Brian est en Irak - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Suite de la dégradation.Il était presque 11 heures en cette matinée ensoleillée, beaucoup de gens traînaient dehors.
Des gens lavaient leurs voitures d'autres se dirigeaient vers la piscine d'autres encore se promenaient là où ils n'allaient jamais habituellement le samedi.
Chaque personne que l'on croisait arrêtait ce qu'elle faisait et braquait leurs yeux sur moi.
Les mâles reluquaient mes nichons clairement visibles et mon cul qui s'affichait à chacun de mes pas.
Les femmes arboraient des mines dégoûtées et choquées.
Ce quartier était surtout occupé par des jeunes célibataires et des couples informels qui vivaient ensembles où étaient récemment mariés.
J'avais déjà remarqué qu'ils observaient les promeneurs qui passaient dans leur azimut.
J'avais remarqué, la veille à la piscine, de nombreuses jeunes femmes arborant des bikinis minimums.
Aussi était-il évident à la vie de leur réaction que je leur offrais une vue enivrante de mes charmes largement dénudés.
Mais je ne pouvais que rougir et avancer en gardant la tête basse.
Nous nous dirigions vers la voiture de Tom et on offrit un spectacle folklorique en prenant place aux 4 places passagères. Je notais le nom de mes deux tourmenteurs inconnus lorsque Tom intervint :
- "Harry, tu es le plus petit, prend la place du milieu entre John et Steve, la salope s'assiéra sur vos genoux! ..."
Rory le plus costaud des cinq s'assit sur le siège passager à coté du conducteur et se retourna pour s'amuser des chamailleries des 3 autres qui se serrèrent sur la banquette arrière avant de m'attirer sur leurs genoux.
On était serré comme des sardines ce qui les fit hennir de joie.
Avant qu'ils ne referment les portes, Harry ouvrit ma chemise en grand et la repoussa sur mes épaules, offrant mes nibards à l'œil de la caméra et aux nombreux passants qui se trouvaient sur le parking.
Ils trouvèrent tous cela incroyablement amusant, j'étais horrifiée de n'être que leur marionnette.
Je n'avais aucune idée de l'endroit où nous nous rendions, je savais seulement qu'où que ce soit, je haïrais cet endroit, je détestais tout ce qui m'arrivait.
Je me lovais entre les bras d'Harry pour arrêter de heurter du crane le toit de la voiture, il se mit immédiatement à me malaxer les miches alors que John et Steve me caressaient les cuisses.
Ils m'écartèrent fortement les cuisses de façon à permettre à Rory de prendre des photos de plus en plus obscènes de mes appâts dénudés.
Tom nous emmena dans un quartier où se concentraient les affaires d'adultes et se gara dans un parking face à un bâtiment appelé "Le Caméra Club".
Il sortit de la voiture et dit :
- "Ça ne devrait pas être long! ....."
Dès qu'il était sorti de la voiture, je m'étais tournée sur la banquette, j'avais le dos contre la portière et mes jambes s'étalaient sur les hommes serrés sur la banquette.
Ils écartèrent mes jambes et louèrent mes appâts, riant cruellement de mes réactions.
L'un d'eux saisit un de mes mamelons dans sa bouche et après l'avoir fait darder, il le mordit cruellement, je hurlais et sautais de coté pour me libérer de ses dents imprimées dans ma chair. Ils trouvèrent tous cela hilarant.
Lorsqu'ils en eurent marre de s'amuser avec mes tétons, Harry saisit rudement ma touffe de poils pubiens.
Il enroula ses doigts dans ma toison et tira fortement et lentement. , je cramponnais ses poignets cherchant vainement à freiner ses gestes, je hurlais de douleur le suppliant d'arrêter.
Ils riaient et riaient alors qu'ils tiraient de plus belle sur mes poils par longues saccades.
Il relâcha finalement mon buisson et montra à ses potes les mèches de poils qu'ils avaient arrachées à mon mont de Vénus.
Tandis que je le suppliais d'arrêter, Rory filmait toute la scène relatant mon extrême humiliation.
Enfin Tom revint et ses potes cessèrent de me tourmenter.
Je pleurais à chaudes larmes lorsque Tom se pencha dans l'habitacle et hurla :
- "Tout le monde dehors! ..."
J'essuyais mes yeux sur mes manches et pleurnichais :
- "Pourquoi me faites-vous subir cela? ....."
Lorsque je me tins debout à coté de la voiture, Tom se tourna vers moi me releva la tête et me répondit :
- "On te fait tout ça parce que ça nous amuse! .... T'es une sacrée allumeuse ma chérie! ...... Tu m'as laissé en plan la nuit dernière, alors que je voulais t'enculer, tu es repartie chez toi! .... Putain de salope..... Tu ne m'allumeras pas une seconde fois! ..... La prochaine fois qu'un des gars voudra t'enculer, tu lui tendras tes fesses... T'as compris ma belle salope frigide! ...."
- "Je ne suis pas une allumeuse! ..." m'exclamais-je vexée.
- "Je ne vous ai pas provoqué... J'ai juste dansé avec vous... Pensez-vous que toutes les filles qui dansent avec vous doivent coucher avec vous? ...."
Tom ricana et rétorqua :
- "Par l'enfer t'as fait bien plus que danser avec moi ma petite salope! ... T'as commença par passer une paire d'heures à me raconter à quel point tu te sentais seule et combien ton mari te manquait tout en balançant tes nichons et ton cul sous mes yeux ce qui me fit penser que t'avais surtout envie de te faire baiser! ...... Que t'étais surtout en manque de sexe! ..."
Puis tu m'as dit :
- "Je dois rentrer maintenant! ..." alors que je venais de passer toute la nuit à t'écouter délirer.
Je secouais la tête totalement incrédule, je ne m'étais pas comportée ainsi, je ne lui avais pas laissé espérer...
En fait, J'avais essayé de lui fausser compagnie à plusieurs reprises, mais il n'avait pas daigné relever mes insinuations.
- "Ce n'est pas du tout ce que je voulais! ..." soufflais-je sourdement.
Son visage affichait maintenant de la haine, il hurla :
- "Conneries, t'as passé des heures à m'allumer et, quand t'as eu bien pris ton pied, t'as voulu rentrer chez toi! .... Il est temps que tu reçoives une bonne leçon ma chérie! .... Et c'est nous qui allons t'enseigner que lorsque tu chauffes un mec tu dois obligatoirement éteindre le brasier ensuite! ..... Crois-tu que ta chatte vaut de l'or où quelque chose d'aussi précieux pour que tu ne veuilles pas en faire profiter les malheureux que t'allumes! .... C'est juste une foufoune ma salope, et une foufoune faite pour être baisée! ...."
Je le regardais choquée, je commençais à me dire qu'en plus du fait qu'il m'avait droguée et violée, ce mec était dérangé! ....
Il semblait croire que si une femme lui adressait la parole et refusait ensuite de coucher avec lui, il était en droit de lui faire endurer ce qu'il voulait et qu'elle n'avait qu'à la fermer passivement.
Il empoigna mon bras et m'entraîna vers le bâtiment devant lequel on était arrêté.
Tout en marchant il reprit :
- "Et rappelle-toi bien ma petite chérie, tu n'es qu'une petite chatte à bourrer! ...."
Il m'entraîna dans "Le Caméra Club" je jetais un coup d'œil circulaire et vis un paquet de photos de femmes nues ou demi-nues placardées sur les murs.
Il y avait une douzaine d'hommes à l'intérieur dans la salle.
Dès qu'ils virent ma tenue, ils se montrèrent intéressés. Tom leur sourit et me poussa vers un bureau dans le fond de la salle. Il me poussa à l'intérieur et ferma la porte dans notre dos je braquais les yeux sur un colossal quinquagénaire noir qui me regardait au travers d'un large bureau fort encombré.
Il me reluqua de la tête au pied et commenta :
- "Pas mal, et maintenant vire-moi cette chemise! ...."
Je jetais un œil anxieux sur Tom, mais il se contenta de hocher de la tête.
Aussi je déboutonnais lentement la chemise qu'il m'avait donnée et je la laissais grande ouverte sur mes charmes.
Je n'étais plus grandement couverte, mais il insista :
- "Je t'ai dit d'enlever cette chemise, salope! ...."
Il regarda Tom d'un air interrogateur et celui-ci précisa :
- "Elle encore très timide, c'est une toute nouvelle esclave! ... Ne t'inquiète pas elle ne nous causera aucun ennui! ...."
Sur ces mots il se tourna vers moi et m'interrogea :
- "N'est-ce pas stupide petite pute! ..."
Je baissais la tête et enlevais ma chemise la tenant entre mes mains tremblantes. Tom la prit, la balança par terre et m'ordonna de me tourner lentement.
J'obéis servilement, le colosse noir faisait des commentaires sur mes charmes :
- "Elle est plutôt mignonne, les nibards sont petits mais bien ferme, bien ronds, son cul est bien rebondi mais pas trop, parfait, sa petite chatte est très jolie, bien entretenue, ouais je suppose qu'elle fera l'affaire! ...."
Lorsque j'eus fini de tourner sur moi-même, il se leva et m'entraîna dans le hall puis dans une petite salle remplie d'étagères de vêtements.
Il cherchait une tenue particulière et prit une poignée de vêtements qu'il m'enjoignit d'enfiler.
Ils me regardaient enfiler les froufroutants sous-vêtements de dentelles puis une paire de bas montant haut sur les cuisses, je revêtais alors un kilt et un chemisier blanc et une paire de sandalettes vernies, ils me regardaient avec approbation, visiblement ma tenue leur convenait pleinement.
Je me regardais dans le miroir et je compris qu'ils m'avaient fait endosser la tenue d'une écolière de pension catholique.
Le colosse noir me demanda :
- "Sais-tu ce qui va se passer maintenant? ...."
Je secouais la tête, je ne savais pas, j'aurai préféré ne jamais le savoir! ....
Je savais que quoi que ce soit, je haïrai ce que je devrai faire! .....
Il m'ordonna alors :
- "Tu vas retourner dans la salle et te promener parmi les clients pendant quelques minutes..... T'as tout intérêt à te montrer gentille avec eux! .... Ne joue pas les salopes! ..... Je prépare quelques autres effets et quelques gadgets de cinéma que tu détesteras encore plus que ta tenue actuelle! ..... Aussi ferais-tu mieux d'afficher un grand sourire sur ta face de cul! ..... Promènes toi parmi les consommateurs, souris leur, sois gentille avec eux, et si l'un d'eux se plaint de toi, ça bardera pour ton matricule! ....."
- "Quand tu les auras bien chauffés, je t'emmènerai au fond du hall dans une pièce plus intime où tu poseras pour des amateurs de photos érotiques....... Tu prendras toutes les poses qu'ils te demanderont de prendre... Au bout de cinq minutes une cloche sonnera sonnerie, tu enlèveras alors ton chemisier...... 10 minutes plus tard nouvelle cloche, tu ôteras ta jupe...... Puis ton soutien-gorge..... Puis ta petite culotte..... Et tu poseras alors juste vêtue de tes bas pendant 20 minutes... Toutes les poses qu'ils réclameront! ...... Je ne veux pas recevoir de plaintes! ..... As-tu des questions? ....."
J'étais si profondément choquée que je frissonnais, puis, d'une voix tremblotante, je posais la seule question qui me vint à l'esprit :
- "Que dois-je faire s'ils veulent me toucher? ....."
Il sourit et rétorqua hilare :
- "Ils peuvent te toucher s'ils le veulent, la seule chose qui leur est interdite c'est d'avoir des rapports sexuels avec toi, ils devront payer un extra pour te baiser! ....."
Je frémis de peur et de dégoût et le visage entre les mains je me remis à pleurer.
Tom me saisit brutalement par les cheveux et m'intima :
- "Y'en a marre maintenant... Il est temps que tu arbores un grand sourire et que tu ailles les allumer comme tu m'as allumé la nuit dernière! ....".
Il m'essuya les yeux dans le revers de sa chemise et nous quittâmes ce vestiaire.
- "Attendez! .... " m'écriais-je soudain.
- "J'ai une autre question...... Que feront-ils de leurs photos? .... Oh mon Dieu..... Et si quelqu'un que je connais les voit! ..... Elles pourraient tout aussi bien se retrouver sur Internet! ...."
Le colosse noir sourit et me répondit :
- "Ça peut effectivement arriver, et maintenant souris bordel de Dieu! ....."
J'essayais, je savais que cela tenait plus de la grimace que du sourire, en fait ils n'étaient pas satisfaits, le gros noir faisait grise mine il m'apostropha :
- "Tu peux faire mieux petite pute stupide! ....."
Ils m'entraînèrent dans la salle du devant et me poussèrent vers la douzaine d'hommes qui se promenaient en regardent les photos de femmes nues accrochées au mur.
Il attira alors leur attention et annonça :
- "Messieurs, notre nouveau modèle, la petite Kim.... C'est sa première expérience... Elle est trop intimidée pour pouvoir dire un mot..... Reluquais la bien, et si cela vous intéresse, elle posera pour vous dans quelques minutes.... Vous pouvez lui poser vos questions! ...."
Les hommes grouillaient autour de moi.
Au début ils ne me touchaient pas, ils me regardaient comme une sucrerie qu'ils aimeraient savourer, ils avaient tous la soixantaine et ils me reluquaient comme de jeunes ados de 18 ans.
La plupart semblaient plutôt bienveillants, il m'apparut soudain que c'était certainement leur seule chance de voir une jeune femme entièrement nue.
L'un d'eux, le plus vieux je pense me demanda :
- "Quel âge avez-vous, ma chérie? ...."
- "21 ans... " répondis-je d'une voix tremblante.
- "Vous semblez apeurée..." constata l'un autre.
- "Avez-vous peur de nous? ...."
Je frissonnais et avouais :
- "C'est la première fois que..... Je suis horriblement nerveuse! ...."
Un autre remarqua mon alliance et s'enquit :
- "Votre mari sait-il ce que vous faites? ...."
Je rougis encore plus et secouais la tête;
- "Etes vous une prostituée? ..." ajouta-t-il d'une voix douce.
Je m'exclamais que non.
Il n'était pas satisfait de ma réponse et insista :
- "Alors que faites-vous ici? .... Est-ce parce que vous aimez vous montrer nue en public? ...."
Je ne savais pas quoi lui répondre, je jetais un œil éperdu sur Tom qui se tenait prêt de moi et savourait jovialement ma gêne.
Tom prit alors la parole et précisa :
- "J'ai amené ici cette allumeuse pour lui donner une bonne leçon! ...... Je déteste les allumeuses! ...... Elle avait besoin d'une bonne leçon! ....."
Tous mes admirateurs semblaient penser que c'était là une excellente raison.
Comme je me tenais entourée par ces amateurs de chair fraîche, d'autres arrivèrent et, après m'avoir reluquée sous tous les angles, ils discutaient avec le colosse noir et lui donnaient une somme d'argent.
Lorsqu'il fut satisfait du nombre de clients il intervint :
- "Allez messieurs, le show va débuter, vous connaissez tous les règles! ...."
Ils hochèrent la tête en marmottant entre leurs dents, aussi le colosse s'avança, me prit le bras et invita les amateurs à nous suivre :
- "Messieurs, si vous voulez nous suivre! ...."
On redescendit tout le grand hall pour gagner une pièce figurant une petite salle de classe d'un coté, une chambre à coucher de l'autre.
Entre les deux était dressée une petite scène, habillée d'une couverture de fausse fourrure, à une quarantaine de centimètres du sol.
Il m'emmena dans l'aire scolaire puis il se recula et invita mes clients :
- "C'est bon messieurs, ce sera à vous dès que la cloche tintera! ....."
Et il se retira du chemin. Je jetais nerveusement un coup d'œil circulaire, je remarquais alors que les cloisons ne montaient pas jusqu'au plafond, je notais aussi que Rory regardait par-dessus la cloison et filmait la scène avec sa foutue caméra digitale.
Les autres, Harry, Tom, John et Steve se tenaient au fond de la pièce, il était évident qu'ils étaient ravis, il était tout aussi évident que ce spectacle les excitait.
La cloche sonna alors et je vis la quinzaine d'hommes me lorgner en me suggérant des poses.
L'un d'eux m'intima de m'asseoir derrière le petit bureau d'écolière et ils formèrent un demi-cercle autour de moi, ils m'ordonnèrent rapidement d'écarter les cuisses de plus en plus grandes.
Lorsqu'ils eurent tous pris leur comptant de photos de ma petite culotte, je dus me relever et me pencher en avant, mains touchant le sol.
La courte jupe que je portais était remontée en haut de mes reins et je suppose, que du fait de ma position, plus de la moitié de mon cul était offert à leurs regards.
Je dus garder cette position humiliante quelques minutes, puis je me postais derrière le bureau de la maîtresse d'école.
Ils ne me dirent quelles poses adopter cette fois, deux d'entre eux s'assirent sur le bureau me saisirent les jambes et les positionnèrent avec les talons sur le rebord du bureau exhibant à nouveau ma petite culotte.
Il me sembla pourtant que les rectifications de ma position entraînèrent beaucoup de frôlements et de caresses sur mes cuisses, ils remontèrent ma jupe jusqu'à la taille, me disposant à leur entière convenance.
Je baissais les yeux, et atterrée, je constatais qu'une large tache plus sombre auréolait le fond de ma petite culotte, ma chatte était trempée! ....
Pourtant j'étais certaine que non. Je ne pouvais pas me sentir excitée par ce qu'on m'obligeait de faire! ....
Cette idée me terrifiait! .....
Lorsque tous les clients eurent pris leurs photos, je remarquais d'ailleurs que ravis, ils prenaient tous de nombreuses photos, ils me remirent debout et me positionnèrent à quatre pattes sur le bureau, tête penchée vers le bas.
Ils se rassemblèrent autour de moi et prirent de nouvelles photos toutes aussi humiliantes que les premières.
Puis la cloche sonna.
Ils se mirent à deux pour m'aider à me relever et ils me regardèrent tous avec avidité déboutonner et enlever mon chemisier.
Je me rendis tout de suite compte que mes mamelons dardaient, on les distinguait clairement au travers de la dentelle de mon soutien-gorge.
Ils émirent un tas de commentaires tous aussi salaces, concernant l'excitation que traduisait mes tétons raidis et érigés.
Je repris les poses qu'ils me réclamaient. Je mettais les mains sur ma nuque, tirais mes épaules en arrière, et tendais la poitrine pour une série de photos obscènes.
Puis je bouclais mes mains dans mon dos et cabrais mes miches.
L'un d'eux se plaça sur le coté du bureau se saisit de mes chevilles pour lever ma jambe sur l'arête du bureau. Ma jupe remonta sur mes cuisses, ils prirent de nouvelles photos.
Ils prirent encore de nombreuses photos chacun en profitant pour me frôler en me faisant adopter des poses lascives avant que la cloche ne tinte à nouveau, cette fois je me dépouillais de ma jupe.
Cette fois le plus vieux, celui qui avait une bonne soixantaine d'années et qui semblait s'être chargé de la direction des opérations, décida de m'installer sur la petite estrade, mains sur les fesses.
Je dus m'allonger sur la fourrure sur le rebord de l'estrade, et ils me firent prendre différentes poses toutes aussi lubriques.
Les choses ne tardèrent pas à s'emballer au son de la cloche, j'enlevais mon soutien-gorge..
Ils étaient beaucoup à me toucher alors qu'ils m'entouraient, ils en profitèrent tous pour peloter mes nibards et étirer mes mamelons.
Beaucoup de photos devaient les représenter m'empaumant les nichons ou titillant mes tétons.
Lorsque la cloche résonna de nouveau, ils me remirent sur mes pieds et deux hommes se chargèrent de m'ôter ma petite culotte.
Ils se postèrent de chaque coté de moi, le reste de la bande prit cliché sur cliché alors qu'ils roulaient ma petite culotte sur mes cuisses.
Les photos devenaient de plus en plus pornographiques maintenant, ils me positionnèrent allongée sur le dos, je dus écarter mes cuisses en grand et d'ouvrir ma foufoune pour le plaisir de leurs yeux.
Ils prirent beaucoup de photos avec des doigts fourrés dans mon intimité.
Puis je dus me mettre à quatre pattes et cambrer les fesses tandis que je les écartais à deux mains alors qu'ils s'installaient avec leurs appareils photos et leurs caméras dans mon dos.
Je dus rester de longs moments dans cette position infamante alors que de rudes mains exploraient mes charmes offerts à leur convoitise.
C'était horrible, de ma vie je ne m'étais jamais sentie aussi dégradée! .....
Et le pire advint lorsqu'ils commencèrent à plaisanter à plaisanter des suintements de cyprine qui s'écoulaient de ma chatte, traduisant mon émoi.
Les 20 dernières minutes me semblèrent durer des heures.
En fin de séance, des hommes, à la demande de la foule des amateurs, posèrent avec moi, simulant des rapports sexuels alors que les spectateurs riaient de mes émois en me traitant des noms les plus vulgaires.
Mon corps entier était exposé, photographié et manipulé par des étrangers, le tout étant d'ailleurs filmé en détail.
La dernière cloche sonna enfin, et les amateurs de mes charmes remisèrent appareils photos et caméras, le colosse noir revint alors que Tom et Steve me relevaient.
Le gigantesque noir discutait avec la foule des amateurs qui venaient de passer une heure pleine à photographier mes charmes, il m'attrapa alors et me jeta rudement sur le lit dans le coin le plus éloigné de la salle.
Avant que je réalise quoi que ce soit, deux des hommes grimpèrent sur le lit et se débarrassèrent de leurs caleçons, les flashs crépitaient.
L'un d'entre eux s'installa derrière moi malgré mes cris il bourra sa grosse bite dans ma petite chatte en me tenant aux hanches et il commença à me labourer avec violence.
L'autre se posta face à moi et enfourna sa grosse mentule dans ma bouche.
Les spectateurs étaient ravis, ils tournaient autour de nous prenant des centaines de clichés de mon asservissement, sous tous les angles
Au début je me débattais, mais cela ne troubla pas mes deux violeurs.
Celui qui ma baisait en bouche éjacula le premier, il se retira une fois qu'il m'eut empli la bouche de sa chaude semence et me tint la tête en l'air en me tirant les cheveux en arrière afin que chacun puisse photographier ma bouche pleine de sperme.
Puis il baissa son regard sur moi et commanda cruellement :
- "Avale tout salope, allez ma petite pute savoure mon foutre, tu vas te régaler! ...."
Je pleurais à chaudes larmes, personne dans l'assistance ne se souciait de mes pleurs.
Pas un de ces salauds ne me montra une once de sympathie.
Ils savaient tous que j'étais ici contre ma volonté, Tom les en avait informé au tout début de la séance, je suppose que le fait que je puisse leur refuser quoi que ce soit ne les avait même pas effleurés! .....
Lorsque celui qui me baisait se vida les couilles dans ma foufoune, ils me laissèrent tranquilles et descendirent du lit.
Je cachais mon visage dans mes mains et je pleurais, je pensais que mon épreuve était terminée.
Je suis une vraie blonde en fait! .....
Le lit bougea à nouveau et deux nouveaux amateurs me rejoignirent au centre du lit.
Les caméras tournaient toujours, ils reprirent là où les autres m'avaient abandonné.
Puis ce fut au tour de deux autres, et deux autres.....
Je ne crois qu'ils me possédèrent tous, certains ne faisaient que prendre des photos, mais la plupart me sautèrent dans ce lit pouilleux.
Lorsque les consommateurs en eurent finis avec moi, Rory me rejoignit et prit quelques images de mon corps couvert de foutre.
Une fois la foule sortie de la pièce, le colosse noir revint, descendit son pantalon et son caleçon, je m'agenouillais et enfournais servilement son épaisse bite à pleine bouche.
Il me baisa en bouche violemment pendant plusieurs minutes alors que Rory prenait de nouveaux clichés de ma dégradation, puis il me fit lever et me pencha sur le lit, et enfouit sa grosse bite dans ma chatte détrempée, douloureuse.
Il avait, et de loin la plus grosse boite que j'avais du endurer cet après-midi, il me faisait vraiment mal.
Je criais tandis qu'il se servait de sa bite comme d'une arme qui me pourfendait au plus profond de mon corps, et lorsqu'enfin il cracha son venin, il me fit remettre à genoux et je dus nettoyer méticuleusement sa grosse bite avec ma langue.
Il en finit rapidement et me laissa me relever, puis il me saisit par le bras et me traîna dans la salle de bain et me poussa dans une cabine de douche.
Je ne sais pas pourquoi il se montrait aussi violent, on aurait dit qu'il me punissait d'être leur victime.
Il tendit la main et ouvrit en grand le robinet, un jet d'eau froide jaillit du pommeau, je hurlais et cherchais à fuir à quatre pattes, il se contenta de sourire et me retint sous la douche, j'étais couverte du sperme qu'une douzaine d'hommes avait éjaculé sur mon corps.
Finalement l'eau se réchauffa et je cessais de me débattre.
Je restais sous le jet jambes grandes écartées, des torrents de foutre s'écoulaient de mon corps et de ma foufoune se perdant dans le siphon.
Le colosse noir me regardait amusé, il dit soudain :
- "Je pourrais me faire pas mal de fric en vendant ton petit cul! .... Je vais en parler avec ton petit ami afin qu'il te ramène ici assez souvent! ...."
Je grognais de désespoir à l'idée de devoir recommencer de telles séances de pose, il vit mon anxiété se peindre sur mon visage et me confirma :
- "J'en serai d'autant plus heureux que tu as l'air de détester cela... Certaines idées me viennent à l'esprit.....
Je pourrais mettre en place des séances spéciales avec toi! ..... Mes clients avaient l'air ravi de ta prestation! ...."
Finalement lorsque je fus lavée de toute trace, il ferma le robinet et me tira à l'extérieur, trempée de la tête aux pieds.
Tom et ses amis m'attendaient dans la pièce de devant, entourés par une bonne masse de consommateurs enthousiastes.
Tom me tendit la chemise que je portais en arrivant, je l'enfilais avec reconnaissance.
Elle fut immédiatement trempée, mes nibards et ma chatoune étaient tout aussi visibles que si j'étais nue.
Les potes de Tom en avaient marre, le colosse noir tendit une liasse de billets à Tom et le remercia :
- "Une bonne prestation pour une première séance..... Ramène là rapidement...... On pourra se faire pas mal de fric avec son cul! ...."
Ils me tirèrent à l'extérieur et on se tint quelques minutes devant la voiture.
Ils décidèrent enfin de quitter les lieux, et d'aller vider une bière dans un bar tout proche.
On marcha jusqu'au bar en question, fendant la foule des promeneurs. Un géant noir me regarda attentivement vêtue de ma chemise trempée et me sourit en hochant la tête.
Nous sommes entrés et nous nous sommes assis, je n'avais pas réalisé que nous étions dans une boite à strip-tease.
Cependant les photos qui ornaient le hall d'entrée auraient du m'alerter, de même que la tenue des serveuses qui ne portaient que des petites culotte noires.
Je ne le compris qu'alors que retentissait une musique lascive une jeune femme débarqua sur la scène et se mit à danser uniquement vêtue d'un bikini microscopique et de jarretières
De toute manière elle ne le garda pas très longtemps. Une paire de minutes plus tard elle dansait entièrement nue, les regards concupiscents que lui jetaient les consommateurs me rendaient malade et cette façon qu'ils avaient de s'approcher de la scène pour glisser des billets de banque dans ses jarretières, frôlant à chaque fois ses appâts, s'attardant quelques instants sur sa chatte.
Elle arborait un sourire figé, j'avais l'impression qu'elle était à peine consciente de ses actes.
Je ne veux pas dire par-là qu'elle semblait droguée, bien qu'elle puisse l'être, je pensais simplement qu'elle dansait machinalement en pensant aux traites pour payer sa voiture et à d'autres choses du même tonneau.
Elle ne semblait pas aimer son boulot, les spectateurs semblaient s'en foutre totalement, ils voulaient seulement la voir évoluer nue, qu'elle en soit contente ou non leur importait peu.
Mes accompagnateurs sirotèrent leurs canettes de bière, j'avalais la mienne cherchant désespérément à estomper le goût du sperme qui imprégnait mes lèvres, ma bouche et ma gorge.
Nombreuses étaient les bites qui s'étaient engouffrées dans mon arrière-gorge, ma gorge était si douloureuse que j'avais du mal à m'exprimer clairement.
Ce n'était pas u grand problème en fait, je n'avais rien à dire à mes voisins, ça n'aurait fait que les amuser, de ce fait je n'avais aucune raison de leur adresser la parole.
Lorsque j'eus fini ma bière, Tom se leva et alla m'en chercher une autre.
Je la sirotais plus lentement, ils avaient leurs yeux braqués sur moi, ils parlaient entre eux à voix basse.
La musique était trop forte pour tenir une discussion élaborée.
Je finis ma bière et restais assise attendant de voir comment ils avaient décidé de m'humilier cette fois-ci.
Ils vidèrent aussi leurs verres et Tom commanda une nouvelle tournée, il paya avec l'argent obtenu en vendant mes charmes aux clients de la salle de pose.
A la fin de la séance de strip-tease, la musique baissa et les conversations purent reprendre autour de la table.
Tom me demanda si j'avais aimé poser pour ces vicelards, je lui retournais un regard haineux.
Il rit aux éclats et poursuivit :
- "J'ai drogué ton second verre de bière, la dose n'est pas aussi forte que la nuit dernière, ainsi tu n'oublieras rien cette fois! .... Ça va juste te désinhiber, cependant cette drogue a un effet cumulatif, c'est pourquoi je dois me montrer prudent quant aux doses que tu absorbes... Je ne voudrai pas que le désir te tenaille à chaque instant, faisant de toi la pire des traînées en manque de sexe, au contraire, je veux que tu détestes chaque instant que tu vas vivre...... Si tu te mettais à aimer ce qu'on te fait faire, cela perdrait beaucoup de son intérêt... J'ai programmé une nouvelle expérience et je veux que tu paraisses éveillée, consentante et participante sur le film que l'on va tourner, juste au cas où on déciderait d'en voyer la cassette à ton mari la-bas en Irak... Cela le distrairait sûrement, un bon fil porno à se mettre sous la dent! ....."
Je sentais que déjà la drogue agissait, elle se répandait dans tout mon corps, mes tétons durcissaient, ma chatte s'humidifiait, je sentais les envies de lucre monter en moi.
Je lui demandais :
- "De quoi s'agit-il? ..... Quelle sorte de drogue m'as-tu fait prendre? ....."
Il me sourit et rétorqua :
- "Rien que tu puisses trouver en pharmacie, c'est un cocktail de différents produits, d"herbes et d'hormones mâles qui se combinent pour donner un très puissant aphrodisiaque doublé d'un désinhibant de poids..... Si je double la dose tu te retrouveras dans le même état que la nuit dernière... Tu te comporteras comme une nymphomane prête à tout pour se faire baiser dans toutes les positions et les combinaisons possibles, en solo, par deux, par trois, et même plus! ...... Mais tu aurais tout oublié le lendemain! ...... Avec une dose simple, tu vas juste devenir assez chaude pour ne pouvoir dire non à personne, même si tu le voulais, mais comme tu ne le voudras pas! ...... Si je te faisais prendre cette drogue sur une longue période de temps, cela finirait par avoir un effet permanent... Je ne le désira pas pour l'instant! ..... Je veux que tu haïsses chaque instant que tu vas vivre! ..... Et maintenant vide ton verre..... Il est temps de quitter le bar! .... Tu sens l'effet de la drogue monter en toi, n'est ce pas? ...."
C'était vrai, de toute ma vie je n'avais jamais eu autant me faire emplir par une grosse bite! ....
Sauf la nuit dernière, à en juger la cassette que j'avais visionné ce matin même! ..... Bien que je ne me rappelle de rien.
Cependant cette fois j'étais pleinement conscience de la situation, mon humiliation montait au même rythme que mon envie de me faire ramoner! ....
J'avalais ma bière ma bière et nous sommes partis.
Nous n'avalons pas monté dans la voiture, ils m'emmenèrent vers un bâtiment proche qui avait pour tout signe extérieur une enseigne néon sur la porte indiquant : "Ouvert".
Nous pénétrâmes à l'intérieur, sur la porte suivante une pancarte indiquait que seuls les majeurs pouvaient entrer si la nudité ne les effrayait pas.
Nous passâmes cette nouvelle porte et je me retrouvais dans une salle dont je n'aurai jamais imaginé l'existence.
Je savais que cela existait, j'en avais déjà vaguement entendu parler, on aurait pu désigner cet endroit sous le nom de paradis du sexe pour adultes.
Partout où se portaient mes yeux ce n'était que posters de femmes entièrement nues dans les poses les plus obscènes que l'on puisse concevoir.
Le long des murs se trouvaient des étagères pleines de gadgets sexuels de toutes sortes.
Je voyais un tas de choses dont j'ignorais même l'existence et l'utilité, hormis le fait qu'indéniablement il s'agissait de dispositifs sexuels.
On y trouvait des films pornos, des livres, des magazines, j'étais si choquée par ce spectacle que je n'avais pas encore remarqué la mine des hommes.
Ils étaient une douzaine environ, de toutes couleurs et de tous âges.
Ils semblaient tous chercher des articles à acheter, et en fait c'est ce qu'ils faisaient jusqu'à mon arrivée.
Et maintenant ils me lorgnaient tous avec concupiscence dans ma petite chemise ouverte sur mes nibards.
Ils me reluquaient des pieds à la tête alors que mes maîtres me faisaient faire le tour de la boutique reluquant les posters cloués aux murs.
Ils prenaient grand plaisir à me désigner des images de femmes se faisant baiser par des groupes d'hommes ou d'autres ligotées étroitement et fouettées.
Ils me montrèrent plusieurs magazines de femmes baisant avec des femmes et me demandèrent si j'avais déjà goûté au minou d'une autre femme.
Bien entendu, je n'avais jamais fait cela et je me pressais de le leur répondre.
Tom me montra un film concernant une femme se faisant partouser par 25 colosses noirs, et commenta :
- "Je parie que tu pourrais facilement battre ce record! ...."
Je frissonnais de révulsion, mes mes tétons étaient raides comme la justice et ma chatoune traversée par des ondes d'excitation, et si j'avais eu l'occasion à cet instant même de me faire sauter, cela aurait été avec joie.
La drogue m'excitait tant que je devais me forcer pour ne pas empoigner ma foufoune à pleines mains! .....
Je sentais que je devais me branler rapidement pour calmer mes envies grandissantes.
Il m'entraîna vers les étagères couvertes de fringues
C'était le genre de tenues que les maris offrent à leurs femmes pour la saint Valentin.
Le typique fantasme masculin. La plupart éteint transparents, ils inspectèrent les tenues et en saisirent quelques-unes unes.
Tom appela l'employé qui se tenait derrière le comptoir il lui demanda s'il était d'accord pour que j'essaie quelques articles.
- "C'est d'accord, mais les petites culottes essayées seront considérées comme vendues! ...."
Tom attrapa ma chemise et me la fit passer au-dessus de la tête. Puis il me tendit un minuscule cache sexe avec quelque chose d'inscrit sur le triangle de dessus couvrant le pubis.
Je lui fus tout d'abord reconnaissante de me donner de quoi couvrir mon sexe, jusqu'au moment ou je lus l'inscription, il était marqué : "baisez-moi bien! ..."
Les hommes qui m'entouraient éclatèrent de rire, il était évident qu'ils approuvaient cette sentence.
Tom m'abandonna porteuse du léger sous-vêtement, se dirigea à nouveau vers les étagères et revint avec ce qui de prime abord me parut être un pagne.
Il était formé d'une bande élastique, l'avant et à l'arrière étaient constitués de morceaux de tissu transparents.
Il existait un intervalle d'au moins 10 centimètres entre chaque pan sur les hanches.
Les pans de tissu me couvraient tout juste le pubis et les fesses, tout au moins tant que je restais immobile.
Les commentaires des spectateurs fleurissaient et certains d'entre eux demandaient combien je réclamais pour me faire sauter.
La drogue avait plein effet maintenant et j'étais folle d'envie d'être possédée par de grosses bites.
J'avais besoin de sentir une épaisse mentule enfouie dans mon intimité.
Si on ne me baisait pas rapidement j'allais être obligée de me branler devant tous ces hommes, et j'étais suffisamment lucide pour que cette solution me désespère.
Tom m'entraîna loin du comptoir, mais comme nous passions devant les gadgets sexuels accrochés au mur il stoppa, tendit la main et saisit une paire de laisses de cuir avec une chaînette d'une trentaine de centimètres et un collier clouté de cuir noir.
Nous gagnâmes la caisse et Tom paya les achats avec mes gains antérieurs, puis il posa le collier autour de mon cou et y accrocha la laisse, la chaîne courant dans mon dos.
Ils m'emmenèrent alors vers une porte dans le mur du fond qui donnait sur une salle de la taille de mon salon.
Le centre de la pièce était vide mais le long des murs se trouvaient de vieux lits de camps souillés et quelques chaises branlantes.
La différence majeure entre cette pièce et ma salle de séjour c'est qu'on y trouvait un grand écran qui projetait un film. Je connaissais pas le titre de ce film, je voyais seulement une grosse bite noire qui labourait sauvagement une chatte blonde fort large, on ne voyait que les organes génitaux des protagonistes en gros plans.
Les sons de couple baisant à couilles rabattues m'emplissaient les oreilles excitant mes sens, la drogue absorbée faisait que je désespérais maintenant de me faire baiser rapidement.
Je n'avais pourtant pas à me tracasser, c'est bien pour ça que j'avais été menée dans cette salle.
Tom me passa dessus le premier.
Il repoussa ma courte brassière au-dessus de ma tête la laissant retomber dans mon dos puis pendre sur mes poignets.
Puis il me força à m'agenouiller dans une mare de foutre qui couvrait le sol.
Il enfouit de force sa grosse mentule dans ma bouche s'enfonçant dans mon arrière gorge à grands renforts de violents coups de boutoirs.
Les hommes qui se trouvaient déjà dans la salle lors de notre arrivée et ceux qui nous avaient suivis se rassemblèrent autour de nous, ils ignoraient tous le film maintenant, ils avaient les yeux rivés sur Tom qui me baisait en bouche, cela dura quelques minutes avant qu'il ne se retire, me penche vers l'avant se poste dans mon dos, et investisse ma petite chatte.
Dès que je sentis son chibre s'engouffrer dans ma foufoune embrasée, je hurlais l'encourageant de vive voix à me posséder sauvagement.
Il rit à pleines dents m’appelant sa petite pute et il se mit à me ramoner frénétiquement alors que Rory prenait sa place et enfournait sa bite démesurée dans ma bouche accueillante.
Tom et ses 4 copains me baisèrent chacun leur tour avant de me repasser au reste des amateurs, Rory filmait de plus belle alors qu'ils se mettaient en ligne pour disposer de l'un de mes trois orifices.
Je n'ai aucune idée du temps que dura cette séance, mais ma gorge et ma chatte étaient douloureux et pourtant j'aurai voulu que cela continue éternellement.
Quelques-uns uns m'enculèrent, mais même cela me faisait jouir.
Tout au début, alors que Tom et ses 4 potes venaient de me sauter, il y avait à peu prêt une douzaine d'amateurs dans la pièce.
Je m'étais déjà fait sauter par une douzaine d'hommes au club photo, cependant cela ne me suffisait pas, droguée comme je l'étais j'aurai encore voulu d'autres bites dans mes trois trous échauffés.
Nous sommes restés là pendant des heures, des clients venus de l'extérieur nous rejoignirent.
Je ne saurai dire combien hommes ont abusé de mes charmes cet après-midi, j'avais avalé une dose phénoménale de sperme alors qu'ils s'étaient succédés dans ma bouche et ma gorge.
Le foutre qu'ils m'avaient injecté dans la chatoune et le trou du cul ruisselait le long de mes jambes.
Beaucoup d'entre eux, sur le point de jouir se retiraient du trou dont ils se servaient pour éjaculer à longs jets crémeux sur mon corps, de ce fait, au bout d'un moment ils ne voulurent plus me toucher tant j'étais couverte de leur grasse semence, j'en avais partout, sur le visage, les seins, les cuisses, les cheveux! ......
Je ne sais pas si l'effet des drogues avait diminué ou si tout simplement j'avais eu mon compte de grosses bites, mais le temps qu'ils me disent de quitter la pièce, je ne ressentais plus l'impérieux besoin de me faire sauter.
Mon corps entier était douloureux, je demeurais nue étendue sur le sol, j'étais si couverte de foutre que personne ne me touchait plus.
Tom m'entraîna dans les toilettes pour hommes, les hommes qui s'y trouvaient explosèrent de rire à ma vue, je pensais avoir touché le fond, une fois de plus je me trompais dramatiquement.
Tom m'ordonna de m'allonger dans le grand bassin d'aluminium qui servait d'urinoir, il mesurait environ deux mètres de long, un ruisselet coulait au centre, il puait la pisse, c'était réellement répugnant.
Je levais les yeux sur Tom, secouais la tête et fis un pas en arrière, je réalisais alors que je n'avais nulle endroit où me réfugier.
Mes mains étaient attachées dans mon dos, je ne pourrai même pas ouvrir la porte des toilettes.
Tom se fâcha alors :
- "Je t'ai prévenue de ne pas me décevoir salope! ..... Je ne te répéterai pas mon ordre! ...... Si je dois t'allonger moi-même dans le bassin, dis le tout de suite, mais tu le regretteras amèrement! ......"
Je pleurais à chaudes larmes à cet instant, je pleurais tant que je ne pouvais voir que Rory filmait attentivement la scène.
Je m'approchais lentement du bassin, levais une jambe et posais le pied dans l'eau froide, puis je tentais de me résoudre à lui complaire en dépit de mes hauts le cœur.
Finalement je m'allongeais dans le bassin.
Une fois que je fus allongée, les spectateurs s'approchèrent de l'urinoir et pissèrent en chœur sur mes appâts, chassant l'épaisse couche de foutre qui amidonnait mes cheveux, mon visage, mes nibards, mon entrecuisse et mes cuisses! .....
Ce faisant, ils accompagnaient leurs gestes d'horribles propos licencieux, certains allèrent même jusqu'à cracher sur mon corps pantelant.
Je ne pouvais que sangloter misérablement.
Ils ne me laissèrent tranquilles qu'après un très long moment, ils défilaient pour me pisser dessus puis reculaient pour regarder d'autres amateurs les imiter.
Le foutre qui me couvrait initialement avait disparu, mais cette fois j'étais couverte de pisse.
Je ne parvenais pas à croire qu'il pourrait m'emmener ailleurs dans cet état.
Lorsqu'ils en eurent finis, Tom offrit une pipe à celui qui m'aiderait à me relever.
Il n'y eut pas de volontaire, aussi Tom m'ordonna-t-il de me relever toute seule.
Je parvins avec de grosses difficultés à m'agenouiller ce qui me permit de m'extraire de l'ignoble urinoir.
Je m'effondrais sur le sol, Tom m'intima de rester là où je me trouvais.
Il sortit et revint quelques minutes plus tard et m'ordonna de le suivre.
Je traversais une porte et me retrouvais dans l'arrière cour, il ouvrit alors un robinet et m'arrosa avec un jet d'eau froide.
Il le pinçait pour m'asperger de gouttes d'eau puis introduisit le bout du tuyau dans mes orifices, ils explosèrent de rire à la vue du flot de foutre qui s'écoula de ma chatte et de mon trou du cul! .....
Lorsqu'il en eut terminé, il ne restait plus de foutre que dans mes cheveux, mais pour le reste j'étais aussi propre que si je sortais d'une bonne douche bien chaude.
Il s'arrêta dans le magasin et m'acheta une nouvelle brassière, mais il ne me la donna pas.
Il posa sa chemise sur mes épaules et la boutonna juste suffisamment pour que je ne la perde pas.
Puis nous retournâmes à la voiture.
Les gars assis sur le siège arrière n'étaient plus aussi impatient de me faire asseoir entre eux, personne ne me tourmenta alors que nous regagnions le bercail de Tom.
Une fois à demeure, sur le parking, mon apparence attira l'attention des chalands qui se promenaient dans le parking.
Je me rendis tout droit dans la salle de bain, Tom me poussa sous la douche et ouvrit le robinet d'eau.
L'eau s'écoula d'abord froide, mais je n'avais plus la force de me rebeller, j'étais brisée.
Il me fit tourner sur moi-même et déboucla mes menottes, puis jeta ma brassière souillée au sol, il m'intima alors de nettoyer mon corps ainsi que la brassière et les menottes.
Puis il m'abandonna sous la douche.
J'appuyais ma tête contre la paroi de la douche et me mit à pleurer hystériquement pendant un long moment avant de me savonner des pieds à la tête et de me rincer à grande eau.
Je remarquai qu'en dépit des flots de foutre qui s'étaient écoulés de mon corps alors qu'on me douchait au tuyau une bonne heure plus tôt, il en s'échappait encore plus de ma chatte et de mon trou du cul douloureux.
Je frémis de révulsion à la pensée du nombre de bites qui s'étaient vidées dans ma chatte et mon trou du cul au cours de cette horrible journée, je n'avais absolument aucune idée de leur nombre, tout ce que je savais c'est qu'il y avait une bonne cinquantaine d'hommes qui m'avaient sautée dans les deux locaux où ils m'avaient prostituée.
Hier encore je n'avais appartenu qu'à deux hommes et maintenant, bien que cela paraisse incroyable, une bonne cinquantaine d'hommes avait profité de mes charmes les plus intimes.
J'étais courbaturée, j'avais mal dans tout mon corps, et je savais que ce n'était pas fini pour autant.
L'eau coulait à nouveau froide lorsque je sortis de la douche pour me sécher. Je me brossais les dents avec les doigts et de la pâte dentifrice appartenant visiblement à Tom, ce n'est qu'après avoir insisté à trois reprises que je parvins à estomper le goût de foutre qui imprégnait ma bouche, bien que je ne sois pas parvenu, avec mes seuls doigts à curer tous les recoins de ma bouche et l'entrée de ma gorge.
Finalement je tordais la brassière qui jonchait le sol de la douche et je le pendais avec les menottes au rideau de douche avant de sortir de la salle de bain.
Je réintégrais discrètement le salon où seuls Tom et Rory m'attendaient.
J'espérais bien ne pas revoir les deux autres, mais indiscutablement Tom et Rory étaient les pires de la bande.
Tom me jeta un regard égrillard alors que je pénétrais dans la pièce et commenta ironiquement :
- "Bordel ma chérie, je commençais à craindre que tu te sois noyée! ....."
Je ne répondais pas, ce n'était pas nécessaire.
Je me tenais au centre de la pièce, immobile attendant ses ordres.
Il m'a jeté un œil puis m'a ordonné :
- "Viens t'asseoir à coté de moi, on va regarder un film....."
Je m'assis entre Rory et lui sur le canapé et ils mirent en route le lecteur de DVD.
Je ne fus pas autrement surprise en me voyant sur l'écran posant pour une foule de spectateurs, ils avaient enregistré beaucoup de rushs et Tom m'avait promis que j'aurai une bonne copie du montage définitif, plus tard.
Je me regardais poser avec de moins en moins de vêtements jusqu'à ce que je fus nue puis baisée par un ou deux hommes à la fois sur le lit et enfin lorsque je terminais la séance en appartenant au noir propriétaire des lieux.
C'était dégueulasse, mais moins que la suite cependant.
Je vis la différence dès que nous nous rendîmes au sex-shop.
Je voyais bien que j'sois droguée.
Je n'étais pas dans le cirage comme la veille au soir, mais la vue de la cassette me permettait de comprendre ce qui s'était passé.
Une fois de plus je participais activement à ma débauche, du début à la fin.
Je vis à que l'on m'embrochait, à nouveau, à deux à la fois, la plupart de ces hommes étaient laids et vieux, de toutes races et de tous types.
Il ne s'agissait en aucun cas de faire l'amour, mais bel et bien de se faire baiser à couilles rabattues, ils auraient tout aussi bien se servir d'une poupée gonflable.
Leur but principal semblait plus de m'humilier que de jouir de mes charmes.
Je cherchais à me couvrir les yeux lorsqu'ils me prirent couverte de sperme dans les toilettes pour hommes, ce spectacle me révulsait, ils m'ordonnèrent de regarder le film en dépit de mon dégoût patent.
Je dus me revoir m'allongeant dans le bassin servant d'urinoir puis ces hommes me pissant dessus pour débarrasser mon corps de l'épaisse couche de foutre qui le recouvrait. Je les voyais viser mon visage et ma chevelure alors que les uns après les autres ils se vidaient la vessie sur mon corps pantelant, se retirant ensuite pour regarder les suivants les imiter tout en se moquant de moi et en commentant le spectacle en termes salaces.
D'autres dirigeaient les jets de pisse sur son visage et ses organes génitaux, ils étaient toujours au moins une demi-douzaine à me pisser dessus de concert. Tout le revenait alors qu'ils m'obligeaient à visionner ce spectacle immonde.
Puis le spectacle se terminait sur l'ultime humiliation lorsque je me traînais hors de l'urinoir et sortais pour être nettoyée au robinet d'arrosage.
Lorsque le DVD se termina, Tom et Rory se levèrent en chœur et descendirent pantalons et caleçons, je dus les sucer tous deux en même temps.
Je me mettais à genoux et me postais entre les cuisses de Tom, il sourit et me dit :
- "Tu m'as vraiment épatée aujourd'hui! .... Je crois que tu vas parvenir à me vider les couilles si tu y mets tout ton cœur! .... Allez à toi! ...."
Mes mâchoires étaient douloureuses, j'étais crevée, mais je savais que si je protestais, il me le ferait amèrement regretter.
Je forçais mes lèvres à s'ouvrir et glissais son épaisse bite dans ma bouche l'enfournant jusqu'aux couilles! ....
Il soupira et reprit :
- "Bon Dieu ce que tu suces bien! ..... C'est excellent ma chérie! ..... Suce-moi bien..... Tu vas avoir ta dose de protéines! ...."
Je le travaillais de tout mon cœur, de toute mon habileté fraîchement apprise, oeuvrant des lèvres et de la langue, tout en lui caressant les boules de mes doigts agiles, après un long moment je le sentis enfin se tendre dans ma bouche, j'enfouissais mon visage dans ses poils pubiens tandis qu'il projetait de lourds jets crémeux de foutre chaud au fin fond de ma gorge.
Lorsqu'il me repoussa, je pris place entre les cuisses de Rory, j'en aurai pleuré.
Sa bite était en semi-érection, et j'étais épuisée! .....
J'entrepris de lui embrasser et lécher les burnes, sa queue commença à grossir et à se déployer.
Lorsqu'enfin il fut assez bandé, je l'embouchais servilement luttant pour l'accueillir dans mon arrière gorge.
Si l'on excepte la bite du colosse noir propriétaire du salon de photos sa queue était la plus grosse bite de toutes celles des violeurs qui m'avaient possédée à ce jour.
Il m'était très difficile de l'introduire dans mon arrière-gorge, j'étais véritablement bâillonnée, c'était extrêmement pénible.
Je m'occupais de sa queue avec autant de cœur que de celle de Tom, alors que je le suçais docilement, il tendit la main et attrapa mes nichons qu'il serra très fort.
Je gémissais de douleur, il se retourna sur Tom et lui concéda :
- "J'adore la manière dont sa gorge vibre lorsqu'on la torture un peu! ..... C'est très jouissif! ...."
Cela le réjouissait peut-être, mais cela n'empêcha pas mon épreuve de durer très longtemps.
Lorsque je les eus tous deux fait jouir une dernière fois, ils m'autorisèrent à enfiler la tenue que m'avait achetée Tom et de rentrer chez moi.
Je devais revenir le lendemain matin à 10 heures.
J'enfilais rapidement l'espèce de pagne et la seconde brassière qu'avait acheté Tom au sex-shop. Je jetais un œil sur ma tenue et vit une inscription inscrite sur le pagne, il était écrite en larges lettres noires : "Otez moi!."
J'enfilais mes sandalettes et attrapais mon sac à main.
Tom m'ordonna de revenir dans la même tenue le lendemain matin.
Je me ruais au dehors avant qu'ils ne changent d'idée, je me dirigeais vers la piscine pour récupérer le short et la brassière, mais je vis qu'un tas de monde se tenait autour de la piscine et je me refusais à me confronter à ces gens dévêtue d'une façon aussi provocante! .....
A suivre...
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