jeudi 10 octobre 2019

Piégée au supermarché Ch. 02

Piégée au supermarché - Récits érotiques - Contrainte - soumission.


Introduction au lesbianisme et prostitution.


Lundi matin, Robert attend dans le hall de l’immeuble en compagnie de Julia. Il soulève ma jupe pour vérifier si j’ai respecté son ordre de ne plus porter de culotte. Il passe sa main sur ma chatte lisse. je suis mortifiée. Il nous laisse partir.

Pendant le trajet Julia m’explique qu’elle est soumise depuis quatre ans, au début elle était rétive et souvent elle a été punie. Aussi pour la dresser, pendant son mois de congé, il l’a emmené à Marseille. Là elle a été confiée à un type qui l’a mise à "l’abattage" dans un "clandestin". Pendant quatre semaines, elle recevait 50/60 hommes par jour, dans tous les orifices, sinon elle était punie. Cela l’a mise à la raison. Depuis elle accepte tout.

Le plus souvent, Robert la prête à un ou deux hommes rarement plus. Il lui donne une enveloppe contenant l’adresse ou elle doit se rendre et se livrer sans restriction, cela une ou deux fois par semaine. Il organise aussi, une ou deux fois dans l’année, des gang-bang comme celui ou nous avons été conduites.

Le soir même, à peine suis-je rentrée, que Robert arrive suivi de son collègue. Il me fait déshabiller. Il précise à ce moment :

- Tu dois en rentrant, systématiquement, avant de faire quoi que soit d’autre, te déshabiller et rester en sous-vêtements, cela dans toutes circonstances.

Il sort sa queue déjà en érection et m’appuie sur la tête. Je m’accroupis et je prends sa bite en bouche, elle ne tarde pas à grossir encore. Pendant ce temps l’autre caresse mes seins et mes fesses.
Positionnée à quatre pattes, Robert réintroduit sa bite dans ma bouche pendant que l’autre me fait écarter les cuisses. Il entre sa queue dans ma chatte en faisant remarquer que je mouille. Pilonnée dans mes deux orifices, mon corps réagit malgré moi. Même humiliée, je jouis. Robert éjacule dans ma bouche, et comme il me tient la tête, je suis contrainte d’avaler son sperme. L’homme derrière moi décharge à son tour, je le sens se répandre en moi. Robert, avant de partir, me tend une enveloppe "à ouvrir demain en rentrant".

Le lendemain au retour, Julia me suit jusque chez moi. Après m’être dévêtue, j’ouvre l’enveloppe. Je dois être initiée à l’amour lesbien et Julia sera mon initiatrice. Elle ouvre alors sa robe qui est boutonnée de haut en bas. Dessous elle porte le même type de sous-vêtements. Elle s’assoit sur le canapé et ouvre les cuisses. Elle m’explique comment faire : écarter ses lèvres, lécher la fente, enfoncer ma langue, faire sortir le clitoris de son capuchon, le lécher, l’aspirer. Elle commence à répondre à mes caresses, son bassin ondule, sa mouille coule jusque sur mon menton et je commence à aimer ça. Elle appuie sur ma tête et jouit bruyamment. Ensuite ce fut à elle de s’occuper de moi et de me donner du plaisir, nous avons terminé en 69. Cette "épreuve" se révéle finalement agréable.

Le lendemain Robert me félicite de ma prestation et du spectacle que je lui avais offert. Je comprends qu’il a installé des caméras, ce qu’il confirme. Il peut ainsi me surveiller.

Le vendredi, un paquet et une enveloppe m’attendaient. Dans l’enveloppe l’adresse, l’heure du rendez-vous, comment m’y rendre et des consignes pour me préparer. J’épile ma chatte avec de la crème, je me douche et je me maquille, un maquillage très chargé. Je mets les sous-vêtements tirés du colis : une guêpière qui laisse les bouts de mes seins apparents, des bas résilles à couture, une mini-jupe en satin, j’ajoute un haut en dentelle, des escarpins. Je me regarde dans le miroir de l’entrée : une vrai pute. J’enfile un imper et je sors. Je dois m’y rendre en transport en commun. Heureusement, je ne croise personne de ma connaissance. Je suis humiliée d’être dévisagée.

J’arrive, je sonne, un homme ouvre, environ quarante ans, il me fait entrer. Il enlève mon imper et me pousse vers le salon. Deux hommes attendent, assis sur le canapé, nus de la taille aux pieds.

- C’est toi la pute ? Demande l’un d’eux.

Je ne sais quoi répondre. Le type derrière moi me force à m’agenouiller devant celui qui a posé la question. Celui-ci me présente sa bite déjà raide. Elle est impressionnante, au moins 20 cm et 5 de diamètre. Je commence à sucer, arrondissant bien les lèvres, mes mâchoires sont distendues. Je m’applique à le satisfaire, ma salive coule sur mon menton. Cela dure malgré mon application. Il ne se décide pas à éjaculer, je commence à avoir mal.

Enfin il jouit, le flot envahit ma bouche, je n’arrive pas à tout avaler. On me relève, ma jupe et mon haut sont enlevés. Je suis allongée en travers de la table du salon, un homme présente sa bite devant ma bouche, l’autre écarte mes cuisses, entre un doigt dans ma chatte puis deux. Puis, il se décide à me pénétrer avec sa queue. Lentement, il commence à bouger de plus en plus vite. La table tremble, il est très endurant lui aussi. Il n’a rien à envier à son camarade, je suis remplie comme jamais. Il me pilonne, l’excitation monte, j’ai un premier orgasme. Il continue ses coups de butoir, les orgasmes se succèdent, et enfin il se vide en moi.

Celui que j’ai sucé en premier a repris des forces, il veut me sodomiser. Folle de peur je refuse. Les deux autres viennent me maintenir. Puis ils me déplacent au bout de la table. Je suis attachée : poignets et cuisses aux pieds de la table, une sangle passée sous la table et sur mes reins me maintient. Je suis sans défense. Je hurle, mais on me bâillonne.

Maintenant il introduit sa bite, il entre le gland, s’interrompt un moment. La douleur est insupportable. Je pleure, il se retire, puis il entre à nouveau. Il me laboure l’anus. Le plaisir vient. Incroyable maintenant je n’ai plus mal. Encore plus incroyable, malgré ma mortification, je jouis par le cul. Quand il a pris son plaisir les autres se succèdent dans mon cul. Enfin leurs couilles sont vides. Je suis épuisée de jouissance. Heureusement je suis raccompagnée en voiture.


A suivre...

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