Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Le calvaire de Kim continue.Je me ruais dans ma voiture et rentrais tout droit chez moi.
Je me rangeais dans ma place habituelle de parking et jetais un coup d'œil panoramique.
On était samedi, tard dans l'après-midi, il y avait foule de tous cotés.
Ils étaient assis ensembles à discuter, ou ils lavaient leurs voitures ou même allaient et venaient au gré de leur envie.
J'attendais qu'il y ait moins de monde me séparant de l'entrée de mon immeuble dans lequel mon appartement se tenait au second étage.
Lorsque ce fut le cas je sortais en trombe de ma voiture et me ruais tête baissée vers l'entrée.
L'idée de rencontrer une connaissance vêtue de cette ignoble tenue me terrifiait.
Et bien sur cela m'arriva, alors que j'arrivais à la porte de mon appartement, les deux étudiants habitant l'appartement contigu au mien sortirent de chez eux et se dirigèrent vers moi.
Ils remarquèrent tout de suite ma minuscule jupe fendue sur les cotés et s'arrêtèrent subitement.
Je les ignorais et tâtonnais pour entrer ma clef dans la serrure de ma porte, ce qui leur laissa amplement le temps de lire l'inscription figurant sur ma micro-jupe et d'admirer mes nibards qui sortaient de toutes parts de ma courte brassière.
Nous avions l'habitude de nous saluer, mais n'étions pas pour autant des amis, l'un des deux me dit :
- "Hey Kim, j'adore ta tenue! ....."
Je grommelais un vague merci et me dépêchais d'entrer chez moi et de verrouiller ma porte, le dos appuyé contre la porte je glissais au sol et me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps.
Je me réveillais une heure plus tard, lovée en position fœtale à même le sol, juste devant la porte d'entrée.
Dès que je me réveillais le souvenir de ma journée me revint.
Je me relevais, me dirigeais vers la cuisine et attrapais l'unique bouteille d'alcool qu'on avait dans la maison.
Il s'agissait d'une bouteille de rhum non ouverte, qui se trouvait rangée dans le frigidaire depuis notre mariage
J'ouvrais la bouteille et m'en servit une large rasade que je noyais dans du coca-cola et l'avalais séance tenante.
Mon estomac se réchauffa et mes esprits se calmèrent quelque peu, je me dirigeais alors vers ma chambre me déshabillais, puis je pris un long bain brûlant.
Je m'efforçais de ne pas penser aux épreuves sordides que je venais d'endurer ces 24 dernières heures.
Mais chaque fois que je commençais à me relaxer, mon esprit se remplissait de ces images immondes me plongeant de plus en plus profondément dans un désespoir sans limites.
Je ne pensais que je pourrais m'obliger à retourner à l'appartement de Tom le lendemain pour être de nouveau le jouet de ces salopards qui prenaient tant de plaisir à m'humilier et me dégrader.
Chaque fois que je repensais aux sordides épreuves que j'avais subies, je me remettais à sangloter désespérément.
Je restais assise dans ma baignoire jusqu'à ce que l'eau refroidisse, devenant trop fraîche, je me relevais alors et me rinçais.
J'enfilais ma robe de bain retournais au salon ou je me servais un nouveau verre de rhum-coca.
Je n'aimais pas particulièrement ce cocktail, mais c'est tout ce dont je disposais, et comme je ne voulais pas ressortir.
J'aurai voulu que Brian revienne à la maison pour me sauver.
Cependant le fait qu'il découvre ce que j'avais du faire me terrifiait. Ou plutôt ce que j'avais du subir.
Je savais que s'il venait à avoir connaissance du DVD, ce serait la fin de mon mariage.
Si qui que ce soit que je connaisse venait à voir ce DVD, je ne pourrai plus jamais affronter ces gens.
Je pensais que je ferai peut-être bien de prendre le revolver dont m'avait muni Brian pour flinguer Tom et ses 4 acolytes.
Mais si je faisais cela, en fait, je perdrai tout.
Je comprenais qu'il n'y avait pas moyen de faire machine arrière dorénavant.
Je n'avais pas d'autre choix que de retourner dans les griffes de Tom et de faire ce qu'il voulait, quoi qu'il m'ordonne de faire pour le distraire.
C'était la seule façon de protéger autant faire que se peut, la vie que j'avais bâtie, je ne pouvais que prier pour que Tom sente qu'il m'avait suffisamment tourmentée et que je ne pourrai pas supporter grand chose de plus, mais il ne fallait pas que j'y pense trop.
Il était très tard et je doutais de ma santé mentale, je ne pouvais m'arrêter de gémir et de pleurer, les images de mes pires épreuves de la jour-née passant et repassant dans mon esprit.
Je vidais mon verre et je réalisais que j'étais éméchée lorsque je me levais pour gagner la cuisine, je me rappelais alors que la seule chose que je n'avais que deux bières et deux rhums cocas bien corsés dans l'estomac depuis ce matin, et dieu sait quelle dose de foutre.
Je ne pouvais pourtant pas supporter l'idée de nourriture, aussi me réfugiais-je dans mon lit m'enroulais dans mes couvertures et pleurais jusqu'à ce que je m'endorme.
Il était encore tôt pour se coucher, vraisemblablement 18 heures, je ne me réveillais que vers 8 heures le lendemain matin.
J'avais un horrible mal de tête, je me secouais et me rendais dans la salle de bain, je pris une douche puis, je me brossais longuement les dents.
J'enfilais ma robe de chambre, je ne supportais plus de porter la tenue que j'avais du enfiler en quittant la maison, je gagnais la cuisine et me servais un bol de céréales avec un jus de fruit frais.
Je rinçais les plats et me lavais à nouveau les dents.
Je mettais du rouge à lèvres, brossais mes cheveux et finalement me forçait à enfiler ma tenue de salope.
Je me regardais dans le miroir et vis que lorsque je bougeais, la fente de coté offrait une large vue de mes fesses, cela promettait lorsque je marcherais dans la rue.
Je savais qu'on voyait une bonne part de ma croupe lorsque je la portais la veille, mais je ne pensais tout de même pas qu'on pouvait voir l'intégralité de mon cul.
Le haut me vêtait à peu prêt autant que le bas.
Si on exceptait l'horrible maxime écrite sur le devant, le tissu était si fin qu'on distinguait clairement mes nichons et était si court, qu'il les découvrait jusque sous les mamelons.
Pire encore, à chaque pas la brassière remontait encore, je devais la maintenir d'une main pour ne pas me retrouver les miches à l'air! .....
Le tout mettant en valeur l'horrible sentence : "ôtez-moi"
Je jetais un œil sur l'horloge ne me décidant à démarrer qu'à la dernière minute.
Je me rappelais la veille, et me ruais dans la salle de bain pour empoigner ma brosse à dents et du dentifrice que je fourrais dans mon sac à main.
J'ouvris ma porte et sortis, puis je verrouillais ma porte cherchant à ign-rer le grand nombre de gens qui s'arrêtait pour me regarder faire.
Je me précipitais vers ma voiture consciente que mon cul était largement exposé à chacun de mes pas.
Je me forçais à ne pas pleurer alors que je me rendais à l'appartement de Tom.
Je me garais aussi prêt que possible de la porte d'entrée et je jetais un nouveau coup d'œil sur ma montre.
Il ne me restait plus que 5 minutes pour toquer à sa porte. Je demeurais dans ma voiture jusqu'au dernier moment.
Je sortais de la voiture et frappais à sa porte à 10 heures pétantes.
Steve m'invita à entrer.
Tom se trouvait dans la cuisine, il buvait une tasse de café, Rory et Steve se tenaient dans le salon, ils regardaient à nouveau le DVD.
Je ne regardais pas la télé, mais j'entendais le son de mon viol, apparemment ils appréciaient ce Film.
Je vis qu'ils avaient tous une sacré bandaison, j'eus alors une bonne idée de ce que j'allais faire ce matin.
J'étais heureuse de constater qu'Harry et John n'étaient pas là, enfin pour l'instant.
Tom revint dans le salon et m'ordonna de me foutre à poil, je n'étais pas longtemps restée vêtue.
Lorsque je fus entièrement nue, il posa sa tasse à café, descendit son short et le fut signe d'approcher d'un geste du doigt.
J'avais abandonné toute idée de révolte, d'ailleurs sinon je ne serai pas là.
Mon corps avait récupéré de façon surprenante des abus de la veille, ma gorge était encore légèrement endolorie, mais pas suffisamment pour m'empêcher de m'en servir.
Je m'agenouillais entre ses cuisses et entrepris de lui sucer la bite.
J'eus du mal à la prendre en pleine gorge au début, mais après un moment je me débrouillais pour lui faire franchir ma luette, et une fois que j'eus brisé cette barrière tout devint plus facile.
A coup sur ce n'était pas plaisant, mais je pouvais faire une gorge profonde sans trop de mal.
Une fois que j'eus entamé sa pipe, il m'ignora et regarda mon viol qui défilait à la télé, ils regardaient nouveau le premier DVD.
Le son de mes gémissements enamourés et mes supplications de me faire baiser de long en large, mes réclamations pour obtenir d'être foutue par plus de bites, majoraient fortement mon humiliation.
Mais je savais déjà à quel point ils aimaient m'humilier.
Les bruits en l'arrière-plan troublaient et me dégoûtaient, mais ils appréciaient visiblement le spectacle.
J'en étais heureuse.
Je n'ais pas autant apprécié ce qui arriva ensuite.
On me dit d'enlever ma brassière de pute et Tom me tendit le bas du bikini que j'avais laissé chez eux en rentrant chez moi la nuit dernière.
ils l'avaient modifié. Ils avaient viré la doublure.
Je l'enfilais et regardais ce que cela donnait. C'était un bikini convenable à l'origine, et c'était maintenant une culotte de bikini aussi provocante que la brassière.
Pour aggraver la situation, il le remonta de façon à détailler ma foufoune et il entreprit de promener ses doigts dans ma fente.
Sec le fond de la culotte était opaque, je ne pouvais empêcher des poils pubiens de dépasser, mais je savais ce qui se passerait dès que j'irai dans l'eau, mon minuscule cache-sexe deviendrait transparent, et je sa-vais que de toute manière c'est ce qu'il avait en tête! .....
Tom empoigna un sac de voyage contenant quelques lotions solaires et des canettes de bière et nous nous dirigeâmes vers la piscine.
Le complexe résidentiel comportait plusieurs piscines, une était plus particulièrement destinée aux enfants en bas âge, la seconde était tout public, et la troisième était réservée aux adultes.
Non pas qu'il fut permis de se baigner nue ou autre licence de ce genre, il était seulement recommandé aux enfants de ne pas la fréquenter, je suppose que cela ne demandait pas d'explications superflues.
Nous gagnâmes la piscine réservée aux adultes, ils m'enjoignirent de m'installer sur une chaise longue à quelques pas d'eux.
Ils m'intimèrent aussi de me tremper dans la piscine toutes les demi-heures, et, en sortant de l'eau je devais trouver un volontaire pour m'appliquer de la lotion solaire sur le ventre et le dos.
Je ne devais refuser ce plaisir à personne.
Si l'on m'invitait à quitter l'aire de la piscine, je devais m'exécuter en un quart d'heure et revenir à ma place.
Je jetais un coup d'œil circulaire, j'attirais déjà l'attention des baigneurs.
Il y avait quelques couples, mais il y avait surtout des hommes assis autour de la piscine et quelques rares femmes seules, ou des groupes de femmes cherchant à rester entre-elles.
Tom me tendit un flacon de lotion et une canette de bière, me dit de la vider, et d'aller nager quelques minutes.
Puis, en compagnie de Rory et Steve, il s'allongea sur une chaise longue, toute proche de la mienne. Ils étaient assez de prêt de moi pour épier la moindre de mes conversations.
Je posais le flacon de lotion au sol et m'installais aussi confortablement que je le pus.
Je sirotais ma bière en essayant de ne pas penser à ce que j'allais devoir faire! .....
Je savais ce qu'il adviendrait du minuscule fond de mon bikini ainsi que du haut.
Lorsque je plongeai une tête dans la piscine, je savais qu'effectivement ils deviendraient totalement transparents, en qu'en sortant de la piscine je pourrai tout aussi bien être nue, on ne pourrait rien ignorer de mes ni-bards et de mon intimité.
Je mis autant de temps que possible pour siroter ma bière. Puis je me levais et gagnais l'échelle qui permettait de descendre dans la piscine, puis lentement je me plongeais dans l'eau fraîche, les commentaires salaces fusèrent dès ma mise à l'eau! .....
Vous devez, tout comme moi connaître ce type de commentaires machos, que tous ces jeunes gars immatures poussent à la vue d'une jolie femme.
Je feins de les ignorer et m'enfonçais dans l'eau jusqu'au cou, je m'appuyais pendant quelques minutes sur le rebord de la piscine savourant le contact de l'eau fraîche sur ma peau.
Je craignais fort ce qui allait suivre.
Je jetais des coups d'œil angoissé à Tom, il me regardait tout sourire, lorsqu'il en eut marre d'attendre, il me fit signe de sortir de l'eau, j'acquiesçais d'un hochement de tête.
Je revenais lentement vers l'escalier, grimpais les trois marches de béton et sortis de la piscine.
Je baissais les yeux et vis que mon bikini était aussi transparent que je l'avais craint. J'aurai tout aussi bien pu être entièrement nue.
Je me dirigeais rapidement vers mon transatlantique en cherchant à ignorer les regards concupiscents que me jetaient mes voisins.
Pour l'instant plus personne ne parlait, toutes les conversations avaient cessé.
Je me félicitais de porter des lunettes de soleil sombre, c'était tout ce qui me permettait de me cacher.
En passant, j'entendais le sourd bourdonnement des conversations de ces jeunes gens excités comme des poux.
Je les ignorais et retournais à mon fauteuil comme si de rien n'était et m'installais sur le transat.
Une seconde plus tard un de mes admirateurs faisait quelques pas cherchant à lier conversation avec moi, je devais l'y encourager.
Il se présenta et me félicita pour ma tenue qu'il adorait, je le remerciais et me rappelais alors de ce que je devais faire.
Je lui demandais s'il aurait la gentillesse de m'enduire de lotion solaire, cela ne semblait pas le déranger, bien au contraire si vous voyez ce que je veux dire.
Je lui tendais le flacon d'huile solaire m'allongeais sur ma chaise longue, fermais les yeux voulant ignorer qu'un complet étranger allait avoir accès à mes charmes les plus intimes.
Une fois le flacon débouché, il me demanda :
- "Tu as vraiment une fantastique brassière! ... L'inscription, Est ce vrai? ...."
Je baissais la tête sur l'inscription en larges lettres noires "Ôtez-moi", je notais que mes tétons étaient dardés et clairement visibles.
Je savais que Tom épiait notre conversation et j'opinais :
- Oui c'est vrai! ..."
Ce gars travaillait rapidement, il n'avait pas encore étalé de lotion sur mon corps qu'il me proposait les yeux braqués sur mes charmes :
- "J'en ai le souffle coupé, aimerai-tu venir dans mon appartement et l'ôter? ...."
Je lui souris nerveusement et répondis :
- "C'est d'accord, mais je dois être de retour dans un quart d'heure! ...."
Je lui pris le flacon de lotion des mains et le posais au sol.
Il m'aida à me relever, et fit un signe à ses copains qui nous contemplaient incrédules.
Comme il m'aidait à me lever, je pensais :
- "Finalement c'est pas si mal, il n'est ni gros, ni laid ni âgé, comme tous ces hommes avec qui j'ai du coucher hier! ...."
En fait il était plutôt mignon, il semblait terriblement jeune, il ne devait pas avoir beaucoup plus de 18 ans, je me figurais que cela valait mieux, il serait certainement incapable de se contrôler bien longtemps.
En quittant la piscine il posa son bras autour sur mon épaule, puis il le laissa glisser prestement sur ma taille puis plus bas encore sur ma croupe joufflue.
Voyant que je ne protestais pas, il me pelota les fesses tout le long du chemin nous menant à son appartement.
On ne fit pas plus de quelques mètres dans son appart,
Dès que nous fumons entrés dans cet appart qu'il colouait avec deux copains de la fac toute proche, il m'enleva ma brassière et s'attaqua gauchement à mes nibards.
Il s'y prenait grossièrement et visiblement ne savait pas comment s'y prendre.
Après avoir malaxé mes nichons pendant quelques minutes, il descendit mon bikini et me fit pencher sur le dossier d'une chaise, puis il se démena pour trouver l'entrée de mon fourreau d'amour.
Il pressait sa grosse bite à l'aveuglette dans ma fentine, cela finit par me meurtrir.
Je tendis la main, empoignais sa bite et la guidais dans mon vagin alors qu'il se promenait du coté de mon anus.
Dès qu'il sentit ma chatte se refermer sur sa hampe, il jura sourdement et se mit à me pistonner frénétiquement, comme un jeune chien fou.
Je ne crois pas qu'il sut se contrôler un minute pleine, Dieu merci.
Il se servait de ma chatte pour se masturber, je savais maintenant qu'en fait, il était vierge, finalement il avait réussi à introduire sa bite dans la foufoune d'une femme mais on ne pouvait pas dire pour autant qu'il ait fait l'amour! .....
Je pensais cela alors qu'il venait de juter en moi avant de se retirer rapidement, ce n'était vraiment pas baiser.
J'utilisais quelques mouchoirs de papiers pour m'essuyer la fentine et comme je remontais mon bikini il me demanda :
- "Je n'aurai jamais cru que t'étais une salope... Pourquoi te conduis-tu ainsi? ...."
Je ne pouvais pas lui dire qu'on me faisait chanter, finalement je lui dis que j'avais perdu au jeu et évitais de répondre plus clairement à sa question.
Avant que nous quittions l'appartement il m'ajouta :
- "Ainsi tu dois baiser avec tous ceux qui te le demandent? ...."
J'hésitais
Je ne voulais pas que cela prenne plus d'importance que cela n'en avait! ....
Je terminais en hochant la tête, il grimaça un sourire et dit :
- "T'es drôlement chaude ma chérie! ..... C'était extra! ...."
- "Extra? ....."
Personne ne m'avait jamais dit cela! ...."
Comme nous retournions vers la piscine, je lui demandais :
- "Voudrais-tu encore m'enduire d'ambre solaire? ...."
- "Bien sûr! ..." me répondit-il avec enthousiasme.
Le pur langage restreint des collégiens.
Il me suivit jusqu'à mon transat, je m'étendais sur le ventre tandis qu'il m'enduisait le dos de lotion solaire.
Lorsqu'il en eut terminé, il m'enjoignit :
- "Au tour du coté face maintenant! ...."
Je jetais un coup d'œil sur Tom qui me souriait, ce qu'il avait en tête ne pouvait que m'humilier.
Je me retournais, précautionneusement, veillant à ce que mes nibards restent couverts.
Le jeune gars commença par étaler la crème sur mon ventre, mais rapidement il glissa ses mains sous mon soutien-gorge de maillot et entreprit de me malaxer les nichons après s'être assuré que ses potes le regardaient faire.
Lorsqu'il eut bien graissé mes miches il descendit ses mains et les glissa dans ma micro culotte enduisant de lotion toute une partie de mon anatomie qui n'était pas exposée au soleil.
Il était ravi de me caresser devant ses amis, et cela enthousiasmait ses potes de le voir faire.
Il était assis le long de ma chaise tandis qu'il étalait la lotion, et lorsqu'il eut fini il me dit :
- "Merci pour le coup qu'on a tiré! ...." et il partit rejoindre ses copains ébahis.
Il était temps.
Avant même que j'eus le temps de me redresser pour piquer une tête dans la piscine, un autre de cette petite bande de collégiens me rejoignit les yeux braqués sur mes appâts.
Il lut la maxime écrite sur ma brassière et me demanda :
- "Est-ce vrai? .... Ted m'a dit que vous baisiez avec tous ceux qui en faisaient la demande! ...."
Je levais la tête et le regardais, puis je fixais Ted, il ne m'avait pas dit son prénom, mais cela importait peu.
Ted et six de ses copains nous reluquaient avec excitation alors que je me tournais vers mon interlocuteur lui répondant :
- « Oui c'est vrai! .... »
Il me sourit et ajouta :
- "Alors je te le demande! ...."
Je m'assis, glissais mes pieds dans mes sandales, me levais et nous partîmes sous les yeux concupiscents des spectateurs. Je suppose que ce que nous allions faire était évident pour tous, ou plutôt ce qu'ils al-laient me faire.
Nous nous sommes dirigés vers un autre appartement, mais une fois de plus je ne dépassais pas le salon.
Une fois entré, il m'intima :
- "A poil! ..." et il sortit sa grosse bite.
Il s'assit sur le sofa; écarta ses cuisses en grand, je savais ce qu'il voulait sans même qu'il le précise.
Je m'agenouillais entre ses cuisses et le suçais docilement.
Cela ne prit pas plus longtemps que Ted pour qu'il éjacule, mais il avait le foutre le plus acre que j'ai jamais goûté.
J'avais été suffisamment violée ces derniers jours pour avoir goûté à bien des types de sperme.
Je n'avais jamais eu envie de vomir comme avec le foutre de cet animal, c'était ignoble, horrible.
Je me débrouillais finalement pour tout avaler, je me relevais et me rhabillais rapidement, lorsque la porte s'ouvrit et qu'une demi-douzaine de jeunes gaillards se rua à l'intérieur.
Ils avaient apparemment discuté entre eux de la situation et décidés qu'il n'était pas utile que je me fasse un seul gars à la fois.
Je ne pourrai pas être de retour à la piscine dans les quinze minutes suivantes, mais il n'y avait moyen d'échapper à la volonté de ces 6 jeunes.
Personne ne me demanda quoi que ce soit cette fois.
Ils se déloquèrent aussi vite qu'ils le purent et je me retrouvais à genoux au milieu du salon avec une bite dans la chatte et une autre dans la bouche pendant les minutes suivantes.
Ce fut une véritable corvée.
Aucun d'eux ne me baisa assez longtemps pour m'exciter, si tant et soit-il que je puisse être excitée en ces circonstances.
Ils riaient et plaisantaient à mon sujet alors qu'ils usaient de mes appâts.
Aucun préliminaires, ils me baisaient sans même me caresser.
Ils ignoraient mes nichons se contentant de me remplir la bouche et la chagatte, se relayant à chaque fois que l'un de mes trous se trouvait libre.
Il ne fallut pas beaucoup plus de 15 minutes pour que je revienne m'installer sur mon transat au bord de la piscine.
Je les avais fait jouir tous les 8, mais je me sentais dégradée, dégoûtée, bien que ce ne soit rien en comparaison de la veille.
Je devais reconnaître que j'avais subi bien pire.
A mon retour sur ma chaise, Tom pointa du doigt sa montre et me lança un regard réprobateur. Je frémis et lui montrais 7 doigts levés, puis, je me rassis sur mon transat, il secoua la tête de gauche à droite, je compris qu'il voulait que j'aille me mouiller à nouveau.
Il y avait plus de monde maintenant, la plupart des chaises longues étaient prises, j'attirai l'attention de l'assistance alors que je me dirigeais vers la piscine dans ma tenue de pute et me ruais dans l'eau.
Une fois dans l'eau, je posais les mains le bord de la piscine appréciant l'eau fraîche qui coulait entre mes jambes.
Je cherchais à ne pas penser à ce qui se passerait lorsque je sortirai de l'onde. Tandis que je me relaxais une paire de copains noirs s'approchèrent de moi et m'encadrèrent.
Ils semblaient eux aussi des lycéens, l'un d'eux me sourit et me dit :
- "Je n'ai pu m'empêcher de remarquer votre brassière lorsque vous déambuliez... Il faut beaucoup de courage pour porter ce type de tenue ici! ..... Où l'êtes-vous procurée? ...."
Je répondis qu'un ami me l'avait offert.
Le jeune gars sourit et répliqua :
- "Est-ce que vous le mettez uniquement pour faire plaisir à votre ami, ou le message est-il valable pour tous? ...."
- "Oh mon Dieu..." pensais-je " ça ne va pas être facile! ..."
Je répondis finalement :
- « Je peux m'absenter pendant un quart d'heure si vous disposez d'un logement proche..... »
Il jeta un œil vers son ami avec un large sourire et répliqua :
- "Nous partageons cet appartement qui fait le coin....... Est-ce assez près? ...."
Je hochais affirmativement de la tête et décidais :
- "Alors, allons-y! ...."
Je traversais la piscine à sa suite et en travers je sentais le regard des spectateurs qui me voyaient quitter la piscine accompagnée de deux noirs et gagner leur appartement.
Dès que nous avons quitté l'aire de la piscine ils posèrent leurs mains sur mes appâts.
Celui qui m'avait interpellé s'exclama :
- "Eh bien ma belle, tu ferais aussi bien de te promener nue! ..... Savais-tu que ton maillot devenait transparent au contact de l'eau? ...."
J'opinais de la tête.
- "Bordel t'es une vrai salope alors! ....." s'esclaffa-t-il médusé.
Je soupirais résignée et concédais :
- "Je le suis devenue! ...."
- "J'ai justement ce dont tu as besoin ma salope! .... Avec Nathan on va te donner la ration de bites noires que tu nécessites! ..... Et si tu n'en pas encore assez, j'appellerai des potes! ...."
- Je lui dis que je devais être de retour à la piscine dans 15 minutes.
Il grogna :
- "Bien, bien, bien....."
Je m'arrêtais et repris :
- Non je dois impérativement être de retour d'ici un quart d'heure! ...."
Il me regarda en rigolant et reprit :
- "Qu'est-ce que c'est que cette histoire? ...."
Je lui donnais une version expurgée de mon histoire comme si je parlais à un gamin.
- "Je me comporte ainsi parce que j'ai perdu un pari! ..... Je dois suivre certaines règles... Je vous suivrai dans votre appart si tu me le demandes, mais je dois être de retour sur mon transat dans 15 minutes au plus! ..... Sinon j'aurai de gros ennuis...... Si je dois avoir des ennuis à cause de vous deux, autant que ce soit parce que j'aurai refusé de baiser avec vous....."
Il me rétorqua alors :
- "C'est bon pressons-nous dans ce cas! ....."
Nous avons gagné son appartement et juste avant qu'il ne ferme la porte je jetais un œil et vis que je voyais distinctement ce qui se passait dans la piscine et tous ces gens qui stupéfaits me regardaient le suivre docilement dans son appart.
Il m'installa milieu de la salle de séjour.
Je suppose que personne dans le coin ne baisait dans un lit!
Je remarquais qu'il n'avait pas fermé la porte dans son dos.
Je ne dis rien cependant.
Qu'allait-il se passer à ce stade du jeu? .....
Je suivis ses instructions et enlevais mon minuscule bikini et je me disposais à quatre pattes alors qu'ils se déloquaient rapidement, l'un d'eux enfouit sa bite dans ma bouche, un autre dans ma chatte.
Cela semblait leur seule façon d'envisager les rapports sexuels.
Je remarquais cependant que certains stéréotypes ne se vérifiaient pas toujours, leurs bites étaient de dimensions forts différentes.
Celui qui se branlait dans ma bouche éjacula rapidement.
L'autre, celui qui m'avait "baratiné" prenait son temps, il utilisait ses mains pour me peloter puisque je ne me défendais pas, il réussit à éveiller mes sens.
Juste avant de jouir, il se mit à me claquer les fesses tout en m'agonisant d'injures.
Je ne sais pas ce qui me prit, mais, lorsqu'il empoigna fermement mes hanches plongeant profondément dans mon utérus, un orgasme inattendu me terrassa et je jouis sauvagement.
Je grognais et gardais ma tête entre mes mains alors que sa bite s'amollissait en moi.
Il se retira finalement de ma féminité et je remontais sur mes genoux cherchant du regard mes vêtements.
Je réalisais soudain qu'ils étaient maintenant une demi-douzaine d'adolescents, garçons et filles, qui se tenaient à la porte d'entrée incrédule.
Je me remettais sur pied rapidement et me précipitais au dans les toilettes alors que les deux jeunes hommes qui venaient de me posséder éclataient de rire.
J'utilisais les toilettes pour m'essuyer et remettre mon bikini.
Ils m'attendaient à la porte et lorsque nous retournâmes à la piscine je leur demandais si l'un d'eux voulait bien étaler de la lotion solaire sur mon corps.
Ils étaient plus qu'enthousiastes pour se dévouer.
Je fixais mon regard sur Tom en me rasseyant sur mon transat.
Je n'avais pas le courage de regarder autour de moi.
Dès que je le lui eus demandé, le jeune gars qui avait marchandé avec moi, prit la lotion solaire et entreprit de m'en enduire le dos.
Ses mains, comme celles de ses prédécesseurs qui avaient oint mon corps d'huile solaire, passaient plus de temps dans mon minuscule bikini que sur mes chairs exposées au soleil.
Et ce fut pire encore lorsque je me tournais sur le dos, il déposa une mare d'huile sur mon ventre et il repoussa mon soutien-gorge révélant aux yeux de tous mon opulente poitrine, je tentais à plusieurs reprise de le rabattre, je lui demandais même de cesser son petit manège, mais il continuait imperturbablement à me triturer les miches en dépit de mes protestations.
Il invita un de ses copains à le rejoindre et lui passa l'ambre solaire, ce-lui-ci commença par oindre mes pieds et remonta lentement le long de mes jambes jusqu'à atteindre le fond de mon petit, petit bikini.
Je jetais un coup d'œil circulaire et vis qu'il y avait bien une douzaine de spectateurs assis autour de nous qui observaient attentivement ces jeunes hommes qui leur dévoilaient mes charmes les plus secrets, pour leur plus grand plaisir.
Finalement il me tendit le flacon d'huile et me remercia pour le bon temps que je venais de lui offrir, puis il repartit, suivi de son pote vers leurs chaises respectives.
C'était le premier des treize jeunes hommes qui venait de me baiser à se montrer poli et reconnaissant.
Aussi vite que je pensais cela, je m'insurgeais :
- "Mon Dieu! .... Déjà 13 hommes ont joui de mes charmes! .... Combien d'autres devrai-je encore satisfaire cet après midi? ...."
Je savais qu'il était temps de retourner plonger une tête dans la piscine et de ressortir pour parader avec mon maillot trempé sous les yeux des admirateurs qui nous entouraient, exposant par transparence ma chatoune, mon cul et mes nibards comme si je me promenais nue parmi eux.
J'avais besoin de me relaxer encore quelques instants avant de m'exécuter.
Il n'était que 13 heures et quart de l'après midi et j'étais déjà éreintée.
J'étais assoiffée.
Je n'ai pas bu depuis le verre de bière qu'ils m'avaient offert lors de mon arrivée.
J'avais chaud et soif et dans la bouche le goût un puissant remugle de sperme, j'allais demander à Tom si je pouvais avoir u verre lorsqu'il tendit le doigt vers moi et me fit signe d'approcher.
Comme je m'approchais de lui, il fouilla dans son sac me tendit sa clef et m'ordonna :
- "Va nous chercher une bière! .... Puis tu reprendras lorsque tu auras éclusé la tienne..... Tu peux constater que je prends grand soin de ton bien-être ma chérie! ...."
Je ne lui dis pas ce que j'en pensais! ......
Je gagnais l'appartement de Tom et sortis 4 bières, je me reposais une bonne minute penchée sur le réfrigérateur je respirais profondément.
Je me battais pour refouler mes larmes avant de retourner les rejoindre.
Je n'osais pas flâner trop longtemps, je ne voulais pas donner à Tom une nouvelle raison de me tourmenter.
Je tendais les trois bières à mes trois tourmenteurs et regagnais mon siège ou je sirotais la mienne.
Je sais que lorsque j'aurai vidé ma canette je devrai retourner dans la piscine.
Je buvais à petites gorgées, m'efforçant d'estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, j'avais vidé la moitié de ma bière lorsque ces relents s'effacèrent.
J'avais quasiment vidé ma canette lorsqu'un homme me rejoignit et sans plus d'explication s'assit sur le coté de mon transat.
Il était plus vieux que l'aréopage qui m'entourait, je pense qu'il avait dans les 45 ans.
Il me sourit et me dit :
- "Cela fait un bon moment que je vous observe, je suis fasciné... Vous êtes jeune, ravissante, sexy et vous baisez avec tous ceux qui vous le demandent... Et cela ne semble pas vous réjouir! .... Je suis vraiment curieux de savoir ce qui se passe! ...."
Je lui ressortis la même histoire que j'avais servie aux autres, il me dit alors :
- "Je reste sceptique, mais je trouve l'opportunité de vous baiser irrésistible! ..... Voulez-vous me suivre dans mon appartement! ...."
Je lui répondis que je pouvais le suivre dans son appartement, mais que je devais être de retour dans 15 minutes.
Il me dit alors que c'était une honte, il aurait voulu prendre son temps pour me cajoler.
Je lui dis juste que c'était la règle que je devais observer, il se leva et me tendit la main.
Je pris sa main et il m'aida à le relever à mon tour, puis nous sommes partis vers son appartement.
Contrairement à ces jeunes gens qui 'avaient possédé auparavant il m'emmena dans sa chambre et me prit au creux de son lit. Il me regardait avec une sorte de révérence. Il était doux et gentil, il s'allongea à mon coté et me caressa lentement m'excitant de telle façon que lorsque je me tournais pour l'accueillir, j'étais fin prête.
C'était la première fois qu'on me faisait l'amour depuis que Brian était parti, même si c'était contre mon gré je m'en réjouissais.
Peut-être bien que c'était uniquement parce qu'il ne me traitait pas comme un morceau de viande à utiliser pour prendre son pied! .....
Ses mains exploraient mes charmes, éveillant mes sens alors que je m'échauffais. Il m'embrassait avec passion bien qu'il m'ait vu quitter la piscine pour suivre tous ces hommes.
Il était vraiment un bon amant et à ma grande surprise je sentais un orgasme fracassant monter dans mes reins et je jouis de tous mes membres avant que lui-même ne jouisse. J'essayais de ne pas le montrer, j'étais presque gênée, pourtant il savait que j'avais joui de tous les pores de ma peau.
Lorsqu'il eut giclé dans mon ventre il resta allongé sur moi et me sourit me disant :
- "C'était vraiment formidable! ..... Tu ne sembles pourtant pas être le genre de fille qui se livre à ces actes lascifs, même pour éponger une dette... Me cacherais-tu quelque chose? ...... Si tu as des ennuis je suis prêt à te venir en aide! ...."
Je lui souris, c'était vraiment gentil de me proposer son aide, mais je savais que personne ne pouvait m'aider, je ne pouvais que supporter mon sort.
Je le remerciais et lui répondit que j'appréciais son offre et que j'en étais très touchés.
Je n'ajoutais rien à ces mots.
Je ne pensais pas que quiconque puisse m'aider, mon problème majeur était ce DVD qu'ils pouvaient envoyer à n'importe qui.
Il extraya finalement sa bite amollie de sa chatte, je gagnais la salle de bain la salle et me nettoyais prestement.
Je le rejoignis, enfilais de nouveau mon micro bikini et le remerciais de s'être montré aussi gentil avec moi puis sous sommes retournés à la piscine.
Il m'accompagna jusqu'à mon transat, j'allais m'asseoir lorsque je vis Tom et ses deux amis se lever, et m'appeler d'un signe de tête, je m'approchais pour voir ce qu'ils voulaient.
- "On s'est assez amusé pour cette matinée, allez on s'en va main-tenant! ......"
Nous retournâmes dans l'appartement de Tom et les 45 minutes suivantes je les passais avec chacun d'eux, tour à tour sous la douche. Je dus les savonner et les rincer à chacun leur tour. Puis je pus me laver moi-même.
Lorsque je sortis de la douche, ils s'étaient rhabillés, je remis mon pagne et la première brassière que Tom m'avait achetée.
C'était ce tout petit maillot sur lequel était inscrit : "Baisez-moi".
Avant que nous quittions l'appartement, Tom me menotta les poignets. J'avais de mauvais pressentiments.
Ce qui était arrivé la veille avait été incroyablement pénible et humiliant, j'avais espéré que ce ne serait qu'un épisode malheureux, que désormais ils me baiseraient me rebaiseraient et m'humilieraient selon leur bon plaisir avant que je ne retourne chez moi, mais visiblement ce n'était pas leur intention.
On gagna la voiture de Tom, cette fois je dus m'asseoir sur le siège passager.
Tom démarra, et avant de quitter le parking il releva mon maillot au-dessus de mes nibards les offrant aux regards.
Une fois de plus j'étais heureuse que mes lunettes soient teintées ce qui me cachait des passants.
Aussi idiot que cela puisse paraître, je me réjouissais que tous ceux qui me voient me balader les seins à l'air ne puissent voir mes yeux.
Et il y avait beaucoup de gens qui me reluquaient.
Tom conduisait lentement, il nous emmena dan su petit restaurant le long de la rivière, pendant tout le chemin des dizaines de piétons, ou de conducteurs dans leurs véhicules pouvaient détailler mes charmes mammaires exposés de façon provocante.
Tom se gara devant le restaurant, il m'ouvrit la portière, m'aida à descendre et rabattit le top sur ma poitrine.
Nous sommes entrés dans le restaurant et l'avons traversé pour nous installer à une table le long de la rivière.
C'était un bel après-midi, une légère brise ridait les eaux, mon pagne voletait au gré du vent exposant mes charmes les plus secrets, les personnes que l'on croisaient s'immobilisaient pour mieux inventorier mes appâts.
Je ne pouvais rien faire pour me préserver de leurs regards, mes mains étaient toujours menottées dans mon dos.
J'étais sur d'être devenue le centre des conversations, bien sur j'étais la seule de toute l'assistance à arborer des menottes en cuir.
Pourtant cela empira encore.
Comme nous nous dirigions vers notre table, je sentis que ma brassière remontait et, en m'asseyant, je vis que mes tétons étaient clairement ex-posés aux regards de tous, alors que le bout de tissu censé couvrir mon pubis glissait sur le coté exposant mes charmes intimes de la taille aux pieds.
Je suppliais Tom de m'ôter mes menottes où tout au moins de rectifier ma tenue, mais il me sourit et me prévint :
- "Tais-toi stupide petite salope, si je voulais que tu sois décente je ne te ferai pas mettre cette tenue putassière! ....."
Tous les consommateurs avaient les yeux rivés sur moi maintenant, seuls les plus proches détailler ma chatoune.
A quoi pensais-je donc? ....
Comment pouvais-je dire que seuls une douzaine de personnes jouissaient de la vue de ma foufoune? .....
Cependant tout le monde se rendait compte que je portais une tenue minimum et que la moitié de mes nibards étaient découverts.
Je restais aussi calme que possible et respirais lentement espérant éviter ainsi que mon top ne remonte encore.
J'espérais ardemment que notre serveuse arriverait et que je pourrais lui demander de réajuster ma tenue.
Il n'y avait aucune chance que cela arrive.
Il ne s'agissait pas d'une serveuse mais d'un jeune serveur qui appréciait ma tenue tout autant que les autres consommateurs et qui me sourit tandis que je voyais sa bite se déployer comme un mas de tente alors qu'il prenait la commande de Tom et ses deux amis.
Lorsqu'ils eurent tous commandés, le serveur se tourna vers moi, je regardais Tom et lui dis :
- "Je ne peux pas manger ainsi! ...."
Il me répondit :
- "Commande, je te les enlèverai lorsque les plats arriveront! ...."
Je n'avais pas très faim.
C'est difficile d'avoir faim lorsqu'on se sent dégradée.
Pourtant l'odeur de nourriture me chatouillait les narines.
Aussi demandais-je un sandwich et un coca light.
J'entendais les conversations reprendre autour de nous.
Je suis à peu prêt certaine que le sujet de leurs échanges avait changé, je sentais toujours les yeux rivés sur mes charmes, les choses empirèrent à nouveau, je sentis un de mes nibards sur le point de s'extraire totalement de mon top pour prendre l'air.
A chaque respiration les choses empiraient.
Je signalais à Tom qu'un de mes nichons serait bientôt totalement libre, il me sourit et commenta :
- "Y-t-il des plaintes? ..... Si oui je dois y faire attention! ...."
Dans les secondes qui suivirent mon premier nibard puis l'autre jouèrent les filles de l'air, les trois copains se sourirent entre eux et m'ignorèrent discutant de la façon d'opérer pour négocier le DVD qu'ils avaient tourné ce week-end.
Je remarquais que tous les gens qui quittaient le restaurant s'arrangeaient pour passer auprès de notre table.
Je notais aussi qu'il n'y avait que peu de gens qui partaient depuis notre arrivée.
Ils commandaient des boissons et restaient assis les yeux rivés sur mes charmes, ils attendaient de voir ce qui se passerait ensuite je suppose.
Notre serveur revint alors avec nos boissons, la seule façon que j'avais de me désaltérer était de sucer la paille qu'il avait trempée dans le verre.
Je ne voulais surtout pas que ce stupide top que je portais remonte plus au-dessus de mes miches.
Il s'écoula de nouveau cinq bonnes minutes avant qu'il revint avec la nourriture, Tom tendit la main et me libéra une main, me laissant à moitié entravée.
Rory avait accroché la menotte à une jambe de ma chaise, je ne pouvais donc me servir que d'une seule main.
Je voulus ajuster ma tenue pour dissimuler mes charmes trop largement exposés.
Tom intervint alors :
- "Arrête salope..... Tu manges ton sandwich et sirote ta boisson sans t'occuper de ta tenue...... Elle me plait comme ça! ....
Je bougeais avec précaution de peur d'empirer encore les choses et grignotait mon sandwich tout en vidant mon verre, pleinement conscient que j'offrais un spectacle des plus érotiques à tous nos voisins
Mon top continuait à remonter à chacun de mes mouvements exposant presque totalement mes nichons.
Je voulais désespérément cacher mes appâts, j'espérais encore plus quitter cet endroit, j'étais folle d'humiliation.
Les choses semblèrent s'arranger quelque peu lorsqu'un homme élégamment vêtu s'approcha et se présenta comme le gérant des lieux.
Il dit :
- "Je suis désolé de devoir intervenir, mais je dois installer une famille avec enfants sur une table proche de la votre aussi dois-je vous demander d'adopter une tenue correcte au moins jusqu'à leur départ.
Tom lui sourit en retour et répliqua :
- "Pas de problème mon gars... " puis se tournant vers moi il ajouta :
- "T'as compris salope, ajuste ta tenue......"
Je rabattais rapidement ma brassière et tournais mon pagne pour qu'il cache ma chatoune.
Mais une fois couverte, la situation n'amusait plus mes tourmenteurs, ils vidèrent leurs verres, me libérèrent, se levèrent et on quitta le restaurant.
J'étais affolée.
J'avais été profondément humiliée dans le restaurant, mais cependant c'était un endroit où j'étais en sécurité, je n'osais m'imaginer ce que Tom avait programmé pour la suite, à chaque fois cela s'était terminé par une série de viols.
Lorsque nous sortîmes, il m'entrava à nouveau les poignets et nous sommes retournés dans la voiture.
Il était à peine 15 heures.
Je grognais en voyant ou nous allions.
Tom se gara dans le parking juste devant le club photo.
Je ne parvenais pas à cacher mon angoisse.
Je le suppliais de ne pas me faire revivre cette épreuve.
Il sourit et me dit :
- "Désolé ma chérie, j'ai eu une foule de demandes pour que tu reviennes et c'est de l'argent facilement gagné! ...."
Ils me tirèrent hors de la voiture et nous avons retourné au club.
Le colosse noir qui gérait les lieux sourit en nous voyant.
Il vint nous rejoindre et nous entraîna tout de suite dans le vestiaire.
Il me toisa du regard et me dit :
- "Personnellement j'adore la façon dont tu es vêtue aujourd'hui! .... Mais tes clients veulent que tu les excites à mort! ..... Ils veulent tirer quelques clichés de ta petite culotte avant de passer aux choses sérieuses."
Il me sortit quelques tenues de ville tout à fait ordinaires, il me tendit des vêtements que j'aurai choisi pour m'habiller d'acheter si j'en avais eu l'opportunité.
Tom m'enleva les menottes et tandis que je me changeais, il se mit à discuter avec le gérant en se promenant de ci de là, dans la pièce. Je savais qu'ils discutaient de moi, ils planifiaient ma prestation.
Je ne voulais pas y penser.
Je me tenais devant Rory et Steve vêtue d'un chemisier et d'une jupe ordinaires, en dessous j'avais des sous-vêtements tout à fait traditionnels.
Tom revint vers moi et me sourit démoniaquement quand il me vit ainsi vêtue, il me rappela :
- "Tu connais la routine... Tu te mêles à tes clients et tu te montres gentille avec eux! ..... Puis tu viens dans la pièce des prises de vue, tu prends les poses qu'ils demandent et tu enlèves un vêtement à chaque tintement de la cloche..... Si tu me déçois, il y a une salle réservée au sadomasochisme et l'on pourrait très bien y poursuivre notre petite fête! ..... Mais je ne pense pas que veuilles me décevoir, n'est-ce pas ma chérie? ....."
Je secouais négativement la tête me résignant à jouer une nouvelle fois les prostituées pour leur grand plaisir.
Tom sourit et me félicité :
- "T'es vraiment une bonne fille ma petite salope... " puis il me prit par le bras et me poussa dans la salle principale où je me mêlais aux consommateurs.
A suivre...
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