une deuxième vie sexuelle a 52 ans.
Je me présente, je m’appelle Josiane (josi), j’ai 52 ans je suis veuve depuis 5 ans et demi, je suis assez fine, 1m67 pour 52 kilogs. Je suis brune aux yeux noisette. Je mets du 36 en culotte et du 90C en soutien-gorge.
Voici l’aventure qui m’est arrivée au printemps dernier. Je mariais ma cadette (Suzanne) et ça avait été une journée formidable. Mais sur les coups de 3 heures du matin, je décidai de quitter la fête, l’alcool et la fatigue avait eu raison de mes forces. Je demandai donc à Cathy, mon autre fille, si elle voulait bien me ramener à la maison distante d’environ 55 km.
- Écoute maman, je suis la demoiselle d’honneur de Suzanne, j’aimerai rester jusqu'à son départ. Mais je vais demander à Lionel de te ramener.
Et voilà Lionel mon gendre me ramenant. Sur la route je fus prise d’une envie présente.
- Lionel, peux-tu t’arrêter s’il te plaît, j’ai envie de faire pipi.
Pas de problème, quelques minutes plus tard il emprunta un petit chemin et s’arrêta. Je descendis et je m’enfonçai un peu dans la forêt. Puis je remontai ma robe jusqu'à la taille et enlevai ma culotte, cela étant plus pratique. Puis je m’accroupis et soulageai mon besoin naturel. Avec un kleenex, je m’essuyai et j’allai me relever quand je sentis quelque chose toucher mon sexe.
J’identifiai rapidement une main qui saisit de deux doigts mon clitoris pendant qu’un doigt pénétrai mon intimité. Je sursautai et voulant me lever, une main appuya sur mon épaule pour me maintenir accroupie. Il faut dire que ces doigts experts me faisaient gémir. Puis je tournai le visage et vis Lionel mon gendre derrière moi me doigtant avec douceur mais avec fermeté.
- Hoooh Lionel on peut pas faire ça à Cathy….mmmmm…
- Elle n’est pas obligée d’être au courant.
Je le laissai donc faire me prendre avec ses doigts. Pour plus de confort je m’agenouillai, et je me retrouvai à 4 pattes. Puis je sentis sa langue commencer à butiner mon anus. La combinaison de sa bouche et de ses doigts ne mirent pas longtemps à me faire crier de jouissance.
Puis Lionel se déplaça et se mit face à moi. Il saisit ma robe et me l’enleva. Je me retrouvai juste en bas et escarpins, nue au milieu de la forêt. Il baissa son pantalon et caleçon, son sexe était tendu et de belle dimension. Pas besoin d’être devin pour savoir ce qu’il voulait. Je le saisis donc d’une main et je commençai à le sucer. L’une de ses mains me prit la tête et rythma les va et viens dans ma bouche.
- Huummmm Josi, t’es une bonne suceuse, ne soit pas timide, avale en plus !
Puis il appuya plus fort, me fourrant plus profondément sa bite dans ma bouche. Puis il sortit sa queue et me demanda de me lever. Au passage il se branla entre mes seins en me pinçant les tétons, ce qui me fit tressaillir et fit gicler ma chatte. Je n’avais plus aucune retenue, il faisait ce qu’il voulait de moi.
- Allez cochonne, debout ! Appuie-toi sur l’arbre. Oui comme ça !
je posai mes mains sur l’arbre et positionnai mes fesses bien en arrière, les jambes écartées.
- Oui exactement, tu as de l’expérience petite salope.
Ses paroles ordurières à mon égard me firent mouiller encore plus. Puis je sentis ses mains agripper mes hanches et son sexe me pénétrer. Il commença à me limer. Son sexe énorme me lamina le ventre. Il ne mit pas longtemps à me faire crier de jouissance.
- Hé bien, tu as l’air d’aimer ça !
- Ho oui c’est bon, ça faisait tellement longtemps.
- Combien ?
- 6 ans, depuis le décès de Georges.
- Hé bien ça devait te gratter depuis un moment.
- Ho oui !
Il continua à me limer. Je sentis quelque chose couler entre mes fesses sans pouvoir identifier ce que c’était. Puis je compris quand son sexe se présenta contre mon anus. Il avait salivé entre mes fesses pour pouvoir me sodomiser.
- Lionel tu es trop gros tu vas pas me….
- T’enculer ? Si justement. Si tu savais depuis combien de temps ton cul me fait bander.
Il me saisit les seins à pleines mains et me dit d’écarter mes fesses avec les miennes. Je m’exécutai. Je sentis la pression sur mon anus augmenter. Puis d’un coup son gland me pénétra.
- Ho, c’est gros.
- Laisse-moi faire !
Puis doucement, il commença à enfoncer son sexe dans mon cul lentement. Je retins mon souffle tellement son sexe était énorme. Puis il commença des va et viens. Au fil de ses assauts, je sentis une chaleur monter de mon ventre. Je sentis mon sexe couler le long de mes cuisses. Il avait maintenant le même rythme que dans mon sexe. Cela ne me faisait plus mal bien au contraire je gémissais de plaisir.
- Hé bien tu vois, c’est pas si terrible que ça de se faire ramoner le cul.
- Non c’est bon ! Encore !
- Ton anneau entoure bien ma queue. J’aime t’enculer Josi, tu es une vraie chienne.
- Ho ouuuuuuuiiiii !
Ses mots m’excitaient encore plus.
- Comme Cathy ! Elle aime que je l’encule, ça doit être de famille.
Il défonça littéralement mon cul. Me défonçant à chaque coup de reins qui maintenant se firent violents mais terriblement bons. Il me fit jouir une troisième fois. Puis il me retourna et me mit son sexe dans la bouche. Il ne mit pas longtemps à jouir, m’aspergeant le visage et les seins. Puis nous nous rhabillions, je m’essuyai. Je n’osai pas le regarder tellement j’avais honte de ma conduite avec mon gendre.
- Tu sais Josi, tu es vraiment bonne, c’est dommage de gâcher un tel potentiel. Et puis tu as une bouche et un cul d’enfer.
- J’ai honte…
- De quoi ? de t’être fait sauter et d’avoir aimé ça ou de l’avoir fait avec moi ?
- Les deux…
- Mais tu y as pris du plaisir ?
- Ho oui, c’était tellement bon.
Le reste de la route fut tranquille, il posa sa main entre mes cuisses. Depuis si longtemps je ne m’étais pas sentie femme. Mais une surprise m’attendait à la maison.
Rentrés à la maison, Lionel me demanda s’il peut prendre une douche.
- Bien sûr, pendant ce temps je prépare le café.
Pendant qu’il prenait sa douche je pensai à cette partie de baise qui m’avait fait jouir comme jamais. Attendre 52 ans pour prendre un pied monstre c’est bête non ?! Mais le fait que ce soit mon gendre me rendait honteuse. Il sortit de la douche en caleçon, et j’en profitai pour prendre une douche à mon tour. En sortant, il était assis sur le canapé toujours en caleçon, moi j’avais revêtu un peignoir.
- Viens à côté de moi, il faut qu’on discute non ?
Je ne répondis pas mais néanmoins je m’assis à ses côtés. Il écarta déjà le pan du peignoir dénudant ainsi mes cuisses.
- Çà t'a pas plu ?
- Si beaucoup, mais c’est pas si simple.
- Pourquoi ? à cause de Cathy ?
- Oui plutôt ! C’est quand même pas tous les jours que la maîtresse de son mari est aussi sa mère.
- Je ne dis pas que c’est simple, mais on peut profiter de la vie en toute discrétion sans rien de plus.
- Oui peut-être !
Il m’embrassa avec fougue et en profita pour ouvrir complètement mon peignoir sous lequel j’étais nue. Puis il m’embrassa les seins et me mordilla mes tétons. Je sentis déjà ma chatte mouiller. Puis il s’agenouilla devant lui et pénétra ma bouche. Son sexe était de nouveau excité, sa chaleur dans ma bouche me fit perdre la tête. Je m’appliquai pour le satisfaire. Il saisit son téléphone pendant que je le suçais.
- Allo Cathy ! Nous sommes arrivés mais sur la route nous avons croisé les gendarmes, alors comme j’ai un peu bu je vais rester ici jusqu’au matin… Bisou moi aussi je t’aime... Voila comme ça on est tranquille.
Il téléphonait à ma fille pendant que je le suçais avec un aplomb désorientant.
- tu sais Josi, j’ai toujours flashé sur tes seins et ton cul. J’ai toujours su que tu étais un bon coup, je ne m’étais pas trompé. Tu suces super bien.
Je dégoulinai, mes cuisses étaient trempées. Puis il me mit à quatre pattes sur la table basse du salon et commença à enfiler ma chatte sans ménagement, il me fouilla avec vigueur. Je ne mis pas longtemps à jouir. Puis encore trempée de ma chatte, il commença à titiller mon anus encore endolori par son assaut en forêt. Malgré la douleur, je le laissai faire, me rappelant combien cela avait été bon. Il ne lui fallut pas longtemps pour me pénétrer.
- Tu vois, tu y prends goût.
- Ho oui c’est gros, mais c’est bon.
- C’est bon. Cathy aussi aime que je l’encule, elle bouge comme une chienne en chaleur prête à tout pour se faire défoncer le cul… et toi tu es prête à quoi ?
- Tout ce que tu veux, mais lime-moi encore c’est tellement bon.
- Je ne sais pas si Suzanne est comme toi, mais il va pas s’ennuyer le jeune marié.
Il me fit jouir, m’inondant l’anus de son foutre. Puis je léchai les dernières gouttes avant que nous allions nous coucher.
Quand je me réveillai, il était parti, mais ce ne fut que le commencement de notre liaison. Je n’étais pas sa maîtresse, mais plutôt sa chose, son « sac a foutre » comme il prit plaisir à me dire. Il fit de moi une femme ou plutôt une dévergondée, n’hésitant et ne reculant devant aucun sacrifice pour me faire sauter.
Fin.
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