Traduction d'un texte de TheDarkCloud
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Juliette est obligée de se prostituer dans un bordel.
Commissaire de police, Juliette PORTIER frissonna et tourna la tête à droite pour regarder une fois de plus le géant assis à côté d'elle sur le cuir du siège arrière de la limousine. Elle se demandait ce qu'elle faisait ici.
Elle était en route pour prostituer son corps une fois de plus, la première fois datant de la nuit dernière.
Elle subissait un chantage humiliant d'un inconnu. Elle avait passé la nuit comme objet de sexe pour un trafiquant de drogue et elle avait été filmée. Le chantage continuait. L'inconnu du téléphone lui avait indiqué que pour récupérer le film afin qu'il ne soit pas divulgué au public, elle devait passer une journée de travail dans un bordel.
Elle ne cessait de penser que tout était arrivé trop vite. Si elle avait eu le temps de prendre des décisions, elle serait sortie de ce mauvais pas sans conséquences pour sa carrière dont elle était fière.
Mais juste après l'appel téléphonique de son maître chanteur, la limousine se garait près d'elle, un immense homme noir en sortait et l'invitait à monter avec lui.
Elle aurait pu résister, elle aurait pu refuser de monter mais dans un état second, elle tombait sur le siège de la voiture qui démarrait presque aussitôt.
A côté d'elle, pendant que le véhicule traversait la ville, était assis « Big Boss », un gros noir, un proxénète bien connu. Il savait qu'elle était commissaire.
Elle vit le sourire ironique et méchant de l'homme alors qu'il l'emmenait au bordel.
Après tout, c'était le commissaire Juliette PORTIER qui avait ordonné et commandé la répression sévère qui s'était abattue sur les prostituées de la ville. Et son racisme était connu.
Pourtant le proxénète était un peu inquiet de sa présence ici et de ce qu'on allait lui faire. L'homme qui avait orchestré cela avait su se montrer persuasif et lui avait promis un bon paiement, même si ce n'était pas des espèces.
Zut ! Cette femme était sexy, policière ou non. Le plan mis en place pour elle aujourd'hui serait un vrai régal. Il était juste dommage que les clients réguliers n'en profitent pas. Mais le maître chanteur l'avait décidé et « Big Boss » n'était pas en mesure de discuter avec lui.
Un silence gêné s'était installé entre la policière effrayée et désespérée et le gros souteneur, les fenêtres opaques du véhicule masquant la route.
La limousine s'arrêta et le conducteur vint ouvrir la porte. « Big Boss » indiqua à la femme qu'elle devait sortir et entrer dans la maison close par la sortie de secours derrière le bâtiment.
L'intérieur du bâtiment était assez minable. Le proxénète remarqua que Juliette regardait le papier peint défraîchi et fronçait le nez à l'odeur désagréable que dégageaient les sacs poubelles abandonnés dans le couloir.
- Ne vous inquiétez pas Salope, il s'agit de la sortie de secours. Les clients ne viennent pas ici. Nous nous en servons lorsque la police vient nous rendre visite (il fit un clin d'œil avec un sourire éclatant). Vous allez être beaucoup mieux pour travailler.
Juliette ne dit rien et suivit docilement l'homme dans un escalier sombre qui tomba sur une paire de portes battantes rouge. Derrière se trouvait une zone de réception luxueuse. L'effet fut gâché par une femme brune, typée italienne, qui la regardait en ricanant derrière le comptoir, une cigarette à demi fumée accrochée à ses doigts. Après avoir jeté un regard désobligeant à la policière rousse, elle retourna à son journal. Le souteneur conduisit Juliette à travers un long couloir à côté de la réception.
Ce couloir était long. Quelques portes étaient ouvertes si bien que la policière put voir certains occupants. Il s'agissait de femmes entre 20 et 30 ans habillées de lingerie de toutes formes et couleurs. Chacune retourna à Juliette un regard lugubre. Elles voyaient dans cette nouvelle arrivante, une concurrente, une nouvelle prostituée.
Au bout du couloir, « Big Boss » ouvrit la dernière porte et laissa entrer la commissaire. La pièce était peu meublée, avec juste un lit double, un miroir et une armoire. Juliette vit tout de suite la caméra dans l'angle supérieur de la chambre. Le proxénète sourit :
- Nous réservons cette chambre pour des « invités ». Aujourd'hui, elle est pour vous, vous devriez être honorée.
Juliette renifla et observa la chambre déprimante :
- Et que dois-je faire ?
Elle avait une voix résignée qui montrait qu'elle acceptait son sort.
- Vous pouvez commencer à enfiler cela.
L'homme montra les sous-vêtements déposés sur le dessus du lit. Juliette les regarda avec dégoût mais les prit dans ses mains. C'était une culotte noire et un soutien-gorge assorti de mauvaise qualité. Elle se leva et regarda l'homme, attendant qu'il sorte pour se déshabiller.
- Non salope. Mes instructions sont claires. Vous vous déshabillez et prenez ces sous-vêtements. Je récupère vos habits et vous vous installez pour votre premier client. Allez, A POIL !
La policière soupira et pensa se rebeller, mais mentalement elle était abattue. Elle avait déjà décidé qu'elle ferait tout ce qu'il faudrait pour préserver sa carrière. Essayer de garder un semblant de dignité était impossible.
Alors elle enleva sa veste et son pantalon, puis son chemisier en soie blanche, et sa lingerie de luxe. Elle sentit le regard du black posé sur elle. Elle se précipita pour enfiler les sous-vêtements sur le lit. Ceux-ci étaient trop petits pour elle. Le tissu de la culotte disparut entre ses fesses. Ses gros seins débordaient des bonnets du soutien-gorge.
Si l'idée était de l'humilier encore plus, c'était réussi. Elle s'assit sur le lit et regarda le black prendre ses vêtements couteux. Elle était effrayée. Elle voulait savoir qui la faisait chanter et combien de temps il allait l'humilier.
- Qu'est-ce que je dois faire ?
- C'est très simple. Les clients paient un droit d'entrée à Carla à la réception. Ensuite ils traitent directement avec vous. Vous leur demandez ce qu'ils veulent, le tarif étant de 20 euros pour une fellation, 40 euros pour votre chatte et 70 euros pour votre cul. S'ils veulent plus, c'est habituellement 100 euros. Quoi qu'il en soit, assurez-vous qu'ils repartent heureux.
L'estomac de Juliette se révulsa à l'écoute des prix. Mais c'était réel. 30 euros pour sucer une bite, elle pensa qu'elle donnait parfois de plus gros pourboires au restaurant. « Big Boss » vit le regard aigre sur son visage. Il lui sourit, se délectant de son malaise.
- Aucune protestation ! Ce que le client veut, vous le faites. Maintenant, préparez-vous, votre premier client arrive dans moins de 10 minutes.
L'homme sortit de la pièce en fermant la porte derrière lui, laissant la commissaire assise sur le lit en sous-vêtements réfléchissant à la journée à venir.
Quelle chambre triste pensa-t-elle. Puis après quelques minutes à attendre, elle se força à se lever pour examiner la pièce. Elle ouvrit l'armoire et eut un mouvement de recul en voyant la collection de jouets sexuels.
Plus loin, au bout du couloir, le souteneur entra dans une pièce sombre. Il remit les vêtements de la policière à un homme assis devant les écrans des caméras de surveillance. Il s'agissait de l'homme qui organisait tout cela.
- Je vois qu'elle ne prend pas la situation trop mal.
- Ouais, mais plus vite ça sera fini, mieux ça vaudra. Je pense que cette chienne risque de se venger sur moi plus tard.
- Hé, ne vous inquiétez pas à ce sujet. J'ai tout prévu. Elle n'ennuiera personne lorsque j'en aurai fini avec elle. Il me semble que son premier client se présente à la réception.
Le proxénète regarda l'écran diffusant l'image de l'accueil.
- Oh.... Vous êtes fou.
- Non n'ayez pas peur. Il a l'argent pour payer. Emmenez-le à la commissaire, il sait ce qu'il doit faire.
A l'accueil, se trouvait Henri, un vrai clochard, un vagabond des rues et des bidonvilles. Il était vêtu de sa tenue habituelle, un manteau en tweed rafistolé et un chapeau cabossé. Il tendait un peu d'argent à la réceptionniste avec ses mains gantées.
Carla n'aurait jamais laissé entrer quelqu'un de semblable, qu'il puisse payer ou non. Mais « Big Boss » lui dit que c'était Ok, qu'il allait s'occuper de lui. Dès que les deux hommes s'engagèrent dans le corridor, Carla sortit un purificateur d'air pour essayer de débarrasser les lieux de l'odeur fétide de pisse qu'avait laissée le clodo.
Le souteneur ne fit pas attention à l'odeur et conduisit rapidement le client à la chambre de Juliette. Il l'ouvrit et les laissa faire connaissance.
Au début, dès qu'il entra, Juliette se dit simplement qu'il serait le premier client. Mais après quelques instants, elle réalisa pleinement ce qu'il était. Celui qui avait organisé tout cela devait vraiment la détester.
- Voilà 20 euros M'dame, je veux une super prestation !
C'était plus d'argent que le vagabond avait tous les jours depuis 10 ans. Mais il aurait dix fois plus s'il faisait ce qui était convenu. Henry était peut-être un clochard mais il n'était pas stupide.
Il n'était pas le plus propre non plus, ne se lavant pas souvent. Mais cela ne le gênait pas ainsi que les observateurs dans la salle de surveillance. Juliette descendit du lit et glissa sur ses genoux en face de l'homme. Elle était brisée, apprivoisée. Elle ne voyait aucune issue à sa soumission. Ils l'avaient humiliée depuis le début. Depuis que le cauchemar avait commencé, cette femme puissante n'avait pu réagir assez rapidement et intelligemment pour s'en sortir.
Henry lui donna 20 euros froissés et rapidement défit la ficelle qui tenait son bas de jogging délavé. En sortit une bite dure à demi enterrée dans un buisson de poils hirsutes et emmêlées.
Juliette eut un haut le cœur. Elle ne pouvait pas faire ça. Mais malgré sa répulsion, pourquoi avait-elle la bouche ouverte ? Pourquoi ses yeux étaient-ils fermés et sa mâchoire desserrée en signe d'acceptation ?
Henry n'attendit pas. Il avança son bassin et colla sa queue dans la bouche de la femme. Il mit ses mains sur sa tête afin de l'empêcher de bouger.
- Oh merde, elle le fait.
« Big Boss » explosa, pensant qu'elle aurait refusé. Il ajouta :
- Vous devez avoir un sacré pouvoir sur cette salope !
Dans la chambre, à genoux, Juliette était proche d'étouffer et d'être malade. L'odeur et le goût de la bite étaient aigres et puants. Mais le pire était de penser à sa situation actuelle; alors qu'elle était influente et puissante, elle était réduite aujourd'hui à sucer une bite de clodo pour 20 euros.
Le seul point positif pour elle fut qu'henry ne voulait que gagner un peu d'argent pour s'acheter de la bière ou du vin. Il n'avait plus de libido depuis longtemps, il voulait juste en finir et sortir du bordel.
Si bien qu'il éjacula rapidement. Juliette fut surprise. Elle n'était pas préparée à ce que sa bouche soit remplie de sperme aigre. Elle toussa et cracha sur le sol mais elle ne put s'empêcher d'avaler une gorgée. Le clochard avait déjà quitté la chambre, la laissant seule à genoux, pensant à ce qu'elle venait de faire.
La porte s'ouvrit et « Big Boss » entra dans la pièce, son gros corps occultant une partie de la lumière. Juliette leva les yeux et lui lança un regard plein de haine. Le gros noir demanda négligemment :
- Chienne, tu es prête pour ton prochain client ?
- Connard !
« Big Boss » sourit en entendant cette réponse. Il fut heureux qu'elle ait gardé un peu de fierté et de combativité.
- Et oui salope. Cependant j'ai une bonne et une mauvaise nouvelles pour toi. La bonne nouvelle est que tu n'auras plus à sucer de clodos. La mauvaise nouvelle est que tu viens de traiter ton prochain client de « connard ». Oui c'est moi, j'ai payé 130 euros pour disposer de tous tes trous.
A cette nouvelle, le cœur de Juliette faillit flancher. Elle avait toujours eu une aversion contre les hommes qui n'étaient pas de race blanche. La pensée qu'elle allait être baisée par ce gros noir lui soulevait le cœur.
- Montre-moi ces gros nichons ainsi que ta petite chatte et prend cette lingette pour te débarrasser du sperme du vagabond, je ne voudrais pas qu'il me salisse.
A contrecœur, Juliette détacha son soutien-gorge et libéra sa grosse poitrine. Avide, le noir se lécha les lèvres tandis qu'elle glissa ses mains dans sa culotte pour la descendre le long de ses cuisses. Bientôt, elle se trouva complètement nue devant l'homme. Elle ne pouvait pas le regarder dans les yeux.
« Big Boss » sortit son portefeuille, prit deux billets de 10 euros et les mit dans la bouche de la rouquine. Il en prit quatre autres et les mit dans les plis de la chatte. Enfin, il en fourra sept autres dans son cul.
- Tu devrais changer ton regard de garce. Tu es une pute aujourd'hui, tu dois faire tout ce que le client veut et tu dois faire semblant d'aimer. Maintenant, range cet argent et occupe-toi de ma bite.
Il enleva sa veste et sa chemise puis défit son pantalon pour libérer une grosse queue noire de 18 cm pas complètement en érection. Il se branla en regardant la policière jeter les billets dans le tiroir de la table de nuit. Quand elle se retourna, sa bite avait déjà augmenté de volume.
Les lèvres de Juliette s'ouvrirent pour permettre l'accès du membre à sa bouche. Le contraste entre le noir de le bite et le blanc des joues de la femme était saisissant. Contrairement au clochard, le proxénète savait comment traiter une pute avec sa bite dans la bouche.
Juliette était à genoux sur le tapis taché, docile, la bouche ouverte, les lèvres serrées sur la verge de l'homme. L'odeur et la vue de ce noir offensait sa sensibilité mais elle ne pouvait rien faire. « Big Boss » enfonça son énorme bite au plus profond de la bouche, étouffant la femme, la salive recouvrant son membre. Puis il baisa violemment le visage de la policière, plongeant sa queue au fond de la gorge. Puis il retira sa bite et avec, il gifla Juliette, couvrant son visage de salive et de liquide pré-éjaculatoire.
La commissaire haleta en essayant de retrouver son souffle, peu habituée à cette violence. Mais elle eut peu de répit. Le souteneur la saisit par ses cheveux pour la hisser sur le lit. Ensuite, il fouilla entre ses jambes écartées tout en la regardant dans les yeux. Puis, en pesant de tout son poids sur elle, il glissa sa bite entre les plis serrés de la chatte.
Elle aurait voulu qu'il porte un préservatif mais elle n'eut pas le temps de le suggérer. Il était déjà au fond d'elle. Elle n'avait jamais connu un sexe aussi gros et long. Il remplit sa chatte, poussant les parois. Elle eut juste le temps de penser, horrifiée, à ce membre dans son cul, avant qu'il ne commence à la baiser durement.
Juliette se sentait comme un vulgaire morceau de viande embroché par le souteneur. Allongée sur le dos, le gros noir grognait sur elle tout en la pénétrant. A un moment donné, il lécha son visage. Il la dégoûtait. Comparé à lui, elle était minuscule.
Après l'avoir labouré pendant quelques instants, il la retourna, écarta ses fesses charnues et utilisa deux doigts pour desserrer son trou du cul. Puis il enfonça la pointe de son énorme sexe à l'intérieur.
Juliette se mordit la lèvre pour étouffer un cri quand il poussa fortement. Elle sentit avec douleur son trou du cul se dilater. Après l'avoir complètement enculé, il se mit à la baiser en rythme. Il appréciait de pouvoir sodomiser cette salope. Elle avait tellement embêté tous les proxénètes de la ville qu'il était normal qu'elle en subisse les conséquences.
Toutefois « Big Boss » savait qu'il avait peu de temps car d'autres allaient profiter de cette pute. Alors il accéléra sa sodomie, et dans un grand gémissement il éjacula tout au fond de ses entrailles. Il laissa sa bite rétrécir dans son cul tandis que la policière sentait le sperme couler le long de son anus. Elle était complètement humiliée. Sa position et son travail méritaient-ils ces abus de son corps ?
La réponse était oui. Elle avait eu du mal à obtenir cette position dans la société donc elle ferait tout pour la garder.
Après le gros souteneur noir, passèrent dans la chambre de nombreux proxénètes et trafiquants de drogue. Beaucoup d'entre eux avaient été ennuyés et arrêtés par la commissaire.
Alors que l'après-midi se déroulait, Juliette fut de plus en plus fatiguée aussi bien mentalement que physiquement. Elle commença à penser comme une prostituée professionnelle, comptant dans sa tête l'argent qu'elle avait gagné. C'était une pensée déprimante.
Enfin, à 18h00, « Big Boss » entra dans la chambre. La policière était assise sur le lit, la mine complètement défaite en attendant son prochain client et l'humiliation qui l'accompagnerait.
- Juste un autre client Salope. Mais il est spécial donc je veux que tu te mettes à quatre pattes sur le lit, face vers le mur.
Enregistrant que ce serait bientôt le fin de sa journée d'enfer, Juliette soupira et obéit, mettant sa tête dans l'oreiller blanc. Elle ne broncha pas quand le proxénète s'assit sur le lit, attrapa son poignet droit pour y fermer une menotte et recommença avec l'autre poignet. Il s'agissait de vraies menottes de police qui lui neutralisaient maintenant ses bras sur la tête de lit. « Big Boss » se pencha vers elle pour lui murmurer :
- Devine qui est ton dernier client de la journée Salope ? Il s'agit de ton maître chanteur.
Ces paroles retinrent l'attention de Juliette qui lutta et essaya de tourner la tête pour voir la porte. Elle voulait à tout prix identifier son tourmenteur.
- Je savais que tu serais intéressée par l'information. Dommage que je dois te mettre cela.
Le proxénète montra un masque en latex noir. Il le tira fermement sur la tête de la policière, bloquant avec succès toute vision ou son. Ce masque ne lui permettait que de respirer par les narines. La porte de la chambre s'ouvrit et le gros noir dit :
- Elle est tout à toi. Fais en ce que tu veux puis vire-la de mon établissement.
Juliette sanglota de frustration. Le bâtard qui organisait son ignoble chantage était juste derrière elle mais elle était incapable de faire quelque chose. Elle se débattit mais elle se rendit compte que c'était futile. Elle cessa lorsqu'elle sentit une main froide se poser sur son derrière.
Immédiatement, elle sut que ce n'était pas le proxénète noir mais un autre homme, sûrement le salaud qui lui imposait ce cauchemar.
La main descendit le long des fesses puis se détacha. Et soudain elle claqua le cul de la policière. Et cela recommença 20 fois, chaque claque étant plus dure que la précédente. Puis cela s'arrêta, laissant Juliette dans l'expectative, prise au piège dans son esclavage.
Tout à coup, elle sentit deux mains chercher à tâtons ses seins, puis des doigts saisir ses mamelons pour les tordre.
Elle se tortilla pour essayer d'échapper à la torture, mais attachée comme elle l'était, ce fut un effort désespéré. L'homme continua à la tourmenter.
Au bout d'un moment il fit tourner la policière pour la mettre sur le dos et il lui écarta jambes et genoux. Puis, avec des mains professionnelles, il ouvrit la chatte pour y entrer profondément un puis deux doigts, savourant chaque tressaillement de Juliette à cette invasion.
Après ces deux doigts, suivirent deux autres. Et bientôt, tout le poing de l'homme pénétrait sa chatte serrée.
Elle n'avait jamais été fistée auparavant et était trop abasourdie pour réagir.
Après avoir pompé son poing dans le sexe de Juliette un certain nombre de fois, l'homme le retira et l'essuya dédaigneusement dans la crinière rousse de la commissaire.
Enfin, il la pénétra avec sa bite raidie. Après le poing, ce fut presque un soulagement pour Juliette. Mais l'idée d'être violée par le salaud qui l'obligeait à sauver sa carrière la rendait malade.
L'homme la baisa pendant une dizaine de minutes avant de décharger son sperme tout au fond du vagin. Il se demanda si le destin pouvait lui être favorable au point de mettre cette salope enceinte. Il se retira, déposa une lettre sur le lit avant de quitter la chambre puis l'immeuble.
Cinq minutes plus tard, « Big Boss » entra dans la pièce, libéra Juliette et lui enleva son masque en latex.
- Bâtards ! Vous me le paierez, je vous le jure !
- Ouais ! Garde tes menaces et lis la lettre. Je crois que ta journée n'est pas encore terminée...
Juliette enroula ses bars autour de ses genoux, ramassa la lettre et la lut avec une horreur croissante.
« BON BOULOT COMMISSAIRE. VOUS AVEZ PROUVEE QUE VOUS ETIEZ UNE BELLE SALOPE. MAINTENANT VOUS ALLEZ FAIRE LA PUTE TOUTE LA NUIT. VOUS ALLEZ DEAMBULER DANS LES RUES ET PROSTITUER VOTRE CORPS
BIG BOSS VA VOUS FOURNIR UNE TENUE DE PUTAIN. LORSQUE VOUS AUREZ GAGNE 1000 EUROS, VOUS AUREZ PAYE VOTRE DETTE ENVERS TOUTES LES PERSONNES QUE VOUS AVEZ EPINGLE ET ARRETE DANS VOTRE CARRIERE.
N'OUBLIEZ PAS COMMISSAIRE QUE LES ENREGISTREMENTS VIDEOS QUE JE POSSEDE POURRAIT FACILEMENT SE RETROUVER DANS LES MAINS DE VOS SUPERIEURS OU DES JOURNALISTES. VOUS AUREZ DU MAL A EXPLIQUER LES IMAGES.
MAIS COMME JE SAIS QUE VOUS AVEZ BESOIN D'ENCOURAGEMENTS POUR VOTRE NOUVELLE TACHE, JE VOUS PROMETS QU'A LA FIN DE LA NUIT NOUS NOUS VERRONS FACE A FACE ET JE VOUS DONNERAI LES CASSETTES.
DANS VINGT MINUTES, UNE PERSONNE VA VENIR VOUS CHERCHER ET S'ASSURERA QUE VOUS SEREZ DANS LA RUE POUR FAIRE LA PROSTITUEE.
A suivre...
On se pique au jeu de connaître le dénouement
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