mercredi 11 décembre 2019

Train d'enfer - 2ème partie

La fin du voyage.

Ma femme avait maintenant la tête relevée et avait pris deux bites dans sa bouche, ce qui lui déforma les joues. Elle gémit très fort et ondula comme pour en demander toujours plus.

Les hommes changeaient de place régulièrement, la maintenant soit par les cheveux soit par les seins ou les fesses qui commençaient à rougir sous les assauts répétés. L’un d’entre eux se baissa sous elle et lui avala littéralement un sein. Le sergent dont la fourrure commençait à être luisante de sueur se coucha sur le dos.

- Viens t’empaler sur moi beauté, je vais te défoncer !

Sans rien demander, les autres relevèrent ma femme et l’empalèrent littéralement sur le sexe imposant du sergent. Elle le chevaucha alors sans pitié. Lui se mit alors à lui pilonner la chatte comme un vrai marteau piqueur. En effet bien que bedonnant le sergent tenait une forme d’enfer, il n’arrêta pas de lui malaxer les seins ou de la tirer par les cheveux. Elle me parut très fragile, malmenée entre ces mains de brute. Il amplifia ses mouvements, de plus en plus fort.

- T'aimes ça hein sale chienne ? T'en redemande ! T'es qu'une belle salope !

- Oui c'est bon, j'aime ta grosse queue bien raide. Maintenant, je veux sentir ta bite au fond de mon ventre, je veux que tu me défonces et que tu me remplisses de sperme. Vas y, décharge-moi tout dans la chatte, vide ta queue salaud !

Dans un dernier mouvement des reins, le sergent réalisa son attente. Elle s'écroula alors contre son torse poilu, elle avait eu un orgasme aussi. Ils restèrent affalés l'un sur l'autre. Il puait, mais elle s'en foutait. Le sergent passa alors une main sur sa chatte, puis la présenta devant sa bouche.

- Bouffe mon sperme et ta mouille, cochonne !

Elle lui lécha alors la main sans vergogne.

Ensuite, ma femme que je ne reconnaissais plus vraiment se releva, attrapa d’une main la bite d’un militaire et dit :

- A qui le tour ?

Un des militaires se coucha sur le dos et l’invita à la rejoindre. Elle se baissa au-dessus de lui et introduisit son sexe en elle. Elle coulissa lentement sur lui, puis de plus en plus vite. Le sergent lui plaça alors son sexe couvert de sperme devant la bouche. Apparemment il ne voulait pas quitter si vite le théâtre des opérations. Avec soin, elle le nettoya et le lava avec sa langue. Et là mon fantasme se réalisa, un militaire se positionna derrière elle. Il plaça un doigt à l’entrée de son anus, le força tout doucement. Je vis son doigt envahir son cul et se frayer un chemin facilement, alors il introduisit deux doigts puis trois. Mais ma femme s’impatienta !

- Je veux ta bite dans le cul maintenant, encule-moi à sec, défonce-moi le cul avec ta grosse queue !

- Tiens grosse truie. Je vais t’enculer puis je vais cracher, te gonfler le cul de foutre.

Il lubrifia sa bite en crachant dessus. Rien de tel qu’un peu de salive pour lubrifier. Puis il plaça son engin contre le petite œillet de ma femme et s’enfonça lentement en elle. Elle fit la grimace, mais il s’enfonça avec détermination. Il la lui mit jusqu’aux couilles et maintenant elle sembla apprécier d’être prise en sandwich.

- Oui déchire-moi le cul, encule-moi comme une chienne !

Le militaire qui était en train de se masturber se rapprocha du visage de ma femme, pris la place du sergent et se fit sucer à son tour, il n’allait apparemment pas tarder à jouir.

- Ah je vais venir dans ta bouche, je sens que ça vient ! Tiens salope, je vais te faire le plein, ça va déborder !

- Vas-y, vas-y, viens, je veux sentir ton foutre, envoie-moi ta purée maintenant ! Entre à fond et crache ton jus !

Alors ma femme rouvrit les yeux. Le gros membre expulsa une puissante décharge au fond de sa gorge. La tige se tendait par à coup. Sa gorge devait être beurrée de foutre ! Le pieu s'enfonça un peu plus loin dans sa bouche suave pour pousser toute l'épaisse substance au fond de sa gorge. Ma femme se raidit. L'homme grogna et crispa ses doigts dans sa chevelure. Puis il sortit son membre pour finir d’éjaculer en longues giclées et lui inonder le visage. L’éjaculation était plus que copieuse, il ne devait effectivement pas avoir baisé depuis des mois. Ma femme avala tout ce qu’elle put, ramenant même avec ses doigts le sperme de son visage jusqu'à sa bouche.

Le militaire qui était dans le vagin de ma femme depuis le début poussa un puissant râle, il jouit aussi au plus profond d’elle. Il donna encore deux ou trois derniers coups de rein avant de se retirer laissant apparaître un homme fort satisfait et éreinté.

Ma femme se leva pour le laisser s’éclipser, souriante mais toujours coquine, du sperme dégoulinant de son sexe. Elle se fit alors retourner par le second qui l’installa sur le dos. En sueur il voulait en finir en la sodomisant dans cette position. Voulant participer, le sergent vint sur ma femme afin qu’elle lui suce ses gros testicules. Puis il s’avança un peu, tant et si bien que ma femme dut sûrement lui lécher l’anus.

Il lui écarta les fesses afin qu’elle se fasse enculer le plus profondément possible. Le militaire en profita pour s’enfoncer encore plus. il lui défonça l’anus en faisant des va-et-vient si rapides que l’on aurait pu croire qu’il était dans son vagin. Enfin il s’affaissa, s’appuyant très fort contre elle, se lâcha et jouit tout en donnant des coups très brusques. Puis il se retira. Ma femme se remit à quatre pattes et le militaire vint prendre la place du sergent pour qu'elle le suce, ce qu’elle fit à mon grand étonnement de manière timide au début puis avec vigueur. De son anus très ouvert, du sperme s’écoula au bout de quelques secondes, glissant sur son sexe encore recouvert du foutre du premier homme.

Il ne resta bientôt plus que le sergent en scène, mais il avait retrouvé toute sa vigueur. Ma femme dégoulinait de sperme, ses bas étaient déchirés et son maquillage coulait à cause du foutre.

- Reste à quatre pattes, c’est comme ça que tu dois être, je vais te prendre comme la salope que tu es !

- Oui ! Encore ! Défonce-moi ! Fais-moi jouir ! Vas-y !

Il commença par lui défoncer le vagin et lui enfonça ses doigts dans sa bouche. Elle les suça avec avidité. Puis d’un coup, il sortit de son vagin et l’encula jusqu’à la garde. Ma femme se crispa à peine, il est vrai que le chemin était déjà fait et qui plus est largement lubrifié. Il fit quelques aller-retours, puis revint dans son vagin, fit à nouveau quelques va-et-vient et retourna dans son anus, ensuite il alterna rapidement du vagin à l’anus et de l’anus au vagin.

Ma femme avait l’air d’apprécier et lui demandait de donner des coups plus fort, ce qu’il fit. J’entendais ses volumineux testicules trempées de sueur frapper contre le sexe de ma femme avec un petit bruit de succions à cause de sa mouille que j’imaginais abondante.

Le sergent finit son ouvrage en lui baisant le cul avec plus d’ardeur et enfin il se retira pour lui gicler avec abondance dans le dos, du sperme gicla jusque dans ses cheveux.

C’était fini, j’étais tendu comme un arc. Ils se rhabillèrent et après avoir chacun fait une bise à ma femme, ils quittèrent la cabine.

Moi aussi il me fallait me soulager après ce spectacle torride. Je sautai au bas de ma couchette, et sans un seul mot, je saisis ma femme par les cheveux, je la mis en appui contre la vitre en prenant soin d’ouvrir les rideaux, puis je commençai à la fourrer dans le vagin. La pénétration était peu profonde, mais dans cet angle c’était plus serré. Je vis défiler les rues éclairées d’une petite ville de province, ma femme pouvait donc encore avoir des spectateurs à satisfaire.

Mon ventre claqua contre ses fesses, elle émettait de petits cris. Après une courte pénétration, je me retirai et l’enculai d’un coup . C'était facile, on sentait bien que le chemin avait été récemment emprunté. Pour le final, je la retournai, elle s’agenouilla toujours sans un mot et pris ma queue en bouche. Déchaîné, je fis des va-et-vient rapides et au bout d’un moment, je lui pris la tête et m’arrêtai net pour jouir très fort au fond de sa gorge. Je fis encore quelques aller-retours et là, ma femme fit quelque chose qui me surpris et me ravit, elle aspira ma queue comme une paille si bien que lorsque je retirais mon sexe de sa bouche il était propre et pas une goutte de sperme ne ressortit de sa bouche.

Comme pour un dernier acte symbolique, elle s’appliqua à lécher et à nettoyer ma queue du sperme qui s’écoulait avec un peu de retard. Magnifique !!!!


Fin.

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