vendredi 7 octobre 2022

J'offre ma copine en gang-bang Ch. 01

 Histoire de Philthyphil

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Je suis avec Céline depuis presque trois ans. Nous avons tous les deux 26 ans, sommes tout deux hétéros et résidons sur Paris. Elle fait 1m79, plutôt mince, blonde naturelle et dotée d’une très impressionnante paire de seins. Céline est du genre à s’habiller très classiquement sans provoquer ou exhiber les parties intéressantes de son anatomie. Elle n’est pas du genre féminine à se pomponner ou à attacher beaucoup d’importance à son physique. Mais quand elle le fait, elle arriverait à faire bander un saint. Et cette salope le sait. Parfois elle porte des décolletés relativement bas qui moulent sa prodigieuse poitrine, et l’effet est plutôt rapide, beaucoup de mecs se retournent quand d’autres ne détournent pas les yeux une seconde quand ils passent devant. En plus, elle est assez grande et quand elle porte des talons, phénomène rare, elle se prend souvent quelques réflexions salaces qui ne manquent pas de m’exciter.

Nous avons une sexualité très épanouie bien qu’insuffisante pour moi, en perte de vitesse. Nous sommes tout deux adeptes du sexe hard. Je lui demande de porter des tenues de pute avec des talons le plus haut possible, le string qui dépasse de la mini-jupe et du maquillage à outrance. Je lui achète des faux ongles roses ou rouges, des faux cils pour qu’elle ressemble réellement à une bimbo, une salope pouffiasse sans aucun amour propre qui fait le tapin. J’adore quand elle se pavane tel une vulgaire prostituée, une pute de bas étage, un garage à bites. Je lui demande de faire la pute, de sucer le foutre des capotes, de s’amuser avec mon sperme, je l’humilie en lui écrivant des mots genre « garage à bites », « pompe à foutre », « salope offerte » et autres grosses pute, chienne … 

Nous pratiquons le SM (soft) parfois. Elle aime se faire attacher et malmener, se prendre des grands coups de butoir dans la chatte ou être bâillonnée avec les boules ball-gag. Je prends des photos d’elle et je la filme souvent en lui crachant à la gueule et en l’insultant de tous les mots avant de lui caler ma bite au plus profond de sa bouche. J’ai toujours rêvé de l’exhiber sur internet ou de lui faire du chantage : « Si jamais tu ne suces pas tous les mecs dans les chiottes du bar, ou tous les routiers de l’aire de repos j’envoie les photos et les vidéos à ta famille, tes amis, tes collègues de bureau et tout ton facebook. » Je me suis fait des films où je la possédais et où elle m’appartenait et devait consentir à toutes mes envies sexuelles les plus perverses. Jusqu’ici je ne l’ai jamais fait, mais l’idée trotte pas mal dans ma tête. Céline adore pomper, c’est une vraie passion chez elle. Pomper et le sperme. En plus elle fait des gorges profondes, ce qui est rare chez une jeune femme. Pour imiter un bukkake, je lui renverse du lait concentré sur la gueule et sur les seins. Le lait concentré a la même texture que le sperme bien qu’ayant une teinte plus jaune. Elle adore s’en renverser sur le corps et sur le visage, imitant des jets de foutre qui viennent s’abattre sur son visage de catin.

Mais depuis un an déjà je fantasmais à l’idée de la voir avec d’autres hommes en même temps. De se faire prendre, soumettre et défoncer par d’autres m’excitait au plus au point. J’ai toujours souhaité la partager, offrir cette grosse pute à une bande de mecs qui la défoncerait, l’humilierait et lui montrerait qu’elle est vraiment la dernière des putes.

Depuis longtemps nous en avons parlé, tantôt elle me disait oui, tantôt non. A l’époque c’était même elle, cette gourmande salope, qui m’en avait parlé et qui avait fait naître cette idée chez moi. Nous imitions parfois la situation quand je lui demandais d’alterner entre ma bite et plusieurs godes ou d’imaginer la situation si elle avait plusieurs queues pour elle toute seule. Elle m’écrivait parfois des récits pornos en sms, quand j’étais au boulot ou en déplacement. Elle y narrait ses exploits imaginaires quand elle suçait des tonnes de bites dans les chiottes malpropres d’une boite de nuit et qu’elle finissait recouverte de sperme. Dans ses affabulations, tantôt elle était prise en sandwich par des militaires, tantôt elle suçait toutes les queues d’un cinéma, tantôt elle se prenait une douche de sperme dans un bar…

Du coup je ne pouvais plus tenir, j’avais tout essayé. Je lui ai proposé des rencontres avec des amis, d’aller dans les bars ou dans les boites pour trouver quelqu’un (ou plusieurs personnes) pour elle. Je lui ai soumis l’idée de tester des boites libertines et je me suis même inscrit, avec son accord et son aval, sur un site de rencontre en ligne pour trouver des gens intéressés pour sauter cette petite salope. Je dis petite car tant qu’elle ne se fera pas péter le cul par une dizaine de blacks en ruts pour finir la gueule recouverte de foutre et l’estomac remplit de sperme elle ne sera jamais une grosse pute.

Du coup après un an d’attente je me suis décidé. Elle n’a plus le choix, je vais la mettre devant le fait accompli et elle ne pourra plus faire marche arrière. Je savais au fond de moi-même qu’elle ne protesterait pas en plus et ; pour un peu qu’elle soit éméchée ; elle adorerait et voudrait recommencer. J’ai donc contacté cinq mecs, bien bâtis, dont un black pour les inviter chez moi un soir de semaine. Je leur ai imposé deux règles, qu’ils ne se branlent pas jusqu’à la date fatidique, pour que ma salope soit entièrement recouverte de sperme, et qu’ils se cassent dès l’affaire finie.

Un jeudi, je leurs donne donc rendez-vous chez moi vers 18h00 en sachant que Céline finit plus tard. Les cinq mecs arrivent en même temps, nous faisons les présentations puis connaissance. Nous balançons les lieux communs les plus évidents, puis autours de verres de bières et de whisky je commence à leur exposer les règles. Je leur dis d’être sympas, attentionnés pour une première fois bien que pas trop prudes. Commencer doucement, y aller crescendo et finir dans un déluge de foutre et d’hormones. Ils étaient sympas et semblaient tout à fait comprendre. Nous commencions à être pas mal imbibés quand elle arriva dans l’appartement. Elle portait une jupe quelconque sur des Doc  Martens et avait un débardeur où on pouvait voir la naissance de ses seins, mais rien de très bandant. Elle fut surprise de voir autant de monde, et que des hommes. J’avais fait exprès de me mettre dans un coin où elle ne pouvait pas s’asseoir à mes côtés et trouva la seule place (belle coïncidence) entre deux mecs sur le canapé. 

Nous discutions de tout et n’importe quoi, je présentais les hommes comme des collègues du bureau et au fur et à mesure des verres je voyais que son œil commençait à s’égailler et qu’elle devenait un peu grise. Je percevais les regards lubriques des mecs sur son débardeur. Tout le monde savait ce pourquoi nous étions là sauf Céline. Nous commençâmes à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gang-bang. Je voyais qu’elle prenait du plaisir à en parler. Elle parlait de ses expériences à l’étranger où elle suçait tous les soirs un gars différent. L’idée faisait son chemin. Puis la main du type à sa gauche commença à lui effleurer la cuisse. Je fus surpris de voir que loin d’être choquée elle décroisa les jambes pour que le mec remonte plus haut. Le mec à sa gauche fit la même chose puis commença à lui caresser l’épaule pour descendre malaxer son sein.

Elle comprit très vite la situation, et au bout de quelques minutes me lança un regard qui semblait dire : «  ah, tu l’as fait sans mon accord, mais tu as eu raison au final ». Les deux mecs n’arrêtaient pas de la tripoter et je commençais à bander comme jamais. Je voyais également que les autres mecs avaient le pantalon déformé par une bosse au milieu de l’entrejambe.

Puis elle se leva d’un coup et parti aux toilettes. Nous continuâmes donc à parler de cul et certains me firent beaucoup de compliments sur la petite salope que j’avais à ma disposition et sur le fait que j’étais chanceux.

Puis au bout de cinq minutes elle ressortit des toilettes. Ah, je l’avais bien dressée cette salope, elle avait très bien compris. Elle ressortit avec des escarpins roses aux talons très fins et hauts, une robe manches longues qui lui arrivait aux fesses. Ses jambes quasi nues étaient exposées à toute l’assemblée. Elle avait un décolleté qui ne cachait pas grand-chose, on voyait ses deux énormes nibards resserrés et prêts à sortir. Tellement ils étaient gros, je crus que la robe n’allait pas tenir et se fissurer. Et pour finir elle s’était mise du rose sur les joues, du rouge à lèvre lui faisant une bouche de pompeuse de queues, du fard à paupières noirs et eyeliner noir lui faisant un regard de salope. Je regardais les mecs en train de baver sur elle, et la bosse de leur gaule encore plus grosse. Elle était magnifique la pute. Elle vint s’asseoir au même endroit entre les deux mecs sur le canapé et là toutes les flatteries fusaient.

- Waouh, t’es vraiment trop bonne comme ça !

- Dis donc tu as vraiment des nichons énormes ils sont pas refaits ?

- Putain t’as de la chance d’avoir une salope pareille…

Les deux mecs ont recommencé à lui peloter les nibards. Ils pétrissaient ses deux gros obus aux travers de la robe. Un fit sortir son téton qu’il commença à titiller et à lécher puis le pincer en lui embrassant le cou. La pute n’était pas farouche elle non plus et j’étais surpris par de tant de spontanéité. Certes elle était ivre, mais elle prenait des initiatives. Pendant qu’on s’occupait de ses nibards, ses deux mains se sont déployés de chaque côté et ont commencé à caresser l’entrejambe des mecs. Un troisième mec est arrivé derrière le canapé, le caleçon baissé et la bite à l’air et présenta à ma salope sa queue, de taille moyenne à la bouche.

La salope ne se fit pas prier et tout en déboutonnant les jeans de ses voisins elle léchait la bite du mec derrière. Le spectacle commençait : Ma copine, face à moi en train de sucer un mec pendant que chacune de ses mains branlait une bite. Les deux autres n’étaient pas en reste, ils ont sorti leur engin et ont commencé à se branler sur le spectacle qu’offrait une telle chienne, qui semblait affamée de bites. Elle alterna entre les queues pendant que ses deux gros seins étaient sortis de la robe et que des paires de mains s’employaient sur ma belle, à lui caresser le clitoris, lui enfoncer des doigts dans le cul ou lui malaxer les seins. Des doigts lui fouillaient la chatte, les bites s’enchaînaient dans sa bouche de pompeuse de queues. Ses mains branlaient celles qu’elle ne suçait pas. Ils se masturbaient sur elle, la biflant parfois ou la gratifiant d’un :

- Salope t’es vraiment qu’une pompe à jus, t’as du en sucer des kilomètres de queues pour sucer comme ça !

- Quel garage à bites ! Putain elle t’avale le chibre en entier !

Plus les insultes étaient salaces plus elle semblait aimer et être excitée. Je commençais à sortir ma queue et me branler, toujours assis en face. Je la voyais changer de queues, bouffer la première qui se présentait devant elle sans chercher qui en était l’heureux propriétaire. Je la voyais alterner entre les couilles et les glands. Elle remontait le long des hampes pour venir bouffer littéralement les bites, et gober les couilles. Elle semblait jouir par la bouche cette putain.

- Allez sors ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien, t’es une bonne chienne. T’auras tout mon jus à gagner !

- Putain je vais la recouvrir cette pouffiasse. Allez ; dis le que t’es une salope ; dis le que t’aimes les queues, salope ! On t’entend pas !

- Oh oui ! répondit-elle comme si elle jouissait, abusez de moi ; je ne suis que votre salope, une vide-couilles, une éponge à foutre. Videz-vous sur ma gueule ou dans chacun de mes orifices.

Je ne l’avais jamais vu comme ça, j’étais estomaqué. Je savais que c’était une salope mais là, à ce point, se lâcher comme ça, dès le premier soir, j’étais ravi et excité. Je n’avais jamais bandé aussi dur et je sentais mes couilles prêtes à exploser.

On la retourna, elle se mit à genoux sur le canapé, remonta le bas de sa robe jusqu’aux hanches et présenta sa croupe encore moulée dans son string, bien en évidence pour se le faire défoncer. Elle continuait à sucer une queue, les mains malaxant les couilles pendant que ses deux gros obus se balançaient au rythme des coups de queue que lui imposait le type. Il lui baisait littéralement la bouche. Il lui maintenait la tête avec sa main, et elle faisait des petits bruits et semblait adorer être un objet sexuel, être telle une pute offerte. Il ne mit pas longtemps à jouir, soit trop excité soit car cette pompe à bites faisait bien son travail. Le mec lui déchargea sur la gueule. Le sperme coulait de son front jusqu’au cou.

- Tiens, prends ça s’pèce de banque à sperme. Cria-t’il en jouissant.

Le sperme alla s’écraser sur son visage en différents jets. La douche de sperme commençait.

Un des mecs se positionna derrière elle, étira son string sur le côté, tapota son sexe contre la chatte suintante de ma copine devenue une catin et y enfourna sa bite d’un coup sec jusqu’aux couilles.

Céline fut surprise, mais ne pouvait dissimuler qu’elle adorait ça et qu’elle l’attendait. De la cyprine coulait de l’orifice d’où rentrait et sortait une grosse queue. Maintenant elle se faisait prendre par les deux bouts. Une bite lui baisant la bouche l’autre la chatte et chacune de ses mains branlait une bite, dont celle du black qui était vraiment impressionnante. Ça lui faisait une toute petite main en comparaison de l’autre.

On lui tira le string le long des jambes, on enleva sa robe pour la mettre complément nue. Elle était à poil, ses énormes seins jaillirent. Un troisième se branlait sur elle. Il approcha sa queue du visage de ma copine. Sa bite gonflait et devenait veineuse. Je voyais ma pute sourire puis tendre la langue pour recueillir tout le foutre. Elle en eu pour son grade la pute. Quand j’avais demandé aux mecs de ne pas se branler je ne m’attendais pas à ça. Le mec lui inonda la gueule, ça sortait pas torrent, se répandant sur ses cheveux, sur son visage et dans les yeux, ça coulait sur ses deux gros seins. Et ça lui inondait la bouche. L’éjaculation a dû durer 30 secondes et elle se prit une dizaine de jets blancs et juteux sur le corps. Le mec se finit sur sa langue et dans sa bouche. Elle avait la bouche remplie. Il sortit on téléphone portable et lui dit maintenant :

- Avale tout, pauvre chienne !.

Je l’aurai pensé choquée, anéantie, honteuse ou scandalisée par se faire filmer dans un tel état de dégradation, mais pourtant elle ne se fit pas prier et sembla même apprécier. Elle était couverte de sperme et continuait à pomper des queues. Le mec lui pilonnait la chatte en lui assenant des gifles sur le cul, elle a eu un orgasme.

- Alors petite souillon on aime ça se faire défoncer, sale morue. Tu la sens ma grosse queue dans ton petit trou ?

- Oh, oui venez me péter le cul avec vos grosses bites, je veux être remplie par tous les orifices et qu’on se vide sur moi. Je mouille comme une pute.

- T’inquiète petite salope, en temps et en heure. Maintenant bouffe-moi le cul sale chienne, lèche-moi le trou du cul ! Dit un troisième gars présentant ses fesses sous le nez de Céline.

Elle hésita quelques secondes puis elle obéit, comme la bonne grosse pute soumise qu’elle est. Elle déploya sa langue et vint lécher le trou du cul du mec pendant que sa main lui branlait la queue par-devant. Elle lui nettoyait l’œillet et rentrait à l’intérieur avec sa langue. Un des mecs la prit par le cou et l’obligea à fourrer tout son visage à l’intérieur pour lui nettoyer le cul.

J’étais là en spectateur passif, et je bandais comme un taureau. Je vins vers elle, la pris par les cheveux, la tirai, elle gémit un peu et poussa quelques cris, puis me faisant face je lui crachai à la gueule et la remis dans cet endroit qui avait l’air de lui plaire tant. Le mec poussa des râles. Il se retourna d’un coup, lui prit la tête avec les deux mains et fourra sa queue au plus profond de sa bouche pour déverser tout son foutre à l’intérieur de sa gorge de salope. Il semblait y avoir des litres, tant et si bien qu’à la fin elle ne put tout avaler. Sa semence ressortait des coins des lèvres de Céline et venait perler sur ses seins et couler le long de son menton.

- Allez on avale tout, sale pute et on dit merci !

- Oh merci ! Dit-elle dès qu’on lui eut retiré la bite de la bouche.

- Et maintenant on me nettoie la queue, salope ! Reprit le type.

Céline s’y employa magnifiquement bien et avant qu’elle eut pu terminer le gars s’essuya dans ses cheveux.

Un autre vint placer sa bite devant sa bouche et elle l’aspira comme une bonne pute, elle tira sa langue et goba ses couilles pleines de foutre, comme une bonne pompe affamée, ce sperme épais et chaud qui allait lui recouvrir la gueule.

Les bites se succédaient dans sa chatte, on l’a prise dans tous les sens. Moi je m’approchais de temps en temps pour lui faire bouffer ma queue, puis je m’éloignais un peu pour regarder la scène. J’avais sorti mon appareil photo et je filmais la scène. Elle ne protestait pas. Le black sortit aussi son téléphone et mitrailla de photos et de vidéos. Il les envoyait à ses potes qui ne semblaient pas du tout dessus. Puis le black se plaça à l’entrée de l’œillet de Céline, et après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur de l’orifice il lui planta son énorme bite. Ça avait du mal à rentrer. Sa bite était très impressionnante, épaisse et longue, toute veineuse. Quand il l’avait foutu dans la bouche de ma copine je me souviens de ses joues déformées par la taille de l’engin. Elle semblait suffoquer et manqua de s’étouffer mais semblait adorer. Un autre gars vint se placer en dessous et lui enfourna sa bite dans la chatte.

Les trois autres retrouvèrent la forme et se présentaient devant sa bouche. Les commentaires allaient bon train.

- Bourre-la cette pute, éclate le cul de cette pouffiasse !

- Défonce-lui le cul à cette connasse !

Céline gueulait et criait de plaisir et d’extase comme une truie quand sa bouche n’était pas investi par une queue ou une autre. On lui palpait les nibards, on lui malaxait les seins, on abusait d’elle et elle aimait ça. Elle était là, recouverte de foutre, du maquillage coulant plein la gueule, les trois trous de rempli. Elle était empalée sur le mec du dessous qui s’employait à lui filer des coups de butoirs dans la chatte, la bouche baisée par une bite qui lui touchait les amygdales et faisait s’étirer la peau de son cou et l’énorme bite du black qui sortait et rentrait de son cul comme un piquet. Dans chaque main elle branlait une queue, et moi j’immortalisais le spectacle par une vidéo. Je n’avais jamais autant bandé. Elle pompait dans tous les sens, insatiable, avidement. Un mec lui agrippa les cheveux pour lui faire bouffer sa queue à son rythme.

- Alors pétasse ça fait quoi d’être un objet à queues ? Une souillon ? Lui demandai-je.

Elle détourna le regard pour me regarder et je la voyais, reprendre son souffle, adorer se faire soumettre dans ces conditions. Elle semblait jouir à chaque fois qu’une paire de couille venait frapper son trou du cul ou ses lèvres. Elle pleurait de plaisir, et hurlait avant d’être prise de spasmes quand le black déchargea de son cul.

- Je vais jouir dans ton cul, salope !

Des filets de sperme coulaient tout le long de son trou, elle était remplie de foutre et semblait adorer ça. Elle poussa un grand râle, son corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant. Le black se retira et laissa le trou du cul dilaté de ma copine rempli de sperme qui coulait. Le trou béant était énorme.

- T’es vraiment une sale conne à défoncer. Lui dit le black en finissant de s’égoutter sur le dos de ma belle.

- Putain je vais t’emmener dans une cave de la cité pour te faire sauter par tout le bloc tu vas aimer…

L’idée m’excitait et je songeais déjà à l’offrir à une vingtaine de racailles qui abuseraient d’elle et l’humilieraient comme il se doit.

A peine la bite du black sortie, un autre s’engageait déjà dans la voie. Céline poussa un petit cri mais la scène était beaucoup moins impressionnante tant l’engin était de taille inférieure. On l’encula comme ça une bonne demi-heure, et elle hurlait de plaisir.

Ils la retournèrent dans tous les sens, la baisèrent par tous les orifices. On ne lui laissait aucun répit. Les mecs se succédaient et lui limaient la chatte, la bourrant sauvagement dans tous les sens. Elle est essoufflée et halète. Un mec sort de son cul pour lui enfoncer sa bite dans la bouche. Elle ne protesta pas et la lui bouffe comme une salope, le pompant et le branlant avec vigueur, en lui malaxant les couilles. Un autre vint placer sa bite dans sa bouche. Les deux bites faisaient du va-et-vient simultanément dans la bouche de ma copine, qui ressemblait désormais à tout sauf à une bouche, déformée par la grosseur des deux queues. Sa mâchoire était distendue. Puis, après la bouche, se fut le tour de son cul, le premier mec n’eut pas trop de mal à insérer sa queue dans le trou encore largement ouvert de ma Céline. L’autre mec, qui avait une queue fine mais très longue, se plaça à côté du premier et la pénétra aussi. Elle jouissait encore.

- Alors sale pute, ça fait quoi de se faire fourrer par deux grosses queues, salope ? demanda l’enculeur.

Elle ne pouvait répondre, un des autres mecs étant en train de lui forcer la bouche.

Du coup le mec qui lui ramonait le cul entrepris de redoubler la cadence et de venir frapper ses couilles le plus fort possible dans le petit orifice. Le second type qui l’enculait l’accompagna. Elle était là, à quatre pattes, se faisant défoncer le cul par deux bites. Elle recommençait à hurler de plaisir et se libéra de la queue dans sa bouche. Du coup le type repris de plus belle.

- Alors pompe à foutre je t’ai posé une question ! T’aimes ça te faire péter le cul par deux queues ça fait quoi ? Je parie que c’est la première fois pour toi ? (et c’était le cas)

- Ohhhh, c’est trop bon. Répondit-elle complètement dépassée par les évènements.

Sa voix était faible mais sincère. Elle était en extase.

- Je veux boire votre foutre et vous vider les couilles. Je suis une pompe à jus !

Ces mots dans la bouche de ma belle sonnaient comme du miel à mon oreille. Enfin cette salope était satisfaite. Non seulement elle était traitée à sa juste valeur, mais elle le reconnaissait et y prenait du plaisir.

On la fit s’agenouiller sur le sol et on se plaça tous autours d’elle. Six bites qui l’entouraient pour le recouvrir de foutre.

- Videz vos couilles sur ma gueule, allez y, je peux avaler si vous me le demandez.

- T’inquiète petite salope, mon jus de couilles arrive. Répondit un des mecs en train de se branler près du visage de Céline.

- Quelle garce quand même, j’avais pas idée que ça pouvait exister. Renchérît un autre.

Elle était comme ça à poil, à genou par terre comme la chienne qu’elle est, déjà maculée de foutre des éjaculations précédentes. Le bassin et la poitrine en avant, le cul bien en arrière comme si elle cherchait encore une queue pour se faire piner la rondelle. Elle était en position pour une douche de sperme, et en plus, elle tirait la langue.

Le premier jet ne mit pas longtemps et vint recouvrir le visage de ma copine. Deux autres avaient sorti leurs appareils photos et la mitraillait de flash. Elle ne disait rien comme un bon réceptacle à foutre. Le sperme s’abattait sur sa gueule de partout. Un vrai bukkake. Même dans les pornos je n’avais jamais vu autant de sperme. Elle était couverte de partout et devait finir de nettoyer les queues avec sa langue. Le sperme ruisselait, son visage était recouvert d’une crème épaisse. Ses gros seins aussi. Un des mecs déchargea au moins un demi-litre de sperme dessus. Elle prit ses obus entre ses mains, les resserrant en se touchant les tétons pour ne pas en perdre une goutte. Le foutre coulait dans son nombril et finissait sur ses cuisses, un torrent s’abattait sur elle, et cette salope souriait, satisfaite et insatiable.

Je continuais de filmer la scène avec l’appareil, l’ayant rapproché au plus près du lieu de l’action. Les trois mecs qui avaient déjà jouis avaient encore des ressources et ont recouvert de semence une seconde fois sur ma salope de copine offerte qui léchait les couilles et les bites qui l’entouraient. Le sperme arrivait en jets saccadés sur son corps, c’était magnifique.

Au fur et à mesure que chacun éjaculait, et comme on l’avait convenu, les gars qui avaient déchargé  se rhabillaient et partaient. Le premier lui cracha à la gueule avant de partir en me demandant si je pouvais lui laisser son numéro de téléphone. Que les gars du chantier dans lequel il bossait ne seraient pas contre se taper une grande blonde aux gros nibards et aussi chienne. Je refusais en lui disant que cette chienne m’appartenait et que c’était moi qui l’offrais. L’idée du chantier m’intéressant, je pris quand même son contact.

Le second la bifla, lui étala le foutre sur la gueule avec son gland.

- Lèche-moi salope, lui dit-t-il, le gland couvert du foutre qu’il venait de récupérer.

Elle ne se fit pas prier et lécha le liquide pour le faire disparaître dans son estomac. Elle fit claquer son palais et ouvrit la bouche en grand pour bien montrer qu’elle venait de tout avaler.

- Quelle salope ! dis le gars en prenant une dernière photo avant de partir.

Les autres lui emboîtèrent le pas. Ils tapotèrent leurs queues sur son visage. Le black la gifla gentiment me demandant si on pouvait remettre ça à l’occasion. Qu’il pouvait trouver des scenarios ou que son idée de gangbang dans une cité tenait toujours. Je lui promettais de le tenir au courant.

Quand la porte fut refermée et le dernier partenaire parti, je demandais à Céline son ressenti et ses impressions. Elle m’avoua qu’elle planait encore, qu’elle n’avait jamais eu autant d’orgasmes, ce que je n’eus peu de peine à croire vu son état et son comportement de tout à l’heure. Elle était encore recouverte de foutre qui continuait de ruisseler, et de son cul coulait un liquide chaud. J’imaginais les litres de sperme dans son estomac.

A suivre...

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