Brian est en Irak - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Son mari en Irak, une jeune femme se fait piéger.
Pour la première fois depuis le départ de Brian pour l'Irak, je m'accordais une petite sortie.
Son unité de la garde nationale avait été appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak. Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui. Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari. Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de réponse.
Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres. Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi. Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée. Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme, s'il avait été blessé....
Lorsqu'une amie me parla de la petite fête qu'elle organisait chez elle ce vendredi soir, je n'avais pas envie d'y aller parce que Brian me manquait, depuis deux semaines je n'avais aucune nouvelle de lui.
J'y suis allée parce que j'étais fatiguée de rester assise seule devant la télé dans mon petit appartement et que j'étais inquiète. Je voulais écouter de la musique, parler avec des gens heureux, danser et boire quelques verres. Je n'avais aucune idée de la façon dont allait se terminer cette sortie.
Mon amie Tanya n'était pas une « tête en l'air », je n'avais aucune raison de craindre qu'il s'agisse d'autre chose que d'une petite fête entre amis, c'était son anniversaire et deux de ses amis avaient organisé cette petite fête en son honneur, ils avaient réservé une piscine dans leur complexe d'habitations.
J'avais l'intention de boire quelques verres, de me détendre, de danser un peu, puis de rentrer chez moi retrouver le confort de mon grand lit conjugal. Rien ne m'inquiétait, j'étais une jeune femme de 21 ans mariée et indépendante et j'étais capable de prendre soin de moi. Du moins je le pensais à ce moment !
Le temps était ensoleillé, il faisait très chaud, je faisais quelques danses et bus quelques verres, puis j'enfilais mon bikini et piquais une tête dans la piscine pour me rafraîchir. Quelques gars me rejoignirent, j'étais très flattée, je flirtais avec quelques-uns uns mais je leur signifiais clairement que cela n'irait pas plus loin, et ils ne tardèrent pas à m'abandonner, j'étais un peu déçue.
Lorsque vous sortez d'une année très satisfaisante de vie amoureuse pour vous retrouver privée de sexe pendant trois longs mois, cela n'est ni facile à endurer ni enthousiasmant.
Lorsque la nuit tomba, le temps fraîchit un peu, je refaisais quelques danses. J'étais restée en bikini, et j'étais loin d'être la seule, de nombreuses filles dansaient en bikini. Je passais pas mal de temps avec un des invités, il était très rusé et amusant et prenait courtoisement soin de moi. Lorsque nous ne dansions pas, nous nous asseyions sur le bord de la piscine, de l'eau jusqu'au cou, où à petite table pour siroter quelques canettes de bière.
Je lui avais signifié clairement que je partirai à 22 heures, et, bien que déçu, il n'avait pas élevé d'objections. Il était légèrement plus vieux que moi, il devait approcher la trentaine et se montrait fort mature. Il savait qu'il ne me sauterait pas ce soir, et que j'aimais sa compagnie amicale. De plus il me distrayait vraiment de ma vie ennuyeuse, et de toute façon les autres gars m'avaient laissé totalement choir.
Vers 21 heures trente il me proposa de boire une dernière bière, il quitta alors la piscine et partit me chercher une canette et nous avons pris place sur deux transats en retrait de la piscine. Le volume musical avait baissé vers les 21 heures trente et nous pouvions discuter plus facilement, je ne cachais pas que je m'étais bien amusée. Je sirotais ma dernière bière et jetais œil un œil sur ma montre, décidée à partir dès 22 heures.
Ce n'est pourtant pas ce qui s'est passé. Je ne me souviens pas de ce qui est arrivé. J'étais assise discourant avec mon interlocuteur, prenant du bon temps. La dernière chose dont je me rappelle c'est que je me suis réveillée samedi matin dans un lit allongée au coté d'un mec.
Son unité de la garde nationale avait été appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak. Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui. Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari. Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de réponse.
Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres. Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi. Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée. Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme, s'il avait été blessé....
Lorsqu'une amie me parla de la petite fête qu'elle organisait chez elle ce vendredi soir, je n'avais pas envie d'y aller parce que Brian me manquait, depuis deux semaines je n'avais aucune nouvelle de lui.
J'y suis allée parce que j'étais fatiguée de rester assise seule devant la télé dans mon petit appartement et que j'étais inquiète. Je voulais écouter de la musique, parler avec des gens heureux, danser et boire quelques verres. Je n'avais aucune idée de la façon dont allait se terminer cette sortie.
Mon amie Tanya n'était pas une « tête en l'air », je n'avais aucune raison de craindre qu'il s'agisse d'autre chose que d'une petite fête entre amis, c'était son anniversaire et deux de ses amis avaient organisé cette petite fête en son honneur, ils avaient réservé une piscine dans leur complexe d'habitations.
J'avais l'intention de boire quelques verres, de me détendre, de danser un peu, puis de rentrer chez moi retrouver le confort de mon grand lit conjugal. Rien ne m'inquiétait, j'étais une jeune femme de 21 ans mariée et indépendante et j'étais capable de prendre soin de moi. Du moins je le pensais à ce moment !
Le temps était ensoleillé, il faisait très chaud, je faisais quelques danses et bus quelques verres, puis j'enfilais mon bikini et piquais une tête dans la piscine pour me rafraîchir. Quelques gars me rejoignirent, j'étais très flattée, je flirtais avec quelques-uns uns mais je leur signifiais clairement que cela n'irait pas plus loin, et ils ne tardèrent pas à m'abandonner, j'étais un peu déçue.
Lorsque vous sortez d'une année très satisfaisante de vie amoureuse pour vous retrouver privée de sexe pendant trois longs mois, cela n'est ni facile à endurer ni enthousiasmant.
Lorsque la nuit tomba, le temps fraîchit un peu, je refaisais quelques danses. J'étais restée en bikini, et j'étais loin d'être la seule, de nombreuses filles dansaient en bikini. Je passais pas mal de temps avec un des invités, il était très rusé et amusant et prenait courtoisement soin de moi. Lorsque nous ne dansions pas, nous nous asseyions sur le bord de la piscine, de l'eau jusqu'au cou, où à petite table pour siroter quelques canettes de bière.
Je lui avais signifié clairement que je partirai à 22 heures, et, bien que déçu, il n'avait pas élevé d'objections. Il était légèrement plus vieux que moi, il devait approcher la trentaine et se montrait fort mature. Il savait qu'il ne me sauterait pas ce soir, et que j'aimais sa compagnie amicale. De plus il me distrayait vraiment de ma vie ennuyeuse, et de toute façon les autres gars m'avaient laissé totalement choir.
Vers 21 heures trente il me proposa de boire une dernière bière, il quitta alors la piscine et partit me chercher une canette et nous avons pris place sur deux transats en retrait de la piscine. Le volume musical avait baissé vers les 21 heures trente et nous pouvions discuter plus facilement, je ne cachais pas que je m'étais bien amusée. Je sirotais ma dernière bière et jetais œil un œil sur ma montre, décidée à partir dès 22 heures.
Ce n'est pourtant pas ce qui s'est passé. Je ne me souviens pas de ce qui est arrivé. J'étais assise discourant avec mon interlocuteur, prenant du bon temps. La dernière chose dont je me rappelle c'est que je me suis réveillée samedi matin dans un lit allongée au coté d'un mec.
Je ne sais pas ce qui s'est passé. Je savais que j'étais loin d'être ivre, je devinais qu'on m'avait droguée.
Je jetais un œil sur le type allongé le long de mon corps et je le recon-us, c'était le mec avec qui j'avais passé la plus grande partie de la soi-rée, mais je ne parvenais pas à me rappeler son nom. J'étais nue, j'avais des traces de foutre sur mes nichons, mon buste et mon ventre, mes cuisses étaient recouvertes de semence séchée. Je me pris la tête entre les mains et je réalisais que j'avais tout autant de foutre étalé sur le visage.
Je me levais lentement, j'avais une bonne gueule de bois, je cherchais des yeux la salle de bain.
Lorsque je bougeais, je réalisais que j'étais toute courbaturée, mon corps était sévèrement meurtri, mon vagin me faisait mal, mon anus me faisait mal, et j'avais la gorge en feu. Je compris que j'avais été violée la nuit précédente et pas par un seul homme.
Je trouvais la salle de bain et m'y rendais, je me regardais fixement dans un miroir. Mon visage était couvert de taches de foutre sec, mon corps et mes cheveux en était recouverts. Je sentis soudain mon estomac se soulever et je me précipitais dans les toilettes et vomis tripes et boyaux pendant quelques longues minutes.
Lorsque je cessais, l'estomac vide, je jaillis des toilettes et me lavais la figure et les mains. C'est alors que je le vis, il se tenait dans l'entrée de la salle de bain et me souriait de toutes ses dents. Avant que je ne dise quoi que ce soit, il intervint :
- Quel gâchis ! ..... Je t'ai entendu vomir, j'étais certain que tu dégueulerais après avoir avalé autant de foutre ! ..... Tu vas pouvoir recommencer à me sucer maintenant que tu as l'estomac vide ! .....
Je retrouvais ma voix et bien que difficilement je hurlais :
- Tu n'es qu'un sale violeur ! .... Tu ne t'en sortiras pas comme ça ! ..... Dès que je serai sortie j'appelle les flics... je te hais ! ....
Il se contenta de me sourire et me fixa comme si je lui sortais une bonne plaisanterie. Je terminais de me nettoyer et empoignais un drap de bain pour me sécher. Puis je retournais dans la chambre et y cherchais mes vêtements. Il me suivit et, lorsque je lui demandais où se trouvaient mes vêtements, il me rétorqua :
- Ton bikini ? Dans le salon !
Je frappais du pied la porte et me ruais dans le salon. Quatre hommes assis autour d'une table me sourirent de toutes leurs dents. On aurait dit qu'ils venaient tout juste de se lever. Je réalisais qu'ils devaient tous avoir usés de mes charmes cette nuit, je ne me rappelais de rien et me sentais très embarrassée de me retrouver nue sous leurs yeux. Je vis mon bikini gisant au sol, je m'en saisis et l'enfilais rapidement. Mon sac à main était posé sur la table je l'empoignais, mais je ne trouvais pas le reste de mes vêtements, ils étaient certainement encore le long de la piscine. Je me dirigeais vers la porte, mais avant que je ne l'ouvre il me dit :
- Ne pars pas... Nous avons quelque chose à te montrer !
- Non... je m'en fous ! Je m'en vais ! Hurlais-je en ouvrant la porte.
Je ne fis pas assez vite. L'un des quatre hommes, qui avait visiblement dormi dans la salle de séjour, se leva et me bloqua le passage. Je voulus le griffer, j'étais assez furieuse pour m'en prendre à lui. Je hurlais de se retirer de mon chemin, il se contenta de me sourire sans bouger d'un pouce. Cela ne fit qu'augmenter ma fureur. Je me ruais sur lui cherchant à le repousser, voyant le peu d'impact de mon action je me sentis folle de rage.
Il était fatigué de me voir agir ainsi, il me saisit par une mèche de cheveux et me souleva dans les airs. Je jetais mon sac et posais mes mains sur sa taille cherchant à me libérer de sa douloureuse emprise. Il ignora mes efforts et me traîna facilement sur le canapé et me projeta brutalement entre les deux hommes qui étaient assis dessus. Il me dit alors :
- Tom vient de te dire avec une extrême politesse de rester pour regarder quelque chose qu'il désire te montrer. J'espère bien que tu vas accepter de regarder ce qu'il veut te faire voir. C'est d'une extrême importance pour toi.
Je me redressais et frottais mon crane douloureux, il en tomba une averse de pellicules de sperme séché qui me couvrit les épaules. Je comprenais peu à peu ce qui m'était arrivé et ce qui allait s'ensuivre. Je me forçais à prendre une profonde inspiration et leur demandais ce que je devais voir d'important. L'un d'eux se saisit d'une télécommande et alluma la télé.
Je criais de dépit lorsque l'image apparut et que je me vis passer des bras d'un homme à un autre dans ce salon. J'étais entièrement nue et je souriais, on aurait cru que je n'avais jamais autant joui de la vie et de ses plaisirs. Leurs mains courraient sur tout mon corps et je semblais les encourager de tout mon cœur. J'éructais sourdement :
- Vous n'êtes que de sales bâtards !
Et j'essayais de me relever pour fuir cette maudite chambre. J'étais à peine debout que l'homme assit à mon coté gauche me rassit de force sur le sofa. L'un d'eux m'informa alors :
- Le film est loin d'être fini... Tu as encore beaucoup de scènes à visionner..... Tu vas aimer...... C'est très éducatif, voire même pédagogique...
Je me débattis et grognais :
- Tout ça montre que vous m'avez lâchement violée, infâmes salopards !
Tom intervint alors :
- Eh non ma petite chérie, tu n'as pas regardé avec assez d'attention. Les images dont nous disposons, prouvent que tu participais volontairement à cette orgie..Regarde-toi bien, tes yeux sont grands ouverts, tu souris et participes activement à la baise, tu tiens bien sur tes jambes. Personne, après avoir regardé ce film ne pensera que tu te faisais violer.. Regarde bien !
Je n'avais pas le choix, ils ne me laisseraient pas partir tant que je n'aurai pas visionné la cassette. Je me calais dans le sofa et je regardais les hommes qui ne me pelotaient pas se déshabiller. Lorsqu'ils furent nus, ils me prirent en main et ce fut au tour des autres de se dévêtir. Et je repassais de nouveau de mains en mains. J'étais très humiliée de me voir sur l'écran, d'autant plus que j'étais assise au milieu de cinq spectateurs attentifs les yeux rivés sur l'écran.
Ils finirent par se lasser de me peloter tout à tour, et trois d'entre eux s'assirent sur le canapé un quatrième me demanda d'une voix douce de m'agenouiller entre ses cuisses. Il n'y avait pas le moindre signe de contrainte. Quand bien même je savais que j'étais droguée, je n'en voyais pas plus de signe.
Ma gêne s'accrut encore lorsque je me vis prendre la bite d'un premier homme dans ma bouche et le sucer avidement. J'avais maintenant réalisé que tous ces hommes m'avaient possédé. Cela ne facilitait pas le fait de s'asseoir parmi eux pour regarder le film qui se déroulait sur l'écran télé.
Tandis que je suçais ce premier gaillard, les autres s'agenouillèrent autour de moi, face à la caméra de Tom et ils se mirent à me peloter lascivement les nichons. L'un d'eux glissa sa main entre mes cuisses me branlant âprement.
J'observais mes réactions alors qu'il me labourait la fente de ses doigts, mon visage affichait une lubrique satisfaction. Je sentis alors de grosses larmes couler sur mes joues, j'en étais furieuse, je ne voulais pas que ces bâtards se rendent compte de ma panique. J'essuyais mes yeux et continuais à regarder l'écran. Mon chevaucheur de bouche ne tarda pas à éjaculer, je semblais savourer avec un énorme plaisir sa semence que j'avalais voracement. Je n'avais jamais accordé une telle cajolerie à mon mari.
L'homme qui me possédait se recula et un autre prit sa place, ils me regardaient tous me repositionner pour lui faciliter l'accès à ma bouche. Tom précisa alors :
- Au cas où tu te le demanderais Rory était le second que tu suçais. Tu m'avais déjà fait une pipe le temps que mes copains arrivent, mes amis avec qui je partage tout.
Horrifiée, je me vis sucer les quatre bites de ces salauds, Tom s'approchait de temps à autre et prenait des gros plans de mon visage souriant alors que j'avalais leur foutre tout à tour. Lorsque j'eus sucé le quatrième salaud, je fus disposée sur le dos et le premier que j'avais sucé s'installa entre mes cuisses et engouffra facilement sa bite dans ma petite chatte détrempée. Je vis que les grandes lèvres de ma chatte étaient rouge vif et gonflées, comme si l'on m'avait déjà possédée.
Je braquais mes yeux sur Tom qui me précisa :
- Ouais, je t'avais déjà baisée auparavant.
Ils me baisèrent tous l'un après l'autre. Une fois qu'ils avaient éjaculé dans ma foufounette, ils revenaient vers mon visage et je leur nettoyais complaisamment la bite avec la bouche.
Je sentis soudain mon estomac se soulever, la main sur la bouche je fonçais dans la salle de bains. Il était temps, je dégueulais de suite. Mon estomac était quasiment vide et c'était surtout des nausées sèches. J'attendais que mon estomac se calme, puis je me lavais le visage et je retournais à reculons dans la salle de séjour.
Je repris ma place entre les deux hommes sur le sofa et le DVD, qu'ils avaient mis sur pause, repartit m'imposant des images de mon gang bang.
Une fois qu'ils eurent tous éjaculé en moi, les fellations recommencèrent. Cette fois la seconde pipe de Tom était filmée et j'étais obligée de me regarder en train de le sucer habilement. Mais cette fois ils ne jouirent pas dans ma bouche. Une fois que la bite de Tom fut assez dure, il me retourna sur le prie-dieu et entreprit de me graisser le trou du cul avec de la vaseline. Je le regardais me lubrifier et m'évaser l'anus pendant quelques minutes, puis il me tendit le tube de vaseline et je l'utilisais pour graisser sa grosse bite avec un empressement apparent. Il me regardait dans les yeux et sourit de toutes ses dents alors que j'étalais la pommade grasse sur sa bite. Il me tapota doucement la tête me félicitant :
- T'es vraiment une bonne fille !
Puis la caméra entreprit des allers retours entre mon visage et mon trou du cul alors qu'il enfouissait sa grosse bite dans mon petit œillet qui n'avait jamais été à telle fête. Je le regardais faire avec incrédulité de le voir pénétrer aussi aisément alors que je lui jetais un regard passionné. Tom dit alors :
- Je ne pensais pas que cueillir ton pucelage anal serait aussi facile ma chérie. C'était bien la première fois que tu te faisais enculer, n'est ce pas ?
Je hochais la tête abasourdie de voir la facilité avec laquelle il s'enfouissait jusqu'aux burnes dans mon trou du cul asservi. Ils avaient arrêté le son, mais maintenant ils le rallumaient et je m'entendis grogner de plaisir tout en lui demandant de m'enculer avec encore plus de vigueur.
Tandis qu'il me cassait le cul, les autres se succédaient dans ma bouche, visiblement je devais leur rendre leur vigueur pour qu'ils puissent se satisfaire à leur tour dans mon trou du cul.
Ils s'étaient déjà vidés les couilles à deux reprises et certains me labourèrent pendant très longtemps avant de prendre leur plaisir dans mon anus distendu. Mais pas tous, une paire d'entre eux se vidèrent les couilles aussi rapidement que la première fois.
Cependant cette séance d'enculade dura assez longtemps, je les suppliais tous, chacun à leur tour de m'enculer plus vigoureusement. Lorsque l'un éjaculait dans mes entrailles, je prenais sa bite en bouche pour la nettoyer de toutes traces d'excrément avec un empressement apparent alors que je demandais au suivant de le remplacer dans mon trou du cul.
Après cela ils s'étaient tous assis et s'étaient décontracté, de temps en temps l'un d'entre eux m'appelait pour se faire sucer à nouveau. Lorsque je ne les suçais pas, j'obéissais à leurs ordres salaces, posant dans des positions obscènes, ou me branlant vigoureusement, recueillant le foutre qui s'écoulait de ma chatte et de mon anus pour me l'étaler sur le visage, mes cheveux et ma poitrine à leur grande joie.
C'est la chose la plus dégoûtante que j'ai jamais fait, et tout cela avec l'air d'adorer ce que je faisais. Je réalisais que sans aucun doute je ne pourrai pas me plaindre à la police, je ne sais pas quelle drogue ils avaient utilisé pour me sidérer, mais les effets étaient tels que n'importe quel flic, n'importe quel juge, n'importe que jury serait persuadé que je n'étais qu'une fieffée salope qui profitait de ce que son mari était réquisitionné en Irak pour se faire baiser à couilles rabattues et ce de façon obscène.
Je regardais fixement Tom et pleurnichai :
- C'est d'accord... Vous avez gagné ! Je ne dirai rien aux flics... Je sais trop bien ce qui arriverait si j'essayais de convaincre qui que ce soit de la vérité.
Tom sourit à pleines dents et me répondit :
- Ne crois pas ça ma petite Kim chérie. On n'en a pas fini avec toi. Bien sur, on a tous savouré cette extraordinaire séance de baise d'hier soir. T'es une formidable suceuse de bites et ta chatte est divinement étroite, et ton trou du cul encore plus savoureux. Nous n'allons pas te laisser partir comme ça. Peut être dans une semaine ou deux, mais pour l'instant ton cul nous appartient.
Je tentais de me relever, ils me rejetèrent sur le canapé. Je pris ma tête entre mes mains tout en me lamentant :
- Non, je ne peux pas, je ne veux pas ! Je ne peux pas refaire ces choses que vous avez obtenues de moi en me droguant la nuit dernière. Je n'ai jamais fait de telles choses avec mon mari. Je ne veux plus les faire !
Tom éclata de rire et intervint brutalement :
- Oh que si tu vas les faire ma chérie. Parce que sinon ton mari recevra une copie du DVD qu'on vient de visionner, nous verrons bien alors s'il tolérera que tu fasses toutes ces choses avec des étrangers mais pas avec lui. Je suppose ton émancipation l'émerveillera.
Puis il se saisit de mon agenda qui se trouvait dans mon sac à main et ajouta :
- Je suppose qu'il y a beaucoup d'autres gens qui seraient ravis de savoir à quel point tu n'es qu'une salope !
Il parcourait l'agenda s'arrêtant de temps à autre me demandant qu'elles étaient mes relations avec différentes personnes dont j'avais noté les adresses. je ne répondais pas, mais l'idée que ces gens puissent visionner le DVD relatant mes exploits était encore plus horrible que l'idée de devoir recommencer toutes ces choses avec ces salauds.
Je m'effondrais sur le canapé et couvrit ma face entre mes mains secouée par une violente crise de larmes. J'étais totalement incapable de réfléchir, ils me laissèrent pleurer tout mon saoul. Lorsque mes sanglots se calmèrent, je compris que j'allais devoir faire tout ce qu'ils exigeraient de moi, aussi longtemps qu'ils le voudraient. J'étais totalement en leur pouvoir. Je savais pertinemment que j'avais été une participante involontaire dans les jeux sexuels qu'ils avaient filmés cette nuit.
Et bien que le sachant, on ne décèle aucun signe de révolte de ma part dans cet enregistrement, bien au contraire je semblais y participer avec enthousiasme, impatience. Ils n'avaient même pas à m'ordonner de me livrer à ces actes pervers, il leur suffisait de me guider, de suggérer certaines pratiques pour que je m'y efforce avec complaisance.
J'essayais de me dire au fond de moi-même que cela importait peu maintenant, ils m'avaient fait faire tout ce qu'ils voulaient dorénavant je ne ferai que répéter ces actes obscènes. Je savais cependant que c'était faux, pour une bonne raison, je serai consciente désormais attentive aux pratiques et actes sulfureux aux-quels ils allaient soumettre mon corps, et j'étais bien certaine qu'ils me réservaient bien d'autres humiliations mordantes.
Tom se plaça devant moi et me dit :
- Nous avons pris du bon temps cette nuit chérie, tu t'es comportée comme une sensationnelle petite pute. Personnellement je réfléchis à ce que je pourrais bien te faire faire maintenant que tu sais ce va t'arriver et que tu détesteras chaque minute de ton futur calvaire. Cela va être bien mieux maintenant que tu resteras lucide. Pourquoi ne commencerais-tu pas par te relever et enlever ce foutu bikini.
Il se baissa et me saisit la main pour m'aider à me relever. Je réalisais qu'il était inutile de lutter, non seulement ils m'avaient tous vu nues, mais de plus ils avaient tous usés et abusés de mes charmes. Je n'en avais pas le moindre souvenir, aussi loin que je pouvais réfléchir tout ce qu'ils avaient l'intention de me faire subir serait nouveau dans mon esprit sinon dans mon corps.
Je jetais un œil sur Tom, qui se tenait debout mon agenda en main, mon cerveau tournait à vide, je ne voyais pas comment me sortir de ce gâchis. Je vis que l'un d'entre eux avait recommencé à me filmer, je vis alors les larges sourires qu'ils affichaient tous à l'idée de prendre leur plaisir avec moi alors que je serai consciente et qu'ils savaient tous pertinemment que je haïrais ce que j'allais endurer. J'étais terrifiée, folle d'humiliation et ils s'en rendaient parfaitement compte.
Je baissais les yeux sur le tapis, tendais mon bras dans mon dos et et dégrafais mon soutien-gorge de bikini. Il tomba aussitôt au sol offrant mes nichons fermes à leur convoitise. Ils gloussèrent, je suppose que me voir humiliée les amusait. Il était évident qu'ils se réjouissaient déjà de me dégrader tout autant qu'ils aimaient baiser. Je devais assumer le fait qu'ils aiment sauter des filles et qu'ils n'étaient pas prêts de me laisser tomber.
Je passais les pouces sous la ceinture élastiquée de mon maillot puis je le roulais sur mes cuisses avant de le choir au sol. Je me trouvais maintenant entièrement nue, entièrement livrée à leurs appétits lubriques. Je luttais contre l'envie de cacher mes charmes derrière mes mains, cela serait hypocrite et inutile, ils avaient tous amplement goûtés à mes charmes, cela ne ferait que les amuser un peu plus. Tom me félicita :
- Ça c'est une gentille fille... Et maintenant trempe-toi le cul dans la baignoire et prends une bonne douche, tu pues !
Comme je sortais du salon, me mordant les lèvres pour protester que je ne "puais" pas avant qu'ils me violent, Tom se tourna vers ses copains, la caméra toujours en main et suggéra :
- Pourquoi ne l'accompagnerais-tu pas John ? Tu vas la filmer sous la douche.
John me suivit caméra en main, j'étais cruellement consciente que la caméra enregistrait tous mes faits et gestes. Je me glissais sous la douche et utilisai le savon de Tom et son shampoing pour me débarrasser des tâches de foutre séché qui parsemaient mon corps, mon visage, mon entrecuisse, mon buste et mes cheveux.
John maintenait ouvert le rideau de douche pour me regarder et me filmer tout à son aise. Je ne désirais absolument pas retourner dans le salon, pour leur servir de jouet sexuel, mais je me crispais de plus sous l'œil de la caméra qui enregistrait chaque détail de ma toilette intime. Il alla jusqu'à me filmer assise sur les toilettes alors que je faisais pipi, m'ordonnant de bien écarter les cuisses qu'il puisse capturer les images de mon urine jaillissant de ma chatte. Je frissonnais de révulsion à chaque nouvelle humiliante expérience qu'on m'imposait sous l'œil de la caméra.
Avant de retourner dans le salon, je me brossais les dentures avec mon doigt et de la pâte à dentifrice de Tom. Je voulais effacer le goût de sperme que j'avais en bouche. J'imaginais déjà que je se serai pas longue à retrouver ces haïssables effluves dans ma bouche.
Lorsque je revins dans le salon, Tom m'appela à lui, et me força à me baisser. Il me flaira longuement sarcastiquement comme s'il vérifiait si j'étais assez propre pour qu'il me touche. Il sourit alors et dit :
- C'est bien mieux ! Et maintenant mes amis et moi-même avons programmé ta journée pendant que tu te nettoyais. Tu es assez fine pour savoir que les choses qui nous amusent ne seront pas aussi amusantes pour toi que pour nous. Et pourtant tu sais que tu n'as pas le choix, n'est ce pas ?
Je hochais la tête en signe d'approbation. C'était vrai, peu importe ce qu'ils allaient exiger, ils en connaissaient assez sur moi pour ruiner ma vie, détruire mon mariage et ma réputation. Tom poursuivit :
- C'est bon. Je ne veux pas avoir à répéter mes menaces pour te faire obéir. Si cela te pose problème, on pourra toujours te rendre de cette drogue que je t'ai donnée la nuit dernière. Tu as pu constater son efficacité. Nous sommes un groupe de gens à l'imagination assez vive, les images pourraient être bien pires si l'on te droguait à nouveau.
Je savais pertinemment que sans aucun doute qu'ils prendraient un énorme plaisir à me détruire si je ne me montrais pas d'une docilité absolue. Je ne savais pas si je pourrais leur obéir, j'ai toujours été une femme très conservatrice, je n'étais pas de ces filles qui s'habillaient pour provoquer et exciter les mâles. Avant cette nuit, je n'avais jamais eu de rapports sexuels avec plusieurs partenaires et je n'avais surtout jamais posé pour des photos pornographiques. En de nombreuses occasions Brian m'avait demandé de poser pour des photos sexy, il me réclamait désespérément une photo sexy pour emmener lors de son séjour en Irak. Je pensais que c'était pour la montrer à ses copains aussi avais-je refusé. Je l'aimais de tout mon cœur, et j'aimais être sexy, mais c'était juste pour Brian et moi. Tout au moins jusqu'au début de cette nuit.
Tout en m'avertissant de lui obéir docilement si je ne voulais pas être droguée à nouveau, il tendit le bras vers moi et me caressa comme s'il était le propriétaire de mon corps. Je le haïssais de toucher des endroits intimes que seul mon mari aurait du pouvoir toucher, je le détestais d'autant plus que mon corps répondait à ses caresses. Bien que je sache que ce n'était qu'une réponse primitive, sur laquelle je ne pouvais exercer aucun contrôle, je détestais sentir mon corps se libérer de mon cerveau. Je haïssais d'autant plus que je savais que je lui appartenais totalement le temps qu'il se fatigue de mes charmes. Il me fit relever et me dit alors :
- Allez ma chérie, allons dans ma chambre trouver quelque chose à te mettre sur le cul. Puis on va aller faire un tour.
D'un coté j'étais ravie de ne pas devoir passer la journée enfermée avec ces salauds, mais par ailleurs, je craignais vivement les humiliations qu'ils pourraient me faire subir en public. Un coup d'œil sur leurs visages respirant la cruauté suffit à me convaincre que je ne devais attendre aucune pitié de leur part. Ils étaient plus vieux que moi et flirtaient tous avec les 30/35 ans. C'est tout ce que je savais d'eux. Je ne connaissais le nom que de trois de ces salauds, Tom, Rory et John.
Avant cette funeste nuit je n'avais appartenu qu'à deux hommes, mon mari bien sur et un petit ami qui avait cueilli maladroitement mon pucelage alors que j'avais 18 ans. Et voilà qu'en une seule nuit, le nombre de mes amants grimpait à 7, et encore dont deux dont je ne connaissais même pas les noms.
Je suivis Tom dans sa chambre, il me dit alors :
- T'as juste besoin de quelque chose qui te permette de gagner l'endroit où l'on va, et là on te trouvera une tenue plus appropriée... "
Il sortit d'une commode une chemise qu'il me tendit. Je l'enfilais et commençais à la boutonner. Il me stoppa avant que je n'aie boutonné beaucoup de boutons. Je regardais jusqu'où descendais les pans de la chemise, devant ils couvraient à peine ma chatte, je doutais qu'ils couvrent la totalité de mes fesses.
Il m'avait fait arrêter le boutonnage sous la poitrine. La chemise était ample et le décolleté pendait bas dévoilant mes nichons à tous les gens qui me regarderaient de coté.
Je me tenais debout, attendant qu'il me tende une autre pièce de vêtements, mais il sourit et rigola :
- C'est parfait, allons-y !
J'avalais ma salive sous le choc, j'avais résolu de ne pas tenter de me dérober à ses ordres, je savais que de toute manière c'est lui qui gagnerait. Cependant il m'était impossible de sortir aussi peu vêtue.
Je l'interpellais :
- Tom, attendez...
Il arrêta et se retourna, un large sourire illumina alors son visage. Je sus immédiatement qu'il ne me donnerait rien d'autre à porter. Il avait décidé de m'humilier, j'hésitais une seconde et je feintais :
- Mes pieds... Pourrais-je au moins enfiler mes sandales ?
Il me regarda ironiquement et rétorqua :
- Je suppose qu'elles sont dans le salon, allons y salope !
Je pensais fugitivement : " Je ne suis pas une pute, mais toi tu n'es qu'un sale bâtard mon salaud". Je me mordis la langue pour ne pas exprimer à voix haute ce que je pensais tout bas. Je ne voulais pas qu'il se sente obligé de me prouver que j'avais un statut de soumise désormais.
Je m'arrêtais dans la chambre et me regardais dans un miroir en pied, je n'en crus pas mes yeux, il fallait que je sorte dévêtue de cette façon. Je me tournais et je vis que j'allais offrir une bonne moitié de ma croupe à la vue des passants.
Je rattrapais Tom avant de lui donner l'opportunité d'exercer son autorité, lorsque j'entrais dans la salle de séjour, ces salauds explosèrent de rire et sifflèrent en me voyant dans une tenue aussi dégradante. Je jetais un coup d'œil panoramique et retrouvais mes sandales sous la table basse. Je les enfilais, ils se levèrent tous d'un même mouvement et nous partîmes.
A suivre...
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