Texte de gkcdqho
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Première double pour Nicole.
Il m’embrasse, il me donne un petit paquet en me disant de la mettre. J’ouvre, petite robe noire en stretch. Je la mets, c’est une catastrophe. Elle est courte, pas moyen de mettre des bas. Le dos est nu et la matière moule étroitement mes tétons dressés.
Il me demande si j’ai des bottes. Je mets celles qui montent quasi au-dessus du genou. Je veux mettre un manteau. Non ? Il veut une veste courte pour que l’on puisse voir mes cuisses. J’ai l’air d’une pute. Pendant le parcours qui nous ramène en ville, il me demande les restaurants où je suis connue et donc à éviter. On termine le chemin à pied. Je sens les regards qui passent sur mes cuisses nues. Je sens le vent sous la robe qui protège mal ma chatte de ses caresses. Putain !!! Le salaud, il m’entraîne dans le restaurant que je voulais esquiver. Le pizzaiolo me connaît depuis une éternité.
On s’installe dans un coin. Ma robe trop courte est ainsi bien mise en valeur pour toute la salle. Quand le garçon apporte les suggestions, j’ai déjà une de ses mains sur le genou. Quand il prend commande, sa main est sur ma cuisse. Quand l’apéro arrive, je dois cacher sous la nappe que la main a atteint mon pubis. Le repas, pour le reste, se passe calmement.
Nous rentrons. Avant d'arriver à la voiture, il me colle contre un abribus et m’embrasse en pleine rue. Il fait calme et la nuit est tombée, mais c’est quand même mon quartier. Comme je le freine, il commence à remonter ma robe. Je tente d’échapper à l’étreinte. Ma robe est autour de ma taille. Il me dit d’obéir si je ne veux pas rester le cul à l’air. Il redescend le bout de tissu qui me couvre. J’ai eu chaud, si je peux dire. Nous rentrons à la maison. Arrivé dans la salle de séjour, je vais vers la fenêtre pour tirer les tentures. Il m’arrête. Le cauchemar continue. La salle de séjour est en façade en partie, elle est brillamment éclairée. On est certain que les voisins savent que je reçois quand mon mari est absent… Il m’ordonne de me déshabiller.
Je prie le ciel que le programme TV soit bon… Si un voisin passe devant l'entrée du portail ouvert et regarde la fenêtre éclairée, qu'il me voit nue, debout dans la salle à manger. Je me retrouve les pieds au sol, le dos sur la table, jambes écartées, sexe ouvert face à la fenêtre. Je me caresse pendant qu’il commente la scène en me disant d’imaginer un mec ou des mecs en face qui se branlent en me regardant. Son sexe ne me semble pas près de cracher son jus, j'ai une envie folle de m'empaler dessus.
Il doit le sentir, car il me pousse gentiment à me redresser. Toujours fesses vers lui, je m'avance vers sa bite et m'assoie dessus, le sentant me pénétrer profondément. Il est bien plus gros que mon mari, il me remplit bien. Je bouge lentement le bassin, savourant cette queue en moi. Il me tient par les fesses, les malaxent, les écartent. Je sens un de ses doigts s'enfoncer dans mon jardin secret. Je trouve cette double pénétration très agréable, très excitante. Il joue avec la petite porte de mes reins pendant de longues minutes, je sens mon anus se dilater. Je sens un orgasme me submerger, je jouis bruyamment sans aucune retenue, m'accrochant a ses jambes.
Lui n'a toujours pas joui, il me demande de me décaler. Je me retrouve à quatre pattes sur la table de salon, il se met debout à côté. Il m'attrape par les hanches et me tire vers lui avec force. Je comprends tout de suite à quoi je vais avoir droit lorsque je sens son gland frotter dans ma raie des fesses. Il exerce une pression sur la petite porte de mon jardin secret que je sens s'ouvrir doucement, laissant ainsi sa queue se frayer un chemin entre mes fesses.
Je ne dis rein, je me concentre sur la chaleur qui irradie mes fesses. Sa queue continue sa lente progression. Je sens enfin ses couilles sur l'entrée de ma grotte. Il ne bouge pas pendant un bon moment, il laisse mon corps s'habituer à la présence de ce corps étranger. C'est moi qui prends l'initiative de remuer ma croupe. Il commence un lent et profond va et vient.
Je ressens un mélange de douleur et en même temps d’extrême bien-être, c'est très paradoxal. Petit à petit, ses allers et venues s’accélèrent, son bas ventre claque contre mes fesses, il me tient fermement par les hanches, il défonce littéralement l'entrée de mon jardin secret. J'encaisse sans broncher, la bouche ouverte, je sens un orgasme qui peine à éclater.
Il donne un dernier coup de rein puis se retire de mon postérieur, il m'attrape par les cheveux pour diriger ma tête sur sa queue. Il me la colle dans la bouche pour y jouir par saccades en grognant de satisfaction. Je bois sa semence avec beaucoup de plaisir.
Une fois repu, il s'assoit sur le canapé a coté de moi.
- Alors ?? Mon sperme. Toujours aussi répugnant ??
- Non !! J'avoue que j'y ai pris goût…
- C'est bien tout ça. Tu es maintenant une bonne salope. Ils vont apprécier !
Je ne fais pas de commentaires, me traiter de salope me fait frissonner. Effectivement je me comporte comme une salope, en me faisant baiser et enculée par Marcel, et j'y ai pris goût. Au matin, il est parti.
Le lendemain, je rentre du boulot. Une petite boite devant la porte avec un mot ? Pour Nicole ? Je rentre, et curieuse je l’ouvre. Une paire de menottes, un masque genre celui donné dans les avions, un bâillon boule, deux pinces du modèle tarabiscoté qui serre selon la tension que l’on exerce en tirant, reliées par une chaîne. Je cache tout ça dans ma table de nuit. Qui m’a offert ça ?
Deux jours passent, j’attends le retour de Marcel, inquiète, mais excitée. Il est dix-neuf heures, le téléphone sonne. Je reconnais la voix, c’est lui. Froid comme d’habitude. Sans rien me demander il donne ses ordres.
- Dans le hall, nue, à genoux, porte d'entrée entrebâillée, masque sur les yeux, bâillonnée, pinces sur les tétons, mains derrière le dos, menottées, menottes attachées au radiateur.
Il me dit qu’il passera, je n’aurais qu’à attendre.
Je vais dans le hall, j'ouvre la porte, me mets à genoux, mets le masque sur mon front, mets le bâillon, place les pinces sur les tétons. Ça fait un mal de chien. Je n’ai pas le choix. Je mets le premier bracelet des menottes, baisse le masque, je me tortille pour fermer le deuxième bracelet. J’y arrive. Tout à coup, la panique me prend ? S’il ne vient pas, je suis attachée sans moyen de me libérer. Les seins me font mal, très mal.
Le temps passe, j’ai mal aux genoux, j’ai mal au dos, je suis trop penchée en arrière, je commence à avoir froid, je sens le vent venir de la porte (pourvu qu’elle soit restée dans la même position). La chaîne qui relie les pinces est plus lourde que je le croyais. C’est lancinant, j'ai envie de pleurer. J’entends un bruit, des pas. Le vent devient plus fort. Quelqu’un entre ?
- Bien !!
C’est lui qui parle, ouf.
- Tu vois qu’elle obéit.
Il n’est pas seul. Je sens qu’il prend la chaîne, il tire, je gémis de douleur. Il m’enlève les pinces. Le sang revient dans les tétons, c’est horrible. Il me passe une ceinture (ça y ressemble) autour du cou. Il détache les menottes du radiateur.
- Debout !!
J’ai les jambes ankylosées, mais comme il tire fort sur la ceinture, m’étranglant à moitié, j’arrive à me mettre debout.
- Qu’en penses-tu ? Demande-t-il à l’autre.
Grognement approbateur. Il m’enlève le bâillon. Ma salive a coulé jusque sur mon ventre. On m’entraîne vers la chambre. Ils ont forcément tout le temps, à peine dans la chambre, je me retrouve à genoux, le ventre sur le lit, les fesses bien exposées.
J’entends farfouiller, un sexe me pénètre. On me relève la tête en tirant sur la ceinture, c’est désagréable. Le deuxième s’enfonce entre mes lèvres. Ils changent de place. Je sens cette queue gluante de ma mouille entrer dans ma bouche. Il gicle, j’avale. L’autre se vide en moi. On m’entraîne vers la salle de bain, toujours menottée. On me pousse dans la douche. L’eau froide me cingle tout le corps. Ils s'amusent de me voir grelotter. Ça dure une éternité. Je dégouline de partout.
L’envie d’uriner devient pressante. Je le dis. Il me fait plier les genoux et m’ordonne de le faire. Je suis honteuse, mais le jet coule, manifestement dans un récipient. Je suis là à genoux dans cette douche, attendant la suite qui arrive rapidement. Il me tire les cheveux en arrière et il verse sur mon visage le contenu du verre. Ma pisse coule sur mon visage et ma poitrine.
On m’enlève le bandeau. Je n’ai pas le temps de réagir qu’un jet m’arrose. En pleine figure. Je reconnais ce type. Je l’ai déjà vu, c'est le voisin de Marcel. Marcel rigole de cette bonne blague. Il se soulage avant de me rincer à l’eau enfin tiède. Je me retrouve sur le lit, les poignets toujours menottés, derrière le dos.
Marcel se couche la queue bien raide et me dit de m'allonger sur lui. Je le chevauche, je me contorsionne pour arriver à me mettre à cheval sur lui, les poignets meurtris. À peine suis-je allongée sur Marcel que celui-ci capture mes seins pour les peloter. De plus, il mordille le lobe de mon oreille, ce qui me procure plein de frissons très agréables. Plus bas, je sens distinctement son gros bâton de chair sur mes cuisses. La position n’est pas désagréable, même si un matelas est plus confortable, mais c’est en effet quelque chose à expérimenter…
Derrière moi, son voisin s’agenouille entre mes jambes et commence un bon cunnilingus qui me fait vibrer bien vite, il ne faut pas longtemps pour que je pousse des petits cris de jouissance sous la langue agile de ce voisin ! Décidément, rien ne vaut deux hommes pour s’occuper d’une femme ! Sauf peut-être trois hommes ou plus…
Toujours allongée sur mon amant du dessous, je remonte mes genoux pour mieux présenter mon derrière au voisin, je suis à présent totalement ouverte et offerte. Celui-ci caresse délicatement mes lèvres bien humides, puis introduit son index dans ma fente. Je ressens comme une fine décharge électrique. C’est très bon de sentir cette main me câliner, s’introduire petit à petit en moi.
- HMMMM… Oui… Encore… Allez-y…
Durant ce temps, Marcel, sur lequel je suis, masse voluptueusement et fermement mes seins, jouant avec mes tétons, les tordant légèrement, les étirant, les pinçant, ce qui m’excite encore plus. Parfois, il murmure des choses à mon oreille, je crois que j’ai tiré le gros lot à me faire baiser par ces deux hommes.
- Y a pas à dire, deux hommes, c’est mieux qu’un seul !
- Une bonne cochonne, c’est mieux qu’une femme normale !
Puis les deux hommes continuent de se livrer à des privautés particulièrement agréables sur ma petite personne. Je tressaille légèrement quand un pouce inquisiteur s’enfonce dans ma chatte détrempée pour y cueillir ma cyprine puis en faire bon usage à l’entrée sombre et interdite de mes reins qui se lubrifie ainsi petit à petit. Je crois deviner ce qu’ont les deux hommes en tête…
Je réprime un bref sursaut quand ce même pouce s’engouffre dans mon rectum. Je me laisse faire, je ne peux réprimer qu'un léger soupir de contentement. Alors, comprenant le message, le pouce s’invite de plus en plus en moi, m’élargissant au fur et à mesure de ses visites incongrues.
- Je sens qu'elle est prête, on se l'a fait ensemble, simultanément ?
- Hein ??? Maintenant ! Tous les deux ! Dis-je d’une voix inquiète.
- Bien sûr, tous les deux en même temps ! Ça ne vous tente pas ?
- Tous les deux ? En même temps ?
Ensemble, ils se positionnent tous les deux à mes entrées. Sous moi, Marcel guide sa bite, son gland épousant ma grotte lubrifiée par ma cyprine. Par-dessus, le voisin se positionne, sa queue bien raide, prête à me forer.
Je sens alors leurs tiges de chair s’enfoncer en moi de façon synchronisée. Chaque millimètre de chair transpercée est une victoire, chaque centimètre, un triomphe. C’est pourtant la première fois que je suis investie de la sorte et de cette si parfaite entente, de ces mêmes chairs dures et gonflées qui s’enfouissent dans mon ventre et mes entrailles. J’halète, je me tortille, je mordille, je veux tout et j’ai peur. Peur de l’intensité qui me gagne, peur d’exploser sous leurs efforts conjugués, peur de jouir à en mourir.
- OOOHH !!! Oui !! OOOFFF... OUIIIIIII !!!!!!
J’agite plus encore mes fesses et le salaud qui m’encule entre encore plus profondément en moi, je sens alors une nouvelle vague venir, un orgasme fuse impérieux dans mon rectum. Déjà une onde déferlante vrille mes entrailles, rayonne dans les fibres de mon corps. J’essaye tant bien que mal de la juguler, mais les deux hommes ne sont pas encore arrivés au bout de moi-même. Leurs pieux de chair continuent leur lente progression dans mes tunnels intimes, percent mes défenses, investissent mes recoins. Il faut que je tienne jusqu’à la porte ultime…
Soudain, une voix rauque retentit dans la brume chaude dans laquelle je suis plongée :
- Ah ce qu’on est bien comme ça ! C’est le pied intégral !!
Une autre voix mâle lui répond aussitôt :
- Je ne te le fais pas dire ! Baiser de la sorte, je recommencerais ça sans problème tous les jours !
- Y a pas à dire, mais les salopes, il n'y a rien de meilleur !
Amusée par cette répartie, cependant néanmoins au bord de l’explosion, je ne réponds pas. C’est vrai qu’on traite rarement de « madone » une femme qui s’envoie en l’air avec deux hommes donc un qu’elle ne connaissait même pas il y a quelque temps. Et comme ni la religion ni la société n’ont admis les trios comme étant une des normes légales. Le voisin chantonne presque.
- Ta Nicole est une bonne salope ! Une sacrée salope ! Et j’adore les salopes comme elle !
Sous ces mots crus et spontanés, sous ces coups de boutoir, des flashes puis une onde de choc extraordinaire me percutent de plein fouet, c’est bien l’une des premières fois que j’ai un tel orgasme.
Un raz de marée tempétueux me balaye, m’emporte, explose en ricochet dans mon corps en folie. L’ultime porte s’est ouverte, fracturée par deux intrus qui me pistonnent, me possèdent, me partagent et m’exploitent. Je sens distinctement dans la tourmente qui m’emmène leurs chairs en moi occuper tout mon espace, leurs jets chauds et gluants qui tapissent mes grottes cachées, leurs frictions qui échauffent mes sens, leurs va-et-vient qui me font osciller, ballotter mes seins et mes fesses comme une poupée dans les mains des horripilants, mais adorables voyous que sont mes deux amants.
Alanguie, je reste affalée sur le corps de l’un, couverte du corps de l’autre. Une sensation délicieuse, pas très morale, mais exquise. C’est surprenant et merveilleux de les sentir et faiblir en moi, qu’ils soient, à la fois autour et au-dedans. Amusée, dans une semi-inconscience, je songe que comme je ne suis pas morte, ils voudront sans doute réessayer et le plus vite possible. De nouvelles perspectives s’offrent à moi…
Je suis rompue, ils se retirent délicatement de moi, je roule sur le dos, béate, les bras en croix, les jambes écartées, impudique à souhait. Ils s’approchent, m’entourent. D’un simple signe, je demande d’approcher plus encore puis je les arrête. Ils sont à la bonne place, bien positionnés. Je m’offre le dernier luxe, la dernière fantaisie, la dernière petite dépravation avant de sombrer en cueillant leurs sexes flasques entre mes lèvres. Dans ma bouche, ils reprennent consistance tandis que je les nettoie amoureusement et lascivement, goûtant à toutes leurs saveurs et aux miennes mélangées. Puis, lassée, vidée, je les abandonne en retombant sur l’oreiller.
Repue, satisfaite, je m’étire comme une chatte comblée et je sombre dans un doux demi-sommeil. Avec précaution, mes deux amants se retirent du lit, je sens leurs regards fervents et affectueux sur ma petite personne. Ils ne parlent pas, mais caressent mes cheveux, ma nuque, mon dos, arrachant des frissons à ma chair survoltée. Parfois une main flatte mes fesses, les tapotant, comme l'on fait à une jument que l'on vient de monter et qui vous a donné pleine satisfaction... Mais cette désinvolture même m’émeut. Je parie qu’ils croient que je dors profondément comme j’ai parfois coutume de faire après l’amour.
Ils finissent par partir. Marcel me promet de revenir le lendemain. Je suis une salope?? J’ai aimé cette soirée.
A suivre...
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