mardi 1 octobre 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 10

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Une visite au chantier.

Nous nous retrouvons sur le trottoir à peine rhabillées, du sperme souillant nos visages et coulant sur nos seins. Une camionnette blanche est garée devant le café. La porte latérale s'ouvrit et nous sommes poussées à l'intérieur. Je gémis...Oh non, par Pitié...Rachid, Mohamed, Brahim, Diouf et Brice nous regardent, la bite à l'air, déjà en érection...

- On vous emmène faire un tour, les bourgeoises, mais durant le trajet il va falloir s'occuper de nous.

La porte latérale claqua comme un coup de tonnerre en se refermant!

La camionnette s'ébranla et décolla du trottoir. Brahim et Rachid forcent maman à se mettre à quatre pattes sur le plancher. A genoux derrière elle, Rachid lui enfourne sa bite dans sa fente et Brahim lui pince le nez pour qu'elle ouvre la bouche. Maman aspira une goulée d'air et il enfonça sa queue entre ses lèvres. Je suis à genoux et je suce le gros Brice. Sa bite fait des aller et retour dans ma bouche. Diouf s'approche, la bite à la main, et m'ordonne de le sucer aussi. Servilement, j'obéis. Je donne de petits coups de langue sur leurs glands...Moussa filme la scène...Maman halète sous les coups de pine de Rachid.

Le trajet ne dure pas trop longtemps et Mohamed signale que nous sommes arrivés à destination.

Rachid pilonna maman de plus belle la faisant couiner, étouffée par la matraque de chair qu'elle suce. Rachid explosa en elle en poussant un grognement bref. Brahim gicla dans sa bouche et l'obligea à avaler son foutre. Brice et Diouf éjaculèrent en même temps sur mon visage m'arrosant de leurs semences...

Maman et moi nous descendons de la camionnette. Nous nous sommes rajustées tant bien que mal et nous ressemblons de nouveau à deux bourgeoises respectables. Je vis maman porter sa main à sa bouche étouffant un cri qui se mua en gémissement. Visiblement horrifiée...Ne comprenant pas sa réaction, je levais les yeux découvrant un panneau accroché à une palissade. Abasourdie, je découvre le nom de mon père sur le panneau! Nous sommes devant un de ses chantiers!

Brahim, Rachid, Brice et Diouf prennent congés et nous abandonnent aux mains de Moussa et Mohamed. Laissant la camionnette garée en double file...

Mohamed nous poussa et nous pénétrons dans le chantier. Il s'agit de constructions de logements sociaux. Nous passons devant des ouvriers qui nous regardent passer stupéfaits de voir deux belles bourgeoises élégamment vêtues dans un endroit pareil! Nos talons aiguilles s'enfoncent dans le sable et la boue. Il a plu cette nuit rendant le sol spongieux...

Nous nous approchons d'une baraque de chantier. Un homme se tient devant, les bras croisés sur sa poitrine. Il porte un casque et il est habillé de bleu. Il a un regard ironique en nous découvrant.

- Ce sont elles? Demande-t-il avidement à Mohamed.

- La femme et la fille de ton patron, oui. Ce sont bien les deux salopes que tu as vues sur le site internet. T'as le pognon?

Echange d'argent, poignée de main...Notre sort vient d'être scellé...

Le chef de chantier appelle ses gars et ils approchent en ricanant et en se faisant des clins d'œil...

A part le chef, ils sont visiblement tous d'origines étrangères.

- Ils ont tous cotisés pour s'offrir deux belles salopes comme vous, lança le chef, ils n'en revenaient pas quand je leur ai dit que vous étiez la mère et la fille et en plus la femme et la fille de leur grand patron. Malheureusement pour vous, ils sont un peu remontés contre lui, car il ne leur à pas versé leurs salaires le mois dernier. Comme ils ne sont pas déclarés pour la plupart, ils ne peuvent rien dire n'est ce pas! A mon avis, ils vont se venger sur vous, d'autant que la plupart n'ont pas touché une femme depuis des mois....

Maman et moi nous tentons de nous enfuir! Paniquées, nous faisons demi-tour, échappant à Mohamed et Moussa et nous nous mettons à courir maladroitement sur nos talons aiguilles. Les 6 ouvriers se lancent à notre poursuite et nous rattrapent très vite nous poussant sur un tas de gravats!

Nous poussons des cris! Autour de nous, les ouvriers nous lancent des commentaires dans leurs langues respectives...On soulève la jupe de maman et elle se retrouve en porte-jarretelles. Une brute avec une moustache épaisse m'oblige à l'embrasser sur la bouche. Nous sommes écrasées par le poids de ses hommes. On nous tient les bras et les jambes, nous empêchant de bouger. Maman est retournée et plaquée sur le tas de gravats, le cul à l'air. Un des ouvriers la pénètre lui donnant de violents coups de reins. Un autre fait le tour et enfonce sa queue dans la bouche de maman qui tente de protester en vain.

On me tire par les cheveux et on m’entraîne un peu plus loin. On me pousse vers un tas de planches et je dois écarter les jambes. Le type à la moustache qui me fait penser à un Turc ou un Irakien me fesse le cul en rigolant. A côté de moi, un homme à la peau mate se branle. Je suis horrifiée par le calibre impressionnant de son sexe. Le Turc envahit ma chatte d'une brutale poussée me faisant crier. Il me bourre en haletant...

Me tenant par les hanches, il me pilonne vigoureusement...

J'entends ma mère crier sous les coups de queue de son agresseur. Je tourne la tête et la vois empalée sur une queue, bougeant son corps, montant et descendant sur cette bite épaisse qui la transperce. La bouche ouverte, elle gémit, ses gros seins ballotant.

Un ouvrier s'approche d'elle et lui enfonce son membre dans la bouche.

Celui qui me baisait sortit précipitamment et se libéra sur mon cul. Je sens le liquide poisseux couler sur mes fesses...Je n'ai pas le temps de souffler, l'autre à côté, se positionna derrière moi et pointa son gland contre l'ouverture de mes reins...

- Non! Non! S'il vous plait...

Il força mon anus et je poussais un cri déchirant. Il a un sexe monstrueux, terrifiant et je le sens qui palpite dans mon fondement...La sueur au front, j'halète, les larmes aux yeux. Une dernière poussée et il s'engouffra dans mon trou du cul. Le salaud n'a aucune pitié et il me déchire le cul à grand coups de reins. Prenant un plaisir sadique à sortir et rentrer m'arrachant un cri à chaque fois. Heureusement pour moi, il jouit rapidement dans mon cul. Je sens sa semence qui s'écoule de l'étroit boyau...

Je retrouve maman recouverte de sperme. Les trois ouvriers ont éjaculé sur ses seins et son visage! Elle est méconnaissable. Elle en a sur les cheveux et les yeux...Le sperme coule sur son menton. M'agrippant par les cheveux, on me contraint à lui lécher la figure pour la nettoyer. Nous devons même nous embrasser sur la bouche. Manquant vomir de dégoût, nous nous exécutons devant l'assemblée hilare.

Moussa et Mohamed font des photos et filment depuis le début bien sûr!

Le chef de chantier arrive alors et suggère que nous nous gouinions...

Malgré nos cris et nos supplications, nous sommes, à grands renforts de claques sur le cul, allongées tête-bêche. Je suis sous maman et elle est sur moi... Je sors timidement ma langue sous les encouragements du public et lèche la chatte de maman et je sens ma mère qui fait la même chose avec moi. Sa langue et ses doigts fouillent ma fente. Je ne tarde pas à sentir la cyprine qui coule.

Maman poussa soudain un hurlement! Le chef de chantier la tenant aux hanches, l'encule violemment...Il la baise sauvagement la faisant beugler. Il retire sa bite de son anus et me la donne à sucer...la replongeant aussitôt dans le cul de maman.

- Mais qu'est ce que c'est que ce bordel ici!

- Nom de Dieu, t'as vu ça, François?

Tout le monde sursaute. Les ouvriers prennent la fuite en courant! Deux policiers en uniforme viennent d'arriver. Ils ont été intrigués par la camionnette en double file et les cris qui provenaient du chantier.

Moussa et Mohamed ainsi que le chef de chantier se retrouvent menottés. Maman et moi nous nous relevons péniblement. Pudiquement, nous redescendons nos jupes et refermons nos chemisiers. Nos bas sont en lambeaux et des bouts de nylons pendent lamentablement sur nos jambes.

Un des flics m'observe semblant songeur puis son visage s'éclaira et il s'exclama en donnant un coup de coude à son collègue :

- Putain! Je ne le crois pas, Mathieu, c'est la femme de Thierry, notre collègue de la BAC!

- Le prétentieux qui se la raconte?

- Lui-même!

Le dénommé François se pencha vers moi, une drôle de lueur dans le regard...

- Et votre mari sait que vous vous faites baiser dans les chantiers chère madame?


Au regard qu'il avait, je compris que nos problèmes étaient loin d'être terminés...

A suivre...

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