Traduction d'un texte de Penitr8me.
Ma vie d'esclave.
Ma première semaine en tant qu'esclave à temps complet, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, fut plus dure que je ne l'avais pensé : plus de travail, plus de sexe, plus intense, plus épuisant.
Ils m'avaient vraiment bien baisée durement auparavant mais maintenant ils me possèdent totalement, chaque minute de chaque journée. Ils ont fait en sorte de pouvoir profiter de moi complètement.
Ils n'aimaient pas mon minable petit appartement d'avant, donc ils venaient quand ils avaient besoin d'assouvir leurs pulsions, mais ils ne restaient pas longtemps. Dans ma nouvelle prison, il y a un grand espace avec une grande télé à écran plat et un frigo plein de nourriture réapprovisionné tous les jours. Il y a aussi un bar avec tous les alcools voulus et même une tireuse à bière. Ce nouvel appartement possède trois chambres dont deux avec salle de bain privée. L'une est pour moi et l'autre est pour mon geôlier. La troisième chambre fait office de dortoir avec des lits superposés, au cas où plusieurs de mes Maîtres veulent rester
Il y a aussi deux beaux canapé-lit dans le salon et trois fauteuils à dossiers inclinables qui permettent de dormir. Peut-être est-ce la nouveauté de pouvoir m'avoir enchainé et nu tout le temps, ou alors c'est plus confortable, mais mes Maîtres sont beaucoup venus cette semaine. Et ils sont restés alors qu'avant ils me baisaient juste et rentraient chez eux. Maintenant ils restent, rechargent leur batterie et me baisent encore et encore avant de partir. Ou alors ils ne partent pas et me baisent toute la nuit.
Mon geôlier a toujours le choix entre dormir dans mon lit ou dans sa chambre. Quelques hommes aimaient bien me câliner alors ils commençaient la nuit dans mon lit. Le problème était que si quelqu'un d'autre voulait me baiser en pleine nuit, il le pouvait. Alors mon geôlier devait le supporter ou partir dans sa chambre. Maître Donald était un obstétricien-gynécologue, donc il travaillait jusqu'à pas d'heures. La première semaine, il est venu me baiser deux fois après des accouchements. Mais je ne sais même pas quelle heure il était. J'étais fatiguée et endormie. Je crois qu'il préférait ça.
Le matin, la plupart d'entre eux se réveille avec une érection, donc la première chose qu'ils font c'est de me baiser. Je me suis habituée à me faire peloter et baiser pendant que je prends mon petit-déjeuner, ma douche, que je me brosse les dents, me coiffe ou me maquille.
Toutefois, mon Maître qui était le geôlier du jour devait s'assurer que je sois au bureau, prête à travailler à 8 heures du matin. S'il je ne l'étais pas c'était de leur faute pas de la mienne. Cela s'est mis en place assez rapidement la première semaine. Maître Pete était mon geôlier mercredi matin. Il m'a baisé avant que je ne sorte du lit. Et il était de nouveau prêt à le faire avant que nous partions. Il a eu l'idée que ce serait assez marrant de jouir sur mon visage et mon chemisier. Maître Terry et Maître Hugh étaient là et lui ont fait comprendre qu'il faut que je me nettoie avant de partir au bureau. Ils lui ont dit qu'il faut qu'il explique à Maître Michael pourquoi je serais en retard. Maître Pete n'a jamais recommencé et personne d'autre non plus.
Maître Michael veut que j'arrive à 8 heures, une heure avant les autres. Comme ça il peut profiter de moi. Je passe cette première heure complétement nue et enchainée à son bureau. Il me caresse pendant qu'il travaille ou alors il m'utilise comme repose-pieds. Et bien sûr il se soulage avant de me laisser repartir à mon bureau. Sa position préférée est de me courber sur son plan de travail et de me sodomiser la jupe relevée. Il ne se fatigue jamais de cette position.
La première semaine, la plupart de mes autres Maîtres ont réussi à venir au bureau pour me baiser. Ils ont tous apprécié de pouvoir m'entrainer dans la pièce du fond. Comme ce n'est pas grand, ils doivent se relayer plutôt qu'y entrer tous en même temps. Je suis persuadée que mes collègues ont dû se demander si je vendais de la drogue ou autre chose.
Les vendredis, mes collègues sont encouragés à travailler chez eux et ils en profitent. Comme ce jour-là il n'y a donc personne au bureau, je dois travailler nue toute la journée. Lorsque nous quittons l'appartement je porte juste mes talons et un manteau que je dois enlever dès que j'arrive.
Au lieu d'une chaise, j'ai, ce jour-là, un tabouret avec un gode fixé sur le siège. Je dois m'empaler dessus pour travailler sur mon ordinateur. Mes Maîtres aiment ajouter d'autres sévices pendant que je travaille le vendredi : des pinces sur mon clitoris ou mes tétons, des pinces à linge sur ma peau.
Un vendredi, Maître Franck n'avait rien à faire alors il est venu au bureau et s'est amusé à me ligoter de toutes sortes de façons. Un autre vendredi, alors que c'était Maître Barry mon geôlier, il m'a fourré un gros morceau de gingembre dans ma chatte avant que je ne quitte l'appartement. Il m'a rejoint à l'heure du déjeuner et a changé la racine de gingembre par de la fraîche.
Heureusement Maître Michael ne s'attend pas à ce que j'accomplisse beaucoup de travail quand mes autres Maîtres sont là. Comme ils paient une partie de mon salaire, il ne peut pas se plaindre.
A la fin de la journée, il y a toujours un Maître qui me raccompagne à l'appartement. Je n'ai pas le droit d'aller n'importe où toute seule. Dans l'ascenseur, s'il n'y a personne d'autre, je dois toujours m'exposer pour que mon Maître puisse me tripoter. Souvent, quand nous rentrons dans l'appartement, je suis poussé contre le mur et immédiatement baisée. Heureusement que je ne paie plus mes vêtements parce qu'ils m'arrachent souvent des boutons. Je ne manque pas de tenue, quelqu'un s'occupe de ça.
Il y a aussi dans l'appartement beaucoup de matériels de salle de sport. Certains peuvent servir pour m'asservir. Mes Maîtres me font travailler mon physique tous les jours quand je reviens du travail. Les premiers jours, je devais m'entraîner nue. Mais nous avons rencontré deux problèmes : Ils ne pouvaient pas me tripoter ou mettre leur bite en moi pendant que je m'entrainais et, comme je suis une femme plantureuse, c'est assez pénible pour moi de m'entrainer sans rien. Alors ils ont acheté tout un tas de soutien-gorge de sport ainsi que des shorts moulants. Et ils ont édicté une nouvelle règle : je devais obligatoirement faire tous mes exercices avant qu'ils ne puissent de nouveau jouer avec moi.
Le soir, si j'avais été obéissante et que je n'avais pas de punition, je pouvais regarder la télé pendant que je dinais. Toutefois, comme dans la matinée, j'étais toujours tripotée. Alors j'ai pris l'habitude de manger vite tant que je le pouvais, tout en étant pénétrée dans tous les sens. Je passe beaucoup de soirées couchée sur la canapé. Ils font une file pour me baiser jusqu'au moment où il est temps de m'emmener dans ma chambre et de m'enchaîner à mon lit.
Quelques soirées, ils ont invité quelqu'un pour leur donner des cours de BDSM. Ils ont abordé beaucoup de sujet : cire brulante, jeu de corde, collier électrique. Comme j'étais une sorte de mannequin de démonstration, ces soirées pouvaient être assez douloureuses. Mes maîtres ont toujours proposé à l'instructeur de jouer avec moi après les cours. J'étais vraiment excitée de savoir que mon corps était utilisé pour récompenser une personne qui enseignait à mes Maîtres comment mieux me torturer.
Parfois mes Maîtres me faisait sortir. Je les accompagnais pour un concert, un cocktail ou une réunion de charité. Ils s'attendaient à ce que je rende service et souvent, je me retrouvais dans une arrière-salle à faire des fellations aux amis de mon Maître.
Je suis vraiment une pute. Et j'aime ça. Je ne sais pas quel genre de maladie je peux avoir à apprécier d'être utilisée, exposée et abusée toute la journée, tous les jours.
Mais des fois, je trouve cela ennuyeux. Cependant je dois faire attention. S'ils pensent que je ne suis pas attentive, ils me punissent. Le fouet ou le martinet ne sont pas vraiment des punitions car je les supporte. Mais je redoute la canne. Plusieurs coups sur mes fesses, mes seins ou mes cuisses me réveillaient rapidement. D'autres étaient plus imaginatifs et plus sadiques, si bien qu'ils devaient utiliser de la glace ou du baume du tigre ensuite. Sinon, ils savaient tous que je détestais les douches de pisse, ce qui était une autre punition fréquente.
Finalement, je me suis installée dans une routine domestique merveilleuse et excitante.
A suivre...
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