mercredi 19 octobre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 10

Texte de gkcdqho

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Nicole devient une vraie chienne.

Aujourd'hui vendredi après midi, c'est sans angoisse que je me dirige chez Marcel en espérant qu'il me fera autant jouir que vendredi dernier. C'est tout naturellement que je me retrouve nue au bord du lit.

- J'ai un cadeau pour toi, je t'ai dit vendredi dernier que tu es ma petite chienne maintenant donc je vais te traiter en chienne quand nous serons ensemble tous les deux.

Il sort de son sac un collier en cuir qu'il vient me passer au cou pendant qu'il me roule une pelle baveuse, je me laisse faire sous le coup de l'étonnement. Il se recule, prend une laisse dans le sac l'accroche au collier en un geste rapide.

Me prenant par la laisse avec le sac, il me mène dans la salle à manger puis me tire jusqu'au coin salon. Marcel m’arrête devant la petite table basse du salon. Nos bouches s'unissent, nos langues se mélangent. Sa main libre caresse ma fente, jusqu’au clitoris. Une agréable chaleur envahit mon ventre. Petit à petit, je m’abandonne aux douces caresses. Il me force à m’allonger sur la table basse. En femme soumise, j’écarte les jambes pour faciliter l’accès aux doigts qui ouvrent mes lèvres intimes. Marcel me regarde, le sourire vainqueur de celui qui obtient ce qu’il veut. Et moi qui commence à ressentir du plaisir, ses doigts vicieux continuant leur travail de sape à l’intérieur de ma grotte pleine de mouille.
 
Le battement de mon cœur se répercute au bout de mes seins, sur mon petit bouton d’amour. Ma respiration s’accélère, mes gémissements aussi. Je me cambre sur la table pour mieux aspirer les doigts qui me branlent, qui doigtent mon clitoris mis à nu, je me tords comme un ver sous les vicieuses caresses. J’atteins l’orgasme, tout mon corps se met à vibrer, pris de violents spasmes.

- Retourne-toi pour mettre ton ventre là-dessus. Dit-il.

Je m'exécute, me voilà à quatre pattes le ventre sur le plateau de la table basse, les genoux et les mains sur le sol. Il fouille dans son sac pour ressortir de larges lanières. Il m'attache les poignets et les genoux à chaque pied de la table, puis me passe une plus large sangle sur mes reins qu'il referme sous la table. Je suis à présent ficelée à plat ventre sur la table basse, me voilà prisonnière, les cuisses ouvertes laissant mon intimité disponible.

-Pourquoi est-ce que tu m'as attachée ? Qu'est-ce que tu vas me faire ???  Répond moi ?

Pour toute réponse, il sort de son sac une boule reliée par deux lanières, qu'il introduit de force dans ma bouche et attache les lanières derrière ma tête, je secoue la tête dans tous les sens. Je tire sur mes poignets et mes cuisses, mais rien ne bouge, je suis solidement liée a la table qui est fixée au sol. Je suis immobilisée dans une position humiliante, un sentiment de honte et de crainte m'envahit.

-Tu es bien comme ça, tu resteras là toute l'après-midi, je vais faire durer le plaisir. Aujourd'hui, n'oublie pas que tu es ma chienne maintenant et une chienne ça ne parle pas. Je grogne et bave sur la boule dans ma bouche tout en remuant la tête, il me passe une main dans les cheveux.

-Tout doux, reste calme, tu vas avoir ta part de plaisir aussi.

Il passe derrière moi, une main me caresse la chatte en l'ouvrant avec deux doigts. Il descend à mon bouton d'amour, qu'il pince, roule entre ses doigts, le fait bander pour le branler. Je gémis malgré moi, il sait se servir de ses doigts le salaud, je vais bientôt les baptiser s'il continue à me masturber ainsi, il y a bien longtemps que mon bouton n'a été aussi sollicité pour me faire jouir comme ça en si peu de temps.

Je m'abandonne dans un étrange mélange d'abjection et d'excitation, mon sexe s'humidifie. Il arrête de me branler au moment où je n'allais pas pouvoir retenir mes cris de plaisir. Un de ses pouces plonge dans ma grotte humide, farfouille énergiquement, ressort puis vient malaxer ma corolle, deux doigts plongent dans l'humidité de ma grotte pendant que son pouce s'enfonce entièrement dans mon fondement, je râle, grogne sur ma boule sous son emprise. L'excitation de cette situation atypique me rend folle. Exaltée, je baptise ses doigts de cyprine. Maintenant il frotte sa queue entre mes fesses qui frissonnent, il monte et descend de mon cul à mon sexe baveux puis d'un coup sec il pénètre ma grotte qui l’accueille avec plaisir.

Il commence à me limer en cadence, mes seins sont écrasés sur le bord de la table. Ses coups de queue deviennent plus puissants, voir même violents, il m'insulte me traitant de « Salope en chaleur », « sac à foutre », « marie couche-toi là », « chienne lubrique », « salope d'ouvrière ». Ses insultes augmentent la montée de mon plaisir qui fait une ascension fulgurante. 

Brusquement un jet brûlant jaillit au fond de ma grotte, il jouit bruyamment ses doigts crispés sur mes hanches en noyant littéralement mon vagin de son sperme qui fuse abondamment. Cela a pour effet de déclencher mon orgasme auquel je m'abandonne en remuant la tête dans tous les sens, les yeux fermés, je mords la boule sous les tremblements de mon corps.

Nous restons un long moment intimement liés savourant chacun la jouissance vécue. Un bruit insolite attire mon attention, j'ai la sensation qu'une autre personne est avec nous. Je remue la tête pour voir qui es là en me crispant d'angoisse, de honte, et de peur.
- C'est Jean mon voisin qui vient nous rendre visite, il voulait voir si je ne lui avais pas menti.

Horrifiée, profondément humiliée, je tente de me détacher, en vain, je suis bien retenue.

- Calme-toi ! Ce n'est que Jean, comme tu es offerte, il va se faire un petit plaisir.

- Tu lui as mis une boule d'angoisse dans la bouche, tu as peur de qui ? Nous sommes les seuls dans ce hameau qui puisse l'entendre.

Je hurle sur ma boule en le suppliant que je ne veux pas, je suis morte de honte. Mais est-ce qu'il comprend ce que je lui dis, tellement je bave en essayant de parler. Marcel vient empoigner mes cheveux et frotte sa bite gluante sur mes lèvres distendues. Une main de Jean se pose sur ma chatte engluée, plusieurs doigts la visitent en tournant, puis entament un petit va et vient agréable. Un pouce masse l'entrée de mes reins en poussant pour franchir la porte. Je continue à crier en vain que je ne veux pas, surtout par là.

-Du calme ma belle, je ne fais que lubrifier le passage. Dit Jean derrière moi.

Mon petit bouton vient d'être saisi entre deux doigts, il le sort de sa protection en tirant dessus, puis un objet vibrant se pose dessus, tourne autour, revient sur sa tête et recommence le manège. Je ne crie plus, je commence à grogner sous cette nouvelle sensation, mon sensible clito se bande sous les vibrations qui me rendent folle d’excitation. Ma chatte se contracte sur les doigts qui la sollicitent pendant que ma corolle s'ouvre et se ferme sur le pouce qui la visite dans un va-et-vient de plus en plus rapide, ils me font jouir. Son pouce est subrepticement remplacé par son gland qui force mon étoile, je n'essaye pas résister à cette pénétration qui profite de la jouissance que me procurent les vibrations sur mon bouton d'amour.

D'un coup puissant, son gland avance dans mes reins, je relève la tête dans un cri de douleur ou de plaisir je ne sais pas qui est le plus fort, il se perd dans ma bouche entravée, les vibrations de mon clito sont tellement jouissives.

Après un temps d'arrêt, il s'enfonce dans mes entrailles sans se soucier de mes grognements. Ses couilles touchent ma chatte, son ventre écrase mes fesses, il ne peut aller plus loin. Il commence à me besogner, je gémis à chaque coup de reins, il s'enfonce profondément, ses couilles viennent frapper ma chatte, j'étouffe mes râles sur la boule dans ma bouche. Jean ressort presque et replonge avec intensité avec des « han ! » de bûcherons. A ma grande honte, je sens mon ventre s’alourdir de volupté malgré moi, mon clito est délaissé de toutes vibrations, un orgasme éclate quand je l'entends jouir bruyamment. Quand l'homme se vide dans mon intestin, je sens se répandre une douce chaleur intérieure. 

Ses burnes vidées, il se retire laissant mon anus agité de spasmes rejetant par saccades le trop plein de sperme qui coule le long de ma grotte encore baveuse.
- Hum ! C'est bien bon, c'est vrai que c'est une bonne petite chienne que tu as là, il faudra me la prêter, Jeanne sera contente d'avoir une consœur. Dit Jean en me tapotant les fesses.

-Viens Marcel, allons à la maison boire un coup pour recharger nos batteries, elle ne va pas s'envoler ta prisonnière ?

Je me retrouve seule dans un silence inquiétant, mes deux orifices ruissellent de leurs jus. Moi qui ai toujours refusé à Jacques l'entrée de mes reins, car je trouvais ça avilissant, dégradant, je viens d'avoir du plaisir à être sodomisé et par un inconnu de surcroît.

Épuisée par cet orgasme, J'ai dû m'assoupir un instant, je suis sortie de ma torpeur par un grand coup de langue humide et rappeuse qui remonte de mon clito jusqu'à mon anus et ça continue avec toujours la même intensité, elle écarte mes grandes lèvres pour laper l'intérieur. J'ai beau me tortiller sur cette table mes liens résistent et je ne peux voir qui lèche ma vulve et mon anus. La langue est râpeuse, chaude, baveuse, aucun homme m'a léché aussi fort. Après environ une dizaine de minutes de lèche intensive, je suis secouée par un orgasme. Puis deux pattes viennent encercler ma taille ? Je sors de ma torpeur pour réaliser qu'un chien veut me prendre, je crie, remue mon fessier en vain. Oh !! Non, tout mais pas ça ! Je sanglote, des larmes inondent mes yeux, personne ne me vient en aide, je suis seule.

Sa gueule vient m'emprisonner la nuque, je stoppe immédiatement mes gesticulations. Je sens sa bite chercher sa voie. Après plusieurs essais infructueux la pointe de sa verge pénètre un instant mon anus entrouvert pour ressortir aussitôt. Excité par ce premier contact, il redouble ses coups de reins entre mes fesses pour finir par écarter les lèvres de ma moule trempée du restant de mon dernier visiteur, je la sens s'ouvrir. Mon violeur sentant la moiteur et la douceur de mes chairs tendres, pénètre d'un coup violent ma grotte d'amour humide, je me mets à crier plus de peur que de douleur. 

Son membre continue d'avancer dans mon puits d'amour, il est très gros, au moins quatre à cinq centimètres de diamètre, il n'a pas fini que je suis déjà remplie, je me retrouve vite embrochée jusqu'à la garde, sa fourrure vient me chatouiller les fesses. Je suis coincée entre ses pattes et totalement remplie par son sexe. Il reste un instant sans bouger, il doit être aussi surpris que moi d'être arrivé au but. Après un bref instant de répits, mon robuste amant se met à me pilonner frénétiquement. Je pousse des ah des oh à chaque puissant coup de rein. Ma moule me brûle sous la friction de cette queue qui va et vient en accélérant toujours.
 
Diablement excité, il redouble d'efforts enfonçant son sexe le plus profondément possible. La pointe de sa queue touche des zones qu'aucune bite n'avait encore excitées. Des jets chauds me lubrifient, sa grosse bite va me chercher du plaisir de plus en plus profondément. Mon plaisir prend le pas sur ma révolte d'un tel accouplement. Je mords la boule dans ma bouche pour ne pas pousser les cris d'un plaisir qui devient incontrôlable.
 
Les coups de boutoir de mon nouvel amant font vibrer tout mon corps m'enivrant de plaisir. La réalité semble avoir basculé dans un monde de volupté et de jouissance chaque fois que sa monstrueuse bite écartèle ma grotte, je reçois une décharge si sublime que j’espère la prochaine avec impatience. C'est humiliant et pervers à la fois. Mes craintes ce sont volatilisées, je ne suis plus qu'une grotte béante qui enserre dans son ventre une queue palpitante qui me fait jouir intensément. Je sens taper sur les lèvres de ma moule, une boule qui est à la base de son sexe. D'un coup de rein plus fort que les autres, mon amant entre sa boule, qui est déjà bien grosse

-AAAIIIIEE  !!

Je suis envahie, violée par la boule qui s'est formé à la base de sa queue. Je la sens grossir en moi, j’ai peur qu'il déchire mon vagin. Ça fait mal, mais les sensations sont tellement fortes que ma tête me tourne, je bascule dans un énième orgasme. Il s'arrête, soudé à sa femelle, ses couilles écrasent mon clitoris (j'appris plus tard la signification de cette boule). Sortant de mes lymphes, je prends conscience que je suis lié a mon amant. Son nœud gonfle en moi, il devient énorme, mon vagin doit être complètement distendu, c'est presque comme un accouchement, mais pas aussi douloureux. La pointe de sa verge est fichée au plus profond de ma grotte, son bout tapisse mon utérus de jets de sperme et sa boule écartèle le vestibule de ma chatte. Mes seins sont tendus comme jamais, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n'est plus qu'une zone érogène, je ne suis plus une femme, je suis une chienne à la merci de son mâle, je suis soumise et j'aime ça. Il me donne des orgasmes d'une rare intensité tout le temps que nous restons liés ensemble. Pendant de longues minutes, il ne bouge plus, moi je n'arrête pas de jouir, et enfin il sort de mon vagin dans un bruit de ventouse.

Beaucoup de sperme s'écoule de ma grotte, je reviens doucement à la réalité pendant que mon amant me lèche la chatte pour ne pas en perdre une goutte. Avec sa langue râpeuse sur ma chatte et mon clito il me fait jouir encore une fois. Que c'est bon de jouir, peu importe qui est l'artisan à ce moment-là. Je suis vidée, anéantie par tant d'orgasmes que je viens d'avoir lors de cette saillie. 
Mais quel genre de femme suis-je donc ? Pour qu'un chien arrive à me faire autant jouir. Je n'ai jamais imaginé faire l'amour comme ça, c'est contre nature, c'est tellement bestial que ça surprend, mais un coup que tu as une belle bite dans ton ventre, qu'elle reste plus longtemps en toi qu'un homme, le plaisir est bien plus fort et plus long avec des sensations différentes, le plaisir a été tel que je perds conscience. Des éclats de voix me ramènent à la réalité :

- Qu'est-ce que tu fais là le chien, allez dehors ! Jean tu aurais pu fermer la porte !!

- Bon ! Notre petite Nicole est toujours là, elle nous a attendus, ça c'est gentil.
 
Marcel passe derrière moi suivi de Jean qui me passe une main sur les reins. Une main vient de se poser sur ma chatte en y entrant plusieurs doigts facilement.

- Mais regarde ça Jean !! Elle est pleine de foutre, ça dégouline de partout comme si que l'on venait de baiser cette chienne, alors que ça nous fait plus d'une heure d'absence.

- Marcel ! Ton caméscope tourne toujours, tu ne l'as pas éteint quand nous sommes sortis ?

- Ce n'est pas grave, il a un disque dur de plusieurs gigabits, toutefois tu as raison ! On va le recaler sur le moment ou nous l'avons laissé toute seule sur sa table.
 
Horrifiée, je vois Marcel prendre le caméscope entre deux cadres de photo, tout a été filmé. Il sort une petite télécommande de sa poche, déplie l'écran, Jean vient à son côté, ils regardent.

- Arrête ! Pas si vite ! Reviens en arrière ! Oh ? Regarde qui a rempli cette chienne de foutre.

- Le salaud de clébard, il faut dire qu'il a pris l'habitude avec Jeanne de saillir une femme.

- Écoute la ! Elle gueule, avec la boule dans sa bouche, on ne comprend pas très bien.

- On dirait même que maintenant elle jouit, mais oui ? Elle jouit la chienne.

- Je bande de l'entendre grogner de plaisir, à mon tour de m'occuper de son autre entrée. Je te laisse le devant moi je prends le derrière ! Dit Marcel en caressant mes fesses.

- Tu vas bien le sucer et tout avaler ? Me dit-il en me donnant des claques sonores sur les fesses.
 
Il introduit sa queue dans mon puits rempli du jus d'amour de mon dernier amant. Après quelques va-et-vient bien gras, il appuie son sexe contre ma corolle qui se dilate doucement puis, une fois son gland introduit en moi, il s'enfonce d’un seul coup de reins. Sa queue bien grasse a glissé toute seul dans mon ventre.

Jean vient devant moi se mettre a genoux, passe ses mains derrière ma tête et me libère la bouche. Je peux enfin remuer la mâchoire, mes lèvres sont gonflées entourées de salive séchée. Jean déboutonne son pantalon, sort son sexe gonflé de désir. Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur de sa bite, son gland vient heurter mes lèvres. J’ouvre la bouche pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée. Au bout de quelques minutes, Jean me saisit la tête et se met à faire onduler son bassin d’avant en arrière pour me baiser la bouche.

Accroché a mes hanches, Marcel se met en mouvement dans mes reins, je suis prise par deux hommes en même temps, pour la première fois, j'ai mes deux centres d’intérêts occupés. C'est une autre sensation de plénitude entre mes reins qui me submerge. J'apprécie la situation, j'en ai envie même, sans doute l'excitation d'assumer mon statut de chienne. Ils me remplissent, je suis sodomisée, embouchée. Mon corps sert au plaisir, je deviens une salope, j'ignorais avant ce que c'était la véritable jouissance, j'aime sucer cet homme inconnu. Qu'il me donne sa liqueur que j'avalerais avec délice, j'adore ça.
 
Je creuse mes reins, la bite me pourfend, je ne sais plus quel plaisir est le plus fort. Je sens Marcel entre mes fesses s'emballer, il arrive au bout du voyage, sa queue grossit encore, ses coups sont plus puissants, plus rapprochés, il va jouir, se vider les couilles et remplir mes intestins de son jus d'homme. La simple évocation de son éjaculation imminente dans mes entrailles me fait exploser.

Je râle sur la queue qui me remplit la bouche, je l'aspire au plus profond de ma gorge. Tous mes muscles se tétanisent, la jouissance m'emporte. Les vagues de plaisir se succèdent, irradient mon corps avant de prendre possession de ma tête pour l'occuper toute entière. Je jouis, c'est bon. Je me laisse porter par les endorphines qui se répandent en moi. Plus rien n'existe, plus rien ne compte, juste cette sensation de plénitude incomparable crée par l'orgasme. Jean ne résiste pas au spectacle de la femme en train de jouir. Il m'empoigne les cheveux à pleines mains.

- Bien salope, tiens, vas-y avale, tu es bonne, HAAAAA !!! C’est bon !!!

- Muuuuuummmmm !!

- Avale tout, tout !

Je sens bientôt sa queue trembler et un puissant jet crémeux me fouette le palais. Pour la première fois de ma vie, j'avale le sperme épais et chaud d'un autre que mon Marcel, mais je ne vais pas assez vite. Il m'en coule sur le menton. Je manque de m'étrangler tant il jaillit en abondance. Je parviens toutefois à le boire presque totalement. Marcel explose bruyamment à son tour. Il gueule dans mon dos.

- Putain ! Qu'il est bon son cul là, ouais quelle chienne !

Je sens nettement les giclées chaudes dans mon ventre qui s'ouvre et se ferme spasmodiquement.

-T’es qu’une salope, une chienne va, tiens, tiens !

Je sens les spasmes de sa bite dans mon anus tandis qu'il éjacule au plus profond de mes entrailles. Sa bite reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Il reste immobile quelques minutes. Jean se retire en essuie son gland sur mes joues. La queue de Marcel ramollit doucement dans mon fondement, il libère mon anus dans un bruit de siphon. Je lâche un pet, j'en rougis de honte. 

Je salive pour finir de déglutir le plaisir de Jean, je me surprends à me lécher les lèvres pour essuyer les débordements qui me gênent.

- Merci à toi de m'avoir prêté ta chienne, elle est vraiment bonne à baiser !

- Je t’avais bien dit qu’il fallait venir, tu ne pouvais pas louper une occasion de te faire une bonne petite chienne, avec un beau collier. Regarde je lui ai offert avec la laisse qui va avec !

- Dis à Jean que tu es une petite chienne docile qui ne veux pas que son mari voit les films où sa petite femme aime se faire baiser par tous les trous et même par un clebs maintenant.

Je me sens honteuse de la réaction de mon organisme. J'aurais voulu être plus forte pour pouvoir me sortir de cette situation de soumise, mais je suis trop faible pour me battre. Tout ce que je peux faire, c'est subir et profiter des moments de plaisir qu'on me donnera.

- Dis nous que tu aimes être une chienne tenue en laisse, et que tu obéiras a tous nos ordres.

Ces paroles, ce «nous» me font frissonner de crainte.

- Oui !! Je suis la chienne qui t'obéiras pour tout ce que tu veux.

- Non je veux que tu nous dises que tu obéiras à tous les ordres de moi et de jean et des autres, allez je t'écoute. 

Je ravale ma salive, le salaud il me pousse au fond du gouffre.

- Je suis votre chienne qui obéira à tout ce que vous me direz de faire.

- C'est bien ! Maintenant tes paroles sont enregistrées.

Je l'avais oublié ce caméscope, désormais il a tous les arguments pour m'asservir encore plus.

- J'ai bien envie d'aller lui chercher un autre amant canin ? Dit Jean.

- Allez ! Je te détache, tu peux te rhabiller en laissant ton beau collier sur le lit, je vais ouvrir la grange, tu pourras sortir toute seule, nous allons boire un verre à la cuisine.

Je me relève difficilement, je suis courbaturée d'être restée aussi longtemps sur cette table basse. J'ai les mains et les genoux sales. Je rejoins la petite chambre, prenant garde de marcher à petits pas, car je me suis mise entre mes cuisses la serviette éponge qu'il avait posé sur la table basse, pour que mon ventre ne laisse s’écouler tous leurs spermes. Je me débarrasse du collier et m'essuie l'entre-jambe avec la serviette, je remets ma robe puis rejoints ma voiture pour retourner chez moi. 

Je ne serais sûrement pas venue si on m’avait prévenue de ce qui risquait de se produire. Mais maintenant que je l'ai fait, je suis vraiment heureuse de ce qui vient de m’arriver, car la bite du chien qui est restée si longtemps dans ma chatte a réveillé les excellentes sensibilités physiques de mon vagin qui avaient disparu depuis mon dernier accouchement. À l’avenir ma vie va certainement être différente.

A suivre...

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