Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.
****
De somptueuses jeunes américaines sont enlevées et vendues.
Faire une lune de miel en croisière avec son époux si amoureux juste après sa première année d'enseignement avait représenté l'aboutissement d'un rêve pour Julie Armstrong, jeune prof des écoles de 24 ans. Les jeunes époux auraient dû en garder un souvenir enchanté.
Et voila que la banlieue dans laquelle elle avait emménagé avec son jeune mari était sens dessus dessous, la ravissante jeune femme avait subitement disparu. Sa voiture fut découverte la semaine suivante à 200 km de là près de la petite ville portuaire d'Ashton, elle était garée au fond du parking d'un minable motel.
L'enquête tourna court, les policiers ne trouvaient aucune trace d'elle, elle n'était pas inscrite sur le registre du motel, il semblait qu'elle s'était désagrégée dans la nature.
Son mari interrogé n'avait pu que dire qu'ils avaient visité cette petite ville portuaire l'année précédente, ils étaient partis de là pour leur croisière de lune de miel vers Mexico et c'est là qu'ils étaient revenus au port leur croisière terminée. Une enquête fut diligentée sur le navire de ligne dans l'espoir que quelqu'un ait aperçu la jeune femme cherchant à retrouver l'esprit de sa lune de miel quelques mois plus tôt.
Le mari interrogé à nouveau ne put que dire que sa femme lui semblait maussade les derniers jours de leur croisière, lors de leur retour à Ashton, mais il avait pensé que c'était uniquement parce que leur croisière se terminait et qu'ils allaient devoir reprendre le boulot.
Il n'y avait aucune trace d'elle sur le cahier de bord du navire qui était rentré au port les jours précédents, l'interrogatoire des matelots tourna court en raison de la forte diversité de nationalité des hommes composant l'équipage. Faute d'éléments, les autorités avaient fini par mettre l'affaire en suspend sans pour autant la classer définitivement.
La découverte de la voiture sur le motel proche d'Ashton et le fait que les Armstrong étaient partis et revenus de croisière de lune de miel à Ashton étaient les seuls éléments dont disposaient les enquêteurs.
Le navire de ligne était reparti, il était inconcevable d'interrompre ses activités alors que rien ne permettait d'impliquer un membre de son équipage dans la disparition de Julie Armstrong. Il existait cependant un point de convergence entre la jeune mariée et le navire de haute mer. A mi-chemin de sa croisière, alors que le bateau était amarré sur un des quais de Mexico, sa photo avait été sélectionnée par une notabilité du pays.
Cet homme s'appelait Julian Sanchez, il avait fait fortune dans la drogue et la prostitution, et il avait acheté sur photo la ravissante jeune femme au maître d'équipage du navire responsable de la clientèle pour en faire une vedette dans un de ses bordels. La discussion avait été courte, Omar avait proposé à monsieur Sanchez un ensemble de plusieurs photos de jeunes femmes toutes aussi ravissantes les unes que les autres, commentant le cliché retenu par son acheteur.
- "Hummmmm... Monsieur Sanchez regardez moi cette paire de jambes... Elles étaient verrouillées dans mon dos alors que j'étais planté dans la chatoune de cette somptueuse salope !"
Puis regardant les notes au dos de la photo, il confirmait :
- "Un excellent choix monsieur Sanchez... Madame Julie Armstrong... Une ravissante jeune femme de 24 ans, elle était en voyage de noce... Une prof des écoles diplômée d'enseignement élémentaire fraîchement émoulue de l'école normale... Je devrais pouvoir vous la ramener vers le milieu de ses vacances d'été ! Cela vous fera une excellente recrue... Je me réjouis déjà de lui enseigner comment donner du plaisir aux hommes avec ses jolies lèvres..."
Et sans raison apparente Julie Armstrong avait disparu pour réapparaître dans le monde fermé de l'esclavage sexuel. Personne ne se doutait, ni même imaginait les épreuves qu'avait traversées la malheureuse jeune mariée.
Il était ressorti de l'interrogatoire de son jeune époux concernant leur vie intime, que Julie Armstrong était arrivée vierge au mariage et qu'elle n'avait pas connu d'autres hommes que lui dans sa vie. Elle n'avait pas eu d'autre petit ami que lui aussi n'y avait il aucun suspect sur lequel enquêter. S'ils avaient seulement pu imaginer qu'en cet instant, dix jours après sa disparition 2000 hommes environ avaient usé de ses charmes.
Le lendemain de leur escale à Mexico, lors du retour vers Ashton, Julie était follement heureuse, la réception, le mariage, la croisière tout avait été parfait. Alors que Dave, son mari allait taper une paire de balles de golf sur le pont supérieur face à l'océan, Julie se réjouissait de regagner sa cabine pour y prendre un peu de repos.
Soudain une large main surgie de nulle part s'était plaquée sur sa bouche étouffant ses appels à l'aide. Traînée en arrière, elle se retrouva dans le noir complet, enfermée avec son ravisseur dans une cabine dont il avait claqué la porte. Il enleva sa main de sa bouche, Julie hurla de toutes ses forces, malheureusement pour elle les cabines parfaitement insonorisées, personne n'entendit ses cris.
Elle se retrouva épinglée sur le petit lit meublant la cabine, mains bloquées au dessus de la tête alors que de l'autre main son agresseur s'attaquait à son chemisier. Il déchira son corsage de bas en haut, la dépouilla de son minuscule soutien-gorge, elle ne pouvait que sangloter et supplier son ignoble assaillant d'arrêter alors qu'il se mettait à lécher et mordiller ses mamelons. Julie avait beau se démener elle ne parvenait pas à endiguer les assauts de son suborneur qui déjà lui descendait son pantalon sur les chevilles. Juste vêtue de sa petite culotte Julie larmoyait :
- "Non... Oh non... Je vous en prie... Je vous en prie... Arrêtez... Je viens juste de me marier... C'est mon voyage de noce... S'il vous plait... Ne me faites pas ça... Je n'ai jamais connu d'autre homme que mon mari !"
Sa petite culotte déchirée, Julie dut subir des caresses qui lui étaient totalement inconnues, il écarta ses cuisses en grand et fourra son groin dans son compas velu. C'est en lui agrippant les cheveux qu'il avait fort crépus, qu'elle comprit que son violeur était un noir.
- "Oh non... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn..." s'époumonait elle frissonnant alors que ce vil individu parcourait d'une langue avide sa fentine.
Frissonnante elle crocha encore plus fermement ses cheveux, elle succombait à un orgasme inconvenant sous ses caresses immondes.
- "Ohhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... " frémissait elle éperdue.
Puis son corps s'amollit elle relâcha sa prise sur sa chevelure ses mains tombèrent le long de son corps, elle écarta largement les cuisses lui permettant de laper sa juteuse chatte plus aisément. Omar se régalait de ses flagrances intimes. Cette délicieuse jeune mariée lui ferait bientôt gagner beaucoup d'argent, mais pour l'instant il s'agissait de prendre son plaisir avec elle et de jouir de ses charmes. Il l'avait épiée et suivie prêt à sauter sur la moindre opportunité lorsqu'elle se trouverait séparée de son mari et voila qu'il pouvait profiter tout son saoul de ses charmes.
Elle était franchement succulente cette naïve jeune mariée, mais il était temps maintenant de lui faire goûter aux assauts d'un vrai homme doté d'un solide membre viril, ça risquait de la changer de la ridicule saucisse de son petit crétin de mari. Omar jubilait en l'entendant pousser ses cris de terreur alors qu'il plongeait son épaisse bite dans son étroite petite chatte.
- "Aieeeeeeeeeeee... Arrêtez... Arrêtezzzzzzzzzzz... Ca fait mal... Si mal... Non... Je vous en prieeeeeeeeeeee..." le priait-elle alors qu'il la labourait sauvagement.
Il la força à s'agenouiller lui précisant :
- "Cela me fait très plaisir d'être le premier homme à te faire goûter à sa queue !"
Et comme la bouche pleine de sa bite elle étouffait, il prit plusieurs photos, les éclairs de flash se succédèrent dans la cabine obscure, cela lui procurait les armes qui serviraient peut-être à l'asservir plus tard, elle voudrait sûrement éviter l'envoi de tels photos à son mari et à sa famille. Sachant qu'elle était enseignante, ayant relevé son numéro de téléphone sur le registre des réservations, il décida qu'il l'appellerait l'été suivant pour lui donner rendez-vous dans une chambre d'hôtel d'Ashton. Il la menacerait d'envoyer à son mari, sa famille et ses proches, les photos d'elle ayant des rapports sexuels avec un noir si elle refusait de le rejoindre.
La ravissante jeune femme savait qu'elle devait lui complaire, coucher avec lui, mais elle était loin de suspecter qu'il la droguerait et la transporterait sur le navire de croisière où il la cacherait dans une cabine à fond de cale. Elle avait déjà été violée à répétition dans la chambre d'hôtel avant que des hommes d'équipage complices d'Omar ne la transporte à fond de cale. Le temps de la traversée il vendit son corps à de nombreux matelots de toutes nationalités avides de goûter aux succulents charmes de la jeune beauté américaine. Elle fut baisée à couilles rabattues par environ 200 clients, toujours sous l'influence de fortes doses de cantharide qu'il lui faisait ingérer pour l'exciter à mort.
Une fois à Mexico, toujours sous l'influence de la cantharide, vêtue d'un corsage blanc et d'une jupe bleue marine qu'elle avait enfilée pour rencontrer son maître chanteur dans la chambre d'hôtel d'Ashton elle débarqua discrètement. Incapable de raisonner sainement, ne sachant pas où elle se trouvait, Julie se laissa entraîner sans protester. Cependant elle pensait toujours à son gentil mari, mais l'excitation entretenue par la drogue entre ses cuises, elle pensait surtout à ces nombreux hommes qui l'avaient baisée frénétiquement pendant toute la traversée. Après un court trajet, il l'aida à descendre de voiture l'emmenant rejoindre un mexicain pansu qui semblait les attendre.
- "Ah monsieur Sanchez, je vous présente l'adorable madame Julie Armstrong..."
- "Soyez les bienvenus mes amis... C'est toujours un véritable plaisir de rencontrer une ravissante américaine !" rétorqua le mexicain lui baisant la main.
- "Je vous en prie entrez... Entrez dans mon humble demeure..."
L'expérience des derniers jours l'ayant renseigné sur les intentions de son ravisseur et de son ami, Julie savait déjà ce qui l'attendait. Bien qu'elle renâcla à leur obéir, elle les précéda dans le salon ou Omar précisa :
- "Monsieur Sanchez voudrait voir ce qu'il m'a acheté ma chérie ! Agenouille-toi sur la moquette et fais lui un pipe..."
Le mexicain ventru se posta devant elle, Julie tendit docilement la main pour ouvrir sa braguette et extraya de son caleçon une courte bite bien épaisse. Sanchez voyait la jeune femme trembler comme une feuille alors qu'elle branlait lentement sa bite qui prenait de l'ampleur entre ses doigts habiles. Lui enserrant le poignet dans sa main, il avança d'un pas alors qu'elle essayait de détourner son visage. Il la saisit par les cheveux et le força à demeurer face à lui puis il entreprit de forcer ses lèvres de son gland turgescent.
- "Ouvre la bouche ma chérie... Dis ahhhhhhhhhh... " gloussait-il vulgairement.
- "Oooohhhhhhhhhh oui !"
- "Et tu dis que cela ne fait que 4 mois qu'elle est mariée ? Mais quelle jolie petite pute ! Une excellente recrue ! Elle va fidéliser une bonne clientèle !" Se félicitait déjà monsieur Sanchez.
La tenant fermement par la nuque, il baissa les yeux sur la ravissante américaine qui suçait servilement sa grosse bite olivâtre.
- "Oooooooh... Ooooooooooohhhhhhhhhhhh... " mugissait-il, la forçant à l'avaler en pleine gorge, lui maintenant la tête dans un axe lui permettant de s'enfoncer profondément dans sa gorge.
Une fois encaissé le prix de cette chair blanche de première fraîcheur, Omar l'informa :
- "Je te reverrai demain à la même heure mon frère ! J'espère que tu vas te régaler avec ta nouvelle recrue cette nuit, pendant ce temps je vais préparer le prochain colis que je t'ai promis !"
Empochant les 25.000 $, Omar retourna au navire et versa 10 % de son gain aux copains qui lui avaient facilités le transport et le transbordement de sa proie. C'était une dépense inévitable pour s'assurer la complicité des ces matelots qui sécurisaient son petit commerce. De retour à bord le navire, Omar descendit dans la cale pour y rencontrer Abdul et vérifier l'état du colis qu'il avait gardé pour lui.
Il recomptait l'argent que lui avait rapporté la livraison de Julie à monsieur Sanchez additionnée des 25.000 $ que la location de son cul à l'équipage lui avait directement rapporté.
Abdul était un géant noir qui avait un urgent et important besoin d'argent à envoyer à sa famille pour faire soigner son père gravement malade. De ce fait il était vital pour lui de gagner un maximum de fric en un minimum de temps, quelque soit la manière de le gagner, mais si de plus il pouvait y prendre du plaisir. Connaissant cela, Omar savait qu'il pouvait compter sur lui, et afin d'en faire son bras droit dans ses futurs méfaits Omar lui dit :
- "Allez mec viens avec moi, si tu veux te faire un petit bonus..."
Les yeux écarquillés d'horreur, Katie Sherman regardait la porte de sa cellule s'ouvrir sur un géant noir qui la lorgnait avec concupiscence. Elle se mit à trembler comme une feuille totalement paniquée, elle se saisit du drap de lit pour couvrir son corps nu et souillé. Droguée, sous la constante influence de doses de cantharide, Katie s'était faite baiser par un nombre incalculable d'hommes ces derniers jours, des hommes de nombreuses nationalités qui dépensaient une partie de leur solde pour goûter aux charmes d'une ravissante américaine. L'un après l'autre, ces hommes s'étaient succédés dans sa chatte apaisant momentanément le feu qui lui embrasait l'entrecuisse.
Elle avait voyagé sur le même navire que Julie Armstrong quelques mois plus tôt, c'était un cadeau de son mari pour célébrer son 25ème anniversaire. Madame Katie Sherman, une adorable rousse, était décoratrice d'intérieur. Elle semblait si innocente dans son élégant tailleur blanc sur les photos qu'Omar avait présentées à monsieur Sanchez que ce dernier l'avait retenue pour travailler dans le meilleur bordel du pays. Une fois sélectionnée, Omar dit au proxénète
- "Ohhhhhhhhhh vous verrez monsieur Sanchez, sa peau est si soyeuse, si claire... Je repense à cette pièce spéciale dans votre bordel... Cette ravissante décoratrice enjolivera sûrement ce sombre et sévère donjon... Elle se fera baiser par ses clients enchaînée au mur par ces menottes que vous m'avez montrées... ses pleurs renforceront vivement le plaisir de ses consommateurs.
La dernière nuit en mer juste avant de rejoindre le port de départ, épuisée par la croisière, elle avait conseillé à son mari de rester à jouer au casino alors qu'elle retournait se reposer dans leur cabine. Katie était confiante, elle jeta un œil dans le long couloir histoire de s'assurer que nul péril ne la menaçait, elle allait introduire sa carte magnétique dans la serrure de leur cabine lorsqu'elle fut saisie par derrière et traînée dans la cabine face à le leur.
C'était la dernière chance pour Omar de se faire une des touristes, il avait eu peur de ne pas parvenir à sauter la ravissante proie qu'il avait offert de livrer à Juan Sanchez au départ de Mexico. Comme ils ne s'étaient pas séparés lors de cette croisière de retour il avait craint de voir ses plans tomber à l'eau. Aussi lorsqu'il avait vu qu'elle quittait enfin son mari, Omar s'était précipité à l'étage de leur cabine se dissimulant dans la cabine face à la leur qu'il savait inoccupée.
Katie avait subi un viol aussi rapide que brutal, elle n'avait pu que sangloter et supplier son agresseur de la laisser en paix, mais en vain. Sa robe retroussée, sa petite culotte déchirée elle avait perdue ses chaussures et ne et n'avait donc pas pu planter ses talons dans ses jambes pour se défendre. La cabine étant insonorisée, personne n'avait pu entendre ses hurlements de terreur et de douleur alors que son assaillant plantait sa bite dans son étroite petite chatte. Mains bloquées au dessus de la tête, alors que sa bite était partiellement engagée dans sa foufoune, un éclair l'avait aveuglée.
Le viol terminé, le sale bâtard l'avait forcée à le sucer elle avait à nouveau était aveuglée par un éclair lumineux.
Ayant lu dans les journaux que les crimes et méfaits à bord des navires de ligne, dans les eaux internationales étaient rarement résolus, elle avait décidé de ne pas rapporter son viol et de ne pas en parler non plus à son mari. Elle prit une douche vaginale et pria pour que son viol n'ait pas de conséquences fâcheuses, elle ne fut soulagée que, lorsque le bateau ayant accosté, elle avait repris le chemin de sa maison en compagnie de son petit mari chéri.
Cependant, lorsqu'un mail lui parvint, annoté comme personnel et confidentiel, elle s'affola, le contenu la remplit de honte et de dégoût, elle décida que personne ne devait jamais voir ces photos obscènes, elle devait convaincre son maître chanteur de les lui rendre, quel qu'en soit le prix à payer. Elle ne voulait surtout pas qu'il diffuse ces photos dans son entourage, que son mari, ses parents, ses proches puissent en avoir connaissance. Elle reçut alors le fatidique coup de téléphone : son agresseur voulait la rencontrer, la menaçant de diffuser les photos en cas de refus de sa part. Elle chercha à savoir ce qu'il lui en coûterait pour récupérer les photos la seule réponse qu'elle eut en retour fut :
- "Toi !"
Elle craignait le pire, mais que pouvait-elle y faire, elle se résigna au fait qu'elle devrait à nouveau coucher avec lui pour qu'il lui rende les photos si compromettantes.
- "Elle devait passer trois heures en sa compagnie !" lui avait-il précisé.
Katie devait maintenant décider comment elle se rendrait au port de départ de leur fatale croisière. trois heures pour s'y rendre, trois heures à lui accorder et trois heures pour rentrer chez elle... Elle devait disposer d'une dizaine d'heures pour mener à bout cette opération récupération des photos.
Se sentant coupable, Katie prévint son mari qu'elle devait s'absenter pour son travail, sachant très bien qu'elle allait prendre un vol intérieur qui n'excéderait guère une demi-heure. Elle gara sa voiture sur le parking de l'aéroport puis se rendit au comptoir d'embarquement. Plus tôt, en retenant son billet, elle s'était sentie aussi coupable que si elle avait volontairement trompé son mari, alors qu'elle agissait ainsi sous lune impitoyable contrainte. Bien que ce soit totalement irrationnel, elle prit son billet sous le nom de Katie Mandel, comme si le fait d'utiliser son nom de jeune fille lui faciliterait les choses.
Lors qu'ils constatèrent sa disparition, la découverte de sa voiture à l'aéroport ne fut pas confirmée, le nom de Katie Sherman n'apparaissait sur aucun registre d'embarquement. Le fait qu'elle ne se soit pas volatilisée dans la même ville ni dans le même état que les deux autres disparues ne permit pas d'établir de lien entre ces disparitions non résolues. L'enquête conclut que madame Katie Sherman avait été accostée par un inconnu et vraisemblablement tuée par cet inconnu qui avait fait disparaître le corps, puis le tueur avait pris sa voiture et l'avait garée sur le parking de l'aéroport où il avait pris l'avion.
***
Abdul vit une peur panique s'afficher sur son visage à sa vue, il savait très bien qu'elle était terrifiée à sa vue. Bien plus grand que les autres membres de l'équipage, pesant 40 kilos de plus qu'eux, Abdul était visiblement capable de l'écraser comme une punaise s'il le voulait. Elle savait qu'elle serait incapable de respirer s'il s'allongeait de tout son poids sur elle, elle risquait de mourir étouffée. Mais en fait Abdul était un gentil géant, et il ne voulait en aucun cas faire mal à cette ravissante petite américaine.
En voyant s'approcher ce géant, Katie craignit qu'il ne la maltraite tout comme tous ces autres qui avaient voulu démontrer leur pouvoir sur elle tout en satisfaisant leurs appétits lubriques. A sa grande surprise elle l'entendit lui préciser d'une voix douce :
- "N'aie pas peur ma jolie petite dame, Abdul ne veut pas te faire de mal ! Abdul ne va pas t'écraser ! Regarde, Abdul s'étend sur le lit pour ne pas blesser jolie petite madame !"
Avalant sa salive, craignant que ce géant ne change d'avis si elle ne lui complaisait pas, bien que l'idée d'avoir des rapports sexuels avec lui la terrifia, elle tendit la main empoignant la bite de cheval qui trônait entre ses cuisses. Le géant noir lui semblait sincère en dépit du fait qu'il était là pour la baiser, Katie se sentit si soulagée par son petit discours qu'elle voulut l'en remercier de la seule façon qu'elle le pouvait. Elle avait appris au cours de ces derniers jours que tous ces étrangers prenaient un plaisir énorme à dégrader une jeune américaine en lui fourrant leur bite dans la bouche et en la prenant de toutes les manières imaginables. Des Japonais, des Chinois, des Philippins, des Coréens, des Brésiliens, des Ethiopiens, des Grecs, des Nigériens, des Turcs, des Mexicains, et encore bien d'autres étrangers lui avaient demandé de les sucer et d'avaler la fumée. Elle tremblait encore au souvenir d'un de ces hommes baragouinant un mauvais anglais qui lui avait dit :
- "Allez ma jolie petite dame... Suce... Suce ma bite... Salope !"
Elle ne parvenait pas à faire le tour de son épaisse hampe avec ses doigts, il grogna tout de suite lorsqu'elle entreprit de le branler consciencieusement. Puis le regardant droit dans les yeux elle tendit la pointe de sa langue et la promena sur sa hampe brandie.
- "Oh ma petite chérie... Ohhhhhhhhhhhh... "
Jamais une aussi jolie jeune femme n'avait cherché à lui plaire auparavant. Le géant haletait alors qu'elle promenait une langue experte sur sa virilité titillant son méat à chaque passage. Elle ouvrit la bouche en grand, elle ne parvint pas à enfourner le champignon écarlate, ses dents frottaient contre la tendre peau de son gland. Le branlant à nouveau, elle remonta à sa taille et empoigna sa grosse bite pour la promener dans sa foufoune ruisselante. A cet instant elle était heureuse d'avoir la chatte pleine de la semence des nombreux prédécesseurs d'Abdul, elle utilisa l'épaisse purée comme lubrifiant pour faciliter la pénétration de sa colonne de chaire dans sa chatte qui bien qu'élargie n'avait encore jamais été visitée par une bite de cette taille. Elle enfourcha le colosse cherchant à s'adapter à sa conformation en lui faisant explorer sa foufoune, c'est alors qu'il la toucha pour la première fois. Et il se montra très doux, posant ses deux mains sur ses hanches, il la caressa lascivement.
- "Ohhhhhhhhhhh...Ohhhhhh... Ah... Ahhh..." haletait Katie cherchant désespérément à s'embrocher sur sa monumentale flamberge.
Elle le branla à nouveau tout en le promenant au cœur de ses babines ruisselantes, elle était vraiment très contente d'être emplie de foutre. Bien qu'elle eut déjà mal, déterminée à s'offrir à ce gentil géant, Kati transpirait tant elle faisait d'efforts pour enfourner sa grosse bite dans sa chatte distendue.
- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !" frémit-elle longuement alors qu'elle s'empalait sur l'énormité du géant noir, elle se sentait distendue comme jamais elle ne l'avait été.
Le souffle court, elle restait sans bouger le temps de s'accoutumer à son énorme présence, elle priait pour qu'il ne chercha pas à la fourrer plus profondément pour l'instant. Quelques minutes plus tard, Katie se releva et se laissa retomber sur l'épais chibre, en l'air empalée, en l'air empalée... Elle avait maintenant plus de 22cm de bite dans la chatte. Tendant la main entre leurs deux corps, Katie empoigna sa hampe et réalisa immédiatement que l'épaisseur d'un poing restait au dehors de sa foufoune, elle se releva plus haut, cherchant à s'embrocher plus profondément sur son vigoureux pal.
- "Mon Dieu, sa bite mesure un bon 35 centimètres !" pensait Katie, se demandant si elle pourrait l'absorber en totalité dans sa cramouille distendue au maximum.
Abdul était enchanté, cette adorable américaine prenait grand soin de lui, jamais une ravissante jeune blanche ne s'était véritablement préoccupée de lui donner un maximum de plaisir, il ne savait pas si elle parviendrait à avaler la totalité de sa bite, mais au moins elle aurait essayé. Tout en lui caressant ses crémeuses cuisses, Abdul ne parvenait pas à croire en sa bonne fortune, habituellement les femmes qu'il fréquentait se montrait horrifiée par la taille de sa monstruosité et se refusait à prendre sa bite d'âne dans la moule.
Elle empoignait maintenant ses poignets guidant ses mains sur ses nichons, l'invitant à lui triturer les tétons. La cantharide qui courait dans les veines de Katie lui causait une intense démangeaison dans le bas ventre et les nibards, et elle ne connaissait qu'un moyen d'apaiser ce feu qui la rongeait. Ce géant doté d'une bite monstrueuse se souciait de ses besoins comme aucun autre homme ne s'en était soucié auparavant. Alors qu'il lui pinçait âprement les mamelons, comme elle l'invitait à le faire, Katie se mordait les lèvres s'efforçant d'absorber la totalité de son imposante colonne de chair dans la cramouille. Elle haletait tout en essayant d'accomplir cet exploit :
- "Oh... Abdul... Oh oui... Oui... Pince les... Triture les plus forts !"
Relevant un de ses pieds au dessus de son torse pour se relever plus haut, elle se laissa à nouveau retomber son imposante énormité. Puis elle se relevait encore, se laissait tomber encore et encore élargissant encore sa foufoune au gré des violents empalements. Elle tendit sa main droite pour happer les grosses burnes du géant les roulant et les malaxant entre ses doigts habiles.
- "Baise moi... Baise moi... Abdul, plus fort... Encore... Encorrrrrrrreeeeeeeeee !" pantelait Katie.
A sa grande satisfaction il la saisit alors aux hanches rythmant leur chevauchée selon ses désirs, la harponnant profondément.
- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ahhh... Ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !" hurla-t-elle succombant à un orgasme démentiel comme jamais elle n'en avait connu.
- "Ohhhhhhhhh... Oui... Mon adorable petite chérie... Fais moi juter à gros bouillons !"
Le gentil géant grommelait son plaisir alors qu'il se mettait à éjaculer des torrents de foutre dans sa chatte embrasée. Jamais personne n'avait aspergé sa chatte d'une telle dose de foutre. Katie s'effondra sur le corps du colosse recueillant les dernières vibrations de la grosse bite toujours plantée en elle.
- "Ohhhhhhhhhhhh... " gémit-elle de désappointement lorsqu'il extirpa sa monstruosité de sa chatte distendue comme jamais.
Une chose était certaine, la monstrueuse bite d'Abdul avait définitivement dilaté sa cramouille. Un peu plus tard, sentant l'épais gland cogner de nouveau à la porte de sa chatte, alors que sa bite reprenait une évidente vigueur, Katie se pencha pour empoigner à nouveau sa virilité. S'agenouillant elle l'attira à lui murmurant :
- "Abdul... Abdul..."
Pour toute réponse il s'assit sur le bord du lit, Katie rampa vivement pour se poster face à lui. A quatre pattes elle guidait maintenant l'épaisse mentule dans son intimité, parcourant de bas en haut sa foufoune ruisselante.
- "Oh, oui... Oui, Abdul... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Baise encorerrrrrrrreeeeeeeeee !" haletait-elle alors qu'il la fourrait en levrette.
Ravie de s'être fait baiser en levrette par le gentil géant, Katie se servait de ses muscles vaginaux pour le traire littéralement alors qu'il prenait toute les précautions pour ne pas l'écraser de son poids. La porte métallique s'ouvrit soudain et Omar intervint de la voix :
- "Terminé Abdul !"
Quelques instants plus tard, le doux géant sorti de la cabine, Katie regardait un vieil asiatique efflanqué se déloquer. Elle vit sur son badge qu'il se nommait N'Guyen et qu'il venait du Vietnam
- "Allez jolie petite madame suce moi... Suce N'guyen !"
Il annonçait ce qu'il voulait obtenir de ses services.
Le lendemain droguée jusqu'à l'os, Katie enfila la robe blanche qu'elle avait mis pour le rejoindre, c'était celle qu'elle portait sur les photos qui avaient permis à Juan Sanchez de la sélectionner. Elle était temporairement transformée en zombie, l'effet de la drogue devait s'estomper d'ici une heure, au moment de l'arrivée de Juan Sanchez à l'hacienda. Bientôt le flot puissante cantharide qui courait dans ses veines exacerbant ses envies sexuelles, lui donnant une envie démentielle de se faire baiser diminuerait. Lorsqu'elle reprit pied dans la réalité, Katie se mit à trembler, paniquée, se demandant quel enfer s'ouvrait pour elle.
- "Ou suis je ?"
- "Dans quelle ville ?" se demandait-elle affolée en jetant un œil sur les chaînes qui lui entravaient les poignets dans l'obscurité de la cellule ou elle était enfermée mains rivées au mur au dessus de sa tête.
Un son sourd retentit à sa droite, la porte métallique s'ouvrait sur un mexicain pansu affichant un sourire lubrique, elle frémit de peur lorsqu'il annonça :
- "Bienvenue dans l'humble demeure de Juan... Tu es vraiment ravissante... Et l'on m'a dit que ton apprentissage avait porté ses fruits... Tu sais comment donner du plaisir à un homme avec tes lèvres et ton con charmante madame Sherman !"
Autorisé à regarder au travers des judas de la salle adjacente, Omar regardait le mexicain ventru s'approcher de l'adorable madame Sherman. Omar suspectait ce qu'il attendait des charmes de Katie, il avait donné l'ordre aux nombreux membres d'équipage qui avaient possédé son corps de ne pas toucher à son pucelage anal, monsieur Sanchez avait exigé qu'elle lui soit livrée pucelle du trou du cul. Alors que Sanchez lui caressait ses voluptueuses hanches, Omar voyait les orteils de la jeune femme trembler dans ses chaussures, elle mourrait d'envie de se dérober à ses caresses salaces. Omar observait attentivement, la drogue ayant largement diminué ses effets, son besoin de se faire baiser par n'importe quel mâle disparu, Katie sanglotait désespérément dans le donjon.
- "S'il vous plait... Nonnnnn... Arrêtez... Je vous en prie..." se lamentait-elle misérablement.
Et maintenant sa petite culotte blanche tirebouchonnée sur ses chevilles le mexicain bedonnant se postait dans son dos. Elle poussa un hurlement de douleur :
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeee... Arrêtez... Arrêtez... Je vous en prieeeeeeeeee..."
Juan la sodomisait sauvagement, plus il plongeait profondément dans son étroit œillet jusqu'ici inexploré, plus elle clamait sa douleur.
Lorsque Juan en eut terminé, il abandonna la beauté sodomisée inconsciente suspendue aux chaînes la clouant par les poignets au mur, des filets de foutre s'écoulaient lentement de son anus béant lui poissant les cuisses, Omar avait rendez-vous avec son acheteur pour projeter de nouvelles affaires. Il devait percevoir les 35.000 $ prévus pour la fourniture de Katie Sherman. Il avait sur lui 8 nouvelles photos de jeunes femmes qu'il allait proposer à la convoitise de Juan Sanchez enclin à toujours renouveler le standing de ses bordels en offrant des filles plus belles et plus fraîches que ses rivaux.
Il regardait le mexicain faire son choix, observant attentivement les jeunes femmes qu'Omar lui proposait, avant de sélectionner deux des beautés sur catalogue. Regardant à la première photo, Omar commenta :
- "Ah, une belle blonde comme vous les aimez ! Un excellent choix monsieur Sanchez... Toujours à l'entière disposition des clients... Cette ravissante blonde s'appelle Alexis Norvill, elle a 26 ans et si je me souviens bien le couple faisait une croisière pour fêter leur second anniversaire de mariage..."
Puis jetant un œil au dos de la photo, il ajouta :
- "C''est une bibliothécaire et elle a un enfant... Elle respire la pureté... Imaginez là ouvrant en grand ses cuisses crémeuses pour vous faire goûter à sa petite chatte blonde !"
La photo suivante provoqua de nombreux gloussements d'Omar :
- "Une autre somptueuse blonde... Encore un remarquable choix... L'adorable madame Robin Lansing, 25 ans, elle était en voyage de noce ! Apparemment très intelligente, elle travaille en tant que biologiste dans un grande boite de recherche en chimique... Elle aussi sera très réclamée par votre clientèle qui appréciera grandement ses services !"
Comme un représentant vendant sa collection, Omar disait juste ce qui fallait pour pousser à l'achat.
Le marché conclu, Juan Sanchez le surprit agréablement en invitant sa femme de ménage à dire à son hôtesse d'enfiler une tenue de soirée et de les rejoindre au salon. Cinq minutes plus tard, savourant un apéritif avec son hôte, Omar se redressa vivement en reconnaissant la sculpturale beauté blonde qu'il lui avait livrée 6 mois plus tôt, la première esclave blanche qu'il lui avait procurée. Il se rappelait très bien la somptueuse madame Laurie Walker, elle était toujours aussi belle, cependant il nota un changement d'expression sur son visage.
Elle ne semblait pas le reconnaître et n'affichait aucune émotion sur son visage lisse alors qu'elle s'approchait de lui. Omar se rappelait très bien la photo qu'il avait pris d'elle elle était alors vêtue d'une longue robe noire ornée d'une large bande rose à la ceinture. Abasourdi et enchanté Omar comprit que la jeune femme était la pour obéir aux ordres de Juan Sanchez :
- "Laurie, je te présente mon grand ami Omar, salue-le à ta façon ! Tu peux prendre un coussin pour t'exécuter plus confortablement de ta tâche !"
Ce disant, il jeta un coussin aux pieds d'Omar, la ravissante blonde s'agenouilla immédiatement sur le coussin et tendit la main pour ouvrir sa braguette. Elle pêcha sa grosse bite dans son caleçon et l'emboucha immédiatement pour le sucer avec une science affirmée.
Renvoyée dans sa chambre après son impeccable performance, il entendit monsieur Sanchez lui préciser :
- "Retourne dans ta chambre et mets toi à poil, mon ami ne dispose que de peu de temps, il ne pourra consacrer qu'une petite heure pour goûter à tes charmes avant de retourner à bord..."
Il apprit ensuite de la bouche du proxénète que madame Walker venait de se faire prendre par trois clients fous de ses charmes.
Puis il s'enquit de l'avancée des recherches menées par la justice américaine concernant sa disparition, Omar lui assura que l'affaire était classée les autorités ne trouvant aucun indice pouvant les mener sur une piste.
- "Tu as vu comme elle suce bien mon ami... Imagine le nombre de mes amis mexicains qui ne s'étaient jamais fait faire une pipe par la bouche d'une somptueuse américaine... A 50 $ la pipe et une pipe tous les 10 minutes !" jubilait son hôte ravi des performances de sa ravissante gagneuse.
- "Dernièrement, pendant les vacances de Pâques, une queue invraisemblable s'était formée dans la cour devant sa chambre j'avais organisé une fête spéciale pour mes meilleurs clients... 30 $ la pipe par la somptueuse madame Walker... Deux jours de paie pour les salariés de ce pays... Eh bien elle a établi un record... La charmante madame Lori Walker a sucé une centaine de bites mexicaines en sept heures... Certains sont même passés deux fois ! 3.000 $ dollars la journée ! Pas mal non ?"
Avant de le quitter, Omar remercia son hôte de lui permettre de goûter à nouveau aux charmes de la fastueuse Lori Walker. Après 6 mois dans les bordels de monsieur Sanchez, sucer et baiser était devenu une seconde natures pour la jeune beauté américaine. Elle ne fit aucune objection pour se mettre à quatre pattes et à sa demande, elle pointa elle même sa bite sur son petit œillet ridée.
- "Un chemin que n'avait jamais emprunté son petit con de mari ! S'il savait à quel point sa femme est maintenant dévergondée !" gloussait-il au fond de lui même.
Déjà la ravissante jeune femme experte dans les jeux de l'amour adoptait un rythme soutenu une fois sa bite profondément enfouie dans ses entrailles. Omar suspectait que Julie Armstrong et Katie Sherman devait être aussi performantes maintenant, au vu du grand nombre de clients a avoir testés leurs appâts lors de leur retour à Mexico.
FIN.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours