Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Orgie finale.Les deux policiers désirant tirer l'affaire au clair, nous sommes tous embarqués et conduits au commissariat. Nous traversons le hall suivis des yeux par les quelques flics qui sont là. Nous longeons un couloir et arrivons dans une grande pièce. Nous passons devant la cellule des gardés à vue. A l'intérieur, deux putes l'air très vulgaire nous regardent passer ainsi qu'un SDF et un homme à la peau sombre, visiblement un étranger...Nous sommes auditionnées, maman et moi, par François. Nous avons demandé à parler à un gradé mais François a rétorqué qu'on ne dérangeait pas un officier de police judiciaire pour si peu. A un autre bureau, Mohamed et Moussa sont entendus par le second flic.
François n'arrête pas de mater nos jambes. Nous lui expliquons, maman et moi, l'ignoble piège dans lequel nous sommes tombées depuis le jour où, désirant aller faire les soldes, nous étions rentrées accidentellement dans un sex-shop. Je vois le flic sourire légèrement en écoutant notre récit. Nous lui parlons du site et il s'empresse d'aller voir. Je constate qu'à l'autre bureau, le flic fait la même chose et que Mohamed lui parle tout bas. Il n'arrête pas de nous regarder. Je commence à ne pas être rassurée du tout.
François revient accompagné de Mathieu.
- C'est ennuyeux, commence François, il va falloir faire un procès verbal, au minimum, une main courante, nous ne pouvons pas passer sous silence que vous et votre mère vous vous prostituez...
Outrées, maman et moi nous protestons!
- Mais pas du tout! Nous sommes des femmes honnêtes! Je viens de vous expliquer que nous étions forcées d'obéir...
Il se tourne vers Mohamed et Moussa et leur dit que leur garde à vue est levée et qu'ils peuvent partir. Ils se précipitent dehors trop contents d'échapper à la prison.
- Ma mère et moi nous sommes révoltées et nous crions....
François eut un sourire carnassier...
- C'est que...Les images sur le site parlent d'elles-mêmes...Il s'agit d'une preuve et puis nous vous avons prises en flagrant délit sur le chantier...
- Et vu les cris que vous poussiez, ce n'étaient pas des appels au secours...
Maman baisse la tête et je ne réponds pas...On me saisit soudain les seins par derrière et je pousse un cri!
Maman est levée de son siège par un flic et traînée jusqu'à la cellule. Elle manque tomber, déséquilibrée par ses talons aiguilles. Elle pousse un cri.
A l'intérieur de la cellule, les hommes se lèvent voyant arriver vers eux cette superbe bourgeoise. Imaginant déjà ce qu'ils vont pouvoir en faire...
Le flic lui passe les menottes sur un de ses poignets et attache l'autre au barreau de la cellule. Il appelle le SDF qui sort sa bite et la passe à travers les barreaux. Mathieu s'approche et appuie sur les épaules de maman pour qu'elle s'accroupisse devant la cellule.
- Avale salope, bouffe-lui la bite!
Il appuie sur la nuque et maman, les larmes aux yeux, gobe la bite du SDF. L'odeur est insoutenable et elle fait une grimace de dégoût et a un haut le cœur...
Derrière moi, les mains continuent de me torturer les seins qui sont maintenant dégagés de mon chemisier. François fait le tour et m'empoignant par les cheveux me force à me lever me faisant couiner. Je me retrouve à genoux devant lui. Sa queue forçant ma bouche. Il prend visiblement un plaisir immense à se dire que la femme de son collègue va lui faire une pipe.
J'avale sa queue et lui tète le gland. Ma main le masturbe tout en le pompant. Je lui lèche les couilles, je salive dessus. François me traite de tous les noms...
- Vas-y chienne, avale ma queue, ton mari sait que t'es la dernière des salopes, une traînée...
Je sens la cyprine qui coule de ma fente. Je m'active sur le sexe de François qui grossit à vue d'œil prenant des proportions plus que raisonnables...
Il donne des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans ma bouche, il appuie sur ma tête me contraignant à le prendre entièrement en bouche me faisant hoqueter.
Maman suce la bite du SDF trop content de l'aubaine...Quand on vit dans la rue, on ne doit pas avoir souvent l'occasion de se faire sucer par une bourgeoise....Mathieu en profite aussi et par moment contraint ma mère à lui sucer la bite. A l'intérieur de la cellule, c'est du délire, les deux putes insultent Christiane la traitant de salope. Et le type a sorti sa bite qui est énorme et se masturbe comme un fou.
Maman s'empare de la queue de Mathieu et le branle rapidement faisant coulisser ses doigts espérant sans doute le faire jouir rapidement. Peine perdue, Mathieu la repousse et la lève. Courbée en avant, la main toujours menottée, il s'introduit dans la fente de maman qui pousse un cri.
- Continue de le sucer! Et toi, viens te faire pomper par cette salope.
Il s'adresse à l'autre gardé à vue qui s'approche et passe lui aussi sa queue à travers les barreaux.
Maman se retrouve avec deux queues dans la bouche, la mâchoire déformée, pilonnée par Mathieu qui lui donne des coups de reins si violents que par moment la tête de maman vient se cogner contre les barreaux.
François m'a couchée sur le sol, en chien de fusil et, une jambe relevée à la verticale, il me prend ainsi. Sa bite coulisse rapidement dans ma chatte dégoulinante. Je gémis...Mes seins ballottent sous ses coups de boutoir. Il me tient la cheville et je l'entends grogner derrière moi...
- Tu mouilles ma salope, t'es vraiment une pute...
J'halète...Sa main me titille le clitoris en même temps me mettant dans un état d'excitation indescriptible...
Il se retire, me lève et me force à m'allonger sur son bureau. Il m'écarte les cuises et plonge sa langue dans ma fente, me suçant le clitoris, jouant avec mes petites lèvres. Je gémis, secouant la tête de droite à gauche...Il me mordille le clito et je donne des coups de reins...
Il me redressa de nouveau et me retournant violemment me prit une jambe la mettant sur le bureau. En fragile équilibre sur le talon de mon escarpin, il me pénétra, me tenant par les seins et il commença à me bourrer le con avec violence....
Mathieu a détaché maman et elle a dû s'empaler sur sa bite. Son corps bouge, montant et descendant, ses seins secoués dans tous les sens. Ses cheveux en bataille...Elle pousse de petits cris. Mathieu la défonce comme un fou. Suçant ses seins quand il parvient à les gober.
- Ça vient, putain! Rugit-il. Ça vient...
Il éjacula dans la chatte de maman qui poussa un hurlement de possédée. Elle s'effondra sur le torse de Mathieu, haletante, en sueur...
François, ses mains serrant mes hanches à les briser, me pilonne faisant tressauter mes fesses. Il entendit ma mère hurler et cela déclencha son orgasme. Il jouit en grognant et je poussais un feulement rauque en sentant son sperme s'écouler de ma chatte...
Je me disais que c'était fini et que nous allions pouvoir rentrer chez nous mais les types dans la cellule protestèrent. Effrayées, nous supplions Mathieu et François qu'ils ne nous livrent pas à ce SDF et ces deux putes...Rien n'y fait...Nous pleurnichons toutes deux quand on nous entraîne vers la cellule. Mathieu ouvrit la porte nous jetant dedans.
- Amusez vous!
Maman est aussitôt attrapée par le SDF qui la met à quatre pattes sur le banc. Il engouffre ses doigts dans la chatte de maman qui pousse un cri de dégoût. Il prend sa bite à pleine main et pénètre maman. Les mains sur ses hanches, il lui donne de violents coups de reins. Maman doit poser ses mains sur le mur pour ne pas tomber sous les coups de boutoir du SDF...
Les deux putes se précipitèrent sur moi, m'agrippant les cheveux et me forçant à me mettre à genoux, à leurs pieds, comme une bonne chienne. Je repense à Leila et Jessica et je me dis que, décidément, je suis habituée au viol lesbien. Une des putes soulève sa minijupe. Elle porte des bas-résilles. Elle appuie sur ma tête et me force à lui sucer la chatte. Derrière moi, l'autre pute enfonce ses doigts dans ma fente et me branle. Je lèche la chatte de cette pute et, mes mains posées sur ses cuises, je donne de grands coups de langue, lui mordillant le clitoris, buvant sa cyprine qui dégouline sur ma figure...
- Oh...T'es bonne ma salope...
Elle donne des coups de reins pour mieux sentir ma langue.
J'entends derrière moi, l'autre pute crier à l'attention d'un des flics...
- Eh, prêtez-moi votre matraque, je vais la ramoner cette chienne!
Je pousse un hurlement étouffé.
Tout de suite après, je sens la matraque qui s'enfonce dans ma chatte comme une gode. La pute la fait coulisser rapidement...très vite j'ondule du bassin. Je sens cette matraque qui me procure du plaisir comme si il s'agissait d'un sexe d'homme.
Maman subit le même sort que moi. Toujours pilonnée par le SDF, l'autre type lui a enfoncé sa bite dans la bouche et elle le pompe avec avidité, lui léchant les couilles, remontant sa langue le long de la hampe...
Le SDF poussa un cri en jouissant, libérant des giclées de sperme sur ses fesses. L'autre type repoussa ma mère et demanda la matraque que la pute lui tendit. Il l'enfonça dans le trou du cul de maman qui poussa un hurlement déchirant. Je tourne la tête et horrifiée, je vois cette matraque noire dépassant du cul de ma pauvre maman. Les larmes aux yeux, maman halète...
Le grand type fit coulisser la matraque puis la retira et enfonça sa bite dans le rectum de maman. La tenant aux hanches, il se mit à la défoncer.
Apres avoir goûté à la mère, le SDF voulait goûter à la fille. La pute lui laissa la place et il s'introduisit dans ma fente. Nos gémissements à maman et moi emplissent la cellule. Celui qui pilonnait maman se retira et se mit devant le visage ravagée de ma mère. Il lui aspergea la figure de sperme. Les jets allèrent s'écraser sur sa bouche, son nez, ses yeux...Des filaments coulent sur son menton.
Le SDF, lui, voulut se répandre sur mes seins et je dus le branler en lui faisant une cravate de notaire. Il cria quand son sperme gicla...
Nous somme sorties de la cellule et Mathieu et François nous annoncent enfin que notre calvaire est terminé et qu'ils vont nous ramener chez nous. Nous montons à l'arrière d'un fourgon blanc avec l'inscription POLICE sur le côté. Nous nous asseyons sur une banquette. Exténuées...Mais le trajet jusqu'à chez nous fut long...Suffisamment long pour être de nouveau baisées dans la camionnette. Maman se retrouva empalée sur François et moi, un pied posé sur la banquette pilonnée par Mathieu, la chatte ravagée par sa bite...
Arrivées chez maman, nous prenons une douche pour nous débarrasser du sperme qui souille nos corps. Nous sommes vraiment devenues des chiennes, des putes que l'on siffle et qui obéissent comme des poupées. Nous subissons ces humiliations avec horreurs mais aussi, reconnaissons-le, avec un sale plaisir. En tout cas, vous savez maintenant comment 2 bourgeoises respectables, mère et fille, sont devenues les esclaves sexuelles de plusieurs hommes et femmes...
Fin
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