Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Notre héroïne rencontre ses voisins.Finalement j'arrivais à mon appartement et je garais ma voiture.
Je jetais un coup d'œil circulaire, par chance personne ne se trouvait dehors, il était tard et les gens travaillaient le lendemain.
Je respirais profondément puis je sortis de voiture et me précipitais chez moi.
Je montais à mon étage en m'appuyant lourdement sur la rampe, une fois à mon étage je chancelais jusqu'à la porte de mon chez moi.
Dès entré, je me ruais dans ma salle de bain et je remplis la baignoire d'eau brûlante.
Puis je gagnais la cuisine et me servit un grand verre de rhum coca, avec plus de rhum que de coca.
Je retournais dans la salle de bain où j'ôtais ma tenue de salope.
Je me regardais dans le miroir et réalisais que mes nichons étaient couverts de bleus.
Je me tournais, mes fesses aussi étaient couverts de bleus, j'empoignais un petit miroir et inspectais ma chatoune je me figurais qu'elle aussi devait être totalement déformée.
En fait elle était rouge vif et fort enflée mais il n'y avait pas de signes d'autres dégâts.
Je fermais le robinet et me glissais dans ma baignoire, dès que je fus assise de l'eau jusqu'au coup, je pensais :
- "Merde alors, j'ai totalement oublié de prendre de l'aspirine! ..... Je ne vais pas encore me relever! ....."
Je comptais sur le rhum pour estomper ma douleur! .... Je vidais mon verre que j'avais posé sur le rebord de la baignoire réalisant que j'avais été stupide de ne pas emmener les deux bouteilles.
Je m'étendais une fois mon verre vidé, laissais ma tête reposer en arrière et fermais les yeux.
Je cherchais désespérément à me vider l'esprit.
A ne pas penser à ce qui m'était arrivé et à ne pas penser à ce qu'ils mijotaient de me faire endurer le week-end prochain.
Je n'y parvenais pas, je ne pouvais m'empêcher de rabâcher ces moments douloureux quant à l'avenir, il me terrifiait.
Chaque fois que je rejoignais ce pervers les choses empiraient, peut-être était-il temps de les laisser lui et ses menaces.
Cela avait-il un sens de maintenir mes tourments secrets si je risquais d'en mourir? .....
Je demeurais assise dans mon bain jusqu'à l'instant ou l'eau devint froide pour y rester, je me rinçais alors me séchais et regagnais la cuisine.
Je pris deux cachets d'aspirine et me servit un autre rhum-coca
Je l'emmenais avec moi jusqu'à mon lit, réglais la sonnerie du réveil et m'assit dans le lit les yeux fixés dans le vide le temps de vider mon verre.
Lorsque ce fut fait, je me laissais tomber sur le dos et m'endormit ou m'évanouit sur le champ.
J'entendis sonner le réveil au petit matin, après qu'il eut vibré pendant 10 bonnes minutes, je m'assis dans mon lit et pris conscience de toutes mes douleurs.
J'avais mal à l'estomac, ma chagatte était en feu, et mon trou du cul embrasé.
Je me rendais dans la cuisine, pris deux nouveaux cachets d'aspirine et partis prendre une douche bien chaude.
Je me sentis un peu mieux une fois ma douche prise.
Je me pulvérisais un peu de spray dans la gorge ce qui apaisa quelque peu mon mal de gorge.
J'aurai probablement mieux fait de me faire porter pâle, mais je ne voulais rester chez moi à rabâcher mon histoire.
Je voulais voir des visages amicaux pour changer.
Je m'habillais et m'arrêtais en chemin le temps de boire un café.
Je me dirigeais droit vers mon bureau et m'assis avec précaution pour entamer ma journée.
Je pensais que toutes les traces des avanies que j'avais subies étaient cachées par mes vêtements, cependant plusieurs personnes me demandèrent si j'allais bien.
Je remarquais alors qu'ils ne remarquaient pas mes contusions, mais la lueur résignée que j'arborais dans mon regard.
Cependant la journée se passa bien et j'étais fière de mon attitude.
C'était bon de pouvoir faire quelque chose me détournant momentanément de mes problèmes avec Tom et ses amis, si j'étais restée chez moi, j'aurai rabâché mes avanies toute la journée ce qui aurait risqué de me rende folle.
Sur le chemin du retour je m'achetais une nouvelle bouteille de rhum et deux packs de coca.
Je développais visiblement u certain goût pour le rhum coca.
Je n'avais quasiment rien mangé la veille et j'étais particulièrement affamée, mais j'étais trop lasse pour faire la cuisine aussi me commandais-je une pizza.
J'enfilais une tenue décontractée et me préparais un rhum coca ce qui raviva la douleur de ma gorge.
Une ma pizza sur la table, je me sentais d'humeur à tout engloutir, je me versais un autre verre de rhum coca et ne mangeais que deux tranches de pizza.
Je rangeais le reste dans le frigo et me couchais, je lisais pendant quelques minutes puis j'éteignis la lumière.
Je restais étendue dans le noir tout juste prête à m'endormir lorsque je réalisais que cela faisait quatre jours que je n'avais pas écrit à Brian.
J'allais me relever pour lui écrire une lettre, mais je décidais finalement que j'étais trop fatiguée pour l'instant cela ne lui ferait pas de mal de s'inquiéter parce qu'il ne recevait pas de courrier de sa femme pendant quelques jours.
Je me sentais mieux le lendemain matin.
Je me pris une douche brûlante, m'habillais et déjeunais avec des céréales et un jus de fruit, je n'eus pas besoin de prendre d'aspirine.
J'étais encore un peu endolorie, mais rien de vraiment insupportable.
En rentrant cette nuit je trouvais une lettre de Brian.
Je m'empressais de l'ouvrir avant toute chose.
Cette lettre me rendit morose : en fait, il ne me disait que des choses justes, il me disait qu'il m'aimait et qu'il comptait les jours et qu'il pensait à moi tout le temps.
Il sembla fatigué et dépressif.
Il ajoutait qu'il y avait certaines choses dont il ne pouvait pas parler, des choses qui l'obsédaient.
J'étais encore plus anxieuse après avoir lu cette lettre.
Je me sentais de plus en plus coupable pour ces choses qu'on m'obligeait à faire, et de plus en plus déterminé à ce qu'il n'en entende jamais parler! .....
Le lendemain je me sentais à peu prêt dans un état normal.
La journée passa rapidement, je rentrais chez moi et me changeais et me préparais un petit repas.
Alors que je débarrassais la table, j'entendis frapper à la porte, je paniquais instantanément.
Nous n'étions que mercredi.
Tom m'avait dit que je disposais la semaine pour récupérer.
Je me calmais, m'approchais de la porte et jetais un œil par le judas.
Je fus tout de suite rassurée en voyant qu'il s'agissait seulement d'un des étudiants qui habitait l'appartement contigu.
J'ouvrais la porte et lui demandais:
- "Salut, que puis-je faire pour vous? ......"
J'étais sure qu'il m'avait déjà donné son nom, mais je ne m'en rappelais pas.
Il me sourit et me répondit :
- "Je suis désolé de vous ennuyer, mais j'ai besoin que vous regardiez quelque chose que j'aie chez moi, c'est très important, voulez venir chez moi, cela ne vous prendra qu'une minute? ...."
J'aurai bien voulu refuser, mais je n'avais aucune raison de le bousculer, si ce n'est que c'était un homme, que j'étais seule, et que je ne le connaissais que très peu.
Je le dévisageais pendant une bonne seconde, cherchant comment lui dire nom sans le heurter, mais avant que je ne reprenne la parole il reprit :
- "Je vous en prie, c'est vraiment très important! ...."
Cela me semblait douteux, mais je répondis cependant :
- "D'accord, juste pour une minute, mais je tiens à ce que laissiez votre porte ouverte! ... Je ne voudrai surtout qu'il vous vienne des idées salaces! ....."
Il me sourit et termina :
- "Pas de problème, la porte restera ouverte aussi longtemps que vous le désirerez! ...."
Ma naïveté peut paraître étrange, mais je tirais ma porte, la refermais et je le suivis dans son appartement.
En marchant il se tourna vers moi et annonça :
- "Je m'appelle Bill, on a déjà été présenté l'un à l'autre mais ça fait déjà un bon moment! ..."
Il ouvrit porte de son "home" et je le suivis.
Il laissa la porte grande ouverte et je pénétrais dans le salon, je respirais un peu mieux en voyant la porte grande ouverte sur l'extérieur.
Son colocataire était assis sur un canapé, je le saluais d'un signe de la tête.
Il me sourit aimablement et m'observa attentivement alors que je suivais Bill jusqu'à un bureau sis dans un coin de la pièce, il s'assit et attrapa sa souris, l'écran s'éclaira alors et je vis s'afficher une image pornographique, de prime abord j'étais trop choquée pour réagir.
Juste au moment ou j'allais lui signifier ma fureur, il cliqua sur un autre icône, une nouvelle image s'afficha.
C'était moi! .....
Moi avec deux hommes me fourraient dans un lit! .....
Il me montra plusieurs autres photos, je réalisais qu'elles avaient toutes été prises au studio photo.
Bill me sourit et me précisa :
- "J'en ai trouvé environ 200, veux-tu en voir plus? ..."
Je me prenais la tête entre les mains et je pleurais.
Et maintenant! ....
Et maintenant comment allais-je me tirer de ce guêpier? ....
Je parvins finalement à reprendre mon self-control, j'essuyais mes yeux et le regardais fixement.
Il ajouta :
- "Ne le prends pas aussi mal, on est que deux et nous ne sommes pas des violents, ou alors des gentils violents! .... Nous voulons seulement que tu nous fasses chacun une bonne pipe... Pour commencer! ..."
- "Nous ne voulons pas d'argent! ....."
- "Nous ne voulons pas te faire d'ennuis! ...."
- "On veut profiter nous aussi de ta petite chatte que tu offres si facilement! ...."
Je le regardais choquée, puis je décidais de chercher à expliquer ma situation.
- "Vous savez Bill je ne fais pas ça de mon propre gré, j'ai été droguée puis violée et mes agresseurs m'ont fait poser pour des photos pornos, et maintenant ils me font chanter, je suis obligée de leur obéir contre ma volonté, je vous en prie ne m'obligez à baiser avec vous! ...."
Il regardait l'écran où on me voyait nue prise en sandwich entre deux hommes, dit
- Je suis désolé Kim... C'est une triste histoire... Mais après tout de ces hommes, est ce que ça compte vraiment deux de plus ou de moins?
Je le suppliais d'avoir pitié de moi, il me répondait qu'il c'était le cas, il ajoutait que pour ces premières semaines ils auraient envie de moi toutes les nuits, mais que je ne me tracasse pas pour autant, que par la suite, une fois le plaisir de la nouveauté estompé ce ne serait plus que trois à quatre fois par semaines.
Je soupirais, je ne pouvais guère plus, je lui demandais :
- Ici, maintenant?
Il hocha affirmativement la tête.
Je pris une profonde respiration et rétorqua :
- C'est d'accord, mais le type qui me fait chanter m'a obligée à faire des choses douloureuses, j'en suis encore toute endolorie, aussi vous demanderai-je d'être doux et gentil avec moi!
C'est alors qu'il demanda hilare :
- Veux-tu toujours qu'on laisse la porte grande ouverte?
Je baissais la tête et la secouais, son colocataire qui, je le sus plus tard se prénommait Nick, se leva et ferma la porte.
Puis ils attendirent que je me déshabille, je ne portais qu'un vieux tee-shirt, un short en éponge et ma petite culotte
Je les ôtais prestement et Bill me prit dans ses bras et me roula une pelle alors que ses mains se promenaient sur ma croupe.
Mon cul était contusionné, il était encore assez douloureux, je frémis lorsqu'il me palpa un peu plus fermement les fesses, mais il ne sembla pas le remarquer.
Tandis que Bill me caressait tout en m'embrassant j'entendais Nick se déshabiller, il me prit à son tour entre ses bras et ce fut au tour de Nick de me palper alors que Bill se déshabillait.
Ils me menèrent au canapé et ils me firent asseoir entre eux deux et ils me roulèrent chacun leur des patins langoureux tout en inventoriant mes charmes.
Ils me caressaient doucement, presque tendrement et je sentais mes sens s'émouvoir lentement.
Ils prirent mes mains et les posèrent sur leurs jeunes bites tendues.
Je fus soulagée de constater qu'ils étaient dotés de deux belles bites, de taille moyenne aussi bien en longueur qu'en largeur.
Je les empoignais et le branlais doucement, je pensais que j'avais tout avantage à les exciter rapidement pour que ça aille vite.
Avant longtemps ils cessèrent de me rouler des pelles et je me laissais glisser sur le plancher entre les cuisses de Bill, je le pris facilement en bouche, cela ne dura pas plus de 3 minutes!
J'avalais son foutre et Nick écarta ses cuisses en me souriant, je m'installais entre ses cuisses et m'occupais de lui avec soin.
Il se contrôla une paire de minutes de plus, mais comme je ne pouvais pas y couper.
Bill se releva et nous apporta une bière à chacun on la sirota, ils me réclamèrent alors des détails concernant mon épreuve.
J'arrangeais un peu l'histoire ne leur révélant pas le pire.
Puis, je leur demandais où ils avaient trouvé ces maudites photos.
Je me demandais combien il pouvait y en avoir et si elles se trouvaient toutes sur le même site.
Bill me dit alors qu'il les avait trouvées sur un site s'appelant "débauche au studio photo", il cherchait actuellement des informations concernant ce studio photo.
Au début il avait téléchargé les photos pour s'amuser, il y avait des dizaines de femmes couchant avec des dizaines d'hommes.
La plupart des filles étaient jolies et semblaient se comporter normalement pour le mâle vigoureux qu'il était.
Puis il était tombé sur mes photos, il m'avait immédiatement reconnue bien sûr!
Il m'entraîna jusqu'à son ordinateur et me montra le site, il me montra quelques photos, en fait, il y avait des centaines.
Mais ce n'était pas là le plus déconcertant, la dernière rubrique faisait la publicité de vidéos.
Des vidéos de filles se faisant sauvagement partouzer, il y avait un fil de deux heures où je tenais la vedette, fourrée par 35 énormes bites noires, cette rubrique promettait de nombreux autres films à venir!
Je m'effondrais presque de désespoir.
Est-ce le seul site que vous ayez trouvé? leur demandais-je affolée.
Il haussa les épaules et me répondit
- Oui... Mais je ne gaspille pas vraiment beaucoup de temps à rechercher des photos pornos! ... Je suis tombée accidentellement sur les tiennes... Cependant les choses sont claires d'autres peuvent les télécharger et les diffuser dans leur entourage..... Ils peuvent même les faire parvenir à n'importe qui... T'es bien trop mignonne pour des gars gardent tes photos pour eux seul!
Je me penchais vers le mur soupirant :
- Oh mon Dieu, ma vie est foutue!
Il ajouta :
- Lorsque ces choses sont en route, tu ne peux rien faire pour les faire cesser!
Je secouais la tête et Bill se leva et poursuivit :
- Je suis désolé, je ne savais pas qu'il s'agissait de viols à répétition et j'en suis navré!
Il m'entraîna vers la porte de sa chambre, je ne lui résistais même pas alors qu'il me faisait m'allonger sur le lit et se remettait à me rouler des palots.
J'étais couchée passivement sur le dos, je le laissais me faire ce qu'il voulait, il entreprit de sucer et de grignoter mes tétons raidis.
Puis sa langue descendit vers mon nombril et trouva son chemin entre mes deux cuisses bien écartées, il se mit alors à me bouffer la chatoune.
Depuis que je me faisais baiser et violer par Tom ses amis et ses clients, c'était la première fois que l'on me broutait le minou depuis le départ de Brian.
J'aurai voulu résister à mon émoi grandissant, demeurer passive sous ses caresses, mais je n'y parvenais pas, c'était bien trop bon!
Je commençais lentement à accompagner ses gestes, ma respiration se faisait haletante, mes tétons étaient tout raides et des sensations enivrantes que je n'avais plus ressenties depuis des mois éveillaient brusquement mes sens!
Je tendais la main et pressais plus fermement sa tête contre mon antre embrasé, et poussais violemment mes hanches vers le haut qu'il puisse avoir meilleur accès à ma foufounette enfiévrée.
Je miaulais de plaisir et lui avouais :
- Bordel c'est si bon!
Je gémis de plus belle et orgasmais les assauts enivrants de sa langue!
Je jouis follement, il me laissa savourer tout mon saoul ce violent orgasme qui me submergeait toute et je commençais à me décontracter alors qu'il m'embrassait et me mignotait de plus belle.
Je sentais un nouvel et fracassant orgasme monter dans mes reins, mais il cessa ses caresses et bougea lentement.
Je tendais la main avec avidité et guidais sa belle bite dans ma chatoune ensorcelée.
J'ai toute remuée de me sentir si émue après tout ce que j'avais enduré!
Je pressais mes hanches contre les siennes pour venir à la rencontre de ses coups de boutoir et cette fois c'est de concert que l'on jouit tous deux en même temps.
J'étais gênée de m'être donnée si facilement, lorsqu'il roula sur le flanc je cachais mon visage entre mes mains, gémit et soupirais :
- Que m'arrive-t-il?
Il gloussa et me rétorqua :
- Quelque chose de l'ordre d'une thérapie... Quelque chose qui détourne ton esprit des épreuves que tu endures actuellement!
Je lui jetais un coup d'œil torve qui ne sembla nullement l'embarrasser.
Cela ne le gênait pas d'avoir profité de ces photos pour me faire chanter, et en fait de m'avoir pratiquement violé!
Salaud!
Je me levais et gagnais la salle de bain où je me nettoyais rapidement, lorsque je sortis de la salle de bain, Nick m'attendait dans le couloir.
Il m'entraîna dans sa chambre et s'assit au bord du lit.
Je m'agenouillais et le suçais jusqu'à ce qu'il manifeste une vigueur suffisante, il me courba alors sur le lit et me baisa par derrière.
Je n'étais pas très préparée, mais je l'acceptais facilement dans mon inimité et ce fut rapide.
Lorsque nous eûmes tous deux jouis, il me permit de me rhabiller et de réintégrer mon appartement.
Je me précipitais chez moi et je me servis un autre rhum coca avant de prendre un long bain brûlant.
Alors que j'étais étendue dans la baignoire je me sentais gênée parce qui venait de m'arriver, ce n'était pas simplement deux hommes de plus qui m'avaient vue nue et m'avaient baisée!
Ni le fait qu'ils possédaient des centaines de photos de moi entièrement nue en train de me faire baiser, mais bel et bien que j'avais joui à plusieurs reprises entre leurs bras.
A suivre...
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