jeudi 29 avril 2021

J'appartiens à Snake désormais Ch. 01

 Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.

Jeune femme désœuvrée se fait piéger par le biais du Web.

Laissez moi vous raconter mon histoire, cette histoire qui m'a couté si cher en bouleversant ma vie.

Je m'appelle Ashley, j'ai 22 ans et je pèse 57 kgs pour une taille d'1,75 m.

J'ai une abondante chevelure rousse et j'étais mariée, jusqu'à l'année dernière avec Jay mon époux que j'avais rencontré dans mes années collèges et que j'avais épousé à la sortie du lycée dès mon diplôme obtenu.

Il avait obtenu ses diplômes un an avant moi et était en bon chemin pour devenir le prochain Donald Trump, si on excepte la chevelure.

Mon mari Jay est plutôt traditionaliste, il ne veut pas que sa femme travaille par exemple, c'est à lui de se charger de la bonne santé financière de la maison, nous étions profondément croyants et fréquentions l'église chaque dimanche.

Je restais à la maison tous les jours, je suppose que j'avais beaucoup trop de temps libre puisque nous n'avions pas d'enfant. Il n'y avait que nous deux et beaucoup de nuits à venir. Jay travaillait très tard le soir, aussi demeurais-je souvent seule chez moi.

Ces jours où il rentrait très tard, la charge de travaux domestiques du lendemain consistait surtout à nettoyer les tasses et à faire du café.

Récemment nous avons acheté un nouvel ordinateur dans une boutique locale qui les construit à le demande. Ils ont leur propre service IP et ils nous offrirent une forte remise lors de l'achat de l'ordinateur. J'avais déjà utilisé des ordinateurs dans mes années collège, mais c'était uniquement pour exécuter mon travail de clase et pour communiquer avec des amis et ma famille. Il n'y a que quelques mois, après l'achat de cet ordinateur que j'ai découvert le monde du chat un jour que je m'ennuyais fortement.

Je me suis tout d'abord rendue sur les salons de discussion juste pour voir ce qui s'y passait. Je voulais observer la façon dont ces gens s'y prenaient, les choses qu'ils évoquaient ainsi que le genre d'écriture qu'ils utilisaient, petit à petit je me suis insérée dans les conversations. Cela aurait du bien se passer, sauf que je commençais à fréquenter des salons qu'une femme mariée, encore moins une jeune mariée ne devrait pas visiter.

J'avais des échanges de plus en plus érotiques, je confiais à des étrangers des choses que je n'avais jamais dites à mon mari ! C'était très amusant... Excitant...

Une paire de fois j'essayais de me brancher sur des salons érotiques, mais je ressentais beaucoup de hontes en le faisant. Je faisais des choses horribles juste pour rendre ma vie plus excitante. 
J'adorais avoir de longues conversations orientées sur le sexe, je révélais beaucoup trop de choses à de parfaits étrangers. Je prétendais avoir accompli des actes extravagants dont je n'avais même pas entendu parler auparavant, je me branchais maintenant sur des salons spécialisés sur le sexe.

Mais ce n'était pas encore assez sulfureux, des interlocuteurs me réclamèrent des photos, je disposais d'une caméra numérique que je posais sur un trépied et tirais quelques clichés forts innocents, juste pour leur montrer à quel point j'étais jolie. On ne voyait que mon visage, j'étais entièrement vêtue.

Il y avait une paire de gars avec qui je correspondais régulièrement, je me sentais en confiance avec eux, ils étaient vifs, drôles et sexy et habitaient de l'autre coté du pays. J'envoyais des photos de mon visage à l'un des deux, puis, je me laissais convaincre de leur envoyer des photos de moi en petite culotte et soutien-gorge, mais mon visage n'était pas visible, sur l'une d'elle je me caressais les nichons.

Je leur disais des choses que les hommes aiment entendre, des propos croustillants, je leur décrivais souvent mes fantasmes les plus osés. Mais tout cela en toute sécurité, ils ignoraient mon nom, ils ne possédaient que mon adresse mail : "sexcindy1984", ils ignoraient où j'habitais, ils n'avaient aucune possibilité de remonter jusqu'à moi.

Tout marchait sur des roulettes, jusqu'à deux semaines plus tôt, à 1 heure du matin.

C'est alors que le téléphone sonna et me réveilla, mon mari a un sommeil très léger, c'est un tel problème que la nuit il se met des boules "quiés" dans les oreilles, ainsi il n'entend plus rien. J'empoignai promptement le combiné, j'avais le cœur remonté dans la gorge, je pensais qu'on allait m'annoncer que quelqu'un de la famille était victime d'un accident très grave... Ou quelque chose de ce genre. Pour quelle autre raison quelqu'un nous téléphonerait-il cette heure matinale. Inquiète, je dis

- "Bonjour..."

Il y eut une brève pause, puis une voix masculine embraya :

- "Hello sexycindy 1984... Ou préfères-tu que je t'appelle Ashley ?"

Je crus bien avoir une attaque ! Ce ne pouvait-être qu'un des deux hommes avec qui je correspondais régulièrement qui avait trouvé qui j'étais et où je demeurais. Mais si cela n'avait été que cela, c'était bien pire.

- "Qui êtes-vous? ...." interrogeai-je proche de la panique absolue.

J'entendis quelqu'un glousser au bout du fil et la voix reprit :

- " Va relever tes mails !" puis il raccrocha.

Je vérifiai que Jay pionçait toujours du sommeil du juste, je me glissai discrètement hors du lit et me ruai dans le bureau. J'allumai l'ordinateur et m'assit attendant, le cœur battant la chamade.

Lorsque ma boite à lettre s'afficha, j'y trouvai un mail provenant de " tonpirecauchemar". J'hésitai un long moment, mais finalement je me résolus à l'ouvrir, il fallait que j'en découvre le contenu. Je cliquai sur l'icône correspondant, je vis immédiatement qu'il contenait une douzaine de photos de moi.

Mon visage était bien visible sur chaque photo alors que je m'exhibais en sous-vêtements, il y en avait même une ou je me caressais les nibards au travers de mon soutien-gorge et de ma petite culotte. Il s'agissait des photos que j'avais envoyées à mes deux correspondants par mail, mais j'avais envoyé des photos différentes à chacun d'eux.

Mais il y avait pire encore.

Je déroulais le mail et parvins au texte, il s'agissait d'extrait de mes conversations avec les deux hommes, des thèmes souvent obscènes, et de la façon dont je les évoquais, on pourrait croire que j'avais vécu ces situations, ces actes, ces pervers agissements que je citais.

Par exemple je me vantais d'avoir de nombreux amants lorsqu'il était au boulot, de sortir dans des tenues provocantes pour allumer les mâles que dont je comblais ensuite les désirs les plus pervers, j'allais même jusqu'à me vanter d'avoir des relations lesbiennes.

Dans une autre conversation j'expliquais que j'avais des rapports sexuels avec l'ado qui entretenait notre pelouse... Et j'avais fait de mon mieux pour rendre ces relations plausibles.

En fin de mail, "tonpirecauchemar" avait écrit :

- "J'ai retransmis toutes tes conversations depuis que tu te promènes sur le web... Si tu ne veux pas que ton mari ait connaissance de ces photos et des tes dires tu ferais mieux de te pointer au 5711 rue Lawton demain matin à 9 heures... Bonne nuit, dors bien !"

Je relus plusieurs fois ce mail me demandant quel était le bâtard me l'avait envoyé. Je cherchai à trouver comment expliquer tout cela à mon mari, il était profondément croyant et très stricte en ce qui concernait la morale. Il ne croirait jamais qu'il ne s'agissait que de propos imaginaires que j'avais inventé pour exciter mes correspondants. Et même s'il parvenait à le croire, il trouverait cela inacceptable, de toute façon, s'il venait à connaître tout cela nous allions tout droit au divorce ! 

MERDE ! 

J'éteignis finalement l'ordinateur et je me recouchai. Jay m'entendit revenir dans le lit, et me demanda si tout allait bien. Je lui répondis que je m'étais rendue dans la salle de bain, il se rendormit aussitôt. Je restai étendue éveillée pendant des heures avec cette horrible menace planant sur ma tête. 

Je me levai en même temps que Jay, et préparais le petit déjeuner tandis qu'il s'apprêtait à partir au boulot. Après son départ je retournai dans le bureau, rallumai l'ordinateur et relus le mail si menaçant. Je devenais folle à ne pas trouver de solution pour m'en sortir dignement et à me demander comment ce type avait pu dégotter ces informations me concernant.

Alors que j'étais assis face à l'ordinateur, plus ou moins abasourdie, je reçus un autre mail émanant de "tonpirecauchemar", j'hésitai à l'ouvrir, mais je savais pertinemment que je n'avais pas le choix et je m'exécutai finalement. Le mail contenait un petit plan précisant l'endroit où je devais me rendre, le parcours que je devais suivre était clairement indiqué et une nouvelle photo de moi en sous-vêtements tenant mes nichons à deux mains comme si je les offrais à un amant.

Il se faisait tard aussi ais-je pris une douche rapide et me suis-je maquillée, puis j'ai cherché quoi me mettre sur le dos. Tous mes vêtements étaient classiques. C'est ainsi que je m'habillais, à mon image, je sélectionnai une jupe bleue marine, chemisier blanc et une élégante veste. Je m'habillai rapidement puis me regardai dans le miroir.

J'ignorais totalement ce qui m'attendait, mais je craignais fort qu'il s'agisse d'un chantage sexuel. Nous commencions notre vie de couple et n'étions pas riches. Il était plus prudent d'enfiler une tenue donnant une bonne impression.

Je ne sais pas qui me jouait ce tour, ni comment j'allais bien pouvoir m'en sortir, mais je devais m'en sortir, il m'était impossible d'imaginer avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, de plus j'étais assez timide.

Je savais que j'avais un visage avenant, mais j'étais très gênée lorsqu'on m'en faisait compliment.
 Chaque fois qu'un homme me reluquait avec insistance je rougissais comme une tomate, je ne pouvais m'en empêcher.

Jay était le seul homme à m'avoir vu nue et à toucher ma peau, cependant lorsque j'étais au collège, j'avais laissé plusieurs fois un petit ami, me caresser la poitrine au travers de mes habits, j'étais très excitée, mais je savais que c'était mal et j'avais arrêté de le voir avant qu'il ne me pousse à aller plus loin.

J'avais commencé à fréquenter mon mari alors qu'il faisait partie des aînés du collège et que je me trouvais avec les débutantes, nous étions tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre, tout nous semblait parfait. Il avait pris la place de mon père dans mon esprit et prenait soin de moi, nous partagions les mêmes principes moraux et religieux. C'était mon prince charmant, il me demanda en mariage 4 mois avant que je ne sois diplômée, j'acceptais sans réserve de devenir sa femme.

A partir de cette date on flirta de façon un peu plus appuyée, par exemple j'acceptais d'introduire ma main dans on pantalon pour prendre sa "chose" en main, je me contentais de la tenir en main, mais c'était déjà beaucoup pour moi. Je lui permettais de prendre de plus en plus de libertés avec moi, il me caressait parfois les cuisses sous la jupe, empaumait mes seins en passant la main dans les bonnets de mon soutien-gorge. Mais il y avait des limites. Nous n'eûmes jamais de rapports intimes avant notre mariage. C'était bien d'attendre le bon moment. Nous avons abordé nos épousailles purs et innocents. Et ce fut une semaine d'explorations et de découvertes éblouissantes qui valait bien le temps d'attente.

Et voila qu'un étranger insistait pour que je le rejoigne à une certaine adresse, et je pressentais qu'il avait l'intention d'avoir des relations sexuelles avec moi. Cela me semblait impossible. Je ne voulais pas me plier à ses dictats. J'irai et je lui expliquerai que oui, je m'étais laissé emportée dans des correspondances osées, mais que ce n'était que pour exciter mes interlocuteurs. Je n'avais jamais eu l'intention de faire quoi que ce soit avec un autre que mon mari. Jamais !

Je jetais un œil sur le plan qu'il m'avait envoyé. La rue se trouvait à une paire de kilomètres de mon domicile. Je devais quitter mon quartier, prendre la route principale et au prochain croisement je me retrouverai dans la rue Lawton. Je détestai l'idée que ce pervers habite aussi près de ma maison.

Il était temps d'y aller et de résoudre ce problème. Je montai dans ma voiture et démarrai. La maison était isolée. La pelouse avait besoin d'être tondue. Il y avait une grosse moto rangée hors du garage, juste à coté d'une camionnette avec la vitre arrière couverte de badges adhésifs.

Je passais devant, sans m'arrêter la première fois. Je n'arrivai pas à me résoudre à m'arrêter. Mais finalement, sachant que je n'avais pas le choix, je me garai dans le virage face à la maison. Je me dirigeai lentement vers l'allée du garage, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à respirer.

J'entendais de la musique provenant de la maison, je dus frapper plusieurs fois à l'huis avant que quelqu'un ne me réponde. L'homme qui ouvrit la porte avait dans les 30, 35 ans il était grand et fort. On aurait dit un ancien haltérophile. Il était encore musclé mais il commençait à bedonner, il semblait assez bienveillant, je commençai à suspecter que je n'aurais pas à négocier avec lui, il me semblait familier, mais je ne saurai pas dire pourquoi.

Il me regarda un moment, sans dire un mot, puis repartit en tenant la porte ouverte pour m'inviter à entrer. Je tentai de lui dire que je ne voulais pas entrer chez lui, que je voulais juste discuter avec lui, je balbutiai et bégayai finalement il me coupa :

- "Ta gueule grognasse et magne-toi le cul d'entrer !"

Je n'aurai pas été plus choquée s'il m'avait giflée, personne ne m'avait jamais parlé ainsi, ou utilisé ces termes en ma présence, j'aurai aimé pouvoir le gifler, au lieu de cela il s'approcha vers moi et me saisit par la nuque pour me pousser dans le salon.

Une fois à l'intérieur il claqua la porte et s'assit dans un vieux fauteuil, pendant une longue minute il me regarda fixement, je me figeais sous son regard, il était évident qu'il prenait un grand plaisir à me voir apeurée, humiliée, choquée. 

J'ouvrai la bouche pour discuter de ma situation, bien que je ne sache pas vraiment ce que je pouvais dire, tout ce que je savais c'est que je devais parvenir à m'en sortir sans trop de dégâts.

- "T'es vraiment stupide, ma salope ! Est-ce que tous tes amis savent à quel point t'es paumée ?"

- "Quoi..." m'insurgeai-je outrée. "En aucun cas ! Et je vous prierai de me parler sur un autre ton et en d'autres termes ! Je n'en tolérerais pas plus !"

Il rit de ma réaction brutale.

- "Qu'y a t-il salope, tu n'aimes pas qu'on te traite de salope ? Je te nommerai comme je le veux et tu souriras en approuvant ! T'as compris ?"

- "Je vous en prie... Ne mêlez pas le seigneur à vos grossièretés... Je ne suis venue que pour vous raisonner... Je ne suis pas le genre de femme que vous croyez ! Ces bavardages sur le net... C'était... Je ne sais comment dire... Un jeu anodin ! Je ne sais pas comment vous avez déniché ces photos et mes bavardages, mais je veux que vous les détruisiez et que vous ne me contactiez plus désormais
! Avez-vous compris ? "

Mon discours me semblait faible et inefficace. Il me rit au visage.

- "Désolé ma petite salope, mais ce n'est pas ce que j'entends faire ! Je veux utiliser ton petit cul à mon gré. Je crois que tu vas trouver les jours à venir tés éducatifs !"

Il se releva et me poussa sur le canapé. Il était si sale et inconfortable que je n'osais bouger de peur de me salir, mais j'étais trop abasourdie pour lui résister. Il s'assit à mon coté et s'empara d'une enveloppe posée sur la table basse face à nous et la déplia. Il en sortit plusieurs photos et des copies de mes bavardages ainsi que liste de noms et d'adresses.

La liste contenait les noms des parents de Jay et de mes parents, de mes grands-parents, de mes voisins, de mes amis, du patron de Jay et de quelques-uns uns de ses collègues. Il y avait aussi le nom et l'adresse de notre pasteur et de membres influents de notre paroisse.

J'eus soudain une brusque envie de vomir, je jetai un coup d'œil circulaire et localisai la salle de bain, aussi me ruai-je sur le bidet et je vomis de tripes et boyaux. Une fois terminé, je me rinçai la bouche et le visage et l'évier. La seule serviette que je vis était si sale que je m'essuyais la bouche et les mains avec du papier toilette. Je jetai un œil dans le salon mon tourmenteur était toujours assis à la même place sur le sofa.

Je retournai dans le salon, ce n'est qu'alors que je compris que j'étais piégée, je lui demandai alors ce qu'il voulait obtenir de moi.

- "T'es une belle salope..." rigola-t-il

- "Tu n'as aucune idée de ton impact sexuel ! Mais moi si ! Je vais t'apprendre tout ce que tu dois connaître du sexe ! Tu vas apprendre à baiser et sucer sur commande ! .Et à t'habiller de façon suggestive !"

- "Vous ne comprenez pas !" tentai-je de le raisonner une dernière fois

- "Je n'ai jamais couché avec un autre homme que mon mari, je ne le peux pas !"

Il m'ordonna d'aller lui chercher une bière dans le réfrigérateur, je ne voulais pas le faire. Je savais que si j'obéissais au moindre ordre de sa part, je tomberai sous son emprise. Il n'eut même pas à me menacer, je me savais battue, j'allais lui chercher sa bière dans le frigo. Le contenu du réfrigérateur me répugna, je me demandais s'il l'avait déjà été nettoyé, je pris la bière et la lui tendis. Il était à peine 9 heures 30 ce matin et il buvait déjà de la bière.

Il vit se peindre ma désapprobation sur mon visage, il rit et me précisa :

- "Je bois toujours une bière en regardant un strip-tease. Et maintenant vire mois tes loques ! Prends tout ton temps, on dispose de toute la journée !"

Puis il s'empara d'une télécommande et la pointa sur une caméra disposée sur un trépied proche et me dit de commencer mon effeuillage. Je jetai un œil sur la caméra et paniquais, c'en était trop. Je m'effondrai sur les genoux, me cachai le visage entre les mains et me mis à sangloter. Il me regardait fixement.

Lorsque j'eus enfin recouvré mes esprits, je le regardai, il me sourit, visiblement mon humiliation le faisait jouir,

- "Oh mon Dieu dans quel piège étais-je allée me fourrer ? "

Je tentai à nouveau de le raisonner, je le supplias, je lui dis que je ne pouvais pas me déshabiller devant un autre home que mon mari, et encore moins face à une caméra ! J'avais les yeux rivés sur la caméra et je remarquai que le bouton rouge était allumé, il enregistrait mes lamentations, mes suppliques.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope... Allez magne-toi le cul... J'étais décidé à te faciliter les choses, mais puisque tu ne veux pas y mettre du tien et suivre mon programme, je vais être obligée de te fouetter le cul à coups de ceinture ! Et pas plus tard que tout de suite... Si tu veux éviter d'être fouettée, décide toi et fous à toi à poil ! Mais si tu préfères, je peux aussi appeler des copains à la rescousse, ils m'aideront à te foutre à poil ! Préfères-tu cela ? "

Je me redressai brutalement, essuyai mes larmes et mon nez avec une serviette en papier que j'avais conservée en main après m'être rincée le visage. Je rangeai la serviette dans une poche de ma veste puis j'enlevas ma veste et le jetai sur la table basse. J'ôtai mes chaussures et je déboutonnai lentement mon corsage, le sortant de ma jupe lorsque j'en atteignis le bas. Je respirai profondément et laissai mon corsage glisser de mes épaules, je couvris mes nibards de mon bras et jetai mon corsage sur la veste.

J'aurai voulu disparaître, je savais qu'il était inutile de supplier plus longtemps mon tourmenteur, tout ce que je savais c'est que je ne pouvais pas faire ça. Mon corps avait toujours était sacré pour moi, il me semblait inimaginable de devoir me déshabiller pour distraire sexuellement ce crétin assis sur le canapé.

Il ne me pressait pas, il jouissait autant de ma gêne que ma partielle nudité.

Je lui jetai un œil, le sourire ravi qu'il affichait m'enfonça encore plus dans mon embarras, je détournai rapidement mon regard, mais je ne parvins pas à trouver une chose sur laquelle mes yeux pourraient se fixer. Je posai les yeux sur la caméra qui filmait mon humiliation, finalement je gardai les yeux braqués sur un vieux calendrier de Playboy suspendu au mur dans le dos de mon tourmenteur.

Je ne pouvais pas rester comme ça tout le temps, aussi dégrafai-je ma jupe et l'enlevai sans la laisser traîner au sol et la lançai-je sur le tas de mes vêtements qui grossissait, je réfléchissais profondément pour affermir mes esprits. Je passai mes pouces sous la ceinture élastiquée de mes collants et les roulai lentement sur mes cuisses, je me trouvai maintenant en petite culotte et soutien-gorge.

L'idée de la prochaine étape à franchir était si cruelle que je frémis de peur, finalement je tendis le bras dans mon dos et dégrafai mon soutien-gorge, je le tins devant moi, couvrant toujours mes nibards de ses bonnets, puis je fis glisser les bretelles et libérai mes bras, je cachai mes nichons d'un bras et de l'autre main je lançai le soutien-gorge sur la pile de mes vêtements.

- "Doux Jésus, comment ai-je trouvé la force de faire tout cela ?" 

Je n'avais aucune réponse à présenter à cette question.

Finalement j'écartai mon bras et offris mes nibards à la vue de ce monstre qui avait le pouvoir de détruire ma vue et mon mariage. Je n'appréciai pas qu'il siffle à la vue de mes appâts mammaires dénudés.

Comme de nombreuses jeunes femmes de mon âge, mes seins sont très fermes ils bombent comme des obus sur mon buste, ils sont très sensibles, bien trop sensibles à mon goût. Parfois, lorsque Jay les caresse et titille mes mamelons, je pensais que s'il les caressait plus longtemps ou plus vigoureusement je succomberai à un orgasme rien qu'à ces caresses. Mais bien sur ce n'était pas à moi de dire à Jay comment s'y prendre. Mais cela était vraiment jouissif lorsqu'il me pelotait les miches.

C'était le moment de l'ultime humiliation, je compris cependant que de toute manière mon épreuve ne s'arrêterait pas là. Cet homme allait me posséder, et j'allais le laisser faire, et pas seulement une fois, pas juste aujourd'hui, mais je devrais endurer de nombreux viols à l'avenir.

Je roulai ma petite culotte sur mes cuisses et la descendis sous les genoux, puis l'enjambai tentant de garder mes cuisses serrées l'un contre l'autre. Je terminai d'enlever mon dernier sous-vêtement et le jetai sur la pile mais il l'attrapa au vol, il me regarda fixement et porta la petite culotte à ses narines et en respira longuement les parfums.

Jamais je n'aurai cru me sentir aussi gênée, et pourtant je l'étais. Je restai immobile un long moment avant qu'il ne m'ordonne de me retourner. Je me tournai lui montrant mon dos, je jure que je pouvais sentir ramper sur mes appâts. Puis il me commanda de me tenir face à la caméra.

Une fois en place, je dus croiser mes doigts dans mon cou et faire saillir me coudes de façon à sortir la poitrine. J'obéis, ce n'était qu'un affront de plus. J'écartai les cuisses d'une cinquantaine de centimètres lorsqu'il me l'enjoignit.

Après avoir longtemps contemplé mes charmes, il se leva et s'avança vers moi. Je frissonnai en sentant ses mains me caresser le dos, puis descendre sur mes fesses, je pleurnichai discrètement. Mais je savais qu'il serait ravi de me voir pleurer, et c'était bien le pire.

Il explora méticuleusement mes charmes jusqu'à planter des doigts indiscrets dans mes blessures naturelles entre mes fesses. Je ne lui opposai aucune résistance, chaque fois que je pensais me rebeller, je réalisai à quel point se serait futile maintenant et qu'en fait cela ne ferait qu'accroître le plaisir qu'il prenait à désacraliser mon corps et mon âme.

Il s'approcha encore de moi, tendit la main et empoigna mes nichons. Je remarquai alors la présence d'un miroir accroché au mur derrière la caméra, je fermai les yeux en me voyant ainsi molestée.

Mais mon tourmenteur avait décidé de ne pas me laisser me cacher derrière la fine peau de mes paupières. Il me regarda dans le miroir et m'intima d'ouvrir les yeux et de me regarder me faisant peloter. 

J'ouvris les yeux et observais ce foutu bâtard empoigner, serrer, étirer, tordre mes nibards bien fermes. Il était évident qu'il me faisait mal, mais il était tout aussi évident qu'il adorait faire mal. Il me passa fugitivement en tête que c'était bien dommage que le suicide soit un pêché mortel car cela semblait le meilleur moyen de me sortir de ce gâchis.

Il concentrait ses caresses sur mes miches, mes mamelons étaient dardés, à ma grande honte. Il les serrait, les étirait et les et tordait ce qui contrastait durement avec les gentilles caresses de mon Jay. A ma grande horreur, je sentis comme des coups de jus irradier mon clito, je réalisai rapidement que si cela ne cessait pas rapidement, un orgasme dévastateur, ne tarderait pas à me terrasser. Et je ne pouvais pas le supporter ! 

Mais il n'arrêta pas, et j'eus un violent orgasme. Je m'affaissais incapable de supporter mon propre poids, je sanglotai une fois de plus la tête cachée entre mes mains. Je ne suis pas tombée par terre, il me rattrapa à temps, il empoigna rudement ma poitrine d'une main alors que l'autre traçait son chemin entre mes cuisses.

La simple idée que Jay ait voulut enfoncer sa main dans mon vagin m'apparaissait inimaginable, mais cette fois j'étais avec un salaud que je ne connaissais pas, un homme qui avait l'intention de se servir de moi comme de son jouet sexuel. Un homme qui tirait une grande jouissance de mes souffrances ! 

"Oh mon Dieu, comment ai-je pu avoir un orgasme des mains de ce monstre ?" pensai-je effondrée. Je ne serai plus jamais la même désormais, j'étais une femme déchue. 

Je pus enfin reprendre des forces et me redresser sur mes jambes. Mais sa main continuait à malaxer mon vagin, il le manipulait rudement et il me pénétra la vulve d'un doigt curieux. Je criai lorsque son doigt fora son trou dans ma foufoune. Il me força à me relever et murmura à mon oreille dans le langage le plus vulgaire qu'il puisse trouver ce qu'il voulait que je lui fasse.

Je secouai la tête en guise d'acquiescement et soupirai. Il ne servait à rien de me plaindre, ni de résister, je ne pouvais que réagir à chaque nouvelle humiliation, je n'avais pas d'autre choix.

Il me lâcha finalement et recula d'un bon pas, je me tenais de profil par rapport à la caméra il m'enjoignit de le déshabiller. J'essuyai mes larmes d'un revers de main et agrippai doucement le bas de son tee-shirt, et faisant bien attention de ne pas toucher sa peau plus que nécessaire, je le remontai et le fis passer au-dessus de ses épaules.

Je le jetai sur la pile de mes vêtements sur la table basse puis je me laissai tomber à genoux et débouclai sa ceinture et son jean. Cherchant à détourner les yeux de la grosse bosse qui déformait le devant de son caleçon je descendis son jean qu'il enjamba rapidement.

Je le débarrassai de son jean et cherchant à dissimuler ma totale révulsion je saisis la ceinture de son caleçon et le descendis tout de go sur ses chevilles. Je fus surprise de la taille de la bite qui jaillit en plein air, elle me semblait énorme, elle était beaucoup, beaucoup plus grosse que le pénis de Jay et beaucoup plus laide. Je savais qu'il y avait des chibres de différentes tailles, mais je n'avais jamais pensé me retrouver un jour à genoux à quelques centimètres de la bite d'un étranger, une bite qui selon moi faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres de long, et de plus, affreusement épaisse. Je ne pensais pas qu'il parviendrait à enfiler cette énorme massue dans ma foufoune si étroite.

Son short enlevé, il empoigna sa massue charnue et la promena sur mon visage. Quelques gouttes translucides suintèrent de son méat. Je savais que cette pré-émission indiquait son niveau d'excitation, mais je n'avais encore jamais vu ce phénomène. Je n'avais de toute manière jamais eu mon visage aussi proche de la bite de Jay. Et je n'avais pris sa bite à main, à part en de rares exceptions au travers de ses vêtements.

Et voilà que ce monstre promenait sa bite sur mon visage déposant un filet gluant lorsqu'il touchait ma peau. Il promenait lentement son gland sur mes joues et mes paupières descendant vers mon menton, s'attardant sur mes lèvres. Je me détournai, mais il me gifla sévèrement en plein visage. Je n'avais jamais été giflée auparavant ! Jamais de toute ma vie ! J'étais profondément choquée.

J'ouvris les yeux et je vis l'épaisse bite à quelques centimètres de mon nez.

- "Embrasse-le !" M'ordonna-t-il sereinement.

J'essayai à nouveau d'esquiver ce geste, j'étais sure de ne pas y arriver, je n'étais pas si naïve, je savais que certaines femmes se pliaient à ces actes, je savais même que c'était assez ordinaire, mais ce n'était pas normal, ce n'était pas moral. Les femmes honnêtes, comme moi, ne posaient sûrement jamais les lèvres sur des organes sexuels masculins.

Il empoigna à nouveau les cheveux et tira dessus. Et sur le ton de la conversation, un ton presque amical il m'avisa :

- "Sais-tu ma petite chérie que je n'ai jamais baisé de rouquines avant toi ? Je suis vraiment impatient de goûter à tes charmes !"

Sur ces mots il attira mon visage vers sa bite qu'il pressa contre mes lèvres.

- "Et maintenant embrasse le salope !"

Je fermai les yeux, mais il hurla que je devais les ouvrir et le regarder. J'ouvris donc les yeux et je les braquai sur petit bedon, je pinçai les lèvres et soumise comme on ne l'est plus je lui obéis servilement.

Puis il me dit de lécher mes lèvres, à ma grande surprise, le pré-sperme qui avait souillé mes lèvres n'avait pas de goût particulier, cependant en obéissant à cet ordre j'avais totalement réalisé ce qu'il me faisait faire, et que j'acceptais bon gré mal gré de faire.

Comme je commençai à tousser, il me donna une nouvelle tape sur la tête, je fis alors de mon mieux pour contrôler mes réactions instinctives. Il me força lentement à baisser la tête et lorsque son gland turgescent frôla mes lèvres il m'intima de tirer la langue et de le lécher.

Je grognai ma honte et m'efforçai de lui obéir servilement. Je léchai consciencieusement son gros brugnon, révulsée par cet acte que je m'efforçais d'accomplir de mon mieux.

Le violent sursaut de sa bite alors que j'effleurais son bourgeon du bout de la langue m'effaroucha brusquement. Il miaulait son plaisir alors que je mettais à lécher servilement son organe mâle. C'était difficile, il tortillait de la queue comme pour échapper à mes lèvres, ce qui rendait encore plus humiliant le fait de le garder sous contrôle. 

Lorsque je l'eus léché un bon moment, il guida mes lèvres sur ses bourses, écœurée, je dus lécher ses grosses burnes poilues. Comment tant de femmes pouvaient-elles se laisser traiter ainsi ? Lorsque ses burnes furent bien couvertes de salive il me releva la tête et annonça :

- "C'est bien ma chérie, c'en est assez des préliminaires, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses. Referme tes soyeuses lèvres sur ma grosse bite et montre moi quelle longueur de bite tu peux enfourner dans ta bouche !"

Je savais pertinemment que cet instant arriverait. Comment allais-je pouvoir laisser un homme enfourner sa grosse bite raidie dans ma bouche ? 

Je frissonnai de révulsion, priant pour que je puisse surmonter cette nouvelle épreuve. J'ouvris la bouche en grand et explosé de rire il enfourna lentement sa grosse bite puante dans ma bouche affolée. 

- "J'ai bien l'impression que t'as beaucoup de choses à apprendre dans l'art de la fellation ma chérie ! Ne te tracasse donc pas, tu auras bientôt beaucoup d'expérience..."

Je refermai les lèvres sur sa hampe et il s'enfouit dans ma bouche asservie.

- "Attention à tes dents !" Grogna-il sèchement.

- "T'es vraiment stupide fieffée salope... Voilà c'est mieux comme ça... Sers-toi de ta langue !"

Il coulissa lentement dans ma bouche s'enfonçant un plus profondément à chaque coup de rein. Il heurtait maintenant l'entrée de ma gorge à chaque coup de boutoir me bâillonnant à chaque fois. Au début il se contentait d'observer mes réactions et de les ignorer, mais lorsqu'il commença à enfouir sa grosse bite dans ma gorge, il se mit à me gifler. Chaque fois que je gargouillais, c'est dire à chaque coup de rein, il me giflait durement en plein visage. Je criais hystériquement maintenant.

Je criais, bredouillais et gargouillais cherchant désespérément à respirer alors qu'il s'imposait dans ma gorge. C'est alors que brutalement il agrippa ma tête à deux mains et pressa mon visage contre son pubis velu, s'enfonçant avec une violence extrême dans ma bouche, sa mentule s'engouffra soudain dans mon arrière gorge asservi. Mes lèvres enserraient étroitement la racine de sa bite puante.

- "Oh oui !" hurla-t-il.

- "Ca y'est chérie... Quel salope ! T'as tout pris dans la gorge !"

Sur ces mots, je le sentis pulser dans ma bouche et mon arrière-gorge, je savais pertinemment ce qui allait advenir, je ne pouvais plus respirer, j'aurai voulu qu'il se retire de ma bouche. Je poussai de toutes mes forces sur ses cuisses, j'étais sure que j'allais mourir les lèvres refermées sur le sexe de cette ordure.

Finalement il se retira très, très lentement. Il s'arrêta laissant son gland dans ma bouche et je goûtais tout de suite à ses premières giclées spermatiques.

- "Bien que tu sois crispée du trou du cul !" me dit-il admiratif, "Je crois que tu vas faire une excellente suceuse ! Avec de la pratique bien sur ! Je dois admettre qu'il n'y a pas beaucoup de salopes qui ont réussi à absorber toute ma bite dès la première fois !"

Devait-il vraiment me parler aussi vulgairement ? Ce langage renforçait encore mon humiliation initiale de me faire complimenter en ces termes.

Lorsqu'il eut fini d'injecter ses derniers jets de semence dans ma bouche, il recula de quelques pas. J'aurai voulu recracher l'infâme potion, mais je savais que cela me rapporterait quelques gifles de plus. Aussi avalai-je bon gré mal gré, me débrouillant pour contrôler mes réflexes de rejet. Cela me fut véritablement très pénible. Et je savais que cela risquait de se reproduire, et même souvent. Je ne pourrai pas en supporter beaucoup plus.

Je m'angoissai à l'idée de vivre sous sa coupe, l'idée de le tuer me traversa, mais c'était totalement utopiste. 

Il me disposa sur le sol, jambes tournées vers la caméra. Il se redressa et ajusta l'ensemble, puis il se rassit sur sa chaise et se remit à siroter sa bière. Dès qu'il fut bien à son aise il m'intima de me masturber. Bien sur il n'utilisa pas ce terme.

Je ne m'étais jamais masturbée, la masturbation est un grave pêché. Et voilà que j'étais obligée de me masturber devant un étranger et face à une caméra qui enregistrait tous mes gestes. Je ne savais même pas comment m'y prendre. Je cherchai à lui expliquer que je ne savais pas comment faire. Mais à l'instant même où je proférai ces dénégations, je savais déjà que je perdais mon temps.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope, tu te fous de moi ? Tout le monde sait comment se branler ! Bordel tu n'as cas te servir de tes doigts ! Tu ferais mieux de te presser fieffée salope ! Parce que si tu n'obtempères pas, je peux trouver quelqu'un qui t'aidera à le faire ! Je sais qui s'en chargerait avec joie ! "

Je savais qu'il était capable de mettre sa menace à exécution. La simple idée que d'autres étrangers puissent assister à ma soumission et à mon humiliation m'était intolérable. Aussi tendai-je les mains vers le bas et je commençai à me caresser lentement. Je tournai autour de mon clito, des sentiments diffus de plaisir envahissaient petit à petit mon bas-ventre.

Je savais que c'était un pêché, mais je n'avais pas vraiment le choix ! 

Comme je continuas mes caresses il m'ordonna d'insérer un doigt, puis deux dans mon vagin et de les agiter. Bien sur il ne me dit pas cela comme ça ! 

Je fermai les yeux, mais il m'enjoignit de les ouvrir et de braquer les yeux sur la caméra pendant que je me branlais servilement. Jamais je n'aurai pensé jouir sous mes caresses, surtout dans ces circonstances. 
Il me forçait à faire des choses les plus horribles de ma vie. 

Il me sembla que cela dura très longtemps mais en fait ma respiration se fit rapidement plus lourde alors que je sentis le plaisir monter dans mes reins. Je m'y refusai, bien que je sache que je ne parviendrai pas à résister bien longtemps.

Je me mis à me branler furieusement, mes hanches se levaient pour approfondir la pénétration de mes doigts dans ma fente embrasée, et, à ma grande honte un second orgasme me terrassa. Comment mon corps pouvait-il me trahir de façon aussi éhontée ? 

Mon bourreau, je ne connaissais toujours pas son nom, me contempla en train de jouir, il vint vers moi alors que je gisais cuisses grandes ouvertes sur le plancher. Il me tourna de façon à ce que la caméra me prenne de profil puis il s'agenouilla entre mes cuisses. Je cherchai à le repousser alors qu'il s'installait entre mes cuisses et entreprenait de m'embrasser les cuisses et le bas ventre.

Personne ne m'avait jamais fait cela, c'était abominable, je le suppliai de cesser, je cherchai à le repousser mais tout cela en vain. Ses lèvres s'approchaient de plus en plus de mes babines gonflées, le fait que cela me plaise rendait ses caresses encore plus haïssables. Finalement sa langue s'insinua entre mes lèvres vaginales, je dus me mordre les lèvres pour éviter de hurler de plaisir. Et mes hanches se relevaient venant à la rencontre de sa langue en dépit de mes efforts pour résister à ses caresses enivrantes.

- "Ouais..." dit-il légèrement dépité "Je savais bien que t'étais chaude, même si tu t'en défends ! Jette donc un œil sur ta chatte embrasée... Elle est inondée de cyprine !"

Cela ne pouvait pas être pire, chaque fois que je pensais que je ne pourrais pas endurer d'épreuve plus dégradante, ma situation empirait. Chaque acte dégradant m'enfonçait de plus en plus dans une honte incommensurable. 

Un nouvel orgasme me submergea... Alors qu'il collait ses lèvres à mon clito, je ne pouvais plus contrôler mes sens. Je mugis mon plaisir à ma grande honte j'avouaisainsi mon intense plaisir, pire encore c'était, sans hésitation aucune, le plus intense orgasme qui m'ait terrassée.

Et il le savait ! Je sentais qu'il en était convaincu. Mon Dieu que je le détestais.

Il m'embrassa suavement la chatte à plusieurs reprises puis repris son parcours, se relevant en mordillant, au passage, mon estomac et mes nichons. Il m'embrassa, me titilla et me pelota tant et si bien que je sombrai rapidement dans un nouvel orgasme, quand bien même mon esprit savait que c'était horriblement pervers.

Je gardai les yeux ont fermé essayant de combattre les indéniables, irrésistibles sensations de plaisir envahissant mon corps comme un océan. Puis il posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle fiévreuse, je me laissai faire et répondis rapidement à ses baisers. Je sentis sa virilité frotter contre ma chatte alors que nous nous embrassions avec passion.

- "Ca y est, je vais jouir..." pensai-je affolée, c'était l'ultime affront le dernier coup de poignard, j'étais incapable de refreiner mes instincts primitifs.

Je n'avais pas encore la moindre idée de l'emprise que ce monstre installait sur mon esprit et mon corps.

- "Prends ma bite en main et rentre la dans ta chatte !" M'ordon-na-t-il impavide.

Je tendis la main et me saisis de sa virilité et l'alignais sur l'accès de ma grotte inondée de cyprine, lentement il s'enfonça en moi. Nos yeux étaient rivés sur son membre forant son chemin dans ma fou-foune. Je sentais sa bite si grosse que je craignais qu'elle ne me blesse cruellement.

Je me demandais fugitivement si mon mari constaterait la différence, indéniablement ma foufoune allait se trouver distendue par cette énorme mentule. Il me semblait impossible que ma grotte puisse reprendre sa taille normale après un tel assaut.

Il ne s'arrêta que lorsqu'il se trouva enfoui jusqu'aux burnes dans ma petite chatte incroyablement accueillante, il me sourit avec dérision et me dit tranquillement :

- "Alors salope ! As-tu goûté déjà une queue aussi épaisse ? Ne te tracasse pas tu goûteras à bien d'autres grosses mentules désormais ! Avant que j'en aie fini avec toi tu reviendras souvent me supplier de te faire baiser ! Ca va te changer de la petite saucisse de ton cornard ! Désormais tu te feras baiser par de vrais hommes ! "

Je secouai la tête de gauche à droite murmurant :

- "Non, non, non..."

Mais j'avais beau le nier, je m'émerveillais d'être aussi élargie par sa grosse queue, de me sentir aussi pleine de lui, d'avoir pu absorber la totalité de son énorme bite dans ma petite chatte élastique.

Puis il commença à me labourer, lentement tout d'abord puis de plus en plus vite, c'était incroyable, je sentais que je perdais une nouvelle bataille. Mes hanches se tendaient vers lui, mes grognements se murent en gémissements de plaisir, je savais que je perdais à nouveau tout contrôle de mon corps et de mes esprits. Je l'étreignais fiévreusement bras verrouillés dans son dos, et je me serrais contre lui, le plaquant contre mon corps de toutes mes forces l'invi-ant à me labourer de plus en plus vite jusqu'à cet instant enivrant où je le sentis se tendre en moi ; je sentis alors sa grosse bite trembler et éja-uler des torrents de foutre dans mon fourreau embrasé, je savais qu'il se vidait totalement les couilles dans ma foufoune accueillante.

Je grognais sourdement en l'étreignant fiévreusement alors qu'un nouvel orgasme me terrassait, puis un autre, un autre... Et encore un autre...

C'était la première dois que je rebondissais d'orgasme en orgasme, pour être honnête je n'avais jamais eu autant de plaisir. Je savais bien que j'avais déjà joui sous les assauts de mon mari, mais ce n'était pas comparable à mon émoi actuel. Je n'aurai jamais cru que l'on puisse jouir à ce point. 

C'est alors que je me rappelais ce qui se passait. J'étais étendue sur un sol souillé avec un complet étranger qui me baisait contre ma volonté et qui se servait de moi comme il l'aurait fait d'une prostituée. Je criai et l'embrassai et griffai son dos de mes ongles dans les derniers soubresauts de mes orgasmes.

Il resta étendu sur moi, me fixant dans les yeux observant attentivement les émotions qu'affichait mon visage expressif. Il avait toujours cet ignoble sourire salace aux lèvres alors qu'il me dévisageait avec attention.

Soudain il tendit la langue et me lécha le visage du menton au front. Je tremblai de révulsion alors qu'il roulait sur le flanc et s'assit.

Il resta assis quelques instants jouant avec mes nibards, puis il les gifla avec vigueur me faisant hurler et me relever pour pouvoir les protéger. Il se releva, se pencha vers moi et m'aida à me relever. Il pointa son doigt vers le fond du vestibule et m'intima :

- "La salle de bain est au bout du couloir... Vas-y et nettoie ta chatoune... Et fais vite !"

Je me dirigeai en chancelant vers la salle de bain j'étais sur le point d'y entrer lorsque je me figeai. Je n'avais jamais vu un tel bordel ! Cette pièce était dégueulasse... Je compris alors que cette place m'était totalement appropriée après ce que je venais de faire.

J'entrai, baissai la lunette des toilettes et m'assit à contrecœur sur les toilettes et attendis quelques instants alors que s'écoulaient des flots de foutre de ma chatte inondée. Lorsque plus rien n'en sortit, je me nettoyai avec du papier toilette, puis je gagnai le lavabo. Il n'y avait pas de serviettes propres, je fis couler l'eau jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment chaude et je rinçais le linge le moins sale que je trouvais et m'en servis pour me nettoyer succinctement. Je terminai en me nettoyant la foufoune et mes cuisses ornées de filets de foutres. J'utilisai plusieurs serviettes sales pour me sécher puis, je retournai au salon.

En dépit de ce qui venait de se passer, je me sentis formidablement gênée de me trouver entièrement nue sous les yeux de cet étranger. Il avait remis son jean et son tee-shirt et enfilait une vielle paire de santiags. 

Il me laissa remettre ma jupe et mon corsage mais ni ma petite culotte ni ma veste. Puis j'enfilai mes chaussures et l'on sortit de la maison.

A suivre...

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