vendredi 9 avril 2021

18 Maîtres Ch. 07

Traduction d'un texte de Penitr8me.

Mon nouvel emploi.

Je commence mon nouvel emploi d'esclave à plein temps le vendredi après-midi. Je signe le contrat qui leur donne ma vie et ils font tatouer sur mon corps leur marque de propriété. Ils me mettent un collier en acier brillant autour du cou avec un anneau en D sur le devant pour pouvoir m'attacher ou me conduire avec une laisse. Ce collier est si bien fait qu'il semble qu'il n'y a pas d'ouverture possible.

Mes Maîtres me baisent pendant quatre ou cinq heures d'affilée cette première nuit. Et complétement. Si l'un des 18 hommes n'occupe pas un de mes trous avec sa bite, ils y mettent alors un gode ou autre chose. Etant restée durant trois jours sans être baisée, je suis, à ce moment-là, complétement excitée. A la fin de la soirée, je suis tellement fatiguée d'être abusée qu'ils doivent me porter au lit. Ils n'ont pas réellement besoin de m'enchaîner mais ils le font quand même.

Samedi et dimanche, la baise continue. Le samedi soir ils organisent une fête pour célébrer mon nouveau statut. Ils me ligotent dans le salon. Je suis suspendue, allongée sur le dos, les jambes et les bras écartés, la tête renversée en arrière. Ainsi, ils peuvent me lever et m'abaisser à leur guise pour pouvoir me baiser de tous côtés à la bonne hauteur. Et pendant que certains me sautent, d'autres flagellent mes seins.

Le dimanche, tout le monde est un peu épuisé. Il me laisse dormir. Puis ils me mettent dans ma cage pendant qu'ils regardent un match de football. Du coup, je peux dormir un peu plus. Ils avaient installé une énorme télé à écran plat et la pièce est assez grande pour que tout le monde puisse s'asseoir confortablement. Quand le match est terminé, ils reviennent s'amuser avec moi, me baiser et me fouetter.

Lundi matin, je commence l'autre partie de mon travail. Je dois être la nouvelle gestionnaire administrative de Maître Michael. Il possède une entreprise de consultation qui aide des entreprises à obtenir des certifications. Il n'a que cinq employés donc il n'a pas vraiment besoin d'une gestionnaire d'entreprise. Mais comme mes autres Maîtres aident à payer mon salaire c'est une bonne affaire pour Maître Michael.

Il est mon geôlier dimanche soir. Mes Maîtres resteront à tour de rôle mais il est logique que ce soit Michael le premier étant donné que je dois l'accompagner à son bureau. Je suis tellement épuisée par le week-end que même s'ils fixent mon collier au lit, ça ne me garde pas éveillée. La chaîne n'est pas fermée comme le collier donc j'aurais pu de détacher à tout moment si j'avais eu besoin. Mais cela est contraire aux règles et je subirai une punition.

Maître Michael décroche la chaîne et l'utilise comme une laisse pour me conduire à la salle de bain. Je rampe derrière lui sur mes mains et mes genoux. Il attend là, en tenant la chaîne, pendant que j'urine. L'intimité ne fait pas partie du contrat. Dès que j'ai terminé, il me tire vers la cuisine, toujours nue, toujours à quatre pattes. Les vêtements et la position debout sont des privilèges que je pourrais avoir plus tard. Mais pour l'instant, je ne suis qu'un animal. Mon petit-déjeuner est du yaourt et des fruits, mais servis dans un bol sur le sol. Chaise, table, couverts seront aussi des privilèges à gagner.

Je dois m'agenouiller avec le cul en l'air pour mettre ma bouche dans le bol. Je n'ai avalé que quelques bouchées quand je sens Maître Michael caresser mes fesses. Je retourne à mon repas pour le finir au plus vite. Ils contrôlent ma nourriture et ils sont censés bien me nourrir pour me garder en bonne santé. Mais ils n'ont pas à le faire gentiment ou de façon prévisible.

Je suis à la moitié de mon repas lorsque je sens Maître Michael coller sa langue dans mon cul. Je me fige. J'ai toujours évité ça avant. Ça me dégoûte bien que je l'aie fait plusieurs fois. Mais je n'ai plus de limites maintenant et apparemment il aime ça tôt le matin.

CLAC. Il gifle mon cul très fort.

- Quel est le problème esclave, Je pensais que tu aurais faim après l'exercice que nous t'avons donné ce week-end.

- Oui Maître.

Avant que je ne recommence à manger, je sens son doigt qui sonde mon cul. J'ai l'habitude d'être pénétrée de partout et constamment. Mais c'est difficile d'essayer de manger avec ce genre d'intrusion. Et en plus mon cul est sec.

- Puisque tu n'as pas faim esclave...

Il tend la main et prend mon bol. Je sens quelque chose de froid et humide sur mon trou du cul : du yaourt. Je m'arc-boute et je sens son sexe pénétrer mon cul. Il me baise rudement en écrasant mon visage sur le sol. Je ne peux m'empêcher de pleurnicher, le yaourt n'est pas un bon substitut au lubrifiant et la queue est bien raide le matin. Heureusement il ne lui faut pas longtemps avant de décharger. Je ne veux pas finir mon bol car il l'a probablement touché avec le doigt qu'il a mis dans mon cul. Et puis j'ai tellement mal que je n'ai plus beaucoup d'appétit.

Michael saisit ma laisse et me traine jusqu'à la salle de bain. Il me fait rester à quatre pattes pendant qu'il se déshabille puis il entre derrière moi dans la douche. Il prend la pomme de douche et m'arrose. Il me laisse me laver les cheveux, mais il me savonne le reste du corps et me rince comme un chien. Il me pousse du pied pour pouvoir se doucher. Je peux me sécher du moment que je reste sur le sol comme une bonne soumise. Heureusement mes cheveux sont raides et je n'ai pas grand-chose à faire à part utiliser la serviette pendant qu'il termine.

Ma garde-robe est bien garnie. Ils m'ont gardée nue tout le week-end à part les cordes, les contusions et les marques de fouet. Mais ils m'ont montré le placard plein de vêtements pour le travail et d'autres évènements. Ils ont demandé à un tailleur de prévoir des tenues appropriées pour chaque occasion. Ces vêtements sont disposés sur des cintres et les tiroirs regorgent d'accessoires.

Ma tenue d'aujourd'hui est une jupe crayon et un chemisier. Je n'ai pas droit à une culotte mais je peux prendre un soutien-gorge, ce qui est bien pour mes gros seins. C'est un soutien-gorge de chez Victoria's Secret avec des coussinets bien structurés, ce qui fait paraître ma poitrine encore plus grosse. Avec le chemisier serré, je suis très sexy, mais heureusement pas salope. Le décolleté ne plonge pas trop et la fente de la jupe n'est pas trop haute pour que cela soit trop indécent dans un bureau. Mes talons sont hauts, mais une fois encore ce n'est pas déraisonnable pour un emploi de bureau.

Je fais un chignon rapide avec mes cheveux puis je me maquille. Je dois m'agenouiller pour le faire car ils ne m'ont pas encore donné de chaise. Je suis sûre que Maître Michael adore la forme de mon cul dans cette jupe serrée pendant que je rampe pour donner les dernières retouches. Je dois supporter ses caresses sur mes fesses.

A la porte d'entrée je suis autorisée à me lever et à marcher pour la première fois depuis vendredi. J'ai encore le collier mais il remplace la laisse par un petit pendentif. J'ai ainsi moins l'impression d'être esclave. Maître Michael m'attrape le poignet et le serre fort. Il me tire vers l'ascenseur. Je suis en talons mais il s'en fiche. Pendant que nous attendons l'ascenseur, il pelote mon cul si fort que je bascule presque.

- Essaie de travailler ton équilibre! Dit-il avec un sourire méchant.

Nous sommes seuls dans l'ascenseur, alors, comme on m'avait demandé, je remonte ma jupe et écarte les jambes aussi loin que possible sans tomber. Michael fourre deux doigts dans ma chatte et la pilonne jusqu'à ce que nous entendions le signal qui indique que l'ascenseur va s'arrêter. Il retire ses doigts et je descends ma jupe aussi vite que possible. Je la remets en place juste avant qu'un homme et une femme montent dans la cabine. J'espère qu'ils ne vont pas pouvoir sentir mon intimité sur les doigts de Maître Michael. Ils poussent le bouton du premier étage et continuent leur conversation. Mon maître et moi descendons au cinquième étage. Il attrape mon poignet et me conduit au bureau. C'était certainement le trajet le plus intéressant que je n'ai jamais eu.

Il n'y a pas beaucoup de gens qui entrent dans le bureau, mais dans le cadre de mes nouvelles fonctions je dois les réceptionner. J'ai un bureau à l'entrée, mais j'ai aussi un bureau privé derrière. C'était à l'origine un grand placard de rangement, mais ils avaient mis un bureau et un téléphone. Et Maître Michael m'a montré les aménagements supplémentaires : un verrou sur la porte, des boulons et anneaux fixés à plusieurs endroits, sur le sol, les murs et le plafond. Bien sûr, il y a les fournitures de bureau habituelles : crayons, marqueurs, enveloppes, bloc-notes. Mais il y a aussi un tiroir verrouillé contenant des cannes et fouets ainsi qu'un bâillon, pour me punir au travail s'il le faut.

Maître Michael me montre ensuite son propre bureau. C'est une pièce décorée avec goût. Elle donne sur la mer. Elle a un beau plancher en bois massif avec un grand tapis en laine et de grandes baies vitrées. Elle dispose d'un petit coin salon avec une table en verre et des chaises confortables. Le bureau de Maître Michael est en bois rare.

- Déshabille toi et va coller tes seins contre la fenêtre, les mains sur la tête!

J'hésite. Nous ne sommes pas très haut et il y a de bureaux d'où on peut voir sur le bureau de mon Maître.

- Les vitres sont teintées! Ajoute-t-il en me claquant violemment le cul.

- Dépêche-toi! Commande-t-il.

Je me déshabille rapidement. Alors que j'essaie d'enlever mes talons, il m'ordonne de les garder. C'est tout ce qui me reste comme vêtement quand j'appuie mes seins contre la fenêtre. J'espère qu'il a raison au sujet des vitres teintées mais j'espère aussi que quelqu'un jette un coup d'œil et me voit.

J'entends mon maître déverrouiller un tiroir de son bureau. J'entends un « gloop » que je connais bien puis je sens quelque chose de froid et lisse qui pénètre mon trou du cul.

- C'est un gode en verre! tu vas rester là et faire attention de ne pas le faire tomber. Et ne fais pas de bruit!

Je serre mes fesses aussi fort que je peux. Puis j'entends un «swoosh » avant de sentir la douleur d'une canne qui tombe sur mon cul. Je serre les dents plus fort que mes fesses, et je retiens mes gémissements en essayant de laisser dissiper la douleur.

- Ça c'est pour être lente à obéir! La prochaine fois que je te donnerai un ordre et que tu hésiteras, tu auras deux coups et ils seront beaucoup plus durs.

Je frémis à l'idée de savoir qu'il peut me frapper tant qu'il le veut. Il agrippe mes fesses entre ses doigts et les écarte. Puis il entre et sort le gode plusieurs fois de mon cul avant de le retirer complètement.

- Habille toi!

Cette fois, je n'hésite pas du tout.

Il passe l'heure suivante à me montrer comment les téléphones fonctionnent et comment accéder au réseau informatique dont j'ai besoin. Il me dit aussi, que lorsque ses collègues sont présents, je dois l'appeler soit par son nom, soit par « Monsieur » selon les circonstances. Par exemple je dois dire « Oui Monsieur » pour répondre à un de ses ordres. Si quelqu'un se pose des questions, je dois dire que j'ai été élevée dans une famille très stricte et que j'ai appris à dire « Monsieur » à mes supérieurs. En tout cas, je ne dois rien dire sur la nature de notre relation ou je serai punie.

Mes nouveaux collègues commencent à apparaître vers neuf heures. Il y a quatre hommes et une femme. Je peux les voir s'interroger pour savoir ce que je vais faire dans un bureau si petit. Je me le demande aussi. Maître Michael sait que j'ai un diplôme en marketing alors il me dit qu'après avoir fait la gestion administrative du bureau, il me laissera aider le gars du marketing.

A midi, à l'heure du déjeuner ils sont prêts à partir. Ils me demandent :

- Vous nous accompagnez?

Mais Maître Michael m'avait appelée de son bureau qui n'est pas loin du mien.

- J'ai besoin que vous restiez au bureau pour vous former sur le système de paie. Quelqu'un va venir pour vous montrer.

- Est qu'on vous ramène quelque chose? demande un de mes collègues.

- Non, nous prendrons quelque chose au distributeur de la salle de repos.

Dès qu'ils sont partis, Maître Michael m'ordonne de le rejoindre dans son bureau, de me déshabiller et de reprendre ma position contre la fenêtre.

- Bien, tu es intelligente et tu apprends rapidement. Je suis content.

Cette remarque me fait vraiment plaisir.

Tandis que je reste en position, j'entends la porte du bureau s'ouvrir. Je me retourne rapidement tout en couvrant ma nudité avec mes mains du mieux que je peux.

- Ne bouge pas! Crie-t-il.

Je peux voir qu'il s'agit de quelques-uns de mes autres Maîtres. Je me retourne vers la fenêtre et j'appuie mes paumes sur le verre.

- Bon sang, elle s'en sortait plutôt bien, mais elle vient encore de désobéir. Tu veux la punir?

- Bien sûr! quelle est la punition?

C'est la voix de Maître Nick.

- Deux coups!

- Où?

Cette fois-ci, je ne reconnais pas la voix.

- Où tu veux!

- Ok. Nick , à toi le premier!

Ca y est, je reconnais Maître Clark.

- Avec plaisir!

J'entends juste le « swoosh ». Le coup est si fort que, pendant une seconde, je ne le sens pas, comme si mes nerfs ne réagissaient pas. Puis la douleur apparait. Je me retiens pour ne pas crier, j'essaie de reprendre mon souffle, mes mains pressant le verre.

Je sens des mains sur mon corps. On me retourne et on pousse mon cul brulant contre la vitre. Il s'agit bien de Maître Nick et Maître Clark. Ce dernier tient la canne maintenant, une tige mince et élastique en plastique transparent. Il attrape mon sein droit et le tord en le tirant vers le haut. Avec l'autre main, il frappe le dessous tendre.

- Merde! Crié-je.

Puis je me fige. Ils rigolent. Maître Clark tend la canne vers Maître Michael.

- Non, fais l'autre côté Clark! pour équilibrer!

Je ferme les yeux quand Maître Clark me pousse contre la vitre pour me forcer à rester immobile. Il caresse doucement mon sein gauche puis il pince mon téton si fort que des larmes me montent aux yeux. Si seulement ça pouvait lui faire oublier le coup de canne. Mais je serre les dents et les lèvres quand il frappe mon sein, je ne veux pas d'autres coups.

Avant que la douleur s'évanouisse complètement, Maître Clark saisit mes deux seins et enfonce ses doigts dedans. Une fois de plus, je sens que des larmes se forment et menacent de déborder et abimer mon maquillage. Il lâche juste avant que mon visage soit inondé. Puis il me pousse pour que je me mette à quatre pattes. Il descend sa braguette et fourre sa bite dans ma bouche.

Maître Michael a apparemment décidé qu'il voulait encore de mon cul car je le sens forcer mon petit trou à nouveau. Dieu merci, il utilise du lubrifiant car j'ai toujours mal de ce matin. Ils me baisent et jouissent quasiment en même temps. Puis Maître Nick m'ordonne de retourner contre la fenêtre. Il me pousse pour que j'ai les seins bien plaqués contre la vitre. Ensuite il enfonce ses doigts dans ma chatte jusqu'à ce qu'il sente que je mouille. Enfin, il me penche légèrement et me pénètre, mes mains toujours collées contre la paroi vitrée. Pendant qu'il me baise, j'entends mes collègues revenir de déjeuner. Je prie pour qu'ils n'ouvrent pas la porte. Finalement, Maître Nick se vide en moi et se retire, laissant couler le sperme sur ma jambe. Il me saisit par l'épaule pour m'agenouiller et il fourre sa bite dans ma bouche pour que je la nettoie.

- Je parie que tes collègues adoreraient voir quelle pute affamée de bites tu es. N'est-ce pas? Murmure-t-il.

Je crois que je mourrais de honte si ça arrivait.

- Est-ce que tu vas laisser le reste du bureau la baiser aussi? Demande-t-il à Maître Michael.

- Non, il faut que mon entreprise fonctionne efficacement.

Après cette réponse, il me jette une serviette pour que je me nettoie et il m'ordonne de m'habiller. Je remets mes vêtements maladroitement pendant qu'ils regardent. Le soutien-gorge me fait mal au niveau des zébrures sur mes seins laissées par la canne. Je regarde mon reflet dans la fenêtre et j'essaie de faire en sorte que mes cheveux soient coiffés et que l'on ne se doute pas que je viens d'être baisée. J'espère que personne ne sentira le sperme sur moi. Quand je semble présentable, nous sortons ensemble du bureau.

Maître Michael me demande d'aller chercher quelque chose à manger au distributeur et de lui apporter dans son bureau. Cette fois il ne me demande pas de me déshabiller pendant que je lui offre à genoux et tête baissée ce que je viens de ramener. Avant que je ne quitte le bureau, il m'ordonne de me pencher et de remonter ma jupe pour voir mes marques. Il me dit que je suis contusionnée. Je sens mes bleus quand il appuie dessus.

Je passe les heures suivantes à travailler avec des manuels et des fichiers informatiques. Vers 14h00 Maître Tom arrive en me disant qu'il a quelque chose pour moi. Il m'emmène dans la pièce de derrière et il me fait allonger sur mon bureau pendant qu'il relève ma jupe. Il mange ma chatte jusqu'à ce que je le supplie de me laisser jouir. Je m'étais assez bien débrouillés pour contrôler la venue de mon orgasme mais il a quand même rompu ma résistance. Avec horreur, j'ai commencé à jouir. Maître Tom se contente de rire et pousse sa bite dans mon vagin tandis que je me tortille sous la jouissance. Bientôt il ajoute son sperme à mon jus. Au moins, il ne décide pas de me punir pour ma désobéissance, je ne sais pas si je pourrais prendre un nouveau coup de canne et m'asseoir. Il se contente de sortir en laissant la porte entrouverte. Rapidement je me lève et me nettoie avant que quelqu'un ne me voit.

Vers 16h30, je reçois un appel où on me demande si je porte des sous-vêtements. Je reconnais la voix de Maître Oliver. Il commence à me raconter toutes les façons dont il a l'intention de m'enculer vendredi soir. Il fait une pause de temps en temps pour me permettre de dire :

- Oui Monsieur.

Quand il raccroche, ma chatte brule d'excitation autant que les brulures sur mes seins. Il est 17h05. Mes collègues sont partis en me souhaitant une bonne soirée. Je ne suis pas sûre du genre de soirée et de nuit que je vais passer. Je me demande encore, et surement pas pour la dernière fois, si m'abandonner à cet esclavage n'est pas la chose la plus stupide que je n'aie jamais faite.

Mais il y a une partie de moi qui aime cette situation. J'aime les humiliations, j'aime le danger d'être vue dans des situations compromettantes. J'aime l'autorité qu'ils m'imposent. Mais je déteste les punitions, je déteste la douleur, surtout celle de la canne. Mais j'aime le sentiment d'être propre et libérée ensuite. J'aime que l'on me dise des cochonneries au téléphone, même si ça m'oblige à pousser un Kleenex dans ma chatte pour éviter de mouiller ma jupe.

Lorsque nous repartons par l'ascenseur, Maître Michael m'oblige de nouveau à m'exposer. Cette fois il n'y a pas d'autres passagers alors il me doigte jusqu'à notre étage. Dès que nous avons passé la porte d'entrée il me demande de me déshabiller et de m'agenouiller pendant qu'il enlève ses chaussures et sa cravate. Il s'assied sur le canapé et m'appelle comme on appellerait un chien. Je rampe et je m'assieds entre ses pieds. Puis je lève les yeux vers lui.

- Bonne fille! Continue comme ça.

Je suis contente. Il me laisse me pencher et poser ma tête sur ses genoux. Il me caresse les cheveux.

A suivre...

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