La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
La promotion de Christine.Le lendemain matin, Christine était nerveuse, ne sachant pas ce que son patron Francis MULLER prévoyait pour elle. Elle n'était pas assez stupide pour ne pas comprendre qu'elle serait encore utilisée sexuellement. Mais par qui et combien de fois elle ne le savait pas. Ce qui la rendait nerveuse.
Je lui dis avec un sourire narquois :
- Tu vas porter cette tenue aujourd'hui. Tu veux être sexy pour Francis n'est-ce pas?
Elle me regarda durement, me blâmant silencieusement de l'avoir mise dans cette position au travail. Mais j'étais ravi de la situation. Je pouvais réaliser mes fantasmes avec mon jouet. Elle me répondit :
- De toute façon, il va surement me licencier après m'avoir baisé une dernière fois.
Elle fit glisser sa culotte en dentelle blanche sur ses fesses. Le tissu était si fin qu'il cachait à peine la petite bande sombre de poils pubiens.
Ensuite elle mit ses bas et son porte-jarretelle ainsi qu'un soutien-gorge assorti. Ses mamelons ainsi que les aréoles sombres étaient bien visibles sous le vêtement.
Elle enfila une jupe étroite qui se terminait juste au-dessus du genou et un chemisier bleu qu'elle boutonna à partir du bas.
- Parfait. Lui dis-je alors qu'elle boutonnait le troisième bouton.
Elle s'arrêta, laissant son chemisier bailler sur un décolleté profond, exposant un soupçon de soutien-gorge.
Je la conduisis au travail. Lorsqu'elle s'apprêta à quitter la voiture, je lui dis de faire en sorte que la webcam soit allumée car je voulais tout voir. Puis je la regardai s'éloigner sur ses talons hauts, son cul sexy se balançant.
Etant rentré à la maison, j'allumai mon ordinateur. Il était 9 heures 30. Christine était assise à son bureau, triant des dossiers et tapant sur son ordinateur. Je décidai de lui téléphoner pour savoir si je n'avais rien manqué.
- Salope? dis-je quand elle répondit à la troisième sonnerie.
- Oui maître?
- Ai-je raté quelque chose?
- Non maître. Mais c'est bizarre, il n'y a personne au bureau aujourd'hui.
- Personne? tu es sure?
- Oui, il n'y a que moi.
- Ok. Je te rappellerai plus tard salope. Mais je surveille.
Je raccrochai avant qu'elle ne réponde. J'allai dans la cuisine afin de me préparer un petit déjeuner. Quand je retournai à mon ordinateur, Christine était au téléphone. Je posai ma tasse et augmentai le volume pour mieux entendre la conversation.
« Oui M. MULLER, je vous vois dans 10 minutes ».
Christine reposa le combiné, se leva rapidement et commença à enlever son chemisier.
Je l'appelai et lui demandai :
- Salope? que t'a dit Francis?
- Il m'a dit qu'il serait là dans 10 minutes et que je devais l'attendre en sous-vêtements au milieu du bureau Maître.
Elle jeta son chemisier sur le sol à côté de son bureau.
- Hé hé! je suis pressé de voir. Dis-je en raccrochant.
Après avoir posé le téléphone, ma belle-mère déboutonna sa jupe et l'enleva. Elle était magnifique dans ces sous-vêtements sexy. Son patron allait être impressionné.
Elle se tenait au milieu de la pièce, se déplaçant nerveusement d'un pied sur l'autre. Quatre minutes plus tard, la porte s'ouvrit brusquement sur Francis MULLER son boss. Il entra avec l'assurance d'un homme qui possède le monde. Christine, surprise, sauta en arrière.
Laissant la porte ouverte derrière lui, il se dirigea puis tourna autour de la femme. Il la regarda de haut en bas puis passa ses doigts sur ses seins, ses jambes, ses fesses, son ventre.
- Très bien Christine! Je suis content de voir que vous avez fait un effort ce matin. Cette lingerie met en valeur votre corps parfait.
Francis s'arrêta devant elle pour attraper les mamelons entre ses pouces et index. Puis il les pinça. Lorsque les tétons furent durs, il laissa glisser sa main sur la culotte et passa les doigts entre les jambes de Christine.
- Je peux sentir mouiller votre chatte.
Il retira sa main et alla s'asseoir sur la chaise en face de la femme. Après quelques minutes de silence, il dit :
- Voilà ce que je peux faire Christine. Je pourrais vous licencier pour faute grave ce qui signifie que vous n'aurez ni indemnité de licenciement ni recommandations. Je pourrais avertir tous les autres patrons d'entreprise de la région de votre faute. Plus personne ne vous embaucherais. Combien de temps allez-vous pouvoir vivre sur vos économies?
Un silence s'installa. Francis laissait Christine méditer sur ses propos. Puis sur un ton ferme et arrogant il ajouta :
- Ou alors, vous acceptez une nouvelle place au sein de l'entreprise. Votre salaire sera plus élevé et nous aurons un meilleur usage de vos compétences.
Il sourit tandis que Christine changea de pied d'appui. Ma belle-mère était déjà bien placée dans l'entreprise. Elle gagnait 50 000 euros par an et elle aurait trouvé facilement du travail dans les autres sociétés de la région. Mais Francis connaissait tous les dirigeants et elle le savait.
Elle devinait aussi que sa nouvelle position l'obligerait à être souvent baisée. Elle demanda :
- Quelle serait mon travail et combien gagnerai-je?
Un grand sourire éclaira le visage de son patron. Il se redressa puis recommença à tourner autour de la femme tout en lui caressant légèrement le ventre et les seins.
- Je pensais bien que vous n'étiez pas aussi stupide que vous êtes cochonne. Je vais vous expliquer votre nouveau rôle.
Il se rassit, laissant encore Christine debout dans ses sous-vêtements.
- Vous aurez un nouveau bureau au dernier étage. D'ailleurs il est en train d'être préparé. Vous arriverez dans des vêtements normaux mais portant des sous-vêtements fournis par moi. Une fois au dernier étage, vous retirerez vos habits, ne gardant que les sous-vêtements. D'accord?
Il attendit la réponse.
- D'accord. Fut tout ce que dit Christine.
- Votre nouveau bureau ne ressemblera à aucun autre bureau du bâtiment. Vous allez divertir les clients ou toute autre personne que je vous envoie. Disons que si j'ai besoin de conclure une affaire, vos compétences seront plus utiles à moi ou à la compagnie plutôt qu'à Marc DELAIN. Vous comprenez Christine?
Le patron sourit. J'étais heureux de la tournure que l'histoire prenait. Je vis ma belle-mère accepter d'être la pute de la société.
- Vous voulez que je sois la pute de l'entreprise M. MULLER? Demanda-t-elle alors qu'elle connaissait déjà la réponse.
- Je ne veux pas de ce nom. Ce n'est pas chic. Vous serez la « Faciliteuse de marchés ». Ça sonne plus important et plus professionnel, vous ne croyez pas?
Il rigola de sa bonne blague. Christine demanda :
- Ai-je vraiment le choix?
- Bien sûr. Je vous ai donné une première option tout à l'heure. Mais allez-vous garder votre salaire et les mêmes conditions de travail?
Christine resta silencieuse donc il continua :
- Votre salaire de base augmentera immédiatement de 50 000 euros l'an à 70 000 euros.
Je vis ma belle-mère écarquiller les yeux à l'idée de l'augmentation de salaire seulement pour des relations sexuelles.
- Ensuite, pour chaque transaction où vos compétences auront été nécessaires pour finaliser l'accord, vous obtiendrez 1% du bénéfice obtenu. Vous savez ce que ça représente?
La réponse ne vint pas, donc il poursuivit :
- A la minute où vous acceptez ce travail, vous n'obéissez qu'à moi et vous faites tout ce que je veux. On ne parle plus de congés annuels. Je vous donnerai beaucoup de temps libre mais vous devrez peut-être travailler tard le soir ou les week-ends si j'ai besoin de vos compétences.
Christine réfléchissait. Je savais que la somme d'argent proposée était extraordinaire. Elle était déjà ma pute. Deviendrait-elle maintenant la pute de la société aussi?
Je n'attendis pas longtemps avant de connaître la réponse. Elle dit :
- Je n'ai pas vraiment le choix.
Elle baissa la tête en se rendant compte que toutes ses années d'étude et de travail assidu ne représentaient plus rien à cause de moi, son gendre.
Avec un grand sourire sur le visage, Francis dit :
- Je suis content Christine. Maintenant je vais voir si vous avez bien compris. Nous allons faire un essai.
Il prit son téléphone portable dans la poche de son pantalon. Christine le regarda complètement paniquée. Même si elle avait accepté, elle était nerveuse à ce qui l'attendait.
Francis dit au téléphone :
- Hé Bruno! Comment ça va?
Je ne pus entendre la réponse. Mais Francis continua :
- Oui je comprends pour le prix, mais je me demande si vous ne pourriez pas faire un effort.
Il écouta la réponse puis rétorqua :
- Descendez au deuxième étage, puis vous tournez à gauche. Vous me trouverez dans le bureau au fond du couloir.
Christine demanda nerveusement :
- Que se passe-t-il Monsieur MULLER?
- Rappelez-vous que je veux vous faire faire un essai. Et puis 1% d'un contrat peut vous rapporter beaucoup.
- Quel contrat? questionna-t-elle.
- Bruno prépare votre nouveau bureau pour lundi matin lorsque vous prendrez votre promotion. Aujourd'hui est un essai.
Quelques minutes plus tard, on entendit au loin un claquement de porte, puis après une minute, une tête surgit de derrière la porte du bureau.
- Ah Bruno, vous avez trouvé. Je suis heureux que vous ayez pu nous rejoindre.
Francis s'était remis debout afin de serrer la main de l'entrepreneur qui entrait dans la pièce et qui avait immédiatement repéré Christine dans ses sous-vêtements.
- Eh bien, Que se passe-t-il? Vous ne changerez jamais Francis.
Bruno serra la main de M. MULLER puis se tourna vers ma belle-mère pour l'admirer.
Le peu d'échange entre eux me fit comprendre qu'ils se connaissaient très bien.
En se rapprochant de Christine, puis en marchant tout autour comme l'avait fait plus tôt le patron, l'entrepreneur questionna :
- Que me proposez-vous donc Francis?
Christine le regarda nerveusement, serra ses jambes, les bras tendus le long du corps. Son patron commença à parler du contrat en ignorant la femme debout à moitié nue au milieu de la pièce.
Celle-ci comprit qu'elle devrait s'y habituer, Francis décidant de son rôle au travail.
- Cher Bruno, vous êtes un vieil ami et vous allez obtenir ce que mes autres clients devront payer dix fois plus. Christine ici est notre nouvelle « Faciliteuse de marchés ». Donc elle facilitera tous vos besoins pour le contrat.
Francis rit et ajouta :
- Ça ne me dérange pas d'attendre à l'extérieur que le contrat soit conclu. Mais comme nous sommes de vieux copains et que Christine fait son premier essai, je souhaiterai voir si elle comprend son nouveau rôle.
- Vous me connaissez Francis, je ne suis pas timide. Vous pouvez rester et regarder.
Ce fut la réponse de Bruno qui rejoignit Francis en riant. Puis il dit :
- Ça ne me dérangerait pas que votre « Faciliteuse » me facilite une éjaculation.
L'entrepreneur déboucla son jean sale et le laissa tomber sur ses bottes de travail.
Les yeux de Bruno et Francis se tournèrent vers Christine qui avait l'ait très mal à l'aise. Au bout de trente secondes, ma belle-mère se résigna. Elle s'approcha de Bruno et tomba à genoux devant lui. Elle leva les yeux, attrapa l'élastique du caleçon et le baissa. Sa tête eut un mouvement de recul lorsque le sexe de l'entrepreneur sortit et rebondit sur son visage.
Francis s'était rassis et, avec l'air béat, regarda son employée, ex-directrice de département, soulever le membre et l'engouffrer dans sa bouche. Bruno gémit :
- Oh oui! Vous avez une belle suceuse Francis.
Il regarda son compagnon puis revint à Christine qui enfonçait sa bite au fond de sa gorge.
Sur mon écran d'ordinateur, j'estimai que le membre mesurait bien 18 centimètres. Il était assez épais et les couilles étaient grosses et velues. L'entrepreneur mesurait à peu près 1m80 et il était légèrement en surpoids. Mais il avait de grandes mains ainsi que des bras musclés, surement dus au travail. Je pensais qu'il avait une cinquantaine d'année surement même s'il avait l'air plus vieux avec des poils blancs autour du visage.
En ce moment même, son visage changeait d'expressions alors que sa bite se dressait vers le ciel. Christine dut se lever sur ses talons, si bien qu'elle dut écarter les jambes pour garder l'équilibre. Elle plaça également ses mains sur les fesses velues de l'homme afin de le tirer dans sa gorge.
- Quelle chienne! Quand elle suce une bite, elle ne le fait pas à moitié. Où l'avez-vous trouvé Francis? demanda l'entrepreneur au patron de la société qui arborait un énorme renflement dans son pantalon.
- Disons simplement que Christine est très douée pour apprendre.
Bruno retira son membre de la bouche de la femme et la remis sur ses pieds tout en disant :
- Maintenant que nous avons établi que vous savez faire une fellation, nous allons voir si votre chatte est aussi accueillante que votre bouche.
Il fit reculer Christine jusqu'à ce que son cul tape le bureau, puis il la leva pour l'allonger sur le meuble, les jambes écartées. Il tendit les mains pour baisser le soutien-gorge, permettant ainsi aux énormes seins de retomber.
- Quels seins magnifiques!
Bruno pinça les tétons de Christine qui gémit. Elle aimait que l'on maltraite ses mamelons. Ses gémissements incitèrent l'homme à s'occuper plus longuement de ses seins.
Puis il descendit sa main droite afin de frotter, avec ses doigts, à travers la culotte blanche, les plis charnus de la chatte de la femme.
- Elle est déjà complètement mouillée Francis. Vous avez trouvé là une sacrée affamée de sexe. Essayons d'en voir plus.
L'homme leva les deux jambes de Christine puis les poussa vers elle en lui disant de les tenir. Il glissa sa main sous les fesses afin d'attraper la culotte et pouvoir la retirer. Il avait maintenant l'accès libre à l'intimité de ma belle-mère.
Christine était bien sur le chemin d'une vie honteuse de salope. Je l'avais bien initiée.
Maintenant, l'ami de son patron était prêt à pénétrer son vagin humide avec sa grosse bite. Ce serait le cinquième homme qui utiliserait sa chatte longuement négligée dans son mariage. Ce serait le cinquième mais j'étais sûr que ce nombre augmenterait dans les mois à venir.
Comme Francis, je regardai intensément la scène. Bruno, un étranger pour Christine quelques minutes plus tôt, donna un coup de hanche. Son membre disparut à l'intérieur du sexe de ma belle-mère qui gémit :
- Aaaaaahhhhhh
Regardant par-dessus son épaule, l'entrepreneur dit :
- C'est serré et toujours aussi agréable! même pour une bite de vieux.
Son ami répondit :
- Croyez-moi quand je vous dis que cette pute sait traire un pénis.
Tous les deux rirent de la situation humiliante de Christine.
- Dans dix minutes, je vais vous dire si je suis d'accord.
Bruno reporta son attention sur la femme. Il retira son sexe pour mieux l'enfoncer brutalement. Puis il recommença en commentant :
- Tu aimes ça salope? Gémit donc!
Il n'attendait pas vraiment de réponse de ma belle-mère. Il continua à la pénétrer avec de grands coups rapides, faisant en sorte de plonger entièrement son membre au fond du ventre de Christine.
Pendant dix à douze minutes, la pièce fut remplie du bruit de claquement de la peau sur la peau et des bruits sortant de la bouche de ma belle-mère. Elle jappait ou haletait, la respiration rapide.
Elle prouvait à Francis qu'elle était une employée obéissante.
- Allez salope! Montre-moi quelle chaude du sexe tu es! Jouis salope.
La respiration de la femme devint plus rapide et plus courte. Sa tête dodelinait et ses yeux roulaient dans leurs orbites. Je savais qu'elle n'était pas loin de l'orgasme. Mais l'entrepreneur ne le savait pas.
Soudainement les jambes de Christine s'enroulèrent autour de la taille de Bruno afin l'attirer plus profondément en elle. Elle cria :
- AHHHHHHHHHHHH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!
En regardant son copain Francis qui souriait, l'artisan dit :
- Oh Merde! Quelle vicieuse.....
Son regard revint à Christine, tremblante sur sa queue, la tête renversée en arrière et gémissante du reste de son orgasme.
- Tu es vraiment une folle de sexe, une vraie pute.
Je ne m'attendais à sa réponse, mais son comportement et sa situation lui avait fait accepter son nouveau rôle. Le membre d'un étranger enfoui dans sa chatte, elle supplia presque :
- Donnez-moi votre sperme s'il vous plait! remplissez-moi!
Francis rigola :
- Tu as entendu la salope Bruno!
Alors l'entrepreneur écarta les jambes de ma belle-mère, puis tout en tenant ses chevilles dans chaque main, il recommença à marteler le sexe bien lubrifié. Il la pilonna pendant encore environ sept minutes puis son visage grimaça alors qu'il se vidait dans le ventre de la femme. En se retirant, sa bite gluante commençant à diminuer il demanda :
- C'est ce que tu voulais salope? une chatte pleine de foutre?
- Oui Oui! Dit-elle tout en gardant les jambes écartées pour les regards des deux hommes.
Alors qu'elle restait là, le sperme tombant de sa chatte sur le bureau en bois, Francis serra la main de Bruno quand il fut rhabillé. Le contrat était signé. Francis était heureux que Christine facilite la transaction.
Alors que l'entrepreneur allait partir, il se retourna vers Francis et lui dit :
- Vous savez Francis que si vous voulez économiser un peu plus d'argent, j'ai, à l'étage, deux ouvriers qui doivent m'aider toute la semaine.
- Oui Bruno! Même échange que pour vous? Dit Francis.
- Disons un ouvrier par jour puis nous trois ensemble le dernier jour?
- Ça me semble correct comme arrangement. Indiquez-moi quand vos gars veulent passer et je me débrouillerai pour que les bureaux soient vides. Et une fois l'étage terminé, vous et vos gars pourraient baptiser le lieu.
Francis s'esclaffa tout en serrant la main de Bruno. Il venait de conclure une affaire qui obligerait ma belle-mère à faire connaissance avec deux autres bites étrangères.
à suivre....
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