jeudi 29 avril 2021

J'appartiens à Snake désormais Ch. 01

 Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.

Jeune femme désœuvrée se fait piéger par le biais du Web.

Laissez moi vous raconter mon histoire, cette histoire qui m'a couté si cher en bouleversant ma vie.

Je m'appelle Ashley, j'ai 22 ans et je pèse 57 kgs pour une taille d'1,75 m.

J'ai une abondante chevelure rousse et j'étais mariée, jusqu'à l'année dernière avec Jay mon époux que j'avais rencontré dans mes années collèges et que j'avais épousé à la sortie du lycée dès mon diplôme obtenu.

Il avait obtenu ses diplômes un an avant moi et était en bon chemin pour devenir le prochain Donald Trump, si on excepte la chevelure.

Mon mari Jay est plutôt traditionaliste, il ne veut pas que sa femme travaille par exemple, c'est à lui de se charger de la bonne santé financière de la maison, nous étions profondément croyants et fréquentions l'église chaque dimanche.

Je restais à la maison tous les jours, je suppose que j'avais beaucoup trop de temps libre puisque nous n'avions pas d'enfant. Il n'y avait que nous deux et beaucoup de nuits à venir. Jay travaillait très tard le soir, aussi demeurais-je souvent seule chez moi.

Ces jours où il rentrait très tard, la charge de travaux domestiques du lendemain consistait surtout à nettoyer les tasses et à faire du café.

Récemment nous avons acheté un nouvel ordinateur dans une boutique locale qui les construit à le demande. Ils ont leur propre service IP et ils nous offrirent une forte remise lors de l'achat de l'ordinateur. J'avais déjà utilisé des ordinateurs dans mes années collège, mais c'était uniquement pour exécuter mon travail de clase et pour communiquer avec des amis et ma famille. Il n'y a que quelques mois, après l'achat de cet ordinateur que j'ai découvert le monde du chat un jour que je m'ennuyais fortement.

Je me suis tout d'abord rendue sur les salons de discussion juste pour voir ce qui s'y passait. Je voulais observer la façon dont ces gens s'y prenaient, les choses qu'ils évoquaient ainsi que le genre d'écriture qu'ils utilisaient, petit à petit je me suis insérée dans les conversations. Cela aurait du bien se passer, sauf que je commençais à fréquenter des salons qu'une femme mariée, encore moins une jeune mariée ne devrait pas visiter.

J'avais des échanges de plus en plus érotiques, je confiais à des étrangers des choses que je n'avais jamais dites à mon mari ! C'était très amusant... Excitant...

Une paire de fois j'essayais de me brancher sur des salons érotiques, mais je ressentais beaucoup de hontes en le faisant. Je faisais des choses horribles juste pour rendre ma vie plus excitante. 
J'adorais avoir de longues conversations orientées sur le sexe, je révélais beaucoup trop de choses à de parfaits étrangers. Je prétendais avoir accompli des actes extravagants dont je n'avais même pas entendu parler auparavant, je me branchais maintenant sur des salons spécialisés sur le sexe.

Mais ce n'était pas encore assez sulfureux, des interlocuteurs me réclamèrent des photos, je disposais d'une caméra numérique que je posais sur un trépied et tirais quelques clichés forts innocents, juste pour leur montrer à quel point j'étais jolie. On ne voyait que mon visage, j'étais entièrement vêtue.

Il y avait une paire de gars avec qui je correspondais régulièrement, je me sentais en confiance avec eux, ils étaient vifs, drôles et sexy et habitaient de l'autre coté du pays. J'envoyais des photos de mon visage à l'un des deux, puis, je me laissais convaincre de leur envoyer des photos de moi en petite culotte et soutien-gorge, mais mon visage n'était pas visible, sur l'une d'elle je me caressais les nichons.

Je leur disais des choses que les hommes aiment entendre, des propos croustillants, je leur décrivais souvent mes fantasmes les plus osés. Mais tout cela en toute sécurité, ils ignoraient mon nom, ils ne possédaient que mon adresse mail : "sexcindy1984", ils ignoraient où j'habitais, ils n'avaient aucune possibilité de remonter jusqu'à moi.

Tout marchait sur des roulettes, jusqu'à deux semaines plus tôt, à 1 heure du matin.

C'est alors que le téléphone sonna et me réveilla, mon mari a un sommeil très léger, c'est un tel problème que la nuit il se met des boules "quiés" dans les oreilles, ainsi il n'entend plus rien. J'empoignai promptement le combiné, j'avais le cœur remonté dans la gorge, je pensais qu'on allait m'annoncer que quelqu'un de la famille était victime d'un accident très grave... Ou quelque chose de ce genre. Pour quelle autre raison quelqu'un nous téléphonerait-il cette heure matinale. Inquiète, je dis

- "Bonjour..."

Il y eut une brève pause, puis une voix masculine embraya :

- "Hello sexycindy 1984... Ou préfères-tu que je t'appelle Ashley ?"

Je crus bien avoir une attaque ! Ce ne pouvait-être qu'un des deux hommes avec qui je correspondais régulièrement qui avait trouvé qui j'étais et où je demeurais. Mais si cela n'avait été que cela, c'était bien pire.

- "Qui êtes-vous? ...." interrogeai-je proche de la panique absolue.

J'entendis quelqu'un glousser au bout du fil et la voix reprit :

- " Va relever tes mails !" puis il raccrocha.

Je vérifiai que Jay pionçait toujours du sommeil du juste, je me glissai discrètement hors du lit et me ruai dans le bureau. J'allumai l'ordinateur et m'assit attendant, le cœur battant la chamade.

Lorsque ma boite à lettre s'afficha, j'y trouvai un mail provenant de " tonpirecauchemar". J'hésitai un long moment, mais finalement je me résolus à l'ouvrir, il fallait que j'en découvre le contenu. Je cliquai sur l'icône correspondant, je vis immédiatement qu'il contenait une douzaine de photos de moi.

Mon visage était bien visible sur chaque photo alors que je m'exhibais en sous-vêtements, il y en avait même une ou je me caressais les nibards au travers de mon soutien-gorge et de ma petite culotte. Il s'agissait des photos que j'avais envoyées à mes deux correspondants par mail, mais j'avais envoyé des photos différentes à chacun d'eux.

Mais il y avait pire encore.

Je déroulais le mail et parvins au texte, il s'agissait d'extrait de mes conversations avec les deux hommes, des thèmes souvent obscènes, et de la façon dont je les évoquais, on pourrait croire que j'avais vécu ces situations, ces actes, ces pervers agissements que je citais.

Par exemple je me vantais d'avoir de nombreux amants lorsqu'il était au boulot, de sortir dans des tenues provocantes pour allumer les mâles que dont je comblais ensuite les désirs les plus pervers, j'allais même jusqu'à me vanter d'avoir des relations lesbiennes.

Dans une autre conversation j'expliquais que j'avais des rapports sexuels avec l'ado qui entretenait notre pelouse... Et j'avais fait de mon mieux pour rendre ces relations plausibles.

En fin de mail, "tonpirecauchemar" avait écrit :

- "J'ai retransmis toutes tes conversations depuis que tu te promènes sur le web... Si tu ne veux pas que ton mari ait connaissance de ces photos et des tes dires tu ferais mieux de te pointer au 5711 rue Lawton demain matin à 9 heures... Bonne nuit, dors bien !"

Je relus plusieurs fois ce mail me demandant quel était le bâtard me l'avait envoyé. Je cherchai à trouver comment expliquer tout cela à mon mari, il était profondément croyant et très stricte en ce qui concernait la morale. Il ne croirait jamais qu'il ne s'agissait que de propos imaginaires que j'avais inventé pour exciter mes correspondants. Et même s'il parvenait à le croire, il trouverait cela inacceptable, de toute façon, s'il venait à connaître tout cela nous allions tout droit au divorce ! 

MERDE ! 

J'éteignis finalement l'ordinateur et je me recouchai. Jay m'entendit revenir dans le lit, et me demanda si tout allait bien. Je lui répondis que je m'étais rendue dans la salle de bain, il se rendormit aussitôt. Je restai étendue éveillée pendant des heures avec cette horrible menace planant sur ma tête. 

Je me levai en même temps que Jay, et préparais le petit déjeuner tandis qu'il s'apprêtait à partir au boulot. Après son départ je retournai dans le bureau, rallumai l'ordinateur et relus le mail si menaçant. Je devenais folle à ne pas trouver de solution pour m'en sortir dignement et à me demander comment ce type avait pu dégotter ces informations me concernant.

Alors que j'étais assis face à l'ordinateur, plus ou moins abasourdie, je reçus un autre mail émanant de "tonpirecauchemar", j'hésitai à l'ouvrir, mais je savais pertinemment que je n'avais pas le choix et je m'exécutai finalement. Le mail contenait un petit plan précisant l'endroit où je devais me rendre, le parcours que je devais suivre était clairement indiqué et une nouvelle photo de moi en sous-vêtements tenant mes nichons à deux mains comme si je les offrais à un amant.

Il se faisait tard aussi ais-je pris une douche rapide et me suis-je maquillée, puis j'ai cherché quoi me mettre sur le dos. Tous mes vêtements étaient classiques. C'est ainsi que je m'habillais, à mon image, je sélectionnai une jupe bleue marine, chemisier blanc et une élégante veste. Je m'habillai rapidement puis me regardai dans le miroir.

J'ignorais totalement ce qui m'attendait, mais je craignais fort qu'il s'agisse d'un chantage sexuel. Nous commencions notre vie de couple et n'étions pas riches. Il était plus prudent d'enfiler une tenue donnant une bonne impression.

Je ne sais pas qui me jouait ce tour, ni comment j'allais bien pouvoir m'en sortir, mais je devais m'en sortir, il m'était impossible d'imaginer avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, de plus j'étais assez timide.

Je savais que j'avais un visage avenant, mais j'étais très gênée lorsqu'on m'en faisait compliment.
 Chaque fois qu'un homme me reluquait avec insistance je rougissais comme une tomate, je ne pouvais m'en empêcher.

Jay était le seul homme à m'avoir vu nue et à toucher ma peau, cependant lorsque j'étais au collège, j'avais laissé plusieurs fois un petit ami, me caresser la poitrine au travers de mes habits, j'étais très excitée, mais je savais que c'était mal et j'avais arrêté de le voir avant qu'il ne me pousse à aller plus loin.

J'avais commencé à fréquenter mon mari alors qu'il faisait partie des aînés du collège et que je me trouvais avec les débutantes, nous étions tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre, tout nous semblait parfait. Il avait pris la place de mon père dans mon esprit et prenait soin de moi, nous partagions les mêmes principes moraux et religieux. C'était mon prince charmant, il me demanda en mariage 4 mois avant que je ne sois diplômée, j'acceptais sans réserve de devenir sa femme.

A partir de cette date on flirta de façon un peu plus appuyée, par exemple j'acceptais d'introduire ma main dans on pantalon pour prendre sa "chose" en main, je me contentais de la tenir en main, mais c'était déjà beaucoup pour moi. Je lui permettais de prendre de plus en plus de libertés avec moi, il me caressait parfois les cuisses sous la jupe, empaumait mes seins en passant la main dans les bonnets de mon soutien-gorge. Mais il y avait des limites. Nous n'eûmes jamais de rapports intimes avant notre mariage. C'était bien d'attendre le bon moment. Nous avons abordé nos épousailles purs et innocents. Et ce fut une semaine d'explorations et de découvertes éblouissantes qui valait bien le temps d'attente.

Et voila qu'un étranger insistait pour que je le rejoigne à une certaine adresse, et je pressentais qu'il avait l'intention d'avoir des relations sexuelles avec moi. Cela me semblait impossible. Je ne voulais pas me plier à ses dictats. J'irai et je lui expliquerai que oui, je m'étais laissé emportée dans des correspondances osées, mais que ce n'était que pour exciter mes interlocuteurs. Je n'avais jamais eu l'intention de faire quoi que ce soit avec un autre que mon mari. Jamais !

Je jetais un œil sur le plan qu'il m'avait envoyé. La rue se trouvait à une paire de kilomètres de mon domicile. Je devais quitter mon quartier, prendre la route principale et au prochain croisement je me retrouverai dans la rue Lawton. Je détestai l'idée que ce pervers habite aussi près de ma maison.

Il était temps d'y aller et de résoudre ce problème. Je montai dans ma voiture et démarrai. La maison était isolée. La pelouse avait besoin d'être tondue. Il y avait une grosse moto rangée hors du garage, juste à coté d'une camionnette avec la vitre arrière couverte de badges adhésifs.

Je passais devant, sans m'arrêter la première fois. Je n'arrivai pas à me résoudre à m'arrêter. Mais finalement, sachant que je n'avais pas le choix, je me garai dans le virage face à la maison. Je me dirigeai lentement vers l'allée du garage, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à respirer.

J'entendais de la musique provenant de la maison, je dus frapper plusieurs fois à l'huis avant que quelqu'un ne me réponde. L'homme qui ouvrit la porte avait dans les 30, 35 ans il était grand et fort. On aurait dit un ancien haltérophile. Il était encore musclé mais il commençait à bedonner, il semblait assez bienveillant, je commençai à suspecter que je n'aurais pas à négocier avec lui, il me semblait familier, mais je ne saurai pas dire pourquoi.

Il me regarda un moment, sans dire un mot, puis repartit en tenant la porte ouverte pour m'inviter à entrer. Je tentai de lui dire que je ne voulais pas entrer chez lui, que je voulais juste discuter avec lui, je balbutiai et bégayai finalement il me coupa :

- "Ta gueule grognasse et magne-toi le cul d'entrer !"

Je n'aurai pas été plus choquée s'il m'avait giflée, personne ne m'avait jamais parlé ainsi, ou utilisé ces termes en ma présence, j'aurai aimé pouvoir le gifler, au lieu de cela il s'approcha vers moi et me saisit par la nuque pour me pousser dans le salon.

Une fois à l'intérieur il claqua la porte et s'assit dans un vieux fauteuil, pendant une longue minute il me regarda fixement, je me figeais sous son regard, il était évident qu'il prenait un grand plaisir à me voir apeurée, humiliée, choquée. 

J'ouvrai la bouche pour discuter de ma situation, bien que je ne sache pas vraiment ce que je pouvais dire, tout ce que je savais c'est que je devais parvenir à m'en sortir sans trop de dégâts.

- "T'es vraiment stupide, ma salope ! Est-ce que tous tes amis savent à quel point t'es paumée ?"

- "Quoi..." m'insurgeai-je outrée. "En aucun cas ! Et je vous prierai de me parler sur un autre ton et en d'autres termes ! Je n'en tolérerais pas plus !"

Il rit de ma réaction brutale.

- "Qu'y a t-il salope, tu n'aimes pas qu'on te traite de salope ? Je te nommerai comme je le veux et tu souriras en approuvant ! T'as compris ?"

- "Je vous en prie... Ne mêlez pas le seigneur à vos grossièretés... Je ne suis venue que pour vous raisonner... Je ne suis pas le genre de femme que vous croyez ! Ces bavardages sur le net... C'était... Je ne sais comment dire... Un jeu anodin ! Je ne sais pas comment vous avez déniché ces photos et mes bavardages, mais je veux que vous les détruisiez et que vous ne me contactiez plus désormais
! Avez-vous compris ? "

Mon discours me semblait faible et inefficace. Il me rit au visage.

- "Désolé ma petite salope, mais ce n'est pas ce que j'entends faire ! Je veux utiliser ton petit cul à mon gré. Je crois que tu vas trouver les jours à venir tés éducatifs !"

Il se releva et me poussa sur le canapé. Il était si sale et inconfortable que je n'osais bouger de peur de me salir, mais j'étais trop abasourdie pour lui résister. Il s'assit à mon coté et s'empara d'une enveloppe posée sur la table basse face à nous et la déplia. Il en sortit plusieurs photos et des copies de mes bavardages ainsi que liste de noms et d'adresses.

La liste contenait les noms des parents de Jay et de mes parents, de mes grands-parents, de mes voisins, de mes amis, du patron de Jay et de quelques-uns uns de ses collègues. Il y avait aussi le nom et l'adresse de notre pasteur et de membres influents de notre paroisse.

J'eus soudain une brusque envie de vomir, je jetai un coup d'œil circulaire et localisai la salle de bain, aussi me ruai-je sur le bidet et je vomis de tripes et boyaux. Une fois terminé, je me rinçai la bouche et le visage et l'évier. La seule serviette que je vis était si sale que je m'essuyais la bouche et les mains avec du papier toilette. Je jetai un œil dans le salon mon tourmenteur était toujours assis à la même place sur le sofa.

Je retournai dans le salon, ce n'est qu'alors que je compris que j'étais piégée, je lui demandai alors ce qu'il voulait obtenir de moi.

- "T'es une belle salope..." rigola-t-il

- "Tu n'as aucune idée de ton impact sexuel ! Mais moi si ! Je vais t'apprendre tout ce que tu dois connaître du sexe ! Tu vas apprendre à baiser et sucer sur commande ! .Et à t'habiller de façon suggestive !"

- "Vous ne comprenez pas !" tentai-je de le raisonner une dernière fois

- "Je n'ai jamais couché avec un autre homme que mon mari, je ne le peux pas !"

Il m'ordonna d'aller lui chercher une bière dans le réfrigérateur, je ne voulais pas le faire. Je savais que si j'obéissais au moindre ordre de sa part, je tomberai sous son emprise. Il n'eut même pas à me menacer, je me savais battue, j'allais lui chercher sa bière dans le frigo. Le contenu du réfrigérateur me répugna, je me demandais s'il l'avait déjà été nettoyé, je pris la bière et la lui tendis. Il était à peine 9 heures 30 ce matin et il buvait déjà de la bière.

Il vit se peindre ma désapprobation sur mon visage, il rit et me précisa :

- "Je bois toujours une bière en regardant un strip-tease. Et maintenant vire mois tes loques ! Prends tout ton temps, on dispose de toute la journée !"

Puis il s'empara d'une télécommande et la pointa sur une caméra disposée sur un trépied proche et me dit de commencer mon effeuillage. Je jetai un œil sur la caméra et paniquais, c'en était trop. Je m'effondrai sur les genoux, me cachai le visage entre les mains et me mis à sangloter. Il me regardait fixement.

Lorsque j'eus enfin recouvré mes esprits, je le regardai, il me sourit, visiblement mon humiliation le faisait jouir,

- "Oh mon Dieu dans quel piège étais-je allée me fourrer ? "

Je tentai à nouveau de le raisonner, je le supplias, je lui dis que je ne pouvais pas me déshabiller devant un autre home que mon mari, et encore moins face à une caméra ! J'avais les yeux rivés sur la caméra et je remarquai que le bouton rouge était allumé, il enregistrait mes lamentations, mes suppliques.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope... Allez magne-toi le cul... J'étais décidé à te faciliter les choses, mais puisque tu ne veux pas y mettre du tien et suivre mon programme, je vais être obligée de te fouetter le cul à coups de ceinture ! Et pas plus tard que tout de suite... Si tu veux éviter d'être fouettée, décide toi et fous à toi à poil ! Mais si tu préfères, je peux aussi appeler des copains à la rescousse, ils m'aideront à te foutre à poil ! Préfères-tu cela ? "

Je me redressai brutalement, essuyai mes larmes et mon nez avec une serviette en papier que j'avais conservée en main après m'être rincée le visage. Je rangeai la serviette dans une poche de ma veste puis j'enlevas ma veste et le jetai sur la table basse. J'ôtai mes chaussures et je déboutonnai lentement mon corsage, le sortant de ma jupe lorsque j'en atteignis le bas. Je respirai profondément et laissai mon corsage glisser de mes épaules, je couvris mes nibards de mon bras et jetai mon corsage sur la veste.

J'aurai voulu disparaître, je savais qu'il était inutile de supplier plus longtemps mon tourmenteur, tout ce que je savais c'est que je ne pouvais pas faire ça. Mon corps avait toujours était sacré pour moi, il me semblait inimaginable de devoir me déshabiller pour distraire sexuellement ce crétin assis sur le canapé.

Il ne me pressait pas, il jouissait autant de ma gêne que ma partielle nudité.

Je lui jetai un œil, le sourire ravi qu'il affichait m'enfonça encore plus dans mon embarras, je détournai rapidement mon regard, mais je ne parvins pas à trouver une chose sur laquelle mes yeux pourraient se fixer. Je posai les yeux sur la caméra qui filmait mon humiliation, finalement je gardai les yeux braqués sur un vieux calendrier de Playboy suspendu au mur dans le dos de mon tourmenteur.

Je ne pouvais pas rester comme ça tout le temps, aussi dégrafai-je ma jupe et l'enlevai sans la laisser traîner au sol et la lançai-je sur le tas de mes vêtements qui grossissait, je réfléchissais profondément pour affermir mes esprits. Je passai mes pouces sous la ceinture élastiquée de mes collants et les roulai lentement sur mes cuisses, je me trouvai maintenant en petite culotte et soutien-gorge.

L'idée de la prochaine étape à franchir était si cruelle que je frémis de peur, finalement je tendis le bras dans mon dos et dégrafai mon soutien-gorge, je le tins devant moi, couvrant toujours mes nibards de ses bonnets, puis je fis glisser les bretelles et libérai mes bras, je cachai mes nichons d'un bras et de l'autre main je lançai le soutien-gorge sur la pile de mes vêtements.

- "Doux Jésus, comment ai-je trouvé la force de faire tout cela ?" 

Je n'avais aucune réponse à présenter à cette question.

Finalement j'écartai mon bras et offris mes nibards à la vue de ce monstre qui avait le pouvoir de détruire ma vue et mon mariage. Je n'appréciai pas qu'il siffle à la vue de mes appâts mammaires dénudés.

Comme de nombreuses jeunes femmes de mon âge, mes seins sont très fermes ils bombent comme des obus sur mon buste, ils sont très sensibles, bien trop sensibles à mon goût. Parfois, lorsque Jay les caresse et titille mes mamelons, je pensais que s'il les caressait plus longtemps ou plus vigoureusement je succomberai à un orgasme rien qu'à ces caresses. Mais bien sur ce n'était pas à moi de dire à Jay comment s'y prendre. Mais cela était vraiment jouissif lorsqu'il me pelotait les miches.

C'était le moment de l'ultime humiliation, je compris cependant que de toute manière mon épreuve ne s'arrêterait pas là. Cet homme allait me posséder, et j'allais le laisser faire, et pas seulement une fois, pas juste aujourd'hui, mais je devrais endurer de nombreux viols à l'avenir.

Je roulai ma petite culotte sur mes cuisses et la descendis sous les genoux, puis l'enjambai tentant de garder mes cuisses serrées l'un contre l'autre. Je terminai d'enlever mon dernier sous-vêtement et le jetai sur la pile mais il l'attrapa au vol, il me regarda fixement et porta la petite culotte à ses narines et en respira longuement les parfums.

Jamais je n'aurai cru me sentir aussi gênée, et pourtant je l'étais. Je restai immobile un long moment avant qu'il ne m'ordonne de me retourner. Je me tournai lui montrant mon dos, je jure que je pouvais sentir ramper sur mes appâts. Puis il me commanda de me tenir face à la caméra.

Une fois en place, je dus croiser mes doigts dans mon cou et faire saillir me coudes de façon à sortir la poitrine. J'obéis, ce n'était qu'un affront de plus. J'écartai les cuisses d'une cinquantaine de centimètres lorsqu'il me l'enjoignit.

Après avoir longtemps contemplé mes charmes, il se leva et s'avança vers moi. Je frissonnai en sentant ses mains me caresser le dos, puis descendre sur mes fesses, je pleurnichai discrètement. Mais je savais qu'il serait ravi de me voir pleurer, et c'était bien le pire.

Il explora méticuleusement mes charmes jusqu'à planter des doigts indiscrets dans mes blessures naturelles entre mes fesses. Je ne lui opposai aucune résistance, chaque fois que je pensais me rebeller, je réalisai à quel point se serait futile maintenant et qu'en fait cela ne ferait qu'accroître le plaisir qu'il prenait à désacraliser mon corps et mon âme.

Il s'approcha encore de moi, tendit la main et empoigna mes nichons. Je remarquai alors la présence d'un miroir accroché au mur derrière la caméra, je fermai les yeux en me voyant ainsi molestée.

Mais mon tourmenteur avait décidé de ne pas me laisser me cacher derrière la fine peau de mes paupières. Il me regarda dans le miroir et m'intima d'ouvrir les yeux et de me regarder me faisant peloter. 

J'ouvris les yeux et observais ce foutu bâtard empoigner, serrer, étirer, tordre mes nibards bien fermes. Il était évident qu'il me faisait mal, mais il était tout aussi évident qu'il adorait faire mal. Il me passa fugitivement en tête que c'était bien dommage que le suicide soit un pêché mortel car cela semblait le meilleur moyen de me sortir de ce gâchis.

Il concentrait ses caresses sur mes miches, mes mamelons étaient dardés, à ma grande honte. Il les serrait, les étirait et les et tordait ce qui contrastait durement avec les gentilles caresses de mon Jay. A ma grande horreur, je sentis comme des coups de jus irradier mon clito, je réalisai rapidement que si cela ne cessait pas rapidement, un orgasme dévastateur, ne tarderait pas à me terrasser. Et je ne pouvais pas le supporter ! 

Mais il n'arrêta pas, et j'eus un violent orgasme. Je m'affaissais incapable de supporter mon propre poids, je sanglotai une fois de plus la tête cachée entre mes mains. Je ne suis pas tombée par terre, il me rattrapa à temps, il empoigna rudement ma poitrine d'une main alors que l'autre traçait son chemin entre mes cuisses.

La simple idée que Jay ait voulut enfoncer sa main dans mon vagin m'apparaissait inimaginable, mais cette fois j'étais avec un salaud que je ne connaissais pas, un homme qui avait l'intention de se servir de moi comme de son jouet sexuel. Un homme qui tirait une grande jouissance de mes souffrances ! 

"Oh mon Dieu, comment ai-je pu avoir un orgasme des mains de ce monstre ?" pensai-je effondrée. Je ne serai plus jamais la même désormais, j'étais une femme déchue. 

Je pus enfin reprendre des forces et me redresser sur mes jambes. Mais sa main continuait à malaxer mon vagin, il le manipulait rudement et il me pénétra la vulve d'un doigt curieux. Je criai lorsque son doigt fora son trou dans ma foufoune. Il me força à me relever et murmura à mon oreille dans le langage le plus vulgaire qu'il puisse trouver ce qu'il voulait que je lui fasse.

Je secouai la tête en guise d'acquiescement et soupirai. Il ne servait à rien de me plaindre, ni de résister, je ne pouvais que réagir à chaque nouvelle humiliation, je n'avais pas d'autre choix.

Il me lâcha finalement et recula d'un bon pas, je me tenais de profil par rapport à la caméra il m'enjoignit de le déshabiller. J'essuyai mes larmes d'un revers de main et agrippai doucement le bas de son tee-shirt, et faisant bien attention de ne pas toucher sa peau plus que nécessaire, je le remontai et le fis passer au-dessus de ses épaules.

Je le jetai sur la pile de mes vêtements sur la table basse puis je me laissai tomber à genoux et débouclai sa ceinture et son jean. Cherchant à détourner les yeux de la grosse bosse qui déformait le devant de son caleçon je descendis son jean qu'il enjamba rapidement.

Je le débarrassai de son jean et cherchant à dissimuler ma totale révulsion je saisis la ceinture de son caleçon et le descendis tout de go sur ses chevilles. Je fus surprise de la taille de la bite qui jaillit en plein air, elle me semblait énorme, elle était beaucoup, beaucoup plus grosse que le pénis de Jay et beaucoup plus laide. Je savais qu'il y avait des chibres de différentes tailles, mais je n'avais jamais pensé me retrouver un jour à genoux à quelques centimètres de la bite d'un étranger, une bite qui selon moi faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres de long, et de plus, affreusement épaisse. Je ne pensais pas qu'il parviendrait à enfiler cette énorme massue dans ma foufoune si étroite.

Son short enlevé, il empoigna sa massue charnue et la promena sur mon visage. Quelques gouttes translucides suintèrent de son méat. Je savais que cette pré-émission indiquait son niveau d'excitation, mais je n'avais encore jamais vu ce phénomène. Je n'avais de toute manière jamais eu mon visage aussi proche de la bite de Jay. Et je n'avais pris sa bite à main, à part en de rares exceptions au travers de ses vêtements.

Et voilà que ce monstre promenait sa bite sur mon visage déposant un filet gluant lorsqu'il touchait ma peau. Il promenait lentement son gland sur mes joues et mes paupières descendant vers mon menton, s'attardant sur mes lèvres. Je me détournai, mais il me gifla sévèrement en plein visage. Je n'avais jamais été giflée auparavant ! Jamais de toute ma vie ! J'étais profondément choquée.

J'ouvris les yeux et je vis l'épaisse bite à quelques centimètres de mon nez.

- "Embrasse-le !" M'ordonna-t-il sereinement.

J'essayai à nouveau d'esquiver ce geste, j'étais sure de ne pas y arriver, je n'étais pas si naïve, je savais que certaines femmes se pliaient à ces actes, je savais même que c'était assez ordinaire, mais ce n'était pas normal, ce n'était pas moral. Les femmes honnêtes, comme moi, ne posaient sûrement jamais les lèvres sur des organes sexuels masculins.

Il empoigna à nouveau les cheveux et tira dessus. Et sur le ton de la conversation, un ton presque amical il m'avisa :

- "Sais-tu ma petite chérie que je n'ai jamais baisé de rouquines avant toi ? Je suis vraiment impatient de goûter à tes charmes !"

Sur ces mots il attira mon visage vers sa bite qu'il pressa contre mes lèvres.

- "Et maintenant embrasse le salope !"

Je fermai les yeux, mais il hurla que je devais les ouvrir et le regarder. J'ouvris donc les yeux et je les braquai sur petit bedon, je pinçai les lèvres et soumise comme on ne l'est plus je lui obéis servilement.

Puis il me dit de lécher mes lèvres, à ma grande surprise, le pré-sperme qui avait souillé mes lèvres n'avait pas de goût particulier, cependant en obéissant à cet ordre j'avais totalement réalisé ce qu'il me faisait faire, et que j'acceptais bon gré mal gré de faire.

Comme je commençai à tousser, il me donna une nouvelle tape sur la tête, je fis alors de mon mieux pour contrôler mes réactions instinctives. Il me força lentement à baisser la tête et lorsque son gland turgescent frôla mes lèvres il m'intima de tirer la langue et de le lécher.

Je grognai ma honte et m'efforçai de lui obéir servilement. Je léchai consciencieusement son gros brugnon, révulsée par cet acte que je m'efforçais d'accomplir de mon mieux.

Le violent sursaut de sa bite alors que j'effleurais son bourgeon du bout de la langue m'effaroucha brusquement. Il miaulait son plaisir alors que je mettais à lécher servilement son organe mâle. C'était difficile, il tortillait de la queue comme pour échapper à mes lèvres, ce qui rendait encore plus humiliant le fait de le garder sous contrôle. 

Lorsque je l'eus léché un bon moment, il guida mes lèvres sur ses bourses, écœurée, je dus lécher ses grosses burnes poilues. Comment tant de femmes pouvaient-elles se laisser traiter ainsi ? Lorsque ses burnes furent bien couvertes de salive il me releva la tête et annonça :

- "C'est bien ma chérie, c'en est assez des préliminaires, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses. Referme tes soyeuses lèvres sur ma grosse bite et montre moi quelle longueur de bite tu peux enfourner dans ta bouche !"

Je savais pertinemment que cet instant arriverait. Comment allais-je pouvoir laisser un homme enfourner sa grosse bite raidie dans ma bouche ? 

Je frissonnai de révulsion, priant pour que je puisse surmonter cette nouvelle épreuve. J'ouvris la bouche en grand et explosé de rire il enfourna lentement sa grosse bite puante dans ma bouche affolée. 

- "J'ai bien l'impression que t'as beaucoup de choses à apprendre dans l'art de la fellation ma chérie ! Ne te tracasse donc pas, tu auras bientôt beaucoup d'expérience..."

Je refermai les lèvres sur sa hampe et il s'enfouit dans ma bouche asservie.

- "Attention à tes dents !" Grogna-il sèchement.

- "T'es vraiment stupide fieffée salope... Voilà c'est mieux comme ça... Sers-toi de ta langue !"

Il coulissa lentement dans ma bouche s'enfonçant un plus profondément à chaque coup de rein. Il heurtait maintenant l'entrée de ma gorge à chaque coup de boutoir me bâillonnant à chaque fois. Au début il se contentait d'observer mes réactions et de les ignorer, mais lorsqu'il commença à enfouir sa grosse bite dans ma gorge, il se mit à me gifler. Chaque fois que je gargouillais, c'est dire à chaque coup de rein, il me giflait durement en plein visage. Je criais hystériquement maintenant.

Je criais, bredouillais et gargouillais cherchant désespérément à respirer alors qu'il s'imposait dans ma gorge. C'est alors que brutalement il agrippa ma tête à deux mains et pressa mon visage contre son pubis velu, s'enfonçant avec une violence extrême dans ma bouche, sa mentule s'engouffra soudain dans mon arrière gorge asservi. Mes lèvres enserraient étroitement la racine de sa bite puante.

- "Oh oui !" hurla-t-il.

- "Ca y'est chérie... Quel salope ! T'as tout pris dans la gorge !"

Sur ces mots, je le sentis pulser dans ma bouche et mon arrière-gorge, je savais pertinemment ce qui allait advenir, je ne pouvais plus respirer, j'aurai voulu qu'il se retire de ma bouche. Je poussai de toutes mes forces sur ses cuisses, j'étais sure que j'allais mourir les lèvres refermées sur le sexe de cette ordure.

Finalement il se retira très, très lentement. Il s'arrêta laissant son gland dans ma bouche et je goûtais tout de suite à ses premières giclées spermatiques.

- "Bien que tu sois crispée du trou du cul !" me dit-il admiratif, "Je crois que tu vas faire une excellente suceuse ! Avec de la pratique bien sur ! Je dois admettre qu'il n'y a pas beaucoup de salopes qui ont réussi à absorber toute ma bite dès la première fois !"

Devait-il vraiment me parler aussi vulgairement ? Ce langage renforçait encore mon humiliation initiale de me faire complimenter en ces termes.

Lorsqu'il eut fini d'injecter ses derniers jets de semence dans ma bouche, il recula de quelques pas. J'aurai voulu recracher l'infâme potion, mais je savais que cela me rapporterait quelques gifles de plus. Aussi avalai-je bon gré mal gré, me débrouillant pour contrôler mes réflexes de rejet. Cela me fut véritablement très pénible. Et je savais que cela risquait de se reproduire, et même souvent. Je ne pourrai pas en supporter beaucoup plus.

Je m'angoissai à l'idée de vivre sous sa coupe, l'idée de le tuer me traversa, mais c'était totalement utopiste. 

Il me disposa sur le sol, jambes tournées vers la caméra. Il se redressa et ajusta l'ensemble, puis il se rassit sur sa chaise et se remit à siroter sa bière. Dès qu'il fut bien à son aise il m'intima de me masturber. Bien sur il n'utilisa pas ce terme.

Je ne m'étais jamais masturbée, la masturbation est un grave pêché. Et voilà que j'étais obligée de me masturber devant un étranger et face à une caméra qui enregistrait tous mes gestes. Je ne savais même pas comment m'y prendre. Je cherchai à lui expliquer que je ne savais pas comment faire. Mais à l'instant même où je proférai ces dénégations, je savais déjà que je perdais mon temps.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope, tu te fous de moi ? Tout le monde sait comment se branler ! Bordel tu n'as cas te servir de tes doigts ! Tu ferais mieux de te presser fieffée salope ! Parce que si tu n'obtempères pas, je peux trouver quelqu'un qui t'aidera à le faire ! Je sais qui s'en chargerait avec joie ! "

Je savais qu'il était capable de mettre sa menace à exécution. La simple idée que d'autres étrangers puissent assister à ma soumission et à mon humiliation m'était intolérable. Aussi tendai-je les mains vers le bas et je commençai à me caresser lentement. Je tournai autour de mon clito, des sentiments diffus de plaisir envahissaient petit à petit mon bas-ventre.

Je savais que c'était un pêché, mais je n'avais pas vraiment le choix ! 

Comme je continuas mes caresses il m'ordonna d'insérer un doigt, puis deux dans mon vagin et de les agiter. Bien sur il ne me dit pas cela comme ça ! 

Je fermai les yeux, mais il m'enjoignit de les ouvrir et de braquer les yeux sur la caméra pendant que je me branlais servilement. Jamais je n'aurai pensé jouir sous mes caresses, surtout dans ces circonstances. 
Il me forçait à faire des choses les plus horribles de ma vie. 

Il me sembla que cela dura très longtemps mais en fait ma respiration se fit rapidement plus lourde alors que je sentis le plaisir monter dans mes reins. Je m'y refusai, bien que je sache que je ne parviendrai pas à résister bien longtemps.

Je me mis à me branler furieusement, mes hanches se levaient pour approfondir la pénétration de mes doigts dans ma fente embrasée, et, à ma grande honte un second orgasme me terrassa. Comment mon corps pouvait-il me trahir de façon aussi éhontée ? 

Mon bourreau, je ne connaissais toujours pas son nom, me contempla en train de jouir, il vint vers moi alors que je gisais cuisses grandes ouvertes sur le plancher. Il me tourna de façon à ce que la caméra me prenne de profil puis il s'agenouilla entre mes cuisses. Je cherchai à le repousser alors qu'il s'installait entre mes cuisses et entreprenait de m'embrasser les cuisses et le bas ventre.

Personne ne m'avait jamais fait cela, c'était abominable, je le suppliai de cesser, je cherchai à le repousser mais tout cela en vain. Ses lèvres s'approchaient de plus en plus de mes babines gonflées, le fait que cela me plaise rendait ses caresses encore plus haïssables. Finalement sa langue s'insinua entre mes lèvres vaginales, je dus me mordre les lèvres pour éviter de hurler de plaisir. Et mes hanches se relevaient venant à la rencontre de sa langue en dépit de mes efforts pour résister à ses caresses enivrantes.

- "Ouais..." dit-il légèrement dépité "Je savais bien que t'étais chaude, même si tu t'en défends ! Jette donc un œil sur ta chatte embrasée... Elle est inondée de cyprine !"

Cela ne pouvait pas être pire, chaque fois que je pensais que je ne pourrais pas endurer d'épreuve plus dégradante, ma situation empirait. Chaque acte dégradant m'enfonçait de plus en plus dans une honte incommensurable. 

Un nouvel orgasme me submergea... Alors qu'il collait ses lèvres à mon clito, je ne pouvais plus contrôler mes sens. Je mugis mon plaisir à ma grande honte j'avouaisainsi mon intense plaisir, pire encore c'était, sans hésitation aucune, le plus intense orgasme qui m'ait terrassée.

Et il le savait ! Je sentais qu'il en était convaincu. Mon Dieu que je le détestais.

Il m'embrassa suavement la chatte à plusieurs reprises puis repris son parcours, se relevant en mordillant, au passage, mon estomac et mes nichons. Il m'embrassa, me titilla et me pelota tant et si bien que je sombrai rapidement dans un nouvel orgasme, quand bien même mon esprit savait que c'était horriblement pervers.

Je gardai les yeux ont fermé essayant de combattre les indéniables, irrésistibles sensations de plaisir envahissant mon corps comme un océan. Puis il posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle fiévreuse, je me laissai faire et répondis rapidement à ses baisers. Je sentis sa virilité frotter contre ma chatte alors que nous nous embrassions avec passion.

- "Ca y est, je vais jouir..." pensai-je affolée, c'était l'ultime affront le dernier coup de poignard, j'étais incapable de refreiner mes instincts primitifs.

Je n'avais pas encore la moindre idée de l'emprise que ce monstre installait sur mon esprit et mon corps.

- "Prends ma bite en main et rentre la dans ta chatte !" M'ordon-na-t-il impavide.

Je tendis la main et me saisis de sa virilité et l'alignais sur l'accès de ma grotte inondée de cyprine, lentement il s'enfonça en moi. Nos yeux étaient rivés sur son membre forant son chemin dans ma fou-foune. Je sentais sa bite si grosse que je craignais qu'elle ne me blesse cruellement.

Je me demandais fugitivement si mon mari constaterait la différence, indéniablement ma foufoune allait se trouver distendue par cette énorme mentule. Il me semblait impossible que ma grotte puisse reprendre sa taille normale après un tel assaut.

Il ne s'arrêta que lorsqu'il se trouva enfoui jusqu'aux burnes dans ma petite chatte incroyablement accueillante, il me sourit avec dérision et me dit tranquillement :

- "Alors salope ! As-tu goûté déjà une queue aussi épaisse ? Ne te tracasse pas tu goûteras à bien d'autres grosses mentules désormais ! Avant que j'en aie fini avec toi tu reviendras souvent me supplier de te faire baiser ! Ca va te changer de la petite saucisse de ton cornard ! Désormais tu te feras baiser par de vrais hommes ! "

Je secouai la tête de gauche à droite murmurant :

- "Non, non, non..."

Mais j'avais beau le nier, je m'émerveillais d'être aussi élargie par sa grosse queue, de me sentir aussi pleine de lui, d'avoir pu absorber la totalité de son énorme bite dans ma petite chatte élastique.

Puis il commença à me labourer, lentement tout d'abord puis de plus en plus vite, c'était incroyable, je sentais que je perdais une nouvelle bataille. Mes hanches se tendaient vers lui, mes grognements se murent en gémissements de plaisir, je savais que je perdais à nouveau tout contrôle de mon corps et de mes esprits. Je l'étreignais fiévreusement bras verrouillés dans son dos, et je me serrais contre lui, le plaquant contre mon corps de toutes mes forces l'invi-ant à me labourer de plus en plus vite jusqu'à cet instant enivrant où je le sentis se tendre en moi ; je sentis alors sa grosse bite trembler et éja-uler des torrents de foutre dans mon fourreau embrasé, je savais qu'il se vidait totalement les couilles dans ma foufoune accueillante.

Je grognais sourdement en l'étreignant fiévreusement alors qu'un nouvel orgasme me terrassait, puis un autre, un autre... Et encore un autre...

C'était la première dois que je rebondissais d'orgasme en orgasme, pour être honnête je n'avais jamais eu autant de plaisir. Je savais bien que j'avais déjà joui sous les assauts de mon mari, mais ce n'était pas comparable à mon émoi actuel. Je n'aurai jamais cru que l'on puisse jouir à ce point. 

C'est alors que je me rappelais ce qui se passait. J'étais étendue sur un sol souillé avec un complet étranger qui me baisait contre ma volonté et qui se servait de moi comme il l'aurait fait d'une prostituée. Je criai et l'embrassai et griffai son dos de mes ongles dans les derniers soubresauts de mes orgasmes.

Il resta étendu sur moi, me fixant dans les yeux observant attentivement les émotions qu'affichait mon visage expressif. Il avait toujours cet ignoble sourire salace aux lèvres alors qu'il me dévisageait avec attention.

Soudain il tendit la langue et me lécha le visage du menton au front. Je tremblai de révulsion alors qu'il roulait sur le flanc et s'assit.

Il resta assis quelques instants jouant avec mes nibards, puis il les gifla avec vigueur me faisant hurler et me relever pour pouvoir les protéger. Il se releva, se pencha vers moi et m'aida à me relever. Il pointa son doigt vers le fond du vestibule et m'intima :

- "La salle de bain est au bout du couloir... Vas-y et nettoie ta chatoune... Et fais vite !"

Je me dirigeai en chancelant vers la salle de bain j'étais sur le point d'y entrer lorsque je me figeai. Je n'avais jamais vu un tel bordel ! Cette pièce était dégueulasse... Je compris alors que cette place m'était totalement appropriée après ce que je venais de faire.

J'entrai, baissai la lunette des toilettes et m'assit à contrecœur sur les toilettes et attendis quelques instants alors que s'écoulaient des flots de foutre de ma chatte inondée. Lorsque plus rien n'en sortit, je me nettoyai avec du papier toilette, puis je gagnai le lavabo. Il n'y avait pas de serviettes propres, je fis couler l'eau jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment chaude et je rinçais le linge le moins sale que je trouvais et m'en servis pour me nettoyer succinctement. Je terminai en me nettoyant la foufoune et mes cuisses ornées de filets de foutres. J'utilisai plusieurs serviettes sales pour me sécher puis, je retournai au salon.

En dépit de ce qui venait de se passer, je me sentis formidablement gênée de me trouver entièrement nue sous les yeux de cet étranger. Il avait remis son jean et son tee-shirt et enfilait une vielle paire de santiags. 

Il me laissa remettre ma jupe et mon corsage mais ni ma petite culotte ni ma veste. Puis j'enfilai mes chaussures et l'on sortit de la maison.

A suivre...

mardi 27 avril 2021

Un fils indigne Ch. 01

 Texte de Géronimo

Un fils pervers voit sa jolie maman baiser.

Je m'appelle Gabriel. J'ai le prénom d'un ange. Et pourtant, je suis un démon. Un démon de perversions. Laissez moi vous conter comment je suis devenu un pervers. J'ai 21 ans et je suis étudiant en médecine. Je suis assez timide, renfermé. Je n'ai pas beaucoup d'amis et je sors peu. Je n'ai pas de copine, je ne suis pas puceau mais je n'ai pas souvent de relations sexuelles. Je considère que j'ai un physique quelconque, je dirais même ingrat. Je suis petit, 1m60, je porte des lunettes qui me donnent un air intello. Bref, les filles ne me courent pas après. Mon père, Bernard, 50 ans, est souvent absent du domicile familial. Il est ingénieur dans une société qui travaille dans le pétrole. Il est souvent parti à New York, l'Arabie Saoudite ou le Koweït. Autrefois, il allait souvent en Irak mais depuis quelque temps, pour des raisons évidentes, il préfère s'abstenir. Ma mère, Isabelle, est une belle femme de 44 ans.

Grande, élancée, fine, de belles jambes qu'elle met toujours en valeur en portant des jupes droites. Je crois bien que je ne l'ai jamais vu en pantalon. Elle est souvent en tailleur. Elle ne travaille pas, les revenus très confortables de mon père nous permettant de vivre de façon aisée. Elle passe son temps à s'occuper d'œuvre de bienfaisance et de jeunes en difficultés en donnant des cours de français à travers une association. Elle a fait des études pour être prof et elle a laissé tomber quand elle a rencontré mon père. Bref, c'est une bourgeoise oisive, très appréciée dans le quartier résidentiel ou nous habitons. Pour ma part, entre deux cours à la fac, je m'ennuie un peu. Je vais donc souvent sur internet. Et notamment sur les sites de cul. Je vais beaucoup sur les sites ou l'on peut voir des photos de femmes habillées sexy dans des poses suggestives et j'ai toute une collection de DVD pornos avec des femmes symbolisant la bourgeoise salope. J'ai toujours fantasmé sur les femmes d'âge mur. Je pense parce qu'elles sont souvent habillées « classe » tailleur, bas, talons aiguilles.

Je ne me sens pas attirées par les filles de mon âge. Moi, mon truc, c'est la bourgeoise, la femme BCBG. Il y en a quelques unes dans mon quartier et je bande souvent en les regardant. Je mate ma mère parfois aussi. Des fois, je la surprend dans sa chambre quand elle oublie de fermer la porte et je l'observe , le cœur battant la chamade d'être pris sur le fait, en train d'enfiler avec grâce un bas sur ses longues jambes dont elle accentue encore la finesse en portant des talons aiguilles. Je vais tous les soirs sur un excellent site d'histoires érotiques, disons pornographiques du reste, qui sont envoyées par les internautes eux mêmes. J'ai toujours voulu en envoyer une mais je n'ai jamais osé. Je recherche à chaque fois les histoires de domination et de soumission. J'ai honte de l'avouer mais je bande souvent en lisant des histoires de bourgeoises contraintes d'obéir à de pervers maitres-chanteurs. Certes ces histoires sont d'une totale immoralité et souvent critiquées du reste mais que voulez vous, moi, elle m'excite et je donne toujours une excellente note à ces internautes.

J'étais tranquillement affalé sur le canapé en train de lire un roman d'espionnage, quand mon portable sonna. J'abandonnai une scène érotique torride à regret pour décrocher. Nous sommes samedi soir, ma mère est absente, partie diner avec des amies et mon père est à Los Angeles.

- Salut p'tite bite!

Je souris. Je reconnais mon seul et unique ami, Christophe, Chris. Tout le contraire de moi. Grand, imposant. Dragueur invétéré, séducteur. Je ne compte plus le nombre de filles qu'il a sauté. Je lui en veux parfois de réussir ce que je ne parviens pas à accomplir. Je lui en veux aussi quand il m'appelle « p'tite bite » même si je sais qu'il n'y a pas de méchanceté.

- T'es ou ? me lance-t-il.

- Chez moi.

- Tu ne peux pas sortir un peu non !

C'est un sujet de dispute entre nous, je sors en effet très peu. Il me propose de venir le rejoindre chez lui (il habite à deux pâtés de maison) car il a une sortie un peu spéciale à me proposer. Méfiant, je demande de quoi il s'agit. Il me répond qu'il m'expliquera. J'hésite et je décide de le rejoindre après tout, ca n'engage à rien et je pourrais toujours revenir si sa proposition ne me plait pas.

1 heure après, je sonne chez lui. C'est sa mère qui m'ouvre. Nadine est plus petite que ma mère mais également très excitante. Toujours en jupe, elle a aussi de belles jambes. Je me suis déjà masturbé en l'imaginant en train de me faire une pipe pendant que son fils serait dans sa chambre. Un fantasme quoi. Elle me fait la bise et je me sens rougir. Elle porte un T-shirts largement décolleté laissant apparaître la naissance de ses seins. Elle a une poitrine avantageuse la mère de Chris. Et je plonge mes yeux dedans à chaque fois.

- Chris t'attends. Me dit elle avec un sourire.

Elle se retourne et se dirige vers le salon, ce qui fait que je peux lorgner sur ses jambes nues.

J'arrive dans la chambre de Chris. Il est sur un site de cul où il regarde une vidéo montrant une vieille en train de se faire défoncer par des jeunes. On a le même fantasme Chris et moi. C'est ce qui nous rapproche. Il entre tout de suite dans le vif du sujet.

- Tu connais le « Coquin Libertin » ?

Je sursaute. J'en ai déjà entendu parler mais je n'y ai jamais été bien entendu.

- C'est une boite à partouze, non ?

- Un club échangiste, corrige Chris. 

Comme s'il y avait une réelle différence.

- Et alors ?

Chris me regarde en souriant.

- Je connais le videur, on peut y entrer si tu veux.

- Mais, Objecté-je, plein de bons sens, comme toujours, il ne faut pas être deux ?

- Nous sommes deux, Gabriel. Soupira Chris.

- Je voulais dire : un homme et une femme.

- Tu veux te déguiser en femme ? Me lance t'il avec humour. Tranquillise-toi, je te dis que je connais le videur ; on pourra rentrer sans aucun problème.

Je dévisage mon ami avec incrédulité.

- Mais pourquoi veux-tu aller dans un club échangiste ?

Il éclata de rire !

- A ton avis, idiot !

Nous nous retrouvons donc dans sa voiture direction le « Coquin Libertin » qui se situe à quelques kilomètres de la ville ou nous habitons.

Nous avons pu effectivement rentrer sans aucun problème. Nous n'avons même pas payé l'entrée. Alors qu'une queue, sans mauvais jeux de mots, s'allongeait. Je suis étonné de voir, à l'entrée, les videurs demander aux femmes de tout âge de soulever légèrement leurs jupes afin de constater si elles sont vêtues d'un porte-jarretelles ce qu'elles font sans aucunes gênes.

Chris m'explique qu'il s'agit d'une soirée à thèmes. Ce soir : « soirée porte-jarretelles » les femmes qui sont affublées de cet outil, oh combien érotique, ne paie pas l'entrée. Fallait y penser.

Nous rentrons dans ce lieux de débauche et mon cœur bat la chamade. Je suis à la fois effrayé et excité d'être dans un endroit pareil. Il fait sombre. Des couples sont assis dans des box où ils se caressent avec une total impudeur. Une femme, la jupe révélée jusqu'à la taille, gémit pendant qu'un homme lui enfonce deux doigts dans sa chatte. Juste à coté, une autre femme, d'âge mur, fait une pipe à un homme qui pourrait être son fils. Je sens ma bite durcir dans mon pantalon. On entend des gémissements, des petits cris. Une fille, vêtue d'un short sur des collants noirs opaques, et d'un boléro largement décolleté jusqu'au nombril, s'approche de nous et nous dirige vers une table d'une démarche chaloupée. Ces talons aiguilles accentuent la cambrure de ses reins. Nous nous installons et Chris commande deux whisky. Je proteste car je n'ai pas l'habitude de boire de l'alcool.

- Mais lâche toi un peu. Mate la bourgeoise la bas.

En effet, une superbe blonde qui devait avoir la quarantaine, vêtue d'une robe du soir, était en train de faire un strip-tease devant plusieurs hommes qui se branlaient comme des fous. Je suis complètement excité, je vais éjaculer dans mon slip si ca continue.

Nous restons à mater un bon moment. Puis, une femme s'approche de Chris et lui chuchote quelque chose à l'oreille. Il se lève et m'adressant un sourire d'excuse la suit vers le boxe ou l'attend un autre homme. Je l'observais et je vis la femme libérer son sexe déjà gonflé et commencer à le sucer devant l'autre homme qui était certainement son mari. Je soupirai. Une fois de plus, ce n'étais pas à moi que cela arrivait. Je devais être maudit des glandes. Découragé, déprimé, je me levai et commençait à déambuler dans la boite. Je me mis en quête des toilettes et j'arrivai devant une porte ou il était inscrit « PRIVE ».Surpris, je me demandai ce qui pouvait être « privé » dans un endroit pareil !

Curieux, je poussai la porte. Il s'agissait d'une pièce, petite. Éclairée par des projecteurs. J'entends des halètements. Des cris. Des gémissements. J'avançai un peu et aperçut la silhouette d'une femme. Mais je ne distingue pas ses traits. Elle est à genoux en train de sucer un type ventripotent qui lui enfonce sa queue dans sa bouche. Je vois la tête de la femme qui monte et descend sur la bite de l'homme. Il la repoussa et elle se leva. Il la retourna et la cambra sur une table. Il enfonça ses doigts dans sa chatte et commença à la branler. 

J'ai une érection d'enfer et je commence à me caresser a travers l'étoffe de mon pantalon. Les gémissements de la femme emplissent la salle. L'homme retira ses doigts et empoignant son sexe a pleine mains s'enfonça dans le con de la femme qui poussa un cri bref. Il commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. J'entends les claquements de son gros ventre contre les fesses de la femme qui gémit sourdement. Elle couine. Les mains de l'homme sont enfoncées dans ses hanches. D'où je suis, ils ne peuvent me voir. Je bande comme un taureau. L'homme donne de violents coups de pines à cette malheureuse, enfin malheureuse tout est relatif, femme qui secoue la tête dans tous les sens. Elle a l'air d'être une bourgeoise. Je dis ca parce qu'elle est vêtue d'un tailleur dont la veste traîne par terre et sa jupe est relevée autour de sa taille. Ses longues jambes gainées de bas noirs tremblent sous les coups de boutoirs de l'homme qui la traite de salope. La femme gémit sous les coups de reins de l'homme. Je ne distingue pas son visage d'où je suis. Soudain, l'homme se retira et dirigea son sexe vers l'ouverture des reins de la femme qui poussa un hurlement. Je frémis quand l'homme lui enfonça sa bite dans son cul. Puis il commença à la pilonner comme un fou. J'entendis les cris de la femme qui résonnes dans la petite pièce. Elle bafouille des mots sans suite.

- Oui. oui. violez moi! Je suis une bourgeoise salope. Allez y. Plus fort.

Quelle salope! Quand je pense qu'il s'agit certainement d'une bonne épouse, une mère de famille honorable ! Fébrilement, je sors mon téléphone portable et commence à filmer la scène, il faut que je montre ca à Chris. L'autre continue de baiser cette femme comme une chienne. Une autre porte s'ouvrit et deux autres homme entrèrent. Ils sont nus, la bite dressée. L'homme se retira et un autre le remplaça immédiatement. Nouveau cri de la femme et nouveau gémissement. On la mise à terre, à quatre pattes, le cul tourné vers ses hommes qui la baisent comme des brutes. L'homme se mit à genoux et s'enfonça dans sa chatte en lui donnant une claque sur ses fesses. Pendant qu'elle était en train de se faire défoncer par l'inconnu, un autre arriva devant son visage, une queue bien raide dans sa main et il l'enfourna dans la bouche de la femme. C'est alors que, me déplaçant légèrement sans faire de bruit, je découvris son visage. Et le sol se déroba sous mes pieds.

J'eus l'impression que mon cœur s'arrêtais de battre. L'oxygène vint à me manquer. Ce n'étais pas possible! Non! C'était ma mère! Ma maman.ma douce maman qui était devant moi en train de se faire baiser comme la dernière des putes. Je voulus intervenir me disant qu'elle ne devait pas être consentante. Ce n'étais pas possible. Elle devait être contrainte par un ignoble chantage ! Elle c'était faite kidnapper et elle était forcée d'obéir; mais j'entendis ma mère les supplier de continuer et je compris qu'en fait ma mère était la dernière des salopes !

L'orgie continue. Elle est prise en levrette par un des hommes qui s'active sur elle. Ses fesses tressautent sous les coups de reins violents de l'homme. Elle halète comme une folle, je vois ses yeux, le regard fou, elle crie, de la bave coule sur son menton. Elle s'active sur le membre qu'on vient de lui enfoncer dans la bouche. Léchant le gland, suçant la bite puis ressortant pour lécher la hampe et replongeant dessus. Les bruits de succions de sa fellation se perdent avec les halètements de l'homme qui la bourre comme une chienne et qui pousse des cris de goret. Il éjacula sur son dos et un autre le remplaça aussitôt.

Machinalement, je continue de filmer. Ma mère entoura de ses doigts le sexe tendu de l'homme qu'elle suçait et le masturba. Il lâcha des traînées blanchâtres en criant. Le sperme gicla sur le visage de ma mère. Elle en reçut sur le front, les joues. Celui qui était derrière elle éjacula également et aspergea ses fesses de filaments blancs.

On releva ma mère et elle rabattit sa jupe et remis sa veste de son tailleur élégant. Je fus surpris de voir que les deux hommes donnaient de l'argent au troisième, le gros. Je failli m'évanouir de dégoût! Ma mère était prostituée ! Mais pourquoi ? Et par qui ? Qui était cet homme ?

Ma mère accompagnée de l'inconnu se dirigea vers la sortie et je sortais à mon tour précipitamment. Qu'elle ne me voit pas surtout !

Je me cachai dans les toilettes et vis ma mère passée devant moi, l'air exténué, mais avec un sourire aux lèvres. L'homme lui faufile une main sous sa jupe.

Je me rends compte que je bande toujours et que je suis complètement excité. Je rentre dans les toilettes et me masturbe en pensant que je viens de voir ma propre mère en train de se faire enfiler par tous les trous et que j'ai un film le prouvant ! J'éjacule en poussant un grognement de fauve.

Je retrouve Chris qui me cherche partout.

- Putain ! Mais ou t'étais passé ?

S'il savait ! Je lui demande à ce qu'on rentre et il s'exécute de mauvaise grâce. Pendant qu'il me ramène chez moi, j'entends les cris de jouissance de ma mère qui résonne encore dans ma tête.

Je pense au film. Que vais je bien pouvoir en faire ?

A suivre...

dimanche 25 avril 2021

Stéphanie

 Traduction d’un texte de jackie_em.

 ******

Mon nom est Stéphanie. A 26 ans, je suis au sommet, ou du moins il me semble l’être. Je mesure 1m75, j’ai une silhouette fine, de jolis seins, de longs cheveux blonds et un joli visage. A l’université, je travaillais à temps partiel pour me payer mes études et arriver à mon but. J’avais de l’ambition, je savais ce que je voulais et j’avais de nombreuses idées de création.

Pendant mes études, j’ai su attirer autour de moi un groupe de personnes très intelligentes et capables. J’avais besoin d’une équipe, car bien que je sois efficace, je savais que je ne pouvais pas tout faire moi-même. J’avais l’idée d’une application Web, inédite et jamais vu sur le marché. Je savais que cette application ouvrirait d’autres horizons aux personnes si elle était bien conçue. J’avais dans la tête de ce à quoi elle devait ressembler, ce qu’elle devait faire et comment devrait être l’interface.

Je ne suis pas vraiment programmeur, même si j’en ai un peu les bases. Mais j’ai trouvé les gens qui peuvent le faire et j’ai utilisé les économies que j’ai su mettre de côté avec mes petits boulots pour payer ces gens-là. J’étais exigeante avec eux, mais autant avec moi. Je travaillais 16 heures par jour, 7 jours par semaine. Je travaillais, mangeais et dormais dans n’importe quel bureau que je pouvais me permettre à l’époque.

J’avais peur de ne pouvoir financer jusqu’à la fin, alors je poussais mes employés. Oui je suis très exigeante, très critique et quand quelqu’un ne fait pas son travail, je lui fais savoir. Si j’avais été un homme, j’aurais été admirée et vue comme un modèle. Oui je m’étais inspirée des personnes les plus performantes dans le monde de la technologie. Mais parce que j’étais une femme, j’étais une garce.

Mon idée principale était que lorsque nous aurions réussi, je récompenserais toutes les personnes m’ayant  aidée à y arriver. Mais entre-temps je conservais la propriété exclusive de l’entreprise. Je voulais que personne ne puisse saper mes décisions ou me remettre en question. Je me suis battu, j’ai beaucoup travaillé et nous y sommes arrivés.

Au moment où j’ai publié mon application, je n’avais presque plus d’argent. Je pouvais continuer à payer les gens alors que nous avancions, mais je ne pouvais pas garder mon appartement. De toute façon, je dormais au bureau la plupart du temps. 

Le déploiement de mon application se fit normalement et il y eu un bon bouche à oreille. Bientôt, j’eus l’application la plus efficace du marché. Le problème était de gagner de l’argent avec. Bien sûr, elle générait des revenus, mais ceux-ci étaient aussitôt réinvestis dans les salaires ou la publicité.

C’est le problème le plus courant dans ces déploiements technologiques, savoir comment monétiser le succès. Nous sommes devenus rapidement très gros, mais l’argent était dépensé aussi vite qu’il entrait. Nous prenions de l’ampleur, et notre création commença à attirer l’attention de sociétés beaucoup plus grosses. Je savais que si nous pouvions conserver et augmenter notre succès pendant encore six mois, nous serions incontournables sur le marché.

Mais cela signifiait de défendre notre territoire contre les nouveaux arrivants qui essayaient de nous voler notre marché et nos clients. Il fallait que nous continuions à améliorer notre produit tout en défendant notre part de marché. Mais avec une trésorerie aussi faible, ça devenait de plus en plus difficile. C’est à ce moment qu’un autre géant en matière de technologie que je nommerais pas, me proposa de me racheter.

Je ne voulais pas vraiment vendre, mais je n’étais pas sûr que mon entreprise survive si je ne le faisais pas. J’avais l’exemple de beaucoup de nouvelles entreprises ayant inventées de nouvelles choses se faire ruiner par de grosses sociétés. Je ne voulais pas devenir un de ces nouveaux entrepreneurs de génie mis sur la paille par fierté. Alors quand ils m’ont contactée et m’ont offert de l’argent pour mon entreprise, je me suis mise à réfléchir.

Je savais que cette grosse société avait les ressources techniques et le poids financier nécessaire pour réussir. Ils offraient un financement pour la totalité. Je perdais tout, mais en fin de compte je n’y voyais aucun inconvénient. Je pourrais recommencer autre chose, j’avais des idées plein la tête. Bien sûr, ils étaient assez rigides sur ce sujet, mais moi aussi. Ils voulaient que l’on fixe une clause de non-concurrence, mais j’ai restreint celle-ci au segment de marché de mon application. Du coup, ça me laissait encore de nombreuses alternatives.

J’allais obtenir 250 millions de dollars pour mon entreprise. C’était pas mal pour 4 ans de dur travail. J’ai négocié en secret, seul l’avocat de l’entreprise était au courant de ce qui se passait. J’avais besoin de lui pour m’assurer que tout allait bien. La société accédante  voulait que je signe un contrat de services personnels. Ils voulaient que je fournisse des services de marketing et de promotion de l’entreprise après l’avoir vendue.

Je n’étais pas trop d’accord avec ça. Après avoir vendu, je voulais juste ne plus m’en occuper et les laisser faire comme ils voulaient. Mais ils m’ont dit qu’ils me paieraient pour ça. Je n’étais toujours pas d’accord, car avec 250 millions à la banque, ça me suffisait. En fin de compte ils ont conditionné la vente à la signature de ce contrat de services personnels. Je suis allé voir mon avocat.

- Georges, regarde ça attentivement. Je n’aime pas cette idée et je ne veux pas que l’on puisse me tenir en laisse plus tard.

- Bien sûr patron !

Peut-on faire confiance à son avocat ? Je l’ai fait. Et il s’avère que je n’aurais pas dû. Il m’avait dit que tout était bien et que je n’aurais pas de mauvaises surprises, que je devais aller de l’avant. J’ai regardé alors ma comptabilité et je me suis demandée combien de temps je pouvais continuer à payer mes employés avec le peu d’argent qui entrait. Sans publicité continue, ma part de marché commencerait à chuter et mangerait encore plus mes fonds.

Lors de l’un de mes petits emplois à l’université comme mannequin, j’avais dû aller en Suisse et j’y avais ouvert un compte en banque. Je n’y avais pas beaucoup d’argent, mais je savais qu’il était difficile pour le fisc d’aller chercher des renseignements auprès des banques suisses. Donc j’ai insisté pour qu’à la vente, les fonds soient virés sur mon compte bancaire suisse. Les acheteurs ont refusé dans un premier temps, puis ils ont finalement accepté.

Ils ont insisté pour que la signature de la vente se fasse dans un appartement luxueux, juste à l’extérieur de la ville. J’étais d’accord, peu importe où nous signions du moment que j’étais payée.

Le jour dit, j’arrive à l’appartement. Il est très agréable, mais un peu étrange. Il est composé d’un salon luxueux, d’une chambre simple et d’une salle de bain. Le seul accès est un ascenseur avec des clés spéciales qui ouvraient l’immeuble et conduisait l’ascenseur à ce seul appartement.

Il y a une belle table. Je m’assois autour ainsi que mon avocat et deux cadres de la société qui achète mon entreprise. Je dois normalement signer l’accord à huit endroits différents. Après la septième signature, je leur demande de virer l’argent à ma banque avant de signer une dernière fois. Ils ne sont pas trop contents, mais ils le font. J’utilise mon téléphone pour vérifier. Dès que je vois que la somme est virée, je signe la dernière page.

- Voilà Messieurs, vous possédez maintenant mon entreprise.

Les deux cadres se regardent et sourient cyniquement, puis ils me répondent :

- Plus les avantages secondaires, si l’on peut dire !

- Des avantages secondaires ? De quoi parlez-vous ?

C’est alors que je sens quelque chose qui se ferme sur mon cou. J’ai l’impression qu’il s’agit d’un collier en métal. Je fais le tout avec mes mains et je ne trouve pas le moyen de l’ouvrir. Je m’énerve alors :

- Qu’est-ce que c’est que ça ? Enlevez-moi ce truc !

- Attendez ! Maintenant, vous avez un contrat de services personnels avec nous. Si vous le relisez vous constaterez que ça en fait partie.

Je me tourne alors vers mon avocat qui, me semble-t-il, est la personne qui m’a mis le collier.

- Je croyais que tu avais vérifié le contrat ?

- Je l’ai fait, croyez-moi !

- Et je dois porter un putain de collier ?

- Oui, c’est pourquoi je vous l’ai mis !

- Je pensais que tu travaillais pour moi et que tu veillais sur mes intérêts ?

- Disons que je veille d’abord sur mes propres intérêts. Ils m’ont fait une très belle offre pour éviter de vous tenir au courant de certaines dispositions contractuelles.

- Salaud ! Espèce de fils de pute !

- Oui ! Et vous, vous êtes une garce avec moi et tous les autres employés de l’entreprise depuis très longtemps.

- J’ai juste essayé d’être juste.

- Vous avez essayé d’être juste ? Vous nous avez poussés au travail, vous nous avez humiliés tout en nous faisant travailler presque sans repos.

- J’ai travaillé très dur moi aussi !

- Mais vous repartez avec des millions d’euros, alors que nous aurons de la chance si les nouveaux patrons conservent nos emplois.

- Je n’ai pas à supporter ça ! Je m’en vais !

Les deux cadres se regardent et sourient tandis que je me lève et me dirige vers la porte de l’appartement. Je l’ouvre et quand je mets un pied dehors, je sens des décharges électriques qui traversent mon corps. Ça vient du collier qui m’électrise. C’est tellement brutal que je m’effondre sur le sol, mon corps tremblant des décharges qui le traverse. Je reste comme ça jusqu’à ce que Georges me ramène dans l’appartement et ferme la porte.

- Vous resterez dans cet appartement pendant la durée de votre contrat de services personnels.

- Et quelle est la durée ?

- Cinq ans !

- Vous plaisantez ? Cinq ans ? Je suis coincé ici pour cinq ans ?

- Oui, sauf si nous décidons de vous laisser sortir pour une quelconque raison.

- Et mes vêtements ? Et la nourriture ? Et tout le reste ?

- Puisque vous en parlez, il faut aller de l’avant. Déshabillez-vous !

- Sûrement pas !

- Nous pouvons vous punir avec ce collier, même à l’intérieur de l’appartement.

- Conneries !

Je sens alors un léger picotement sur le cou. Je regarde les hommes qui ont un grand sourire sur leurs visages.

- C’était juste pour vous montrer ! Voulez-vous vraiment que nous augmentions le niveau de douleur ?

- Vous n’allez pas oser ?

- Bien sûr que si ! Vous avez humilié beaucoup de personnes, il est juste que vous goûtiez vous aussi à l’humiliation.

Je me tourne alors vers Georges :

- Pourquoi les laisses-tu me faire ça ?

- Pour l’argent et l’opportunité de participer à votre humiliation.

- Assez de discussions ! Déshabillez-vous maintenant !

Je sens les picotements augmenter autour de mon cou, mais ça reste à un niveau de douleur acceptable. Je ne sais pas exactement ce qu’ils veulent, mais je ne veux plus de grosses décharges électrique comme tout à l’heure.

Je retire lentement ma veste que je pose sur le dossier d’une chaise. Je regarde les trois hommes. Ils ont des sourires vicieux et déterminés. j’enlève mes talons hauts et je les mets sur la chaise. Puis je m’arrête. Ils continuent de sourire.

- Continuez !

Je porte une jupe classique. Je défais la ceinture, puis je déboutonne le bouton juste au-dessus de la fermeture éclair sur le côté. Je m’arrête et ils me font signe de continuer. Je dézippe la jupe et je l’enlève. Je la plie soigneusement et je l’ajoute sur la chaise.

- Le chemisier maintenant !

- Vous aimez vraiment ça, n’est-ce pas ? Bande de salauds.

- Oui nous apprécions. Et nous sommes des salauds oui. Continuez !

Je les regarde en déboutonnant mon chemisier blanc. Il n’était pas fermé jusqu’à mon cou, mais il ne montrait pas de décolleté. Je me dis qu’il va bien falloir que je montre un sein pour les satisfaire. Une fois le devant déboutonné, j’enlève les boutons aux poignets et je fais glisser mon haut. Je sens la colère monter. Ils peuvent bien me faire déshabiller, mais ils n’arriveront jamais à me rabaisser, quoi qu’ils fassent.

Je pose mon chemisier en travers du dossier de la chaise et je reste immobile en soutien-gorge et culotte, les bras croisés, un pied tapant le sol. L’un des cadres a un petit rire :

- Classique, mais sexy à ce que je vois !

- Que voulez-vous ?

- Je veux que vous retiriez votre soutien-gorge. J’attends !

Je le fusille du regard et je sens un petit picotement autour du cou. D’une manière ou d’une autre je m’en sortirai. Ils me paieront ce qu’ils me font faire. En attendant, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils demandent. Je tends la main dans le dos et je décroche mon soutien-gorge. Je le laisse tomber en avant et je dévoile mes jolis seins. Je suis gênée, car mes mamelons sont durs et dressés.

Ça me met encore plus en colère. Je mets le soutien-gorge sur la chaise, puis je place mes mains sur mes hanches sans essayer de couvrir ou cacher ma poitrine. Je ne veux pas leur donner le plaisir de croire qu’ils m’embarrassent ou m’humilient. L’un des cadres sourit et se tourne vers l’autre :

- C’est encore plus joli que ce à quoi je m’attendais. Ils sont fermes et ne s’affaissent pas. Qu’est-ce que tu en penses ?

- Très joli, c’est sûr !

Je suis debout alors qu’ils commentent la beauté de mon corps comme si j’étais une voiture ou un objet de valeur.

- Très bien, finissons-en ! Enlevez votre culotte ! Je n’ai pas de rendez-vous, mais j’ai hâte.

Georges et l’autre cadre acquiescent tous les deux. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes, la récupère sur le sol et l’ajoute à mes autres vêtements. Je remarque qu’elle est légèrement humide à l’entrejambe.Je suis dégoûtée à l’idée que je peux être excitée de me déshabiller devant trois hommes. Mais le fait est que c’est peut-être ça.

- Alors, vous vous êtes bien amusés maintenant ?

- Ma chère Stéphanie, le plaisir ne fait que commencer. Et il continuera pendant un certain moment.

- Que voulez-vous maintenant ?

- Je pense que comme nous nous connaissons mieux, nous pouvons te tutoyer, non ?  Alors, mets-toi à genoux !

- Pourquoi ?

- ne pose pas de questions, fais-le !

Je sens le collier picoter à nouveau. Alors je tombe à genoux. Georges s’approche alors et se place en face de moi. L’un des cadres reprend la parole :

- Baisse sa braguette !

- Vous ne vous attendez pas à ce que je…

- Si si ! Obéis !

Je suis énervée. Ils vont plus loin que ce à quoi je m’attendais pour simplement m’humilier. Je descends la braguette de Georges et je lève les yeux vers lui. Je vois alors le sourire le plus vicieux que j’aurais pu imaginer voir.

- Maintenant, sors sa bite et suce-le ! Laisse-moi t’avertir que si tu le blesses de quelque façon que ce soit, la douleur que tu as ressentie en franchissant la porte ne sera rien comparée à ce que nous te ferons.

Je ne sais pas si j’aurais essayé de lui faire du mal, mais ça ne fait qu’empirer les choses. Je ne veux même pas le regarder pendant que je fais ça. Il m’a trahi pour de l’argent et la possibilité de m’humilier. J’ai beaucoup de peine à le croire. J’étais dure envers mes employés, y compris Georges, mais je n’ai jamais eu l’impression d’être injuste. C’est inimaginable.

De toute façon, tant que je porte ce maudit collier, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils disent. Alors je sors la bite de Georges et je la regarde. Je la vois durcir dans ma main. Je me tourne alors vers les deux cadres et je réalise qu’ils ont filmé alors que je me déshabillais et qu’ils continuent. Non seulement, ils essaient de m’humilier, mais ils vont aussi en garder des preuves vidéo.

Mon collier me picote à nouveau, alors je mets le gland entre mes lèvres et je le suce comme une sucette avant de l’éloigner. Je peux sentir un peu de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa bite. Je décide alors de leur en donner pour leur argent et je reprends le sexe en bouche, un peu plus profondément cette fois en caressant le reste de la tige avec ma main. Georges gémit et pose sa main sur l’arrière de ma tête.

Mon ancien avocat sort et entre sa queue dans ma bouche en allant de plus en plus profond. Il arrive presque à m’étouffer. Je fais ce que je peux avec mes lèvres, ma langue et ma main, alors que Georges me baise la bouche avec enthousiasme. Je mets mon autre main sur sa hanche pour me caler, tout en utilisant l’autre pour le caresser et l’empêcher de pousser sa bite trop loin dans ma gorge.

J’ai du mal à respirer quand Georges tire ma tête sur lui le plus possible et qu’il éjacule dans ma bouche et ma gorge. J’essaie d’avaler pour ne pas étouffer avec sa bite et son sperme, mais il me faut déglutir plusieurs fois pour en ingurgiter la majeure partie. Enfin, l’homme relâche ma tête et je peux m’éloigner de lui pour reprendre mon souffle.

Alors que je recommence à respirer normalement, je me lève et je fais face aux deux cadres :

- Vous avez donc eu votre petit spectacle. Vous m’avez faite déshabiller et sucer quelqu’un devant une caméra. Vous vous sentez plus heureux maintenant ?

- Stéphanie, tu as un contrat de cinq ans, donc ce n’est que le début, juste le matin du premier jour. Tu verras beaucoup plus de bites avant le fin de ton contrat.

- C’est de la prostitution ! C’est illégal ! Vous ne pouvez faire ça !

- En fait si, nous le pouvons. Premièrement les termes de notre contrat t’oblige à fournir tous les services que nous demandons. Deuxièmement, nous avons donné de l’argent à quelques personnes et nous avons obtenu une dérogation aux lois sur la prostitution  pour ton contrat et cet appartement.

- Vous voulez dire que vous avez l’intention de me faire sucer des gens durant les cinq prochaines années ?

- Pas seulement ça ! Tu vas les baiser aussi, avec ta chatte et ton cul ! Tu es maintenant la pute de notre entreprise.

- Pourquoi ? Vous pouviez faire la même chose pour beaucoup moins cher ! Pourquoi moi ?

- Tu as agacé beaucoup de personnes, dans et au-dehors de ton entreprise. Et comme tu viens de vendre, tu as tout et eux ils n’ont rien.

- Ils reçoivent un salaire !

- Oui, mais maintenant, ils vont avoir plus. Appelle ça comme un bonus de vente et une chance de pouvoir se venger de la femme qui les a malmenés pendant toutes ces années.

- Écoutez, j’ai l’argent de la vente. Je vais partager. Que voulez-vous pour eux ? Cinquante millions ? Ne me faites pas ça !

- Tu ne comprends pas. Tu pourrais bien offrir tes 250 millions qu’ils n’en voudraient pas. Ils ne veulent pas d’argent, mais un retour sur investissement de toutes ces années à se défoncer au travail pour une garce.

- Non, s’il vous plaît !

- Je crois que Georges veut plus ! N’est-ce pas Georges ?

Je me retourne et je vois que mon ancien avocat a enlevé tous ses vêtements. Il est debout, le sexe plus raide que jamais.

- Maintenant je veux te baiser. Allonge-toi et écarte les jambes !

Je me tourne vers les deux cadres qui sourient. Je sens le collier picoter à nouveau. 

- Vous voulez dire ici ?

- Pourquoi pas ?

Je m’allonge sur le sol et écarte les jambes. Ma chatte est bien taillée, mais pas rasée. L’un des cadres dit alors :

- Nous te ferons raser cette chatte une fois que Georges aura totalement terminé. Il faut garder ça bien propre.

Georges s’étend sur moi et s’allonge, puis il commence à jouer avec mes seins. C’est alors que je gémis et que je sens que je m’humidifie encore plus entre mes jambes. C’est vraiment humiliant que ça me fasse réagir ainsi. Mon corps apprécie ce traitement et réagit. Je ne peux rien y faire alors qu’il joue avec mes seins. Je commence à bouger mes hanches.

- Cette salope commence à apprécier, n’est-ce pas ?

Georges commence à sucer l’un de mes mamelons alors qu’il joue avec l’autre. Puis il glisse une main sur ma chatte. Il suce et mordille l’un de mes seins alors qu’il caresse et pince doucement l’autre. Mes mamelons sont plus durs que jamais ils ne l’ont été.

Georges fait courir un doigt le long de ma fente, tout d’abord juste sur le bord des lèvres, puis il remonte et caresse mon clitoris. Maintenant je me tortille vraiment et j’avance mes hanches sur son contact. Je peux sentir mon jus sortir de ma chatte pendant qu’il joue avec moi. Puis il enfonce son majeur profondément en moi et commence à me baiser la chatte en jouant avec mon clitoris avec son pouce et son index.

Je n’ai pas eu de petit ami depuis l’université, car je n’avais pas le temps. Et pour être honnête, ça fait très longtemps que je n’ai pas été baisée. Mais je n’ai pas l’impression que ça m’ait manqué. Les quelques gars avec qui j’étais sorti dans le temps étaient maladroits et j’arrivais plus facilement à me faire plaisir toute seule. 

Mais là, ce que fait Georges, combiné avec un public et mon humiliation, m’excite plus que je ne l’aurai imaginé.

J’ai l’impression que je suis sur le point d’exploser alors que Georges retire ses doigts et enfonce sa bite profondément dans ma chatte.

- Salope, tu ne peux pas imaginer depuis combien de temps j’attends ça !

Il commence à me baiser, lentement au début, puis de plus en plus rapidement. Et je l’accompagne avec mes hanches. Je peux sentir la chaleur montre dans mon corps alors qu’il plonge sa queue le plus profondément possible en moi. Peu importe que je sois contrainte, que ce soit de la prostitution, ou même une sorte de vengeance bizarre, je veux qu’il me baise, et je veux qu’il jouisse en moi.

Je peux sentir ma chatte se resserrer autour de son sexe et je l’entends gémir en même temps. Je sens le meilleur orgasme de ma vie enfler en moi et Je jouis, perdant le contrôle de mon corps. Je me tords et tremble alors que Georges me baise et me remplit de sa semence. Je reste allongée, les yeux fermés, le souffle court, essayant de récupérer alors que Georges s’effondre sur moi avec sa bite palpitante et giclant profondément dans ma chatte.

- Putain de salope, je crois que tu as apprécié ça plus que moi !

Il se relève et sort son sexe flasque de ma chatte.

- Merde les gars, ça valait le coup. Je vous aurais presque payé pour avoir la chance de faire ça.

Les cadres sourient et l’un d’eux dit alors :

- Tu n’en veux pas un peu plus ?

- Bien sûr que si, mais laissez-moi le temps de me remettre un peu. Toi salope, nettoie-moi !

Georges me montre sa bite et je ne proteste même pas à ce stade. J’approche ma tête et je commence à sucer sa queue pour la nettoyer de mon jus et de son sperme. Je connais déjà le goût de son foutre puisqu’il a déjà éjaculé dans ma bouche plus tôt. Mais maintenant je peux goûter le mélange avec mon propre jus. Tandis que je le nettoie et le suce, son sexe recommence à devenir dur.

- Ok salope, à quatre pattes maintenant !

Je lui obéis sans vraiment réfléchir, encore stupéfaire par ce qui se produit. Il m’écarte les jambes.  Je ne sais même pas ce qu’il fait et je m’en fiche alors qu’il s’approche de moi. Je sens alors son gland contre mon trou du cul. Je réalise qu’il veut aussi m’enculer.

- Oh non !

Je commence à avancer pour m’éloigner de lui. Mais il attrape mes hanches et me tire vers lui.

- Salope, tu fais ce que je veux, quand je veux ! Compris ?

Je me contente de hocher la tête alors qu’il pousse son gland à l’intérieur de mon cul. Ça me fait mal, car mon cul n’est pas habitué à ce traitement et le seul lubrifiant qu’il dispose est ma salive et tout ce qui reste de mon jus sur sa queue. Il fait quand même les choses en douceur en glissant lentement sa bite en moi. Il fait des va-et-vient et s’enfonce un peu plus loin à chaque fois jusqu’à ce qu’il soit bien au fond, ses hanches pressant mes fesses et ses couilles me frappant à chaque coup.

C’était très inconfortable au début, mais plus il va loin, mieux c’est. Après quelques minutes, je pousse mon cul sur sa bite pendant qu’il m’encule. Ce n’est pas aussi bon que quand il a baisé ma chatte, mais j’apprécie quand même. Je suis satisfaite quand finalement il éjacule dans mon cul. Je me tortille et je gémis comme lui, ce qui semble le satisfaire lui aussi.

Puis il me lâche et je m’effondre sur le sol, son sperme dégoulinant de ma chatte et mon cul. Mes yeux sont à moitié fermés, mais je vois Georges passer et commencer à remettre ses vêtements. Je reste allongée en essayant de bien récupérer de tout ça.

- Alors Georges, es-tu content de ce que tu as eu ?

- Putain oui ! Ça vaut bien toutes les misères que j’ai endurées ces dernières années.

- Donc tu penses qu’elle fera l’affaire ?

- Ouais, mais je pense qu’il va falloir lui demander de porter un plug pour étirer son cul. Il est un peu trop serré pour être confortable.

- D’accord. Stéphanie, lève-toi, lave-toi et rase cette chatte. Tu vas avoir un autre client dans environ une heure.

Je me lève et je regarde autour de moi. Mes vêtements ne sont plus sur la chaise où je les ai mis. Je les vois alors au-dessus d’une des mallettes des deux cadres.

- Mes vêtements ?

- Tu n’en auras pas besoin. Tu n’as pas besoin de vêtements pour les services que tu vas fournir pendant un certain temps.

L’homme ramasse mes vêtements et les mets sous son bras avec sa serviette.

- Vous ne les laissez pas ?

- Tu serais tentée de les porter. Et ils ne te servent à rien ici.

- Et la nourriture ?

- Nous t’apporterons tes repas dans la journée. Tu ne vas pas mourir de faim et donc tu n’as pas besoin de sortir.

- A quoi dois-je m’attendre ?

- T’attendre ? Disons environ quatre gars par jour. Que tu baiseras, car ils voudront baiser. La plupart du temps, tu seras tranquille la nuit.

- Alors, je suis ici comme votre pute pour les cinq prochaines années ?

- Ce sont les conditions du contrat, mais nous pourrons le renégocier pour allonger la période si tu le souhaites.

- Non non !

- Tu seras la prime de travail pour beaucoup de tes anciens employés. Un groupe de ceux-ci ont regardé tes ébats en direct et ils attendent avec impatience leur tour. Nous te demanderons également de divertir certains clients et sous-traitants. Ne t’inquiète pas, tu auras de quoi t’occuper.

Non seulement je viens de me faire baiser, mais je vais me faire baiser encore et encore. Et mes employés ont tout vu.

- S’il vous plaît, je ne veux pas être la pute de l’entreprise.

- Il me semble que tu en as bien profité quand Georges te baisait.

- Georges a pris sa revanche, Mes employés m’ont vu humiliée. N’est-ce pas suffisant ?

Georges a fini de s’habiller. Les trois hommes se dirigent vers la porte.

- Va te laver et rase cette chatte. Quelqu’un d’autre va arriver. Tu trouveras du lubrifiant dans le meuble près du lit.

Ils franchissent la porte, emportant mes vêtements. Je vais dans la salle de bain et je prends une douche. Je lave ma chatte et mon cul du mieux que je le peux. J’ai un stérilet que je me suis fait posé il y a quelques années, alors je ne crains pas de tomber enceinte.

Cinq ans avec quatre hommes par jour, ça fait plus de 7 000 hommes et probablement je serais baisée plusieurs fois par chacun. Putain, le jour où ils vont me libérer, j’aurais été baisée près de 20 000 fois environ. Cette perspective m’effraie, mais je ne sais pas que faire. La bonne nouvelle c’est que je vais avoir le temps de réfléchir.

Je rince ma chatte et je me fais un lavement, puis je me rase soigneusement. Ainsi, je lave tout le sperme de Georges. Je ne sais pas qui va venir ensuite, mais le résultat va sûrement être le même qu’avec Georges. Mes trois trous vont subir le même traitement. Et comme il est encore tôt dans la journée, il y aura encore deux hommes après.

Je regarde dans les placards et je ne trouve aucune trace de vêtements. Si j’arrive à trouver comment enlever ce collier, il faudra que je trouve de quoi m’habiller. Puis je devrais trouver comment sortir du bâtiment, trouver de nouveaux papiers d’identité et partir où ils ne pourront pas me retrouver. C’est beaucoup de problèmes à résoudre, mais j’ai toujours été bonne pour ça.

Un peu plus tard, je reçois la visite de Michel qui fut mon directeur de publicité. Il est mon prochain client et semble apprécier la chance de pouvoir me baiser autant que Georges. Je me contente de m’allonger sur le lit en attendant qu’il vienne. Ce qu’il fait immédiatement en enlevant ses vêtements.

- Ah, les puissants tombent aussi. Tu ne peux pas imaginer à quel point ça me fait plaisir.

- Je suis ravie de savoir que vous pouvez obtenir autant de plaisir de l’inconfort de quelqu’un d’autre.

- Tu dis ça, mais tu semblais apprécier que Georges te baise.

- Tu penses qu’avec mon manque de chance je ne sortirai pas d’ici tout de suite ?

- Non tu n’as pas de chance. A quatre pattes, salope !

- Il y a du lubrifiant dans la table de chevet.

- Je vais juste te baiser en levrette pour commencer, mais si tu montres que ça te plaît, j’utiliserai alors le lubrifiant pour t’enculer !

Michel passe derrière moi et commence à mettre ses doigts dans ma chatte. Je suis surprise d’être déjà mouillée.

- Putain de salope ! On dirait bien que tu es déjà prête pour moi !

Miles prend sa bite et la glisse dans ma chatte ? Je m’étais attendu qu’il soit plus rude, mais en fin de compte il est doux. Alors qu’il me pénètre bien profond, je gémis.

- Tu disais que tu ne le voulais pas, mais tu agis comme si tu le veux au contraire.

Michel se penche en avant et commence à jouer avec mes seins tout en me baisant lentement par-derrière.  Je me déteste, mais encore une fois, j’aime être baisée. Mon esprit est trahi par mon corps. Dans cette position, j’ai l’impression qu’il me remplit plus que Georges. Je suppose que c’est l’angle d’attaque. En tout cas c’est mieux.

Je suis là en train de baiser un ancien employé. Il n’y a pas eu de préliminaires ni de vrai consentement et pourtant j’ai la meilleure séance de baise de ma vie. Était-ce simplement parce que je n’avais pas eu de relations sexuelles depuis longtemps ? Je ne sais pas et je ne peux pas vraiment le comprendre dans ces circonstances. Je pousse mes hanches en arrière alors qu’il lâche mes seins et agrippe ma taille pour enfoncer sa queue profondément en moi et éjaculer.

Puis il me retourne et s’approche pour enjamber mon visage et mettre sa bite partiellement dégonflée contre ma bouche.

- Allez salope ! Nettoie ma bite !

Mes bras sont coincés sous lui, donc je ne peux pas prendre son engin avec mes mains. Alors je l’avale aussi profondément que possible. Michel prend la direction des choses et me baise la bouche alors que je reste allongée. Rapidement il bande à nouveau et il pousse sa queue jusqu’à ce qu’elle touche l’arrière de ma gorge. Je ne peux rien faire alors qu’il baise ma bouche durement et rapidement. J’essaie de respirer comme je peux autour de son engin et je me sens devenir bizarre quand il jouit dans ma bouche.

Sa queue n’était pas aussi profonde qu’elle avait été, alors je peux prendre mon souffle et avaler ce qui me semble être un litre de sperme. Quand il a fini de gicler, il se retire et roule sur le lit à côté de moi.

- Bonne salope ! Ils ont dit que c’était une prime. Il faut que je trouve quoi faire pour obtenir plus de primes.

- Je crois qu’ils prévoient de faire bon usage de moi, donc tu auras probablement une autre chance de me baiser avant longtemps.

- Est-ce que ta chatte a encore envie d’avoir ma bite à l’intérieur ?

- Garde à l’esprit que je suis ici juste en tant que pute ? Crois-tu qu’une pute se soucie d’avoir du bien-être d’un de ses clients ?

- Je voulais te baiser la chatte, mais après ces mots, je vais t’enculer. Où est le lubrifiant ?

- Dans la table de chevet !

- Mets-toi en position salope !

Je me mets à quatre pattes et je lève mes fesses en l’air. Je l’entends ouvrir le tiroir de la table de chevet. Je sens l’odeur du lubrifiant alors qu’il en met sur sa bite. Puis il en dépose une noix sur son index et il l’enfonce dans mon cul. Enfin il le retire et pousse sa queue rapidement dans mon petit trou. 

- C’est un joli petit cul serré ! Je suis content qu’ils m’aient donné cette pilule bleue, sinon je n’arriverais pas à récupérer aussi rapidement.

Michel m’encule comme s’il baisait une pute. Il ne se soucie de rien d’autre que son plaisir. Il garde longtemps sa bite dans mon cul avant de jouir. J’ai eu l’impression qu’il allait m’enculer toute la journée. Puis enfin il gicle son foutre dans mes intestins.

Michel s’habille et part. Alors je me nettoie en vue du prochain qui va se présenter. J’ai quatre clients ce jour-là, y compris Georges et Michel. Ce sont essentiellement les quatre personnes les plus importantes de mon entreprise. Les jours suivants, ils ont grimpé dans l’entreprise, ou plutôt ils ont grimpé sur l’ancienne patronne de l’entreprise.

Je passe du temps à examiner le collier et son verrou. Rien à faire de ce côté-là. Ils ne veulent certainement pas que j’arrive à déverrouiller leur collier. La serrure ressemble à celle qui se trouve sur les distributeurs automatiques. Elle est protégée des tentatives de crochetage. Je connais un peu ce genre de serrure et j’essaie de jouer avec, mais sans grand succès.

C’est une jeune immigrée qui m’apporte mes repas deux fois par jour. Et rapidement elle me dit qu’elle ne m’aidera pas.

- Ils me disent que si je vous aide à sortir, je prendrai votre place. Et je devrais baiser tous ces hommes. Non non non !

Au bout de quelques semaines, un de mes nouveaux clients est un jeune programmeur. C’est un gars jeune, intelligent, gentil et un peu ringard. Contrairement à la plupart des autres, il essaie de me faire l’amour. Il m’embrasse et me caresse. Il essaie vraiment de me faire du bien avant de me baiser. De toute façon je n’ai pas le choix, mais je suis touchée par sa tendresse.

Paul passe un bon moment à m’embrasser tout en caressant mes seins. Puis il passe du temps à sucer chaque mamelon, à les lécher et les grignoter. Il continue à travailler ma poitrine jusqu’à ce que j’aie un orgasme.Mon corps semble toujours apprécier le sexe, mais je n’avais plus tellement d’orgasmes. Après que j’ai joui, Paul m’a prise dans une position normale.

En me baisant, il me dit à quel point je suis merveilleuse et combien il aime être avec moi. J’ai alors vraiment commencé à croire qu’il le pensait.

- Mon Dieu Stéphanie, que vous êtes belle. J’aimerais que vous soyez à moi et seulement à moi.

- Même après avoir été baisée par tant de gars de l’entreprise ?

- Oui même !

Après avoir joui, Paul roule à côté de moi et me caresse le corps jusqu’à ce qu’il recommence à bander. Contrairement à la plupart des autres, il ne me demande pas de le sucer et il ne se soucie pas de me sodomiser. Il me fait rouler sur lui et il enfonce sa bite en moi. Je bouge mes hanches tandis qu’il m’embrasse et joue avec ma poitrine et mon cul. Je n’arrive pas à croire qu’il soit aussi tendre. J’aurais presque souhaité qu’il soit mon seul amant.

Nous baisons encore une troisième fois dans une position normale et après avoir joui, il passe un long moment à m’embrasser avant de se lever et partir. Ce jour-là j’ai encore un client ce qui est décevant. S’il avait été le dernier, j’aurais peut-être invité Paul à rester avec moi. Personne, au cours des trois derniers mois passés ici, ne m’a traité aussi gentiment que lui.

Une semaine ou deux après Paul, on me dit qu’il y a un évènement spécial. On me met des sangles en cuir rembourrées aux poignets et aux chevilles. Puis on m’attache les bras dans le dos. Deux hommes m’emmènent vers la porte de l’appartement. J’ai peur du choc électrique, mais ils me disent que le système de sécurité est désactivé. Ils me conduisent nue hors de l’appartement.

Complètement nue, je prends l’ascenseur jusqu’au parking et je suis conduite à une voiture aux vitres complètement teintées. Un chauffeur est au volant et les deux hommes s’assoient de chaque côté de moi sur le siège arrière. La voiture démarre et se rend sur un autre parking où ils se garent. Ils me font sortir de l’auto et, toujours nue, il m’emmène vers un autre ascenseur qui nous montent dans des bureaux. Je réalise que ce sont ceux de la société que j’avais vendue.

Les deux hommes m’accompagnent jusqu’à la grande salle de réunion, où environ vingt-cinq hommes sont rassemblés. Ils me poussent jusqu’à une table bizarre avant que l’un des hommes disent à l’assemblée :

- Comme vous le savez, Stéphanie qui a fondé cette entreprise l’a vendue en gardant tous les bénéfices. Pour compenser sa cupidité et les mauvais traitements qu’elle a fait subir à son personnel, elle fournit des services sexuels principalement aux cadres supérieurs.

Je regarde autour de moi tous les hommes qui fixent mon corps nu. Je sais très bien que la plupart d’entre eux ont dû déjà avoir vu des vidéos de moi me déshabillant et me faisant baiser. Ils ont sûrement entendu parler du « bonus » pour certains membres du personnel.

- Il est maintenant temps de récompenser certains des autres employés, mais nous allons le faire d’une manière différente.

Sur ce, l’autre homme décroche mes mains dans mon dos. Puis chacun des hommes prend une de mes mains et l’attache aux pieds opposés de la table. Puis ils écartent mes pieds et attachent les sangles des chevilles aux autres pieds de la table.

- Chacun de vous va avoir la chance d’obtenir un petit bonus de Stéphanie, soit son cul ou sa chatte à votre choix. Nous avons du lubrifiant ici pour ceux qui préfèrent l’enculer.

Maintenant je vais être baisée par vingt-cinq hommes dans la salle de réunion de mon ancienne entreprise. Si je trouve humiliant d’être déshabillée, nue et baisée par quelqu’un qu’ils choisissent de m’envoyer, ici ça dépasse tout. Je ne peux absolument rien faire. Et pire encore, je sais que ma chatte est humide alors que les hommes commencent à m’entourer.

Un miroir est accroché de l’autre côté de la table et il est incliné pour que je puisse voir le visage de chaque homme pendant qu’il me baise. Je peux sentir le premier s’approcher de moi par-derrière.

- Putain, j’avais entendu parler de cette chatte. Je regrette de ne pouvoir la baiser qu’une seule fois.

- Nous devons être gentils avec elle. Nous ne voulons pas l’abîmer sur une seule séance. En fait, elle aura probablement besoin de plusieurs jours pour récupérer.

L’homme derrière moi a ce qui ressemble à la plus grosse bite que j’ai jamais ^prise alors qu’il la claque dans ma chatte. Il attrape mes hanches et me baise violemment pendant plusieurs minutes avant de jouir en moi. Il se retire et je peux sentir et entendre un autre homme se positionner derrière moi.

- Putain, c’était sympa. Je veux encore la baiser. Dites-moi ce que je dois faire pour avoir une autre chance.

Les trois premiers se contentent de ma chatte, puis les deux suivants m’enculent. Les hommes s’enchaînent et je perds le décompte. Quand c’est enfin fini, je suis complètement endolorie et une grosse quantité de sperme coule le long de mes jambes. Alors que tous les  hommes se sont vidés en moi, mes accompagnateurs détachent mes poignets et mes chevilles. Ils me redressent et doivent me tenir, car mes jambes sont trop faibles pour supporter mon poids.

Quelqu’un prend un chiffon humide et m’essuie la chatte, le cul et les jambes avant de me conduire toujours nue à l’ascenseur. Je peux entendre des rires et des cris de joie en traversant les bureaux. Le peu de femmes qui sont présentes secouent la tête et détourne le regard. Je ne leur en veux pas, je n’approuve pas non plus le traitement qui m’est imposé.

Je crois que j’ai joui trois fois pendant cette séance, mais je n’en suis pas sûre. La plupart du temps, ça m’a paru flou. Les deux hommes me mettent dans la voiture et me ramènent à l’appartement. Ils me mettent dans la baignoire. Mes jambes sont encore faibles, je fais couler de l’eau pour me laver. Les hommes me disent alors que je vais pouvoir profiter de quelques jours de congé avant de reprendre le cours normal des choses. L’un d’eux ajoute que l’évènement a été un succès et qu’ils pourraient bien le refaire dans un mois environ. Ils n’oublient pas de me dire qu’ils ont réactivé le système de sécurité.

Le bain est chaud et j’y reste un bon moment pour essayer de faire disparaître une partie de la douleur. Même si je me suis presque habituée à la routine normale, je ne pourrais m’habituer à ces gang-bangs. 

Effectivement, ils me laissent une semaine de congé avant de recommencer à m’envoyer des hommes. Je sais qu’ils ont dû désactiver le système de sécurité pour m’emmener, comment pourrais-je me servir de cette information ?

Il s’avère que j’obtiens de l’aide lorsqu’ils viennent me chercher pour un nouveau gang-bang. Alors qu’ils me maintiennent fermement pour m’emmener à la voiture et qu’ils m’assoient comme avant, le chauffeur se retourne et je vois que c’est Paul. Il vaporise quelque chose sur la figure des hommes qui s’endorment presque instantanément. Puis il passe à l’arrière et enlève les sangles de mes poignets et de mes chevilles. Enfin il me tend des vêtements. 

Ça fait si longtemps que je n’ai rien porté que j’ai du mal avec ces vêtements. Mais Paul m’aide rapidement à m’habiller. Il sort une clé qui déverrouille le collier et il l’enfile sur un des hommes. Il me conduit vers une autre voiture et m’ouvre la portière passager afin que je monte. Puis nous partons avant que les deux hommes ne comprennent ce qui leur est arrivé.

- Où allons-nous ? Demandé-je.

- Quelque part loin de cette ville !

Il conduit pendant un certain temps, avant de s‘arrêter. Nous changeons alors de véhicules.

- Ils avaient des caméras dans le parking et je sais qu’ils vont déjà rechercher cette voiture pour nous trouver.

- Et cette voiture ?

- Elle appartient à un ami qui vit en dehors de la ville.

- Ils ne peuvent pas nous retrouver autrement ?

- J’ai tout vérifié, mais je n’ai rien trouvé d’autre.

Paul nous conduit près de la frontière canadienne. C’est une longue route, mais ça ne fait rien.

- J’ai un ami qui me dit qu’il existe des moyens et des endroits pour traverser la frontière.

- Mais elles sont beaucoup plus surveillées les frontières  maintenant.

- Oui, mais ils sont plus préoccupés par les Mexicains qui entrent aux États-Unis que par les Américains qui se faufilent au Canada.

Nous nous arrêtons dans une cabane au fond des bois. Elle est propre et confortable. Le temps est beau et il fait assez chaud pour que nous n’ayons pas besoin de faire du feu. Alors que nous dirigeons vers la cabane, Paul me retourne et m’embrasse profondément. Je lui rends son baiser et nous restons enlacés pendant un long moment.

- Paul, comprenez-vous à quel point j’ai été utilisée et à quel point j’ai été abîmée ?

- Oui Stéphanie, mais je veux quand même être avec vous.

- Aussi gentil que vous pouvez être et après tout ce que j’ai vécu, je ne sais pas si je pourrais vraiment apprécier d’être avec un homme.

- Essayez, et je vais essayer d’être aussi tendre et attentionné que possible.

Paul me conduit dans une petite chambre. Nous nous asseyons sur le lit et nous nous embrassons encore jusqu’au moment où nous nous allongeons côte à côte en continuant de nous embrasser.

- Je sais que nous avons déjà eu des relations sexuelles auparavant, mais vous n’aviez pas le choix à l’époque. Je veux que vous sachiez que vous avez le choix maintenant.

- Paul, je vous dois tellement que vous pouvez avoir n’importe quelle partie de moi comme vous le voulez.

Il passe sa main sur mon sein gauche, à travers mon haut et mon soutien-gorge. Il joue avec pendant quelques secondes avant de s’arrêter.

- Est-ce que je peux faire ça ?

- Paul, je vous demande seulement de ne pas me blesser physiquement, à part quelques pincements. Sinon vous pouvez tout faire. Si je change d’avis, je vous le dirais. Mais vous n’avez pas à demander avant chaque chose que vous avez envie de faire.

- Je sais que vous avez passé des mois à laisser quiconque faire ce qu’il voulait avec vous. Je ne veux pas être comme ça.

- Paul vous êtes un homme très gentil, et je vous dois beaucoup. Je ne veux rien vous refuser.

- Vous me direz si vous n’aimez pas quelque chose ?

- Je vous le promets.

Il recommence alors à toucher ma poitrine, et j’aime ça.

- Paul s’il vous plaît, enlevez mon haut.

Je m’assois et il attrape le bas du chemisier pour le faire passer au-dessus de ma tête. Il le place ensuite sur le sol à côté du lit. Je l’embrasse et je remets ses mains sur mes seins. Après quelques minutes, je sais que j’ai besoin de plus.

- Pouvez-vous détacher mon soutien-gorge ?

Paul passe sa main derrière moi et tâtonne un peu avant de réussir à le décrocher. J’avance mes bras et je me penche en avant pour que le soutien-gorge tombe. Paul le prend et le place sur le chemisier.

- Enlevez votre chemise Paul !

Il l’enlève et je remets ses mains sur mes seins. Il commence à les serrer et à titiller mes mamelons pendant que nous nous allongeons en nous embrassant. Je le tire alors sur moi. Il embrasse mon sein droit. Puis il prend le mamelon entre ses dents et il le mordille tout en le suçant. Je gémis, je me tortille et je lui caresse la tête alors qu’il apprécie ma poitrine.

Je commence vraiment à aimer ça alors qu’il s’attaque à l’autre sein pour faire la même chose. Il caresse mon sein droit tout en suçant le gauche. Pendant tous les mois que j’ai passés avec tous ces hommes, Paul était le seul à avoir fait attention à essayer de me faire du bien. Il s’applique si bien que ses efforts me font jouir.

Je le tire vers le haut et nous nous embrassons encore alors que ses mains errent le long de mon corps jusqu’à ma taille. Je saisis sa main et je la mets entre mes jambes. Je mouille plus que jamais. Paul frotte mon monticule à travers mes vêtements pendant que je gémis et je l’embrasse en lui caressant le dos.

- Paul s’il vous plaît, enlevez-moi tout !

Il glisse le long de mon corps en l’embrassant partout en descendant, de mes lèvres à mon cou, ma poitrine et mes seins, mon ventre en enfonçant sa langue dans mon nombril pour me chatouiller. Il défait le bouton de mon jean puis il le baisse lentement. Alors qu’il touche cette zone, j’ai l’impression que mon désir s’enflamme. Je soulève mes hanches pour qu’il puisse lentement tirer mon jean sur mes jambes et le l’enlever.

Il revient caresser ma chatte à travers ma culotte et je soulève à nouveau mes hanches. Il continue à me toucher, mais j’ai besoin d’autre chose.

- Enlevez-la !

Il m’embrasse à nouveau, juste au-dessus de la culotte avant de la tirer vers le bas et de l’envoyer rejoindre le jean. Je suis soulagée et j’écarte les jambes autant que possible pour laisser l’accès à Paul. Il commence à embrasser ma cheville puis il remonte en me léchant jusqu’au genou, puis sur l’intérieur de ma cuisse jusqu’à ce qu’il atteigne ma chatte. 

Je pensais qu’il allait s’intéresser à mon sexe qui veut désespérément que l’on s’occupe de lui, mais il redescend vers mon autre cheville pour recommencer à remonter en m’embrassant chaque pouce de peau. Au moment où il s’approche une nouvelle fois de ma chatte, je suis en feu. Je le veux, j’ai besoin de lui, de sa bouche, de sa langue, de ses doigts, de sa bite, n’importe quoi.

J’ai quand même du mal à le croire. Ma chatte qui a été violée par tant d’hommes, tant de fois pendant des mois, veut à nouveau recevoir un homme. Mes jambes sont largement écartées, mais au lieu d’aller directement sur mon sexe, Paul passe sur le côté puis au-dessus et redescend de l’autre côté.

Puis il se rapproche peu à peu, juste à l’extérieur de mes lèvres en embrassant et léchant. Il tourne autour de mon clitoris qui me fait mal tellement il est excité. Je crois que je vais devenir folle de désir sexuel. J’ai trop envie de lui. C’est alors qu’il dépose un gros baiser juste au centre de ma chatte. 

Je pousse mes hanches en avant alors qu’il commence à lécher mon intimité et mon clitoris, d’abord les lèvres extérieures puis il enfonce sa langue en moi. Il titille et suce mon clitoris tout en mettant lentement un doigt dans ma chatte qu’il fait bientôt entrer et ressortir. Je sens mon sexe happer son doigt et tout mon corps se tord sous le plus gros orgasme que j’aie jamais connu.

J’ai tellement été baisée, mais Paul est le seul homme à me faire l’amour. Je me remets de ma jouissance alors qu’il m’embrasse. Je peux goûter mon jus sur ses lèvres et je ne crois pas avoir déjà senti quelque chose d’aussi sucré. On pourrait penser qu’après des mois de baise quotidienne à répétition, je n’aurais plus aucun frisson. Mais cet homme m’a donné ce frisson.

- Paul ? Je veux que tu te sentes aussi bien que tu viens de me faire sentir. Que puis-je faire pour toi ? Qu’est-ce que tu veux ? Ma bouche, mon cul, ma chatte ? Tout est à toi ! Prends-les s’il te plaît !

Paul glisse alors sa bite dans ma chatte et j’enroule mes jambes autour de sa taille alors qu’il commence lentement à me faire l’amour. J’ai besoin de lui, je le veux en moi, tout au fond. Je veux qu’il remplisse ma chatte avec sa bite, qu’il la remplisse avec son sperme. A ce moment, je crois que je pourrais en avoir assez de cet homme. J’accorde alors le mouvement de mes hanches à ses lents coups de rein.

Il enfonce sa bite profondément dans mon ventre jusqu’à ce qu’il pousse un grognement. Il pousse sa queue profondément et éjacule une grosse quantité de sperme. Puis il s’effondre sur moi et je sens mes mamelons bien durs gratter sa poitrine et ses poils me chatouiller. Il est toujours à bout de souffle quand il se dégage et recommence à m’embrasser dans le cou, l’oreille, le visage. Il caresse mon corps en même temps.

Nous nous embrassons et nous nous caressons pendant longtemps avant de finalement nous endormir et rêver. Quand nous nous réveillons, quelques heures plus tard, nous faisons de nouveau l’amour, mais d’une manière plus calme et plus modérée. Puis nous nous douchons et nous nous habillons avant que Paul établisse son plan.

Un sentier commençait derrière la cabane, un sentier pour animaux. Paul me donne une boussole en me disant de toujours suivre le nord. Il me dit qu’avec la pleine lune je n’ai pas besoin de lampe pour suivre le sentier. 

Il me dit que la chose la plus sûre est de suivre la piste pendant qu’il traverse la frontière en voiture pour m’attendre plus loin sur la route. Il me conduira alors à Montréal qui n’est pas très loin.

Il fait juste un peu froid alors Paul me donne une veste en plus des vêtements et des chaussures qu’il m’avait fourni un peu plus tôt. Ces habits n’étaient pas de ma taille, mais ça allait. J’espérais trouver quelque chose de mieux à Montréal. Paul m’embrase et j’avance dans les bois. Il faut un peu de temps à mes yeux pour s’adapter à l’obscurité, mais la lune brillante m’éclaire bien.

Il y a des endroits où j’ai du mal à suivre le sentier et quand je crois être perdue, je regarde la boussole et je m’assure de marcher vers le nord. Généralement, après quelques pas dans les bois, je retrouve un sentier. La forêt n’est pas trop touffue alors ma marche est assez facile, même si je trouve sur ma route des petits étangs et lacs ainsi que des ruisseaux.

Comme je n’ai pas trop confiance dans le noir et que j’ai peur de tomber dans l’eau, j’essaie de trouver des passages peu profonds où je patauge. Généralement l’eau ne monte pas plus haut que mes genoux. Je suis en chaussures de marche et en jean. Et comme je n’ai pas l’intention de les enlever, je les laisse se mouiller. Donc ça devient un peu inconfortable de marcher dans  des vêtements mouillés.

Finalement, après une bonne heure de marche, je tombe sur une route. J’avais dit à Paul que je mettrais un petit chiffon pour indiquer où j’étais. Il devait s’arrêter, baisser toutes les vitres et ouvrir toutes les portières de la voiture afin que je sache que c’était bien lui avant de sortir de ma cachette. c’était un peu paranoïaque de ma part, mais je voulais m’assurer que c’était bien Paul et qu’il était tout seul. Je ne voulais pas retourner dans l’appartement.

Paul m’a délivré et m’a éloigné, mais même maintenant, je n’ai pas entière confiance en lui. Je sais qu’il a des idées pour me faire disparaître, mais j’ai mes propres idées

Une voiture s’arrête. Paul en sort et ouvre tout comme indiqué. Je scrute attentivement avant de sortir de ma cachette. Nous remontons dans la voiture et j’enlève chaussures et chaussettes pour les laisser sécher un peu alors que nous roulons vers Montréal. Nous nous arrêtons pour acheter deux téléphones jetables et avoir de nouveaux numéros. Jusque-là je n’avais plus de téléphone et Paul avait jeté le sien depuis un moment déjà.

Paul nous trouve un petit motel à la périphérie de Montréal. Dans la chambre je me déshabille pour laver et faire sécher mes vêtements. Nous faisons encore l’amour et nous nous endormons. Le matin, mes vêtements sont secs mais froissés. 

Je demande à Paul s’il a de l’argent en lui disant que je le rembourserai mille fois. Il veut m’accompagner, mais je lui dis qu’il vaut mieux que nous ne soyons pas ensemble et que je reviendrai dans la soirée. Je me rends dans un magasin de vêtements en solde pour acheter des tenues plus agréables ainsi que des sous-vêtements et un petit bagage de voyage.

Je me change dans des toilettes publiques et range mes affaires dans le bagage. Je vais ensuite dans un salon de coiffure où je fais couper mes longs cheveux blonds et les fait teindre en brun. Avec ma nouvelle coiffure, une paire de lunettes de soleil et ma nouvelle tenue je suis méconnaissable. Dans les vieux quartiers je pose quelques questions et je trouve bientôt un endroit où je peux obtenir un faux passeport.

Beaucoup de pays ont maintenant des passeports sophistiqués avec des puces intégrées, mais je trouve un gars qui peut me fournir un passeport sud-africain sans données biométriques. Comme Paul m’a donné une grosse somme d’argent je peux payer mon faux passeport et prendre un aller simple pour Paris. Alors que l’avion s’apprête à décoller, j’envoie un SMS à Paul pour lui dire que je reprendrai contact avec lui dans quelques jours.

Depuis ma période de mannequinat, j’ai gardé des amis à Paris et je vais frapper chez l’un d’eux pour passer la nuit et obtenir de quoi aller en suisse où il y a la banque avec mon argent.

Je prends le TGV de Paris à Genève, puis je vais directement au consulat américain. Il me faut un vrai passeport à mon nom pour avoir accès à mon compte bancaire.

Je raconte au consulat une série de demi-vérités. Que j’ai été kidnappée, emprisonnée, utilisée sexuellement et transportée en Europe clandestinement. Ils vérifient mes empreintes digitales et autres données biométriques et j’arrive à obtenir que l’on me fasse un nouveau passeport.

Il faut bien sûr quelques jours avant de tout vérifier et que j’obtienne ce passeport. Mais comme j’ai toujours des amies mannequins à Genève, je peux vivre chez elle. Enfin, avec mon nouveau passeport, je peux accéder à mon compte bancaire bien rempli. J’ai bien sût les millions de la vente de mon entreprise, mais aussi les intérêts et les bénéfices que j’y avais mis auparavant.

Je rembourse alors tous mes amis européens qui m’ont aidée. Puis j’engage les meilleurs avocats pour vérifier et faire annuler mon contrat de services personnels. Ceux-ci montent une affaire et la confient à un juge féminin intelligent. Mes avocats expliquent rapidement ce qui m’est arrivée avec ce contrat et la juge a immédiatement empêché son exécution jusqu’à ce qu’il y ait un procès et un verdict.

Paul m’avait dit que plusieurs personnes dans l’entreprise étaient mal à l’aise avec ce que l’on avait fait de moi. Si bien que mes avocats ont reçu leurs dépositions. L’un d’eux avait même des copies des vidéos qui avaient été faites. L’entreprise me poursuit de son côté pour rupture de contrat et me demande des dommages et intérêts. Mais moi je les poursuis pour kidnapping, séquestration, prostitution, etc. Rapidement la juge statue en ma faveur et m’accorde cent millions de dommages et intérêts. Avec les appels, cela peut prendre encore des années avant que ça se termine, mais pour l’instant le contrat est nul.

J’avais abandonné mon téléphone jetable dans l’avion pour Paris et j’en avais acheté un autre. Une fois que je me suis sentie installé, j’envoie un SMS à Paul en lui demandant comment je pouvais lui envoyer de l’argent et en lui demandant de prendre l’avion pour Londres. Il me répond qu’il est malade d’inquiétude et que mes anciens « amis » offrent une récompense d’un million pour avoir des informations où je vis.

Étant un peu paranoïaque, j’envoie de l’argent à Paul et je lui demande de m’envoyer un message quand il est à Londres. Un ami là-bas le contacte et lui dit de prendre le train pour Paris. A Paris un autre ami lui dit d’aller à Genève. Entre-temps, je renseigne la police suisse sur mon ancien enlèvement en leur disant que mes ravisseurs pourraient essayer de me reprendre.

Aujourd’hui, je vis dans un bel endroit près de Genève, loin des personnes qui m’ont maltraitée. Paul vit avec moi et je travaille sur une autre idée. Mais cette fois, je  laisse Paul diriger l’entreprise. Il sait ce que je veux et ce dont j’ai besoin et il est la personne la plus douce pour gérer le personnel.

FIN.