dimanche 22 décembre 2019

Ecole privée Ch. 04

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

9 -- Méthodes d'enseignement.

Anne passa un moment sans dormir et surtout frustrée. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à ce qui se passait dans la chambre de Belinda en ce moment. Plus elle essayait de réprimer ces idées, plus les images de MAURICE au-dessus de la jolie rousse apparaissaient clairement, martelant sa chatte mouillée, la faisant haleter, gémir puis se mettre à hurler. Anne se força à retirer sa main de sa chatte dégoulinante.

Quand elle entendit des pas venir de la direction de l'aile des filles, près de deux heures s'étaient écoulées. Il avait dû la baiser plusieurs fois. C'était tellement humiliant. S'exciter en lui donnant une fessée et faire l'amour à cette fille. Anne fut surprise quand elle réalisa qu'elle était réellement furieuse que MAURICE ne l'ait pas baisée. Elle secoua la tête avec colère en essayant de dissiper cette pensée.

- Alors, as-tu été une gentille professeure?

MAURICE se tenait au-dessus d'elle en souriant. Elle était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne l'avait même pas entendu entrer.

- Moi je parie que tu as été une mauvaise fille. Montre-moi!

D'un coup sec, il retira les couvertures.

- Écarte les jambes salope!

A contrecœur, Anne ouvrit les jambes en sachant ce qu'il allait voir.

- C'est quoi cette grosse tâche humide sur le lit? Ta chatte dégouline. Tu n'as pas pu garder tes doigts en dehors de ta chatte n'est-ce pas?

- Non, non M. MAURICE, je ne l'ai pas fait. S'empressa-t-elle de nier.

Il attrapa sa main droite et la renifla, puis il la mit sous son nez.

- Ça pue toujours ta chatte, espèce de stupide salope. Tu t'es masturbée. Mais de la façon dont tes tétons sont encore bien dressés et bien durs, je suppose que tu n'as pas joui. N'est-ce pas salope?

- Non M. MAURICE, je n'ai pas joui. Lui assura rapidement Anne.

Mais elle ajouta :

- Puis-je jouir maintenant s'il vous plaît?

Bon sang, qu'est-ce qui lui avait fait dire ça? jusqu'à quel point pouvait-elle s'humilier en lui demandant la permission de se masturber pour jouir? Mais une autre voix en elle lui dit que peut-être que maintenant qu'il était satisfait d'avoir couché avec Belinda, il serait plus gentil avec elle. MAURICE baissa les yeux sur elle avec un sourire sardonique.

- Tu as joué avec ta chatte sans me demander la permission et maintenant tu veux jouir? je ne crois pas. Mais tu pourras le redemander quand tu seras plus obéissante. J'aime ce regard implorant dans tes yeux.

Anne était partagée entre frustration et soulagement de ne pas avoir à se masturber devant son bourreau.

- Mais je vois que je dois être un peu plus strict avec toi si je veux t'apprendre les bonnes manières. Désormais, plus de soutien-gorge et de culotte pour toi, ni ici, ni en classe. Compris?

Anne se mordit une énième fois les lèvres.

- Oui M. MAURICE.

-Et je pense que je dois m'assurer que tu gardes tes doigts en dehors de ton trou ce soir. Tourne-toi!

Il prit une écharpe bleue dans la petite armoire et lui attacha rapidement les mains et les pieds derrière le dos.

- C'est vilain de se masturber tu sais? Sourit-il en ouvrant la porte pour partir.

La position n'était pas trop inconfortable, mais l'assurance avec laquelle MAURICE faisait tout ce qu'il voulait avec elle était exaspérante. Anne finit par s'endormir en essayant en vain de serrer et desserrer les jambes pour se faire jouir.

Elle se réveilla en entendant quelqu'un fouiller dans ses affaires. Elle vit MAURICE fouiller dans la petite armoire de la chambre de service où elle gardait quelques affaires. Il jeta sur le lit une jupe courte et un haut noir. Puis il se tourna vers elle et la détacha.

- Ce sont tes vêtements pour aujourd'hui, salope! tu veux me supplier pour te masturber rapidement? Je pourrais peut-être te le permettre tu sais.

Il sourit avant d'ajouter :

- ou peut-être que non. Mais si tu ne supplies pas, tu ne le sauras jamais. Alors?

Avec effort, Anne secoua la tête.

- Non M. MAURICE. Se força-t-elle à dire.

Puis elle ajouta :

- Merci M. MAURICE.

- Comme tu veux salope. Je me demande combien de temps tu vas tenir. Et ce que tu seras prête à faire pour avoir un orgasme.

Il se retourna et partit. Anne essaya de sa calmer et s'habilla lentement. D'habitude, elle se levait un peu plus tôt et se dirigeait vers le vestiaire des professeurs dans le gymnase pour prendre une douche rapide. Mais elle n'avait pas le temps. Elle alla prendre son petit déjeuner puis partit pour son premier cours avec les premières années.

Au début, de savoir qu'elle était nue sous la jupe et le chemisier rendait sa concentration difficile. Maintes et maintes fois, elle dut se dire qu'à moins de s'asseoir à son bureau et d'écarter les jambes, les étudiants ne le sauraient pas. Mais à mesure que la matinée passa, elle s'habitua à cette sensation et oublia son état. Au cours du déjeuner avec le personnel, elle avait complètement oublié ses craintes et eut même une conversation animée avec Nicolas qui ressemblait à du flirt.

Lors de l'avant-dernier cours (un cours d'éducation physique), elle se rappela de sa situation quand certains élèves lorgnèrent ses seins qui rebondissaient sous son tee-shirt de sport pendant l'entraînement de basket-ball. Mais elle réussit à les ignorer. Se remettre dans ses vêtements de ville pour son dernier cours la retarda un peu. Les couloirs étaient déjà déserts quand elle se rendit du gymnase à sa classe principale. En sortant du vestiaire des professeurs, elle vit MAURICE appuyé sur le mur avec un grand sourire.

- Je vérifie juste que tu n'as pas oublié mes ordres, salope. Dit-il en désignant le sol devant lui.

- Vérifions si tes nichons sont libres comme ils devraient l'être.

Essayant de rester calme malgré le mélange de colère, de honte et d'excitation qui la traversait, Anne s'agenouilla et ouvrit son chemisier pour montrer ses seins nus. Il accrocha son doigt sous son menton pour la faire relever et il tendit la main pour remonter sa jupe et révéler sa chatte.

- Jusqu'ici tout va bien, salope. Mais il y a le problème que tu as porté un tee-shirt et un short pendant le cours de sport de tout à l'heure.

- Mais... mais M. MAURICE, je ne peux pas faire de cours de sport dans cette tenue. Haleta-t-elle.

- Tu aurais dû y penser avant et demander ma permission de te changer pour ce cours. La réprimanda-t-il.

Elle acquiesça. « Garde ton calme » se dit-elle silencieusement.

- Oui M. MAURICE, c'était une erreur. Puis-je porter un short et un tee-shirt pendant les cours de sport à l'avenir?

- Tu vois, ce n'est pas difficile n'est-ce pas? Demande simplement poliment. Oui tu peux. Après tout, je ne veux pas que tu sois arrêtée pour avoir été indécente. Si tu es renvoyée ou que tu vas en prison, je ne pourrais plus m'amuser avec toi. Alors je vais m'assurer que tu ne rencontres pas de problèmes.

- Oui Monsieur, merci Monsieur.

MAURICE sourit.

- Tu sais que ça sonne comme si tu le pensais vraiment. Et tu peux continuer à m'appeler simplement Monsieur, ça sonne bien. Je ne m'attends même pas à ce que tu demandes un châtiment. Mais tu devras te rattraper d'une manière ou une autre.

Il sortit un petit couteau de poche de son pantalon et, avant que Anne ne puisse dire quelque chose, il coupa les deux boutons du haut de son chemisier.

- Cela devrait aller. Maintenant viens, tu as un cours à donner.

Anne suivit automatiquement le garçon. Alors qu'ils se dirigeaient vers la salle, elle baissa la tête et eut le souffle coupé. Son chemisier était grand ouvert. C'est seulement si elle se tenait bien droite que ses tétons étaient recouverts par le tissu. Elle n'avait aucun moyen de cacher son décolleté. Tout mouvement brusque menaçait d'exposer complètement sa poitrine. Avant qu'elle ne puisse imaginer un moyen de sortir de cette situation, ils avaient atteint la salle de classe. MAURICE lui tint la porte galamment. Son cœur battait fort quand elle entra.

Ses étudiants furent ébahis mais aucune remarque ne fut faite. A sa grande surprise, le cours se passa bien. Il est sûr qu'elle avait l'attention de tous ses élèves, bien que leurs regards rencontraient rarement le sien, mais étaient dirigés plus bas. Même l'élève timide et en légère surcharge pondérale Thomas VIEILLE participa au cours. Les filles semblaient la regarder avec un mélange d'envie et de crainte. Elle remarqua que Belinda MACALPINE lui sourit à quelques reprises. Est-ce que MAURICE lui avait parlé de leur secret?

Vers la fin du cours, elle demanda à ses élèves de travailler par eux-mêmes, et elle se promena dans les rangs pour les aider. MAURICE leva la main, et quand elle s'approcha, montra un passage de son manuel et lui demanda d'expliquer. Quand elle se pencha pour lire le texte, elle entendit MAURICE murmurer à son oreille :

- Reste un instant comme ça, j'aime voir tes gros lolos pendre.

Anna regarda nerveusement autour d'elle, mais personne ne sembla s'être rendu compte de quelque chose. Elle fit semblant de lire le passage et de l'expliquer à MAURICE, tout en sachant que ses yeux étaient fixés sur ses seins nus. Elle soupira de soulagement quand il la laissa partir.

Plus tard, elle aidait Rose VATET, quand elle vit les yeux de la fille dériver. La jeune fille remarqua son air de désapprobation et son visage rougit.

- Je suis désolé Mme POISTOUT. Dit-elle avant d'ajouter :

- J'aimerai juste avoir d'aussi beaux seins. Et le courage de les montrer.

Anne se contenta d'acquiescer et retourna à son bureau, confuse. Les étudiants avaient semblé apprécier sa tenue sans être choqués. Et pour être honnête, elle avait aimé le compliment de Rose. Cependant, quand la sonnerie de fin des cours retentit, Anne était pressée de rentrer chez elle où personne ne regarderait ses seins. Elle s'attarda pour ranger ses papiers, en espérant qu'à son départ, les couloirs seraient vides.

- Vous êtes vraiment cool Madame.

Levant les yeux, elle vit Thomas VIEILLE debout devant elle. Elle rougit. Le jeune garçon se détourna rapidement, mais Anne put apercevoir l'énorme renflement dans son pantalon.

- Tu as fait une super impression à Thomas.

MAURICE avait laissé les autres partir. Il continua en souriant :

- Il va sûrement se branler en pensant à tes gros nichons. Tu les as bien montrés. Je suppose que ma méthode d'enseignement fonctionne pour une chienne comme toi. As-tu remarqué à quel point tout le monde a fait attention aujourd'hui. Peut-être que la prochaine fois, si tu as un cours très important, tu pourrais montrer ton cul. Tu pourrais même inventer une nouvelle méthode d'enseignement : la pédagogie des salopes.

Anne retint tous commentaires désagréables et suivit l'élève jusqu'à la porte puis elle rentra chez elle. Heureusement elle ne rencontra personne dans les couloirs. Mais en approchant de son chalet, elle vit Albert, le concierge, en train de couper des buissons. Elle essaya de se faufiler derrière lui, mais il leva les yeux et fixa ouvertement ses seins jusqu'à ce qu'elle l'ait dépassé. Du coin de l'œil, elle le vit faire un signe facile à comprendre : je te baiserai bien.

10 -- Des bites.

Après cet épisode, MAURICE la laissa tranquille pendant quelques jours, même si Anne se doutait que ce n'était pas fini. Elle rangea sa garde-robe, poussa ses sous-vêtements, culottes et soutien-gorges, tout au fond et choisit des vêtements qu'elle pourrait porter sans trop exposer de sa chair nue. Si MAURICE l'avait remarqué, il n'avait rien dit.

Quelques fois, quand ils se rencontraient dans une salle de classe vide ou dans des couloirs déserts, l'étudiant vérifiait ses seins et sa chatte. C'était superficiel et Anne commença à l'accepter comme si c'était normal. Elle remarqua qu'il s'abstenait de toute remarque quand des personnes étaient proches. Et même s'ils étaient ensemble, mais qu'il y avait un danger que quelqu'un approche. Cela rassura Anne d'une certaine façon et elle commença à lui faire confiance. Il ne se passa rien les deux semaines suivantes jusqu'au jour où elle dut prendre son service au dortoir.

- Bonjour Mme POISTOUT! Salua Thomas alors qu'elle entrait dans le couloir de l'aile des garçons.

Elle lui rendit son salut, mais remarqua que les yeux du garçon glissèrent le long de son corps et qu'un renflement se formait dans son pantalon. Depuis le jour où elle avait un grand décolleté dans sa classe, il était extrêmement sympathique, mais aussi visiblement excitée.

Elle parcourut les chambres pour annoncer sa présence et échangea quelques plaisanteries amicales avec les pensionnaires. Elle était toujours curieuse de savoir comment ils acceptaient la manière dont elle était habillée (ou plutôt déshabillée) l'autre jour.

Quand elle atteignit sa chambre, elle laissa tomber ses affaires et s'assit avec une certaine appréhension. Si MAURICE devait faire quelque chose, ce serait maintenant. Et malgré sa honte et sa résolution du contraire, elle envisageait de lui demander la permission de se masturber.

Quand il arriva une demi-heure plus tard, il entra sans frapper. Il ferma la porte derrière lui et attendit. Elle s'empressa de se lever de son bureau.

- Bonsoir M. MAURICE.

- Regarde ce qu'un peu d'entraînement peut faire faire à une chienne. Baisse ton pantalon et voyons ta chatte et ton cul. Dit-il sèchement.

D'après son ton, Anne sut que ça ne serait pas seulement une inspection. Immédiatement, elle laissa tomber son pantalon pour se trouver nue de la taille aux pieds. MAURICE sourit et s'assit. Il lui fit signe de se tourner lentement. Il la regarda jusqu'à ce qu'il soit rassasié, puis il lui ordonna d'enlever également son haut. Complètement nue, elle dut se tourner à nouveau.

- Excitée, salope? Demanda-t-il avec désinvolture.

Anne se battit avec le petit démon dans sa tête avant de répondre :

- Non M. MAURICE.

- Non? Étonnant! Je pensais que les salopes comme toi étaient constamment excitées, surtout après ne pas avoir été baisées depuis des semaines. Viens ici!

Il tapota ses genoux. Un élan d'excitation qu'elle réprima rapidement traversa le corps de Anne. Il voulait la baiser! Lentement elle se dirigea vers lui et s'assit sur ses genoux avec précaution. Sachant qu'il voudrait voir sa chatte, elle écarta les jambes.

- Waou, tu ne peux même pas garder les jambes serrées, n'est-ce pas salope? Je me demande comment tu as pu rester sans bites pendant des semaines avant de venir ici alors que tu écartes les jambes à chaque fois que tu as l'occasion. Ou alors tu m'as menti et tu t'es faite baiser?

- Non Monsieur.

Anna prit une profonde inspiration quand elle sentit sa main entre ses jambes. Elle alla droit vers sa chatte et frotta son clitoris rapidement. Elle haleta quand il enfonça son majeur au fond d'elle. Il ne montra aucune réaction, mais commença à la baiser avec son doigt. Elle fut mouillée en quelques secondes.

- Bon salope, je vais répéter ma question. Es-tu excitée?

Sa voix était toujours calme et désinvolte.

- Oui, oh oui Monsieur! Parvint-elle à dire entre les vagues de plaisir qui traversaient son corps.

Tout honte oubliée, elle ajouta :

- S'il vous plaît Monsieur, puis-je jouir?

Le doigt s'arrêta immédiatement. Il haussa les sourcils.

-- Tu veux jouir salope? Tu crois que tu mérites déjà de jouir?

Il sembla réfléchir.

- Eh bien, étant donné que je me prépare à passer une nouvelle bonne session de baise avec Belinda, je me demande pourquoi elle et moi devrions être les seuls à jouir hein?

Le cœur d'Anne fit un bond. Il allait la laisser jouir.

- Alors je vais te donner la chance de gagner un orgasme. Veux-tu travailler pour cela?

Quand Anne hésita, le doigt se remit à remuer dans sa chatte et il titilla son clitoris.

- Oui, oui Monsieur, je veux travailler pour ça. Cria-t-elle presque.

Il répondit en souriant :

- Bonne chienne. Ouvre ma braguette et sors ma queue!

L'enseignante le regarda. Il avait dit qu'il allait baiser Belinda et maintenant il la voulait elle? Elle était presque fière. A la hâte, elle baissa sa braguette et, en faisant attention de ne pas le blesser, elle sortit sa queue à moitié dressée. Elle attendit sans savoir si elle devait monter sur lui tout de suite.

- Maintenant, descends de mes genoux et branle moi avec tes gros pis, lentement et doucement.

Elle se pencha sur lui, le cul en l'air et appuya ses seins contre sa queue. Elle essaya maladroitement de les serrer l'un contre l'autre et commença à bouger sa poitrine contre sa queue. Elle le sentit durcir immédiatement et remarqua de l'humidité sur sa peau. Comme il avait ordonné, elle déplaça lentement ses seins sur son membre. Ce mouvement provoqua le frottement de sa peau sur le tissu du jean. Elle eut la même sensation que quand elle jouait avec ses seins. Sa queue était très dure maintenant et elle remarqua que son souffle s'accélérait. À tout moment, il lui ordonnerait de monter sur lui, ou alors il la repousserait et se coucherait sur elle. Elle se fichait de ce qu'il ferait, elle ne pouvait que penser à son gros membre entrant dans sa chatte bien humide. Mais il dit :

- Ok, ça suffit. Maintenant, lâche-moi. Belinda va profiter d'une baise bien dure ce soir.

Il la repoussa sans ménagement. Elle finit agenouillée sur le sol. Elle le regarda incrédule.

- Mais M. MAURICE...

Sa voix s'éteignit. Le garçon sourit.

- Tu ne pensais pas qu'en réalité je laisserai la délicieuse petite chatte de Belinda pour baiser ton trou gluant n'est-ce pas? Mais tu vas encore avoir une chance de gagner un orgasme.

Il replaça sa bite dure dans son pantalon et se dirigea vers la porte. Mais avant de sortir il dit :

- Habille-toi et vas dans les toilettes des filles. Entre dans la deuxième cabine et déshabille-toi. Le reste sera évident pour toi, j'en suis sûr.

Il ferma la porte derrière lui. Un instant, Anne réfléchit sur ce qu'elle devait faire, mais elle était maintenant tellement excitée qu'elle ne pouvait pas résister. Elle enfila ses vêtements et quitta sa chambre. Dans le couloir, elle rencontra quelques étudiants, mais elle leur fit seulement un signe discret de la main. Quand elle atteignit les toilettes des filles, elle se précipita dans la cabine indiquée et verrouilla la porte. C'est seulement à ce moment-là qu'elle prit une profonde inspiration pour se vider l'esprit. Que voulait exactement MAURICE? elle se rendit compte qu'elle n'avait même pas vérifié si les autres cabines étaient inoccupées. Elle se faufila pour s'en assurer. Heureusement elle était seule. Se rappelant les ordres de son élève, elle se déshabilla. C'était humiliant d'être debout, nue dans des toilettes publiques pas très propres. Ne sachant que faire d'autre et se demandant pourquoi il voulait qu'elle soit là, elle s'assit sur la cuvette. Allait-il venir et vérifier? Ou envoyer Belinda?

Elle entendit la porte s'ouvrir. Des pas lents et hésitants s'approchèrent. Son cœur s'arrêta presque de battre quand la personne entra dans la cabine voisine de la sienne. Elle essaya de respirer le plus silencieusement possible. Le son d'une fermeture éclair ainsi que le son d'un pantalon tombant lui sembla très forts. Elle resta assise silencieusement et attendit. Il y eut du mouvement et ses yeux suivirent le son. Elle remarqua alors un trou dans la cloison. Non, ça ne peut pas être...


Juste au moment où elle a l'idée, une bite apparaît dans le trou et est lentement poussée à travers. Anne commença à paniquer, mais se força à se calmer. C'était évident maintenant ce que MAURICE avait voulu dire avec « Le reste sera évident pour toi, j'en suis sûr ». Elle ne resta indécise que quelques secondes, elle avait tellement envie de jouir. Ses yeux montèrent au plafond. Il y avait quelques trous et tâches, elle se dit qu'il pouvait y avoir une caméra cachée. Lentement, mais avec un nœud dans l'estomac, elle attrapa la queue. Lorsqu'elle la toucha, elle entendit un souffle de l'autre côté de la cloison. Instantanément la bite gonfla dans sa main. Après deux ou trois caresses, elle se tint devant elle, dure et fière. Lentement, elle l'entoura avec sa main et commença à la branler. Les gémissements dans l'autre cabine augmentèrent et elle sentit la queue être encore plus avancée. Elle prit un rythme régulier, branlant doucement le membre pour exciter l'homme d'à côté et ainsi gagner son propre orgasme.

Mais l'homme dans la cabine d'à côté devait être surexcité. Cela faisait à peine quelques minutes qu'elle jouait avec sa bite, qu'elle entendit un gémissement étranglé de l'autre côté et des gros filaments de sperme giclèrent droit sur son visage. Elle voulait écarter la tête mais son esprit la maintint en place pendant qu'elle continuait à masturber l'homme. Du sperme jaillit jusqu'à ce que son visage soit presque entièrement couvert.

Quand l'homme cessa de gémir, il y eut un temps d'indécision, puis la queue se retira. Anne entendit que l'homme remontait son pantalon et sa fermeture éclair. Avant même qu'elle réagisse, il avait quitté la cabine et se dirigeait vers la sortie des toilettes. La porte claqua. Anne ne bougea pas, nue dans des toilettes, la figure couverte du sperme d'un inconnu. Elle respirait fort. Et maintenant? Devait-elle attendre? Elle s'était attendue que l'homme lui dise de se masturber ou de s'empaler sur sa queue. Tandis qu'elle réfléchissait, la porte s'ouvrit à nouveau et elle entendit le bruit de deux pas s'approcher rapidement. Les deux personnes se dirigèrent vers deux autres box et Anne les entendit uriner. Elle essaya de ne faire aucun bruit et espéra que les filles partent rapidement. Mais quand elles eurent fini et se soient lavés les mains, elle entendit Rose demander :

- Hé qui est dans cette cabine? C'est toi Belinda? Est-ce que ça va?

La panique frappa l'enseignante. Elles savaient que quelqu'un était à l'intérieur et si elle ne répondait pas, elles regarderaient par-dessus la cloison pour s'assurer que l'occupant va bien.

- C'est moi Rose, je vais bien. Dit-elle.

- Oh désolé Mme POISTOUT. Mais c'est bien que nous vous rencontrions. Nous voulions vous demander quelque chose au sujet du devoir que vous nous avez confié. Nous vous attendons.

Que pouvait-elle faire? Elle pouvait s'habiller rapidement mais elle ne pouvait pas laver le sperme, à moins que... Elle leva la main et commença avec hésitation à lécher le sperme de l'étranger. Le goût lui envoya un frisson à travers tout le corps. Et soudain, elle fut impatiente de récupérer le reste. Elle essuya son visage avec ses doigts mouillés encore et encore. Et elle suça chaque goutte de sperme. Lorsqu'elle ne sentit plus aucun résidu collant sur sa peau, elle sauta dans ses vêtements et ouvrit la cabine.

Rose et Lydie CAROUSEL étaient appuyées contre les lavabos.

- Désolé d'avoir appelé, mais c'était tellement calme que nous pensions que peut-être quelqu'un avait eu un malaise.

Rose semblait un peu contrite. Anne lui sourit en se lavant les mains. Elle aurait aimé se laver le visage mais cela aurait paru bizarre.

- Pas de problème. C'est bien que vous fassiez attention à ces choses là et que vous vous entraidiez. Sinon, qu'est-ce que vous vouliez me demander?

Elles sortirent des toilettes et allèrent dans la chambre de Lydie où il y avait sa colocataire, Katia ANNIEL. Celle-ci regarda la professeure avec surprise. Les autres filles expliquèrent à Anne le problème qu'elles n'arrivaient pas à résoudre. Anne essaya de les aider. Katia continuait de la regarder et reniflait. Anne essaya de partir sans paraître impolie. Elle dit au revoir et repartit dans sa chambre. Quand elle se regarda dans son miroir, elle vit un épais filet de sperme coincé dans ses cheveux.


A suivre...

La déchéance de ma mère Ch. 03

La déchéance de ma mère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le concierge et son fils humilie ma mère.

Nous arrivons devant la loge du gardien et nous entrons. José, le gardien, vient aussitôt vers nous. Il a une cinquantaine d'années, un ventre de buveur de bière et une allure négligé. Ma mère ne l'aime pas. Elle le soupçonne de mater les femmes et les jeunes filles de l'immeuble. Son fils, Bruno, la vingtaine, surgit à son tour. Ils dévisagent maman avidement avec un regard pervers. Ils matent ses seins sans vergogne.

« Mme B, lança José goguenard, je ne vous croyais pas si salope!

‒ Une vraie chienne, renchérit aussitôt Momo, on vient de la baiser! »

José s'approcha de maman et lui palpa les seins, les soupesant et les relâchant. Lui tordant les pointes.

« Depuis le temps que tu m'excites avec tes airs de bourgeoise coincée, je vais enfin pouvoir te défoncer. Attends un peu...! »

Il alla chercher un sac et son fils rigola...

« Papa ramène son matériel, lança-t-il à l'attention des autres. Il a tout ce qu'il faut, Mme B ne fait pas parti de ses « clientes », mais il en a deux de l'immeuble qu'il baise régulièrement.

‒ J'adore humilier les bourgeoises dans son genre, je les fais gueuler avec mes outils...! »

José sourit et expliqua qu'il exerçait un chantage sur la fille du médecin.

Je sursautai. Je voyais bien de qui il s'agissait, c'était Aurore, qui avait 19 ans, comme moi. Une jolie blonde.

Il sortit de son sac, une paire de menottes, un gode aux dimensions monstrueuses, un collier en cuir et une laisse, ainsi qu'un bâillon. Il s'approcha de maman qui, terrorisée, voulu fuir. Elle courut maladroitement sur ses talons aiguilles, mais fut vite rattrapée par Momo et ses sbires. Le concierge ramena ses bras dans le dos et la menotta. Il lui enfonça le bâillon qui était composé d'une boule en latex que l'on attachait derrière la tête avec une lanière. La mâchoire de ma mère était complètement déformée et ses cris se transformaient en gargouillements. Il attacha le collier autour du cou et y fixa la laisse.

« Allez! À genoux, chienne! »

Tirant sur la laisse, il contraignit maman à se mettre à quatre pattes et lui fit faire le tour de son appartement sous les rires des autres. Le fiston alla fouiller dans le sac et tendit une cravache à son père. José asséna quelques coups de cravache sur les fesses de maman qui rougirent aussitôt. J'entendis les gémissements étouffés de ma pauvre mère. Il dirigea maman vers son canapé et la força à se coucher sur l'accoudoir du canapé, exhibant ainsi son cul à tous les autres. De nouveau, il lui fouetta le cul. Sylviane criait sous son bâillon. Puis, il plongea ses doigts dans la fente de maman.

« Viens-voir, fiston, elle est trempée! »

Bruno se précipita et remplaça son père, fouillant la chatte de ma mère sans ménagement. Il me regarda tout en branlant ma mère.

« T'as déjà goûté a ta chienne de mère, y parait?

‒ Il la même enculée, tout à l'heure! », renchérit Farida.

José prit le gode et l'enfonça dans la chatte de maman qui poussa un gémissement. Il était vraiment énorme. Il le fit coulisser rapidement. Les yeux exorbités, Maman grognait dans son bâillon. De la bave coulait sur la boule. Pendant ce temps-là, Bruno malaxait les seins de ma mère. José agitait le gode de plus en plus vite faisant couiner ma mère. Elle ondule du bassin, les yeux révulsées. Le concierge continua jusqu'à ce qu'elle eut un orgasme qui la laissa pantelante...

« On va l'amener à la cave! »

***********

Nous sommes sortis dans le hall, maman toujours bâillonnée et menottée. Les seins à l'air. Elle fut traînée vers les caves de l'immeuble. Elle descendit les escaliers tenus en laisse par le gardien. Nous arrivons dans un couloir sombre et il se dirige vers sa cave. Il ouvre la porte et nous rentrons. Sa cave est assez grande et elle est surtout aménagée pour des séances BDSM. Il y a des chaînes, des lanières, une croix de Saint-André et un anneau fixé au plafond.

José détacha maman et fixa les menottes à l'anneau du plafond. Elle se retrouva les bras relevés, en équilibre sur la pointe de ses talons aiguilles. Avec un regard lubrique, le concierge prit un vibromasseur qu'il posa sur le clitoris de ma pauvre mère qui gigote dans ses liens. Elle gémit sourdement derrière son bâillon. Le petit ronronnement électrique du vibromasseur emplit la pièce. De nouveau, elle ondule du bassin, elle secoue la tête dans tous les sens, cela dura de longues minutes, le concierge s'amusant a retirer le vibro des qu'il sentait que maman allait jouir pour le remettre aussitôt après...Maman eut soudain un orgasme qui l'aurait fait tomber si elle n'avait pas été attaché... José se présenta derrière elle et il la pénétra sauvagement la tenant aux hanches. Son fils se mit devant et il lui suça les seins. José pilonnait ma mère qui couinait derrière son bâillon. Elle est en sueur, les cheveux défaits, le visage ravagé.

Ce fut une véritable orgie. José défonçait maman comme une brute. Il se retira et l'encula brutalement. Bruno en profita pour introduire sa bite dans la fente de ma mère. Ma pauvre maman était défoncée par le père et le fils qui alternaient leurs coups de reins. Ils ne tardèrent pas à jouir éclaboussant de leurs spermes le cul de maman.

Le concierge se retira encore raide et lança la cantonade :

« Quelqu'un en veut encore de la bourgeoise? »

Ce fut la curée...

On se précipita sur maman totalement impuissante. Livrée à ces pervers. On lui palpa les seins, des doigts s'introduisirent dans sa chatte. On lui titilla le clitoris de longues minutes jusqu'à ce qu'elle jouisse en grognant. On lui enfonça index et majeur dans son anus. On la pénétra par tous les orifices, elle dut subir des doubles pénétrations voire des triples.... Son corps est secoué comme un prunier par les coups de reins de ses tourmenteurs. On la défonçait avec vigueur. On lui fouettait le cul et les seins. José la détacha et maman s'affala sur le sol. Ses bas étaient en lambeaux.

Ils se réunirent tous autour d'elle et ils se masturbèrent. Certains éjaculèrent sur elle, l'aspergeant de foutre. Elle en eut sur les fesses, les seins, les cheveux. D'autres lui urinèrent sur le visage malgré mes protestations et les supplications de ma mère. L'urine coula sur ses lèvres et son menton. On l'obligea même à ouvrir la bouche et Momo lui pissa dedans, la traitant de « pissotière ». Ma pauvre maman était anéantie sur le sol, recouverte de sperme et d'urine.

***********


Nous sommes remontés de la cave et Momo et ses complices nous ordonnèrent de remonter chez nous. Il nous rappela, néanmoins, que demain, pendant que je serai au lycée, ils viendraient chercher Sylviane pour l'emmener dans le sex-shop. Il fut aussi convenu avec le gardien et son fils que très bientôt une « fête » serait organisé avec Sylviane ....Momo a assuré qu'il viendrait avec du renfort. Cela ferait un super film...

A suivre...


Brian est en Irak Ch. 06

Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

l'asservissement de Kim se poursuit, fin du calvaire.

Tout le jeudi je préoccupais d'une manière ou d'une autre du chemin ma vie avait emprunté de façon brutale.

Je ne pouvais rien y faire.

Puis en rentrant chez moi, je pensais à mes deux gentils voisins me demandant s'ils allaient vouloir de moi ce soir.

Je tentais d'éviter de penser au pénible weekend qui m'attendait, j'étais terrifiée de le voir arriver si vite.

Dès rentrée je me servis à boire, je grignotais des tranches de pizza froide que j'avais gardée de la veille tout en sirotant une large rasade de rhum.

Puis alors que j'allais me rendre dans ma chambre pour changer de tenue, on frappa à ma porte, je retournais dans le hall pour ouvrir la porte sur Nick.

Il me dit :

- Je me suis juste arrêté un instant... J'ai discuté avec Bill et nous avons décidé de te prendre dans ton appart... Bill t'avait baisé en premier hier soir lorsque je t'ai brouté le minou, je veux passer en premier ce soir ainsi je pourrais savourer le véritable goût de ta chagatte!

Je lui répondis :

- J'étais juste sur le point de prendre un bain, je viens tout juste de rentrer après ma journée de travail, tu peux comprendre cela!

Il grimaça et répliqua :

- Je ne crois pas que tu travailles si dur que ça, allons dans ta chambre.

Je rentrais avec lui dans ma chambre et repoussais les couvertures au pied du lit.

Il s'assit sur mon lit et me regarda me déshabiller avec attention, puis il se déshabilla à son tour et vint me rejoindre dans le lit.

Il entreprit de me rouler des patins et de me peloter gentiment, et tout comme avec Bill la veille au soir cela me plût beaucoup.

Je ne me sentais pas contrainte et bien que j'aurai aimé qu'il me laisse me nettoyer auparavant.

Je ne sais pas pourquoi.

Pourquoi voulais-je être propre pour cet homme qui me faisait chanter pour copuler avec moi!

Je me sentis déstabilisée lorsqu'il commença à m'embrasser la foufoune, il se redressa me sourit et commenta :

- Exactement ce que je pensais, une chatte de première compétition, elle a le même parfum que les fleurs du parc!

Puis entreprit de me bouffer le gazon, j'étais incapable de résister à ce traitement enivrant, exactement comme la nuit dernière.

Je m'arc-boutais pressant ma chagatte contre son visage et je jouis intensément sous les ensorcelantes caresses de sa langue.

Je continuais à jouir lorsqu'il cessa son manège, se redressa et fourra sa grosse queue dans ma chatoune embrasée.

Je rebondissais d'orgasme en orgasme avant que lui-même ne jouisse, ce qui ne prit pas très longtemps.

Lorsqu'il eut joui, il s'immobilisa au-dessus de moi en appui sur ses bras et ses genoux de façon à ce que seuls nos pubis et nos jambes se touchent.

La tête tirée en arrière, il avait les yeux clos, nous sommes tus pendant une bonne minute puis il s'esclaffa.

- Mon Dieu que tu es chaude!

Il ouvrit ses yeux en grand baissa son regard sur moi et commenta :

- Quand Bill m'a montré tes photos et me suggéra qu'on pourrait, peut-être se régaler de ton succulent petit cul, je pensais qu'après tous les gars qui t'avaient sautés, je ne serai sûrement pas le plus miteux! .... Tu as vraiment une chatte sensationnelle! Et ce n'est pas pour te flatter!

J'en riais presque, bien sur le compliment était gros, mais cela me rendait de l'assurance, de la confiance en mes charmes.

J'étais vraiment effondrée après le dernier weekend, angoissée d'avoir ma chatoune définitivement distendue par les énormes bites que j'avais endurées.

Il y avait peut être encore de l'espoir pour moi!

Nick se leva et entreprit de se rhabiller, il me dit :

- Tu ferais aussi bien de rester ici, laisse ta porte entrouverte, Bill ne va pas tarder!

Je me relevais et acquiesçais :

- D'accord, mais je dois d'abord me rendre dans la salle de bain.

Je gagnais la salle de bain et laissais s'écouler le trop plein de foutre qui engorgeait ma cramouille.

Je me nettoyais la fentine avec un gant de toilette humide, lorsque je retournais dans ma chambre, Nick était parti.

Je m'assis au bord du lit deux minutes plus tard Bill se pointait.

Il se déshabillait déjà en entrant dans la chambre, il empila ses vêtements sur la chaise la plus proche du lit puis s'assit et me dit :

- J'ai adoré ta façon de sucer ma bite, veux-tu bien recommencer ma douce!

Je me postais entre ses cuisses et pris facilement son chibre dans ma bouche.

Elle me rappelait ces énormes bites que j'avais été obligée de sucer quand j'étais garrottée au club photo.

Je pense que c'est le contraste en leurs attitudes qui me frappaient.

Après une telle nuit, sucer une bite de taille normale me semblait si facile.

Cela dura un peu plus longtemps que la veille au soir, mais pas beaucoup en fait.

Une fois que j'eus savouré sa semence il se laissa tomber à plat dos sur le lit et je gardais sa bite en bouche jusqu'à ce qu'elle fut molle.

J'écartais ses cuisses et j'entrepris de lui mignoter les burnes, quelques minutes plus tard, sa bite frémit de nouveau, je le repris en bouche lui rendant alors toute sa vigueur!

Il se redressa et m'allongea sur le lit, un instant plus tard il m'enfourchait et guidait sa bite raidie dans ma chatoune détrempée.

Il ma labourait bien plus lentement que la veille, je le sentais bien, je savais que je ne jouirai pas tout de suite, pas en adoptant ce rythme, pas sans préliminaires.

J'aurai voulu le chevaucher pour l'étreindre entre mes bras et régler un rythme de chevauchée plus rapide et plus ample qu'il jouisse rapidement.

Je le tenais étroitement serré, ce n'est que lorsqu'il eut joui que je relâchais mon étreinte le laissant rouler sur le flanc.

Il demeura étendu à mon coté quelques instants, reprenant son souffle puis il se redressa et s'assit sur le rebord du lit.

Finalement il se releva et se rhabilla.

Il baissa les yeux sur mon corps en sueur alors qu'il s'habillait et, après un long silence il constata :

- Je sais que je devrais me senti coupable... Je ne suis pas quelqu'un de mauvais! .... Je n'ai jamais fait chanter qui que ce soit! ..... Mais tu es si bandante! ..... Je te désire depuis la première fois que je t'ai vue! .... Tu es la plus jolie femme que j'ai jamais vue! .... Je suis désolé de t'avoir fait violence, mais je n'ai pas pu m'empêcher de te posséder!

Je ne savais pas quoi lui répondre, il me complimentait bien sur, mais je ne pouvais tout de même pas lui dire qu'il avait eu raison de me faire chanter pour m'obliger à coucher avec lui, d'autant plus que cela risquait de durer les 9 mois à venir avant le retour de mon mari et qu'il ne nous tue tous les trois!

Une fois qu'il m'eut laissée, je pris une douche, j'étais trop fatiguée pour prendre un bain, je n'avais qu'une envie me coucher et dormir!

J'étais tout aussi distraite le lendemain à mon boulot. Cela empira encore lorsqu'au retour de mon repas de midi je trouvais un paquet sur mon bureau.

Je m'assis et braquais mes yeux sur ce colis.

Il était entouré de papier kraft, il n'y avait aucune indication de sa provenance.

J'avais peur de savoir ce qu'il contenait.

Je ne savais pas comment il avait pu dénicher l'adresse de mon lieu de travail, mais j'étais terrifiée à l'idée qu'il l'ait trouvée et m'ait laissé ce paquet cadeau.

J'ouvris un tiroir de mon bureau et me préparais à le ranger dedans.

Je le posais dans le tiroir et entrepris de le refermer mais n'y parvins pas.

Il fallait que je sache.

Je le posais à nouveau sur mon bureau et coupais la ficelle qui le tenait fermé, je jetais un coup d'œil circulaire pour vérifier que personne ne me prêtait attention, et je le déballais.

Comme je le craignais, c'était un envoi de Tom.

Le paquet contenait une boite que j'ouvris suffisamment pour voir ce dont il s'agissait, il était écrit sur le couvercle "Esclave sexuelle" en grosses lettres noires.

J'étais sur le point de m'évanouir, je me rassis lourdement, pris une forte respiration et me forçais à calmer les battements désordonnés de mon cœur.

Je jetais un œil cherchant à voir ce qui se cachait sous le couvercle, c'était un nouveau pagne style bordel.

Il était encore pire que ceux que j'avais déjà été obligée de porter.

Des petits pans de tissu ronds étaient sensés cacher mes appâts, même debout sans bouger, je paraîtrai nue lorsque je les porterai.

J'allais refermer la boite lorsque je vis quelque chose d'autre sous la minuscule jupe.

C'était une minuscule pièce d'étoffe. C'était un Thong, j'en avais jamais porté bien que j'en aie déjà entendu parler.

C'était presque un string, sauf qu'aucun tissu ne cacherait mon pubis, je trouvais alors un court message.

J'entendis quelqu'un descendre le hall dans ma direction, je saisis le message et rangeais prestement le paquet dans mon tiroir.

L'homme qui descendait le hall tourna avant d'arriver à mon box et je respirais profondément à plusieurs reprises avant de pouvoir lire le message de Tom.

Il me rappelait seulement d'être chez lui le lendemain matin à dix heures.

Je devais porter les vêtements qu'il m'envoyait ainsi que hauts talons les plus hauts.

Je rangeais son message dans mon sac à main repris le colis et le refermait.

Puis je jetais un œil sur l'horloge murale, je pourrai sortir dans une heure.

Je m'assis derrière mon bureau, je tremblais comme une feuille les yeux rivés à l'horloge.

Lorsqu'enfin la fin du boulot sonna, hébétée, je rejoignis ma voiture j'essayais de me souvenir s'il me restait du rhum à la maison.

Je ne parvenais pas à réfléchir clairement.

Aussi me suis-je arrêtée en chemin pour acheter une bouteille de rhum au cas où, je ne pensais pas que ce serait superflu.

Je rentrais chez moi et me servis tout de suite un rhum coca, c'est à cet instant qu'on frappa à ma porte.

- Eh merde! M'exclamais-je avec nervosité.

J'ouvris la porte et fis entrer Bill.

Il me reluqua de la tête aux pieds se rendant compte de mon extrême nervosité et me demanda :

- Que t'arrive-t-il de moche pour que tu affiches cet air angoissé!

Je terminais de préparer mon cocktail dont je bus une grosse lampée et lui tendais le message lui désignant le colis posé sur le plan de travail.

Il lut la courte note puis après m'avoir lancé un regard inquisiteur il ouvrit le paquet et en sortit les 3 pièces de vêture.

Il voulait me montrer sa compréhension mais ne pouvait s'empêcher de bander comme un cerf, saleté d'homme!

Il déplorait ma situation, mais il ne pouvait s'empêcher de tirer avantage de cette situation.

Il empoigna mon paquet et mon verre de rhum et me poussa dans ma chambre, il posa alors le verre sur ma table de nuit et m'enjoignit :

- Essaye ta tenue que je vois ce que ça donne!

- Salaud de trou du cul Pensais-je furieuse.

Puis, je me déshabillais entièrement et enfilais le microscopique thong, avec sa minuscule pièce de tissu transparent qui ne me couvrait qu'à peine la fente.

Elle mesurait environ 5 cm de long et moins d'un cm de large! Je réalisais que je devrais me raser la toison avant de le mettre.

J'enfilais ensuite la minuscule jupe, l'avant commençait au haut de mes hanches et les décrivait un demi-cercle, je devais descendre la taille bien au-dessous de mon nombril si je voulais qu'elle couvre un tant soi peu mon intimité.

L'arrière était encore plus court et coupait en deux mon fessier.

Elle ne mesurait pas plus de 8 cm dans le dos, et, lorsque je me tournais vers mon miroir je vis que même poussée au plus bas elle montrait au moins 5 cm de ma croupe.

Puis j'enfilais, le haut miniature, il était aussi riquiqui que le reste, il ne servait qu'à mettre mes nibards en évidence.

Mes tétons étaient voilés tant que je ne bougeais pas, mais dès que je faisais un mouvement!

Je doute que même des putes acceptent de porter une tenue aussi dégradante!

Je m'assis sur le lit et la tête entre mes deux mains je pleurais tout mon saoul.

Bill pouvait bien se sentait fort gêné pour moi, mais pas assez cependant pour ne pas contempler ma chatoune exhibée largement, il me dit :

- Je dois admettre que tu parais vachement chaude! .... Bordel!

Il saisit le téléphone à la tête de mon lit et appela Nick, lui disant de venir nous rejoindre sur-le-champ, il fallait qu'il voie quelque chose.

Lorsqu'il eut reposé le combiné je le regardais dans les yeux et le remerciais ironiquement! :

- Merci, grand merci pour ton aide! .....

Il sourit et haussa les épaules.

Nick arriva sur ces entrefaites.

Il me fit lever et parader dans ma nouvelle tenue, puis ils se mirent tous deux à poil.

J'enlevais ma légère tenue et me disposais selon leurs vœux à quatre pattes sur le lit ils me prirent alors à deux en même temps tout comme sur les photos qu'ils venaient de voir.

Ils jouirent tous deux rapidement et commutèrent leurs places tout aussi prestement.

Heureusement le tout ne dura guère plus d'un quart d'heure et ils me quittèrent ravis commentant avec enthousiasme ma nouvelle tenue.

Je les entendais plaisanter projetant que les prochaines photos seraient vraiment excitantes.

Quels bâtards!

Je vidais mon verre et pris une douche, puis je regagnais la cuisine et me préparais un autre verre.

Je n'avais pas vraiment faim, je suivais un sévère régime à base de foutre depuis peu.

Je décidais de me préparer un sandwich au thon que je mangeais sur le plan de travail de la cuisine avant de regagner ma chambre en emportant le reste de mon verre.

Je m'assis sur le lit et regardais fixement la nouvelle tenue que j'avais posée sur ma desserte.

Je sirotais mon verre me demandant ce que le proche avenir me réservait, je commençais à penser que les choses ne pouvaient plus empirer!

Ces bâtards du studio photo avaient posté mes photos sur internet et y déposeraient bientôt l'horrible film de mes performances qu'ils avaient tourné.

Des gens de ma connaissance risquaient de tomber sur ces images et ce film.

Pourquoi, dans ces conditions, ne pas dire à Tom d'aller se faire foutre?

Je ne pouvais cependant pas aller plus loin que le penser.

Ce que Brian penserait s'il découvrait ces images suffisait à me retenir, je savais pertinemment qu'en cas de révolte ce bâtard de Tom lui enverrait inévitablement les photos et films à sa disposition. Je n'avais aucun doute à ce sujet!

Je savais aussi que mon père ferait sûrement une attaque s'il venait à les voir, je ne sais pas si je perdrai mon boulot dans l'aventure, mais le contraire m'étonnerait.

Je devais retourner là où j'avais été piégée!

Le lendemain matin je me levais tôt et enfilais ma nouvelle tenue, je jetais un œil à l'extérieur, à ma grande consternation le parc grouillait de monde ce samedi matin.

Beaucoup de gens, beaucoup d'enfants se baladaient pour jouir du soleil matinal, je savais que j'allais sacrément les perturber en descendant aussi peu vêtue, j'attendais jusqu'au dernier moment puis je sortis et me ruais sur ma voiture.

Les chalands se figèrent me toisant yeux grands écarquillés, exactement comme je m'y attendais, mais je parvins à rejoindre ma voiture sans aucun problème.

A la vue de l'expression choquée des mères de famille je savais déjà qu'il y aurait sans doute des répercussions.

Je gagnais l'appartement de Tom et frappais à sa porte.

Les trois mecs habituels se trouvaient là, je suppose que Harry et John ne faisaient pas vraiment partie de la bande.

Dès que j'entrais, ils détaillèrent ma nouvelle tenue et me complimentèrent sur ma chatte rasée.

Puis, je taillais tout de suite une pipe à chacun d'eux.

Lorsqu'ils se furent tous trois vidés les couilles dans ma gorge, Tom me dit que nous allions passer la matinée et le début d'après-midi comme la semaine dernière.

Nous allions à la piscine où je devrais accueillir tous les amateurs de mes charmes.

Il me dit qu'il avait réalisé que 15 minutes dans les appartements c'était trop peu et qu'il allait faire la part des choses, il faudrait que je m'adapte aux vœux de mes "amis»

Il me tendit un flacon de lotion solaire et une canette de bière me disant :

- Tu vas te comporter comme la dernière fois, tu te rappelles bien des règles? .....

Je hochais la tête et ils gagnèrent la porte.

Je criais :

- Attendez! ..... Où est mon maillot de bikini? ....

Tom me sourit et répliqua :

- Aujourd'hui tu enlèves ta jupe et tu gardes ton cache-sexe comme maillot... Rappelle-toi si tu ne fais pas baiser par des mecs à chaque demi-heure, on se chargera de te dresser le cuir et maintenant magne-toi le cul! ....

Pendant une bonne minute j'en eus la respiration coupée.

Je me forçais à respirer profondément puis, je replaçais le haut du bikini sur ma poitrine.

Je luttais contre les larmes alors que je sortais de l'appartement en parcourant du regard la piscine.

La foule était nombreuse et je reconnus plusieurs gars qui m'avaient baisé la dernière fois.

Les étudiants étaient là et ils s'excitaient comme des poux en me voyant arriver.

Je vis aussi le vieux gentleman qui s'était intéressé à ma situation mais m'avait baisée malgré tout, et les deux jeunes noirs qui m'avaient pris en sandwich.

Je ne parvenais à regarder personne alors que je déboutonnais ma jupe et la jetais sous mon siège.

J'entendais mes voisins murmurer d'une voix étouffée :

- Oh mon dieu!

Et les femmes d'ajouter :

- Regardez cette salope!

C'était dit à voix à peine intelligible.

Même si au son de leurs voix je ne comprenais pas tout ce qui se disaient je comprenais parfaitement ce qu'ils pensaient.

Je m'assis et but une large lampée de bière.

L'idée de devoir traverser une partie de la piscine dans cette tenue hyper provocante, quasiment nue aux yeux de tous, était presque au-dessus de mes forces.

J'étais si horrifiée que je me demandais si je n'allais pas m'enfuir de ces lieux.

J'espérais que quelqu'un viendrait rapidement me chercher pour m'emmener dans son appartement avant que sois obligée de piquer une tête dans la piscine.

J'estimais qu'il vaudrait mieux me faire sauter en privé que de parader autour de la piscine avec mon micro-maillot mouillé.

Mon souhait se réalisa assez rapidement, l'un des étudiants se dirigea vers moi et se pencha sur moi, il souriait bêtement, mais il savait très bien ce qu'il voulait.

Je levais les yeux sur lui et il m'apostropha :

- Esclave sexuelle? .... Cela veut-il dire que tu doives obéir à n'importe qui? ....

Je hochais affirmativement la tête.

- C'est parfait, allons-y!

Je posais ma canette sous ma chaise et attrapais ma jupe, je me levais et me disposais à l'enfiler, mais il coupa mon élan :

- Non, tu n'en as pas besoin, tu parais si chaude du cul dans cette tenue!

Je jetais un œil vers Tom qui me sourit.

Je posais ma jupe sur ma bière et je suivais le jeune gaillard encadrée par ses sept amis.

Je me sentais un peu mieux de marcher au milieu de ces jeunes abrutis qui cachaient mon minuscule thong aux yeux des baigneurs.

Je n'avais aucune envie de copuler avec eux, mais je ne pouvais oublier cette galère de la semaine la semaine dernière avant que je ne tourne dans cette maudite vidéo.

Ils se déshabillèrent prestement ne perdant pas une minute pour me sauter.

A quatre pattes je fus embrochée par deux mecs en même temps, un en bouche un autre en chatte, ils ne se contrôlaient pas plus que la semaine dernière, cela n'excéda pas le quart d'heure pour les satisfaire tous les huit.

J'utilisais la salle de bain lorsqu'ils en eurent fini avec moi puis ils m'escortèrent de retour à la piscine.

Je repris place sur ma chaise et vidais ma canette de bière qui commençait à tiédir.

Il m'en restait assez cependant pour estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, puis arriva le moment de piquer une tête dans la piscine.


Je savais qu'il était interdit de ne porter qu'un thong dans de nombreux endroits, mais j'ignorais le règlement en ce qui concernait les piscines de quartier.

Mais même si un string correct était admissible, celui que je portais, microscopique, quasiment invisible devait être prohibé ailleurs que dans les camps de nudisme!

Personne ne pouvait croire qu'il s'agissait d'un bas de maillot de bain!

Il était évident qu'il s'agissait du genre de cache-sexe qu'arboraient les femmes pour allumer à mort les mâles!

Un tel sous-vêtement n'avait aucune autre raison d'exister!

Je bandais mes forces me levais et traversais la piscine devant une bonne douzaine de spectateurs, j'aurai voulu courir pour plus vite me cacher dans l'eau!

Au lieu de cela je m'astreignais à descendre les escaliers de la piscine à petits pas jusqu'à ce que j'aie de l'eau jusqu'au cou.

Je ne me relaxais pas du tout, parce que je ne pouvais m'empêcher de penser que le spectacle que j'offrirais serait bien pire lorsque je sortirai de l'eau pour rejoindre ma chaise.

Je restais bras appuyé sur le rebord espérant à chaque instant que quelqu'un viendrait m'emmener baiser dans les appartements, que ce soit un homme seul où même un groupe d'inconnus m'indifférait totalement.

Je ne fus absolument pas désappointée en voyant s'approcher et me saluer gentiment, le vieux gentleman de la semaine dernière, qui s'était tant intéressé à ma situation, et m'avait offert de m'aider si j'étais contrainte de me comporter ainsi.

- Je vois que vous avez perdu un nouveau pari!

En dépit de la terreur que je ressentais, Je lui souris et répondais :

- Oui, Je dois être une perdante née.

Il me prit la main et ajouta :

- Venez, suivez-moi.

Il me tira hors de la piscine et il m'emmena promptement à son appartement.

Il me laissa debout dans la salle de séjour et me dit de l'attendre là.

Quand il revint qu'il avait une robe en main qu'il me fit mettre.

Je le regardais avec curiosité alors qu'il me guidait vers son lit et me poussa dessus. Il quitta à nouveau la pièce et revint avec deux verres ballons, je ne savais pas ce qu'ils contenaient, mais cela n'avait aucune importance.

Je sirotais mon verre avec reconnaissance.

Il vida le sien et me regarda pendant une bonne minute avant d'avancer :

- C'est bon, maintenant y'en a marre de vos mensonges, que se passe-t-il vraiment?

Je le fixais dans les yeux, puis je m'écroulais.

Je me mis à pleurer hystériquement, il posa son verre sur la table basse et posa son bras autour de mes épaules et me tint serrée contre lui le temps que je pleurais à chaudes larmes.

Je parvins à rétablir le contrôle de mes émotions, lentement il me garda serrée contre lui jusqu'au moment où je le repoussais doucement et m'assit à coté de lui.

Je dis que j'étais désolée, mais cela devenait dur à certains moments et j'ajoutais :

- J'apprécie hautement le fait que vous vouliez m'aider, mais vous ne pouvez rien faire pour cela! ... Je suis tombée dans un monde de merde et de déchéance et je ne pensa pas qu'il existe de moyen de m'en tirer... Même avec l'aide bien attentionnée de gens comme vous!

Il me sourit et rebut une lampée de sa boisson, puis il me coupa :

- Qu'avez-vous à y perdre?

Je réalisais qu'il avait raison, je n'avais rien à y perdre.

Je lui demandais si je pouvais avoir un autre verre et, lorsqu'il revint un verre rempli à la main et se rassit, je lui racontais ma terrible histoire.

Il m'écoutait attentivement, m'interrompant une paire de fois pour réclamer des précisions, il ne me jeta pas un seul regard dégoûté alors que je lui détaillais mes agissements les plus infâmes.

Cela me soulageait grandement de me confier ainsi, j'étais heureuse qu'il m'ait poussée à tout lui confier.

Je réalisais soudain que j'arrivais à la limite du temps qui m'était imparti et que j'encourrais de graves problèmes avec Tom et ses amis.

Il vit ma mine s'assombrir et me demanda de quoi je m'inquiétais soudain.

Je lui dis qu'ils m'accordaient 15 minutes pour chaque passe il me coupa alors :

- C'est d'accord, ne te tracasse pas pour ça, je vais y faire gaffe!

Je soupirais et lui dis :

- Monsieur, Je suis désolée, je reconnais même pas votre nom."

Il me coupa à nouveau :

- Appelle-moi Danny!

- Danny, je me sens beaucoup mieux maintenant, cela m'a fait énormément de bien de pouvoir me confier à un ami! ;;; Même si je ne peux pas me sortir de ce merdier dans lequel je me suis engluée! ... Je pense que je n'ai aucun moyen de me tirer de cette galère mais me confier m'a vraiment fait du bien!

Il me sourit et poursuivit :

- Tu n'y es pour rien, tu étais droguée puis violée et soumise à un chantage démoniaque... Ce n'est pas ta faute, et je crois que je vais pouvoir y remédier!

Il sortit son portable de sa poche et donna une douzaine de coups de fils. Il disait la même chose à chaque fois.

- C'est Danny, je suis sur un coup, j'ai besoin d'un coup de main! ....

C'est tout ce qu'il dit.

Un quart d'heure plus tard six colosses nous avaient rejoints dans la pièce, et il leur fournissait une version détaillée de mon histoire.

Lorsque ce fut fait, quatre d'entre eux se levèrent et l'un d'eux cracha :

- Allons-y, on va se marrer!

Puis se tournant vers Danny.

- On ne devrait pas en avoir pour longtemps!

Danny se leva une fois qu'ils nous eurent quittés et m'interpella :

- Kim, attend moi, cela ne devrait pas prendre bien longtemps.

J'étais effrayée, je regardais par la fenêtre.

Danny et ses deux derniers amis se dirigeaient vers la piscine.

Ils s'approchèrent de Tom, Rory et Steve puis je vis Rory rouler sur le revêtement en ciment alors que Tom et Steve levaient les mains en l'air.

Je vis l'un d'entre eux propulser Rory sur ses pieds en lui saisissant les cheveux, et ils se dirigèrent tous vers l'appartement de Tom.

Je me servais un autre verre de ce qui me sembla être du bourbon, m'assit m'efforçant de pas me laisser submerger par l'espoir de m'en sortir.

Il se passa environ 15 minutes avant qu'ils ne reviennent, Danny portait mon sac à main, une caméra et un sac plein de DVD.

Il reprit son téléphone et donna un nouveau coup de fil qui aboutit à l'arrestation du type qui avait vendu les drogues à Tom.

Ce n'est qu'à cet instant que je compris que c'étaient tous des flics.

Il servit un verre à ses copains et nous nous sommes tous assis autour de la table sirotant notre bourbon tandis que Danny me racontait ce qu'ils avaient fait.

Ils s'étaient contentés de foutre la trouille de leur vie à Tom et ses copains.

Ils leurs avaient tout d'abord collé la bonne rouste qu'ils méritaient, puis ils les avaient effrayés, ils avaient emmené la caméra et tous les DVD en possession de Tom, les qualifiant de pièces à conviction.

Puis ils avaient visité les appartements de Rory et Steve et saisis les copies des DVD.

Danny avait saisi tout l'argent dont disposait Tom dans son appartement pour me les donner en supposant que cet argent, pour une grande part, provenait du commerce de mon corps.

Comme il terminait de me raconter tout cela, d'autres de ses amis se manifestèrent, ils ramenaient encore des DVD dont celui recelant le film tourné par ces salauds.

Ils avaient saisi toutes les copies ainsi que le master.

Ils s'étaient introduits dans le bureau du gérant du studio photo et, un revolver braqué sur ses couilles l'avait persuadé de détruire le site internet, par ailleurs ils avaient saisi tout l'argent se trouvant dans son coffre et son bureau.

J'étais épatée, bien que je ne sois pas encore totalement tirée d'affaire. On ne pouvait pas savoir si le fait qu'on puisse trouver des photos pornographiques de moi sur le net n'avait pas été rapporté à d'autres personnes.

Mais avec un peu de chance ce ne serait pas le cas.

Ils me rendirent mon agenda contenant mes adresses personnelles et tous les DVD, peut être que j'allais survivre à cette galère cette fois.

Je pleurais de joie, je m'approchais de Danny et enroulais mes bras autour de son cou, j'aurai voulu le remercier, mais je pleurais à chaudes larmes me tenant serrée dans ses bras.

Il me tint enlacée le temps que mes pleurnichements s'apaisent.

Je pus enfin parler de nouveau et, au travers de mes larmes je les remerciais tous de leur gentillesse, je ne savais pas quoi leur dire de plus.

Danny remercia chaleureusement ses amis, je les embrassais tous lorsqu'ils nous quittèrent. Danny se rendit alors dans une salle du fond et en revint avec une chemise que j'enfilais avec reconnaissance.

Je prenais mon sac à main lorsqu'il me dit :

- Vas-y, je te suis jusque chez toi, nous avons encore quelque chose à faire!

Il me suivit jusqu'à mon appartement et se dirigea directement vers l'appartement où vivaient Bill et Nick.

Il frappa à leur porte, ils lui ouvrirent, j'entendis le bruit d'une bagarre, puis la porte claqua et tout se calma.

Dix minutes plus tard, Danny revenait et me tendit le disque dur de l'ordinateur de Bill.

Il me sourit et affirma :

- Ils ne t'ennuieront pus jamais! ..... S'ils recommencent, appelle-moi, mais je te suggérerai tout de même de déménager! ......Tu as juste à te tenir à carreau..... Je suis à peut prêt sur que personne ne te nuiras plus! ..... Je vais te laisser mon numéro de téléphone juste au cas ou! ..... Je me sentirais quand même mieux si tu déménageais! ....

Je lui répondis que j'allais faire de mon mieux pour trouver un nouvel appartement.

Le départ de mon mari pour sa période active avait ruiné nos finances et il pouvait encore se passer une paire de mois avant que je puisse avoir assez d'argent pour bouger.

Il secoua la tête, saisit mon sac à main et le vida sur la table en disant :

- C'est l'argent que Tom et ce salaud de Matthews se sont fait sur ton dos! ...... C'est le tien! ..... Tu l'as gagné au travers des douleurs, des souffrances et des gênes que tu as endurées de leur fait! .... Il y a environ 200.000 $! ... Matthews gardait la totalité de ses gains dans son coffre fort! .... On pense que c'est en grande partie de l'argent gagné en faisant le commerce de ton corps! .....

Je demandais légèrement inquiète :

- Vous ne pensez pas qu'il risque de revenir réclamer cet argent? ....

Danny sourit et répliqua :

- Tant qu'il tiendra à garder ses couilles il ne bougera pas!

Je l'embrassais à nouveau et lui demandais :

- Voulez-vous rester souper avec moi? ... Je vous en prie! .....

- J'en serais honoré! .... Répliqua-t-il gentiment.

Je me ruais dans la salle d'eau et prit une douche rapide, puis je m'habillais dans une tenue ordinaire et habituelle.

Puis je revins dans le salon et constatais :

- Je n'ai plus rien à manger dans le réfrigérateur, du coup, je vous invite à dîner en ville...

Il éclata de rire et ajouta :

- Je connais une bonne auberge, aimez-vous les bons steaks? ....

Je lui pris le bras et rétorquais :

- J'adore les steaks! .....

Il m'avoua plus tard que ce bon restaurant appartenait à son frère, non seulement c'était le plus gros et le meilleur steak que j'ai jamais mangé, mais ils refusèrent absolument de me laisser payer.

- C'est bon, vous êtes trop butés, mais la prochaine fois le repas aura lieu chez moi! ..... J'ai un véritable talent pour cuisiner le rôti de porc! .....

Je trouvais rapidement un nouvel appartement, cette fois c'était un beau logis.

Je déménageais dès que je le pus avec l'aide de Danny et des déménageurs.

Dany vient manger avec moi une fois par semaine, et m'emmène dîner à l'extérieur sur le même rythme.

J'ai organisé une paire de bons repas pour six amis et leurs familles, ils sont devenus une extension de ma famille, et il ne me fallut pas longtemps pour tous les aimer.

Je n'ai jamais entendu reparler de Tom et ses copains, ni du studio de cinéma.

Cela me tracassait car ils connaissaient mon nom et j'avais la sensation qu'il y avait quelques personnes qui m'en voulaient profondément.

Brian du rester trois mois de plus en Irak, je suppose que lors de son retour il faudra que je lui raconte ce qui m'est arrivé.

Danny me le déconseille vivement, mais je crois que si je me taisais et qu'il tombe un jour sur une de ces maudites photos cela se terminerait mal!

A chaque jour suffit sa peine, je pense tout lui raconter progressivement, pour ne pas l'assommer dès son retour au foyer.

Je sais qu'il a subi de terribles épreuves en Irak et qu'il aura besoin de se réadapter à nos normes de vie.


Je vais attendre un peu pour l'introduire dans mon nouveau cercle familial les hommes sont tous des ex-militaires, ils l'aideront sûrement à se réadapter à la vie civile.

FIN.

La nouvelle vie de Christine Ch. 16

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Première journée en tant que "faciliteuse de contrat" (suite).

- Applique-toi quand tu me suces!

Ce fut l'ordre que je donnais à ma belle-mère alors que l'écran se rallumait. Christine avait remis ses sous-vêtements et se trouvait debout au milieu de la pièce en face de la caméra.

Etienne JARSON sortit de derrière l'appareil. Il semblait encore plus arrogant et autoritaire que Michel. Si bien qu'il n'eut aucun problème à apostropher sa collègue :

- Mets-toi à genoux où tu es vieille pute!

Je vis le regard un peu inquiet de Christine à l'agression verbale de l'homme.

- Il est temps que je me venge de la grosse affaire Dupont que tu m'as piquée lors de ton arrivée.

Devant elle, il enleva pantalon et caleçon. Le reste de ses vêtements les rejoignit en tas sur le sol. Il attrapa les cheveux de ma belle-mère et les tira afin que sa bouche cogne sa verge flasque.

- Fais-moi bander Salope! Tu es arrivée ici et tu m'as baisé sur la plus grosse affaire que j'avais depuis des années. Pense-tu que j'étais un imbécile?

En colère, il ne lui permit pas de répondre car, les deux mains sur sa tête, il lui enfonça son visage dans son aine. Le pénis de l'homme commença à grossir dans la bouche de ma belle-mère, la bâillonnant complétement.

J'eus l'impression qu'Etienne allait profiter du nouveau rôle de Christine pour se venger de vieilles rancunes. Sur un air menaçant, il dit :

- Voilà Christine, maintenant que les choses ont changées et que tu es tombée bien bas, j'ai la possibilité de te faire payer.

Il retira sa queue de la bouche de ma belle-mère tout en lui demandant d'incliner la tête en arrière, ce qu'elle fit. Alors, il commença à gifler son visage avec sa bite, durement, sur le menton, les joues, le nez, les yeux et le front.

- Dis-moi que tu es désolée sale chienne!

Tandis qu'il continuait à la frapper avec son membre, elle répéta maintes et maintes fois qu'elle était désolée. Le sourire sur le visage d'Etienne me montra qu'il appréciait la situation.

Quand il finit de l'humilier en la giflant avec sa bite, il lui demanda de sucer sa queue. Il prit la tête de la femme entre ses mains et conduit sa queue dans la bouche. Il tenait sa tête comme il aurait tenu des hanches. Il se mit à baiser le visage comme si c'était une chatte. Ma belle-mère était complétement bâillonnée. Elle étouffait à chaque fois qu'Etienne tapait au fond de la gorge. Elle n'avait aucune maitrise de la situation.

Après trois minutes de ce traitement, l'homme retira sa queue couverte de salive pour recommencer à gifler le visage de Christine. Puis il arrêta, la regardant de haut.

- AIIIEEEE!

Ma belle-mère cria lorsque la main d'Etienne claqua sur la partie de sein droit sortie du soutien-gorge.

- AIIIEEEE!

Elle hurla de nouveau alors qu'il fit la même chose avec l'autre sein. Ensuite, il prit les deux tétons entre le pouce et l'index et les tira avec suffisamment de force pour faire trébucher sa victime.

- Mets-toi debout salope.

Elle se leva pendant qu'il tira et tordit ses mamelons jusqu'à ce que les seins soient dressés, la peau tendue. Je vis qu'elle grimaçait sous la torture de sa poitrine. Mais elle ne put se retenir :

- Ohhhhhhh OUI. Gémit-elle sous cette manipulation brutale de ses seins.

En les tirant et les tordant un peu plus fort, Etienne demanda :

- Donc, tu aimes bien que l'on maltraite tes nichons?

- Aiiieeeeee.... Oui.... Oui

Ce fut tout ce qu'elle put répondre, les yeux fermés, la tête en arrière. L'homme relâcha les mamelons, laissant les gros seins rebondir vers le bas. Il était évident que ce jeu avait engorgé les tétons qui étaient maintenant d'une grosseur que je n'avais jamais vue avant.

- Aieeee....... Aieeee....... Aieeee....... Aieeee....... Aieeee.......

Christine cria à chaque fois que son tourmenteur claqua ses nichons et ses mamelons sensibles.

- Je vais te donner du plaisir n'en doute pas Christine. Maintenant tourne-toi et attrape tes chevilles.

Encore une fois, sans hésitation ni plainte, elle se retourna et se pencha, attrapant ses chevilles comme il lui avait demandé.

- Ouvre tes jambes sale pute! Quand je te dis de te pencher tu dois écarter les jambes, comprends-tu?

Il accentua son ordre d'une grande claque sur le cul de la femme. Immédiatement Christine fit glisser ses pieds afin d'écarter les jambes. Sa chatte et son trou du cul furent ainsi bien exposés. Etienne remarqua tout de suite l'état du sexe qui avait été déjà bien utilisé.

- Oh merde, ceux qui sont passés avant moi ont bien souillé votre chatte. Je suppose qu'ils vous ont tous baisé.

- Oui. Répondit-elle.

- Ils vous ont tous fait jouir? Demanda-t-il en lui caressant les fesses.

- Non seulement Michel.

Elle répondit honnêtement sans bouger alors que l'homme s'approchait de plus en plus de son intimité avec sa main. Voulant l'humilier encore plus, il demanda

- Pourquoi seulement Michel?

Elle admit d'une façon franche :

- Les queues de Daniel et Robert étaient trop petites et ils n'ont pu me baiser longtemps.

- Mais pourquoi Michel a-t-il réussi lui?

- Parce que sa bite était plus grosse et il m'a baisé plus fort et plus longuement.

- Je vois....

L'homme fit le tour de ma belle-mère afin que sa queue soit près de sa tête et il dit :

- Regarde-moi!

Tenant toujours ses chevilles, elle dut tordre son coup pour regarder Etienne.

- Donc tu me dis que tu as besoin de grosses queues pour jouir?

- Oui. Répondit-elle la tête tordue.

L'homme recommença à la gifler avec sa bite comme il l'avait fait plus tôt. La frappant une dernière fois, il repartit derrière elle en disant :

- Eh bien tu as de la chance car je vais te sauter durant toute la semaine.

Je regardai Christine essayant de savoir ce que pouvait faire son tourmenteur. Je pense qu'elle se sentait vulnérable et pas du tout rassurée étant donné le comportement agressif de l'homme. Mais que pouvait-elle faire, c'était son nouveau boulot.

- Ok salope! je veux qu'avec tes mains, tu écartes le plus possible les lèvres de ta chatte. Oui c'est ça! Et je veux que tu me demandes de te baiser durement.

Il était derrière elle, sa grosse bite à quelques centimètres de son sexe ouvert. Comme elle avait supplié quelques temps plus tôt Michel, elle recommença avec Etienne :

- S'il vous plait M. JARSON, baisez-moi fort avec votre grosse queue, j'en ai besoin.

- C'est vraiment ce que tu veux salope?

L'homme plaça son sexe à l'entrée du vagin. Il attrapa les avant-bras de ma belle-mère qui tenait sa chatte ouverte et il tira un peu dessus afin qu'elle arque son dos

- C'est de cela que tu as besoin Salope?

- Oui oui M. JARSON, c'est ce qu'il me faut. Baisez-moi s'il vous plait.

Soudain, Etienne tira sur les avant-bras, embrochant la femme sur toute la longueur de son membre engorgé.

- Arrrrrgggghhhhhh. Cria-t-elle de douleur et de satisfaction.

- Tu vas avoir ce que tu veux Salope, je vais te le donner.

Il la laboura violemment en la tirant par les bras, son aine claquant sa chatte. Christine subissait. Elle était comme une marionnette. Elle ne pouvait rien faire à part prendre le membre tout au fond d'elle. Ses gros seins rebondissaient devant elle à chaque fois que l'homme poussait dans son vagin. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne montre des signes de début de jouissance. Je fus étonné de cette réaction si rapide à ce pilonnage brutal.

- Je vais jouir. Haleta-t-elle.

- Ca ne sera surement pas la dernière fois.

Etienne la martela encore plus durement. Si bien qu'après quelques secondes, Christine perdit le contrôle, lança sa tête en arrière, laissant un cri à fendre les oreilles s'échapper de sa bouche. Son corps se raidit, ses jambes commencèrent à trembler alors que l'orgasme la terrassait.

L'homme continua à la baiser. Il ne s'arrêta pas. Il voulait plus.

Je ne sus pas quand son orgasme fut terminé car les gémissements et les cris ont continué. Même si ses jambes étaient devenues faibles, elle ne pouvait pas tomber. Ses mains tenaient toujours son sexe grand ouvert pour la queue qui la pilonnait.

Environ sept minutes plus tard, alors qu'Etienne gardait le rythme, elle annonça qu'elle allait jouir à nouveau.

- Je vais te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus jouir. Je vais te faire payer ce que tu me dois.

L'homme redoubla d'efforts en sentant le corps féminin se tendre comme plus tôt. Il la regarda perdre le contrôle à nouveau, se tordre sur son sexe jusqu'au moment où elle se détendit. Alors il la libéra. Elle tomba à genoux en avant sur le plancher.

- Lève-toi salope!

Il la saisit par les bras pour la soulever et la tourner vers lui.

- Je n'en ai pas fini avec toi Christine. Il nous reste beaucoup à faire. Viens avec moi.

Il se dirigea vers le banc le long du mur. Il le tourna et demanda à sa partenaire de s'allonger sur le ventre en travers face au mur. Il ne perdit pas de temps pour investir de nouveau la chatte et de la pilonner durement.

- Arggghhhh, merde. Cria Christine en tournant la tête pour le regarder.

Telle qu'était placée la caméra, il ne fut pas évident pour moi de voir ce qui était arrivé. Etienne gronda :

- Que regardes-tu? T'ai-je dit de te retourner?

- Non M. JARSON, désolé. Répondit-elle en tournant la tête face au mur.

- Est-ce un problème si je doigte ton cul Salope?

Je pus voir qu'il avait sa bite complétement en elle mais je vis aussi qu'un de ses doigts avait forcé son petit trou du cul, la faisant crier.

- Non M. JARSON. Murmura-t-elle.

Il continua à utiliser les deux trous de la femme avec son membre et son doigt pendant quelques minutes puis il ralentit et demanda :

- Je ne crois pas avoir tort en supposant que ton cul a déjà connu une bite?

- Oui....

- C'était quand la dernière fois?

Je fus intéressé par la réponse qu'elle allait apporter. Dirait-elle la vérité et dévoilerait-elle l'arrangement que j'avais pris avec Francis.

- Vendredi. Argghhh.

Elle gémit alors que le doigt dans son cul ajoutait des sensations à la bite qui limait sa chatte.

- Vendredi Christine? Quelle salope..... Etait-ce ton mari?

- Non.....

- Non? Alors qui était-ce sale chienne?

- M. MULLER.

Elle ne parla pas de moi. Dans mon lit je lui demandai pourquoi. Elle leva sa tête de ma bite et m'indiqua que son patron ne voulait pas que les autres connaissent les paiements supplémentaires.

Pendant ce temps-là, Etienne retira son membre du sexe de ma belle-mère pour le repositionner à l'entrée de son anus tout en disant :

- Quel bâtard! ce qui est bon pour Francis est bon pour moi.

Il poussa lentement en avant. Aux mouvements et gémissements de Christine, je sus qu'il avait vaincu la résistance anale et que centimètre par centimètre il entrait dans son cul. Lorsqu'il l'eut complétement pénétré, elle eut un nouvel orgasme. Elle cria sa jouissance avec une queue entre ses fesses pour cette fois :

- UMMMMMM, Je jouis, arghhhhh, ARGGGHHHH

- Tu es vraiment une sale pute Christine. Tu dois adorer la sodomie pour jouir de suite. N'est-ce pas?

Il retira sa queue complétement avant de la glisser dans la chatte maintenant bien juteuse du dernier orgasme. Il baisa la chatte avec trois coups puissants puis ressortit pour la sodomiser à nouveau. Il alterna les deux trous pendant les dix prochaines minutes. Ma belle-mère ne donna aucune indication qu'elle n'aimait pas être dominée de cette façon. Elle gémissait en secouant la tête. Elle couinait comme une petite fille. Je sentis qu'Etienne voulait vraiment la baiser jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Son endurance était incroyable mais il savait certainement comment amener une femme à l'orgasme. Il avait de la chance aussi que me belle-mère soit très réceptive.

Comme les trois fois précédentes, elle l'avertit qu'elle allait jouir de nouveau. Cela semblait gonfler l'ego de l'homme qui à chaque fois la baisait un peu plus durement.

- Où veux-tu que soit ma bite quand tu jouiras? Dans ton cul ou dans ta chatte?

Il n'arrêta pas de baiser ses trous en alternance. A mon avis, je ne pensai pas qu'il lui laisse choisir après l'avoir dominé de cette façon.

- Dans ma chatte s'il vous plait. Dit-elle, son corps commençant à trembler.

- Je pensais que tu étais une chienne intelligente mais il semble que non. Crois-tu que je vais te laisser décider?

Il retira sa verge complètement et la regarda. Christine tourna sa tête vers la grosse bite gluante. Il pouvait voir le regard d'envie dans ses yeux. Elle avait besoin d'être baiser et de jouir.

- Tu la veux Salope? Dit-il, souriant d'un air satisfait.

- Oui M. JARSON, je veux votre bite en moi. Dit-elle désespérée.

- Vas-tu bientôt jouir Salope?

- Bientôt, Bientôt M. JARSON. Haleta-t-elle.

- Alors face au mur et tire tes mamelons en me suppliant de te faire jouir, en me jurant que je suis le meilleur baiseur que tu n'as jamais eu. Je veux que tu fasses n'importe quoi pour me faire plaisir. Je veux que tu te tiennes à ma disposition des que je t'appelle. Je veux que tu me dises que tu es désolé de m'avoir volé des dossiers.

Il frotta son gland autour des deux ouvertures sans y pénétrer. Christine essaya de glisser en arrière à la recherche du membre tendu.

- Ne sois pas idiote. Tu auras ma bite lorsque je le voudrais. Allez, j'écoute.

Ma belle-mère arqua son dos et attrapa ses mamelons engorgés. Elle gémit lorsqu'elle les tira et les tordit. Ils étaient encore sensibles du traitement que leur avait fait subir Etienne. Tout en maltraitant ses seins, elle fut sur le point de dire ce que voulait l'homme. Mais Etienne lui demanda d'attendre. Il alla vers la pile de ses vêtements pour attraper son portable. Puis il se repositionna derrière la femme, son gland frottant et taquinant les deux trous. Christine l'avait vu prendre son téléphone. Je vis sur son visage qu'elle était confuse et qu'elle ne comprenait pas. Alors, bêtement elle demanda :

- Pourquoi avez-vous besoin de votre téléphone M. JARSON?

- TAIS-TOI VIEILLE PUTE!

Il cria tout en abattant sa main sur la fesse droite. Tout de suite, ma belle-mère dit :

- Je suis désolé M. JARSON. Je vais vous obéir...

Mais il ne l'écouta pas. Il la releva et la tourna afin qu'elle lui fasse face.

« CLAC »

- Aiieee. Gémit-elle quand la main frappa son sein droit

« CLAC »

- OWWWW, AIIIEEE. Cria-t-elle alors que son sein gauche subissait la même chose.

« CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC »

- AIEEEEEEEEEEEE OOOWWWWW. Cria Christine tandis qu'Etienne giflait par trois fois chaque sein, un sourire sur le visage.

Il la dominait, son égo stimulé.

A ce stade, la voyant si vulnérable, à la merci d'un homme qui ne serait pas là si je ne l'avais pas voulu, j'éjaculai au fond de sa gorge. Et je lui dis :

- Tu peux aller te coucher avec ton mari maintenant. Mais bientôt, tu dormiras toutes les nuits dans mon lit.

Elle se leva et partit en me répondant « oui maître ». je finis de regarder le DVD tout seul.

Sur l'écran, Etienne saisit les deux tétons et les tira puis il les tordit en les tiraillant vers l'avant. Même si ma belle-mère aimait bien qu'on lui travaille les mamelons, là c'était trop, elle cria et une larme coula sur sa joue.

- Tu ne dois jamais me questionner Salope. Si je veux te filmer ou te photographier je le fais. Maintenant retourne à ta place et continue à tirer tes tétons.

- Oui M. JARSON.

Christine sanglotait tandis qu'elle se tournait vers le mur et reprenait sa place sur le banc. Tandis qu'elle jouait avec ses seins, avec une sensation moins agréable maintenant car ils lui faisaient mal, elle commença à lui dire ce qu'il voulait entendre. Elle ne regarda pas en arrière quand elle entendit le « ping » du téléphone qui annonçait le début d'une vidéo. Elle pouvait sentir le bout de la queue de son tourmenteur frotter ses deux trous. Elle dit d'un ton convaincant :

- S'il vous plait M. JARSON, baisez-moi. Je veux votre grosse queue en moi. Je ferais ce que vous voulez si vous me baisez encore. Vous êtes le meilleur amant que je n'ai jamais eu.

- Et quoi d'autre sale chienne?

Il souriait tout en tenant son téléphone pour filmer les supplications de Christine. Celle-ci, en tortillant son cul pour sentir la verge de l'homme continua :

- Je serais à vous chaque fois que vous le voudrez M. JARSON. Je serais à cette place, tirant sur mes tétons en attendant votre bite. Vous pourrez me baiser par le trou que vous voudrez. Je suis une salope et je vous ai humilié sur un contrat donc c'est à mon tour d'être humiliée par vous. Je suis désolé donc vous pouvez me faire tout ce que vous voulez pour me faire payer. Mais s'il vous plait, M. JARSON, faites-moi jouir de nouveau et je vous promets de prendre votre sperme où vous voudrez.

- Parfait! Dit Etienne.

- Il mit son téléphone de côté et plaça ses deux mains sur la taille de Christine puis avec une poussée puissante il enfila sa queue tout au fond de la chatte.

- Tiens salope! Prends ma bite sale pute!

- OHHHH OUIIIIII.

Christine cria et son dos se voûta quand il conduisit son membre tout à l'intérieur à chaque poussée. La douleur dans ses mamelons était devenue insignifiante si bien qu'elle tira dessus plus fort.

- Merci M. JARSON. Ohhh merci....

Elle gémit, se laissant aller sous les coups de butoirs, avide d'un nouvel orgasme.

Etienne baisa ses trous l'un après l'autre, dix coups brutaux et profonds dans chaque, si bien que la femme hurla et le pria de la faire jouir. Il la pilonna sauvagement pendant huit minutes. Lorsque l'orgasme de ma belle-mère commença, il était tout au fond de son cul. Il continua de l'enculer jusqu'à ce qu'elle explose et que son corps commence à convulser. Alors il sortit sa bite pour la conduire dans la chatte qui venait de se resserrer.

- OHHHH MON DIEUUUUUUUUU!

Ma belle-mère cria tout en se soulevant légèrement. Mais il la tira vers le bas sur sa queue et la ramona sans pitié alors que son corps tremblait. Maintenant, les parois de sa chatte pouvaient serrer quelque chose.

Même s'il l'avait traitée comme une moins que rien, ce qu'avait fait Christine ensuite me prouvait qu'elle aimait être une pute. Elle aimait être dominée. Je découvrais qu'elle pouvait aller loin dans la soumission.

- M. JARSON s'il vous plait, laissez-moi m'occuper de votre bite, laissez-moi vous montrer à quel point je veux que vous jouissiez vous aussi.

Elle le supplia, face au mur, tout en continuant à tirer ses tétons.

- D'accord, suis-moi!

Il se dirigea vers le tapis à poils longs et s'allongea au milieu. Christine le suivit comme un petit chiot et l'enfourcha, face à lui et face à la caméra. Elle avait l'air épuisée. Son maquillage coulait. Ses seins étaient rouge et ses mamelons douloureux. Ses cuisses, ses jambes et son ventre étaient mouillés de sueur ou du jus de sa chatte. Sa petite touffe de poils pubiens était sombre et humide, complétement emmêlée.

Elle s'accroupit en écartant les jambes puis les genoux, si bien qu'elle fut positionnée juste au-dessus du membre dressé d'Etienne. Ensuite elle se pencha en arrière et posa ses mains sur les cuisses de l'homme.

- Montre-moi ce que tu sais faire Salope! Dit-il.

Sur la caméra, je pouvais maintenant voir le sexe de ma belle-mère. Ses lèvres étaient enflées et cachaient son clitoris. Elle avait été bien utilisée aujourd'hui. Et il lui restait encore trois hommes à rencontrer. Elle abaissa lentement sa chatte sur le gland. Je vis ce trou affamé engloutir la queue avec une facilité étonnante. Puis elle se releva et avança légèrement pour que la bite soit à l'entrée de son cul. Et elle se baissa de nouveau. Son anus accepta le membre qui disparut entre ses fesses.


Et comme Etienne avait fait pour elle, elle alterna ses trous pour qu'il les baise. Quinze minutes plus tard, l'homme lui dit qu'il allait jouir.

- Dites-moi quand M. JARSON, Dites le moi!

Elle haletait. Son cul s'enfonça une dernière fois avant qu'il dise que c'était le moment. Alors, rapidement, Christine se leva et engloutit le sexe de l'homme avec sa bouche, fermant ses lèvres à temps pour retenir les deux premières charges de l'éjaculation. Ensuite, elle sortit la bite et la posa sur son visage pour qu'Etienne y dépose le reste de sa semence.

L'homme s'habilla immédiatement après, et sortit sans parler, laissant ma belle-mère bien baisée, couverte de sperme, douloureuse et humiliée.

Elle avait encore trois hommes à voir. Je me demandai si son sexe pourrait encore le subir.

J'éteignis mon ordinateur, après l'avoir vu se faire prendre par les trois derniers. Marc et Nicolas n'avaient pas voulu baiser sa chatte en piteux état donc elle leur avait fait une fellation, avalant leur sperme. Francis l'avait sodomisé et avait rempli son cul. Il lui avait dit qu'elle avait bien travaillé et que tout le monde était heureux. Il lui laissa le lendemain pour se remettre. Il l'attendait mercredi pour des clients.


A suivre......

mercredi 11 décembre 2019

Ecole privée Ch. 03

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

7 -- Amusement en classe.

Anne passa une nuit blanche à essayer de trouver une solution à son problème. Mais plus elle réfléchissait, plus elle essayait de chercher des solutions, plus elle réalisait qu'elle ne pouvait faire qu'une chose : divertir MAURICE pour l'empêcher de publier les photos.

Le lendemain matin, elle était distraite et comprit à peine comment elle avait assuré ses premiers cours. Quand elle entra dans sa classe principale, elle tremblait de partout. Mais le cours se déroula sans problème. Même MAURICE se comporta bien et la traita poliment. Elle décida alors de raisonner une nouvelle fois l'étudiant.

- Ahhh MAURICE, pouvez-vous rester un moment. Dit-elle alors que le reste des étudiants partait déjeuner.

Le garçon haussa les sourcils, mais s'approcha du bureau.

- MAURICE, je veux...

Il l'interrompit tout de suite :

- Mettons une chose au point chienne. Tu m'appelles Monsieur MAURICE. Et tu ne t'adresses pas à moi sans ma permission. Est-clair?

- Oui M. MAURICE. Je...

- Tais-toi stupide salope, je ne t'ai pas donné la permission de parler. Et je suppose que pour te donner une bonne leçon, je vais devoir publier une des photos après tout. A moins que...

Sa voix s'estompa. Anne regarda nerveusement la porte, puis se mit à genoux derrière le bureau.

- S'il vous plaît, punissez-moi M. MAURICE.

- Montre tes seins.

Se mordant les lèvres, elle ouvrit son chemisier et exhiba ses seins. La main du garçon frappa deux fois ses seins durement. Cela fit mal à Anne et des larmes coulèrent de ses yeux.

- La prochaine fois tu ne t'en tireras pas aussi facilement salope. Maintenant je n'ai pas toute la journée, que veux-tu?

Anna essaya de rassembler ses pensées. Quelqu'un pouvait passer dans le couloir d'une seconde à l'autre et la voir, agenouillée, la poitrine à l'air. Toutefois elle n'osa pas se relever.

- S'il vous plaît M. MAURICE, ne pourrions-nous pas reparler de tout ça? N'y a t-il pas un autre moyen?

Le garçon se tourna pour partir et répondit :

- Il n'y a que deux manières salope. Soit tu fais ce que je te dis, soit tout le monde verra quelle chienne tu es. Maintenant range tes pis!

Il commença à s'éloigner mais regarda en arrière depuis la porte et dit :

- J'espère que tu reviendras ici après le dernier cours pour une leçon particulière. Ne sois pas en retard.

Bon sang, pourquoi ne voulait-il pas discuter? Anne s'empressa de fermer son chemisier quand elle entendit des pas dans le couloir. Elle avait à peine reboutonné le dernier bouton que Nicolas passait la tête dans la pièce.

- Vous allez bien? Vous avez perdu quelque chose?

Anne rougit et se releva.

- Oui je... j'ai cru que j'avais laissé tomber quelque chose. Mais ce n'est pas ici.

- Vous voulez que je vous aide à regarder?

Nicolas entra dans la salle de cours.

- Non ça va. Je viens de me rappeler que je l'avais laissé à la maison.

L'enseignant sourit et demanda :

- D'accord. Voulez-vous venir déjeuner avec moi?

Il y a quelques jours, Anne aurait sauté sur l'occasion. Mais elle ne se sentait plus comme une bonne compagnie. Elle secoua la tête.

- Non, je vais sauter le déjeuner et faire une promenade dans le parc.

Nicolas haussa les épaules et se tourna pour sortir.

- Peut-être un autre jour. Ajouta Anne.

L'homme regarda par-dessus son épaule et sourit :

- D'accord, remettons ça à plus tard.

Anne poussa un soupir de soulagement. Elle s'était presque fait prendre. Elle quitta la salle de classe et hocha la tête distraitement aux élèves et professeurs qu'elle croisa. Près de la sortie elle rencontra le concierge, un gars dans la quarantaine qui était toujours un peu débraillé. Il hocha la tête, mais ses yeux ne quittèrent pas la poitrine d'Anne. Ce type lui donnait la chair de poule. Elle sortit au soleil. Qu'allait-elle faire?

La promenade dans le parc la calma un peu et elle essaya de réfléchir de manière logique. Elle avait épuisé toutes les solutions possibles. Le fait est qu'il n'y en avait pas. Aller à la police lui serait encore plus préjudiciable que ce que ferait MAURICE. Elle ne se faisait pas d'illusions, le garçon commençait juste à « s'amuser » avec elle. Tout ce qu'elle pouvait faire c'est de serrer les dents et essayer de garder l'étudiant heureux. Elle espéra ardemment qu'il avait dit la vérité en disant qu'il ne voulait « s'amuser » que cette année et qu'il la laisserait tranquille après. Elle prit une profonde inspiration. Il n'y avait aucun moyen de s'en sortir alors autant faire plaisir à MAURICE. Peut-être que plus tard elle pourrait lui parler à nouveau.

- Tu ne sais pas que tu es supposée me saluer?

Elle leva les yeux de surprise et vit le jeune garçon à quelques mètres d'elle. Elle avait été si plongée dans ses pensées qu'elle ne l'avait pas vu remonter le chemin. Rapidement elle vérifia les environs. Il n'y avait personne à proximité.

- Je suis désolé M. MAURICE, je ne vous ai pas vu venir. Bon après-midi M. MAURICE.

Le jeune homme sourit.

- Donc tu n'es pas trop stupide pour apprendre hein? Ok, parlons un peu. Mais avant, voyons tes gros nichons. Montre-les!

Anne était sur le point d'objecter, mais elle se souvint de sa décision d'essayer de plaire à MAURICE. Elle ouvrit son chemisier et souleva ses seins. Elle pensa que dans cette position, elle ressemblait à une vulgaire salope affichant ses atouts.

- C'est beaucoup mieux. Il est bon qu'on te rappelle ce que tu es salope. Maintenant dis-moi, es-tu gouine?

Anna sentit la colère monter. Silencieusement elle se gronda.

- Non M. MAURICE. Répondit-elle doucement.

- Alors tu baises avec les hommes aussi.?

- Je suis hétérosexuelle M. MAURICE.

- Ce qui veut dire que tu baises les hommes. Réponds salope!

- Oui M. MAURICE. Se força-t-elle à dire.

- Combien en as-tu baisé?

- Ce n'est pas vos affaires. Siffla-t-elle.

- Eh bien...

Il sourit puis attendit.

- C'est tout ce que tu veux dire avant que je ne retourne à mon ordinateur?

Anne était furieuse, furieuse contre MAURICE pour son arrogance et furieuse contre elle-même qui avait perdu son sang-froid. Elle se força à redevenir calme. Puis elle se mit doucement à genoux.

- S'il vous plaît, punissez-moi pour mon insolence M. MAURICE.

Elle se mordit les lèvres en attendant les gifles sur sa poitrine qui pendait de manière obscène.

- Tu demanderas ta punition la prochaine fois que nous serons à la maison salope. Mais rappelle-toi que je t'ai dit que tu ne t'en sortirais pas aussi facilement la prochaine fois. Maintenant j'attends une réponse.

- Cinq. Murmura Anne.

- Tu es une petite pute n'est-ce pas? Quels trous ont-ils utilisés.

Calme-toi se répéta Anne, calme-toi et ne lui donne pas une raison de se mettre en colère.

- Mon vagin et... ma bouche.

MAURICE éclata de rire.

- Vagin? Les hommes ne baisent pas un vagin, ils baisent des chattes. Alors recommence!

Anne déglutit.

- Mon... ma chatte et ma bouche.

- C'est quand la dernière fois qu'un mec à fourré sa queue en toi?

- Il y a deux mois M. MAURICE.

Est-ce que ça ne finirait jamais? C'était si humiliant de devoir raconter à ce jeune étudiant tous ces détails intimes. Mais elle n'osa pas mentir.

- Deux mois tu dis? Je suppose que tu te touches tous les jours.

Anne rougit furieusement. Mais heureusement, comme il ne lui avait rien demandé, elle ne se sentit pas obligée de répondre.

- Ou plutôt, à quelle fréquence joues-tu avec ta chatte?

Elle aurait dû comprendre. Pendant un moment, elle envisagea de lui dire d'aller au diable et tant pis pour les conséquences. Mais elle ne put se résoudre à le faire.

- Tous les jours M. MAURICE.

Il hocha la tête.

- C'est bien ce que je pensais. Une chienne aussi chaude que toi en a besoin régulièrement. Mais désormais, il n'y aura plus de plaisir personnel salope. Et ne crois pas que je ne le saurais pas. Peut-être qu'une webcam est installée dans ta maison. Si tu as besoin tu me demandes la permission. Est-ce clair?

Ça ne pouvait pas être vrai. Une webcam?

- Oui M. MAURICE. Dit-elle.

- Bon, on se voit dans notre classe après le dernier cours.

Il s'éloigna sans rien dire de plus. Un moment après elle repartit pour l'école. Mais ce n'est qu'après avoir parcouru 100 mètres qu'elle réalisa que son chemisier était toujours ouvert sur sa poitrine pendante.

L'après-midi se passa aussi mal que la matinée et Anne se demanda comme les élèves pouvaient ne pas se rendre compte à quel point elle était distraite. Heureusement il n'y avait que deux cours, et à la fin du deuxième, elle se dirigea vers sa salle de classe principale, le cœur battant à tout rompre. MAURICE était déjà là, assis de travers sur sa chaise au premier rang. Anne ferma la porte doucement. Le garçon lança :

- On dirait que tu peux suivre des ordres simples après tout, salope! Maintenant passons aux choses sérieuses. Je veux de belles photos de toi sans les autres salopes. Ouvre ton chemisier et montre-moi tes gros nichons.

Se mordant les lèvres, Anne obéit.

- Non, non salope! Montre-moi à quel point tu aimes me les montrer. Quand je te donne un ordre, j'attends de toi que tu obéisses avec un sourire. N'oublie pas à quel point il est important pour toi de me satisfaire.

Anne le maudit silencieusement. Mais se rappelant sa résolution de lui plaire, elle se força à sourire. MAURICE souleva son portable et prit une première photo. Anne grimaça quand elle entendit le léger déclic de l'obturateur.

- Maintenant assieds-toi et voyons ces deux grosses mamelles.

Il n'arrêta pas de lui donner des instructions. Anne s'efforça de ne pas penser à ce qu'elle était obligée de faire et juste d'obéir. Elle se força aussi à garder le sourire, même quand elle fut assise sur son bureau en petite culotte.

- Maintenant salope, laisse-moi voir la partie la plus importante de ton corps.

Anne leva les yeux, confuse.

- Ta chatte, idiote! Après tout, c'est juste ce que tu es une stupide chatte de professeur. Tire la culotte sur le côté et prenons une bonne photo de toi en train de montrer ta chatte.

Anne se força à obéir et elle entendit une nouvelle fois le déclencheur cliquer.

- Je pense que je vais nommer cette photo « regarde ce que je suis ». C'est approprié non? Maintenant enlève ta culotte.

Il la fit poser nue devant puis sur le bureau.

- et maintenant comme plat de résistance, une belle photo de ta chatte humide. Montre!

Malgré sa détermination, Anne hésita, mais se força à écarter les jambes. C'était si humiliant, c'était comme si elle l'invitait à regarder ou même, à toucher sa chatte. Le jeune homme s'approcha et secoua la tête :

- Maintenant salope qu'est-ce que je vais faire avec une chatte sèche? Une chatte de salope doit être humide et brillante.

Anne le regarda d'un air suppliant.

- Mais... je suis désolé M. MAURICE, mais je ne suis pas excitée.

Il répondit sèchement :

- Et alors? Tu sais très bien comme te faire mouiller. Joue avec ta chatte!

Anne écarquilla les yeux.

- Devant vous?

MAURICE secoua la tête et prit un air fatigué.

- Tu n'as toujours pas compris? A partir de maintenant et pour le reste de l'année, il n'y aura pas d'autres moyens. Si tu veux être excitée, tu dois me demander et je peux te laisser jouer avec ta chatte. Ou je ne voudrais pas, ça dépendra de mon humeur. Le fait est que si tu joues avec ton corps, ça sera devant moi. Maintenant, vas-y!

Lentement, la main d'Anne se fraya un chemin entre ses jambes. Elle essaya de ne pas penser au garçon qui regardait, ni à la caméra qui attendait pour prendre des photos. Mais il lui fut impossible d'oublier la situation dans laquelle elle était. Très lentement, sa main avança vers sa chatte. Mais quand son doigt toucha son clitoris, une décharge électrique traversa son corps. Elle frissonna. Elle réalisa qu'elle n'avait pas eu d'orgasmes depuis plusieurs jours, trop prise dans son problème pour penser au sexe. Du coup, ça alla vite. Elle se toucha à peine quelques secondes avant de sentir l'humidité envahir sa chatte. Son corps entier était en feu. Elle essaya de ne pas le montrer et elle ralentit le mouvement de ses doigts pour montrer qu'elle ne faisait qu'obéir aux ordres. Mais elle ne pouvait cacher la moiteur de son sexe.

- Tu es chaude petite chienne n'est-ce pas? A peine as-tu commencé à te toucher que tu es prête à tomber sur le bureau.

L'appareil cliqua une nouvelle fois.

- Bon ça suffit, arrête ça. Tu auras de mes nouvelles.

Il sortit sans un autre mot et laissa la porte ouverte. A la hâte, Anne enfila ses vêtements et le suivit. Dans le couloir elle rencontra le concierge. Ils se saluèrent et marchèrent côte à côte pendant un moment. Elle, l'entendit respirer profondément et avoir un sourire vicieux sur le visage. Ce n'est qu'après son retour dans son chalet, qu'elle réalisa que ses doigts sentaient intensément sa chatte brûlante.

8 -- le châtiment.

Quelqu'un ouvrit la porte sans frapper. Anne se retourna avec colère et était sur le point de lâcher un sermon sur la politesse quand elle vit qui c'était. MAURICE commença à sourire.

- J'espère que tu n'étais pas sur le point de me dire de frapper, salope? Après tout c'est ta chambre, mais comme tu m'appartiens c'est ma chambre n'est-ce pas?

Il attendit. Anne prit de profondes inspirations. « Ne fais rien pour le contrarier, amadoue-le » se dit-elle silencieusement.

- Non M. MAURICE. Bien sûr, vous pouvez venir ici quand vous voulez.

- Oui c'est vrai. Et tu te lèves et tu montres du respect quand ton seigneur et maître entre.

Jurant silencieusement, Anne se leva de son bureau et lui fit face.

- C'est beaucoup mieux. Tu n'as pas oublié quelque chose?

Il s'assit sur le lit et se penche confortablement pour la regarder. Anne se creusa la tête. Est-ce qu'il s'attend à ce qu'elle s'agenouille à nouveau? Il ne lui a jamais dit ça. MAURICE secoue la tête.

- Deux jours à peine que tu as si bien posé pour les photos et tu as déjà oublié les bases. Mais je suppose que ça se produit quand une salope n'arrive pas à se doigter la chatte. Elle oublie tout sauf le besoin de se masturber.

Anna avait du mal à cacher sa fureur. Et le pire était qu'il avait partiellement raison. Elle n'avait pas osé jouer avec elle-même. Elle était restée sans orgasmes depuis longtemps, mais le fait de savoir qu'elle ne devait pas en avoir lui donnait envie de se toucher.

- Tu ne t'es pas cachée dans les toilettes pour jouer avec ta chatte, salope?

- Non M. MAURICE.

- Bon ça explique tout alors n'est-ce pas? Mais tu dois quand même te rappeler tes devoirs. Ils disent que l'exercice réduit le désir sexuel. Peut-être qu'un peu de gymnastique peut t'aider. Commence à sauter sur place.

Anne se sentit stupide de sauter de haut en bas dans le petit espace laissé entre le bureau et le lit.

- Non, non ça ne va pas. Montre-moi tes nichons!

Elle s'était attendue à moitié à ce qu'il lui fasse faire plus tôt. Alors elle ouvrit le devant de son gilet sans rien dire. Il la regarda et réfléchit un moment.

- A la réflexion, pourquoi ne te déshabilles-tu pas complètement?

Anne se mordit les lèvres. Maintenant il voudrait la baiser. Mais elle se déshabilla quand même. Avait-elle le choix?

- Faisons ces exercices maintenant! Sois attentive, à chaque fois que je tape du doigt, tu sautes.

« Il était vraiment doué pour commander » pensa Anne. Elle se jura de ne lui donner aucune raison de se fâcher contre elle. Il posa sa main près d'elle et attendit. Lorsque son doigt se leva, elle sauta et sentit ses gros seins rebondir contre son corps. Il la fit attendre puis leva le doigt, elle sauta. Une attente plus longue, puis trois sauts en succession rapide. Il continua encore et encore. Il ne la laissa jamais entrer dans un rythme. Il la garda attentive, prête à sauter. « Comme un chien entraîné à obéir aux ordres son maître » pensa-t-elle. Ses jambes lui faisaient mal et la sueur coulait le long de son corps. Mais elle ne lui donnerait pas l'occasion de la punir. La punir! C'était ça! Elle était censée lui demander une punition. C'est ce qu'elle avait oublié. Elle était sur le point de lui dire, quand elle se souvint qu'elle était censée s'agenouiller pour ça. Elle se demanda si elle devait tout simplement arrêter de sauter et s'agenouiller, quand il s'arrêta et la regarda. Rapidement elle se laissa tomber à genoux.

- S'il vous plaît M. MAURICE, punissez-moi pour ma désobéissance.

Le visage du jeune garçon se fendit d'un sourire.

- Ahhhh ça a fonctionné. Faites faire quelques exercices à une chienne en chaleur et elle oublie sa chatte pendant un moment. Elle peut réellement réfléchir. Oui, tu étais censée demander une punition méritée. Maintenant que tu l'as fait, je vais t'accorder ton souhait.

De l'intérieur de sa veste, il sortit une large sangle en cuir. Anne eut le souffle coupé. Elle s'était attendue à quelques gifles de plus sur ses seins, et même si c'était douloureux, elle se dit que ça allait l'être beaucoup plus. L'étudiant vit sa réaction et sourit.

- Oui salope, le temps de quelques caresses sur tes gros nichons est révolu. Tu devrais avoir maintenant appris à obéir. Si tu ne le fais pas, tu dois payer. Après tout tu m'as supplié de te punir, souviens-toi. Tu veux éviter la sangle?

Il s'assit sur le lit et regarda la porte d'un air méchant.

- Je pars tout de suite si tu le dis.

« Et tu mettras certaines images sur le net » pensa Anne.

- Non M. MAURICE, restez s'il vous plaît et punissez-moi. Dit-elle toujours agenouillée sur le sol devant lui.

- Eh bien, si tu supplies si gentiment, lève-toi et mets tes mains derrière toi.

Quand elle eut obéi, il la regarda et savoura l'occasion de donner une fessée à sa professeure. Il se leva.

- Penche-toi sur le bureau!

Frissonnante, Anne obéit et le regarda approcher.

- la tête en bas, le cul en l'air! Commanda-t-il.

La pire chose était qu'elle ne savait pas combien de coups il lui donnerait. Les coups de sangle lui faisaient de plus en plus mal. Mais si elle avait su, elle aurait pu attendre avec impatience la fin. Pour le moment, elle devait souffrir et espérer, tandis que ses fesses tournaient lentement en une couleur feu. Quand finalement il lâcha la sangle et s'assit à nouveau sur le lit, elle poussa un soupir de soulagement.

- Maintenant la partie amusante! Entendit Anne derrière elle.

- Viens ici et couche-toi sur mes genoux.

NON pas ça, ne pas être fessée comme un enfant gâté. Mais elle obéit silencieusement. Elle frissonna quand elle sentit la main du garçon courir sur son cul nu, puis elle gémit quand il commença à la fesser. Il la frappa lentement, mais pas trop fort. Son cul enflammé lui faisait toujours mal à chaque contact. Quand il s'arrêta et passa juste sa main sur ses fesses nues, elle se sentit soudainement frissonner, mais pas de douleur ou de peur, mais avec des picotements dans sa chatte. Quelle sorte de pervers était-elle pour être excitée par une fessée? Mais elle se dit que c'était juste une réaction naturelle à un contact près de ses zones intimes après quelques jours de chasteté. Elle se calma. Puis elle sentit quelque chose se presser contre ses cuisses. MAURICE avait une érection! Elle déglutit et repoussa avec colère l'image de sa queue remplissant son sexe humide.

- Lève-toi et couche-toi sur le lit, le cul en l'air!

Il se leva aussi et la regarda. Il sourit quand il vit son cul rouge ouvertement exposé.


- Très joli ma salope. Tu as remarqué que de fessée ton gros cul m'a fait bander comme un âne. Et ce serait vraiment dommage de gâcher l'occasion n'est-ce pas?

Il allait la baiser. Elle mordit la literie pour s'empêcher de crier. Mais elle l'entendit s'éloigner du lit.

- Alors, dans la prochaine heure, tu ne feras pas le tout des chambres des filles. Je pense que je vais laisser Belinda profiter de ma bite aujourd'hui. Elle a une belle chatte bien étroite. Et c'est une vraie tigresse, elle ne se fait pas baiser assez souvent.

Quand la porte se referma sur lui, Anne martela la literie avec son poing. Et cela pour deux raisons, la première étant l'humiliation d'avoir été fessée par son élève, la deuxième étant la frustration d'être laissée excitée et insatisfaite alors qu'une des filles recevait la grosse bite bien dure de MAURICE.


A suivre...