mercredi 23 octobre 2019

Brian est en Irak Ch. 03

Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le calvaire de Kim continue.

Je me ruais dans ma voiture et rentrais tout droit chez moi.

Je me rangeais dans ma place habituelle de parking et jetais un coup d'œil panoramique.

On était samedi, tard dans l'après-midi, il y avait foule de tous cotés.

Ils étaient assis ensembles à discuter, ou ils lavaient leurs voitures ou même allaient et venaient au gré de leur envie.

J'attendais qu'il y ait moins de monde me séparant de l'entrée de mon immeuble dans lequel mon appartement se tenait au second étage.

Lorsque ce fut le cas je sortais en trombe de ma voiture et me ruais tête baissée vers l'entrée.

L'idée de rencontrer une connaissance vêtue de cette ignoble tenue me terrifiait.

Et bien sur cela m'arriva, alors que j'arrivais à la porte de mon appartement, les deux étudiants habitant l'appartement contigu au mien sortirent de chez eux et se dirigèrent vers moi.

Ils remarquèrent tout de suite ma minuscule jupe fendue sur les cotés et s'arrêtèrent subitement.

Je les ignorais et tâtonnais pour entrer ma clef dans la serrure de ma porte, ce qui leur laissa amplement le temps de lire l'inscription figurant sur ma micro-jupe et d'admirer mes nibards qui sortaient de toutes parts de ma courte brassière.

Nous avions l'habitude de nous saluer, mais n'étions pas pour autant des amis, l'un des deux me dit :

- "Hey Kim, j'adore ta tenue! ....."

Je grommelais un vague merci et me dépêchais d'entrer chez moi et de verrouiller ma porte, le dos appuyé contre la porte je glissais au sol et me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps.

Je me réveillais une heure plus tard, lovée en position fœtale à même le sol, juste devant la porte d'entrée.

Dès que je me réveillais le souvenir de ma journée me revint.

Je me relevais, me dirigeais vers la cuisine et attrapais l'unique bouteille d'alcool qu'on avait dans la maison.

Il s'agissait d'une bouteille de rhum non ouverte, qui se trouvait rangée dans le frigidaire depuis notre mariage

J'ouvrais la bouteille et m'en servit une large rasade que je noyais dans du coca-cola et l'avalais séance tenante.

Mon estomac se réchauffa et mes esprits se calmèrent quelque peu, je me dirigeais alors vers ma chambre me déshabillais, puis je pris un long bain brûlant.

Je m'efforçais de ne pas penser aux épreuves sordides que je venais d'endurer ces 24 dernières heures.

Mais chaque fois que je commençais à me relaxer, mon esprit se remplissait de ces images immondes me plongeant de plus en plus profondément dans un désespoir sans limites.

Je ne pensais que je pourrais m'obliger à retourner à l'appartement de Tom le lendemain pour être de nouveau le jouet de ces salopards qui prenaient tant de plaisir à m'humilier et me dégrader.

Chaque fois que je repensais aux sordides épreuves que j'avais subies, je me remettais à sangloter désespérément.

Je restais assise dans ma baignoire jusqu'à ce que l'eau refroidisse, devenant trop fraîche, je me relevais alors et me rinçais.

J'enfilais ma robe de bain retournais au salon ou je me servais un nouveau verre de rhum-coca.

Je n'aimais pas particulièrement ce cocktail, mais c'est tout ce dont je disposais, et comme je ne voulais pas ressortir.

J'aurai voulu que Brian revienne à la maison pour me sauver.

Cependant le fait qu'il découvre ce que j'avais du faire me terrifiait. Ou plutôt ce que j'avais du subir.

Je savais que s'il venait à avoir connaissance du DVD, ce serait la fin de mon mariage.

Si qui que ce soit que je connaisse venait à voir ce DVD, je ne pourrai plus jamais affronter ces gens.

Je pensais que je ferai peut-être bien de prendre le revolver dont m'avait muni Brian pour flinguer Tom et ses 4 acolytes.

Mais si je faisais cela, en fait, je perdrai tout.

Je comprenais qu'il n'y avait pas moyen de faire machine arrière dorénavant.

Je n'avais pas d'autre choix que de retourner dans les griffes de Tom et de faire ce qu'il voulait, quoi qu'il m'ordonne de faire pour le distraire.

C'était la seule façon de protéger autant faire que se peut, la vie que j'avais bâtie, je ne pouvais que prier pour que Tom sente qu'il m'avait suffisamment tourmentée et que je ne pourrai pas supporter grand chose de plus, mais il ne fallait pas que j'y pense trop.

Il était très tard et je doutais de ma santé mentale, je ne pouvais m'arrêter de gémir et de pleurer, les images de mes pires épreuves de la jour-née passant et repassant dans mon esprit.

Je vidais mon verre et je réalisais que j'étais éméchée lorsque je me levais pour gagner la cuisine, je me rappelais alors que la seule chose que je n'avais que deux bières et deux rhums cocas bien corsés dans l'estomac depuis ce matin, et dieu sait quelle dose de foutre.

Je ne pouvais pourtant pas supporter l'idée de nourriture, aussi me réfugiais-je dans mon lit m'enroulais dans mes couvertures et pleurais jusqu'à ce que je m'endorme.

Il était encore tôt pour se coucher, vraisemblablement 18 heures, je ne me réveillais que vers 8 heures le lendemain matin.

J'avais un horrible mal de tête, je me secouais et me rendais dans la salle de bain, je pris une douche puis, je me brossais longuement les dents.

J'enfilais ma robe de chambre, je ne supportais plus de porter la tenue que j'avais du enfiler en quittant la maison, je gagnais la cuisine et me servais un bol de céréales avec un jus de fruit frais.

Je rinçais les plats et me lavais à nouveau les dents.

Je mettais du rouge à lèvres, brossais mes cheveux et finalement me forçait à enfiler ma tenue de salope.

Je me regardais dans le miroir et vis que lorsque je bougeais, la fente de coté offrait une large vue de mes fesses, cela promettait lorsque je marcherais dans la rue.

Je savais qu'on voyait une bonne part de ma croupe lorsque je la portais la veille, mais je ne pensais tout de même pas qu'on pouvait voir l'intégralité de mon cul.

Le haut me vêtait à peu prêt autant que le bas.

Si on exceptait l'horrible maxime écrite sur le devant, le tissu était si fin qu'on distinguait clairement mes nichons et était si court, qu'il les découvrait jusque sous les mamelons.

Pire encore, à chaque pas la brassière remontait encore, je devais la maintenir d'une main pour ne pas me retrouver les miches à l'air! .....

Le tout mettant en valeur l'horrible sentence : "ôtez-moi"

Je jetais un œil sur l'horloge ne me décidant à démarrer qu'à la dernière minute.

Je me rappelais la veille, et me ruais dans la salle de bain pour empoigner ma brosse à dents et du dentifrice que je fourrais dans mon sac à main.

J'ouvris ma porte et sortis, puis je verrouillais ma porte cherchant à ign-rer le grand nombre de gens qui s'arrêtait pour me regarder faire.

Je me précipitais vers ma voiture consciente que mon cul était largement exposé à chacun de mes pas.

Je me forçais à ne pas pleurer alors que je me rendais à l'appartement de Tom.

Je me garais aussi prêt que possible de la porte d'entrée et je jetais un nouveau coup d'œil sur ma montre.

Il ne me restait plus que 5 minutes pour toquer à sa porte. Je demeurais dans ma voiture jusqu'au dernier moment.

Je sortais de la voiture et frappais à sa porte à 10 heures pétantes.

Steve m'invita à entrer.

Tom se trouvait dans la cuisine, il buvait une tasse de café, Rory et Steve se tenaient dans le salon, ils regardaient à nouveau le DVD.

Je ne regardais pas la télé, mais j'entendais le son de mon viol, apparemment ils appréciaient ce Film.

Je vis qu'ils avaient tous une sacré bandaison, j'eus alors une bonne idée de ce que j'allais faire ce matin.

J'étais heureuse de constater qu'Harry et John n'étaient pas là, enfin pour l'instant.

Tom revint dans le salon et m'ordonna de me foutre à poil, je n'étais pas longtemps restée vêtue.

Lorsque je fus entièrement nue, il posa sa tasse à café, descendit son short et le fut signe d'approcher d'un geste du doigt.

J'avais abandonné toute idée de révolte, d'ailleurs sinon je ne serai pas là.

Mon corps avait récupéré de façon surprenante des abus de la veille, ma gorge était encore légèrement endolorie, mais pas suffisamment pour m'empêcher de m'en servir.

Je m'agenouillais entre ses cuisses et entrepris de lui sucer la bite.

J'eus du mal à la prendre en pleine gorge au début, mais après un moment je me débrouillais pour lui faire franchir ma luette, et une fois que j'eus brisé cette barrière tout devint plus facile.

A coup sur ce n'était pas plaisant, mais je pouvais faire une gorge profonde sans trop de mal.

Une fois que j'eus entamé sa pipe, il m'ignora et regarda mon viol qui défilait à la télé, ils regardaient nouveau le premier DVD.

Le son de mes gémissements enamourés et mes supplications de me faire baiser de long en large, mes réclamations pour obtenir d'être foutue par plus de bites, majoraient fortement mon humiliation.

Mais je savais déjà à quel point ils aimaient m'humilier.

Les bruits en l'arrière-plan troublaient et me dégoûtaient, mais ils appréciaient visiblement le spectacle.

J'en étais heureuse.

Je n'ais pas autant apprécié ce qui arriva ensuite.

On me dit d'enlever ma brassière de pute et Tom me tendit le bas du bikini que j'avais laissé chez eux en rentrant chez moi la nuit dernière.

ils l'avaient modifié. Ils avaient viré la doublure.

Je l'enfilais et regardais ce que cela donnait. C'était un bikini convenable à l'origine, et c'était maintenant une culotte de bikini aussi provocante que la brassière.

Pour aggraver la situation, il le remonta de façon à détailler ma foufoune et il entreprit de promener ses doigts dans ma fente.

Sec le fond de la culotte était opaque, je ne pouvais empêcher des poils pubiens de dépasser, mais je savais ce qui se passerait dès que j'irai dans l'eau, mon minuscule cache-sexe deviendrait transparent, et je sa-vais que de toute manière c'est ce qu'il avait en tête! .....

Tom empoigna un sac de voyage contenant quelques lotions solaires et des canettes de bière et nous nous dirigeâmes vers la piscine.

Le complexe résidentiel comportait plusieurs piscines, une était plus particulièrement destinée aux enfants en bas âge, la seconde était tout public, et la troisième était réservée aux adultes.

Non pas qu'il fut permis de se baigner nue ou autre licence de ce genre, il était seulement recommandé aux enfants de ne pas la fréquenter, je suppose que cela ne demandait pas d'explications superflues.

Nous gagnâmes la piscine réservée aux adultes, ils m'enjoignirent de m'installer sur une chaise longue à quelques pas d'eux.

Ils m'intimèrent aussi de me tremper dans la piscine toutes les demi-heures, et, en sortant de l'eau je devais trouver un volontaire pour m'appliquer de la lotion solaire sur le ventre et le dos.

Je ne devais refuser ce plaisir à personne.

Si l'on m'invitait à quitter l'aire de la piscine, je devais m'exécuter en un quart d'heure et revenir à ma place.

Je jetais un coup d'œil circulaire, j'attirais déjà l'attention des baigneurs.

Il y avait quelques couples, mais il y avait surtout des hommes assis autour de la piscine et quelques rares femmes seules, ou des groupes de femmes cherchant à rester entre-elles.

Tom me tendit un flacon de lotion et une canette de bière, me dit de la vider, et d'aller nager quelques minutes.

Puis, en compagnie de Rory et Steve, il s'allongea sur une chaise longue, toute proche de la mienne. Ils étaient assez de prêt de moi pour épier la moindre de mes conversations.

Je posais le flacon de lotion au sol et m'installais aussi confortablement que je le pus.

Je sirotais ma bière en essayant de ne pas penser à ce que j'allais devoir faire! .....

Je savais ce qu'il adviendrait du minuscule fond de mon bikini ainsi que du haut.

Lorsque je plongeai une tête dans la piscine, je savais qu'effectivement ils deviendraient totalement transparents, en qu'en sortant de la piscine je pourrai tout aussi bien être nue, on ne pourrait rien ignorer de mes ni-bards et de mon intimité.

Je mis autant de temps que possible pour siroter ma bière. Puis je me levais et gagnais l'échelle qui permettait de descendre dans la piscine, puis lentement je me plongeais dans l'eau fraîche, les commentaires salaces fusèrent dès ma mise à l'eau! .....

Vous devez, tout comme moi connaître ce type de commentaires machos, que tous ces jeunes gars immatures poussent à la vue d'une jolie femme.

Je feins de les ignorer et m'enfonçais dans l'eau jusqu'au cou, je m'appuyais pendant quelques minutes sur le rebord de la piscine savourant le contact de l'eau fraîche sur ma peau.

Je craignais fort ce qui allait suivre.

Je jetais des coups d'œil angoissé à Tom, il me regardait tout sourire, lorsqu'il en eut marre d'attendre, il me fit signe de sortir de l'eau, j'acquiesçais d'un hochement de tête.

Je revenais lentement vers l'escalier, grimpais les trois marches de béton et sortis de la piscine.

Je baissais les yeux et vis que mon bikini était aussi transparent que je l'avais craint. J'aurai tout aussi bien pu être entièrement nue.

Je me dirigeais rapidement vers mon transatlantique en cherchant à ignorer les regards concupiscents que me jetaient mes voisins.

Pour l'instant plus personne ne parlait, toutes les conversations avaient cessé.

Je me félicitais de porter des lunettes de soleil sombre, c'était tout ce qui me permettait de me cacher.

En passant, j'entendais le sourd bourdonnement des conversations de ces jeunes gens excités comme des poux.

Je les ignorais et retournais à mon fauteuil comme si de rien n'était et m'installais sur le transat.

Une seconde plus tard un de mes admirateurs faisait quelques pas cherchant à lier conversation avec moi, je devais l'y encourager.

Il se présenta et me félicita pour ma tenue qu'il adorait, je le remerciais et me rappelais alors de ce que je devais faire.

Je lui demandais s'il aurait la gentillesse de m'enduire de lotion solaire, cela ne semblait pas le déranger, bien au contraire si vous voyez ce que je veux dire.

Je lui tendais le flacon d'huile solaire m'allongeais sur ma chaise longue, fermais les yeux voulant ignorer qu'un complet étranger allait avoir accès à mes charmes les plus intimes.

Une fois le flacon débouché, il me demanda :

- "Tu as vraiment une fantastique brassière! ... L'inscription, Est ce vrai? ...."

Je baissais la tête sur l'inscription en larges lettres noires "Ôtez-moi", je notais que mes tétons étaient dardés et clairement visibles.

Je savais que Tom épiait notre conversation et j'opinais :

- Oui c'est vrai! ..."

Ce gars travaillait rapidement, il n'avait pas encore étalé de lotion sur mon corps qu'il me proposait les yeux braqués sur mes charmes :

- "J'en ai le souffle coupé, aimerai-tu venir dans mon appartement et l'ôter? ...."

Je lui souris nerveusement et répondis :

- "C'est d'accord, mais je dois être de retour dans un quart d'heure! ...."

Je lui pris le flacon de lotion des mains et le posais au sol.

Il m'aida à me relever, et fit un signe à ses copains qui nous contemplaient incrédules.

Comme il m'aidait à me lever, je pensais :

- "Finalement c'est pas si mal, il n'est ni gros, ni laid ni âgé, comme tous ces hommes avec qui j'ai du coucher hier! ...."

En fait il était plutôt mignon, il semblait terriblement jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de 18 ans, je me figurais que cela valait mieux, il serait certainement incapable de se contrôler bien longtemps.

En quittant la piscine il posa son bras autour sur mon épaule, puis il le laissa glisser prestement sur ma taille puis plus bas encore sur ma croupe joufflue.

Voyant que je ne protestais pas, il me pelota les fesses tout le long du chemin nous menant à son appartement.

On ne fit pas plus de quelques mètres dans son appart,

Dès que nous fumons entrés dans cet appart qu'il colouait avec deux copains de la fac toute proche, il m'enleva ma brassière et s'attaqua gauchement à mes nibards.

Il s'y prenait grossièrement et visiblement ne savait pas comment s'y prendre.

Après avoir malaxé mes nichons pendant quelques minutes, il descendit mon bikini et me fit pencher sur le dossier d'une chaise, puis il se démena pour trouver l'entrée de mon fourreau d'amour.

Il pressait sa grosse bite à l'aveuglette dans ma fentine, cela finit par me meurtrir.

Je tendis la main, empoignais sa bite et la guidais dans mon vagin alors qu'il se promenait du coté de mon anus.

Dès qu'il sentit ma chatte se refermer sur sa hampe, il jura sourdement et se mit à me pistonner frénétiquement, comme un jeune chien fou.

Je ne crois pas qu'il sut se contrôler un minute pleine, Dieu merci.

Il se servait de ma chatte pour se masturber, je savais maintenant qu'en fait, il était vierge, finalement il avait réussi à introduire sa bite dans la foufoune d'une femme mais on ne pouvait pas dire pour autant qu'il ait fait l'amour! .....

Je pensais cela alors qu'il venait de juter en moi avant de se retirer rapidement, ce n'était vraiment pas baiser.

J'utilisais quelques mouchoirs de papiers pour m'essuyer la fentine et comme je remontais mon bikini il me demanda :

- "Je n'aurai jamais cru que t'étais une salope... Pourquoi te conduis-tu ainsi? ...."

Je ne pouvais pas lui dire qu'on me faisait chanter, finalement je lui dis que j'avais perdu au jeu et évitais de répondre plus clairement à sa question.

Avant que nous quittions l'appartement il m'ajouta :

- "Ainsi tu dois baiser avec tous ceux qui te le demandent? ...."

J'hésitais

Je ne voulais pas que cela prenne plus d'importance que cela n'en avait! ....

Je terminais en hochant la tête, il grimaça un sourire et dit :

- "T'es drôlement chaude ma chérie! ..... C'était extra! ...."

- "Extra? ....."

Personne ne m'avait jamais dit cela! ...."

Comme nous retournions vers la piscine, je lui demandais :

- "Voudrais-tu encore m'enduire d'ambre solaire? ...."

- "Bien sûr! ..." me répondit-il avec enthousiasme.

Le pur langage restreint des collégiens.

Il me suivit jusqu'à mon transat, je m'étendais sur le ventre tandis qu'il m'enduisait le dos de lotion solaire.

Lorsqu'il en eut terminé, il m'enjoignit :

- "Au tour du coté face maintenant! ...."

Je jetais un coup d'œil sur Tom qui me souriait, ce qu'il avait en tête ne pouvait que m'humilier.

Je me retournais, précautionneusement, veillant à ce que mes nibards restent couverts.

Le jeune gars commença par étaler la crème sur mon ventre, mais rapidement il glissa ses mains sous mon soutien-gorge de maillot et entreprit de me malaxer les nichons après s'être assuré que ses potes le regardaient faire.

Lorsqu'il eut bien graissé mes miches il descendit ses mains et les glissa dans ma micro culotte enduisant de lotion toute une partie de mon anatomie qui n'était pas exposée au soleil.

Il était ravi de me caresser devant ses amis, et cela enthousiasmait ses potes de le voir faire.

Il était assis le long de ma chaise tandis qu'il étalait la lotion, et lorsqu'il eut fini il me dit :

- "Merci pour le coup qu'on a tiré! ...." et il partit rejoindre ses copains ébahis.

Il était temps.

Avant même que j'eus le temps de me redresser pour piquer une tête dans la piscine, un autre de cette petite bande de collégiens me rejoignit les yeux braqués sur mes appâts.

Il lut la maxime écrite sur ma brassière et me demanda :

- "Est-ce vrai? .... Ted m'a dit que vous baisiez avec tous ceux qui en faisaient la demande! ...."

Je levais la tête et le regardais, puis je fixais Ted, il ne m'avait pas dit son prénom, mais cela importait peu.

Ted et six de ses copains nous reluquaient avec excitation alors que je me tournais vers mon interlocuteur lui répondant :

- « Oui c'est vrai! .... »


Il me sourit et ajouta :

- "Alors je te le demande! ...."

Je m'assis, glissais mes pieds dans mes sandales, me levais et nous partîmes sous les yeux concupiscents des spectateurs. Je suppose que ce que nous allions faire était évident pour tous, ou plutôt ce qu'ils al-laient me faire.

Nous nous sommes dirigés vers un autre appartement, mais une fois de plus je ne dépassais pas le salon.

Une fois entré, il m'intima :

- "A poil! ..." et il sortit sa grosse bite.

Il s'assit sur le sofa; écarta ses cuisses en grand, je savais ce qu'il voulait sans même qu'il le précise.

Je m'agenouillais entre ses cuisses et le suçais docilement.

Cela ne prit pas plus longtemps que Ted pour qu'il éjacule, mais il avait le foutre le plus acre que j'ai jamais goûté.

J'avais été suffisamment violée ces derniers jours pour avoir goûté à bien des types de sperme.

Je n'avais jamais eu envie de vomir comme avec le foutre de cet animal, c'était ignoble, horrible.

Je me débrouillais finalement pour tout avaler, je me relevais et me rhabillais rapidement, lorsque la porte s'ouvrit et qu'une demi-douzaine de jeunes gaillards se rua à l'intérieur.

Ils avaient apparemment discuté entre eux de la situation et décidés qu'il n'était pas utile que je me fasse un seul gars à la fois.

Je ne pourrai pas être de retour à la piscine dans les quinze minutes suivantes, mais il n'y avait moyen d'échapper à la volonté de ces 6 jeunes.

Personne ne me demanda quoi que ce soit cette fois.

Ils se déloquèrent aussi vite qu'ils le purent et je me retrouvais à genoux au milieu du salon avec une bite dans la chatte et une autre dans la bouche pendant les minutes suivantes.

Ce fut une véritable corvée.

Aucun d'eux ne me baisa assez longtemps pour m'exciter, si tant et soit-il que je puisse être excitée en ces circonstances.

Ils riaient et plaisantaient à mon sujet alors qu'ils usaient de mes appâts.

Aucun préliminaires, ils me baisaient sans même me caresser.

Ils ignoraient mes nichons se contentant de me remplir la bouche et la chagatte, se relayant à chaque fois que l'un de mes trous se trouvait libre.

Il ne fallut pas beaucoup plus de 15 minutes pour que je revienne m'installer sur mon transat au bord de la piscine.

Je les avais fait jouir tous les 8, mais je me sentais dégradée, dégoûtée, bien que ce ne soit rien en comparaison de la veille.

Je devais reconnaître que j'avais subi bien pire.

A mon retour sur ma chaise, Tom pointa du doigt sa montre et me lança un regard réprobateur. Je frémis et lui montrais 7 doigts levés, puis, je me rassis sur mon transat, il secoua la tête de gauche à droite, je compris qu'il voulait que j'aille me mouiller à nouveau.

Il y avait plus de monde maintenant, la plupart des chaises longues étaient prises, j'attirai l'attention de l'assistance alors que je me dirigeais vers la piscine dans ma tenue de pute et me ruais dans l'eau.

Une fois dans l'eau, je posais les mains le bord de la piscine appréciant l'eau fraîche qui coulait entre mes jambes.

Je cherchais à ne pas penser à ce qui se passerait lorsque je sortirai de l'onde. Tandis que je me relaxais une paire de copains noirs s'approchèrent de moi et m'encadrèrent.

Ils semblaient eux aussi des lycéens, l'un d'eux me sourit et me dit :

- "Je n'ai pu m'empêcher de remarquer votre brassière lorsque vous déambuliez... Il faut beaucoup de courage pour porter ce type de tenue ici! ..... Où l'êtes-vous procurée? ...."

Je répondis qu'un ami me l'avait offert.

Le jeune gars sourit et répliqua :

- "Est-ce que vous le mettez uniquement pour faire plaisir à votre ami, ou le message est-il valable pour tous? ...."

- "Oh mon Dieu..." pensais-je " ça ne va pas être facile! ..."

Je répondis finalement :

- « Je peux m'absenter pendant un quart d'heure si vous disposez d'un logement proche..... »

Il jeta un œil vers son ami avec un large sourire et répliqua :

- "Nous partageons cet appartement qui fait le coin....... Est-ce assez près? ...."

Je hochais affirmativement de la tête et décidais :

- "Alors, allons-y! ...."

Je traversais la piscine à sa suite et en travers je sentais le regard des spectateurs qui me voyaient quitter la piscine accompagnée de deux noirs et gagner leur appartement.

Dès que nous avons quitté l'aire de la piscine ils posèrent leurs mains sur mes appâts.

Celui qui m'avait interpellé s'exclama :

- "Eh bien ma belle, tu ferais aussi bien de te promener nue! ..... Savais-tu que ton maillot devenait transparent au contact de l'eau? ...."

J'opinais de la tête.

- "Bordel t'es une vrai salope alors! ....." s'esclaffa-t-il médusé.

Je soupirais résignée et concédais :

- "Je le suis devenue! ...."

- "J'ai justement ce dont tu as besoin ma salope! .... Avec Nathan on va te donner la ration de bites noires que tu nécessites! ..... Et si tu n'en pas encore assez, j'appellerai des potes! ...."

- Je lui dis que je devais être de retour à la piscine dans 15 minutes.

Il grogna :

- "Bien, bien, bien....."

Je m'arrêtais et repris :

- Non je dois impérativement être de retour d'ici un quart d'heure! ...."

Il me regarda en rigolant et reprit :

- "Qu'est-ce que c'est que cette histoire? ...."

Je lui donnais une version expurgée de mon histoire comme si je parlais à un gamin.

- "Je me comporte ainsi parce que j'ai perdu un pari! ..... Je dois suivre certaines règles... Je vous suivrai dans votre appart si tu me le demandes, mais je dois être de retour sur mon transat dans 15 minutes au plus! ..... Sinon j'aurai de gros ennuis...... Si je dois avoir des ennuis à cause de vous deux, autant que ce soit parce que j'aurai refusé de baiser avec vous....."

Il me rétorqua alors :

- "C'est bon pressons-nous dans ce cas! ....."

Nous avons gagné son appartement et juste avant qu'il ne ferme la porte je jetais un œil et vis que je voyais distinctement ce qui se passait dans la piscine et tous ces gens qui stupéfaits me regardaient le suivre docilement dans son appart.

Il m'installa milieu de la salle de séjour.

Je suppose que personne dans le coin ne baisait dans un lit!

Je remarquais qu'il n'avait pas fermé la porte dans son dos.

Je ne dis rien cependant.

Qu'allait-il se passer à ce stade du jeu? .....

Je suivis ses instructions et enlevais mon minuscule bikini et je me disposais à quatre pattes alors qu'ils se déloquaient rapidement, l'un d'eux enfouit sa bite dans ma bouche, un autre dans ma chatte.

Cela semblait leur seule façon d'envisager les rapports sexuels.

Je remarquais cependant que certains stéréotypes ne se vérifiaient pas toujours, leurs bites étaient de dimensions forts différentes.

Celui qui se branlait dans ma bouche éjacula rapidement.

L'autre, celui qui m'avait "baratiné" prenait son temps, il utilisait ses mains pour me peloter puisque je ne me défendais pas, il réussit à éveiller mes sens.

Juste avant de jouir, il se mit à me claquer les fesses tout en m'agonisant d'injures.

Je ne sais pas ce qui me prit, mais, lorsqu'il empoigna fermement mes hanches plongeant profondément dans mon utérus, un orgasme inattendu me terrassa et je jouis sauvagement.

Je grognais et gardais ma tête entre mes mains alors que sa bite s'amollissait en moi.

Il se retira finalement de ma féminité et je remontais sur mes genoux cherchant du regard mes vêtements.

Je réalisais soudain qu'ils étaient maintenant une demi-douzaine d'adolescents, garçons et filles, qui se tenaient à la porte d'entrée incrédule.

Je me remettais sur pied rapidement et me précipitais au dans les toilettes alors que les deux jeunes hommes qui venaient de me posséder éclataient de rire.

J'utilisais les toilettes pour m'essuyer et remettre mon bikini.

Ils m'attendaient à la porte et lorsque nous retournâmes à la piscine je leur demandais si l'un d'eux voulait bien étaler de la lotion solaire sur mon corps.

Ils étaient plus qu'enthousiastes pour se dévouer.

Je fixais mon regard sur Tom en me rasseyant sur mon transat.

Je n'avais pas le courage de regarder autour de moi.

Dès que je le lui eus demandé, le jeune gars qui avait marchandé avec moi, prit la lotion solaire et entreprit de m'en enduire le dos.

Ses mains, comme celles de ses prédécesseurs qui avaient oint mon corps d'huile solaire, passaient plus de temps dans mon minuscule bikini que sur mes chairs exposées au soleil.

Et ce fut pire encore lorsque je me tournais sur le dos, il déposa une mare d'huile sur mon ventre et il repoussa mon soutien-gorge révélant aux yeux de tous mon opulente poitrine, je tentais à plusieurs reprise de le rabattre, je lui demandais même de cesser son petit manège, mais il continuait imperturbablement à me triturer les miches en dépit de mes protestations.

Il invita un de ses copains à le rejoindre et lui passa l'ambre solaire, ce-lui-ci commença par oindre mes pieds et remonta lentement le long de mes jambes jusqu'à atteindre le fond de mon petit, petit bikini.

Je jetais un coup d'œil circulaire et vis qu'il y avait bien une douzaine de spectateurs assis autour de nous qui observaient attentivement ces jeunes hommes qui leur dévoilaient mes charmes les plus secrets, pour leur plus grand plaisir.

Finalement il me tendit le flacon d'huile et me remercia pour le bon temps que je venais de lui offrir, puis il repartit, suivi de son pote vers leurs chaises respectives.

C'était le premier des treize jeunes hommes qui venait de me baiser à se montrer poli et reconnaissant.

Aussi vite que je pensais cela, je m'insurgeais :

- "Mon Dieu! .... Déjà 13 hommes ont joui de mes charmes! .... Combien d'autres devrai-je encore satisfaire cet après midi? ...."

Je savais qu'il était temps de retourner plonger une tête dans la piscine et de ressortir pour parader avec mon maillot trempé sous les yeux des admirateurs qui nous entouraient, exposant par transparence ma chatoune, mon cul et mes nibards comme si je me promenais nue parmi eux.

J'avais besoin de me relaxer encore quelques instants avant de m'exécuter.

Il n'était que 13 heures et quart de l'après midi et j'étais déjà éreintée.

J'étais assoiffée.

Je n'ai pas bu depuis le verre de bière qu'ils m'avaient offert lors de mon arrivée.

J'avais chaud et soif et dans la bouche le goût un puissant remugle de sperme, j'allais demander à Tom si je pouvais avoir u verre lorsqu'il tendit le doigt vers moi et me fit signe d'approcher.

Comme je m'approchais de lui, il fouilla dans son sac me tendit sa clef et m'ordonna :

- "Va nous chercher une bière! .... Puis tu reprendras lorsque tu auras éclusé la tienne..... Tu peux constater que je prends grand soin de ton bien-être ma chérie! ...."

Je ne lui dis pas ce que j'en pensais! ......

Je gagnais l'appartement de Tom et sortis 4 bières, je me reposais une bonne minute penchée sur le réfrigérateur je respirais profondément.

Je me battais pour refouler mes larmes avant de retourner les rejoindre.

Je n'osais pas flâner trop longtemps, je ne voulais pas donner à Tom une nouvelle raison de me tourmenter.

Je tendais les trois bières à mes trois tourmenteurs et regagnais mon siège ou je sirotais la mienne.

Je sais que lorsque j'aurai vidé ma canette je devrai retourner dans la piscine.

Je buvais à petites gorgées, m'efforçant d'estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, j'avais vidé la moitié de ma bière lorsque ces relents s'effacèrent.

J'avais quasiment vidé ma canette lorsqu'un homme me rejoignit et sans plus d'explication s'assit sur le coté de mon transat.

Il était plus vieux que l'aréopage qui m'entourait, je pense qu'il avait dans les 45 ans.

Il me sourit et me dit :

- "Cela fait un bon moment que je vous observe, je suis fasciné... Vous êtes jeune, ravissante, sexy et vous baisez avec tous ceux qui vous le demandent... Et cela ne semble pas vous réjouir! .... Je suis vraiment curieux de savoir ce qui se passe! ...."

Je lui ressortis la même histoire que j'avais servie aux autres, il me dit alors :

- "Je reste sceptique, mais je trouve l'opportunité de vous baiser irrésistible! ..... Voulez-vous me suivre dans mon appartement! ...."

Je lui répondis que je pouvais le suivre dans son appartement, mais que je devais être de retour dans 15 minutes.

Il me dit alors que c'était une honte, il aurait voulu prendre son temps pour me cajoler.

Je lui dis juste que c'était la règle que je devais observer, il se leva et me tendit la main.

Je pris sa main et il m'aida à le relever à mon tour, puis nous sommes partis vers son appartement.

Contrairement à ces jeunes gens qui 'avaient possédé auparavant il m'emmena dans sa chambre et me prit au creux de son lit. Il me regardait avec une sorte de révérence. Il était doux et gentil, il s'allongea à mon coté et me caressa lentement m'excitant de telle façon que lorsque je me tournais pour l'accueillir, j'étais fin prête.

C'était la première fois qu'on me faisait l'amour depuis que Brian était parti, même si c'était contre mon gré je m'en réjouissais.

Peut-être bien que c'était uniquement parce qu'il ne me traitait pas comme un morceau de viande à utiliser pour prendre son pied! .....

Ses mains exploraient mes charmes, éveillant mes sens alors que je m'échauffais. Il m'embrassait avec passion bien qu'il m'ait vu quitter la piscine pour suivre tous ces hommes.

Il était vraiment un bon amant et à ma grande surprise je sentais un orgasme fracassant monter dans mes reins et je jouis de tous mes membres avant que lui-même ne jouisse. J'essayais de ne pas le montrer, j'étais presque gênée, pourtant il savait que j'avais joui de tous les pores de ma peau.

Lorsqu'il eut giclé dans mon ventre il resta allongé sur moi et me sourit me disant :

- "C'était vraiment formidable! ..... Tu ne sembles pourtant pas être le genre de fille qui se livre à ces actes lascifs, même pour éponger une dette... Me cacherais-tu quelque chose? ...... Si tu as des ennuis je suis prêt à te venir en aide! ...."

Je lui souris, c'était vraiment gentil de me proposer son aide, mais je savais que personne ne pouvait m'aider, je ne pouvais que supporter mon sort.

Je le remerciais et lui répondit que j'appréciais son offre et que j'en étais très touchés.

Je n'ajoutais rien à ces mots.

Je ne pensais pas que quiconque puisse m'aider, mon problème majeur était ce DVD qu'ils pouvaient envoyer à n'importe qui.

Il extraya finalement sa bite amollie de sa chatte, je gagnais la salle de bain la salle et me nettoyais prestement.

Je le rejoignis, enfilais de nouveau mon micro bikini et le remerciais de s'être montré aussi gentil avec moi puis sous sommes retournés à la piscine.

Il m'accompagna jusqu'à mon transat, j'allais m'asseoir lorsque je vis Tom et ses deux amis se lever, et m'appeler d'un signe de tête, je m'approchais pour voir ce qu'ils voulaient.

- "On s'est assez amusé pour cette matinée, allez on s'en va main-tenant! ......"

Nous retournâmes dans l'appartement de Tom et les 45 minutes suivantes je les passais avec chacun d'eux, tour à tour sous la douche. Je dus les savonner et les rincer à chacun leur tour. Puis je pus me laver moi-même.

Lorsque je sortis de la douche, ils s'étaient rhabillés, je remis mon pagne et la première brassière que Tom m'avait achetée.

C'était ce tout petit maillot sur lequel était inscrit : "Baisez-moi".

Avant que nous quittions l'appartement, Tom me menotta les poignets. J'avais de mauvais pressentiments.

Ce qui était arrivé la veille avait été incroyablement pénible et humiliant, j'avais espéré que ce ne serait qu'un épisode malheureux, que désormais ils me baiseraient me rebaiseraient et m'humilieraient selon leur bon plaisir avant que je ne retourne chez moi, mais visiblement ce n'était pas leur intention.

On gagna la voiture de Tom, cette fois je dus m'asseoir sur le siège passager.

Tom démarra, et avant de quitter le parking il releva mon maillot au-dessus de mes nibards les offrant aux regards.

Une fois de plus j'étais heureuse que mes lunettes soient teintées ce qui me cachait des passants.

Aussi idiot que cela puisse paraître, je me réjouissais que tous ceux qui me voient me balader les seins à l'air ne puissent voir mes yeux.

Et il y avait beaucoup de gens qui me reluquaient.

Tom conduisait lentement, il nous emmena dan su petit restaurant le long de la rivière, pendant tout le chemin des dizaines de piétons, ou de conducteurs dans leurs véhicules pouvaient détailler mes charmes mammaires exposés de façon provocante.

Tom se gara devant le restaurant, il m'ouvrit la portière, m'aida à descendre et rabattit le top sur ma poitrine.

Nous sommes entrés dans le restaurant et l'avons traversé pour nous installer à une table le long de la rivière.

C'était un bel après-midi, une légère brise ridait les eaux, mon pagne voletait au gré du vent exposant mes charmes les plus secrets, les personnes que l'on croisaient s'immobilisaient pour mieux inventorier mes appâts.

Je ne pouvais rien faire pour me préserver de leurs regards, mes mains étaient toujours menottées dans mon dos.

J'étais sur d'être devenue le centre des conversations, bien sur j'étais la seule de toute l'assistance à arborer des menottes en cuir.

Pourtant cela empira encore.

Comme nous nous dirigions vers notre table, je sentis que ma brassière remontait et, en m'asseyant, je vis que mes tétons étaient clairement ex-posés aux regards de tous, alors que le bout de tissu censé couvrir mon pubis glissait sur le coté exposant mes charmes intimes de la taille aux pieds.

Je suppliais Tom de m'ôter mes menottes où tout au moins de rectifier ma tenue, mais il me sourit et me prévint :

- "Tais-toi stupide petite salope, si je voulais que tu sois décente je ne te ferai pas mettre cette tenue putassière! ....."

Tous les consommateurs avaient les yeux rivés sur moi maintenant, seuls les plus proches détailler ma chatoune.

A quoi pensais-je donc? ....

Comment pouvais-je dire que seuls une douzaine de personnes jouissaient de la vue de ma foufoune? .....

Cependant tout le monde se rendait compte que je portais une tenue minimum et que la moitié de mes nibards étaient découverts.

Je restais aussi calme que possible et respirais lentement espérant éviter ainsi que mon top ne remonte encore.

J'espérais ardemment que notre serveuse arriverait et que je pourrais lui demander de réajuster ma tenue.

Il n'y avait aucune chance que cela arrive.

Il ne s'agissait pas d'une serveuse mais d'un jeune serveur qui appréciait ma tenue tout autant que les autres consommateurs et qui me sourit tandis que je voyais sa bite se déployer comme un mas de tente alors qu'il prenait la commande de Tom et ses deux amis.

Lorsqu'ils eurent tous commandés, le serveur se tourna vers moi, je regardais Tom et lui dis :

- "Je ne peux pas manger ainsi! ...."

Il me répondit :

- "Commande, je te les enlèverai lorsque les plats arriveront! ...."

Je n'avais pas très faim.

C'est difficile d'avoir faim lorsqu'on se sent dégradée.

Pourtant l'odeur de nourriture me chatouillait les narines.

Aussi demandais-je un sandwich et un coca light.

J'entendais les conversations reprendre autour de nous.

Je suis à peu prêt certaine que le sujet de leurs échanges avait changé, je sentais toujours les yeux rivés sur mes charmes, les choses empirèrent à nouveau, je sentis un de mes nibards sur le point de s'extraire totalement de mon top pour prendre l'air.

A chaque respiration les choses empiraient.

Je signalais à Tom qu'un de mes nichons serait bientôt totalement libre, il me sourit et commenta :

- "Y-t-il des plaintes? ..... Si oui je dois y faire attention! ...."


Dans les secondes qui suivirent mon premier nibard puis l'autre jouèrent les filles de l'air, les trois copains se sourirent entre eux et m'ignorèrent discutant de la façon d'opérer pour négocier le DVD qu'ils avaient tourné ce week-end.

Je remarquais que tous les gens qui quittaient le restaurant s'arrangeaient pour passer auprès de notre table.

Je notais aussi qu'il n'y avait que peu de gens qui partaient depuis notre arrivée.

Ils commandaient des boissons et restaient assis les yeux rivés sur mes charmes, ils attendaient de voir ce qui se passerait ensuite je suppose.

Notre serveur revint alors avec nos boissons, la seule façon que j'avais de me désaltérer était de sucer la paille qu'il avait trempée dans le verre.

Je ne voulais surtout pas que ce stupide top que je portais remonte plus au-dessus de mes miches.

Il s'écoula de nouveau cinq bonnes minutes avant qu'il revint avec la nourriture, Tom tendit la main et me libéra une main, me laissant à moitié entravée.

Rory avait accroché la menotte à une jambe de ma chaise, je ne pouvais donc me servir que d'une seule main.

Je voulus ajuster ma tenue pour dissimuler mes charmes trop largement exposés.

Tom intervint alors :

- "Arrête salope..... Tu manges ton sandwich et sirote ta boisson sans t'occuper de ta tenue...... Elle me plait comme ça! ....

Je bougeais avec précaution de peur d'empirer encore les choses et grignotait mon sandwich tout en vidant mon verre, pleinement conscient que j'offrais un spectacle des plus érotiques à tous nos voisins

Mon top continuait à remonter à chacun de mes mouvements exposant presque totalement mes nichons.

Je voulais désespérément cacher mes appâts, j'espérais encore plus quitter cet endroit, j'étais folle d'humiliation.

Les choses semblèrent s'arranger quelque peu lorsqu'un homme élégamment vêtu s'approcha et se présenta comme le gérant des lieux.

Il dit :

- "Je suis désolé de devoir intervenir, mais je dois installer une famille avec enfants sur une table proche de la votre aussi dois-je vous demander d'adopter une tenue correcte au moins jusqu'à leur départ.

Tom lui sourit en retour et répliqua :

- "Pas de problème mon gars... " puis se tournant vers moi il ajouta :

- "T'as compris salope, ajuste ta tenue......"

Je rabattais rapidement ma brassière et tournais mon pagne pour qu'il cache ma chatoune.

Mais une fois couverte, la situation n'amusait plus mes tourmenteurs, ils vidèrent leurs verres, me libérèrent, se levèrent et on quitta le restaurant.

J'étais affolée.

J'avais été profondément humiliée dans le restaurant, mais cependant c'était un endroit où j'étais en sécurité, je n'osais m'imaginer ce que Tom avait programmé pour la suite, à chaque fois cela s'était terminé par une série de viols.

Lorsque nous sortîmes, il m'entrava à nouveau les poignets et nous sommes retournés dans la voiture.

Il était à peine 15 heures.

Je grognais en voyant ou nous allions.

Tom se gara dans le parking juste devant le club photo.

Je ne parvenais pas à cacher mon angoisse.

Je le suppliais de ne pas me faire revivre cette épreuve.

Il sourit et me dit :

- "Désolé ma chérie, j'ai eu une foule de demandes pour que tu reviennes et c'est de l'argent facilement gagné! ...."

Ils me tirèrent hors de la voiture et nous avons retourné au club.

Le colosse noir qui gérait les lieux sourit en nous voyant.

Il vint nous rejoindre et nous entraîna tout de suite dans le vestiaire.

Il me toisa du regard et me dit :

- "Personnellement j'adore la façon dont tu es vêtue aujourd'hui! .... Mais tes clients veulent que tu les excites à mort! ..... Ils veulent tirer quelques clichés de ta petite culotte avant de passer aux choses sérieuses."

Il me sortit quelques tenues de ville tout à fait ordinaires, il me tendit des vêtements que j'aurai choisi pour m'habiller d'acheter si j'en avais eu l'opportunité.

Tom m'enleva les menottes et tandis que je me changeais, il se mit à discuter avec le gérant en se promenant de ci de là, dans la pièce. Je savais qu'ils discutaient de moi, ils planifiaient ma prestation.

Je ne voulais pas y penser.

Je me tenais devant Rory et Steve vêtue d'un chemisier et d'une jupe ordinaires, en dessous j'avais des sous-vêtements tout à fait traditionnels.

Tom revint vers moi et me sourit démoniaquement quand il me vit ainsi vêtue, il me rappela :

- "Tu connais la routine... Tu te mêles à tes clients et tu te montres gentille avec eux! ..... Puis tu viens dans la pièce des prises de vue, tu prends les poses qu'ils demandent et tu enlèves un vêtement à chaque tintement de la cloche..... Si tu me déçois, il y a une salle réservée au sadomasochisme et l'on pourrait très bien y poursuivre notre petite fête! ..... Mais je ne pense pas que veuilles me décevoir, n'est-ce pas ma chérie? ....."

Je secouais négativement la tête me résignant à jouer une nouvelle fois les prostituées pour leur grand plaisir.

Tom sourit et me félicité :


- "T'es vraiment une bonne fille ma petite salope... " puis il me prit par le bras et me poussa dans la salle principale où je me mêlais aux consommateurs.

A suivre...

La nouvelle vie de Christine Ch. 13

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Soumise à son patron et ses collaborateurs.

Alors que Francis et Bruno discutaient près de la porte, Christine se rhabillait lentement. Tout en reboutonnant son chemisier, elle pensait que son travail était terminé pour aujourd’hui.

Elle avait tort.

Lorsque Bruno quitta le bureau, Francis se tourna vers ma belle-mère et lui dit :

- Vous ai-je dit de vous habiller?

- Euhhhhhh... Non Monsieur MULLER. Dit Christine, ses doigts immobiles sur un bouton du chemisier

- Eh bien, je vous suggère de vous déshabiller à nouveau et de vous habituer à rester en sous-vêtements. Dès lundi, ce sera votre nouvelle tenue de travail. Est-ce compris?

- Oui Oui Monsieur MULLER.

Ma belle-mère se dépêcha de déboutonner son chemisier afin de l’enlever. Et rapidement, elle quitta sa jupe.

- Voilà qui est mieux. Dit son patron en reprenant Son siège.

Puis il indiqua à ma belle-mère de s’asseoir dans son fauteuil derrière le bureau. Il lui déclara :

- Téléphonez à Marc DELAIN et dites-lui que j’ai besoin de lui ici de toute urgence.

- Oui Monsieur MULLER.

Elle prit le téléphone et composa le numéro. Il sonna peut-être trois ou quatre fois puis Marc répondit. Elle dit :

- Bonjour Marc. Pourriez-vous revenir au travail s’il vous plait. M. Muller a besoin de vous de façon urgente. Retrouvez nous dans mon bureau.

Elle écouta la réponse et raccrocha.

Francis demanda à Christine :

- Dans combien de temps sera-t-il là?

- Dans vingt minutes. Répondit-elle.

- Bon, je vais déjeuner. Si vous mangez dans votre bureau, alors vous restez tel quel mais si vous voulez aller à la cantine vous pouvez vous rhabiller mais ensuite vous revenez et vous déshabillez.

Francis quitta le bureau. Je pris le téléphone et téléphonai à ma belle-mère.

- Salope? Dis-je dès qu’elle décrocha.

- Oui Maître?

Alors que je la regardai sur mon écran de pc, je lui demandai :

- As-tu aimé que l’entrepreneur te baise?

- Oui Maître. Fut sa seule réponse.

- Tu étais si sexy et si soumise. La complimentai-je.

- Merci Maître.

- J’ai l’impression que ce n’est pas fini étant donné que Marc arrive. Es-tu prête à te faire encore enfiler Salope?

- Pas vraiment Maître. Mais il semble que je n’ai pas le choix...

Contrariée, sa voix se brisa légèrement.

- Ne t’inquiète pas. Il te suffit de penser à l’argent que tu vas gagner. Une bonne pute gagne beaucoup d’argent en s’occupant de grosses bites.

Je voulais lui faire savoir que j’étais satisfait de son évolution.

- Oui Maître, je suis votre pute. Dit-elle

- Bon, rappelle-toi que je te regarde. Je te téléphone plus tard.

Alors qu’elle raccrochait, je filai à la cuisine pour me faire un sandwich.

Quand je revins regarder mon écran, Christine était encore assise à son bureau, sirotant une bouteille d’eau. Marc n’était pas encore arrivé et Francis n’était toujours pas revenu de déjeuner. Alors que j’étais à la moitié de mon sandwich, j’entendis le bruit d’une porte qui s’ouvre. La tête de ma belle-mère tourna immédiatement vers l’entrée de son bureau.

Une discussion enfla, et un instant plus tard, Francis, suivi de Marc entrèrent dans le bureau. Ils se turent et un immense sourire se dessina sur le visage de Marc lorsqu’il remarqua que sa supérieure était assise derrière son bureau, en soutien-gorge, sa poitrine débordante.

Francis reprit son siège en face du bureau et fit signe à Marc d’attraper un autre fauteuil et de venir s’asseoir à côté de lui. De la sorte, ils étaient tous les deux en face de ma belle-mère.

Francis se tourna vers Marc et dit en pointant son doigt:

- Très bien Marc, je vais être court. Vendredi soir, alors que j’étais parti, je sais que vous avez pris cette salope en levrette sur son bureau....

- Euhhh.... Désolé.....Commença à dire Marc, gêné.

Francis le coupa en levant sa main.

- Taisez-vous Marc. Cela ne me dérange pas. Christine a des attributs qui me plaisent et que je veux utiliser, d’où son accoutrement. Maintenant que je la connais, je comprends qu’il était trop dur pour vous de ne pas la baiser.

Francis parlais de son employée comme si elle n’était pas là. Il voulait lui faire comprendre son nouveau statut.

Marc, beaucoup plus à l’aise maintenant qu’il comprenait que son patron n’allait pas le renvoyer, répondit :

- Oui M. MULLER, il était difficile de me retenir.

- A partir de lundi, Christine travaillera à l’étage, dans un nouveau bureau conçu pour son nouveau rôle de « Faciliteuse de contrats » au sein de la société. Nous aurons une réunion d’équipe lundi après-midi afin de discuter de tout cela. Ok?

Francis regarda Marc qui était un peu perplexe de la tournure des événements. Tout en jetant un regard sur le décolleté de sa supérieure, celui-ci approuva :

- Oui d’accord M. MULLER.

- La raison pour laquelle je vous ai fait revenir est que je vous offre la place de Christine en tant que directeur de ce département. Vous aurez son salaire après une période de trois mois d’essai ainsi que d’autres avantages.

Marc était visiblement heureux et souriait largement à l’annonce de sa nouvelle promotion qu’en fin de compte, je lui avais fait gagner.

- Merci M. MULLER, je suis très honoré.

- Par contre, nous devons choisir un nouveau directeur adjoint pour ce service.

Marc, toujours avec un grand sourire sur le visage, proposa :

- Je crois que j’ai la personne qu’il vous faut. Nicolas MOUTON, c’est le plus compétent.

- Oui, bon choix, c’est un gars fiable. Dit Francis.

Puis il regarda ma belle-mère et lui dit :

- Téléphonez à Nicolas MOUTON et dites-lui de venir le plus vite possible.

Francis serra la main de Marc afin de sceller leur accord. En arrière-plan, Christine parlait au téléphone :

- Bonjour Nicolas, c’est Christine. M. MULLER a besoin de vous voir, il s’agit d’une chose urgente. Pouvez-vous venir au bureau?

Elle raccrocha. Francis attendait sa réponse.

- Il sera là dans cinq minutes M. MULLER. Il fait des courses et est en train de payer.

- Bien! Nous allons l’attendre alors.

Je me doutais de ce qu’il allait se passer. Je pensais au moment où j’avais demandé à ma belle-mère si elle était prête pour la queue de Marc. Elle allait sûrement en avoir plus cet après-midi.

Nicolas arriva cinq minutes plus tard, entant en courant dans le bureau, inquiet. Puis il vit Francis et Marc, assis en face de sa patronne en soutien-gorge. Il demanda, étonné :

- Oh merde!!! qu’est-ce qui se passe ici????

- Asseyez-vous Nicolas, je vais vous expliquer.

Francis montra le canapé dans le coin du bureau, utilisé habituellement pour des réunions informelles.

- Il va y avoir quelques changements dans ce service à partir de lundi.

- Oui je vous écoute. Répondit Nicolas, son regard passant de son patron à Marc puis à ma belle-mère.

- Je ne sais pas si Marc vous a raconté. Mais vendredi soir il a baisé cette salope ici. Indiqua Francis en pointant son doigt sur Christine.

Nicolas dit en les regardant :

- Je ne savais pas. Si je m’attendais à ce que vous baisiez ensemble......

Francis le coupa avant qu’il termine.

- A cause de cela, j’ai remarqué que Christine avait de très bonnes compétences.

Il obtint un grand sourire comme réponse. Ils savaient tous les deux exactement ce que cela signifiait.

- Donc, à partir de lundi, elle travaillera à l’étage, dans un nouveau bureau, avec le grade de « Faciliteuse de contrat. »

- D’accord. Dit Nicolas tout souriant.

- Comme il me faut un nouveau directeur pour ce service, j’ai proposé le poste à Marc qui a accepté. Je vous propose de devenir son assistant?

- Bien sûr, j’accepte.

- Comme Marc, après trois mois d’essai, vous aurez son salaire ainsi que de nombreux avantages au sein de la société.

Francis tendit la main à Nicolas qui s’empressa de la serre pour signifier son accord.

- Excellent. Maintenant que nous avons réglé toutes les formalités, nous pouvons passer à des choses plus intéressantes.

Francis sourit à ses deux subordonnés avant de regarder Christine, terriblement mal à l’aise derrière son bureau, trois paires de yeux fixées sur elle.

Après un moment de silence dans le bureau, Francis parla à nouveau :

- Il faut que je m’assure que Christine répond à toutes les situations. Elle a déjà passé un petit test avec brio donc je suis confiant dans sa capacité à réussir à faire mieux. Christine? Venez donc faire une petite fellation à Marc?

Nicolas se balança dans le canapé et dit excité :

- Oh merde.....C’est fou.....

En le regardant je me dis qu’il était plus jeune que Marc. Je lui donnais 28-30 ans. Il ne portait pas d’alliance. Je suis sûr qu’il allait bien profiter de ma belle-mère.

Je vis son excitation augmenter quand il vit son ex-supérieure se lever en talons et bas avec un simple bout de tissu déjà mouillé recouvrant les lèvres de sa chatte enflammée.

- Putain Christine! Pendant toutes ces années, vous nous avez caché ce corps splendide.

Alors que ma belle-mère allait s’agenouiller entre les genoux de Marc, Francis l’arrêta en lui tapotant les fesses et lui demanda de rester debout.

Elle se pencha et batailla sur la ceinture de l’homme. Enfin, elle put baisser son pantalon ainsi que son caleçon et atteindre le membre encore flasque. Avec ses doigts, elle commença à le branler. La bite de Marc devint de plus en plus rigide sous ce traitement.

- Mettez-vous près d’elle Nicolas, je suis sur qu’elle peut utiliser son autre main à bon escient!

L’homme, impatient ne se fit pas prier et fut à côté de la femme en un instant. Marc se leva en face de Christine. Elle réussit, tout en masturbant le premier homme avec un bras en arrière, à défaire et baisser le pantalon ainsi que le caleçon de l’autre homme.

Avec la webcam, je ne pouvais pas voir le membre de Nicolas mais il souriait beaucoup. Mais je voyais les deux bras de ma belle-mère qui s’agitaient à faire durcir les deux queues.

Alors qu’elle branlait les deux employés, Francis se leva et dégrafa son soutien-gorge. Tout de suite, Nicolas attrapa le sein droit et le malmena grossièrement. Les mains de Christine quittèrent brièvement les deux membres afin de permettre au soutien-gorge de tomber au sol.

Maintenant, ses mamelons étaient tirés et pincés par les deux hommes alors qu’elle les branlait aussi vite qu’elle le pouvait. Je vis que Francis commençait à enlever la petite culotte en la tirant vers le bas. Il demanda à ma belle-mère d’enjamber le bout de tissu, ce qu’elle fit sans hésitation.

Francis se rassit et demanda :

- Écartez vos jambes Christine! Il faut que Nicolas se familiarise avec votre corps. Marc le connait déjà.

Les jambes de ma belle-mère étaient bien écartées et l’accès à sa chatte fut extrêmement facile pour Nicolas qui tendit la main pour que ses doigts caressent ou sondent le trou et le clito. La femme n’arrêta pas de branler les bites même lorsqu’elle eut un sursaut lorsque son ancien subordonné martela son vagin avec trois doigts.

Continuant à la pilonner avec ses doigts bien lubrifiés, il commenta :

- Votre chatte est déjà complètement trempée Christine, vous êtes vraiment une salope.

- Cela vient peut-être du test passé ce matin. A moins que vous n’ayez beaucoup d’effet sur les femmes.

Francis plaisantait et les trois hommes se mirent à rire.

Marc demanda en regardant son patron:

- Quel test?

- L’entrepreneur qui arrange le nouveau bureau de Christine l’a essayé ce matin.

- Quelle chienne! Dit Nicolas.

Ma belle-mère baissa les yeux vers le sol, honteuse de sa situation. Mais comme une bonne soumise, elle continua à branler les deux bites tout en laissant les doigts s’agiter dans sa chatte.

J’ai cru qu’elle allait bientôt jouir mais Marc eut une idée et déclara qu’il était temps qu’il la pénètre. Il la retourna et, avec sa main, il guida sa tête vers le membre de Nicolas.

Celui-ci laissa échapper un gémissement alors que la bouche humide engloutit sa queue. Il savoura la fellation experte qui lui était donnée. Christine avait placé ses mains sur les hanches de Nicolas afin de garder son équilibre. Mais Marc avait encore une idée.

- Reculez Christine et montrez-moi votre chatte.

La femme tendit les bras dans son dos afin d’attraper ses fesses et les écarter, donnant une vue dégagée sur son sexe mouillé. Mais elle eut du mal à s’équilibrer donc elle écarta encore plus les jambes pour mieux de stabilité.

Marc s’avança, mit une main sur le dos de son ex-patronne, et pénétra son vagin comme il l’avait fait le vendredi.

- Mmmmmmphhhh ummmmph ummmmummm!

Christine gémit, la bouche pleine. Ces bruits étouffés étaient constants. C’était la seule bande son de la scène sordide que je pouvais voir sur mon écran. Marc se mit à labourer violemment ma belle-mère qui avait de plus en plus de mal à rester sur ses pieds. Alors elle remit ses mains sur les hanches de Nicolas. Sans rien dire, Marc la baisa encore plus violemment maintenant qu’elle pouvait se tenir.

Après le petit traitement que sa chatte avait subi avec les doigts de Nicolas et les coups de butoirs de Marc, au bout de trois minutes, elle se redressa :

- OUIIIIIIIIIII, ARGGGHHHHHH,UMMMMMM!

Elle cria alors que son corps perdait le contrôle et était secoué par un orgasme intense.

Nicolas, mécontent dit :

- Remettez vos lèvres autour de ma bite tout de suite!

Il saisit la tête de Christine pour l’abaisser vers son membre. Puis d’une poussée, il remplit sa bouche, étouffant ses gémissements.

Marc continua à la baiser un instant puis se retira, laissant la chatte vide. Nicolas profita de l’occasion. Il retourna la femme, l’obligeant à mettre sa tête sur ses genoux, une main touchant le sol pour garder l’équilibre. Puis il conduit son sexe au plus profond du vagin de la femme. Elle jappa sous la surprise.

Je regardai la sixième queue que prenait ma belle-mère soumise. Elle devenait une vraie prostituée.

Nicolas la pilonna pendant une minute, puis il saisit ses bras afin de les tirer dans son dos ce qui la força à relever la tête. Dans cette position, à chaque fois qu’il tapait au fond, il tirait sur les bras, accentuant ainsi la pénétration, faisant crier Christine.

J’avais une vue magnifique sur le visage défait et grimaçant de ma soumise. Et la façon dont ses seins balançaient et rebondissaient me faisait bander. Marc en profita pour malmener sa poitrine et tirer ses tétons alors qu’elle était transpercée par son nouvel assistant.

Je me doutais que Nicolas continuerai à la baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il en allait de sa dignité. Heureusement pour lui qui commençait à être fatigué, Christine gémit qu’elle allait jouir. Cela redonna de la vigueur à son partenaire qui dit :

- Allez Christine, enfoncez-vous sur ma bite et laissez-vous aller.

Dans la minute suivante, l’orgasme de ma belle-mère éclata, incontrôlable.

Elle jouit bruyamment pour la deuxième fois en vingt minutes devant les trois hommes. Mais peu lui importait, elle avait une bite dans sa chatte et celle de Marc était prête à l’investir de nouveau. Elle regarda son patron Francis qui souriait, puis elle ferma les yeux, se laissant aller.

- Oh non! Dit Nicolas en la pilonnant de plus en plus vite. Il la pénétrait, ne la tenant plus que par les poignets, alors que son corps se détendait.

Elle ressemblait à une poupée bien baisée et quand l’homme la repoussa, elle tomba au sol, ses jambes trop faibles pour la retenir plus longtemps, l’orgasme faisant son effet.

Marc demanda à Francis :

- A votre tour Patron?

- Je ne voulais pas au début, mais sa performance m’a diablement excité. Alors occupez là pendant que je me déshabille. Mettez là sur le bureau! Dit Francis en retirant sa chemise.

Marc releva Christine et la poussa sur le bureau comme ce matin avec l’entrepreneur. Elle appuya ses fesses sur le meuble puis glissa en arrière, évasant ses jambes devant l’homme. Sa chatte bien utilisée était merveilleuse et humide. Elle fut bientôt pénétrée lentement par Marc.

Nicolas grimpa sur le bureau et se mit à genoux aussi près de la tête qu’il le pouvait. Elle se tourna vers lui quand il lui dit d’ouvrir la bouche. Elle accepta immédiatement la bite et aspira le membre. Marc la baisait lentement, caressant le clito sensible.

Francis tapota l’épaule de son employé :

- A mon tour Marc!

Celui-ci rejoint Nicolas sur le bureau, si bien que ma belle-mère eut deux queues à s’occuper avec sa langue. Sa chatte était sur le point d’être utilisée par sa quatrième bite de la journée. Et c’était sûrement la plus grosse.

Christine savait déjà ce que lui destinait son patron. Je pensais qu’elle n’attendait que ça mais le voulait-elle vraiment?

Francis frotta son gland de haut en bas de l’entrée du vagin, caressant aussi le clitoris enflammé. Il taquina son employée pendant deux à trois minutes afin que son membre raidisse complètement.

- AHHHHHHHHHH! Cria Christine, crachant la bite de sa bouche.

Francis était entré.

- C’est si gros. Dit-elle avant que Marc saisisse sa tête et remplisse sa bouche, l’empêchant de parler.

Mais elle recracha le membre aussi vite quand Francis la pénétra complètement :

- Quelle bite! Comme elle est grosse M. MULLER! Si grosse! Put-elle dire avant que Marc réinvestisse sa bouche.

Son patron commença lentement des vas et viens, s’assurant à chaque fois de sortir complètement puis de la pénétrer jusqu’au plus profond. Cette baise lente dura environ cinq minutes alors qu’elle suçait alternativement ses deux collègues.

J’étais assis chez moi, ma queue raide dans ma main. En me masturbant, j’étais ravi de la tournure des événements. Ma belle-mère était formidable une bite dans sa chatte et obligée d’en sucer deux autres. Mais j’avais un problème. Si Christine était déplacée dans un autre bureau dès lundi, je ne serais plus en mesure de voir ce qu’il se passe. Je devais remédier à cette situation.

Un cri aigu de ma soumise me tira de mes réflexions. Elle jouissait sous les effets de la grosse bite de son patron, ses cris bientôt étouffés par la queue de Nicolas dans sa bouche. Francis continua à la baiser tandis qu’elle frémissait sous l’orgasme. Puis il se retira.

- A genoux Salope! Dit Marc en la tirant et la jetant sur le sol comme une vieille serpillière.

Francis se mit à genoux devant elle. Sans qu’on lui dise ce qu’elle devait faire, elle tendit la main afin de saisir le membre de son patron encore humide de son jus puis elle le mit directement dans sa bouche. Marc la prit par derrière à nouveau. Nicolas, un peu désemparé, se demandait comment il pourrait participer. Finalement il choisit de s’allonger sur le dos, sa queue pointant à côté de la main de la femme.

Encore une fois, instinctivement, celle-ci leva la main afin de saisir le membre debout pour le branler. Elle faisait encore plaisir à trois hommes en même temps.

Je continuai à regarder la débauche qui dura encore près de quarante minutes. Les hommes changeaient de positions, utilisant sa chatte, sa bouche ou tout simplement se laissant branler. Je ne comptai plus le nombre de fois où ma belle-mère jouit mais je suis sur qu’elle eut plus de sept orgasmes. Pendant les dix dernières minutes, son corps était fatigué et ses fellations étaient plus lentes.

- Je vais bientôt éjaculer. Dit Marc.

Francis répondit :

- Nous allons la couvrir de sperme.

Christine fut mise à genoux au milieu des trois hommes.

Marc se plaça à cinq centimètres de son visage et pointa sa bite sur la bouche ouverte de la femme.

- Prends chienne!

Il grogna et déchargea par cinq fois. Ses deux premiers jets atterrirent autour de la bouche, le reste tombant sur le menton, les joues et le cou. Il recula, satisfait.


Francis s’avança et enfonça son membre dans la gorge de Christine. Il baisa son visage cinq secondes, puis il sortit et posa son engin sur le visage, les couilles sur le menton, la verge sur le front. Puis lui-aussi, il grogna et recula laissant un filet de sperme du front au menton de sa cible. Puis il éjacula encore sur les seins avant de remettre son membre dans la bouche de sa victime afin qu’elle le nettoie.

Enfin, Nicolas vient derrière Christine, lui demandant d’incliner la tête en arrière. Et il couvrit son visage et ses cheveux de sperme gluant.

Les hommes laissèrent ma belle-mère à genoux sur le sol. Ils rirent et discutèrent de sa prestation ainsi que de ses facultés. Francis lui dit qu’elle avait passé sa journée de test avec brio et que son avenir dans l’entreprise semblait brillant.

Pendant que Marc et Nicolas se rhabillaient, Francis leur rappela que lundi, il y aurait une séance d’information pour toute l’équipe à l’étage dans la nouvelle salle de conférence. Quand les deux employés furent partis, Francis dit :

- Vous pouvez partit tôt aujourd’hui Christine. Vous avez fait du bon boulot et j’ai hâte d’être à lundi. Mais maintenant j’ai quelques appels à faire dans mon bureau.

Il partit, laissant Christine seule.

Je composai tout de suite son numéro :

- Très belle performance Salope. Tu as su gérer trois bites avec facilité. Je savais que tu étais une pute. Tu es trop sexy avec ce sperme qui te recouvre.

- Merci maître! Dit-elle.

- Mais j’ai un problème que je dois régler maintenant.

- Quel problème Maître? Demanda-t-elle tout en s’essuyant le visage avec des lingettes qu’elle gardait dans son tiroir.

- Je ne vais plus pouvoir te voir lorsque tu auras déménagé à l’étage.

- Mais je vous raconterais ce qu’il se passe Maître....

- Non, je dois te voir en action salope. Dis à la réception que j’arrive. Et monte au bureau de Francis.

Alors qu’elle arrêtait de s’essuyer et commençait à protester, je rajoutai :

- Écoute Chienne! Tu es mon Jouet sexuel et ton patron doit le savoir. Si je ne trouve pas un accord avec lui, tu quitteras ton travail. Il sait qu’il perdra les bénéfices que tu peux lui apporter.

Elle recommença à protester et de nouveau je l’arrêtai :

- Tu montes à son bureau et tu m’attends! Point. J’arrive dans vingt minutes.

Je claquai le téléphone.

Vingt minutes plus tard, je montai les escaliers extérieurs de l’immeuble de bureau de ma belle-mère. J’allais rencontrer son arrogant, puissant et riche patron. Je n’étais pas vraiment sur de moi mais je devais montrer que j’avais le contrôle de ma soumise Christine.


à suivre....

jeudi 10 octobre 2019

Ma femme devient une pute Ch. 07

Ma femme devient une pute - récit érotique

Mauvaise rencontre.

Michelle jura et prit son sac à main. Elle sortit une cigarette et ses clés de voiture. Puis elle enroula une serviette autour de sa poitrine. Elle alluma la cigarette et sortit pour trouver sa voiture.

Elle regarda autour d'elle, personne dans le parking. C'était encore trop tôt. Alors qu'elle marchait sur ses talons, Michelle réalisa que c'était Derek qui l'avait emmenée ici. Sa voiture n'était pas là. « Merde » pensa-t-elle.

Au même moment, une voiture s'arrêta à côté d'elle. Deux gros blacks en sortirent. Ils ne devaient pas avoir plus de 19 ans.

- Regarde ce que nous avons là. Dit l'un à l'autre.

Michelle prit une profonde inspiration. Tony l'avait retiré de la rue mais ça ne voulait pas dire qu'elle avait oublié comment se conduire en pute. Elle souffla de la fumée au visage des deux adolescents, puis elle marcha comme une pute en balançant son corps. Elle laissa sa serviette tomber par terre et elle dit :

- Hé les garçons, cette fille a besoin d'une chemise.

Elle s'approcha du plus grand et remua sa poitrine. Puis elle posa sa main sur son débardeur et roucoula :

- Puis-je avoir ta chemise bébé?

Le gars tendit la main et caressa ses seins.

- Ça va te coûter!

Michelle sourit :

- Je n'ai pas beaucoup d'argent mais j'ai une chambre d'hôtel.

- Allons-y! Dit l'autre gars.

Michelle sourit et se retourna pour rejoindre la chambre. Elle balançait son cul et ses seins en marchant. Elle venait de passer la nuit comme salope d'un crétin arrogant qui lui avait distribué punitions et plaisir et qui l'avait faite pleurer. Elle n'avait jamais vécu ça et avait été troublée.

Mais ça. Être une pute. Ramasser des gars pour une baise dans une chambre d'hôtel. Elle savait faire. Elle s'arrêta devant la porte, éteignit sa cigarette et dit :

- Voilà les gars. Vous me donnez une chemise et vous pouvez me baiser pendant dix minutes. Ensuite vous me raccompagnez en voiture.

Le plus grand hocha la tête, mais le plus petit répondit :

- Pas d'accord.

Michelle fut surprise.

- 20 minutes chacun et tu suces ma bite à l'arrière de la voiture pendant que nous te ramenons. Ajouta-t-il.

Michelle était prête à conclure le marché mais le gars continua :

- Et puisque tu es une pute, nous vendrons ton cul à deux de nos amis. Nous gardons l'argent et nous te raccompagnons. Ok?

Michelle eut un sourire intérieur. Elle était peut-être en territoire inconnu avec Tony et Derek, mais elle savait très bien être salope et pute. C'était bon de revenir à quelque chose de familier. Michelle se retourna et dans sa meilleure démarche de prostituée, elle entra dans la chambre d'hôtel.

Ma femme se réveilla l'esprit complètement embrumé. Elle était allongée dans les bras d'un grand homme noir. Ils étaient tous les deux nus. L'homme avait un bras sur sa poitrine et il serrait un de ses seins. Michelle essaya de se concentrer. Les deux gars qu'elle avait ramené à sa chambre d'hôtel et qui devaient la raccompagner, avaient manifestement menti. Une fois dans la chambre, ils lui avaient donné une cigarette qui était surement dopée. Elle se rappela vaguement avoir eu l'impression d'être droguée alors que ses pensées devenaient erratiques. Elle savait qu'ils avaient passés des coups de téléphone et qu'après l'avoir baisée, il y avait eu un flot continu d'hommes dans la journée qu'elle avait dû satisfaire.

A un moment donné, elle s'était remise un peu et elle avait demandé son téléphone. Mais au lieu de lui donner, ils lui avaient servi un verre dont le contenu avait mis le feu à son corps. Elle était devenue folle de sexe. Elle les avait entendus rire de la pute blanche mais elle avait été impuissante à faire quoi que ce soit. Elle voulait baiser avec tous les gars qui avaient acheté sa chatte. Finalement, elle s'était évanouie et maintenant elle se réveillait avec un étranger et un mal de tête.

Michelle commença à sortir du lit quand la main qui tenait son nichon la ramena en arrière.

- Où penses-tu aller Chérie? Demanda le gars.

Michelle se laissa retomber sur sa poitrine.

- J'ai besoin d'aller à la salle de bain.

L'homme posa la main de mon épouse sur sa bite.

- Prends soin de ton homme d'abord.

Michelle enroula sa main autour d'une grosse queue et la sentit se raidir. Elle s'assit et baissa les yeux sur la bite puis elle regarda le visage de l'homme.

Un frisson la traversa. L'homme éclata de rire alors que les yeux de Michelle s'écarquillaient.

Il s'agissait d'un des concierges de son cabinet d'avocats. Le noir s'appelait James. Il avait 27 ans environ et Michelle se rappela qu'on lui avait dit qu'il travaillait dans le cadre de réinsertion de détenus récemment libérés.

- Hé bien, regardez qui nous avons ici. Se moqua James en poussant sa tête sur sa queue.

Michelle se laissa faire et commença à lécher lentement la bite du gars. Puis elle leva les yeux vers lui et demanda :

- Quel jour sommes-nous?

- Mardi

Michelle gémit :

- Je dois aller au travail.

James mit ses mains dans ses cheveux blonds.

- Tu es au boulot salope. Maintenant prends soin de ton homme.

Michelle commença à le sucer. Elle réfléchit qu'elle allait le faire jouir rapidement, puis qu'elle sortirait de la chambre pour appeler son mari. Elle ne savait pas encore comment gérer le fait qu'une autre personne de son travail avait découvert sa seconde vie.

James jouait avec ses seins. Il bandait de plus en plus en laissant l'avocate de 41 ans sucer sa queue.

- Et oui, je nettoyais ton bureau la semaine dernière putain. Et regarde comme les temps changent. Je suis vraiment chanceux. Une avocate de grande classe hier, et aujourd'hui une pute à bon marché qui suce pour gagner sa vie.

Michelle ne dit rien. Elle ne voulut pas admettre ce qu'elle était. Elle espérait encore s'en sortir.

- Mes couilles salope! suce-les!

Michelle fit ce qu'on lui dit.

- Maintenant embrasse ma bite! dis-lui que tu l'aimes.

Michelle commença à embrasser la queue du concierge et elle répéta les mots qu'il lui demandait de dire :

- J'aime cette bite. Elle est tellement grosse et dure. Je l'adore.

- Maintenant regarde-moi avec tes yeux de pute pendant que tu me suces. Ordonna James.

Michelle leva les yeux et fit de son mieux pour paraître soumise à James pendant qu'elle enroulait ses lèvres autour du bout de la queue. Puis elle fit glisser sa bouche de haut en bas. Elle caressa ses couilles alors qu'elle le sentit se raidir. Elle ferma les yeux quand il se retira et gicla sur son visage.

Elle se leva et commença à se diriger vers la salle de bain mais James l'attrapa.

- Où vas-tu?

- A la salle de bain.

- Demande la permission à ton homme!

Michelle n'aima pas la façon dont James utilisait le terme « ton homme ». Elle savait ce que ça signifiait quand elle était avec le gang et Tony lui avait confirmé que ce terme signifiait la soumission d'une pute à son proxénète. Elle ne voulait pas avoir ce rapport avec James. Mais pour le moment elle avait vraiment envie d'aller à la salle de bain pour se nettoyer.

- Puis-je aller à la salle de bain?

- Qu'as-tu sur ton visage putain?

- Ton sperme.

- Le sperme de qui?

James éleva la voix d'une façon menaçante. Michelle baissa les yeux.

- Le sperme de mon homme.

James adoucit sa voix :

- Va te nettoyer! Nous avons du boulot.

Michelle se dirigea vers la salle de bain en se demandant ce qu'il voulait faire. A son retour, James était habillé et regardait son téléphone portable. Elle essaya de l'attraper mais James la repoussa.

- Je regarde tes emails. Tu as été une salope très occupée. Ces vidéos sont géniales.

- Donne-moi mon téléphone James.

Le noir posa le téléphone et regarda mon épouse.

- Ne me dis jamais ce que je dois faire!

Michelle avait remis son jean. Elle cherchait le débardeur pour lequel elle avait été baisée. Puis elle voulut prendre son téléphone.

James la gifla violemment. Michelle fut plus surprise que blessée, bien que la gifle lui fît venir les larmes aux yeux.

Le téléphone était toujours sur la table. James fixa ma femme en la défiant de le prendre. Michelle tendit la main. James frappa encore plus fort, la faisant tomber. Elle se mit à pleurer. James avança sur elle. Il lui mit une de ses bottes devant le visage.

- Ma pute a besoin d'apprendre les bonnes manières. Fais briller ma botte avec ta langue, vieille pute.

Michelle leva les yeux vers lui :

- S'il te plaît. Je dois aller travailler. Je ne dirai rien à personne.

James resta impassible :

- Ne me fais pas le demander deux fois chienne!

- James, j'ai de l'argent que je peux te donner si tu...

Michelle ne put finir sa phrase. James attrapa ses cheveux et la traina à travers la chambre. Elle essaya de se relever mais elle trébucha et tomba, renversant une chaise.

- Lève-toi! Ordonna le noir.

Michelle se redressa. James la frappa encore plus violemment, la faisant retomber sur le sol. Ma femme sentit du sang dans sa bouche. Quand elle rouvrit les yeux, elle vit la botte de son tortionnaire.

- Fais briller ma botte putain!

Michelle pleurait. Elle avait compris qu'elle était en mauvaise posture. Quand elle travaillait pour le gang, dans la rue et dans le bar, les membres avaient toujours compris qu'elle le faisait volontairement. Bien sûr ils la commandaient, mais ils avaient compris qu'elle vivait un fantasme. Alors ils prenaient l'argent et la laisser promener son cul sur leur territoire. En ce temps-là elle était volontaire et pouvait partir quand elle le voulait.

Là, c'était différent. Personne ne l'avait jamais frappé ainsi auparavant. Elle leva la tête et regarda James. L'homme attrapa ses cheveux. Elle leva la main et retira lentement celle de James. Puis elle baissa la tête, sortit sa langue et lécha lentement la botte. Le noir la regarda. Elle donna encore trois coups de langue avant qu'il ne lève la semelle. Michelle sortit de nouveau sa langue et lécha le dessous de la botte. Elle allait le refaire quand James s'éloigna.

- Lève-toi putain, on doit aller au travail.

Ma femme obéit et se dirigea vers la salle de bain pour se laver le visage. Puis elle sortit.

- Nous allons marcher jusqu'au club Diamond's. Il est à une vingtaine de mètres d'ici. Tu vas remuer ton cul et tes seins et tu vas me faire gagner de l'argent. Tu travailleras tout le reste de la journée et dans la soirée jusqu'à ce que j'aie assez d'argent. Ensuite nous rentrerons chez moi, toujours en remuant ton cul et tes seins. Tu nettoieras mon domicile, tu feras le diner, puis tu prendras soin de moi.

Michelle hocha la tête. Puis elle leva les yeux.

- Si tu veux de l'argent... Je gagne plus en tant qu'avocate... Je peux aller à ma banque...

James la gifla à nouveau. Elle tomba en arrière sur le sol.

- Quand je te donne des ordres, la seule chose que je veux c'est que tu te bouges le cul en restant muette. Compris? Cria James.

Michelle se releva en pleurant. Elle hocha la tête.

- Qu'est-ce que tu es?

Michelle renifla :

- Une pute idiote!

- Tu as encore quelque chose à dire à ton homme?

Michelle secoua la tête pour dire non.

- Viens ici!

Elle se dirigea vers James et il l'embrassa.

- Tu es mon bébé. Je dois t'apprendre à respecter et obéir à ton homme. Une fois que tu auras appris, ça ira. Ce n'est plus comme avant, quand tu étais avocate et que je nettoyais ton bureau. Maintenant tu es ma pute...

Michelle hocha la tête et laissa James l'embrasser à nouveau. Elle avait honte. Elle était perdue. Elle avait peur. Il fallait qu'elle échappe à son emprise, mais il avait son téléphone, son argent et son sac à main avec ses papiers. Elle était prise au piège.

Ils marchèrent dans la rue, James se trouvant 2 ou mètres derrière elle. Elle remua son cul et ses seins pour attirer les hommes pendant que son nouveau proxénète la regardait.

Ils passèrent devant un groupe d'hommes buvant de la bière à l'extérieur d'un bar. Michelle regarda James qui lui fit signe de s'arrêter. L'un des hommes se leva et tapa dans la main de James.

- Que fais-tu ici mon pote? Demanda-t-il en détaillant Michelle de haut en bas et en grimaçant.

- Ton pote est de retour dans le métier avec une bonne salope. Dit James avec fierté.

Puis il ajouta :

- Elle travaillait comme avocate dans des bureaux de merde que je nettoyais. Mais maintenant elle est à moi. Je suis de retour. Tu veux goûter?

Le gars regarda Michelle et tendit la main pour tripoter un sein.

- Combien?

- 20 pour une pipe, 50 pour la baiser.

- que dis-tu de 10 pour une pipe rapide?

James fit un signe de tête à Michelle. Elle accompagna le gars dans une ruelle, s'agenouilla et lui tailla une pipe rapidement.

Puis elle se releva, ajusta son haut, retourna vers James et lui tendit l'argent. James caressa sa joue :

- C'est le premier argent que mon bébé donne à son homme. Et ce n'est surement pas le dernier.

James rigola et claqua son cul. Puis ils se dirigèrent vers le club.

Deux fois encore, Michelle fut arrêtée et James négocia un accord rapide. Les deux fois, ma femme fit comme il lui ordonna.

Quand ils entrèrent dans le club, Michelle sentit que tout le monde la regardait. Elle était la seule femme blanche de l'endroit. Elle resta tranquillement debout et fuma une cigarette que James lui avait donné -- il avait même pris le contrôle de quand elle pouvait fumer -- pendant qu'il parlait au gérant du club. Deux strip-teaseuses s'approchèrent d'elle et lui demandèrent son nom. Elles ne voulaient pas qu'elle travaille au club et vole leurs clients.

James et le gérant du club vinrent vers elle. James présenta Michelle à JJ, qui avait à peu près l'âge de son proxénète et qui était le fils de l'homme qui possédait le club.

- Voilà l'accord. C'est cinq euros la danse dans la journée, 10 euros après 19 heures. Le club prend 20 euros l'heure et la moitié de ce que tu gagnes en dansant. Si les clients veulent plus, tu les emmènes à l'arrière. Le club obtient la moitié de ce que tu gagnes et tu dois négocier le paiement avec Big John qui gère la salle arrière. Compris?

Michelle hocha la tête. Elle fixa James qui laissa échapper un faible sifflement :

- 20 euros l'heure, c'est cher. Allez la pute, négocie un peu. Tu es avocate non?

Michelle regarda JJ :

- Peux-tu baisser un peu le tarif?

L'homme rigola :

- Ou quoi? Que vas-tu faire salope? Ton homme te dit de travailler dans ce club pour lui gagner de l'argent. Tu n'as pas le choix. A moins que...

Michelle sut ce qu'il voulait. Elle remua sa poitrine et dit :

- Je peux vous offrir ça.

JJ passa ses mains à l'intérieur du haut et sortit ses seins :

- Pas mal pour une vieille salope. Mais je peux avoir tout ce que je veux.

- Que veux-tu bébé? Une chatte blanche? Demanda Michelle en essayant de parler comme les strip-teaseuses noires.

JJ répondit :

- Maintenant tu sais parler. Ok. Quand tu voudras faire une pause dans quelques heures, fais le moi savoir et je te prendrai à part. Nous verrons à quel point tu peux faire baisser le tarif.

Michelle secoua son cul.

- Bien bébé. Tu vas adorer le cul de cette pute.

Puis elle s'éloigna, sachant que JJ rêvait déjà de la baiser. Puis elle revint et dit à James :

- J'ai besoin d'autres vêtements pour ce club.

Elle portait toujours son jean et son gilet. James répondit :

- Merde, je devrais te foutre à poil et te faire travailler comme ça.

Il regarda JJ :

- Quel genre de pute blanche vient bosser sans ses vêtements de travail?

Les deux hommes rigolèrent. JJ désigna une porte :

- Va là-bas, c'est le vestiaire. Vois ce que tu peux trouver.

Michelle commença à partir et James claqua son cul en disant :

- Dépêche-toi salope. Regarde l'heure, il est déjà 20 heures

Ma femme se dirigea rapidement vers le vestiaire. Elle avait l'habitude de facturer 295 euros l'heure d'honoraire d'avocate. Et à présent, elle facturerait des danses pour cinq euros qu'elle donnerait à un proxénète qui la frappe. Elle recommença à pleurer. Tout s'était mal passé. On était mardi. Le mardi, elle avait un cours de yoga qu'elle aimait bien après le travail. Puis nous allions généralement au restaurant. Et là, elle était coincée dans un club de quartier noir. Elle aurait voulu être ailleurs.

Il y avait trois danseuses dans le petit vestiaire. L'une d'elle l'a ignorée tandis qu'une autre l'a traitée de salope.

- J'ai besoin de vêtements. Dit-elle en essayant de stopper ses larmes.

- Et moi j'ai besoin que ton cul de pute aille voir ailleurs que mon lieu de travail. Ricana une danseuse.

Michelle baissa les yeux et vit une pile de vêtements dans un coin. Elle fouilla dedans quand une des femmes vint la gifler.

- Ces choses ne sont pas à toi, chienne. Qui t'a élevée? Si tu veux emprunter quelque chose, tu le demandes.

La claque lui avait fait mal. Michelle avait été battue aujourd'hui plus que tout le reste de sa vie. Elle regarda le sol et lutta pour retenir ses larmes.

- Je suis désolé. Puis-je emprunter des vêtements s'il vous plaît?

- Je vais te les vendre salope! Déclara la femme.

- Je... Je n'ai pas d'argent. Dit Michelle.

Elle avait envie de pleurer. Elle n'avait rien. Le peu qu'elle avait, James lui avait pris. Elle dépendait de lui pour tout.

La danseuse lui tendit une petite jupe sale et un soutien-gorge déchiré.

- Tu prends ça et tu me donnes 20 euros avant de partir. Et une danse.

Tout d'un coup, 20 euros semblèrent beaucoup d'argent pour une femme qui avait l'habitude de distribuer des pourboires sans réfléchir. Mais Michelle réalisa qu'elle n'avait pas le choix.

- Tu veux que je danse? Pour toi?

Michelle n'était pas sûre de comprendre ce que voulait cette femme.

- Oui putain je veux une danse.

La strip-teaseuse s'assit. Michelle commença à bouger son corps en rythme avec la musique. Elle enleva son haut et ses gros seins se balancèrent. La femme saisit un de ses mamelons rouge et gonflé.

Michelle grimaça mais continua à danser alors que la femme jouait avec sa poitrine. Puis la musique s'arrêta et Michelle tourna le dos.

- Où vas-tu? Tu ne t'es pas complètement déshabillée. Si tu veux les vêtements, continue!

La musique redémarra sur une autre chanson. Michelle se remit à danser puis s'arrêta et enleva ses hauts talons ainsi que son jean. Elle remit ses talons et recommença à danser, nue. La femme sourit et l'attrapa, alors que les autres femmes dans le vestiaire regardaient.

Ma femme chevaucha la strip-teaseuse. Elle ferma les yeux quand la danseuse posa ses mains sur ses seins. La femme prit un nichon dans sa bouche et suça le mamelon. Elle fit tourner sa langue autour, faisant gémir Michelle.

- Tu aimes ça bébé?

Michelle hocha la tête. La femme la tira vers elle et lui donna un doux baiser, puis un autre. Mon épouse garda la bouche fermée alors que la femme noire essayait de la pénétrer avec sa langue.

- Allez bébé! Laisse-moi goûter à cette bouche blanche.

La strip-teaseuse embrassa Michelle dans le cou et mordit doucement son oreille. Michelle gémit et se sentit mouiller. La femme essaya de l'embrasser à nouveau et elle se laissa faire. La langue pénétra dans sa bouche. Une main chatouilla légèrement l'un de ses seins alors qu'une autre main frotta son entrejambe.

Michelle gémit et la danseuse augmenta la pression sur sa chatte. Michelle se demanda brièvement ce que les autres femmes diraient si elles la voyaient avoir un orgasme, puis elle cessa de s'en soucier.

Elle jouit quelques secondes plus tard. Elle embrassa passionnément la strip-teaseuse et ouvrit les jambes pour lui permettre un meilleur accès à sa chatte.

Enfin Michelle s'effondra. La femme noire lui caressa la tête et roucoula à son oreille :

- Tu es mon bébé. Reste avec moi et je prendrai soin de toi. Laisse-moi juste ta chatte de temps en temps.


Michelle se débattit et échappa à l'emprise de la danseuse. Elle se pencha pour ramasser la jupe sale et le soutien-gorge déchiré. Elle les enfila alors que les autres femmes la regardaient silencieusement. Puis elle ramassa ses autres vêtements et se dirigea vers la sortie.

Juste avant de quitter les vestiaires, elle se retourna et dit :

- Merci pour les vêtements, je te paierai avant de finir ce soir.

Elle sortit sur ses talons hauts, la jupe courte couvrant à peine ses fesses. Elle tremblait sur ses jambes et était encore sous l'effet de son orgasme. Elle regarda la salle du club et vit James près du bar. Elle devina qu'il resterait là pendant qu'elle travaillerait. Elle était sa pute tant qu'il ne la laisserait pas tomber. Elle sut qu'elle allait travailler pour lui dans ce club très souvent.

James la regarda de bas en haut et dit :

- Tu te moques de moi? C'est ce que tu peux faire de mieux?

Michelle hocha la tête misérablement. A la maison, elle avait un placard plein de vêtements. Elle réalisa alors qu'elle n'avait plus de chez elle et que c'était de sa faute. Elle avait voulu jouer à la pute et elle était piégée et prostituée contre sa volonté. Son vrai travail n'existait plus et son mari ne lui pardonnerai jamais. Tout semblait perdu.

James frappa Michelle légèrement au visage.

- Réponds moi salope!

- Oui c'est le mieux que j'ai pu faire. Et j'ai dû promettre 20 euros.

Inconsciemment, elle tira sur la jupe sale qui laissait voir sa chatte presque dans toutes les positions. James rigola :

- Les filles ont profité de ton cul stupide. Je croyais que tu étais une bonne avocate. Je suppose que non?

Michelle baissa la tête.

- je ne suis que ta pute idiote. Mais je vais m'améliorer.

James prit les autres vêtements et les fourra sous le tabouret où il était assis.

- Ok salope, va me gagner un peu d'argent. Tu as pas mal de dettes maintenant. 20 euros par heure pour le club, 20 euros pour les vêtements et tu ne m'as rien donné encore.

Michelle tourna sur ses talons et commença à arpenter le club un peu bondé. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne soit assise sur les genoux d'un homme et qu'elle ne se déhanche sur la musique pendant qu'il la tripotait pour dix euros qu'elle ne serait pas autorisée à garder.

Elle se demanda si les choses pouvaient encore empirer.


A suivre...

Brian est en Irak Ch. 02

Brian est en Irak - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Suite de la dégradation.

Il était presque 11 heures en cette matinée ensoleillée, beaucoup de gens traînaient dehors.

Des gens lavaient leurs voitures d'autres se dirigeaient vers la piscine d'autres encore se promenaient là où ils n'allaient jamais habituellement le samedi.

Chaque personne que l'on croisait arrêtait ce qu'elle faisait et braquait leurs yeux sur moi.

Les mâles reluquaient mes nichons clairement visibles et mon cul qui s'affichait à chacun de mes pas.

Les femmes arboraient des mines dégoûtées et choquées.

Ce quartier était surtout occupé par des jeunes célibataires et des couples informels qui vivaient ensembles où étaient récemment mariés.

J'avais déjà remarqué qu'ils observaient les promeneurs qui passaient dans leur azimut.

J'avais remarqué, la veille à la piscine, de nombreuses jeunes femmes arborant des bikinis minimums.

Aussi était-il évident à la vie de leur réaction que je leur offrais une vue enivrante de mes charmes largement dénudés.

Mais je ne pouvais que rougir et avancer en gardant la tête basse.

Nous nous dirigions vers la voiture de Tom et on offrit un spectacle folklorique en prenant place aux 4 places passagères. Je notais le nom de mes deux tourmenteurs inconnus lorsque Tom intervint :

- "Harry, tu es le plus petit, prend la place du milieu entre John et Steve, la salope s'assiéra sur vos genoux! ..."

Rory le plus costaud des cinq s'assit sur le siège passager à coté du conducteur et se retourna pour s'amuser des chamailleries des 3 autres qui se serrèrent sur la banquette arrière avant de m'attirer sur leurs genoux.

On était serré comme des sardines ce qui les fit hennir de joie.

Avant qu'ils ne referment les portes, Harry ouvrit ma chemise en grand et la repoussa sur mes épaules, offrant mes nibards à l'œil de la caméra et aux nombreux passants qui se trouvaient sur le parking.

Ils trouvèrent tous cela incroyablement amusant, j'étais horrifiée de n'être que leur marionnette.

Je n'avais aucune idée de l'endroit où nous nous rendions, je savais seulement qu'où que ce soit, je haïrais cet endroit, je détestais tout ce qui m'arrivait.

Je me lovais entre les bras d'Harry pour arrêter de heurter du crane le toit de la voiture, il se mit immédiatement à me malaxer les miches alors que John et Steve me caressaient les cuisses.

Ils m'écartèrent fortement les cuisses de façon à permettre à Rory de prendre des photos de plus en plus obscènes de mes appâts dénudés.

Tom nous emmena dans un quartier où se concentraient les affaires d'adultes et se gara dans un parking face à un bâtiment appelé "Le Caméra Club".

Il sortit de la voiture et dit :

- "Ça ne devrait pas être long! ....."

Dès qu'il était sorti de la voiture, je m'étais tournée sur la banquette, j'avais le dos contre la portière et mes jambes s'étalaient sur les hommes serrés sur la banquette.

Ils écartèrent mes jambes et louèrent  mes appâts, riant cruellement de mes réactions.

L'un d'eux saisit un de mes mamelons dans sa bouche et après l'avoir fait darder, il le mordit cruellement, je hurlais et sautais de coté pour me libérer de ses dents imprimées dans ma chair. Ils trouvèrent tous cela hilarant.

Lorsqu'ils en eurent marre de s'amuser avec mes tétons, Harry saisit rudement ma touffe de poils pubiens.

Il enroula ses doigts dans ma toison et tira fortement et lentement. , je cramponnais ses poignets cherchant vainement à freiner ses gestes, je hurlais de douleur le suppliant d'arrêter.

Ils riaient et riaient alors qu'ils tiraient de plus belle sur mes poils par longues saccades.

Il relâcha finalement mon buisson et montra à ses potes les mèches de poils qu'ils avaient arrachées à mon mont de Vénus.

Tandis que je le suppliais d'arrêter, Rory filmait toute la scène relatant mon extrême humiliation.

Enfin Tom revint et ses potes cessèrent de me tourmenter.

Je pleurais à chaudes larmes lorsque Tom se pencha dans l'habitacle et hurla :

- "Tout le monde dehors! ..."

J'essuyais mes yeux sur mes manches et pleurnichais :

- "Pourquoi me faites-vous subir cela? ....."

Lorsque je me tins debout à coté de la voiture, Tom se tourna vers moi me releva la tête et me répondit :

- "On te fait tout ça parce que ça nous amuse! .... T'es une sacrée allumeuse ma chérie! ...... Tu m'as laissé en plan la nuit dernière, alors que je voulais t'enculer, tu es repartie chez toi! .... Putain de salope..... Tu ne m'allumeras pas une seconde fois! ..... La prochaine fois qu'un des gars voudra t'enculer, tu lui tendras tes fesses... T'as compris ma belle salope frigide! ...."

- "Je ne suis pas une allumeuse! ..." m'exclamais-je vexée.

- "Je ne vous ai pas provoqué... J'ai juste dansé avec vous... Pensez-vous que toutes les filles qui dansent avec vous doivent coucher avec vous? ...."

Tom ricana et rétorqua :

- "Par l'enfer t'as fait bien plus que danser avec moi ma petite salope! ... T'as commença par passer une paire d'heures à me raconter à quel point tu te sentais seule et combien ton mari te manquait tout en balançant tes nichons et ton cul sous mes yeux ce qui me fit penser que t'avais surtout envie de te faire baiser! ...... Que t'étais surtout en manque de sexe! ..."

Puis tu m'as dit :

- "Je dois rentrer maintenant! ..." alors que je venais de passer toute la nuit à t'écouter délirer.

Je secouais la tête totalement incrédule, je ne m'étais pas comportée ainsi, je ne lui avais pas laissé espérer...

En fait, J'avais essayé de lui fausser compagnie à plusieurs reprises, mais il n'avait pas daigné relever mes insinuations.

- "Ce n'est pas du tout ce que je voulais! ..." soufflais-je sourdement.

Son visage affichait maintenant de la haine, il hurla :

- "Conneries, t'as passé des heures à m'allumer et, quand t'as eu bien pris ton pied, t'as voulu rentrer chez toi! .... Il est temps que tu reçoives une bonne leçon ma chérie! .... Et c'est nous qui allons t'enseigner que lorsque tu chauffes un mec tu dois obligatoirement éteindre le brasier ensuite! ..... Crois-tu que ta chatte vaut de l'or où quelque chose d'aussi précieux pour que tu ne veuilles pas en faire profiter les malheureux que t'allumes! .... C'est juste une foufoune ma salope, et une foufoune faite pour être baisée! ...."

Je le regardais choquée, je commençais à me dire qu'en plus du fait qu'il m'avait droguée et violée, ce mec était dérangé! ....

Il semblait croire que si une femme lui adressait la parole et refusait ensuite de coucher avec lui, il était en droit de lui faire endurer ce qu'il voulait et qu'elle n'avait qu'à la fermer passivement.

Il empoigna mon bras et m'entraîna vers le bâtiment devant lequel on était arrêté.

Tout en marchant il reprit :

- "Et rappelle-toi bien ma petite chérie, tu n'es qu'une petite chatte à bourrer! ...."

Il m'entraîna dans "Le Caméra Club" je jetais un coup d'œil circulaire et vis un paquet de photos de femmes nues ou demi-nues placardées sur les murs.

Il y avait une douzaine d'hommes à l'intérieur dans la salle.

Dès qu'ils virent ma tenue, ils se montrèrent intéressés. Tom leur sourit et me poussa vers un bureau dans le fond de la salle. Il me poussa à l'intérieur et ferma la porte dans notre dos je braquais les yeux sur un colossal quinquagénaire noir qui me regardait au travers d'un large bureau fort encombré.

Il me reluqua de la tête au pied et commenta :

- "Pas mal, et maintenant vire-moi cette chemise! ...."

Je jetais un œil anxieux sur Tom, mais il se contenta de hocher de la tête.

Aussi je déboutonnais lentement la chemise qu'il m'avait donnée et je la laissais grande ouverte sur mes charmes.

Je n'étais plus grandement couverte, mais il insista :

- "Je t'ai dit d'enlever cette chemise, salope! ...."

Il regarda Tom d'un air interrogateur et celui-ci précisa :

- "Elle encore très timide, c'est une toute nouvelle esclave! ... Ne t'inquiète pas elle ne nous causera aucun ennui! ...."

Sur ces mots il se tourna vers moi et m'interrogea :

- "N'est-ce pas stupide petite pute! ..."

Je baissais la tête et enlevais ma chemise la tenant entre mes mains tremblantes. Tom la prit, la balança par terre et m'ordonna de me tourner lentement.

J'obéis servilement, le colosse noir faisait des commentaires sur mes charmes :

- "Elle est plutôt mignonne, les nibards sont petits mais bien ferme, bien ronds, son cul est bien rebondi mais pas trop, parfait, sa petite chatte est très jolie, bien entretenue, ouais je suppose qu'elle fera l'affaire! ...."

Lorsque j'eus fini de tourner sur moi-même, il se leva et m'entraîna dans le hall puis dans une petite salle remplie d'étagères de vêtements.

Il cherchait une tenue particulière et prit une poignée de vêtements qu'il m'enjoignit d'enfiler.

Ils me regardaient enfiler les froufroutants sous-vêtements de dentelles puis une paire de bas montant haut sur les cuisses, je revêtais alors un kilt et un chemisier blanc et une paire de sandalettes vernies, ils me regardaient avec approbation, visiblement ma tenue leur convenait pleinement.

Je me regardais dans le miroir et je compris qu'ils m'avaient fait endosser la tenue d'une écolière de pension catholique.

Le colosse noir me demanda :

- "Sais-tu ce qui va se passer maintenant? ...."

Je secouais la tête, je ne savais pas, j'aurai préféré ne jamais le savoir! ....

Je savais que quoi que ce soit, je haïrai ce que je devrai faire! .....

Il m'ordonna alors :

- "Tu vas retourner dans la salle et te promener parmi les clients pendant quelques minutes..... T'as tout intérêt à te montrer gentille avec eux! .... Ne joue pas les salopes! ..... Je prépare quelques autres effets et quelques gadgets de cinéma que tu détesteras encore plus que ta tenue actuelle! ..... Aussi ferais-tu mieux d'afficher un grand sourire sur ta face de cul! ..... Promènes toi parmi les consommateurs, souris leur, sois gentille avec eux, et si l'un d'eux se plaint de toi, ça bardera pour ton matricule! ....."

- "Quand tu les auras bien chauffés, je t'emmènerai au fond du hall dans une pièce plus intime où tu poseras pour des amateurs de photos érotiques....... Tu prendras toutes les poses qu'ils te demanderont de prendre... Au bout de cinq minutes une cloche sonnera sonnerie, tu enlèveras alors ton chemisier...... 10 minutes plus tard nouvelle cloche, tu ôteras ta jupe...... Puis ton soutien-gorge..... Puis ta petite culotte..... Et tu poseras alors juste vêtue de tes bas pendant 20 minutes... Toutes les poses qu'ils réclameront! ...... Je ne veux pas recevoir de plaintes! ..... As-tu des questions? ....."

J'étais si profondément choquée que je frissonnais, puis, d'une voix tremblotante, je posais la seule question qui me vint à l'esprit :

- "Que dois-je faire s'ils veulent me toucher? ....."

Il sourit et rétorqua hilare :

- "Ils peuvent te toucher s'ils le veulent, la seule chose qui leur est interdite c'est d'avoir des rapports sexuels avec toi, ils devront payer un extra pour te baiser! ....."

Je frémis de peur et de dégoût et le visage entre les mains je me remis à pleurer.

Tom me saisit brutalement par les cheveux et m'intima :

- "Y'en a marre maintenant... Il est temps que tu arbores un grand sourire et que tu ailles les allumer comme tu m'as allumé la nuit dernière! ....".

Il m'essuya les yeux dans le revers de sa chemise et nous quittâmes ce vestiaire.

- "Attendez! .... " m'écriais-je soudain.

- "J'ai une autre question...... Que feront-ils de leurs photos? .... Oh mon Dieu..... Et si quelqu'un que je connais les voit! ..... Elles pourraient tout aussi bien se retrouver sur Internet! ...."

Le colosse noir sourit et me répondit :

- "Ça peut effectivement arriver, et maintenant souris bordel de Dieu! ....."

J'essayais, je savais que cela tenait plus de la grimace que du sourire, en fait ils n'étaient pas satisfaits, le gros noir faisait grise mine il m'apostropha :

- "Tu peux faire mieux petite pute stupide! ....."

Ils m'entraînèrent dans la salle du devant et me poussèrent vers la douzaine d'hommes qui se promenaient en regardent les photos de femmes nues accrochées au mur.

Il attira alors leur attention et annonça :

- "Messieurs, notre nouveau modèle, la petite Kim.... C'est sa première expérience... Elle est trop intimidée pour pouvoir dire un mot..... Reluquais la bien, et si cela vous intéresse, elle posera pour vous dans quelques minutes.... Vous pouvez lui poser vos questions! ...."

Les hommes grouillaient autour de moi.

Au début ils ne me touchaient pas, ils me regardaient comme une sucrerie qu'ils aimeraient savourer, ils avaient tous la soixantaine et ils me reluquaient comme de jeunes ados de 18 ans.

La plupart semblaient plutôt bienveillants, il m'apparut soudain que c'était certainement leur seule chance de voir une jeune femme entièrement nue.

L'un d'eux, le plus vieux je pense me demanda :

- "Quel âge avez-vous, ma chérie? ...."

- "21 ans... " répondis-je d'une voix tremblante.

- "Vous semblez apeurée..." constata l'un autre.

- "Avez-vous peur de nous? ...."

Je frissonnais et avouais :

- "C'est la première fois que..... Je suis horriblement nerveuse! ...."

Un autre remarqua mon alliance et s'enquit :

- "Votre mari sait-il ce que vous faites? ...."

Je rougis encore plus et secouais la tête;

- "Etes vous une prostituée? ..." ajouta-t-il d'une voix douce.

Je m'exclamais que non.

Il n'était pas satisfait de ma réponse et insista :

- "Alors que faites-vous ici? .... Est-ce parce que vous aimez vous montrer nue en public? ...."

Je ne savais pas quoi lui répondre, je jetais un œil éperdu sur Tom qui se tenait prêt de moi et savourait jovialement ma gêne.

Tom prit alors la parole et précisa :

- "J'ai amené ici cette allumeuse pour lui donner une bonne leçon! ...... Je déteste les allumeuses! ...... Elle avait besoin d'une bonne leçon! ....."

Tous mes admirateurs semblaient penser que c'était là une excellente raison.

Comme je me tenais entourée par ces amateurs de chair fraîche, d'autres arrivèrent et, après m'avoir reluquée sous tous les angles, ils discutaient avec le colosse noir et lui donnaient une somme d'argent.

Lorsqu'il fut satisfait du nombre de clients il intervint :

- "Allez messieurs, le show va débuter, vous connaissez tous les règles! ...."

Ils hochèrent la tête en marmottant entre leurs dents, aussi le colosse s'avança, me prit le bras et invita les amateurs à nous suivre :

- "Messieurs, si vous voulez nous suivre! ...."

On redescendit tout le grand hall pour gagner une pièce figurant une petite salle de classe d'un coté, une chambre à coucher de l'autre.

Entre les deux était dressée une petite scène, habillée d'une couverture de fausse fourrure, à une quarantaine de centimètres du sol.

Il m'emmena dans l'aire scolaire puis il se recula et invita mes clients :

- "C'est bon messieurs, ce sera à vous dès que la cloche tintera! ....."

Et il se retira du chemin. Je jetais nerveusement un coup d'œil circulaire, je remarquais alors que les cloisons ne montaient pas jusqu'au plafond, je notais aussi que Rory regardait par-dessus la cloison et filmait la scène avec sa foutue caméra digitale.

Les autres, Harry, Tom, John et Steve se tenaient au fond de la pièce, il était évident qu'ils étaient ravis, il était tout aussi évident que ce spectacle les excitait.

La cloche sonna alors et je vis la quinzaine d'hommes me lorgner en me suggérant des poses.

L'un d'eux m'intima de m'asseoir derrière le petit bureau d'écolière et ils formèrent un demi-cercle autour de moi, ils m'ordonnèrent rapidement d'écarter les cuisses de plus en plus grandes.

Lorsqu'ils eurent tous pris leur comptant de photos de ma petite culotte, je dus me relever et me pencher en avant, mains touchant le sol.

La courte jupe que je portais était remontée en haut de mes reins et je suppose, que du fait de ma position, plus de la moitié de mon cul était offert à leurs regards.

Je dus garder cette position humiliante quelques minutes, puis je me postais derrière le bureau de la maîtresse d'école.

Ils ne me dirent quelles poses adopter cette fois, deux d'entre eux s'assirent sur le bureau me saisirent les jambes et les positionnèrent avec les talons sur le rebord du bureau exhibant à nouveau ma petite culotte.

Il me sembla pourtant que les rectifications de ma position entraînèrent beaucoup de frôlements et de caresses sur mes cuisses, ils remontèrent ma jupe jusqu'à la taille, me disposant à leur entière convenance.

Je baissais les yeux, et atterrée, je constatais qu'une large tache plus sombre auréolait le fond de ma petite culotte, ma chatte était trempée! ....

Pourtant j'étais certaine que non. Je ne pouvais pas me sentir excitée par ce qu'on m'obligeait de faire! ....

Cette idée me terrifiait! .....

Lorsque tous les clients eurent pris leurs photos, je remarquais d'ailleurs que ravis, ils prenaient tous de nombreuses photos, ils me remirent debout et me positionnèrent à quatre pattes sur le bureau, tête penchée vers le bas.

Ils se rassemblèrent autour de moi et prirent de nouvelles photos toutes aussi humiliantes que les premières.

Puis la cloche sonna.

Ils se mirent à deux pour m'aider à me relever et ils me regardèrent tous avec avidité déboutonner et enlever mon chemisier.

Je me rendis tout de suite compte que mes mamelons dardaient, on les distinguait clairement au travers de la dentelle de mon soutien-gorge.

Ils émirent un tas de commentaires tous aussi salaces, concernant l'excitation que traduisait mes tétons raidis et érigés.

Je repris les poses qu'ils me réclamaient. Je mettais les mains sur ma nuque, tirais mes épaules en arrière, et tendais la poitrine pour une série de photos obscènes.

Puis je bouclais mes mains dans mon dos et cabrais mes miches.

L'un d'eux se plaça sur le coté du bureau se saisit de mes chevilles pour lever ma jambe sur l'arête du bureau. Ma jupe remonta sur mes cuisses, ils prirent de nouvelles photos.

Ils prirent encore de nombreuses photos chacun en profitant pour me frôler en me faisant adopter des poses lascives avant que la cloche ne tinte à nouveau, cette fois je me dépouillais de ma jupe.

Cette fois le plus vieux, celui qui avait une bonne soixantaine d'années et qui semblait s'être chargé de la direction des opérations, décida de m'installer sur la petite estrade, mains sur les fesses.


Je dus m'allonger sur la fourrure sur le rebord de l'estrade, et ils me firent prendre différentes poses toutes aussi lubriques.

Les choses ne tardèrent pas à s'emballer au son de la cloche, j'enlevais mon soutien-gorge..

Ils étaient beaucoup à me toucher alors qu'ils m'entouraient, ils en profitèrent tous pour peloter mes nibards et étirer mes mamelons.

Beaucoup de photos devaient les représenter m'empaumant les nichons ou titillant mes tétons.

Lorsque la cloche résonna de nouveau, ils me remirent sur mes pieds et deux hommes se chargèrent de m'ôter ma petite culotte.

Ils se postèrent de chaque coté de moi, le reste de la bande prit cliché sur cliché alors qu'ils roulaient ma petite culotte sur mes cuisses.

Les photos devenaient de plus en plus pornographiques maintenant, ils me positionnèrent allongée sur le dos, je dus écarter mes cuisses en grand et d'ouvrir ma foufoune pour le plaisir de leurs yeux.

Ils prirent beaucoup de photos avec des doigts fourrés dans mon intimité.

Puis je dus me mettre à quatre pattes et cambrer les fesses tandis que je les écartais à deux mains alors qu'ils s'installaient avec leurs appareils photos et leurs caméras dans mon dos.

Je dus rester de longs moments dans cette position infamante alors que de rudes mains exploraient mes charmes offerts à leur convoitise.

C'était horrible, de ma vie je ne m'étais jamais sentie aussi dégradée! .....

Et le pire advint lorsqu'ils commencèrent à plaisanter à plaisanter des suintements de cyprine qui s'écoulaient de ma chatte, traduisant mon émoi.

Les 20 dernières minutes me semblèrent durer des heures.

En fin de séance, des hommes, à la demande de la foule des amateurs, posèrent avec moi, simulant des rapports sexuels alors que les spectateurs riaient de mes émois en me traitant des noms les plus vulgaires.

Mon corps entier était exposé, photographié et manipulé par des étrangers, le tout étant d'ailleurs filmé en détail.

La dernière cloche sonna enfin, et les amateurs de mes charmes remisèrent appareils photos et caméras, le colosse noir revint alors que Tom et Steve me relevaient.

Le gigantesque noir discutait avec la foule des amateurs qui venaient de passer une heure pleine à photographier mes charmes, il m'attrapa alors et me jeta rudement sur le lit dans le coin le plus éloigné de la salle.

Avant que je réalise quoi que ce soit, deux des hommes grimpèrent sur le lit et se débarrassèrent de leurs caleçons, les flashs crépitaient.

L'un d'entre eux s'installa derrière moi malgré mes cris il bourra sa grosse bite dans ma petite chatte en me tenant aux hanches et il commença à me labourer avec violence.

L'autre se posta face à moi et enfourna sa grosse mentule dans ma bouche.

Les spectateurs étaient ravis, ils tournaient autour de nous prenant des centaines de clichés de mon asservissement, sous tous les angles

Au début je me débattais, mais cela ne troubla pas mes deux violeurs.

Celui qui ma baisait en bouche éjacula le premier, il se retira une fois qu'il m'eut empli la bouche de sa chaude semence et me tint la tête en l'air en me tirant les cheveux en arrière afin que chacun puisse photographier ma bouche pleine de sperme.

Puis il baissa son regard sur moi et commanda cruellement :

- "Avale tout salope, allez ma petite pute savoure mon foutre, tu vas te régaler! ...."

Je pleurais à chaudes larmes, personne dans l'assistance ne se souciait de mes pleurs.

Pas un de ces salauds ne me montra une once de sympathie.

Ils savaient tous que j'étais ici contre ma volonté, Tom les en avait informé au tout début de la séance, je suppose que le fait que je puisse leur refuser quoi que ce soit ne les avait même pas effleurés! .....

Lorsque celui qui me baisait se vida les couilles dans ma foufoune, ils me laissèrent tranquilles et descendirent du lit.

Je cachais mon visage dans mes mains et je pleurais, je pensais que mon épreuve était terminée.

Je suis une vraie blonde en fait! .....

Le lit bougea à nouveau et deux nouveaux amateurs me rejoignirent au centre du lit.

Les caméras tournaient toujours, ils reprirent là où les autres m'avaient abandonné.

Puis ce fut au tour de deux autres, et deux autres.....

Je ne crois qu'ils me possédèrent tous, certains ne faisaient que prendre des photos, mais la plupart me sautèrent dans ce lit pouilleux.

Lorsque les consommateurs en eurent finis avec moi, Rory me rejoignit et prit quelques images de mon corps couvert de foutre.

Une fois la foule sortie de la pièce, le colosse noir revint, descendit son pantalon et son caleçon, je m'agenouillais et enfournais servilement son épaisse bite à pleine bouche.

Il me baisa en bouche violemment pendant plusieurs minutes alors que Rory prenait de nouveaux clichés de ma dégradation, puis il me fit lever et me pencha sur le lit, et enfouit sa grosse bite dans ma chatte détrempée, douloureuse.

Il avait, et de loin la plus grosse boite que j'avais du endurer cet après-midi, il me faisait vraiment mal.

Je criais tandis qu'il se servait de sa bite comme d'une arme qui me pourfendait au plus profond de mon corps, et lorsqu'enfin il cracha son venin, il me fit remettre à genoux et je dus nettoyer méticuleusement sa grosse bite avec ma langue.

Il en finit rapidement et me laissa me relever, puis il me saisit par le bras et me traîna dans la salle de bain et me poussa dans une cabine de douche.

Je ne sais pas pourquoi il se montrait aussi violent, on aurait dit qu'il me punissait d'être leur victime.

Il tendit la main et ouvrit en grand le robinet, un jet d'eau froide jaillit du pommeau, je hurlais et cherchais à fuir à quatre pattes, il se contenta de sourire et me retint sous la douche, j'étais couverte du sperme qu'une douzaine d'hommes avait éjaculé sur mon corps.

Finalement l'eau se réchauffa et je cessais de me débattre.

Je restais sous le jet jambes grandes écartées, des torrents de foutre s'écoulaient de mon corps et de ma foufoune se perdant dans le siphon.

Le colosse noir me regardait amusé, il dit soudain :

- "Je pourrais me faire pas mal de fric en vendant ton petit cul! .... Je vais en parler avec ton petit ami afin qu'il te ramène ici assez souvent! ...."

Je grognais de désespoir à l'idée de devoir recommencer de telles séances de pose, il vit mon anxiété se peindre sur mon visage et me confirma :

- "J'en serai d'autant plus heureux que tu as l'air de détester cela... Certaines idées me viennent à l'esprit.....

Je pourrais mettre en place des séances spéciales avec toi! ..... Mes clients avaient l'air ravi de ta prestation! ...."

Finalement lorsque je fus lavée de toute trace, il ferma le robinet et me tira à l'extérieur, trempée de la tête aux pieds.

Tom et ses amis m'attendaient dans la pièce de devant, entourés par une bonne masse de consommateurs enthousiastes.

Tom me tendit la chemise que je portais en arrivant, je l'enfilais avec reconnaissance.

Elle fut immédiatement trempée, mes nibards et ma chatoune étaient tout aussi visibles que si j'étais nue.

Les potes de Tom en avaient marre, le colosse noir tendit une liasse de billets à Tom et le remercia :

- "Une bonne prestation pour une première séance..... Ramène là rapidement...... On pourra se faire pas mal de fric avec son cul! ...."

Ils me tirèrent à l'extérieur et on se tint quelques minutes devant la voiture.

Ils décidèrent enfin de quitter les lieux, et d'aller vider une bière dans un bar tout proche.

On marcha jusqu'au bar en question, fendant la foule des promeneurs. Un géant noir me regarda attentivement vêtue de ma chemise trempée et me sourit en hochant la tête.

Nous sommes entrés et nous nous sommes assis, je n'avais pas réalisé que nous étions dans une boite à strip-tease.

Cependant les photos qui ornaient le hall d'entrée auraient du m'alerter, de même que la tenue des serveuses qui ne portaient que des petites culotte noires.

Je ne le compris qu'alors que retentissait une musique lascive une jeune femme débarqua sur la scène et se mit à danser uniquement vêtue d'un bikini microscopique et de jarretières

De toute manière elle ne le garda pas très longtemps. Une paire de minutes plus tard elle dansait entièrement nue, les regards concupiscents que lui jetaient les consommateurs me rendaient malade et cette façon qu'ils avaient de s'approcher de la scène pour glisser des billets de banque dans ses jarretières, frôlant à chaque fois ses appâts, s'attardant quelques instants sur sa chatte.

Elle arborait un sourire figé, j'avais l'impression qu'elle était à peine consciente de ses actes.

Je ne veux pas dire par-là qu'elle semblait droguée, bien qu'elle puisse l'être, je pensais simplement qu'elle dansait machinalement en pensant aux traites pour payer sa voiture et à d'autres choses du même tonneau.

Elle ne semblait pas aimer son boulot, les spectateurs semblaient s'en foutre totalement, ils voulaient seulement la voir évoluer nue, qu'elle en soit contente ou non leur importait peu.

Mes accompagnateurs sirotèrent leurs canettes de bière, j'avalais la mienne cherchant désespérément à estomper le goût du sperme qui imprégnait mes lèvres, ma bouche et ma gorge.

Nombreuses étaient les bites qui s'étaient engouffrées dans mon arrière-gorge, ma gorge était si douloureuse que j'avais du mal à m'exprimer clairement.

Ce n'était pas u grand problème en fait, je n'avais rien à dire à mes voisins, ça n'aurait fait que les amuser, de ce fait je n'avais aucune raison de leur adresser la parole.

Lorsque j'eus fini ma bière, Tom se leva et alla m'en chercher une autre.

Je la sirotais plus lentement, ils avaient leurs yeux braqués sur moi, ils parlaient entre eux à voix basse.

La musique était trop forte pour tenir une discussion élaborée.

Je finis ma bière et restais assise attendant de voir comment ils avaient décidé de m'humilier cette fois-ci.

Ils vidèrent aussi leurs verres et Tom commanda une nouvelle tournée, il paya avec l'argent obtenu en vendant mes charmes aux clients de la salle de pose.

A la fin de la séance de strip-tease, la musique baissa et les conversations purent reprendre autour de la table.

Tom me demanda si j'avais aimé poser pour ces vicelards, je lui retournais un regard haineux.

Il rit aux éclats et poursuivit :

- "J'ai drogué ton second verre de bière, la dose n'est pas aussi forte que la nuit dernière, ainsi tu n'oublieras rien cette fois! .... Ça va juste te désinhiber, cependant cette drogue a un effet cumulatif, c'est pourquoi je dois me montrer prudent quant aux doses que tu absorbes... Je ne voudrai pas que le désir te tenaille à chaque instant, faisant de toi la pire des traînées en manque de sexe, au contraire, je veux que tu détestes chaque instant que tu vas vivre...... Si tu te mettais à aimer ce qu'on te fait faire, cela perdrait beaucoup de son intérêt... J'ai programmé une nouvelle expérience et je veux que tu paraisses éveillée, consentante et participante sur le film que l'on va tourner, juste au cas où on déciderait d'en voyer la cassette à ton mari la-bas en Irak... Cela le distrairait sûrement, un bon fil porno à se mettre sous la dent! ....."

Je sentais que déjà la drogue agissait, elle se répandait dans tout mon corps, mes tétons durcissaient, ma chatte s'humidifiait, je sentais les envies de lucre monter en moi.

Je lui demandais :

- "De quoi s'agit-il? ..... Quelle sorte de drogue m'as-tu fait prendre? ....."

Il me sourit et rétorqua :

- "Rien que tu puisses trouver en pharmacie, c'est un cocktail de différents produits, d"herbes et d'hormones mâles qui se combinent pour donner un très puissant aphrodisiaque doublé d'un désinhibant de poids..... Si je double la dose tu te retrouveras dans le même état que la nuit dernière... Tu te comporteras comme une nymphomane prête à tout pour se faire baiser dans toutes les positions et les combinaisons possibles, en solo, par deux, par trois, et même plus! ...... Mais tu aurais tout oublié le lendemain! ...... Avec une dose simple, tu vas juste devenir assez chaude pour ne pouvoir dire non à personne, même si tu le voulais, mais comme tu ne le voudras pas! ...... Si je te faisais prendre cette drogue sur une longue période de temps, cela finirait par avoir un effet permanent... Je ne le désira pas pour l'instant! ..... Je veux que tu haïsses chaque instant que tu vas vivre! ..... Et maintenant vide ton verre..... Il est temps de quitter le bar! .... Tu sens l'effet de la drogue monter en toi, n'est ce pas? ...."

C'était vrai, de toute ma vie je n'avais jamais eu autant me faire emplir par une grosse bite! ....

Sauf la nuit dernière, à en juger la cassette que j'avais visionné ce matin même! ..... Bien que je ne me rappelle de rien.

Cependant cette fois j'étais pleinement conscience de la situation, mon humiliation montait au même rythme que mon envie de me faire ramoner! ....

J'avalais ma bière ma bière et nous sommes partis.

Nous n'avalons pas monté dans la voiture, ils m'emmenèrent vers un bâtiment proche qui avait pour tout signe extérieur une enseigne néon sur la porte indiquant : "Ouvert".

Nous pénétrâmes à l'intérieur, sur la porte suivante une pancarte indiquait que seuls les majeurs pouvaient entrer si la nudité ne les effrayait pas.

Nous passâmes cette nouvelle porte et je me retrouvais dans une salle dont je n'aurai jamais imaginé l'existence.

Je savais que cela existait, j'en avais déjà vaguement entendu parler, on aurait pu désigner cet endroit sous le nom de paradis du sexe pour adultes.

Partout où se portaient mes yeux ce n'était que posters de femmes entièrement nues dans les poses les plus obscènes que l'on puisse concevoir.

Le long des murs se trouvaient des étagères pleines de gadgets sexuels de toutes sortes.

Je voyais un tas de choses dont j'ignorais même l'existence et l'utilité, hormis le fait qu'indéniablement il s'agissait de dispositifs sexuels.

On y trouvait des films pornos, des livres, des magazines, j'étais si choquée par ce spectacle que je n'avais pas encore remarqué la mine des hommes.

Ils étaient une douzaine environ, de toutes couleurs et de tous âges.

Ils semblaient tous chercher des articles à acheter, et en fait c'est ce qu'ils faisaient jusqu'à mon arrivée.

Et maintenant ils me lorgnaient tous avec concupiscence dans ma petite chemise ouverte sur mes nibards.

Ils me reluquaient des pieds à la tête alors que mes maîtres me faisaient faire le tour de la boutique reluquant les posters cloués aux murs.

Ils prenaient grand plaisir à me désigner des images de femmes se faisant baiser par des groupes d'hommes ou d'autres ligotées étroitement et fouettées.

Ils me montrèrent plusieurs magazines de femmes baisant avec des femmes et me demandèrent si j'avais déjà goûté au minou d'une autre femme.

Bien entendu, je n'avais jamais fait cela et je me pressais de le leur répondre.

Tom me montra un film concernant une femme se faisant partouser par 25 colosses noirs, et commenta :

- "Je parie que tu pourrais facilement battre ce record! ...."

Je frissonnais de révulsion, mes mes tétons étaient raides comme la justice et ma chatoune traversée par des ondes d'excitation, et si j'avais eu l'occasion à cet instant même de me faire sauter, cela aurait été avec joie.

La drogue m'excitait tant que je devais me forcer pour ne pas empoigner ma foufoune à pleines mains! .....

Je sentais que je devais me branler rapidement pour calmer mes envies grandissantes.

Il m'entraîna vers les étagères couvertes de fringues

C'était le genre de tenues que les maris offrent à leurs femmes pour la saint Valentin.

Le typique fantasme masculin. La plupart éteint transparents, ils inspectèrent les tenues et en saisirent quelques-unes unes.

Tom appela l'employé qui se tenait derrière le comptoir il lui demanda s'il était d'accord pour que j'essaie quelques articles.

- "C'est d'accord, mais les petites culottes essayées seront considérées comme vendues! ...."

Tom attrapa ma chemise et me la fit passer au-dessus de la tête. Puis il me tendit un minuscule cache sexe avec quelque chose d'inscrit sur le triangle de dessus couvrant le pubis.

Je lui fus tout d'abord reconnaissante de me donner de quoi couvrir mon sexe, jusqu'au moment ou je lus l'inscription, il était marqué : "baisez-moi bien! ..."

Les hommes qui m'entouraient éclatèrent de rire, il était évident qu'ils approuvaient cette sentence.

Tom m'abandonna porteuse du léger sous-vêtement, se dirigea à nouveau vers les étagères et revint avec ce qui de prime abord me parut être un pagne.

Il était formé d'une bande élastique, l'avant et à l'arrière étaient constitués de morceaux de tissu transparents.

Il existait un intervalle d'au moins 10 centimètres entre chaque pan sur les hanches.

Les pans de tissu me couvraient tout juste le pubis et les fesses, tout au moins tant que je restais immobile.

Les commentaires des spectateurs fleurissaient et certains d'entre eux demandaient combien je réclamais pour me faire sauter.

La drogue avait plein effet maintenant et j'étais folle d'envie d'être possédée par de grosses bites.

J'avais besoin de sentir une épaisse mentule enfouie dans mon intimité.

Si on ne me baisait pas rapidement j'allais être obligée de me branler devant tous ces hommes, et j'étais suffisamment lucide pour que cette solution me désespère.

Tom m'entraîna loin du comptoir, mais comme nous passions devant les gadgets sexuels accrochés au mur il stoppa, tendit la main et saisit une paire de laisses de cuir avec une chaînette d'une trentaine de centimètres et un collier clouté de cuir noir.

Nous gagnâmes la caisse et Tom paya les achats avec mes gains antérieurs, puis il posa le collier autour de mon cou et y accrocha la laisse, la chaîne courant dans mon dos.

Ils m'emmenèrent alors vers une porte dans le mur du fond qui donnait sur une salle de la taille de mon salon.

Le centre de la pièce était vide mais le long des murs se trouvaient de vieux lits de camps souillés et quelques chaises branlantes.

La différence majeure entre cette pièce et ma salle de séjour c'est qu'on y trouvait un grand écran qui projetait un film. Je connaissais pas le titre de ce film, je voyais seulement une grosse bite noire qui labourait sauvagement une chatte blonde fort large, on ne voyait que les organes génitaux des protagonistes en gros plans.

Les sons de couple baisant à couilles rabattues m'emplissaient les oreilles excitant mes sens, la drogue absorbée faisait que je désespérais maintenant de me faire baiser rapidement.

Je n'avais pourtant pas à me tracasser, c'est bien pour ça que j'avais été menée dans cette salle.

Tom me passa dessus le premier.

Il repoussa ma courte brassière au-dessus de ma tête la laissant retomber dans mon dos puis pendre sur mes poignets.

Puis il me força à m'agenouiller dans une mare de foutre qui couvrait le sol.

Il enfouit de force sa grosse mentule dans ma bouche s'enfonçant dans mon arrière gorge à grands renforts de violents coups de boutoirs.

Les hommes qui se trouvaient déjà dans la salle lors de notre arrivée et ceux qui nous avaient suivis se rassemblèrent autour de nous, ils ignoraient tous le film maintenant, ils avaient les yeux rivés sur Tom qui me baisait en bouche, cela dura quelques minutes avant qu'il ne se retire, me penche vers l'avant se poste dans mon dos, et investisse ma petite chatte.

Dès que je sentis son chibre s'engouffrer dans ma foufoune embrasée, je hurlais l'encourageant de vive voix à me posséder sauvagement.

Il rit à pleines dents m’appelant sa petite pute et il se mit à me ramoner frénétiquement alors que Rory prenait sa place et enfournait sa bite démesurée dans ma bouche accueillante.

Tom et ses 4 copains me baisèrent chacun leur tour avant de me repasser au reste des amateurs, Rory filmait de plus belle alors qu'ils se mettaient en ligne pour disposer de l'un de mes trois orifices.


Je n'ai aucune idée du temps que dura cette séance, mais ma gorge et ma chatte étaient douloureux et pourtant j'aurai voulu que cela continue éternellement.

Quelques-uns uns m'enculèrent, mais même cela me faisait jouir.

Tout au début, alors que Tom et ses 4 potes venaient de me sauter, il y avait à peu prêt une douzaine d'amateurs dans la pièce.

Je m'étais déjà fait sauter par une douzaine d'hommes au club photo, cependant cela ne me suffisait pas, droguée comme je l'étais j'aurai encore voulu d'autres bites dans mes trois trous échauffés.

Nous sommes restés là pendant des heures, des clients venus de l'extérieur nous rejoignirent.

Je ne saurai dire combien hommes ont abusé de mes charmes cet après-midi, j'avais avalé une dose phénoménale de sperme alors qu'ils s'étaient succédés dans ma bouche et ma gorge.

Le foutre qu'ils m'avaient injecté dans la chatoune et le trou du cul ruisselait le long de mes jambes.

Beaucoup d'entre eux, sur le point de jouir se retiraient du trou dont ils se servaient pour éjaculer à longs jets crémeux sur mon corps, de ce fait, au bout d'un moment ils ne voulurent plus me toucher tant j'étais couverte de leur grasse semence, j'en avais partout, sur le visage, les seins, les cuisses, les cheveux! ......

Je ne sais pas si l'effet des drogues avait diminué ou si tout simplement j'avais eu mon compte de grosses bites, mais le temps qu'ils me disent de quitter la pièce, je ne ressentais plus l'impérieux besoin de me faire sauter.

Mon corps entier était douloureux, je demeurais nue étendue sur le sol, j'étais si couverte de foutre que personne ne me touchait plus.

Tom m'entraîna dans les toilettes pour hommes, les hommes qui s'y trouvaient explosèrent de rire à ma vue, je pensais avoir touché le fond, une fois de plus je me trompais dramatiquement.

Tom m'ordonna de m'allonger dans le grand bassin d'aluminium qui servait d'urinoir, il mesurait environ deux mètres de long, un ruisselet coulait au centre, il puait la pisse, c'était réellement répugnant.

Je levais les yeux sur Tom, secouais la tête et fis un pas en arrière, je réalisais alors que je n'avais nulle endroit où me réfugier.

Mes mains étaient attachées dans mon dos, je ne pourrai même pas ouvrir la porte des toilettes.

Tom se fâcha alors :

- "Je t'ai prévenue de ne pas me décevoir salope! ..... Je ne te répéterai pas mon ordre! ...... Si je dois t'allonger moi-même dans le bassin, dis le tout de suite, mais tu le regretteras amèrement! ......"

Je pleurais à chaudes larmes à cet instant, je pleurais tant que je ne pouvais voir que Rory filmait attentivement la scène.

Je m'approchais lentement du bassin, levais une jambe et posais le pied dans l'eau froide, puis je tentais de me résoudre à lui complaire en dépit de mes hauts le cœur.

Finalement je m'allongeais dans le bassin.

Une fois que je fus allongée, les spectateurs s'approchèrent de l'urinoir et pissèrent en chœur sur mes appâts, chassant l'épaisse couche de foutre qui amidonnait mes cheveux, mon visage, mes nibards, mon entrecuisse et mes cuisses! .....

Ce faisant, ils accompagnaient leurs gestes d'horribles propos licencieux, certains allèrent même jusqu'à cracher sur mon corps pantelant.

Je ne pouvais que sangloter misérablement.

Ils ne me laissèrent tranquilles qu'après un très long moment, ils défilaient pour me pisser dessus puis reculaient pour regarder d'autres amateurs les imiter.

Le foutre qui me couvrait initialement avait disparu, mais cette fois j'étais couverte de pisse.

Je ne parvenais pas à croire qu'il pourrait m'emmener ailleurs dans cet état.

Lorsqu'ils en eurent finis, Tom offrit une pipe à celui qui m'aiderait à me relever.

Il n'y eut pas de volontaire, aussi Tom m'ordonna-t-il de me relever toute seule.

Je parvins avec de grosses difficultés à m'agenouiller ce qui me permit de m'extraire de l'ignoble urinoir.

Je m'effondrais sur le sol, Tom m'intima de rester là où je me trouvais.

Il sortit et revint quelques minutes plus tard et m'ordonna de le suivre.

Je traversais une porte et me retrouvais dans l'arrière cour, il ouvrit alors un robinet et m'arrosa avec un jet d'eau froide.

Il le pinçait pour m'asperger de gouttes d'eau puis introduisit le bout du tuyau dans mes orifices, ils explosèrent de rire à la vue du flot de foutre qui s'écoula de ma chatte et de mon trou du cul! .....

Lorsqu'il en eut terminé, il ne restait plus de foutre que dans mes cheveux, mais pour le reste j'étais aussi propre que si je sortais d'une bonne douche bien chaude.

Il s'arrêta dans le magasin et m'acheta une nouvelle brassière, mais il ne me la donna pas.

Il posa sa chemise sur mes épaules et la boutonna juste suffisamment pour que je ne la perde pas.

Puis nous retournâmes à la voiture.

Les gars assis sur le siège arrière n'étaient plus aussi impatient de me faire asseoir entre eux, personne ne me tourmenta alors que nous regagnions le bercail de Tom.

Une fois à demeure, sur le parking, mon apparence attira l'attention des chalands qui se promenaient dans le parking.

Je me rendis tout droit dans la salle de bain, Tom me poussa sous la douche et ouvrit le robinet d'eau.

L'eau s'écoula d'abord froide, mais je n'avais plus la force de me rebeller, j'étais brisée.

Il me fit tourner sur moi-même et déboucla mes menottes, puis jeta ma brassière souillée au sol, il m'intima alors de nettoyer mon corps ainsi que la brassière et les menottes.

Puis il m'abandonna sous la douche.

J'appuyais ma tête contre la paroi de la douche et me mit à pleurer hystériquement pendant un long moment avant de me savonner des pieds à la tête et de me rincer à grande eau.

Je remarquai qu'en dépit des flots de foutre qui s'étaient écoulés de mon corps alors qu'on me douchait au tuyau une bonne heure plus tôt, il en s'échappait encore plus de ma chatte et de mon trou du cul douloureux.

Je frémis de révulsion à la pensée du nombre de bites qui s'étaient vidées dans ma chatte et mon trou du cul au cours de cette horrible journée, je n'avais absolument aucune idée de leur nombre, tout ce que je savais c'est qu'il y avait une bonne cinquantaine d'hommes qui m'avaient sautée dans les deux locaux où ils m'avaient prostituée.

Hier encore je n'avais appartenu qu'à deux hommes et maintenant, bien que cela paraisse incroyable, une bonne cinquantaine d'hommes avait profité de mes charmes les plus intimes.

J'étais courbaturée, j'avais mal dans tout mon corps, et je savais que ce n'était pas fini pour autant.

L'eau coulait à nouveau froide lorsque je sortis de la douche pour me sécher. Je me brossais les dents avec les doigts et de la pâte dentifrice appartenant visiblement à Tom, ce n'est qu'après avoir insisté à trois reprises que je parvins à estomper le goût de foutre qui imprégnait ma bouche, bien que je ne sois pas parvenu, avec mes seuls doigts à curer tous les recoins de ma bouche et l'entrée de ma gorge.

Finalement je tordais la brassière qui jonchait le sol de la douche et je le pendais avec les menottes au rideau de douche avant de sortir de la salle de bain.

Je réintégrais discrètement le salon où seuls Tom et Rory m'attendaient.

J'espérais bien ne pas revoir les deux autres, mais indiscutablement Tom et Rory étaient les pires de la bande.

Tom me jeta un regard égrillard alors que je pénétrais dans la pièce et commenta ironiquement :

- "Bordel ma chérie, je commençais à craindre que tu te sois noyée! ....."

Je ne répondais pas, ce n'était pas nécessaire.

Je me tenais au centre de la pièce, immobile attendant ses ordres.

Il m'a jeté un œil puis m'a ordonné :

- "Viens t'asseoir à coté de moi, on va regarder un film....."

Je m'assis entre Rory et lui sur le canapé et ils mirent en route le lecteur de DVD.

Je ne fus pas autrement surprise en me voyant sur l'écran posant pour une foule de spectateurs, ils avaient enregistré beaucoup de rushs et Tom m'avait promis que j'aurai une bonne copie du montage définitif, plus tard.

Je me regardais poser avec de moins en moins de vêtements jusqu'à ce que je fus nue puis baisée par un ou deux hommes à la fois sur le lit et enfin lorsque je terminais la séance en appartenant au noir propriétaire des lieux.

C'était dégueulasse, mais moins que la suite cependant.

Je vis la différence dès que nous nous rendîmes au sex-shop.

Je voyais bien que j'sois droguée.

Je n'étais pas dans le cirage comme la veille au soir, mais la vue de la cassette me permettait de comprendre ce qui s'était passé.

Une fois de plus je participais activement à ma débauche, du début à la fin.

Je vis à que l'on m'embrochait, à nouveau, à deux à la fois, la plupart de ces hommes étaient laids et vieux, de toutes races et de tous types.

Il ne s'agissait en aucun cas de faire l'amour, mais bel et bien de se faire baiser à couilles rabattues, ils auraient tout aussi bien se servir d'une poupée gonflable.

Leur but principal semblait plus de m'humilier que de jouir de mes charmes.

Je cherchais à me couvrir les yeux lorsqu'ils me prirent couverte de sperme dans les toilettes pour hommes, ce spectacle me révulsait, ils m'ordonnèrent de regarder le film en dépit de mon dégoût patent.

Je dus me revoir m'allongeant dans le bassin servant d'urinoir puis ces hommes me pissant dessus pour débarrasser mon corps de l'épaisse couche de foutre qui le recouvrait. Je les voyais viser mon visage et ma chevelure alors que les uns après les autres ils se vidaient la vessie sur mon corps pantelant, se retirant ensuite pour regarder les suivants les imiter tout en se moquant de moi et en commentant le spectacle en termes salaces.

D'autres dirigeaient les jets de pisse sur son visage et ses organes génitaux, ils étaient toujours au moins une demi-douzaine à me pisser dessus de concert. Tout le revenait alors qu'ils m'obligeaient à visionner ce spectacle immonde.

Puis le spectacle se terminait sur l'ultime humiliation lorsque je me traînais hors de l'urinoir et sortais pour être nettoyée au robinet d'arrosage.

Lorsque le DVD se termina, Tom et Rory se levèrent en chœur et descendirent pantalons et caleçons, je dus les sucer tous deux en même temps.

Je me mettais à genoux et me postais entre les cuisses de Tom, il sourit et me dit :

- "Tu m'as vraiment épatée aujourd'hui! .... Je crois que tu vas parvenir à me vider les couilles si tu y mets tout ton cœur! .... Allez à toi! ...."

Mes mâchoires étaient douloureuses, j'étais crevée, mais je savais que si je protestais, il me le ferait amèrement regretter.

Je forçais mes lèvres à s'ouvrir et glissais son épaisse bite dans ma bouche l'enfournant jusqu'aux couilles! ....

Il soupira et reprit :

- "Bon Dieu ce que tu suces bien! ..... C'est excellent ma chérie! ..... Suce-moi bien..... Tu vas avoir ta dose de protéines! ...."

Je le travaillais de tout mon cœur, de toute mon habileté fraîchement apprise, oeuvrant des lèvres et de la langue, tout en lui caressant les boules de mes doigts agiles, après un long moment je le sentis enfin se tendre dans ma bouche, j'enfouissais mon visage dans ses poils pubiens tandis qu'il projetait de lourds jets crémeux de foutre chaud au fin fond de ma gorge.

Lorsqu'il me repoussa, je pris place entre les cuisses de Rory, j'en aurai pleuré.

Sa bite était en semi-érection, et j'étais épuisée! .....

J'entrepris de lui embrasser et lécher les burnes, sa queue commença à grossir et à se déployer.

Lorsqu'enfin il fut assez bandé, je l'embouchais servilement luttant pour l'accueillir dans mon arrière gorge.

Si l'on excepte la bite du colosse noir propriétaire du salon de photos sa queue était la plus grosse bite de toutes celles des violeurs qui m'avaient possédée à ce jour.

Il m'était très difficile de l'introduire dans mon arrière-gorge, j'étais véritablement bâillonnée, c'était extrêmement pénible.

Je m'occupais de sa queue avec autant de cœur que de celle de Tom, alors que je le suçais docilement, il tendit la main et attrapa mes nichons qu'il serra très fort.

Je gémissais de douleur, il se retourna sur Tom et lui concéda :

- "J'adore la manière dont sa gorge vibre lorsqu'on la torture un peu! ..... C'est très jouissif! ...."

Cela le réjouissait peut-être, mais cela n'empêcha pas mon épreuve de durer très longtemps.

Lorsque je les eus tous deux fait jouir une dernière fois, ils m'autorisèrent à enfiler la tenue que m'avait achetée Tom et de rentrer chez moi.

Je devais revenir le lendemain matin à 10 heures.

J'enfilais rapidement l'espèce de pagne et la seconde brassière qu'avait acheté Tom au sex-shop. Je jetais un œil sur ma tenue et vit une inscription inscrite sur le pagne, il était écrite en larges lettres noires : "Otez moi!."

J'enfilais mes sandalettes et attrapais mon sac à main.

Tom m'ordonna de revenir dans la même tenue le lendemain matin.


Je me ruais au dehors avant qu'ils ne changent d'idée, je me dirigeais vers la piscine pour récupérer le short et la brassière, mais je vis qu'un tas de monde se tenait autour de la piscine et je me refusais à me confronter à ces gens dévêtue d'une façon aussi provocante! .....

A suivre...