samedi 29 octobre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 11

Texte de gkcdqho

*******

Première double pour Nicole.

Il m’embrasse, il me donne un petit paquet en me disant de la mettre. J’ouvre, petite robe noire en stretch. Je la mets, c’est une catastrophe. Elle est courte, pas moyen de mettre des bas. Le dos est nu et la matière moule étroitement mes tétons dressés.

Il me demande si j’ai des bottes. Je mets celles qui montent quasi au-dessus du genou. Je veux mettre un manteau. Non ? Il veut une veste courte pour que l’on puisse voir mes cuisses. J’ai l’air d’une pute. Pendant le parcours qui nous ramène en ville, il me demande les restaurants où je suis connue et donc à éviter. On termine le chemin à pied. Je sens les regards qui passent sur mes cuisses nues. Je sens le vent sous la robe qui protège mal ma chatte de ses caresses. Putain !!! Le salaud, il m’entraîne dans le restaurant que je voulais esquiver. Le pizzaiolo me connaît depuis une éternité.

On s’installe dans un coin. Ma robe trop courte est ainsi bien mise en valeur pour toute la salle. Quand le garçon apporte les suggestions, j’ai déjà une de ses mains sur le genou. Quand il prend commande, sa main est sur ma cuisse. Quand l’apéro arrive, je dois cacher sous la nappe que la main a atteint mon pubis. Le repas, pour le reste, se passe calmement.

Nous rentrons. Avant d'arriver à la voiture, il me colle contre un abribus et m’embrasse en pleine rue. Il fait calme et la nuit est tombée, mais c’est quand même mon quartier. Comme je le freine, il commence à remonter ma robe. Je tente d’échapper à l’étreinte. Ma robe est autour de ma taille. Il me dit d’obéir si je ne veux pas rester le cul à l’air. Il redescend le bout de tissu qui me couvre. J’ai eu chaud, si je peux dire. Nous rentrons à la maison. Arrivé dans la salle de séjour, je vais vers la fenêtre pour tirer les tentures. Il m’arrête. Le cauchemar continue. La salle de séjour est en façade en partie, elle est brillamment éclairée. On est certain que les voisins savent que je reçois quand mon mari est absent… Il m’ordonne de me déshabiller.

Je prie le ciel que le programme TV soit bon… Si un voisin passe devant l'entrée du portail ouvert et regarde la fenêtre éclairée, qu'il me voit nue, debout dans la salle à manger. Je me retrouve les pieds au sol, le dos sur la table, jambes écartées, sexe ouvert face à la fenêtre. Je me caresse pendant qu’il commente la scène en me disant d’imaginer un mec ou des mecs en face qui se branlent en me regardant. Son sexe ne me semble pas près de cracher son jus, j'ai une envie folle de m'empaler dessus.

Il doit le sentir, car il me pousse gentiment à me redresser. Toujours fesses vers lui, je m'avance vers sa bite et m'assoie dessus, le sentant me pénétrer profondément. Il est bien plus gros que mon mari, il me remplit bien. Je bouge lentement le bassin, savourant cette queue en moi. Il me tient par les fesses, les malaxent, les écartent. Je sens un de ses doigts s'enfoncer dans mon jardin secret. Je trouve cette double pénétration très agréable, très excitante. Il joue avec la petite porte de mes reins pendant de longues minutes, je sens mon anus se dilater. Je sens un orgasme me submerger, je jouis bruyamment sans aucune retenue, m'accrochant a ses jambes.

Lui n'a toujours pas joui, il me demande de me décaler. Je me retrouve à quatre pattes sur la table de salon, il se met debout à côté. Il m'attrape par les hanches et me tire vers lui avec force. Je comprends tout de suite à quoi je vais avoir droit lorsque je sens son gland frotter dans ma raie des fesses. Il exerce une pression sur la petite porte de mon jardin secret que je sens s'ouvrir doucement, laissant ainsi sa queue se frayer un chemin entre mes fesses.

Je ne dis rein, je me concentre sur la chaleur qui irradie mes fesses. Sa queue continue sa lente progression. Je sens enfin ses couilles sur l'entrée de ma grotte. Il ne bouge pas pendant un bon moment, il laisse mon corps s'habituer à la présence de ce corps étranger. C'est moi qui prends l'initiative de remuer ma croupe. Il commence un lent et profond va et vient.

Je ressens un mélange de douleur et en même temps d’extrême bien-être, c'est très paradoxal. Petit à petit, ses allers et venues s’accélèrent, son bas ventre claque contre mes fesses, il me tient fermement par les hanches, il défonce littéralement l'entrée de mon jardin secret. J'encaisse sans broncher, la bouche ouverte, je sens un orgasme qui peine à éclater.

Il donne un dernier coup de rein puis se retire de mon postérieur, il m'attrape par les cheveux pour diriger ma tête sur sa queue. Il me la colle dans la bouche pour y jouir par saccades en grognant de satisfaction. Je bois sa semence avec beaucoup de plaisir.

Une fois repu, il s'assoit sur le canapé a coté de moi. 

- Alors ?? Mon sperme. Toujours aussi répugnant ??

- Non !! J'avoue que j'y ai pris goût…

- C'est bien tout ça. Tu es maintenant une bonne salope. Ils vont apprécier !

Je ne fais pas de commentaires, me traiter de salope me fait frissonner. Effectivement je me comporte comme une salope, en me faisant baiser et enculée par Marcel, et j'y ai pris goût. Au matin, il est parti.

Le lendemain, je rentre du boulot. Une petite boite devant la porte avec un mot ? Pour Nicole ? Je rentre, et curieuse je l’ouvre. Une paire de menottes, un masque genre celui donné dans les avions, un bâillon boule, deux pinces du modèle tarabiscoté qui serre selon la tension que l’on exerce en tirant, reliées par une chaîne. Je cache tout ça dans ma table de nuit. Qui m’a offert ça ?

Deux jours passent, j’attends le retour de Marcel, inquiète, mais excitée. Il est dix-neuf heures, le téléphone sonne. Je reconnais la voix, c’est lui. Froid comme d’habitude. Sans rien me demander il donne ses ordres.

- Dans le hall, nue, à genoux, porte d'entrée entrebâillée, masque sur les yeux, bâillonnée, pinces sur les tétons, mains derrière le dos, menottées, menottes attachées au radiateur.

Il me dit qu’il passera, je n’aurais qu’à attendre.

Je vais dans le hall, j'ouvre la porte, me mets à genoux, mets le masque sur mon front, mets le bâillon, place les pinces sur les tétons. Ça fait un mal de chien. Je n’ai pas le choix. Je mets le premier bracelet des menottes, baisse le masque, je me tortille pour fermer le deuxième bracelet. J’y arrive. Tout à coup, la panique me prend ? S’il ne vient pas, je suis attachée sans moyen de me libérer. Les seins me font mal, très mal.

Le temps passe, j’ai mal aux genoux, j’ai mal au dos, je suis trop penchée en arrière, je commence à avoir froid, je sens le vent venir de la porte (pourvu qu’elle soit restée dans la même position). La chaîne qui relie les pinces est plus lourde que je le croyais. C’est lancinant, j'ai envie de pleurer. J’entends un bruit, des pas. Le vent devient plus fort. Quelqu’un entre ? 

- Bien !!

C’est lui qui parle, ouf.

- Tu vois qu’elle obéit.

Il n’est pas seul. Je sens qu’il prend la chaîne, il tire, je gémis de douleur. Il m’enlève les pinces. Le sang revient dans les tétons, c’est horrible. Il me passe une ceinture (ça y ressemble) autour du cou. Il détache les menottes du radiateur.

- Debout !!

J’ai les jambes ankylosées, mais comme il tire fort sur la ceinture, m’étranglant à moitié, j’arrive à me mettre debout.

- Qu’en penses-tu ? Demande-t-il à l’autre.

Grognement approbateur. Il m’enlève le bâillon. Ma salive a coulé jusque sur mon ventre. On m’entraîne vers la chambre. Ils ont forcément tout le temps, à peine dans la chambre, je me retrouve à genoux, le ventre sur le lit, les fesses bien exposées.

J’entends farfouiller, un sexe me pénètre. On me relève la tête en tirant sur la ceinture, c’est désagréable. Le deuxième s’enfonce entre mes lèvres. Ils changent de place. Je sens cette queue gluante de ma mouille entrer dans ma bouche. Il gicle, j’avale. L’autre se vide en moi. On m’entraîne vers la salle de bain, toujours menottée. On me pousse dans la douche. L’eau froide me cingle tout le corps. Ils s'amusent de me voir grelotter. Ça dure une éternité. Je dégouline de partout.

L’envie d’uriner devient pressante. Je le dis. Il me fait plier les genoux et m’ordonne de le faire. Je suis honteuse, mais le jet coule, manifestement dans un récipient. Je suis là à genoux dans cette douche, attendant la suite qui arrive rapidement. Il me tire les cheveux en arrière et il verse sur mon visage le contenu du verre. Ma pisse coule sur mon visage et ma poitrine.

On m’enlève le bandeau. Je n’ai pas le temps de réagir qu’un jet m’arrose. En pleine figure. Je reconnais ce type. Je l’ai déjà vu, c'est le voisin de Marcel. Marcel rigole de cette bonne blague. Il se soulage avant de me rincer à l’eau enfin tiède. Je me retrouve sur le lit, les poignets toujours menottés, derrière le dos.

Marcel se couche la queue bien raide et me dit de m'allonger sur lui. Je le chevauche, je me contorsionne pour arriver à me mettre à cheval sur lui, les poignets meurtris. À peine suis-je allongée sur Marcel que celui-ci capture mes seins pour les peloter. De plus, il mordille le lobe de mon oreille, ce qui me procure plein de frissons très agréables. Plus bas, je sens distinctement son gros bâton de chair sur mes cuisses. La position n’est pas désagréable, même si un matelas est plus confortable, mais c’est en effet quelque chose à expérimenter…

Derrière moi, son voisin s’agenouille entre mes jambes et commence un bon cunnilingus qui me fait vibrer bien vite, il ne faut pas longtemps pour que je pousse des petits cris de jouissance sous la langue agile de ce voisin ! Décidément, rien ne vaut deux hommes pour s’occuper d’une femme ! Sauf peut-être trois hommes ou plus…

Toujours allongée sur mon amant du dessous, je remonte mes genoux pour mieux présenter mon derrière au voisin, je suis à présent totalement ouverte et offerte. Celui-ci caresse délicatement mes lèvres bien humides, puis introduit son index dans ma fente. Je ressens comme une fine décharge électrique. C’est très bon de sentir cette main me câliner, s’introduire petit à petit en moi.

- HMMMM… Oui… Encore… Allez-y…

Durant ce temps, Marcel, sur lequel je suis, masse voluptueusement et fermement mes seins, jouant avec mes tétons, les tordant légèrement, les étirant, les pinçant, ce qui m’excite encore plus. Parfois, il murmure des choses à mon oreille, je crois que j’ai tiré le gros lot à me faire baiser par ces deux hommes.

- Y a pas à dire, deux hommes, c’est mieux qu’un seul !

- Une bonne cochonne, c’est mieux qu’une femme normale !

Puis les deux hommes continuent de se livrer à des privautés particulièrement agréables sur ma petite personne. Je tressaille légèrement quand un pouce inquisiteur s’enfonce dans ma chatte détrempée pour y cueillir ma cyprine puis en faire bon usage à l’entrée sombre et interdite de mes reins qui se lubrifie ainsi petit à petit. Je crois deviner ce qu’ont les deux hommes en tête…

Je réprime un bref sursaut quand ce même pouce s’engouffre dans mon rectum. Je me laisse faire, je ne peux réprimer qu'un léger soupir de contentement. Alors, comprenant le message, le pouce s’invite de plus en plus en moi, m’élargissant au fur et à mesure de ses visites incongrues.

- Je sens qu'elle est prête, on se l'a fait ensemble, simultanément ?

- Hein ??? Maintenant ! Tous les deux ! Dis-je d’une voix inquiète.

- Bien sûr, tous les deux en même temps ! Ça ne vous tente pas ?

- Tous les deux ? En même temps ?

Ensemble, ils se positionnent tous les deux à mes entrées. Sous moi, Marcel guide sa bite, son gland épousant ma grotte lubrifiée par ma cyprine. Par-dessus, le voisin se positionne, sa queue bien raide, prête à me forer.

Je sens alors leurs tiges de chair s’enfoncer en moi de façon synchronisée. Chaque millimètre de chair transpercée est une victoire, chaque centimètre, un triomphe. C’est pourtant la première fois que je suis investie de la sorte et de cette si parfaite entente, de ces mêmes chairs dures et gonflées qui s’enfouissent dans mon ventre et mes entrailles. J’halète, je me tortille, je mordille, je veux tout et j’ai peur. Peur de l’intensité qui me gagne, peur d’exploser sous leurs efforts conjugués, peur de jouir à en mourir.

- OOOHH !!! Oui !! OOOFFF... OUIIIIIII !!!!!!

J’agite plus encore mes fesses et le salaud qui m’encule entre encore plus profondément en moi, je sens alors une nouvelle vague venir, un orgasme fuse impérieux dans mon rectum. Déjà une onde déferlante vrille mes entrailles, rayonne dans les fibres de mon corps. J’essaye tant bien que mal de la juguler, mais les deux hommes ne sont pas encore arrivés au bout de moi-même. Leurs pieux de chair continuent leur lente progression dans mes tunnels intimes, percent mes défenses, investissent mes recoins. Il faut que je tienne jusqu’à la porte ultime…

Soudain, une voix rauque retentit dans la brume chaude dans laquelle je suis plongée :

- Ah ce qu’on est bien comme ça ! C’est le pied intégral !!

Une autre voix mâle lui répond aussitôt :

- Je ne te  le fais pas dire ! Baiser de la sorte, je recommencerais ça sans problème tous les jours !

- Y a pas à dire, mais les salopes, il n'y a rien de meilleur !

Amusée par cette répartie, cependant néanmoins au bord de l’explosion, je ne réponds pas. C’est vrai qu’on traite rarement de « madone » une femme qui s’envoie en l’air avec deux hommes donc un qu’elle ne connaissait même pas il y a quelque temps. Et comme ni la religion ni la société n’ont admis les trios comme étant une des normes légales. Le voisin chantonne presque. 

- Ta Nicole est une bonne salope ! Une sacrée salope ! Et j’adore les salopes comme elle !

Sous ces mots crus et spontanés, sous ces coups de boutoir, des flashes puis une onde de choc extraordinaire me percutent de plein fouet, c’est bien l’une des premières fois que j’ai un tel orgasme.

Un raz de marée tempétueux me balaye, m’emporte, explose en ricochet dans mon corps en folie. L’ultime porte s’est ouverte, fracturée par deux intrus qui me pistonnent, me possèdent, me partagent et m’exploitent. Je sens distinctement dans la tourmente qui m’emmène leurs chairs en moi occuper tout mon espace, leurs jets chauds et gluants qui tapissent mes grottes cachées, leurs frictions qui échauffent mes sens, leurs va-et-vient qui me font osciller, ballotter mes seins et mes fesses comme une poupée dans les mains des horripilants, mais adorables voyous que sont mes deux amants.

Alanguie, je reste affalée sur le corps de l’un, couverte du corps de l’autre. Une sensation délicieuse, pas très morale, mais exquise. C’est surprenant et merveilleux de les sentir et faiblir en moi, qu’ils soient, à la fois autour et au-dedans. Amusée, dans une semi-inconscience, je songe que comme je ne suis pas morte, ils voudront sans doute réessayer et le plus vite possible. De nouvelles perspectives s’offrent à moi…

Je suis rompue, ils se retirent délicatement de moi, je roule sur le dos, béate, les bras en croix, les jambes écartées, impudique à souhait. Ils s’approchent, m’entourent. D’un simple signe, je demande d’approcher plus encore puis je les arrête. Ils sont à la bonne place, bien positionnés. Je m’offre le dernier luxe, la dernière fantaisie, la dernière petite dépravation avant de sombrer en cueillant leurs sexes flasques entre mes lèvres. Dans ma bouche, ils reprennent consistance tandis que je les nettoie amoureusement et lascivement, goûtant à toutes leurs saveurs et aux miennes mélangées. Puis, lassée, vidée, je les abandonne en retombant sur l’oreiller.

Repue, satisfaite, je m’étire comme une chatte comblée et je sombre dans un doux demi-sommeil. Avec précaution, mes deux amants se retirent du lit, je sens leurs regards fervents et affectueux sur ma petite personne. Ils ne parlent pas, mais caressent mes cheveux, ma nuque, mon dos, arrachant des frissons à ma chair survoltée. Parfois une main flatte mes fesses, les tapotant, comme l'on fait à une jument que l'on vient de monter et qui vous a donné pleine satisfaction... Mais cette désinvolture même m’émeut. Je parie qu’ils croient que je dors profondément comme j’ai parfois coutume de faire après l’amour. 

Ils finissent par partir. Marcel me promet de revenir le lendemain. Je suis une salope?? J’ai aimé cette soirée.

A suivre...

jeudi 27 octobre 2022

Farid et les autres Ch. 01

 Texte de Florence22.

 *****

Le jeune voisin baise Florence.

Je m’appelle Florence, 30ans, 1m72, 66k, blonde, yeux gris bleu, beaux seins 95c et un cul trop gros a mon goût mais qui a l’air de plaire. Je suis mariée depuis 9 ans avec Franck, je l’aime, j’aime faire l’amour avec lui, c’est toujours très tendre, plein de préliminaires et de respect, mais j’aime aussi être baisée. Pour moi l’amour et la baise sont deux choses bien différentes et je n’aime pas faire les deux avec le même homme. C’est pourquoi j’ai besoin d’un mari qui me fait l’amour et d’un amant qui me baise.

Je vais vous raconter mon incroyable aventure. Nous avions 23 ans avec Franck lorsque nous avons emménagé dans ce vieil immeuble à paris. Nos voisins de palier étaient un vieux veuf handicapé et son jeune fils de 19 ans. Le père, marocain ne quittait plus son fauteuil mais son fils Farid prenait soin de lui. Nos appartements avaient en commun une grande pièce qui servait de cellier, buanderie et qui communiquait avec nos cuisines.

J’y rencontrais donc souvent Farid. Il était très sexy, tee- shirt moulant, survêt blanc ou gris il était sec musclé environ 70kg pour 1m80, les cheveux ras et les yeux très noir. Il était très renfermé, poli mais distant et c’était toujours moi qui engageais la conversation.

On s’était entendu lors d’un apéritif avec mon mari et le père de Farid que je m’occuperais de leur linge et qu’en contrepartie Farid réparerait nos voitures (il travaillait dans un garage auto) et ferait les menus réparations qui sont courantes dans un vieil appartement comme le nôtre.

Donc les soirs, lorsque Franck était devant le journal TV dans le salon, moi j’étais dans la buanderie et faisais tourner les machines, étendais et repassais le linge. Au même moment Farid venait déposer son linge sale, ranger le propre et j’engageais la conversation. Farid me plaisait de plus en plus et j’avais vraiment envie de baiser avec lui, mais il était difficile à décoincer. Je me mettais en chemise de nuit, essayais de l’exciter et même s’l ne franchissait pas le pas je sentais son regard sur moi.

Franck ne venait jamais dans la buanderie car lorsque je repassais, je baissais une planche fixée au mur derrière la porte et cela empêchait quiconque d’entrer et sortir. Un jour je me décide à passer à l’action. Ça fait déjà presque 6 mois qu’on est là et Farid reste froid et distant. Je suis en train de repasser lorsque Farid entre dans la buanderie. Je suis vêtue d’une robe de chambre et d’une petite nuisette transparente et, volontairement, l’échancrure laisse deviner ma nudité.

- Salut Farid, t’as passé une bonne journée ?

- Ouais tranquille.

- Tu peux m’aider à déplacer la machine à laver, ma boucle d’oreille est passée dessous !

Et l’un et l’autre de chaque côté on attrape la machine à laver pour la soulever. Je suis suffisamment penchée pour qu’il puisse voir mes seins nus, et il n’a d’autre choix que de mater le spectacle.

- Farid c’est mes seins que tu mates ?

 - heuuu, ben non, mais bon comme t’es penchée je n’ai pas trop le choix. (il est visiblement très gêné)

- Et ils te plaisent ?

- Je sais pas, je les ai pas vu en entier !

- Alors regarde ! (et j’ouvre la robe de chambre pour qu’il puisse en voir un)

- Ben là je vois pas trop avec la chemise de nuit.

J’entreprends de déboutonner le haut de la nuisette pour laisser apparaître mes seins.

- Tu veux toucher ?

Et comme il reste bouche bée, sans savoir ce qu’il doit faire, je lui prends la main et la mets sur mon sein. Et là, le Farid timide et réservé se lâche enfin et me dit :

- Putain t’es chaude toi !

Et de ses deux mains il commence à me triturer les nibards et s’avance contre moi. Il m’embrasse en frottant son sexe contre mon ventre. Une autre main prend mes fesses et remonte sous la nuisette. Pour lui faire comprendre qu’il peut aller plus loin j’entreprends de lui masser le sexe a travers le survêtement. Je plonge ma main dans son slip pour en extirper son membre, il est dur comme du bois, long et fin 20 centimètres à peu près et une paire de couilles très fermes. Il me soulève, m’assoit sur la machine à laver et sans plus attendre rentre son membre dans ma chatte mouillée.

Il m’aura fallu qu’une dizaine de coups de bite pour jouir comme jamais. Je lui griffe les fesses les attirant contre moi pour qu’il rentre au plus profond, en lui mordant le cou. Dans le même temps je le sens se raidir en moi et décharger sa semence au fond de mon intimité. Un « saaaalllllooooppppeeee » s’échappe de sa bouche entre deux grognements de jouissance.

L’excitation est trop forte pour nous deux, Farid baise sa voisine, une femme mariée, comme une salope sur la machine à laver, à quelques mètres de son père qui aurait sûrement succombé de voir cette exhibition bestiale et de l’autre côté le mari cocu devant le journal TV loin de s’imaginer le jeune voisin réservé et timide en train de défoncer a grand coup de boutoir sa douce épouse.

Et moi j’ai enfin un mari aimant pour me faire l’amour et un jeune beur fougueux me bourrant la chatte comme une bête, ne recherchant que son propre plaisir. Ce premier adultère est extraordinaire, aussi bref qu’intense.

Farid se retire de moi, laissant couler son sperme le long de mes cuisses. Il relève son survêt, me regarde dans les yeux et me dit sans tendresse :

- C’est ce que tu voulais hein ? Ça fait longtemps que tu me chauffes.

- Oui j’en avais envie, c’était super Farid !

- Écoute florence, faut pas t’imaginer quoi que ce soit, t’as ton mari et moi je veux pas de toi. Je peux rien t’offrir de plus que ça. Et je sais pas pourquoi tu le trompes, ça se passe pas bien entre vous ?

- Si Farid, j’aime mon mari, j’aime faire l’amour avec lui, mais j’ai besoin d’être baisée comme tu l’as fait, violemment, sans tendresse, juste de la baise. Donc t’inquiète pas, je te demanderai rien de plus que quelques étreintes rapides dans cette buanderie...

- Ah je vois ! En fait t’es juste une chienne qui veut de la bite ! Tu me demandes de te tirer contre la machine et après tu retournes avec ton mari devant la télé.

- Heu… Pour résumer c’est à peu près ça oui !

Je suis gênée qu’il me parle de cette manière mais au fond de moi ça me plaî. Et je vois dans le regard méprisant de Farid que du statut de voisine sympa et serviable je passe à celui méprisable de salope sans fierté qui lui videra les couilles quand il en aura envie.

- Ben dans ces cas là y’a pas de problèmes, je vais te démonter ta race tous les jours. Si tu veux de la queue, je vais t’en donner suffisamment pour que ça te calme. A demain ma petite salope ! Et revient sapé comme aujourd’hui, sans culotte ça va plus vite pour te niquer.

Ce soir-là, toute à mon bonheur d’avoir réalisé mon fantasme je ne savais pas que j’avais mis le pied dans l’engrenage d’une histoire que j’aurais bien du mal à contrôler et qui allait me faire devenir esclave de mon vice.

A suivre...

mardi 25 octobre 2022

Le pire jour de Sarah.

 Traduction d’un texte de 0131aj

 *****

Sarah se regarde dans le grand miroir. Normalement elle n’aurait jamais porté une robe aussi courte au travail, et elle n’aurait sûrement pas porté les sous-vêtements qu’elle vient de choisir. Mais aujourd’hui il s’agit de la fin de l’année scolaire. Elle a enfin réussi à terminer sa première année en tant qu’enseignante titulaire et elle se dit qu’elle a bien le droit d’être détendue.

Elle est de loin la plus jeune professeure de l’université, et même si elle n’en est pas consciente, c’est elle qui fait tourner la tête des autres enseignants, hommes ou femmes. N’ayant que quelques années de plus que certains de ses étudiants, elle a exactement le même effet sur certains d’entre eux. Mais il n’y a pas que les garçons de dix-huit qui voudraient mieux la connaître, il y a aussi certaines filles. Mais Sarah n’est pas consciente de tout cela.

Elle a encore les cours du matin à assurer avant que les étudiants partent en vacances pour l’été et que le personnel se dirige vers la maison du directeur pour le premier barbecue de la saison. C’est pourquoi elle a choisi cette robe d’été, elle savait qu’elle n’aurait pas le temps de rentrer chez elle pour se changer. Toutefois elle reste consciente de la longueur de sa robe qui arrive à peine à la moitié de ses cuisses lisses. Elle est encore plus consciente de la minceur de ses sous-vêtements, mais elle veut se sentir bien dans sa peau aujourd’hui. Sarah est toujours intimidée par les enseignants plus âgés, donc elle se dit que si elle peut se sentir sexy sous sa robe, ça lui donnera plus de confiance pendant le barbecue.

Elle se regarde une nouvelle fois dans le miroir et elle se sourit. Elle prend ses clés et son sac avant de se diriger vers la porte. Il fait déjà très chaud, même à cette heure matinale et elle est contente de s’être convaincue de ne pas porter sa tenue austère et habituelle de travail. Elle sent la brise chaude sur son visage et elle se réjouit à la pensée d’un été long et chaud.

Le trajet pour aller à l’université est court et elle n’a pas vraiment besoin de prendre sa voiture. Mais elle en aurait besoin plus tard pour se rendre au domicile du directeur et rentrer chez elle plus tard. En arrivant au travail, elle se gare dans son emplacement habituel et elle sort de la voiture. Elle est sur le point de la fermer avec la télécommande lorsqu’elle se rappelle qu’elle a laissé des livres sur le siège passager. Sans réfléchir, elle ouvre la portière et tend la main pour les prendre.

Presque aussitôt elle se rend compte qu’elle a fait une erreur en se penchant en avant. Elle sent sa robe courte remonter sur l’arrière de ses cuisses et exposer ses jambes fines. En même temps, la brise qui avait caressé son visage un peu plus tôt chez elle, revient et retourne le fin coton de sa robe, exposant ses fesses fermes. Pire encore, comme elle avait choisi de porter un minuscule string blanc et que la ficelle s’était nichée entre ses fesses pendant le trajet, si quelqu’un s’était trouvé derrière elle, il aurait pu penser qu’elle était cul nu.

Remettant sa robe d’une main, elle attrape ses livres de l’autre avant de se redresser et fermer la portière. Son visage est rouge à la pensée de cette exhibition par inadvertance. Mais elle est horrifiée lorsqu’elle se retourne et qu’elle voit Thomas WILSON à un mètre d’elle. Son visage prend des nuances de rouge plus profond alors qu’il la regarde en souriant. Et même si Thomas ne dit rien avant de s’éloigner, elle sait qu’il a eu une bonne vue, bien que rapide, sur son fessier apparemment nu.

Thomas WILSON est bien la dernière personne qu’elle s’attendait à voir derrière elle. C’est son dernier jour d’université et il n’aurait pas dû se trouver sur le parking du personnel. Il s’agit d’un des étudiants le plus attirant physiquement de l’université. Mais ce n’est plus un garçon. C’est un homme adulte, beaucoup plus grand et évidemment beaucoup plus costaud que Sarah. Mais il a une mauvaise réputation et l’université est soulagé qu’il parte autant que lui est content de partir.

Le reste de la matinée se passe sans incident, bien que Sarah prenne de plus en plus conscience que son string s’enfonce encore plus entre ses fesses et sa chatte s’humidifie de plus en plus alors que le petit morceau de coton s’accroche à ses petites lèvres.

Maintenant, le dernier cours est sur le point de commencer. C’est le dernier cours de la matinée, le dernier cours de l’année scolaire, mais il s’agit de la classe de Thomas WILSON.

Tous les étudiants sont joyeux et de bonne humeur et Sarah n’a vraiment pas envie de leur demander de se calmer. Elle veut juste que cette dernière heure se passe bien afin qu’elle puisse se féliciter d’avoir accompli sans problèmes sa première année en tant qu’enseignante titulaire. Certains des garçons deviennent de plus en plus bruyants et elle se dit bientôt qu’elle va devoir intervenir avant qu’ils ne dépassent le cap. C’est une grosse erreur qu’elle fait là.

Elle se dirige alors vers l’endroit où un groupe est rassemblé pour leur demander de réduire le volume sonore. Quand elle y arrive, elle voit les garçons se séparer. Elle voit aussi que Thomas est au centre du groupe en train de montrer aux autres une photo sur son téléphone portable. Voulant garder une atmosphère conviviale dans la salle, Sarah demande alors :

- Est-ce que je peux y jeter un œil aussi ?

Thomas a un sourire vicieux, un sourire que seul un jeune homme peut avoir. Il lui tend son téléphone. Sarah est choquée, elle est étonnée que la photo soit aussi claire et elle est choquée de s’apercevoir qu’elle regarde son cul apparemment nu qui sort de sa voiture. Immédiatement son visage devient rouge vif et instinctivement elle redevient l’enseignante sévère qui gronde les étudiants assis devant elle. Elle supprime alors la photo du téléphone. Quand elle le rend à Thomas, celui-ci se rend compte de ce qu’elle vient de faire et commence à être en colère.

Le jeune homme saute sur ses pieds et commence à crier et insulter sa professeure. Comme il la domine, Sarah a peur de son visage rempli de rage et elle se recroqueville juste un peu devant sa fureur. C’est suffisant pour Thomas. Voyant sa chance de pouvoir se venger de l’université, il se tourne vers ses amis et dit :

- Attrapez-la !

Sans hésitation, les autres font ce qu’il demande. Thomas est un chef de bande et ils veulent tous voir plus de cette jeune enseignante sexy que leur ami a photographié ce matin, cul nu.

Sarah lutte, mais elle n’a pas la force de tous ces garçons. Elle se retrouve bientôt jetée sur son propre bureau. Ses longs cheveux l’aveuglent alors qu’elle balance la tête d’un côté à l’autre en leur criant de la libérer.

- Quelqu’un peut faire taire cette salope ? Entend-elle.

Une main charnue est placée fermement sur sa bouche, réduisant ses cris en gémissements. Puis ses yeux sont bientôt couverts par un morceau de tissu sale. Elle ne peut plus voir qui participe à cet évènement. Commençant à se sentir assez effrayée par la tournure des choses, Sarah essaie de se relever, mais ses bras sont à nouveau saisis et attachés à deux pieds de son bureau. Maintenant, avec seulement ses jambes libres, elle essaie de donner des coups de pieds à ses assaillants invisibles. Mais ses jambes sont aussi rapidement attachées. Sarah commence vraiment à avoir peur alors qu’elle est allongée sur son bureau, à la merci de ses étudiants.

Quand la main est retirée de sa bouche, elle essaie alors de se sortir de cette situation difficile en essayant de raisonner le principal instigateur.

- D’accord Thomas, tu t’es bien amusé ! Maintenant, laisse-moi partir et nous n’en parlerons plus !

- Je n’ai même pas commencé à m’amuser mademoiselle. Vous me devez une photo.

- Que veux-tu dire ? Demande Sarah, terrifiée.

Elle sait exactement ce qu’il veut dire, mais elle ne veut pas y penser. Elle sent sa robe courte sur ses cuisses lisses et elle sait qu’il ne faudrait pas la remonter beaucoup pour exposer son string à toute la classe. Son visage est rouge d’embarras et elle se sent rougir encore plus quand elle sent quelqu’un, probablement Thomas, se pencher sur elle et commencer à déboutonner le haut de sa robe d’été.

- Non, s’il vous plaît, ne faites pas ça ! S’il vous plaît, laissez-moi partir !

- Si vous ne vous taisez pas mademoiselle, nous allons vous ferons taire et, je vous le promets, vous n’aimerez pas ça !

Ne sachant plus si elle est plus effrayée qu’humiliée, Sarah ferme la bouche et se tortille d’embarras alors qu’elle sent les boutons sur ses petits seins s’ouvrir, exposant ainsi son petit soutien-gorge aux yeux de ses étudiants.

- Waouhh ! Regardez ces magnifiques seins ! Je dois prendre une photo.

Sarah reconnaît la voix. C’est celle de l’une des filles les plus calmes de la classe. Ça ne peut être Marie, une fille dont on ne sait même pas si elle est là à moins de l’avoir noté dans le registre de présence. Sarah entend beaucoup d’agitation autour du bureau alors qu’elle est allongée dessus, complètement à la merci de ses étudiants. Elle se rend compte à leurs commentaires qu’ils ont tous leur téléphone et qu’ils prennent des photos de ses seins qui ne sont couverts que par le plus petit soutien-gorge qu’elle ait jamais acheté. Mais il s’agit avec son string d’un petit ensemble assorti dans lequel elle se sent très sexy lorsqu’elle le porte. Toutefois, aujourd’hui, elle se sent terriblement exposée et elle regrette le jour où elle l’a acheté et encore plus la décision de le porter ici.

Alors qu’elle sent que d’autres boutons sur le devant de sa robe sont ouverts, elle secoue la tête et implore une fois de plus.

- S’il te plaît Thomas, tu dois arrêter maintenant. Je peux encore oublier tout ce qui vient de se passer, mais tu dois arrêter maintenant. Et vous devez supprimer toutes vos photos.

- Je vous avais prévenu mademoiselle ! Ne dites pas que vous n’avez pas été prévenue ! Diane, as-tu quelque chose pour la bâillonner ?

Diane n’est pas une étudiante tranquille. Il s’agit de la plus grosse salope de l’université. Sarah avait toujours été intimidée par cette fille, même si elle n’était qu’une élève.

- J’ai exactement ce qu’il te faut !

Ce sont les mots de Diane. Sarah se demande ce qui se passe quand elle entend un rire nerveux de la part des autres filles. Elle ne peut pas savoir que Diane vient de remonter sa jupe courte et retire sa culotte, la même culotte imbibée du sperme de Thomas qui l’a baisée avant les cours ce matin.

Quelqu’un pince le nez de Sarah pour l’obliger à ouvrir la bouche pour respirer. Puis Diane fourre sa culotte sale dans la bouche de la jeune enseignante. Elle s’assure bien que le tissu imbibé de foutre se trouve contre sa langue. Ainsi elle est sûre que Sarah a bien le goût du sperme mélangé à son jus. La professeure a des hauts le cœur, elle ne sait pas trop quel est ce goût et elle ne veut pas trop y penser. Diane, n’étant pas mince, sa grosse culotte remplit la bouche de Sarah et la rend silencieuse.

L’enseignante est sur le point de pleurer, mais une nouvelle humiliation lui est infligée. Alors que les derniers boutons de sa robe sont enlevés, elle sent que l’on ouvre les deux côtés. Elle se trouve encore plus vulnérable. Il y a des petits cris parmi la foule d’étudiants alors qu’ils jettent tous un œil sur sa petite culotte. Un des garçons dit alors :

- Quelle salope, regardez, sa culotte est trempée !

Sarah sanglote sous son bâillon. En effet, sa chatte dégouline et elle réalise qu’elle ne s’est jamais sentie aussi excitée. Chaque humiliation infligée par ses élèves semble l’exciter encore plus. Maintenant elle sait qu’ils connaissent la vérité. Sa chatte est humide, sa culotte est trempée et elle sait très bien qu’ils peuvent tous voir les contours de ses petites lèvres rasées à travers le coton fin rendu transparent par son jus.

- Tout le monde voit bien ça ! Demande Thomas.

Sarah sait qu’ils prennent de nouvelles photos avec leurs portables, des images qui vont montrer ses sous-vêtements sexy et sa chatte humide de salope. Pourtant, plus ils l’humilient et plus elle est excitée. Elle ne sait pas à quel point elle aurait pu être dégradée si la sonnerie n’avait pas annoncé la fin du cours à ce moment-là.

- Eh bien, il est temps pour nous de partir maintenant. J’espère mademoiselle que vous passerez un bel été, et rappelez-vous, si jamais vous parlez à qui que ce soit de cette histoire, les photos se retrouveront sur internet avant même que la police nous arrête. Alors réfléchissez bien avant de faire quoi que ce soit de stupide.

Sur ces mots, Thomas et le reste des étudiants la laissent à son sort. En fait Sarah s’était un peu détendue en entendant la sonnerie, elle pensait que ça signifiait la fin de son tourment. Mais son humiliation n’est pas terminée. Elle écoute les élèves quitter sa salle de cours et elle sait qu’ils ont laissé la porte ouverte. Elle aurait du les supplier de la libérer, mais c’est trop tard maintenant. Elle est laissée exposée et attachée à la merci de quiconque la retrouvera. Elle ne peut même pas crier à l’aide, car Diane, manifestement, avait décidé qu’elle n’avait plus besoin de sa culotte sale.

Au bout de quelques instants, les bruits des étudiants qui s’éloignent s’éteignent. Mais soudain, elle croit entendre quelque chose provenant de l’embrasure de la porte. Son corps sursaute et elle essaie de tourner la tête pour découvrir la source du bruit. Puis tout d’un coup, elle entend la porte se fermer et être verrouillée. Des pas s’approchent d’elle et elle sent quelqu’un s’accroupir à côté de sa tête. Une voix menaçante lui murmure à l’oreille :

- Vous me devez encore une photo, mademoiselle.

Sarah lutte contre ses liens qui la maintiennent attachée sur son propre bureau. Elle sait qu’elle ne peut rien faire, mais elle lutte toujours en essayant de cracher la culotte sale de Diane. Sa chatte est de plus en plus humide sous son string.

- Je crois que nous pouvons nous débarrasser de ce bandeau, non ? Demande Thomas.

Il a un sourire insolent en libérant ses yeux. Elle lutte un moment avec la lumière, puis elle se concentre sur l’étudiant penché sur elle. Elle veut essayer de parler, le supplier de la libérer, mais il se contente de rire.

- Je ne peux pas comprendre ce que vous dites, mademoiselle. Mais par contre, je veux que vous me compreniez. Je suis en colère que vous ayez supprimé ma photo de votre jolie cul. Alors maintenant, vous devez me rembourser. Et avec des intérêts.

Sarah a peur de ce que peut signifier « avec des intérêts », mais elle pense qu’elle va le savoir bientôt. Et elle a raison. Thomas sort son téléphone et le met en mode vidéo. Il va s’assurer qu’elle paie pour ce qu’elle a fait, et il aura encore de meilleurs souvenirs de son dernier jour à l’université.

- Commençons par ton visage, d’accord ? Je veux m’assurer que tout le monde sache exactement qui est la salope qui a permis à ses élèves de l’attacher à son bureau avant de les laisser prendre des photos coquines de son corps. Ne détournez pas la tête mademoiselle !à

Sarah secoue la tête afin que ses cheveux recouvrent son visage et cache son identité, mais son bourreau n’est pas d’accord. Il attrape ses longs cheveux à pleine main et il tourne Sarah ver son téléphone, s’assurant que son visage taché de larmes soit bien visible et filmé. Puis il relâche la chevelure et descend le long de son corps tremblant.

La pauvre enseignante ne peut que rester allongée, et honteuse alors que l’étudiant passe son téléphone sur chaque centimètre carré de son corps. Il prend son temps en passant des seins au ventre plat, puis sur son entrejambe. Il filme alors avec soin les petites lèvres sensibles de sa chatte clairement visibles à travers le coton humidifié de sa culotte.

- Très bien mademoiselle, très bien. Je pense que j’appellerai cette vidéo « La professeure apprend une nouvelle leçon ». Maintenant qu’allons-nous faire ? Ah oui je sais, faisons un cours d’anatomie !

Sarah a honte, elle est mortifiée, mais aussi tremblante de désir. Et puis elle est terrifiée. Elle se demande ce que son élève veut dire, et elle crache presque la culotte dégoûtante de Diane quand elle voit Thomas sortir un couteau.

- Ne vous inquiétez pas mademoiselle, je ne vais pas vous faire de mal. Je veux seulement voir ce que vous cachez sous ces sous-vêtements sexy.

Arrivant enfin à pousser son bâillon avec sa langue, Sarah supplie :

- Non Thomas, s’il te plaît, ne fais pas ça. Je suis ta professeure, tu ne devrais pas me regarder de cette façon. S’il te plaît, ne me touche pas !

Ignorant ses plaintes désespérées, Thomas glisse son couteau bien aiguisé sous la fine lanière entre les deux seins et tire une seule fois. Le couteau coupe le tissu avec facilité et Sarah sent que son soutien-gorge se détache de sa poitrine. L’étudiant sourit, presque gentiment, en balayant d’une main le morceau de dentelle qui recouvrait à peine ses seins. Puis il recule pour admirer son travail.

- Vous n’êtes plus ma professeure, mademoiselle. Je viens de quitter l’université. Je pense que je ne devrais plus vous appeler « mademoiselle », non ? Comment vais-je vous appeler à la place ? Sarah ? Non ? Que diriez-vous si je vous appelle « salope » ou « petite pute » à la place ? Je pense que ces termes conviendraient à la façon dont vous vous êtes habillée aujourd’hui.

Comme Sarah ne répond pas et secoue simplement la tête de désespoir, Thomas continue :

- Vous appréciez ça, non ?

Ne sachant que dire, elle murmure :

- Non !

- Non ? Alors pourquoi vos tétons sont si durs ? Vous mouillez alors que vous êtes allongée là pendant qu’un jeune homme vous déshabille et joue avec vous ? Continuons, d’accord ?

Sarah ne peut rien faire d’autre que de rester allongée et accepter son destin, le visage rouge et son esprit rempli de honte. Elle peut sentir le poids de son regard alors que ses yeux se déplacent le long de son corps, sur ses seins nus, sur son ventre et sur ses jambes attachées. L’étudiant s’approche d’elle et elle peut sentir sa bite dure se presser contre sa chatte à travers son pantalon. Elle est contente d’avoir toujours sa culotte, même si elle est minuscule et trempée. Elle prie pour qu’il s’arrête là et lui épargne l’humiliation ultime. Mais elle connaît assez bien Thomas pour savoir qu’il se moque d’elle.

Comme s’il lisait dans ses pensées, le jeune homme fait un pas en arrière et sort son couteau de nouveau. Le glissant sous la lanière du string, il le coupe d’un côté puis de l’autre et arrache le minuscule string du corps tremblant. Mettant le tissu mouillé dans sa poche de jean, il la regarde. Sarah ne s’est jamais sentie aussi humiliée et honteuse. Mais Thomas n’a pas encore fini.

Il range son couteau et reprend son téléphone. Il passe de nouveau en mode vidéo et recommence à la filmer en commençant pas son visage, continuant sur les tétons engorgés jusqu’à sa chatte rasée. Tenant le téléphone d’une main, il passe un doigt de l’autre le long des petites lèvres humides puis il l’insère lentement avant de le retirer et de le filmer en gros plan. Il veut s’assurer que l’on voit bien le jus intime de Sarah dessus.

Celle-ci sent que sa chatte la trahit en devenant de plus en plus humide à chaque minute de son humiliation. Mais c’est lorsque que Thomas lui montre ce que ça lui fait qu’elle a vraiment peur. Il revient près de son visage et sort sa bite. Elle fait bien vingt centimètres de long avec une épaisseur de cinq centimètres. L’étudiant attrape les cheveux noirs de son enseignante et lui tourne le visage. Sarah ne peut rien faire pour l’empêcher de barbouiller ses lèvres étroitement fermées avec la goutte de liquide pré-éjaculatoire dégoulinant du gland.

- Lèche salope ! Lèche ma bite ! Regarde-moi pendant que tu le fais et alors je pourrais peut-être supprimer tout ce qui est sur mon téléphone.

Sarah déteste être forcée dans cette position, mais s’il y a la moindre chance qu’elle puisse échapper à ce cauchemar et que son identité reste cachée, il faut qu’elle la saisisse. Regardant le garçon droit dans les yeux, elle lèche le bout de sa bite. Thomas gémit et baisse les yeux vers son ex-professeure soumise.

- C’est bien salope, mais maintenant il est temps de me sucer. Ouvre grand !

Sarah frissonne à chaque fois qu’il la traite de « salope », mais elle ne peut pas l’empêcher de faire. Elle rougit à la pensée que quiconque la verrait sucer la bite de ce jeune garçon l’appellerait aussi une salope. Thomas pose sa queue sur les lèvres douces et s’enfonce presque jusqu’au fond de sa bouche. Il n’y a aucune tendresse. Il ne l’aime pas, il la baise et elle ne peut pas l’empêcher de faire ça non plus.

Très vite elle sent le gland gonfler dans sa bouche et elle sait qu’il ne va pas tarder à jouir. Effectivement elle regarde son corps se tendre et sa bite exploser dans sa bouche, le sperme chaud frappant le fond de sa gorge et coulant vers le bas. Elle pense qu’il ne va jamais s’arrêter alors que sa bouche se remplit de foutre salé jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus avaler et qu’il commence à couler le long de son menton. Le garçon doit savoir quand va venir sa dernière giclée, car il sort de sa bouche et gicle son foutre sur son visage pour la marquer comme la salope qu’elle vient de devenir.

Il reste là, sa bite dégoulinante à quelques centimètres de son visage, et, une fois de plus, il sort son téléphone. C’est la meilleure photo, sa jeune professeure allongée sur son bureau, la bouche ouverte, son foutre dégoulinant sur son menton, et son visage strié d’un filet de sperme blanc de façon évidente. Sarah supplie une nouvelle fois.

- S’il te plaît Thomas ! Tu t’es bien amusé, alors s’il te plaît, laisse-moi partir. Et tu as promis de supprimer les photos et les vidéos.

- Non salope, je ne crois pas avoir promis quoi que ce soit. De plus, ça a une valeur inestimable. C’est mon assurance que tu n'impliqueras pas la police. Maintenant, sois une bonne fille et reste-là tranquillement.

Juste pour s’assurer que Sarah reste tranquille, il replace le bandeau sur ses yeux et lui fourre une fois de plus quelque chose d’humide dans sa bouche. Elle sait que ce n’est pas la grosse culotte de Diane, car c’est beaucoup plus petit. Mais ça a un parfum et un goût familier. Sarah se remet à sangloter quand elle réalise que son ex-élève vient de la faire taire avec sa propre petite culotte. Le goût qu’elle reconnaît est celui de son propre jus de chatte qui a imbibé le tissu avant qu’il l’enlève. Pensant que sa situation ne peut pas être pire, elle entend Thomas ouvrir la porte et s’en aller, la laissant à son sort , la porte ouverte, n’importe qui pouvant la trouver dans cette posture.

Elle commence à perdre toute notion de temps, consciente seulement qu’elle va être en retard pour le barbecue du directeur, si jamais elle y arrive. Elle commence alors à penser qu’elle ne sera jamais libérée de ce cauchemar lorsqu’elle entend quelqu’un dans l’embrasure de la porte de sa classe. Elle veut tourner la tête et voir qui est là, le supplier de la détacher, mais avec le bandeau et le bâillon elle en est incapable.

Puis elle entend la personne entrer dans la pièce et fermer la porte. Elle est soudainement soulagée, car elle est sur le point d’être libérée. Elle se dit qu’elle ne sera jamais en mesure d’exprimer suffisamment sa gratitude à son libérateur. Puis elle entend la clé de la serrure tourner une fois de plus. Pour Sarah, cela devient subitement inquiétant.

Le tour de clé a claqué fortement dans le silence de la pièce. Sarah s’imagine alors qu’elle ne va pas être détachée, qu’un autre homme, ou un étudiant, va l’utiliser et la maltraiter une nouvelle fois. Puis elle prend conscience de l’odeur de parfum qui se dégage de la personne. Elle se détend en comprenant qu’il s’agit d’une femme et non d’un étudiant. Il s’agit du parfum d’une femme mûre, sophistiquée, délicate. Sous son bâillon, Sarah commence à dire « merci ». c’est alors qu’elle sent la main de la femme sur sa cuisse nue.

Elle sent la personne changer de position. Elle a l’impression que la femme se met à genoux. Une fois de plus, Sarah essaie de se détendre en imaginant que la personne va d’abord lui détacher les chevilles bien qu’elle aurait souhaité qu’elle commence par le bandeau et le bâillon. Elle veut voir qui vient la sauver et elle veut pouvoir la remercier. Une fois encore, elle pense qu’elle ne sera jamais capable de remercier suffisamment la femme, mais elle essaiera. 

En fin de compte la femme ne s’est pas agenouillée pour retirer les liens des chevilles de l’enseignante. Elle a une autre idée en tête. Elle se lèche les lèvres en se félicitant que sa nouvelle meilleure amie lui soit présentée de cette manière. Elle convoite Sarah depuis que la professeure a rejoint le personnel de l’université et maintenant elle a l’occasion parfaite pour réaliser ses rêves. Elle sourit quand la captive sursaute alors qu’elle embrasse ses cuisses lisses l’une après l’autre.

Le filet de sperme sur le visage de Sarah est très évident et il raconte son histoire. Elle n’est pas la première personne à trouver l’enseignante dans cette position difficile et elle se demande si c’est un autre membre du personnel qui a éjaculé sur le visage de son amie. Ou peut-être est-ce Thomas WILSON qu’elle a vu quitter l’établissement longtemps après le départ des autres étudiants. La femme se demande s’il aurait eu le courage de faire ça. Mais une chose est sûre, le mâle inconnu n’était pas le seul à être excité. Quand elle se penche plus près de la merveilleuse chatte de Sarah, elle peut facilement sentir l’arôme d’excitation qui s’en dégage. Elle se demande si son « partenaire » précédent l’a faite jouir.

Sarah est désespérée maintenant. Avec beaucoup d’efforts, elle réussit enfin à pousser la culotte hors de sa bouche avec sa langue. C’est plus facile, car son string est beaucoup plus petit que la culotte sale de Diane. De toute façon l’important est qu’elle puisse parler à nouveau. Elle avale de l’air dans sa bouche sèche, lève la tête du bureau et supplie son nouvel agresseur :

- S’il vous plaît, qui que vous soyez, s’il vous plaît, laissez-moi partir ! Vous n’êtes pas obligé d’enlever mon bandeau, Détachez-moi simplement les mains et je ferai le reste. S’il vous plaît, laissez-moi partir !

Mais l’autre femme est obnubilée par une seule chose, goûter la chatte de Sarah. Elle recommence à embrasser les jambes de la prisonnière, de haut en bas, en s’assurant de ne pas trop se rapprocher de sa véritable cible. Sarah commence à se tortiller sous la bouche insistante. Elle peut sentir sa chatte s’humidifier une nouvelle fois et elle se demande si son corps va vraiment la trahir.

Soudain elle sent un nouveau baiser. Il se pose là où elle le désirait et où elle le redoutait à la fois. Ces lèvres inconnues se posent sur le bas de sa fente humide et remontent jusqu’en haut, où se trouve son clitoris. Un frisson traverse tout son corps. Elle comprend alors que cette femme a envie de la taquiner, de la tourmenter et qu’elle n’a pas l’intention de la libérer.

- S’il vous plaît, je ne sais pas qui vous êtes, mais vous devez savoir que je suis une enseignante ici et vous ne devez pas me faire ça. S’il vous plaît, relâchez-moi et je ne dirais rien à personne.

En réponse, les lèvres chaudes se posent de nouveau sur ses cuisses lisses et voyagent de haut en bas, évitant sa petite chatte désespérée. Sarah comprend que l’autre femme n’est pas une novice, qu’elle a déjà dû jouer avec une personne de sexe féminin. Elle sait exactement ce qu’elle fait. La jeune enseignante ne peut empêcher son corps de se tortiller sur son bureau alors que les baisers finissent par se rapprocher de plus en plus de son intimité. Finalement, quand elle sent les lèvres douces se poser sur ses petites lèvres mouillées, elle ne peut faire rien d’autre que de soupirer de plaisir. Lorsque la bouche de la femme atteint son clitoris gonflé une seconde fois, instinctivement, Sarah lève ses hanches à sa rencontre.

La femme enroule ses bras autour des cuisses de Sarah pour la rapprocher de sa bouche gourmande et finalement, elle commence à lui lécher la chatte avec une passion que la professeure n’a jamais ressentie auparavant. Le sentiment de pouvoir sur l’enseignante attachée est enivrante, et alors qu’elle fait courir sa langue de haut en bas sur le sexe de Sarah, elle sait que la jeune captive apprécie ce traitement tout autant qu’elle. Alors qu’elle commence à enfoncer légèrement sa langue entre les petites lèvres ouvertes de Sarah, elle sourit alors qu’elle entend celle-ci gémit d’un plaisir incontrôlé. Toutefois, même si elle aurait aimé prolongé la torture, elle sait qu’elle doit se préparer pour le barbecue. Alors elle décide d’activer les choses.

Sarah ne peut rien faire contre les réactions de son corps. Elle est attachée à son bureau et elle ne peut pas se libérer pour échapper à la langue qui la conduit à de nouveaux niveaux de plaisir. C’est quand la femme inconnue commence à se concentrer sur son clitoris que Sarah sent ses hanches se soulever du bureau pour se plaquer contre la bouche entreprenante. Elle se met à gémir et hurler alors que le plaisir la submerge, vagues après vagues. Elle ne peut pas arrêter cette langue et elle ne le veut pas non plus, car elle s’active sur son clitoris et Sarah sait qu’elle va bientôt jouir.

Sarah sait qu’elle va jouir là, sur son propre bureau, dans sa propre salle de classe à cause d’une langue et d’une bouche d’une femme qu’elle ne peut même pas voir. Ses doigts se resserrent sur les côtés du bureau alors qu’elle crie de plaisir quand son orgasme la terrasse violemment. Mais la langue ne s’arrête pas, alors elle jouit encore et encore. La langue continue alors qu’elle commence à faiblir et que son corps se détend enfin.

Alors que sa respiration revient lentement à la normale et qu’elle est sur le point de supplier une nouvelle fois qu’on la libère, la femme inconnue donne un dernier coup de langue et un baiser sur son clitoris avant de se lever. Elle embrasse légèrement Sarah sur la joue. Avant que celle-ci, épuisée, ne puisse dire quoi que ce soit, elle entend la porte s’ouvrir une fois de plus. L’enseignante comprend qu’elle est de nouveau toute seule.
  
Sarah reste allongée là, certaine que son corps vient de subir le plus gros orgasme de sa vie. Elle commence à se rendre compte une fois de plus qu’elle reste exposée à d’autres personnes qui passeraient par là. La personne suivante toutefois ne reste pas silencieuse :

- Que diable se passe-t-il ici ?

« Oh non » pense Sarah. La journée peut-elle être pire ? Que fait encore le directeur ici ? Il devrait être parti depuis longtemps et s’assurer que son barbecue soit prêt. Elle frissonne d’embarras quand elle comprend qu’il regarde son corps nu. Elle est sûre qu’il est capable de voir à quel point les lèvres de sa chatte sont engorgées. Elle est sûre qu’il va voir qu’elle vient de jouir.

Immédiatement l’homme arrache le bandeau. Sarah ne peut pas dire si son visage exprime de la colère ou de la perplexité. Sans dire un mot, il lui délie les bras et les jambes avant de l’aider à s’asseoir. Elle rougit quand elle le voit fixer ses petits seins, ses tétons toujours dressés, et elle a honte en voyant les traces de son propre jus sur le haut de ses cuisses. Enroulant sa robe autour de son corps, elle se force à lever les yeux et à le regarder.

- Je n’ai pas le temps de m’occuper de ça pour le moment. Nous sommes tous les deux en retard pour le barbecue et ma femme va se demander ce que je fais. Heureusement pour vous, je fais toujours le tour de toutes les classes le dernier jour de cours. Maintenant essayez de redevenir décente, je vais vous attendre dans ma voiture. Non, je n’ai pas le temps de discuter. Mes invités m’attendent et vous en êtes une. Voilà, si vous voulez donner des cours ici l’année prochaine, faites ce que je vous dis et retrouvez-moi dans cinq minutes dans ma voiture.

Le trajet en voiture jusqu’à la maison du directeur se passe dans un silence total. Visiblement il est en colère contre elle et Sarah est trop gênée pour même le regarder. Elle est assise sur le siège passager, recroquevillée et reconnaissante que son patron ne dise rien. Elle semble parfaite, à part un détail. Son dernier agresseur avait visiblement décidé de garder sa culotte en souvenir. Sarah est bien consciente de ses fesses et de sa chatte nues sur le siège en cuir froide de la voiture du directeur. Elle espère que sa chatte ne laisse rien couler et qu’elle ne laissera pas une flaque sous elle que l’on pourrait voir quand elle sortira.

Lorsque qu’ils arrivent dans sa grande maison, le directeur rejoint directement ses invités et assume son rôle d’hôte. Sarah est forcée de bavarder avec le reste du personne. Elle se rend compte que de porter sa robe courte était une mauvaise idée, car elle se retrouve nue en dessous. Les professeurs masculins ainsi que une ou deux femmes semblent s’être rendu compte qu’elle est mal à l’aise. Ils deviennent de plus en plus entreprenants au fur et à mesure que la boisson fait fondre leurs inhibitions.

Après quelque temps, le directeur les rassemble pour faire son traditionnel discours de fin d’année scolaire. Il commence à passer en revue tous les points forts de l’année, puis il poursuit en souhaitant à tous de bonnes vacances et qu’ils reviennent tous en forme pour la prochaine année. Sarah est sur le point de croire que sa journée de cauchemar est presque terminée lorsque le directeur annonce qu’il a un autre point à aborder.

- Comme vous le savez tous, nous avons eu une nouvelle enseignante cette année et je pense qu’il est bon de vous informer si elle a réussi son année probatoire et si elle reviendra après les vacances. Jusqu’à aujourd’hui, Sarah a prouvé qu’elle était une professeure exemplaire. Mais je dois partager avec vous quelque chose qu’au cours de toutes mes années à la tête de l’établissement je n’ai jamais rencontré. Ce soir, j’ai trouvé Sarah dans sa salle de cours ligotée et bâillonnée sur son propre bureau, son corps nu exposé à qui passerait par là. Heureusement pour elle, c’est moi qui l’ai trouvée. Mais je pense que nous devons voir ce problème plus en détail. Sarah, voulez-vous venir ici ?

La pauvre enseignante a l’impression que tout le monde s’est tourné pour la regarder. Elle avait bien essayé de reculer derrière tous les autres professeurs rassemblés quand le directeur avait commencé à parler de sa situation. Il y a des cris de surprise quand ses collègues découvrent ce qui lui est arrivée, mais il y a aussi des rires et des regards moqueurs. Son visage devient rouge vif à cette humiliation publique.

Elle commence à se frayer lentement un chemin à travers ses collègues, essayant d’ignorer certains commentaires chuchotés près d’elle. Elle se place debout à côté du directeur et elle le regarde d’un air interrogateur devant l’assemblée.

- Faites face à vos collègues professeurs, Sarah ! Merci ! Donc, cette jeune femme a été trouvée dans une position très compromettante. Elle aurait pu être molestée ou pire encore, elle aurait pu corrompre l’un de ses élèves. Bien sûr, elle nie être la complice de ceux qui l’ont mise dans cette position, mais j’ai bien l’intention d’aller au fond de cette affaire et je vais le faire tout de suite. Toutefois pour faire cela correctement j’ai besoin de l’aide de quelques enseignants masculins. Y a-t-il des volontaires ?

Sarah est complètement bouleversée par l’afflux de collègues masculins qui se portent volontaires. Finalement le directeur fait son choix : M. BATTE et M. MASSON, les deux entraîneurs de football. Sarah n’est pas sûre de ce qui va se passer, mais elle est soudainement effrayée lorsque les deux hommes costauds passent derrière elle et lui prennent les bras. Ils la conduisent vers une longue table en bois dans le fond du jardin et ils la penchent dessus. Puis ils fixent ses jambes aux pieds de la table et ils tiennent ses bars tendus devant elle sur la table. 

Sarah sait que tous les regards sont fixés sur sa robe courte et ses jambes nues. Tous ses collègues, tout comme elle, se demandent ce qui va se passer ensuite.

Elle regarde les autres professeurs et voit qu’ils se sont tous rapprochés pour ne rien manquer de la suite. Elle pense que ce traitement est vraiment injuste et humiliant. Que veut faire le directeur ? Elle est sur le point de le découvrir. Elle voit l’homme marcher vers elle, se placer à côté d’elle et se tourner pour s’adresser à l’assemblée alors qu’elle tremble de peur.

- La première chose que nous devons déterminer est si cette jeune femme méritait d’être traitée comme elle l’a été. Je pense que la meilleure façon de s’assurer qu’elle n’a pas excité quelqu’un pour qu’il la ligote est d’examiner ses sous-vêtements.

Sur ces mots, Sarah sent que sa robe courte est soulevée sur ses fesses et jetée sur le bas de son dos. Elle entend un murmure collectif quand tous les hommes voient son joli cul nu. Toutes les femmes réagissent aussi, certaines sont jalouses, d’autres sont autant excitées que les hommes.

Une femme, celle qui avait léché Sarah un peu plus tôt, passe sa langue sur ses lèvres en se remémorant ce moment passionnant. Sarah baisse la tête de honte. C’est vraiment injuste. Si on ne lui avait pas volé son string, son petit trou du cul serait au moins couvert.

- Il semble que vous n’êtes pas entièrement irréprochable sur votre situation, Sarah. Je pense qu’il est tout à fait approprié que je vous punisse maintenant, devant tous vos collègues, afin que nous puissions tourner la page et oublier cet épisode avant de continuer la fête. Si vous acceptez, nous serons ravis de vous accueillir de nouveau l’année prochaine en tant que membre du personnel à part entière. Si vous ne voulez pas, il faudra que j’informe l’académie que vous n’êtes pas assez responsable moralement pour être enseignante. Que choisissez-vous ?

Sarah sait qu’elle n’a pas le choix. Avec ces références, elle ne trouvera plus jamais un autre emploi d’enseignante. Elle doit se soumettre. En réprimant un sanglot de désespoir et honteuse, elle hoche la tête pour donner son approbation à la punition. Elle essaie de se préparer à ce qui va arriver, mais, quand l’énorme main du directeur frappe ses fesses lisses, elle ne peut s’empêcher de crier de douleur.

- Comptez pour moi ! Ordonne son patron.

Sarah ne sait pas s’il lui parle, mais alors que les claques pleuvent sur son pauvre cul, chacune est accueillie par un cri de la foule des professeurs.

CLAC !

- UNE !

CLAC !

- DEUX !

CLAC !

- TROIS !

Et ainsi de suite, chaque claque poussant Sarah de plus en plus fort contre le bord de la table, jusqu’à ce que, une fois de plus, sa chatte frotte contre quelque chose de dur. A travers la douleur infligée par les coups, le plaisir commence lentement à prendre le dessus. Dans l’esprit de Sarah, la foule de spectateurs disparaît et elle se concentre sur le plaisir qui monte entre ses jambes. Elle est sur le point d’en tirer le meilleur lorsque la fessée s’arrête soudainement et que les cris de la foule cessent.

- NON ! NON ! NON ! Crie-t-elle de frustration.

Le directeur commençait à fatiguer, mais quand il l’entend gémir de désir, il trouve de l’énergie pour recommencer. Cette fois, la main de l’homme s’abat alternativement sur les deux fesses et irradie la douleur dans le corps de Sarah.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Il n’y a plus moyen d’arrêter le directeur maintenant et bientôt les fesses de Sarah sont aussi rouges que son visage.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Elle pleure de douleur, d’humiliation, du fait qu’elle n’a rien fait pour mériter ça.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Juste au moment où il est sur le point d’abandonner à nouveau, le directeur baisse les yeux sur l’enseignante et voit que ses jambes bougent d’elles-mêmes. Il regarde de plus près et voit que sa jeune chatte est bien humide et commence à s’ouvrir. Convaincu plus que jamais qu’il punit une petite salope, il reprend sa fessée avec une vigueur renouvelée.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Sarah se tortille toujours pour essayer de se libérer, mais plus elle le fait et plus elle sent sa chatte frotter contre le bord de la table. Elle n’arrête pas d’essayer de se mentir, mais le plaisir est bien là alors que son cul est sévèrement puni. Plus les claques sont fortes, plus elle se tortille, plus sa chatte cogne contre la table et plus le plaisir grandit. Elle peut sentir son jus couler le long de ses jambes nues. Et même si elle est gênée à l’idée de jouir devant tous ses collègues, elle sait aussi que le plaisir est plus fort que la douleur et la honte. Juste au moment où elle pense qu’elle va avoir un merveilleux orgasme, la fessée s’arrête.

Il y a un grand silence alors qu’elle sent qu’on lui détache les jambes. Elle se relève lentement avant de se retourner. Face à ses collègues, le visage aussi rouge que ses fesses, elle sourit honteusement. Ses jambes tremblent alors qu’elle lisse sa robe courte et arrange sa chevelure. Ne sachant plus que faire ensuite, elle traverse la foule des professeurs et demande gentiment à la femme du directeur si elle peut appeler un taxi.

Son patron la regarde avec étonnement. Il est certain que s’il avait continué, elle aurait joui devant eux tous. Il ne pouvait laisser faire cela. Il est un homme respectable, un pilier de la communauté, et sa femme est là. Néanmoins il va garder Sarah. Et il va mettre une point d’honneur à mieux la connaître dans les années à venir.

Sa femme, en revanche, connaît très bien l’enseignante. Alors qu’elle l’escorte jusqu’au taxi, elle se demande quel serait le moment opportun pour lui rendre sa culotte. Elle a hâte de pouvoir goûter à nouveau à cette jeune chatte.

FIN.

dimanche 23 octobre 2022

La déchéance de Juliette Ch. 04

Traduction d'un texte de TheDarkCloud

*****

Prostitution dans la rue pour la commissaire.

Juliette, commissaire de police, était assise nue sur le lit, se lamentant sur son sort. Elle regarda la pièce où elle avait passé la journée à se prostituer. Puis elle réfléchit à ce que l'on lui demandait de faire ce soir pour mettre fin au cauchemar.

Pour conserver sa carrière et son pouvoir et toutes ces années de lutte pour en arriver à sa position, elle réalisa qu'elle devait passer la nuit dans la rue comme une vulgaire prostituée avec l'objectif de gagner au minimum 1000 euros.

Elle était choquée mais elle décida de subir cette dégradation finale. Puis dès demain, elle chercherait les salauds qui la faisaient chanter. Chaque homme ou femme impliqué paierait chèrement l'affront. A l'aide de tous les moyens qu'elle disposait en tant que commissaire, elle chasserait tous les fils de putes l'ayant humiliée.

Cette journée dans le bordel lui avait laissé le temps de réfléchir au moyen de se sortir de ce pétrin. Déjà, la pensée de s'éloigner de cette chambre sordide et déprimante avait revigoré son esprit épuisé, même si elle devait encore vendre son corps dans la rue (elle commençait à être immunisée). Au moins, elle serait dans la rue et pas enfermée dans ce lieu, à la merci de n'importe qui.

La porte s'ouvrit et le souteneur entra, accompagné de deux de ses putes, Tracy et Brigitte, deux blondes vulgaires qui connaissaient le métier depuis longtemps. Elles portaient un tas de vieux vêtements. Elles regardèrent Juliette de haut en bas dédaigneusement, avec un mélange de mépris et d'envie à la vue de ce corps bien conservé et de ces gros seins. Ce corps n'avait pas subi les ravages d'être utilisé et abusé jour et nuit pendant de nombreuses années.

- Certains de ces vêtements devraient lui aller... Dit Tracy tout en farfouillant dans le linge.

Les deux putes choisir la tenue adaptée : un soutien-gorge noir d'une taille trop petite, un débardeur transparent, une mini-jupe noire assez courte pour laisser voir qu'elle ne portait pas de culotte, une veste en simili cuir rouge, un sac à main, et des hauts talons.

Une fois habillée, elles ont fait défiler Juliette devant le gros proxénète noir. Il siffla son appréciation et se leva pour une inspection :

- Eh bien, cher commissaire de police, vous ressemblez vraiment à une vraie pute

Juliette garda la bouche fermée, ravalant les invectives qu'elle voulait cracher au nez de ce bâtard. Demain elle s'en occuperait, il serait l'un des premiers à payer.

- Mettons une touche finale à cette tenue de salope.

Pendant ce commentaire, Juliette sentit les grosses mains sur son cou et avant qu'elle ne puisse réagir, il lui avait mis un mince collier noir en cuir parsemé de clous d'argent avec une laisse.

Ensuite se tenant devant elle, il lui montra l'argent que ses prostitués lui rapportaient avant de le mettre dans sa poche.

- Tu ressembles à une vrai salope mais je suis sûr que tu penses encore être bien au-dessus de moi. Donc je vais t'expliquer ce que tu vas faire maintenant : Je veux que tu te mettes à genoux et que tu viennes vers moi à quatre pattes comme une vraie chienne.

Juliette regarda le gros noir, perplexe.

- Qu'est-ce que j'ai dit ? Fais le ! Immédiatement !

Désespérée, elle tomba à genoux, pressée de sortir de cet enfer. Le proxénète sourit et la guida hors de la chambre, le long du couloir et à travers la réception. Habillée de façon embarrassante, elle fut dévisagée par les autres filles ainsi que par un client étonné.

Elle put sentir leurs regards sur son cul rond alors que la jupe était montée et ne cachait rien.

Dehors, tandis que la nuit tombait, Juliette resta à quatre pattes en descendant l'allée de la maison jusqu'à deux hommes debout à côté d'une grande camionnette blanche. Ils se poussèrent du coude tout en rigolant de voir la commissaire ramper vers eux dans une tenue de pute. Plusieurs fois ils avaient été arrêtés par les forces de police de la ville pour leurs diverses activités criminelles. Ils étaient donc contents de pouvoir se venger.

- Voilà les gars.... Une salope de policière prête a faire le trottoir.

Sur ces mots, le souteneur noir remit la laisse aux hommes, leur serra la main et retourna dans son bordel pour téléphoner et avertir que tout se passait comme voulu.

Voyant l'homme partir, Juliette voulut se remettre debout mais une main la repoussa vers le bas.

- Non, reste comme tu es. Tu seras bien assez debout ce soir.

Elle leva les yeux vers les deux hommes et réalisa qu'ils ne valaient pas mieux que les bâtards auxquels elle avait été soumise cet après-midi et la nuit dernière. Ils étaient presque jumeaux : 1m80, les cheveux rasés en tee-shirt blanc. Ils étaient blancs et couverts de tatouages. Mais Juliette avait bien vite découvert que, malgré sa haine d'autres races, le chantage était toujours pareil quel que soit la couleur de peau du maître chanteur.

L'un des hommes, légèrement plus grand, qui se nommait Alain, grimpa à l'avant de la camionnette. L'autre, appelé Christian, tira sur la laisse tout en poussant la femme du bout de sa botte et la guida vers les portes ouvertes de l'arrière de la camionnette. Juliette, à contrecœur, rampa dans la rue pavée et grimpa dans l'obscurité du véhicule.

Une fois qu'ils furent tous dans la fourgonnette et que les portes arrière furent fermées, Alain alluma une lumière et démarra. Christian tira Juliette par les cheveux et l'assit sur un banc en bois en face de lui. Il lui sourit :

- Vous savez que vous êtes beaucoup mieux dans ces vêtements que dans le costume que je vois dans les journaux.

Juliette ignora le commentaire, les yeux fixant le sol. Elle ne fut pas autorisée à le faire longtemps car l'homme attrapa son menton et l'obligea à fixer ses yeux verts moqueurs.

- Que se passe-t-il salope ? Tu es trop bien pour parler avec moi ? Tu peux bien être une commissaire de police dans la vie de tous les jours mais ce soir, tu n'es qu'une pute. Tu devrais comprendre qu'Alain et moi sommes là pour assurer ta sécurité ce soir. On ne sait jamais sur quel genre de personne tu pourrais tomber hein ?

Ces mots la firent réfléchir mais elle trouva la fierté pour le défier du regard. Dès demain ce serait son jour, et ce connard serait sur sa liste. Un de ces deux gars ou le souteneur du bordel lui dirait qui orchestrait tout cela, qui l'avait baisé cette après-midi alors qu'elle était attachée et masquée.

La camionnette roula dans le cœur industriel de la vieille ville. La rousse policière ne pouvaient voir où ils se dirigeaient. Mais elle allait vite comprendre que c'était le pire du pire, le bidonville où la lie de la société se rassemblait et combinait les affaires les plus louches. Elle s'en apercevrait bien assez tôt.

Vingt minutes plus tard, Alain se gara dans l'ombre d'un entrepôt abandonné. Ce n'était pas leur destination finale mais ils avaient une petite surprise pour leur protégée avant qu'elle ne commence son « travail ». Après qu'Alain eut ouverts les portes arrières, Christian sortit Juliette de la camionnette et la poussa à genoux. Sa tête était juste au niveau de leurs entrejambes.

- Avant que tu ne commences à travailler, mon frère veut une sorte de paiement pour notre protection de cette nuit. Je suis sur qu'après ta journée au bordel, tu sais quelle forme va prendre ce paiement. N'est-ce pas ?

Elle devina facilement. Ce ne serait pas les premières bites qu'elle sucerait depuis le début de cette journée de cauchemar et ce ne serait sûrement pas les dernières.

Les hommes dégrafèrent leurs pantalons pour laisser apparaître leurs deux bites. A contrecœur, Juliette en prit une dans chaque main et les caressa pour les faire durcir. Elle leva les yeux vers les deux hommes pour leur demander qui serait le premier.

- Non salope, suce les deux en même temps, je suis certain que tu peux le faire.

Juliette n'eut pas vraiment le choix. Ils approchèrent en même temps leurs queues raides. Elle fut obligée de les accepter et elle sentit immédiatement sa bouche se distendre alors que les glands de leurs bites poussaient ses joues.

Elle était la commissaire de police de cette ville, une des femmes les plus puissantes qui la semaine dernière conseillait le maire sur la façon de se débarrasser de la drogue et de la prostitution. Aujourd'hui, elle avait deux bites dans la bouche et elle se préparait à une nuit de prostitution sur le trottoir.

Les cailloux du sol creusaient ses genoux. Elle était mal à l'aise alors qu'ils tentaient d'enfoncer leurs bites à l'intérieur de sa bouche. Ils sortirent enfin, laissant du liquide pré-éjaculatoire sur ses lèvres. Puis ils se relayèrent pour la bâillonner individuellement avant de pulvériser ses lèvres et sa bouche de jets chauds de sperme. Avec leurs doigts, ils récupérèrent et guidèrent tout le sperme dans sa bouche afin qu'elle l'avale et soit propre pour sa promenade dans la rue.

- Ouais salope, tu es une vraie suceuse de bite et avaleuse de foutre.

Ce fut un moment bref, dégradant, interlude dans la nuit. Mais, pour les gars, il était temps d'un dernier plaisir. Christian sortit son portefeuille pour en tirer un billet de 20 euros qu'il jeta sur le sol. Alain attrapa les cheveux de Juliette pour l'obliger à lever les yeux vers lui.

- Il s'agit de ton premier paiement de la nuit. Vas le chercher avec votre bouche. Tu as bien compris, je veux que tu ailles le chercher sans les mains et que tu le ramènes ici avant que ton vrai travail commence.

Juliette, humiliée, secoua la tête mais commença à ramper sur le sol humide vers l'autre homme et l'argent gisant par terre. Christian sourit quand elle arriva près de ses pieds pour plonger la tête et mordre le bout de billet puis recommencer à ramper vers le fourgon avec sa récompense.

Ils reprirent la route, les deux hommes partageant une cigarette et se concentrant sur leur travail de cette nuit.

Juliette avait pris place sur le banc. Elle essayait de supprimer le goût dans sa bouche. Le regard dégoûté sur son visage indiqua à Christian comme elle avait été humiliée par ce qu'elle venait de faire.

Il pensa qu'il avait une autre occasion de plaisanterie à ses dépens. Assis juste en face d'elle, il étendit son pied droit dans le petit espace entre les pieds de la policière. Elle fut consciente du geste et regarda Christian pour comprendre ce qu'il faisait. L'homme cligna d'un œil et dit :

- Je veux voir ce que tu vas offrir à tes clients ce soir.

Il leva lentement son pied, forçant les mollets et les cuisses à s'écarter, laissant la mini-jupe dévoiler peu à peu sa chatte. Christian lorgna de plusprès sur la fente exposée. Il se pencha pour examiner le sexe glabre du commissaire de police. Il rit de son agacement.

Ensuite, il leva sa chaussure, posant sa semelle sur le bord du banc, à quelques centimètres du sexe exposé. Puis il se pencha pour refaire son lacet, lentement, appréciant le malaise de la femme rousse. Cela fait, il ne bougea pas son pied afin de garder les cuisses de la femme ouvertes et d'avoir une belle vue pour le reste du voyage.

Alain arrêta la fourgonnette et leur dit qu'ils étaient arrivés. Il expliqua à Juliette qu'elle devait attendre dans cette rue que les clients se présentent. Elle pouvait faire les tarifs qu'elle voulait. De toute façon son cauchemar se terminerait lorsqu'elle aurait gagné 1000 euros. Christian enleva son pied afin qu'elle puisse se lever maladroitement sur ses talons et descendre de la camionnette.

Quand elle émergea dans l'obscurité relative de l'arrière du véhicule, Juliette fut frappée par l'étrange lumière, presque magique dans la nuit. Cette partie de la ville était différente de celle qu'elle connaissait malgré ses années sur le terrain (mais peut-être était-ce dû à sa nouvelle condition). La lumière était un genre de brume orange sortant des lampadaires. Il semblait que la lune ne brillait pas dans ce quartier glauque de la ville. Les murs et les clôtures étaient barbouillés de graffitis colorés, tandis que les magasins et commerces étaient protégés par de gros volets métalliques eux aussi vandalisés. Dans l'air flottait une odeur de désespoir et de voitures brûlées.

Juliette fut sorti de ses réflexions quand elle faillit se casser la cheville en trébuchant sur ses hauts talons. Elle n'avait pas l'habitude d'en porter.

Elle jeta un regard en arrière, à temps pour voir Alain et Christian rire de sa maladresse. Intérieurement elle les maudit puis continua son chemin avec précaution sur le trottoir jusqu'au point que les hommes lui avaient indiqué où elle devait se tenir pour la nuit.

Bien que la nuit soit chaude, moite et collante, elle eut un frisson involontaire en regardant l'ensemble de la rue.

Celle-ci était patrouillée par un groupe de femmes à intervalles réguliers. A environ trente mètres d'elle plus bas, se tenait une jeune fille qui ne semblait pas avoir plus de dix-huit ans. Juliette vit qu'elle mâchait nerveusement un chewing-gum et qu'elle avait le teint blafard et l'agitation d'une toxicomane. Plus loin dans la rue, elle vit des femmes de toutes tailles, tous âges, toutes races.

Pour elle, c'était un spectacle lamentable. Elle maudit une fois de plus les dieux et les hommes qui la faisaient chanter. Lorsque cette épreuve serait terminée, elle reviendrait ici, dans ce quartier glauque, pour le rendre propre. Les policiers nettoieraient et supprimeraient ces germes de l'humanité,

Il était encore tôt, et peu de voitures circulaient dans cette rue. Celles qui passaient semblaient appartenir à des proxénètes comme Alain et Christian, qui vérifiaient leur investissement.

Mais bientôt, certains clients apparurent, à pied et en voiture, attirés comme des abeilles par un pot de miel.

Une Ford passa devant elle très lentement. Un homme de type maghrébin avec de longs cheveux gras la toisa de haut en bas. Elle fut écœurée mais eut la joie de constater qu'il continuait son chemin jusqu'à la fille plus bas.

Bien qu'elle ne voulut pas regarder, elle vit la jeune se pencher en avant sur la fenêtre passager et plonger sa tête dans la voiture pour parler au conducteur. Juliette imagina la conversation.

- Hello chérie, tu travailles ?

- Tout dépend. Vous êtes flic ?

- Non.

- Alors oui je travaille. Que puis-je faire pour vous ?

- Entre et nous en discuterons bébé.

Juliette croisa les bras sur sa poitrine et secoua la tête, désespérée, en pensant qu'elle aurait la même conversation dans quelques minutes. Pour la première fois, elle oublia presque sa position et son statut. Pendant des années, elle n'avait pensé qu'au succès et à l'avancement au sein des forces de police, abandonnant et s'aliénant amis, famille et collègues. Maintenant, elle agissait comme une femme qui ne pensait qu'au cinq prochaines minutes. Il fallait qu'elle garde sa santé mentale et sa dignité intacte.

Elle parcourut son bout de trottoir sans enthousiasme, priant qu'il ne passe plus de voitures tout en sachant que c'était irréaliste. Ce lieu était une plaque tournante pour la prostitution. Elle savait qu'elle n'y échapperait pas. Le millier d'euros semblait si loin. Puis elle entendit des pas derrière elle.

- Voulez-vous gagner un peu d'argent ?

Juliette voulait désespérément dire non mais elle était consciente que les hommes dans la camionnette la surveillaient.

- Euhhhh... Oui je suppose.

Elle regarda son client sous la lumière du lampadaire. Ce ne fut pas un joli spectacle. Si elle avait du élaborer un portrait robot genre triste, louche d'un petit pervers qui devait voler dans la rue pour s'offrir du sexe, alors elle aurait décrit cet homme. Il était petit, hirsute avec de longs cheveux noirs et gras. Il portait un long manteau sale. Ses yeux sombres étaient sournois et constamment en mouvement.

- Bon, je te donne vingt euros et tu t'agenouilles pour me sucer.

- Instinctivement, Juliette répondit :

- Pas question ! Au moins cinquante euros.

Elle fut elle-même stupéfaite. Elle marchandait le pris d'une fellation dans la rue.

- Tu es sure ?

Il fouilla dans les poches de son manteau et en sortit une liasse de billets froissés qu'il fourra dans la main tendue de Juliette.

- allez viens, tu vas le faire par ici.

Il saisit la main de la policière pour l'entraîner derrière une haute clôture en bois.

- Pour une cinquantaine de mieux, tu avales.

Avant qu'elle ne puisse répondre, l'homme la poussa à genoux devant lui et défit la ceinture de son pantalon. Il sortit sa bite de sa braguette. Elle fut horrifiée : son sexe puait et était sale, couvert d'un dépôt malodorant. Elle ouvrit la bouche pour se plaindre mais ce fut une erreur car l'homme enfonça rapidement son membre dans sa gorge. Elle posa ses mains sur ses cuisses pour le bloquer mais elle se rendit vite compte que c'était désespéré et qu'elle ferait mieux de conclure rapidement. Elle se demandait si les deux bâtards riaient dans la camionnette.

La queue de l'homme martelait sa bouche et elle ne faisait aucun effort pour participer. Mais cela n'avait pas d'importance pour lui, il était heureux de se payer cette nouvelle fille. Il connaissait la plupart des prostitués de la rue mais il n'avait jamais vu cette tête rousse. Même si elle était plus âgée que la majorité, elle avait ce regard neuf de nouvelle dans la rue. La pensée de pouvoir baiser sa face était excitant pour lui. Normalement, il ne payait pas ce prix pour se faire sucer par ces salopes.

Il se pencha, prit une poignée de cheveux roux, et poussa sa bite plus loin dans la bouche afin que ses couilles reposent sur le menton de la fille. Juliette, bâillonnée, s'étouffa presque avant qu'il ne libère ses cheveux. Mais il n'attendit pas longtemps avant de recommencer à labourer sa bouche.

Ce ne fut pas long. L'homme éjacula rapidement, tout en tenant la tête de Juliette afin qu'elle avale tout. Son sperme avait un goût ignoble et il s'en fallut de peu qu'elle ne vomisse. Il se retira de sa bouche. Elle eut l'horrible sensation d'une traînée de sperme glissant vers le bas du coin droit de ses lèvres.

- Allez avale salope ! Avale, j'ai payé pour ça ! Avale putain !

La femme puissante qu'était Juliette avait disparu depuis longtemps. L'ordre de l'homme provoqua une obéissance automatique et elle avala toute la décharge de sperme.

L'homme essuya sa bite sur les cheveux roux, remit son pantalon et partit sans même la remercier. Juliette, à genoux, restait immobile, ayant du mal à se remettre. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre tous ses sens et se calmer. Elle fourra les billets dans le sac à main qu'on lui avait donné et elle revint lentement dans la rue.

Encore dans un état de stupeur elle essaya de calculer combien de fois elle devrait faire cela pour arriver au 1000 euros. Elle se promit de faire payer beaucoup plus le prochain bâtard. Mon Dieu, Que faisait-elle ?

Elle fut sortie de son état second par deux vraies prostituées qui l'agressèrent :

- Hé ! C'est notre territoire ici. Vire ton cul ou nous le déchirons. Cria une grosse noire.

Elle saisit les cheveux de Juliette et commença à la secouer. Puis elle la jeta au milieu de la route. Sa compagne, de type hispanique, lui donna un coup de pied vicieux dans les cotes.

La commissaire gisait sur la route quand arriva une grosse berline noire qui pourchassa les deux prostituées plus loin. Cela avait été prévu par Alain et Christian.

La porte de la berline s'ouvrit et une vois appela :

- Grimpe dans la voiture.

Elle s'assit a côté d'un homme appelé Costa Stelios. Il était entrepreneur grec et avait beaucoup de raisons de haïr la commissaire. Son fils Ilius avait mal fini même s'il avait été un bon garçon. Il avait été arrêté au volant d'une voiture volée que ses amis lui avaient demandé de déplacer. La police avait reconnu qu'il n'était qu'une simple marionnette mais lorsqu'il refusa de donner le nom de ses amis, Juliette s'empressa de l'accuser et l'envoyer en prison. Elle fit en sorte d'éclaircir d'autres délits en se servant des empreintes digitales du jeune.

Ilius ne fut pas en mesure de gérer sa vie en prison et se suicida durant sa première année d'incarcération.

Cela détruisit Costa et sa femme. Il avait juré que la femme responsable de la mort de son fils allait payer. Donc il avait financé une grande partie de l'opération de chantage. Il n'était pas le principal protagoniste mais juste un bailleur de fonds.

Elle ne reconnaissait pas l'homme. Mais pourquoi l'aurait-elle reconnu ? L'histoire était arrivée il y a quatre ans et Juliette oubliait facilement ce qui faisait grimper sa carrière.

L'homme était sophistiqué et bien soigné. Il regarda Juliette avec ses yeux froids et noirs. Il commença immédiatement à la traiter comme quelque chose qui ne méritait que son mépris.

- Je vous remercie.... Dit-elle.

- Tais toi putain et sors ma bite !

Il avança son entrejambe vers la femme. Obéissante, Juliette défit les boutons de la braguette. Une bite alimentée au viagra, surgit et pointa vers les cheveux roux. L'homme sortit un petit paquet en plastique et saupoudra une ligne de poudre blanche le long de son membre.

- Coke....

Il tendit à la commissaire un billet roulé de vingt euros et lui ordonna de renifler le tout.

Elle hésita. Elle ne devait pas faire cela bon sang ! Elle utilisa les paumes de ses mains pour s'éloigner de l'entrejambe de l'homme et elle rassembla ses dernières forces de volonté pour secouer la tête.

- Qu'est-ce qui ne va pas putain ? Allez, je te donne 500 euros pour que tu le fasses avec une fellation ensuite.

A la mention de la somme exorbitante que le gars était prêt à payer, Juliette cessa de se débattre, son cerveau faisant des heures supplémentaires pour décider quoi faire. C'était la moitié de ce qu'elle devait gagner ce soir dans ce quartier glauque et ce serait vite fait. Si elle acceptait elle pourrait quitter cette rue beaucoup plus rapidement qu'elle ne l'avait pensé.

- Je le fais pour 700 euros.

- 600 euros putain, ou je te laisse retourner avec tes amies là-bas.

Juliette acquiesça et déglutit en pensant à ce qu'elle allait faire : 600 euros pour un seul gars l'aiderait à sortir d'ici. L'homme ouvrit son portefeuille en cuir et mit l'argent dans ses mains.

Juliette plongea la tête vers l'aine du vieil homme, ramassa le billet roulé et renifla rapidement la drogue en un seul coup rapide.

Avant qu'elle ne puisse envisager autre chose, l'homme éperonna sa queue droite dans son gosier. Il avait une grosse bite et il était aussi dur que tous ceux qu'elle avait rencontré au cours de ces dernières vingt-quatre heures cauchemardesques.

Il baisa son visage pendant environ vingt minutes , la laissant faire tout le travail, jouissant de voir cette chienne qui avait détruit sa famille le sucer pour de l'argent. Son sourire augmenta quand il pensa aux nouvelles humiliations auxquelles elle devrait faire face.

La drogue commença à faire de l'effet à Juliette et elle mit de plus en plus d'enthousiasme dans sa fellation. Costa tenait sa tête dans ses mains et l'encourageait à le sucer plus profondément. Quand il fut prêt à jouir, il,donna deux ou trois coups vraiment profondément dans la bouche avant de se vider au fond de la gorge et sur le visage et ses cheveux.

Enfin, il força Juliette à sortir de la voiture, déchirant son soutien-gorge au passage. Elle ne savait pas que le chauffeur avait fait un tout complet et était revenu au bord du trottoir où elle avait commencé sa nuit.

Si elle avait regardé vers la camionnette blanche, elle aurait vu l'homme qui organisait cette machination. Mais elle était sous l'emprise de la drogue de première qualité qu'elle avait sniffé.

Juliette descendit au bas de la rue vers la voiture la plus proche. Du sperme généreusement éclaboussé sur son visage, l'un de ses seins bien visible, habillée comme une pute pas chère, elle était comme son maître chanteur l'avait prévu.

La voiture qu'elle allait accoster était une voiture de police banalisée. Les policiers étaient sur le point d'arrêter l'un des officiers supérieurs de la ville, sous l'emprise de la drogue, habillée comme une pute pas chère et couverte de sperme . Tout le monde en ville se souviendrait de la première fois où ils entendraient parler de la femme rousse dans la voiture, le sein à l'air, rire et offrir de sucer la bite des policiers pour cinquante euros.

Ce serait mauvais pour elle mais le pire, ce serait lorsqu'au commissariat ils fouilleraient son sac et découvriraient assez de drogue pour alimenter tous les dealers de la ville ainsi qu'un pistolet sans licence. Mais cela viendrait plus tard.

Les deux policiers sortirent de la voitures, l'humilièrent en la fouillant et la menottant les bras dans le dos. Puis ils la poussèrent sur la banquette arrière sans prendre la peine de couvrir son sein exposé ou de nettoyer le sperme qui jonchait son visage et ses cheveux

Dans la camionnette blanche, l'homme composa un numéro sur son portable et parla avec enthousiasme :

- Ils l'ont eu. Ils rentrent au commissariat. Assurez-vous que tout le monde est prêt.

La voiture banalisée se dirigeait vers le quartier général de la police où les choses allaient être encore pire pour Juliette.

A suivre...