mercredi 5 octobre 2022

Omar et la traite des blanches Ch. 03

 Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.

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La traite des blanches.

Cela faisait maintenant deux mois que le couple Walker avait célébré son premier anniversaire de mariage à bord de "l'Island of Pleasure". Laurie Walker était pendue au téléphone, c'était un appel de l'infirmière du cabinet de gynécologie qui la suivait. Assise morose à son bureau dans le quartier des finances de Wall Street, Laurie était toute retournée alors que son cœur battait la chamade. Les choses s'avéraient si différentes maintenant, en fait totalement opposées à ses espoirs lorsqu'elle avait embarqué pour cette croisière avec son bien-aimé mari. La croisière avait bien commencé, un premier repas excellent à bord, et une séance de jeux au casino du bord, tant qu'ils étaient dans les eaux territoriales.

Epuisées par la journée de préparatifs la veille de l'embarquement, ayant longuement voyagé de leur domicile au quai d'embarquement, Laurie et son mari étaient tombés dans les bras de Morphée à la veille de leur premier anniversaire de mariage. Et Laurie, alors qu'elle somnolait pensait en elle même toute souriante :

- "Et si on profitait de ce premier anniversaire de mariage pour faire un bébé !"

Et voila que l'infirmière du cabinet de gynécologie lui annonçait les résultats du test subi deux jours plus tôt, Laurie frissonna en apprenant qu'elle était enceinte. Le bébé avait été conçu le premier jour de leur anniversaire de mariage, à bord du navire, mais il n'était pas de son mari !

Au petit matin, au lever du soleil, elle avait décidé de faire ses exercices quotidiens sur le pont extérieur du navire tandis que John restait couché. Un matelot quittait le pont juste au moment où Laurie se dirigeait vers sa cabine situé au niveau bleu, soudain elle fut assaillie par un homme se tenant dans son dos. Une grosse main lui cloua le bec étouffant ses cris, son agresseur la traîna ensuite dans la cabine face à la sienne, elle était obscure.

Dominée par la puissance de son assaillant Laurie comprit très vite qu'elle n'avait aucune chance de lui échapper, Il connaissait très bien la disposition de la cabine et évoluait avec aisance dans l'obscurité, déjà il la dépouillait de ses vêtements.

Ce fut un moment horrible, ses mains se posaient sur elle déchirant ses vêtements. Une fois qu'il lui eut arraché son soutien-gorge, impuissante, il lui dit de se laisser sucer les tétons, non seulement il les suçait mais ils les mordillait douloureusement. Affolée elle sentit ses mamelons darder sous ses caresses non désirées, il mordait si fort qu'elle était sûre qu'elle allait avoir des cicatrices de morsures sur ses aréoles.

Il la força brutalement à écarter les cuisses s'imposant entre elles, et il l'avait sauvagement violée la labourant frénétiquement de son énorme bite. Il butait contre le col de son utérus, il était certain de la meurtrir douloureusement, et c'est alors qu'elle l'avait senti prendre un dernier élan, s'enfouissant totalement en elle. La cabine verrouillée par ses soins était étanche et insonorisée, elle pouvait toujours crier, pleurer, geindre... Personne ne l'entendrait.

Laurie n'avait pas connu d'autre homme que son époux. Mais le pire, c'était que la bite de son violeur faisait au moins le double de celle de son mari, aussi bien en longueur qu'en épaisseur. Laurie frissonna, se rappelant la douleur intense qui l'avait amenée à le supplier :

- "Arrêtez... Je vous en prie arrêtez... S'il vous plait... J'ai si mal... Si maaaaaaaaaal... Si maaaaaaaaaaaal..."

Il l'embrochait comme jamais elle ne l'avait été, Laurie ne pouvait le repousser, elle ne pouvait que pleurer et geindre. Elle ne croyait pas que cela puisse être pire, elle fut bientôt détrompée alors qu'il grognait à son oreille :

- "Ma ravissante petite américaine... Ta peau est si douce, si soyeuse... Ta chatte si serrée... Autour de ma bite d'africain !"

C'est ainsi qu'elle apprit que cet homme qui labourait son corps de puissants coups de bite était noir, elle se remit à se débattre... Mais toujours en vain ! La chatte déchirée, distendue comme jamais, Laurie aurait souhaité mourir à cet instant ce qui la laverait de toute cette infamie. Mais le douloureux et sauvage viol se poursuivait, son ignoble agresseur se retirait à l'orée de sa chatte, puis d'un puissant coup de boutoir il s'engouffrait brutalement dans sa chatte béante, il était évident qu'il ne la laisserait pas tant qu'il n'aurait pas assouvi ses instincts lubriques et apaisé ses sens. Comme il la martelait sur un rythme effréné, la bite profondément enfouie en elle à chaque pénétration, ses grosse couilles venant frapper régulièrement la peau de son cul, Laurie l'entendit soudain grogner :

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhh... "

Et jets après jets, il se vida totalement les couilles dans son utérus fertile. Ce n'est qu'une fois que son violeur eut fini de se vider en elle, alors, que sa bite ramollissait, que Laurie pensa aux éventuelles conséquences de ce viol. Elle ne prenait plus la pilule depuis six semaines. Pendant tout ce temps, John avait enfilé une capote lorsqu'ils faisaient l'amour, elle avait tout programmé pour déterminer le moment où elle serait fécondée par son mari. Mais ce planning ne concernait que son mari... Pas un infâme violeur... Concevant qu'il se pourrait bien que son ignoble agresseur l'ait engrossée elle se mit à geindre :

- "S'il vous plait... Tuez moi... Tuez moi... Je ne veux plus vivre après ça !"

Elle aurait préféré mourir que vivre après avoir subi cette infâme agression, elle se sentait si dégradée, déshonorée. Sanglotant d'humiliation, le corps secoué de tremblements irréversibles, Laurie comprit alors que son violeur n'en avait pas fini avec elle. Dans l'obscurité, il la releva du lit, et la força à s'agenouiller. Elle avala sa salive, honteuse de se rendre compte que tout était si clair dans sa mémoire, elle rappelait comment il l'avait obligée à manipuler sa virilité, à le branler et à caresser ses couilles velues. C'est alors qu'il lui avait imposé une dernière humiliation, ses gros doigts lui saisirent les cheveux l'attirant contre son pubis crépu. Secouée de nausées, elle dut écarter les lèvres et accueillir dans sa bouche la bite qui sortait de son con.

Elle n'aurait jamais pensé devoir se livrer à un acte aussi sordide, aussi dégradant, un geste qu'elle n'avait jamais accompli, même pas avec son mari dans la tiédeur de leur lit conjugal, et maintenant cet homme, un noir, lui fourrait sa grosse bite écœurante dans la bouche ! Elle était effondrée de voir cet ignoble individu utiliser sa chose pour lui violer la bouche... La baiser en bouche... Coulissant d'avant en arrière entre ses lèvres... Comme un homme qui louerait les services d'une prostituée ! Mais il ne s'était pas servi que de sa bouche ! Il rugit sourdement :

- "Argggggggggggggg... Arhgggggggghhhhhhh... " tout en lui remplissant la bouche de son foutre chaud, elle se mit à tousser, secouée de hauts le cœur.

Il extirpa alors brusquement sa bite de sa bouche lui saisit la tête et la maintint juste en face de lui, alors que jet après jet il giclait sur le visage et les cheveux de la ravissante jeune femme asservie. Bientôt ses yeux et ses narines furent noyés de foutre alors que des filets de semence s'étalaient sur son menton et dans son cou.

Douchée et rhabillée, se tenant à la balustrade, Laurie regardait fixement les flots bleus. Si une jeune serveuse ne lui avait pas saisi la main lui demandant si tout allait bien, coupant ses pensées morbides, Laurie en aurait vraisemblablement fini avec son cauchemar en sautant par dessus bord. Mais cette interruption avait tout changé, elle repensa à son mari, et se dirigea vers la pharmacie de bord histoire de se procurer de quoi se doucher vaginalement.

Inutile de dire que la suite de la croisière fut douloureuse pour Laurie, qui devait maintenant faire face au programme mis en place à l'occasion de cette traversée... Ce qui lui interdisait de garder trop souvent la cabine !

Maintenant, quand son mari tout frétillant voulait jouer au papa et à la maman, Laurie le refroidissait lui disant qu'elle avait prévu de participer à des activités se déroulant sur le pont lui disant que rien ne pressait, qu'il pourrait bien faire l'amour plus tard. 

La dernière nuit de la croisière, Laurie était heureuse d'avoir une nuit sans lune qui laissait la cabine dans l'obscurité, elle n'aurait pas à jouer la comédie pour son mari. Ses seins lui faisaient mal, elle serrait les dents pour ne pas gémir de douleur, lorsque son mari les suçait tendrement. Son con avait été largement distendu par l'insupportable viol qu'elle avait enduré, petit à petit son corps se remettait, la taille de ses organes reprenaient leur taille, Laurie pouvait à nouveau sentit la bite de son homme lorsqu'il lui faisait l'amour.

Trois mois s'était écoulés depuis cette funeste croisière, Laurie était assise seule dans une chambre d'hôtel à 150 km de chez elle. Elle était supposée effectuer un voyage de travail de trois jours, le premier jour de son séjour s'était déroulé comme elle l'avait programmé. Deux jours seraient consacrés à de courtes vacances, et le dernier à la priorité de son voyage... Voir le gynécologue qui lui avait confirmé sa grossesse. Mais cette fois elle était là pour avorter du bébé souvenir de son violeur noir. Elle y avait ajouté un jour pour récupérer, puis elle rentrerait chez elle retrouver son gentil mari, qui ne connaitrait jamais la vérité.

Au long de ces derniers mois, Laurie s'était lancée à cœur perdu dans son travail, cherchant par tous les moyens à oublier cet horrible cauchemar. Remplie d'angoisse, elle avait vu arriver la période critique, elle n'avait pas eu ses règles, le médecin lui avait confirmé qu'elle était enceinte. Elle détestait mentir à son mari, mais elle ne pouvait pas révéler le véritable motif de son voyage, en lui disant qu'il s'agissait d'un voyage d'affaires elle ne mentait qu'en partie puisque c'était vrai pour le premier jour. Ce n'était pas vraiment un mensonge ! se disait-elle cherchant à se convaincre qu'omettre une partie de la vérité n'était pas vraiment mentir.

Maintenant qu'elle avait avorté de ce bébé qui ne pouvait que lui poser de nombreux problèmes, Laurie laissa échapper un soupir soulagement, elle ne sentirait plus le témoignage de son viol grandir dans son ventre. Elle avait tout planifié, depuis les visites chez le gynécologue, jusqu'à cet avortement. Sa vie pourrait reprendre un cours normal à dater de ce jour, du moins c'est ce qu'elle pensait, inconsciente que son agresseur n'avait pas oublié cette savoureuse journée ou il s'était délecté de ses charmes dans la cabine en face de celle où son mari récupérait.

Peu de temps après avoir possédé la ravissante jeune femme, Omar pensait déjà au futur :

- "Oh oui ma chère madame Walker... Omar t'appellera bientôt lorsque le bateau fera escale près de chez toi ! Je suis sûr que lorsque je te montrerai les photos de ton viol, tu feras tout ce que tu pourras, tout pour récupérer ces clichés compromettants afin d'éviter que je les montre à n'importe qui... Tu viendras me divertir dans la luxueuse chambre d'hôtel que j'ai retenu pour passer le temps lors de cette escale."

C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Laurie :

- "Hummmm J'ai une bien meilleure idée...Je vais me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or !"

L'équipage est constitué de centaines de matelots de nationalités différentes, la majorité sont des mâles. Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante jeune américaine comme l'adorable madame Walker. Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme vêtue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.

Omar se remémorant ses performances définit rapidement le temps qui serait alloué aux consommateurs :

- "20 minutes... Pour chaque groupe de 5 !"

Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul ! Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes.

Cela faisait maintenant 6 mois qu'il s'était fait cette somptueuse salope. Pour la soumettre il possédait des photos prises dans l'obscurité de la cabine du viol, il banda rien qu'en évoquant le plaisir qu'il avait pris à dégrader cette naïve jeune femme le jour même de son premier anniversaire de mariage, ce qui ajoutait encore du sel à son avilissement. Omar calcula rapidement :

- "21 clients à l'heure... pendant 10 heures d'affilée... Mon Dieu... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200 consommateurs en une seule journée !"

Six mois s'étaient écoulés, lorsque Laurie assise derrière son ordinateur dans son bureau ouvrit sa boite aux lettres de travail. Son regard se figea immédiatement à la vue d'un message aussi étrange que sinistre. A la place du nom de l'envoyeur apparaissait une formule lapidaire : Ton violeur Africain... Quant au contenu du message, il était indiqué : "T'es tu retrouvée enceinte après ton premier anniversaire de mariage à bord du bateau ?"

La main posée sur la souris, Laurie était figée sur sa chaise, elle se demandait si elle oserait ouvrir ce mail. Elle voulait l'effacer et le mettre dans la poubelle, mais ignorant son contenu, elle n'osait pas le faire. Le cœur battant la chamade, elle plaça son curseur sur le message et cliqua sur "ouvrir"

La missive débutait par :

- "Bonjour madame Walker...Tu étais si belle en embarquant à bord du navire avec cette jolie petite robe bleue ornée d'un galon sous la poitrine et tes hauts noirs... Je veux te revoir ! Tu mettras cette petite robe que j'aime tant..."

Laura se demanda comment ce bâtard avait bien pu dégotter son adresse email au bureau, et elle réalisa alors qu'elle avait effectué les réservations pour cette "croisière romantique" de son bureau, indiquant son adresse email sur la réservation.

Une photo d'elle embarquant à bord vêtue de sa petite robe bleue apparaissait sous le court texte, une photo pour laquelle elle n'avait pas posé, d'ailleurs son époux ne figurait pas dessus. A coté de la photo, Laurie put alors lire :

- "Le bateau fera une escale technique à Sweetport vendredi prochain... Tu me rejoindras au motel de Sweetport à 9 heures juste ! Je t'attendrai dans la chambre 105 au coin du couloir, elle nous est réservée ! Réfléchis à la première chose que je veux que tu mes fasses !"

Elle s'obligea à parcourir le reste de l'email, deux autres images apparurent côte à côte, Laurie serra les dents l'estomac soulevé de révulsion. Elle se rappelait maintenant ces deux éclairs aveuglants dans les ténèbres de la cabine intérieure, ce devait être à ce moment qu'il avait pris ces instantanés. Sur la première photo, on la voyait à genoux, sa main enserrant la grosse bite noire alors qu'elle avait le gland turgescent en bouche, la seconde était encore plus répugnante, on y voyait son visage strié de deux grosses coulées de foutre, la grosse bite noire en arrière plan projetait un jet de semence blanchâtre sur sa figure.

- "Oh mon Dieu... Mon Dieu... Que puis-je faire ? Il ne faut pas qu'il diffuse ces photos ! " se disait-elle au fond d'elle même.

Elle prit un jour de congé, et fit croire à son mari qu'elle se déplaçait à nouveau pour son boulot, Laurie portait la robe requise sous un imperméable lorsqu'elle sortit de sa chambre à coucher. 

Elle avait besoin de s'y prendre d'avance pour couvrir le long chemin jusqu'à la ville de Sweetport, tout au long du trajet elle sentit son cœur battre la chamade tant ce qui allait lui arriver lui faisait peur. Elle était secouée de hauts le cœur lorsqu'elle se rappelait à quel point le goût de sa bite la révulsait lorsqu'il la lui avait mise en bouche. Elle avait déjà mal au cœur lorsqu'elle se rangea dans le parking du motel, elle jeta un œil sur le trajet qui la séparait de la chambre 105 à l'autre bout du motel, sa montre marquait 9 heures moins cinq. Elle disposait de 5 minutes pour rassembler ses esprits et partir, espérant que ce salaud n'enverrait pas les photos de son viol à son mari, son employeur, ses parents et ses amis comme il la menaçait clairement de le faire dans son email. Cependant les photos étaient si horribles que sa vie serait dévastée si uns seuls de ces personnes venait à les voir.

Des larmes ruisselèrent sur ses joues, elle se força à ouvrir la portière de la voiture et misérablement, sortit de sa voiture, elle se dépouilla de son imperméable et le jeta sur le siège arrière, puis chancelante, elle marcha au supplice. Sa montre indiquait maintenant 9 heures juste lorsqu'elle tendit la main pour toquer à la porte. Laurie frissonna en entendant la voix familière crier :

- "Entre ma petite chérie, la porte est ouverte !"

La porte ouverte, Laurie avala sa salive à la vue de ce colosse noir assis entièrement nu dans un fauteuil, qui branlait paresseusement sa grosse bite érigée.

- "Juste à temps pour me rendre les honneurs, ma chère madame Walker..."

Interdite Laurie ferma rapidement la porte, ne voulant pas être vue d'éventuels badauds. Le cœur battant la chamade elle était fascinée par l'énorme bite que caressait machinalement son maître chanteur. Elle s'agenouilla servilement entre ses cuisses musclées, tendit la main gauche vers la gigantesque virilité exposant ainsi son alliance aux yeux d'Omar qui commenta railleur :

- "J'adore voir briller une alliance au doigt de mes victimes, madame Walker, cela me rappelle qu'elles manipulent habituellement la bite de l'homme de leur vie..."

Quelques secondes plus tard ils avaient tous deux les yeux rivés au diamant qui brillait de mille feux à sa main enserrant la grosse bite noire de son vil suborneur. Cajoler la grosse mentule lui rappelait la croisière pour fêter son anniversaire de mariage, mais cette fois, Laurie voyait cette grosse bite qui l'avait violée, elle constatait à quel point elle était grosse et longue. Le cœur cognant dans sa poitrine, la bouche sèche, Laurie entrouvrit instinctivement les lèvres sans même qu'il le lui demande. Hypnotisée par l'énorme braquemart, il lui semblait que le gland turgescent et le méat entrouvert l'attiraient comme un aimant, elle ouvrit la bouche en grand.

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh... Doux Jésuuuuuuuuuuuuuus..." grogna Omar alors que ses lèvres se refermaient sur son bourgeon charnu.

Laurie, revenue sur terre au contact de sa grosse bite baignant dans sa salive pensa :

- "Oh mon Dieu... Je me comporte comme une vraie pute... C'est de mon propre chef que... Que j'ai... que j'ai embouché son énorme virilité !"

Mais elle ne releva pas la tête pour autant, de toute manière la main posée sur sa nuque lui interdisait tout mouvement de retrait alors que son ignoble maître chanteur se mettait à aller et venir dans sa bouche accueillante. Bien qu'elle n'ait plus accompli cet acte dégradant depuis son viol six mois plus tôt, Laurie l'avait joué et rejoué dans sa tête un million de fois. Déjà une vingtaine de centimètres avait disparu dans sa bouche envahissant sa gorge, ce qui lui valut les félicitations de son maître chanteur :

- "Bordel... T'es vraiment une excellente fellatrice madame Walker !"

Si elle n'avait pas tenue sa bite à la racine, son nez serait maintenant enfoui dans sa toison crépue et c'est 30 cm de bite qu'elle aurait en bouche.

Quelques instants plus tard, mains accrochées à ses hanches elle savourait les giclées de foutre chaud qu'il lui projetait tout droit dans sa gorge frémissante. Secouée de nausées, Laurie frissonnait à la pensée qu'elle venait de lui faire une pipe digne d'une vulgaire prostituée. Un filet de foutre s'accrochait à sa langue alors qu'il extirpait sa grosse bite de sa bouche asservie, son palais était tapissé de foutre. Son maître chanteur s'était levé et revenait avec deux verres en main, il lui en tendit un lui disant :

- "Bois ça... Ca va t'échauffer !"

La liqueur avait un léger goût de réglisse, Laurie ne réalisa pas que cette boisson épicée d'une bonne dose de cantharide allait lui embraser la chatte. Seul de bonnes doses de sperme pourraient éteindre l'incendie qui ne tarderait plus à ravager sa cramouille.

Son maître chanteur reprit sa place dans son fauteuil, il ordonna à Laurie de le distraire, de lui faire un strip-tease. Tendant la main dans on cou, Laurie dégrafa le boutonnage de sa robe, puis descendit la fermeture éclair du dos. Serrant les cuisses sur son chaton palpitant, Laurie cherchait désespérément de cacher son émoi, se demandant comment il pouvait se faire qu'elle ait tant envie d'une bite !

Sa robe bleue entortillée autour de ses chevilles, elle paradait sous ses yeux s'exposant son élégant soutien-gorge de dentelle coordonné à sa petite culotte de dentelle blanche. Allongeant les doigts dans son dos, elle déclipsa son soutien-gorge offrant sa somptueuse poitrine aux yeux de son "amant", ses petits tétons roses étaient dardés d'excitation, ils attendaient la tendre caresse de sa bouche et des ses mains calleuses.

Un moment plus tard, elle engageait ses pouces sous la ceinture élastiquée de son slip, le roulant lentement exposant sa toison dorée aux yeux de son maître chanteur enchanté de cette vision paradisiaque.

Laurie se mit à trembler alors que la brute musculeuse se levait se frottant contre son corps dénudé, ses yeux se braquèrent à nouveau sur sa mentule qui s'était déployée à nouveau, formant un angle de 45° avec son estomac. Ses larges bras noirs l'enlaçaient fermement, ses mains calleuses lui empoignèrent la croupe, il la leva facilement dans les airs.

Suspendue au dessus du sol, Laurie paniqua alors qu'il lui faisait poser les mains sur ses épaules lui intimant de se redresser. Elle haletait fortement, son cœur battait la chamade dans sa poitrine lorsqu'elle réalisa qu'elle était soulevée juste à l'aplomb de son gros braquemart. En dépit de l'extraordinaire désir provoqué par les aphrodisiaques, Laurie craignait la douleur en se faisant embrocher, elle voyait déjà son énorme flamberge tarauder son étroite petite chatte qui avait mis des mois à reprendre une taille normale après son ignoble viol.

- "Ohhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuu !" gémissait Laurie alors que l'énorme bite s'engouffrait au plus profond de son intimité.

- "Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ooooooooooooooooo... " grommelait-elle cherchant vainement à le repousser de toutes la force de ses bras.

- "Owwwwwwwwwwwwwwwwww..." pleurnicha-t-elle alors qu'il vibrait avec intensité dans ses profondeurs embrasées.

- "Ahhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... " s'époumonait-elle alors qu'il la clouait véritablement sur ce lit d'hôtel.

Alors que la bite longue de trente cinq centimètres s'enfouissait dans ses profondeurs utérines, Laurie sentit son vagin répondre à cet assaut, ses sphinctères se crispant et se décrispant sur la hampe brûlante.

- "Oooohhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh..."

Peu à peu la douleur se transformait en plaisir, alors que l'épais braquemart coulissait de plus en plus facilement dans sa fente engorgée de cyprine.

Elle verrouilla ses belles cuisses blanches autour de son torse, Omar sourit en la sentant boucler ses chevilles dans son dos, ses mains qui le repoussaient de toutes leurs forces étaient maintenant nouées autour de son cou et elle lui griffait le dos de ses ongles manucurés alors qu'il la labourait de plus belle. Il adorait la voir changer ainsi d'attitude, elle gémissait maintenant :

- "Oui... Oui... Oh Ouiiiiiiiiiiiiii..."

Même sachant que cela résultait de l'absorption de la cantharide, il était pleinement satisfait.

- "Oooooooo... Oh mon Dieuuuuuu... Oh mon Dieuuuuuuuuuu... Je... Je... Je jouiiiiiissssssss... " pantelait Laurie submergée par un orgasme foudroyant.

Et alors qu'une myriade d'étincelles explosait dans sa tête, l'accompagnait l'éjaculation de son maître chanteur au plus profond de son intimité assouvie. Le trop plein de foutre s'écoulait de leur point de jointure s'étalant sur ses cuisses puis sur les draps.

Vingt minutes plus tard, clignant des yeux pour se maintenir éveillée, Laurie se retrouva manipulée par de grosses mains noires qui la disposaient à quatre pattes sur le matelas. Elle sentit qu'on lui écartait les cuisses en grand et le matelas s'enfonça alors que son maître chanteur prenait place dans son dos.

- "Mon Dieu... Il va me prendre comme une chienne ! Comme une chienne en chaleur !" frissonna-t-elle longuement.

Mais elle frémit terrorisée en comprenant sa véritable intention, déjà il pointait son énorme gland contre son petit œillet affolé, elle frémit et hurla :

- "Non... Non... Pas comme ça... S'il vous plait... Je vous en prie... Personne n'est jamais passé par là ! Arrêtez... Arrêtez... Jamais ça ne rentrera ! Vous êtes trop gros... Bien trop groooooooooos !"

- "Argggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh... Ugggggggggggh !" hurlait la ravissante jeune femme éperdue de douleur alors qu'Omar prenait un grand plaisir à lui casser le cul.

Puis, de nouveau elle l'enlaça de ses jambes l'insoutenable douleur de la sodomie se muant à nouveau en un plaisir inconnu jamais goûté à ce jour. Ses couilles frappant régulièrement ses fesses, Omar se mit soudain à grogner :

- "Ahhhhhhhhhhh...Oh oui... Ouiiiiiiiiiiii..." 

Il était ravi de lui tapisser les intestins de son abondante crème. Il sourit alors en jetant un œil sur le visage de la ravissante jeune femme dévastée. Regardant sa montre il constata qu'il était juste dans les temps, les premiers membres d'équipage ne tarderaient plus à arriver.

C'est alors que retentirent des coups frappés à la porte, Omar fit entrer le trois premiers clients qu'il escomptait justement voir arriver. Son idée initiale de proposer les charmes de la belle jeune femme aux hommes d'équipage était couronnée de succès. Bientôt la ravissante Laurie Walker aurait l'honneur d'avoir assouvi la lubricité de 200 hommes dans la même journée.

La pauvre Laurie se réveilla de nouveau, mais cette fois elle frémit alors que des étrangers caressaient ses appâts.

- "Je te présente Raoul, Nugyen et Nigel..." ricana Omar faisant les présentations en désignant chaque homme du doigt.

Puis Raoul et Nugyen empoignèrent ses chevilles et ses bras, les relevant du matelas alors Nigel se glissait sous elle. Empalée sur la grosse mentule du gros noir, elle sentit qu'on la poussait en avant, pour permettre à Nugyen de l'enculer tandis que Raoul empoignait sa chevelure la baisant en bouche.

Deux heures plus tard, le trou du cul de Laurie lui faisait extrêmement mal, le troisième groupe de clients qui l'avait partouzée en terminait, chacun d'eux s'était servi de sa bouche, de son con et de son trou du cul. L'injection que lui avait fait Omar dans les fesses l'avait fait planer pendant un temps alors que les trois hommes venaient simultanément de lui remplir ses trois orifices.

Laurie s'était alors enroulée dans le couvre-lit tandis qu'Omar dissimulait sa voiture dans un coin discret du parking. Pendant sa dernière croisière vers Mexico, Omar avait rencontré des gens importants qui lui avaient promis de faire de lui un homme très riche. Sa position à bord du bateau de croisière, sa faculté de visiter toutes les zones du navire, même les plus cachées, sa possibilité d'avoir accès à nombres de documents sans être interrogé à ce sujet lui permettait de se lancer dans un nouveau commerce... La traite des blanches !

Il avait montré la photo de la ravissante Laurie Walker au propriétaire d' un important bordel de Mexico, qui lui avait proposé 25.000 $ s'il la lui livrait en bon état de fonctionnement.

- "Eh oui ma douce... Tu peux être certaine que je vais te livrer dans de bonnes conditions à monsieur Sanchez ! Il recherche des putains pour ses bordels miteux dans la banlieue de Mexico... Les mexicains adorent fourrer leurs queues basanées dans les chatons de jeunes américaines à la peau bien blanches, et je suis sûr qu'il ne verra rien à redire à toucher une fille formée à la prostitution, même si elle aura appris son boulot à bord du bateau, ce qui me fera encore gagner une bonne somme..." avait conclu Omar.

Le lendemain, toutes les forces de police de l'état étaient à la recherche de madame Laurie Walker qui avait disparu. Avait-elle été enlevée, où avait-elle disparu de son propre chef, ils se posèrent la question lorsqu'ils découvrirent qu'elle avait pris des jours de congé à l'insu de son mari qui la croyait en voyage d'affaires. Sa voiture noyée dans le nombre de voitures se garant chaque jour sur le parking du motel de Sweetport ne fut découverte que bien des semai-nes plus tard.

Laurie se réveilla le lendemain matin en entendant le grondement des moteurs du navire loin du port. Omar lui souriait railleur, Laurie bégaya :

- "Où... Où suis-je... S'il vous plait... Je dois partir... Mon... Mon mari va s'inquiéter... Il va se demander ou je suis... "

Mais elle réalisa rapidement que ce n'était que le début d'une longue épreuve lorsqu'Omar fit entrer un premier groupe de sept matelots dans la cabine.

Pendant les trois jours que dura la traversée pour Mexico, Laurie Walker la gentille petite ménagère adorable s'était transformée en une putain folle de sexe capable de satisfaire tous les besoins des clients avec sa bouche, son con et son trou du cul, de les branler avec ses pieds, ses mains, une véritable pro capable de satisfaire toutes les exigences luxurieuses.

Et elle ne refusait pas de les voir juter sur elle, bien au contraire elle pointait leurs bites sur elle pour les faire gicler sur ses joues et son menton.

Comme les matelots avaient une demi heure de battements, ils les avaient autorisés à satisfaire leur lubricité pendant la totalité de cette demi-heure. Et comme sur cette croisière, ces temps de récupération étaient signés chaque jour pour la matinée et l'après-midi.

Ils n'hésitaient pas à dépenser leur solde pour se taper la somptueuse blonde, plusieurs revinrent plusieurs fois pour profiter de tous les plaisirs qu'elle pouvait leur offrir au cours de ces trois jours, branlette, pipe, chatte, trou du cul... Certains mêmes payèrent pour assister à ses partouzes avec sept hommes se contentant d'envelopper leurs bites de ses cheveux roux pour lui offrir un shampoing crémeux.

Omar prit grand soin de sa marchandise, lui accordant des pauses douche et s'assurant qu'elle était bien nourrie. Le soir, après le souper, elle couchait à ses cotés jusqu'au lendemain matin, bien sûr, il la réveillait quand il avait besoin d'assouvir à son tour sa lubricité.

Il la maintenait constamment sous cantharide et de ce fait, elle se trouvait constamment en manque, en manque de rapports sexuels, elle réveillait Omar en pleine nuit pour le supplier d'éteindre le feu qui lui embrasait la chatte.

Le troisième jour, vêtue de sa joie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, douchée de frais, lourdement droguée, elle quittait le bord escortée par Omar et quelques matelots. Une vedette les attendait long du bord, à un endroit discret. Une fois Omar et Laurie à bord, elle fila vers le port. Le gros mexicain les y attendait à bord d'une luxueuse limousine qui les emmena dans la banlieue la plus crapuleuse de la ville.

25.000 $ en poche, Omar venait de quitter le propriétaire du bordel très excité après avoir inspecté la marchandise. Une fois l'affaire réglée, Omar avait sortit une pochette contenant 8 photographies prises lors des différents embarquements sur "l'Island of Pleasure ". Il avait posé les photos sur la table, le gros mexicain écarquillé des yeux émerveillés, il pointa du doigt deux photos : une somptueuse jeune beauté aux cheveux châtains et une adorable petite rouquine.

Il avait alors dit à Omar devenu d'un seul coup un de ses fournisseurs officiels :

- "Je paierai 25.000 $ la pièce pour ces deux succulentes beautés américaines... Elles rejoindront la savoureuse Laurie... Cela fera de mon bordel le numéro un des bordels du pays !"

La première photo représentait une jeune beauté vêtue d'une combinaison orange pâle. Omar commenta :

- "Vous avez vu ces longues jambes... Elles m'enserraient la tête lorsque je lui ai bouffé la moule... Un vrai délice... " 

Et jetant un œil sur ses notes il poursuivit :

- "Un choix excellent monsieur Sanchez, Julie Armstrong cette somptueuse beauté a 24 ans, c'était son voyage de noce... Une prof de lycée pendant ses vacances de printemps... Vous disposerez d'elle au milieu de cet été. Cette prof fera une excellente élève... Je me réjouis déjà à l'idée de lui enseigner comment se servir de ses lèvres pour plaire à un homme ! hé, hé, hé !"

Puis prenant en main l'autre photo représentant une magnifique rouquine vêtue d'un tailleur blanc.

- "Un autre très bon choix mon ami... Elle semble si innocente dans son petit tailleur blanc, n'est ce pas ! Cette adorable rouquine s'appelle Katie Sherman, elle faisait une croisière avec son mari pour fêter ses 25 ans. Une décoratrice d'intérieur... Elle pourra décorer votre bordel... Spécialement en ouvrant en grand ses cuisses à la grande joie des clients vicieux... Ohhh sa peau est si fine... Et je ne parle de sa somptueuse toison rousse... Cette beauté serait un élément très décoratif dans le donjon... les consommateurs pourraient la posséder enchaînée au mur avec ces bracelets de cuivre que vous m'avez montré... Ses pleurs et ses plaintes redoubleraient sûrement l'excitation de ses clients !"

A suivre...

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