mardi 29 décembre 2020

Domination familiale Ch. 02

 Récit de Géronimo.

Le Contrat.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire se regarda dans la grande glace dans sa chambre à coucher. Le corps élancé, les longues jambes fines et son orgueilleuse poitrine faisait d’elle une fort jolie femme. Mais aujourd’hui, en s’observant dans la glace, elle ne pouvait s’empêcher de se rappeler ce qui c’était passé vendredi dernier dans le bureau de son patron, Maître Christian Panaris. L’infâme salaud l’avait contrainte par un chantage ignoble aux pires bassesses, l’obligeant à se comporter comme la dernière des salopes. Mais elle devait obéir, elle le savait...Sinon, c’était la prison. Elle n’en avait pas encore parlé à son mari qui en ce dimanche après midi se trouve à la maison avec sa fille Ambre.

Le carillon de la porte d’entrée la fait sursauter. Qui cela peut-il être ? Elle n’attend personne.  Elle entend sa fille qui va ouvrir la porte. Puis des exclamations, des bruits de voix.  

Elle s’observe une dernière fois dans la glace. Elle est vêtue pour le week-end assez simplement d’un pull fin et d’un jeans moulant sa croupe. Elle descend l’escalier et arrive dans le salon, un sourire aux lèvres s’apprêtant à demander à son mari qui a sonné. Ses mots se bloquent dans sa gorge. Elle croit s’évanouir. Maître Christian Panaris est là qui la regarde avec un air goguenard. Jean-Yves, son époux, semble étonné de le voir se présenter à eux un dimanche. Panaris s’approche de Sophie et lui baise la main :

- Chère amie, vous n’avez pas encore parlé à votre mari de notre arrangement ?

Bouleversée, Sophie ne sait que répondre. Sa fille et son mari la dévisage. Que peut-elle dire ?

Maître Christian Panaris prend alors la parole demandant à Jean-Yves de s’asseoir sur le canapé. Il obéit et Ambre également. Elle remarque à plusieurs reprises le regard de Christian qui s’attarde sur ses jambes moulées dans le collant noir. Sa petite jupe plissée remonte quand elle s’assoit dévoilant largement ses cuisses. Maître Christian Panaris regarde tout ce petit monde, salivant déjà à l’idée qu’ils vont devenir ses jouets. Il s’adresse à Jean-Yves et lui raconte qu’il a tout découvert et comment Sophie s’est livrée à lui vendredi. Sophie écoute, tête baissée.

- Mais.  Comment avez-vous pu ? Espèce de.  S’écrie Jean-Yves, hors de lui, le regard fou.

- Mais comment ! Cher Confrère, c’est bien vous qui avez mandaté votre femme pour qu’elle m’espionne et recueille des éléments confidentiels et les sortent du cabinet afin que vous puissiez vous en servir contre moi ?

Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire ne répond pas, vaincu.

- Que comptez-vous faire ? Croassa-t-il.

- Je pourrais porter plainte et vous iriez moisir en prison, vous savez cela n’est-ce pas ?

En entendant le mot « prison » la jeune Ambre pousse un petit cri.

- Mais je pense que nous pouvons trouver un arrangement à l’amiable. Poursuivi l’avocat.

Il farfouilla dans sa mallette et en sortit un paquet de feuilles qu’il tendit à Jean-Yves.

- J’ai tapé un contrat vous concernant.

- Un contrat ?

Jean-Yves ne comprend pas où Maître Christian Panaris veut en venir. Il s’empare des feuilles et commence à lire le contrat. Il blêmit dès la première page, à la deuxième, il se lève du canapé, fou de rage.

- Hors de question ! Vous entendez, c’est hors de question !

- Croyez-vous avoir le choix ? lui lance Panaris, triomphant.

Jean-Yves baisse les yeux sur le contrat qu’il a entre les mains. Un contrat d’un genre très particulier stipulant que si la famille Guillet de Saint-Hilaire ne voulait pas être déshonorée par la condamnation et la radiation du Barreau de Maître Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, celui-ci devait signer ce contrat acceptant sans aucune condition de mettre à la disposition de Maître Christian Panaris sa femme Sophie Guillet de Saint-Hilaire ainsi que sa fille Ambre pour une durée indéterminée. Leur époux et père ne devrait pas protester, ne pas en parler à la police sous peine d’être lui-même envoyé en prison. Il est également précisé que Madame et Mademoiselle Guillet de Saint-Hilaire devront dorénavant accepter toutes les demandes faites par Maître Panaris. Blême de fureur contenue, Jean-Yves repose le contrat sur la table, anéanti.

Il regarde sa femme et sa fille qui l’interroge du regard ne sachant pas encore ce que contient le contrat.

- Veuillez lire le contrat à haute voix, Jean-Yves, que votre femme et votre fille sache à quoi s’en tenir.

Humilié comme jamais, il s’exécute. Au fur et à mesure de la lecture, Sophie devient blanche et Ambre pousse des cris en se réfugiant dans les bras de sa mère. Celle-ci tente une négociation !

- Je vous en prie, faites ce que vous voulez de moi mais laissez ma fille tranquille, elle n’est pour rien dans cette histoire.

- Je ne pense pas que vous soyez en mesure d’exiger quoi que ce soit, chère Madame.

Se tournant vers Jean-Yves, il lui demanda de signer le contrat acceptant de ce fait toutes les conditions.

- Jamais ! lança Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, outré.

- Très bien, dit Maître Panaris en prenant son manteau, je m’en vais et je vais porter plainte, vous dormirez bientôt en prison !

Ce fut un concert de cris et de supplications venant de la part de Sophie et d’Ambre. Comprenant qu’il était coincé, Jean-Yves Guillet de saint-Hilaire pris le stylo que lui tendait Maître Panaris et signa le contrat ayant l’impression de signer un pacte avec le Diable.

- C’est parfait, mon cher Jean-Yves, lança Panaris en rempochant le précieux contrat. Nous allons pouvoir commencer tout de suite n’est-ce pas, vous n’y voyez pas d’objection ?

Jean-Yves ne répondit pas, totalement effondré.

- Mme de Saint-Hilaire, veuillez vous mettre à genoux.

Rouge de honte, Sophie s’exécuta. Sous les ordres de Christian, elle se mit à marcher à quatre pattes dans le salon sous les yeux de sa fille et de son mari. Elle s’arrêta devant Panaris.

- Tu vas me faire une petite pipe comme dans le bureau vendredi soir ou j’ai pu admirer tes talents de suceuse.

Elle s’activa sur la braguette du pantalon de Christian et en sortit un sexe épais et dure qu’elle engouffra dans sa bouche. Horrifié, Jean-Yves regardait sa femme administrer une fellation à cet être abject sous les yeux de sa propre fille en plus. Celle-ci d’ailleurs fut bientôt appelée par Panaris qui lui demanda de venir également à quatre pattes les rejoindre. Ambre obéit et dès qu’elle fut devant Panaris celui-ci souleva sa petite jupe plissée dévoilant un cul rebondi moulé dans le collant. Il donna une petite claque sur les fesses et Ambre laissa échapper une plainte.

- Dorénavant, tu ne mettras plus de petites culottes sous ton collant, tu ne mettras plus non plus de pantalon, que des jupes du moins quand tu sortiras avec moi. Pareil pour vous, Mme de Saint-Hilaire jamais de pantalon et des hauts talons, lingerie raffinée, je vous veux putes toutes les deux.
Sophie et Ambre frémissent en entendant cela.

- Regarde ta mère, Ambre comme elle suce bien, prends des leçons, bientôt ce sera ton tour.

Ambre rougit, observant sa mère s’activer sur le membre dressé de Panaris. Sa tête monte et descend avec régularité avec des bruits de succions qui lui paraisse écœurant. Sophie tète le gland, lui léchant la hampe par moment et replongeant la tête dessus. Christian Panaris donne des coups de reins pour s’enfoncer encore plus. Il appuie fermement sur la nuque de Sophie lui enfonçant encore plus sa bite au fond de la gorge. Manquant de s’étouffer, Sophie tente de protester et pousse un gémissement. Christian la repousse soudain et les entraîne toutes les deux vers le canapé ou se trouve toujours Jean-Yves.

Sophie doit enlever son jeans et se mettre à quatre pattes sur le canapé, il ordonne à Ambre de se mettre de la même façon. Il retrousse la jupe d’Ambre et lui déchire son collant ce qui fait hurler Sophie qui supplie Jean-Yves de faire quelque chose. Celui-ci, lâchement, ne répond pas. Il regarde, les yeux exorbités, Panaris en train de malaxer les fesses de sa fille. Il enfonce un doigt dans la chatte de sa fille et fait de même avec sa femme. Ils les branlent ainsi toutes les deux pendant de longues minutes. On n’entend plus dans le salon que les halètements de Panaris et les gémissements de Sophie et Ambre. Puis il s’arrête et se dirige vers sa mallette en lançant :

- Je vous ai ramené votre jouet, Mme de Saint-Hilaire !

Ne comprenant pas, Jean-Yves regarde l’objet que sort Panaris de sa mallette. Un gode ! Il s’agit d’un gode rose ! Se pourrait-il que sa femme s’en soit déjà servi ? se demande- t-il, interloqué.

Panaris revient et enfonce le gode dans la chatte de sa femme en lui donnant une claque sur les fesses.

- Vous reconnaissez votre jouet, n’est-ce pas ? Je vais vous en faire cadeau car dorénavant il faudra qu’il soit toujours dans votre sac avec vous, prêt à l’emploi. Il fait coulisser le gode de plus en plus rapidement et Sophie Guillet de saint-Hilaire commence à couler. Elle remue ses fesses comme pour mieux s’empaler sur le gode. Elle halète.

- Je vais pouvoir baiser votre femme, mon cher confrère, elle est prête.

Panaris sort le gode et le tend à Jean-Yves.

- Gode ta fille ! lui ordonne-t-il.

Jean-Yves le regarde avec un air misérable. 

- Non ce n’est pas possible ! Ne ne me demandez pas de faire cela.

Maître Christian Panaris lui lance un regard dur, méprisant.

- Obéis ! Sinon. 

Refoulant un sanglot, Guillet de saint-Hilaire s’empare du gode et l’enfonce dans la chatte de sa fille. Celle-ci pousse un gémissement sourd.

- Oh papa, supplie-t-elle, non.  Oh Mon Dieu. 

Sophie pousse un feulement rauque quand Panaris l’envahit d’un puissant coup de reins. Les mains crochées aux hanches il commence à la pilonner, son ventre claquant sur les fesses de Sophie. Jean-Yves, sous les directives de Christian, agite de plus en plus vite le gode dans la chatte de sa fille qui secoue la tête dans tous les sens en gémissant.

- Ta fille est une vraie salope, comme ta femme. Telle mère, telle fille, c’est bien connu. Je vais en faire des gagneuses de 1ere ! s’exclame Panaris en haletant.

Les fesses de Sophie tressautent sous les coups de reins puissants de Panaris. Il s’active encore quelques minutes arrachant des gémissements de plus en plus fort de la part de Sophie et il se retire soudain, la bite encore dressée. Il ordonne à Jean-Yves d’arrêter de « goder » sa fille et retourne Ambre pour se positionner devant elle. Ambre a un mouvement de recul en voyant la monstrueuse colonne de chair palpitant devant elle. Christian lui agrippe les cheveux et approche son visage de sa queue, l’enfonçant inexorablement dans sa bouche. Elle émet une protestation étouffée puis commence à bouger la tête.

- Oui, c’est ça, l’encourage Christian, comme ta mère, une vraie suceuse.  Ce doit être génétique dit il en ricanant.

Ne pouvant plus se retenir, il éjacula, aspergeant le palais d’Ambre Guillet de Saint-Hilaire de sa semence amère. Ambre fit la grimace et voulu recracher le sperme, mais, impitoyable, Maître Christian Panaris obligea la pauvre Ambre à tout avaler en lui tenant fermement la nuque. Panaris se redressa laissant les deux femmes se réconforter. Il se rajusta regardant Jean-Yves qui a toujours le gode dans la main.

- Nettoie-le avant de le redonner à ta femme.

Comme il se dirigeait vers la salle de bains, il lui cria :

- Mais non, idiot ! Avec ta langue ! Suce-le !

Interloqué, Jean-Yves regarde Panaris se demandant si il plaisante. Mais il semble évident que non.
Écœuré, il nettoie le gode à coups de langue, goûtant la cyprine de sa propre fille. Quand le gode est bien sec, il le redonne à Sophie qui doit le ranger dans son sac à main.

- Je vous rappelle qu’il faut que vous l’ayez toujours sur vous.  Ou en vous.  Lâche Panaris en éclatant de rire. De toutes façons, pour le travail, je vous rassure j’en ai un autre que vous devrez toujours porter sous votre jupe.

Il se tourne vers Jean-Yves.

- Demain soir, après le travail, je viendrais chercher ta femme et ta fille, je dois les emmener quelque part. J’ai des amis à leur présenter. Notre collaboration ne fait que commencer. 

A suivre...

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