'est avec furie qu'elle se déhancha sur sa mentule tendue à l'extrême, inconsciente de son épaisseur, de sa longueur, se défonçant le tuyau sur ce chibre envoûtant. A nouveau, au bord de l'évanouissement elle cria son bonheur avant de s'effondrer sur le lit, haletant de tous ses flancs, éperdue de jouissance.
Elle reprit lentement ses esprits, une force inouïe la poussait à continuer ses découvertes alors que maintenant sa tête se révoltait de ce qu'elle avait subi. C'était pire encore, une petite voix susurrait dans son cerveau qu'elle n'avait pas tant subi que ça... et même que....
Elle ne pouvait se douter à ce moment que revenue à elle-même, sortie de la drogue qui embrumait son cerveau cette impression stockée dans les cases censurées de son cerveau filtrerait au cours des flashs réminiscents qu'elle subirait... que cette idée même serait le fondement de la culpabilité qu'elle engendrerait de façon sournoise, mais sûre.
Soudain une masse mafflue vint frotter ses lèvres, une voix autoritaire ordonna :
-" Ouvre la bouche..."
Docile elle écarta les lèvres, tout de suite le pénis de son futur maître se planta au fin fond de sa gorge.
– "Suce " ordonna la même voix.
Et avec veulerie, elle se livra à cet acte que jusqu'ici elle considérait comme dégradant, accordé avec parcimonie à un mari exigeant sur ce point précis, aussi bien que peu experte c'est avec une technique rudimentaire mais efficace qu'elle se lança à bouche perdue dans cet acte avilissant. Hakim, qui sentait sa sève bouillir en lui n'en demandait pas plus, et après quelques lècheries plus ou moins appuyées sur le gland et la hampe, il sentit la semence gronder dans ses burnes, lui agrippant alors les oreilles pour interdire tout retrait, avec délectation il se vida à gros bouillon dans la bouche conquise. Au bord de la suffocation, la bouche pleine de ses secrétions, le sperme filtrant aux commissures de ses lèvres, elle déglutit et avala l'épais breuvage qui l'enivra aussi sûrement qu'un vin millésimé, inconsciemment elle en apprécia la viscosité, le goût, légèrement salé et l'onctueuse abondance.
Epuisée, elle ferma les yeux sur son plaisir inavouable et sombra dans un état semi comateux, absolument normal lorsqu'elle ne se trouvait pas stimulée.
Hakim les quitta alors, leur spécifiant :
- "Prenez tout votre plaisir avec elle ... farcissez lui tous les trous ....... Faites participer Abdou, comme ça elle aura appartenu à deux arabes un noir et un métis dans la même soirée ....... Et qui sait si en plus son milieu s'avérait raciste ... Moi je vous quitte, je dois reprendre mes fonctions .... Ah n'oubliez pas, sur le coup de six heures, vous la nettoyez avec soin, la rhabillez, et l'allongez chastement aux cotés de son mari .... Rien de ce s'est passé cette nuit ne doit subsister ......"
A suivre...
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