Les WC étaient occupés Ch. 09

Texte de gkcdqho

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Marcel fait de Nicole son esclave.

Elle ramasse la télécommande pour régler le son de la télé. A ce moment, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Nicole crie :

- Merde !

Elle se dirige vers la porte se demandant qui peut la déranger un samedi matin. Elle voit Marcel debout sur son porche. Heureusement que Jacques avait trouvé une maison un peu à l'écart de la rue avec une entrée un peu cachée si bien qu'un passant ne pouvait voir son amant attendre à sa porte. Elle ouvre et demande : 

- Marcel, Que faites-vous ici ? Que vont penser les gens ?

Sans répondre à la question, Marcel entre dans la maison ; Une fois à l'intérieur, il se retourne et dit à sa soumise :

- Salope, ne remets pas en question ma présence ici. Tu es à moi maintenant et tu n'as pas le droit de me refuser quoi que ce soit.

Nicole est surprise par l'intrusion et le ton agressif de Marcel. Son comportement l'a prise complètement au dépourvu. Elle dit :

- Marcel !! Je dois insister pour que tu quittes ma maison. Mon mari doit bientôt revenir et je suis sûr que tu ne voudrais pas qu'il te trouve ici.

Mais Marcel réplique : 

- Salope, je sais très bien que ton mari est en Tunisie pour encore un mois au moins.

Nicole est stupéfaite. Elle essaie de comprendre comment son maître-chanteur peut le savoir.

- Soit tu es la femme la plus stupide du mondem soit tu es la salope la plus naïve à qui j'ai eu à faire. S'exclame Marcel.

Mais Nicole continue :

- Comment ça se fait que tu puisses avoir accès à cette information ?

- L'accès est facile quand on sait comment faire. Je vais te prouver ce que je te dis. Va chercher ton téléphone.

Pendant que Nicole se dirige vers les escaliers, Marcel regarde avec envie sa soumise. Il fixe les fesses qui se balancent à chaque pas de la femme.

Quand Nicole entre dans la chambre, elle entend la sonnerie familière de son téléphone qui annonce l'arrivée d'un message. Elle prend l'appareil et voit qu'elle a, en effet, un message de Marcel : Elle l'ouvre et ses yeux s'agrandissent. Sur son écran, comme preuve, est attaché un message de Jacques à son patron lui narrant la réparation du bateau et le délai des autres réparations. Puis un message de Marcel lui dicte son exigence. Pour obéir à Marcel, Nicole dénoue son peignoir en soie et le laisse tomber sur le sol. Elle essuie les larmes qui commencent à couler, prend un gant de toilette pour nettoyer les traces que ses larmes ont laissées sur ses joues. En quittant la chambre, elle regarde le grand miroir de plain-pied de la chambre et silencieusement se dit : « Ma pauvre Nicole tu es une idiote et tu es baisée maintenant. »

Marcel attend au bas de l'escalier, il est en mesure d'apprécier la totale nudité de sa soumise quand elle descend les marches une à une. Il peut voir les seins fermes rebondir à chaque nouvelle marche. Il sourit intérieurement en pensant à sa chance et à l'obéissance de sa nouvelle salope. Quand la femme a fini de descendre l'escalier, elle se tient devant le Marcel, le regarde dans les yeux et lui demande :

- J'ai fait tout ce que tu m'as demandé. Alors rends-moi ma liberté et finissons ce jeu ridicule.

Marcel reste silencieux pendant ce qu'il semble une éternité pour Nicole. Elle essaie de déchiffrer son expression mais n'y arrive pas. Elle essaie de deviner ses pensées et ce qu'il va faire par la suite. Elle n'attend pas plus longtemps. Marcel crie presque :

- Tu es une salope qui s'envoie en l'air avec les intérims, et aussi avec moi… J'ai suffisamment de film pour briser ta vie de petite ouvrière modèle ainsi que ton ménage !!! Tu m'appartiens avec ça et je ferais ce que je veux de ta vie de salope !!!! Est-ce que tu comprends ?

Nicole est visiblement ébranlée par ces paroles alors elle répond simplement :

- Oui Marcel…

- Pour ton erreur d'aujourd'hui, je vais te punir. Mais avant de commencer je veux examiner et inspecter le corps de ma salope. Alors penche-toi et mets tes mains sur le poteau de la rampe d'escalier. Je vais inspecter ton cul et ta chatte avec mes mains.

Nicole commence à se baisser. Marcel est étonné de voir à quel point elle est devenue obéissante. Lorsqu'elle est en position, il ajoute :

- Salope, écarte plus les jambes et ne bouge que si je te le dis. Compris ?

Elle répond rapidement :

- Oui… J'ai compris.

Après ces mots, elle fait glisser ses pieds sur le côté tout en essayant de garder une position confortable. Puis elle attend le prochain ordre. Derrière elle, Marcel la regarde. Il pense qu'il n'a jamais vu quelque chose d'aussi érotique et sexy. Il mate les fesses ainsi que la raie et il se rend compte qu'il y a de l'humidité sur la chatte de la femme. Il comprend que d'être humiliée semble l'exciter un peu. Il sait qu'elle est sa soumise.

Marcel, avec un doigt, commence à tracer une ligne de haut en bas du cul de Nicole, des fesses au haut des cuisses. Ensuite il pose ses mains sur les hanches de la femme, puis sur les fesses qu'il écarte afin d'avoir une meilleure vue de l'anus à sa chatte. Alors que sa main gauche tient une fesse écartée, il fait glisser lentement l'index de sa main droite sur le petit trou du cul et continue jusqu'aux lèvres de la chatte. Il entend un murmure venant de sa conquête et il se dit qu'elle est plus facile à contrôler qu'il le croyait, donc il va en faire son esclave. 

Lentement, il insère son doigt dans la chatte maintenant très humide de la soumise. Quand son doigt s'enfonce plus profondément, il sent les muscles du vagin se contracter dessus. Il insère alors un second puis un troisième doigt. Alors que ce troisième doigt entre dans sa chatte, Nicole laisse échapper un gémissement. Il retire rapidement ses doigts du sexe et commence à fesser sauvagement le cul de Nicole avec ses grandes mains.  Après une vingtaine de claques sur son cul, Nicole finit par supplier :

- Marcel, Arrête s'il te plaît. Je suis désolé pour mon manque de respect. Je te promets de ne pas recommencer.

Marcel sait que son esclave est une femme qui se soumettra complètement s'il s'occupe d'elle plus longtemps. Mais il cède et dit :

- Très bien ma salope. Pour prouver ta sincérité, je veux que tu te mettes à genoux.

Sans qu'elle le sache, Marcel a enlevé la ceinture de son pantalon. Et comme il a anticipé le recul de sa soumise, il frappe durement le cul découvert avec le cuir. Après ce premier coup, il continue avec trois autres bien placés. Il peut voir des stries rouges commencer à se former sur les belles fesses de la Nicole qui glapit de douleur. 

Elle ne veut pas que Marcel s'aperçoive que les coups portés sur son cul d'abord par les mains puis par la ceinture ont excité son corps. Elle sent qu'elle n'est pas loin de l'orgasme, mais elle ne veut pas qu'il le voie. Donc, elle essaie de surmonter son excitation tout en ayant le désir de lui plaire. Agenouillée devant lui, elle se sent étrange et ne veut que lui plaire. Satisfait de la soumission qu'elle lui montre, il ordonne :

- Salope, va dans la cuisine me faire un bon casse croûte chaud. Appelle-moi quand tu auras fait quelque chose digne de ton Maître. Je serai dans ta chambre pour examiner tes vêtements.

Elle regarde Marcel bondir dans les escaliers menant à sa chambre qu'elle partage avec son mari. Quand il atteint le sommet, elle se retourne et se dirige vers la cuisine seulement vêtue de ses pantoufles. 

Marcel entre dans la chambre de sa soumise et fait une pause pour réfléchir. Il pense à l'époque où elle a dû avoir des relations sexuelles avec son mari Jacques dans ce grand lit. Il se demande s'il l'attachait aux quatre bords du lit avant de la baiser. Il garde cette image dans sa tête pour un usage futur. Mais aujourd'hui il a d'autres plans pour sa chienne d'ouvrière. Il ouvre tous les tiroirs jusqu'à ce qu'il trouve celui qui contient les sous-vêtements de sa soumise. Il pose chaque pièce sur le lit en ayant soin d'aligner les soutien-gorges et les culottes assorties. Sa première réaction est de constater qu'il n'y pas assez de strings à son goût. Il aime bien les strings. Il prend toutes les culottes en coton de Nicole et il les jette dans une poubelle. Puis il fait de même avec les soutien-gorges blancs en coton assortis. Quand il a terminé de jeter ce qui ne lui plaît pas, il reste des ensembles en couleur vive, avec de la dentelle, sûrement de la lingerie que son mari lui avait achetée pour leurs soirées intimes. Il choisit un soutien-gorge en dentelle et son string rouge assorti. Il a déjà vu le soutien-gorge dans le catalogue de la redoute. C'est un de ceux qui couvrent à peine les mamelons.

Il va ensuite dans la garde-robe pour trouver quelque chose pour sa soumise quand ils vont sortir ensemble pour la première fois. Il veut que tout le monde sache qu'elle est une salope et il va faire en sorte que toute personne l'inspectant minutieusement découvre qu'elle est sa chienne soumise. Il trouve les vêtements qu'elle porte d'habitude, des tenues très conservatrices. Il fouille dans le placard jusqu'au moment où il trouve ce qu'il cherche, complètement dans le fond, presque caché. Il sort une jupe courte en jean qui se boutonne devant. Et il prend aussi un chandail court d'été beige. Il regarde les paires de chaussures de Nicole en espérant dénicher des talons de quinze centimètres mais compte tenu de la nature du travail de sa soumise, il doit se contenter d'une paire en cuir verni noir avec seulement dix centimètres de talon. Ensuite, il est heureux de découvrir un porte-jarretelle noir qui contraste bien avec la lingerie rouge. Enfin il trouve une paire de bas qui complète l'ensemble pour la nouvelle vie de sa salope. 

Alors qu'il termine de poser toutes les pièces de vêtements sur le lit, il entend Nicole qui l'appelle pour lui dire que le casse-croûte est prêt. Il sort de la chambre. Sur le palier de l'escalier, il voit sa Nicole en bas qui l'attend debout, toujours simplement vêtue de ses pantoufles blanches. Il pense :

- Mon Dieu mais oui… C'est génial !!! Son mari n'est pas là pendant deux ou trois semaines. Je vais profiter d'elle aujourd'hui et je vais lui faire percer ses mamelons, les lèvres de sa petite chatte et son oreille pour montrer qu'elle est la propriété de quelqu'un d'autre.

Il arrive à la dernière marche, il sort de sa poche de blouson un gode noir de vingt-cinq centimètres et il le donne à Nicole puis il se dirige vers la cuisine. Sans dire un mot, il la sent le suivre deux pas derrière lui. Comme il s'assoit à la table, il la voit saisir une chaise pour s'installer avec lui. Il remarque alors qu'elle a préparé deux assiettes. Il dit : 

- Qui t'a dit que tu pouvais manger ? Je ne te donne pas la permission de t'asseoir et je ne t'ai pas donné la permission de te préparer une place à la table.

- Mais Marcel j'ai tellement faim. Laisse-moi manger. Supplie Nicole.

Mais il fait comme s'il n'entend pas et il continue :

- Va vider ton assiette dans la poubelle et ensuite tu viens te tenir debout à côté de moi.

Malheureuse, elle prend son assiette et va la vider, puis elle l'abandonne dans l'évier avant de faire les trois pas jusqu'à la table afin de se tenir près de Marcel. Il commence à lui parler lentement mais fermement :

- Quand vas-tu te rendre compte qu'en ma présence, tu ne fais que ce que je demande en toute obéissance. Sinon je n'hésiterais pas à mettre fin à cette soumission en envoyant à beaucoup de monde une petite vidéo montrant que tu es une chienne. Est-ce que tu comprends salope ?

Nicole, les larmes aux yeux, regarde fixement Marcel et plaide :

- Je suis désolée et pardonne-moi s'il te plaît. Mais je sens des choses en moi que je n'ai jamais senties auparavant et je voudrais que ça cesse. Peut-on arrêter s'il te plaît ?

Il l'attrape par la main et rapidement la couche sur ses genoux. Elle se retrouve coincée entre le bord de la table et la poitrine de l'homme. Celui-ci comme à claquer son cul avec sa main droite jusqu'au moment où elle le supplie d'arrêter. Il saisit alors ses cheveux et la relève brusquement. Elle est encore sous le coup de la surprise de la réaction brutale de son bourreau. Elle se fige à côté de lui. Marcel crie :

- Tu ne m'as pas entendu poser une question ? Tu veux que je sorte de cette maison, que je réalise une belle vidéo où tu apparaîs dans des positions qui montrent comment tu es salope et que je la poste sur le site de l'entreprise ?

Et il poursuit :

- Et ensuite, j'en enverrais une à ton mari pour qu'il voie quelle épouse tu es ? Que vont penser les collègues et ton mari quand tout le monde va découvrir le genre de salope que tu es ?

La Nicole reste bouche bée. Elle avait espéré qu'aujourd'hui serait le dernier jour de son calvaire. Mais elle comprend que son bourreau a le contrôle et qu'il veut l'avilir. Et puis, il y a ce sentiment profond qu'elle peut consentir à vouloir se conformer à ses exigences sans hésitation. Donc, elle se résigne à se soumettre à son maître-chanteur et elle lui dit : 

- Je suis désolée. Je comprends ma situation et je ferai tout ce que tu me demanderas.

- Bonne réponse. Maintenant monte sur cette table et couche-toi dessus en écartant tes jambes. Ordonne Marcel.

Nicole pose sa fesse droite à côté de l'assiette de Marcel et monte sur la table. Ensuite, elle se couche dessus, sa tête pendant de l'autre côté de la table, ses cheveux tombent. Ses jambes pendent à la droite de Marcel. Celui-ci dit :

- Écarte les lèvres de ta chatte avec tes mains, je ne veux pas voir de poils autour de ton trou à bite.

Elle déplace ses mains vers son sexe et écarte les petites lèvres de sa vulve avec ses doigts. Elle peut sentir l'humidité de l'endroit. Elle est gênée par la pensée que Marcel mange à seulement quelques centimètres de son sexe. Mais pour une raison inconnue, cette pensée provoque un frisson tout le long de son corps. Ensuite elle entend son tourmenteur dire : 

- Mets tes pieds à plat sur la table et ouvre bien tes genoux que je puisse mieux voir ta moule.

Elle se recule un peu si bien que sa tête pend encore plus. Mais elle l'entend lui demander :

- Regarde-moi quand je te parle.

Alors elle lève la tête et regarde vers le bas de son corps. Elle constate qu'il est assis entre ses jambes et qu'il regarde sa grotte. Elle plaide :

- S'il te plaît, ne me fais pas faire ça. C'est trop gênant, j'ai l'impression d'être chez le gynécologue pour un examen vaginal.

Mais il continue à examiner son sexe en disant :

- Tu veux parler de ta chatte en employant le mot vagin ? C'est un dégorgeoir à bite ! Ton vagin, c'est ce qu'il va devenir !!!! Compris ???

Elle répond rapidement :

- Oui Marcel. C'est compris.

Elle écarte les jambes aussi larges qu'elle le peut. Elle peut sentir son souffle sur son entrejambe. Elle attend les prochaines instructions qui ne tardent pas à arriver.

- Je veux qu'avec ton index tu caresses ton clitoris. Je veux voir comment tu te donnes du plaisir. Mais je ne t'autorise pas à jouir alors tu me dis quand tu es sur le point de le faire.

Elle commence à titiller son clitoris avec son index de la main droite. Et avec celui de la main gauche, elle caresse la zone juste en dessous. Après peu de temps, elle sent que son sexe réagit à la stimulation. Elle continue à titiller son clito tout en glissant l'index gauche au fond de sa chatte. Elle a du mal à croire qu'elle le fait devant un autre homme que son mari. Marcel lui dit :

- Je veux que tu bouges tes hanches pour aller à la rencontre de ton doigt. Montre-moi comment tu baises avec ton mari.

Le corps de l'épouse est maintenant en action sans tenir compte qu'elle est victime d'un chantage. Elle veut pouvoir jouir. Alors elle frotte de plus en plus vigoureusement son clitoris. Soudain elle voit le visage de Marcel approcher sa grotte. Elle voit ses yeux fixer ses doigts en activité. Elle sent qu'il a posé ses mains sur ses cuisses et elle le regarde baisser la tête jusqu'au moment où elle peut sentir une langue s'insérer dans l'ouverture de son vagin. Elle essaie de reculer devant cette intrusion mais elle est maintenue par des mains fortes. Il ordonne :

- Arrête de caresser ton clito. Écarte moi plus que ça ta moule.

Même si elle n'est pas loin de jouir, elle obéit et lentement écarte les petites lèvres de sa moule autant que possible. Puis elle sent la langue de Marcel sur son clitoris et un doigt inséré dans sa grotte. Elle ferme les yeux et essaie de se concentrer sur cette sensation agréable. Elle n'a jamais connu ça. Elle laisse échapper un gémissement alors que le doigt fait des va-et-vient dans sa grotte humide. Elle entend Marcel lui demander d'écarter encore plus les jambes. Elle obéit et elle sent tout d'un coup un objet assez gros à l'ouverture de son sexe. Elle ouvre les yeux pour voir Marcel pousser le gros gode noir dans sa chatte. Lentement mais sûrement, il la pénètre avec l'objet en caoutchouc. Il lui dit alors de bouger son bassin pour faciliter l'intromission du monstre dans sa petite grotte serrée. Le Marcel essaie d'établir un rythme dans son pilonnage de l'épouse infidèle. Bientôt, chaque entrée du gode correspond avec un mouvement en avant des hanches de celle-ci.

Alors qu'il peut enfiler complètement l'objet, il en profite aussi pour placer son pouce à l'entrée de l'anus de sa soumise. Lentement, il pousse et franchit sans la moindre résistance l'entrée du petit jardin de Nicole. Soudain, il l'entend dire :

- OOOH !!! Je vais jouir. Laisse-moi jouir s'il te plaît.

Mais il répond :

- Pas encore salope, je veux voir à quelle vitesse tu peux bouger tes hanches.

Après ces mots, il pilonne la chatte de la soumise sans plus tenir compte du rythme. Et il continue à enfoncer son pouce de plus en plus profondément dans l'entrée de ses reins. Nicole devient incontrôlable et bouge son bassin de façon à ce que le gode pénètre le plus loin possible. Puis elle entend les mots qu'elle attendait :

- Jouis ma salope !!! Vas-y jouis ma pute !!!!!!

Tout le corps de la femme se tord dans l'orgasme. Ses hanches continuent à bouger pour répondre aux poussées du gode dans sa chatte ainsi que du pouce dans son rectum. Elle n'a jamais autorisé son mari Jacques à mettre quoi que ce soit profondément dans son anus. Elle lui a juste permis d'un insérer le bout de ses doigts, jamais de les enfoncer totalement. Aujourd'hui, le pouce de Marcel la mène vers un deuxième orgasme. Elle hurle de bonheur et resserre ses jambes autour du visage de son agréable bourreau, de son pouce et de son gode. 

La Nicole sort de sa jouissance quand il lui dit :

- Je veux que tu continues à te baiser avec le gode. Je vais manger pendant que je te regarde te baiser jusqu'à l'orgasme. Mais tu n'es pas autorisée à jouir. Je veux que tu me supplies avant.

Nicole prend le gode des mains de Marcel et commence à pistonner sa chatte. Sans demander son reste, elle utilise sa main libre pour attraper ses mamelons et commencer à les pincer et les tordre. Elle garde la tête levée et les yeux ouverts pour voir Marcel qui mange nonchalamment. Il s'arrête un moment pour attraper le mamelon droit de sa soumise afin de le tordre violemment. Cela la fait presque jouir avant qu'elle ne puisse lui demander l'autorisation. Alors, rapidement, elle dit :

- Marcel, s'il te plaît, laissez-moi jouir. Je ne vais pas pouvoir tenir encore beaucoup de temps.

Lui, il continue à manger, mais il aggrave le tourment de Nicole en continuant de presser et tordre le mamelon. Il le prend entre le pouce et l'index et le tire aussi fort qu'il le peut. Puis il dit :

- Va-y !!!! Jouis pour la pute que tu vas devenir.

En même temps, il tire encore plus loin le téton déjà bien étiré. Il la regarde enfoncer très profondément et avec un bruit de succion le gros gode dans sa chatte humide. Il l'entend dire alors qu'elle subit un autre orgasme :

- OOOHH !!! Mon Dieu, tire fort mes seins. Baise-moi. Baise-moi. Baise-moi, OUIIIII !!!!!!

Marcel regarde la main de la femme encore posée sur l'objet en caoutchouc enfoui dans son sexe. Elle tourne la tête vers lui mais ses yeux sont hermétiquement fermés pendant que les effets de l'orgasme s'estompent.

Marcel la laisse reprendre ses esprits en finissant son assiette. Puis il boit son verre de vin. Une fois terminé, il prend son assiette, ses couverts et son verre pour les emmener dans l'évier et tranquillement les poser au fond. Il ouvre le robinet pour commencer à les laver quand il entend Nicole descendre de la table et dit :

- Non Marcel, laisse, je vais le faire.

Il remarque que la Nicole vient vers lui en se dandinant, le gode encore inséré dans sa chatte.

Quand elle a fini la vaisselle, il sort de la cuisine et commence à monter les escaliers jusqu'à la chambre. Il est temps de préparer sa soumise pour sa première promenade. Tout en montant il ordonne :

- Viens ici, et retire le gode de ta chatte. Je veux que tu le suces tout le chemin jusqu'à ta chambre.

Elle obéit rapidement et retire l'objet en caoutchouc de son sexe pour lentement le glisser entre ses lèvres et dans sa bouche. Elle lèche le jus de sa chatte et trouve son goût plus agréable qu'elle ne croyait. Alors qu'elle grimpe les escaliers à la suite de Marcel, elle admire son cul ferme, ses cuisses musclées et ses mollets. Quand il atteint la dernière marche, il se tourne pour regarder sa soumise monter derrière lui. Il remarque que le gode est à moitié dans sa bouche ce qui rend son visage amusant. Mais, elle fait ce qu'il lui a ordonné sans hésitation ou plaintes. Elle le rejoint dans la chambre. Celui-ci voit les yeux de la Nicole regarder les vêtements étalés sur le lit et prévus pour elle. Elle se tourne vers lui et il peut voir que son visage prend un air suppliant. Mais il dit :

- Tu peux enlever le gode de ta bouche. Mais tu l'enfiles tout de suite dans ta chatte humide.

Nicole tire lentement l'objet de sa bouche pour soulager sa mâchoire qui était trop détendue par le gode. Ensuite elle l'amène à l'entrée de son sexe et commence à le pousser à l'intérieur. Elle est surprise par la facilité avec laquelle le gode pénètre dans sa chatte jusqu'au bout renflé censé représenter des couilles. 

Une fois que la bite en caoutchouc est complètement enfoncée dans son vagin, elle entend son Maître lui dire :

- Assis toi sur le sol pendant que je te parle.

Elle s'agenouille puis s'assoit. Elle peut sentir l'énorme gode être poussé plus profond à l'intérieur d'elle. Il touche où jamais le membre de son mari n'a été même s'il n'est pas petit. Quand elle se sent plus à l'aise, elle commence à se balancer d'avant en arrière, et la base plus large du gode censée représenter les couilles frotte contre son clitoris. Alors qu'elle continue à bouger sur l'objet en caoutchouc, elle est hypnotisée en regardant la bite de Marcel commencer à durcir. Elle regarde attentivement Marcel qui caresse sa longue verge. Et elle se rappelle comment il était dans sa bouche la veille. Il lui dit :

- Ouvre ta bouche que je te donne dès le matin une petite dose de sperme.

Il se déplace directement au-dessus d'elle assise sur le sol. Celle-ci augmente son balancement, stimulée par la pénétration profonde du gode, le frottement sur son clito et la vue érotique de Marcel caressant sa bite. C'est plus qu'elle ne peut supporter. Soudain, il l'attrape par les cheveux au-dessus de la tête et la soulève de telle sorte que sa queue soit au niveau de la bouche. Et il lui dit :

- Baise-toi avec le gode, et branle-moi en même temps.

Nicole se remet à genoux devant la bite de son amant. Elle saisit le gros membre et commence à le caresser. Elle peut voir du liquide pré-éjaculatoire se former sur la fente du gland. Elle positionne sa bouche dans l'attente de la jouissance de son homme. Tout en continuant à le branler, elle continue à pomper le gode dans sa chatte. Excitée, elle est au bord de l'orgasme quand il attrape la nuque et force sa bouche avec son engin pour éjaculer. 

Immédiatement elle jouit aussi, mais elle continue à sucer et avaler le liquide séminal de son amant. Après s'être remise de son orgasme, elle lève les yeux et voit que le visage de Marcel donne l'impression qu'il n'est pas satisfait.

- Qui t'a dit que tu pouvais jouir ? Questionne l'homme en colère.

Elle essaie de retirer la bite de sa bouche pour pouvoir répondre, mais il ne lui permet pas. Il continue son reproche :

- Tu es la femme la plus stupide à qui j'ai eu affaire. Pourquoi ne peux-tu pas te rappeler que tu ne peux rien faire sans me demander la permission ?

Il retire sa queue de la bouche de sa Nicole, recule et ordonne :

- Lève-toi salope et couche-toi à plat ventre sur le lit. Garde le gode enfoncé dans ta chatte.

Elle obéit et se relève. Il faut qu'elle fasse attention que le gode ne sorte pas de son vagin. Et tandis qu'elle sent la fraîcheur des draps en coton contre ses seins, elle sent aussi les mains de Marcel qui écartent ses fesses. Sans avertissement, il saisit le gode et pilonne furieusement la chatte déjà bien baisée de l'épouse. En même temps il dit :

- Mets tes mains derrière toi et écarte bien tes fesses.

Elle obéit, dégage ses mains et saisit ses fesses pour les séparer. En même temps, elle sent de la salive frapper son trou du cul, le gode est retiré de son sexe pour être placé sur son anus. Aussitôt elle crie :

- Non Marcel, il est trop gros, il va me déchirer.

Il ne fait pas attention à elle et continue à pousser le membre en caoutchouc qui vient de passer la dernière résistance de l'ouverture étroite de ses reins. Avec un léger bruit, la tête de l'objet a fait son chemin à l'intérieur, suivie par près de la moitié de sa longueur. Elle entend Marcel lui dire :

- Tu apprendras que chaque fois que tu me désobéis, tu auras une punition.

Il pousse encore plus le gode dans son fondement. Les yeux de la Nicole commencent à s'humidifier sous l'augmentation de la douleur. Elle entend son homme rajouter :

- Prends le gode et baise ton cul. Tu as intérêt à être enthousiaste.

Craignant d'avoir encore plus mal, elle prend l'objet des mains de son tortionnaire et commence à le faire coulisser lentement à l'intérieur de son jardin secret. Mais elle sent deux claques sur ses fesses accompagnées des paroles :

- Pas comme ça salope, utilise ton corps pour qu'il pénètre entièrement dans ton cul.

Une fois encore, elle est forcée de faire des choses qu'elle n'aurait jamais osé faire de toute sa vie. Elle se pose la question : « Pourquoi je fais ça moi ???? ». Au même moment, elle sent que la base du gode tape contre sa chatte. Elle réalise alors que le gode est entré entièrement en elle. Elle n'aurait jamais pensé cela possible. Cette prise de conscience d'avoir un gode complètement enterré dans son arrière-train l'excite et commence à lui provoquer un orgasme. Alors elle se dépêche de demander :

- Marcel… Je suis près de jouir, Puis-je jouir s'il te PLAÎT ?

Il la regarde se baiser le cul. Il sourit en pensant que la suite va être formidable. Alors il dit :

- Tu peux jouir salope. MAINTENANT.

Sans hésitation, le corps de sa soumise se tord dans l'orgasme. Une fois qu'elle est remise, il lui demande d'aller dans la salle de bain pour se nettoyer. Elle obéit docilement. Ensuite elle revient dans la chambre et reste debout devant son amant.

A suivre...