lundi 30 septembre 2019

Piégée au supermarché Ch. 01

Piégée au supermarché - Récits érotiques - Contrainte - soumission.


Prise au supermarché.

J’avais 38 ans quand cela a commencé. Je venais de divorcer. Un vendredi soir, je sortais du supermarché, près de chez moi.

Immédiatement après le passage en caisse, je fus abordée par deux vigiles, l’un des deux était Robert, le mari d’une collègue et amie, nous étions voisine également. Comprenant de quoi il s’agissait, je les suivis sans histoires. Arrivé dans un local ils me firent vider mon sac et mes poches. Il y avait deux strings roulés en boule dans mon sac. Celui qui paraissait être le chef demanda à me fouiller. Je lui répondis :

 -Il n’y as pas de femmes dans votre équipe ?

- Non, nous pouvons appeler le commissariat, mais nous devront porter plainte pour ceci. Dit-il en montrant les strings.

Résignée, je le laissai remonter ma jupe. Apparurent alors, deux autres strings que j’avais enfilés par-dessus mon collant.

- Cette fois c’est trop grave nous devons porter plainte !

Affolée j’eus cette phrase malheureuse :

- S’il vous plaît, ne dites rien, je ferais ce que vous voulez.

- Très bien ! Dit le chef en s’approchant.

Il me fit enlever mon imperméable, puis il ouvrit mon chemisier. Il sortit mes seins du soutien-gorge, se pencha et attrapa un téton avec ses lèvres. En même temps sa main remonta ma jupe et atteignit mon pubis. J’étais tétanisée. Un instant plus tard il enleva ma jupe, descendit mon collant et mon slip. Il introduisit un doigt dans ma chatte, puis deux. Son autre main caressait mes seins.

Malgré moi mon corps réagit à ses attouchements. Il me poussa vers la table, me coucha en travers. Il vint derrière moi. A ce moment Robert, qui n’avait rien fait jusque à présent vint devant moi. Il ouvrit sa braguette, sortit sa bite et me la présenta. Je le regardai et je pris sa queue en bouche.

Pendant ce temps, le "chef" m’avait pénétrée, et commençait ses va-et-vient. Robert à son tour commença à me baiser la bouche. Les cuisses du type qui baisait ma chatte claquaient sur mes fesses, il m’attrapa par les hanches et il me besogna de plus en plus fort. Soudain, Robert attrapa ma tête à deux mains, et il jouit dans ma bouche. Je n’avais jamais reçu du sperme ainsi.

J’eus un mouvement de recul mais il me tenait fermement. Il me dit :

- Avale !

Ne pouvant résister, je déglutis. Pendant ce temps, l’autre me baisait de plus en plus fort. Il s’enfonça le plus profond possible, s’arrêta subitement et je le sentis décharger en moi.

Ils me laissèrent partir avec mon chariot, mon collant et mon slip roulés en boule au fond du sac. Je sentais encore le goût du sperme dans ma bouche, et aussi la semence couler de ma chatte. Rentrée à mon appartement je pris une douche. J’aurai voulu tout oublier.

Le lendemain matin, samedi, Julia ma copine vint m’inviter pour boire un café avec un bon gâteau. il se dirigea vers le poste de télévision, qu’il alluma. Il a introduisit un CD dans le lecteur. Et je vis, affolée, des images filmées dans le local des vigiles.

Je me vis en train de me faire baiser par les deux hommes. Julia avais l’air abattue. Robert me dit :

- Si tu ne veux pas que ces images circulent dans le quartier, l’immeuble ou même dans l’entreprise qui t’emploie, tu feras désormais ce que l’on t’ordonne.
 
Il me commanda alors de me déshabiller. Pendant que je m’exécutais, il ouvrit la robe de Julia qui était boutonnée sur le devant. Elle m’apparut alors, en bas, porte-jarretelles et un soutien-gorge qui laissait les bouts apparents. Son sexe n’avait plus aucun poils.

- Tu ne porteras dorénavant que ce genre de sous-vêtements, et tu seras lisse également.

J’étais nue maintenant. Il me fit allonger sur la table du salon. Julia revint avec une bassine. Elle enduit mon pubis de mousse et entreprit de me raser. Robert précisa bien que je devrais maintenant être constamment épilée. Mais pour aujourd’hui il y avait urgence. Et le rasage suffirait.

Une fois lisse, entièrement nue, il me fit redescendre à mon appartement. Heureusement, nous n’avons croisé personne. Chez moi, il inspecta ma garde-robe. J’avais des bas et des porte-jarretelle, il en choisit. Puis il désigna la plus courte de mes jupes et un chemisier presque translucide. Il précisa bien que je ne devais en aucune façon porter un slip ou un string. (Quelle ironie !)

Il sortit son téléphone et dit seulement :

- Elle est prête !

Nous rejoignîmes le parking où nous attendaient deux hommes : le vigile que je connaissais déjà et un inconnu, ainsi que Julia, sa robe toujours grande ouverte. L’inconnu fouillait sa chatte avec les doigts et Julia, l’air résigné, le laissait faire. 

Nous embarquâmes dans un minibus. Moi avec le vigile, Julia avec l’autre homme. Robert conduisait. Pendant tout le trajet ma chatte fut explorée, mes seins triturés. Il en était de même pour Julia. Nous arrivâmes dans un hangar. Là une quinzaine d’hommes attendaient. Deux matelas étaient posés sur le sol. Quelques secondes plus tard nous étions nues toute les deux, puis poussées sur les matelas. 

Alors que je suis à quatre pattes, un homme présenta sa bite à ma bouche, et je sentis qu’un autre passait derrière moi. Sans précaution il s’introduisit en moi. Et le défilé commença, les bites se succédèrent. Un moment j’étais empalée sur un homme couché sur le dos, pendant qu’un autre voulut me sodomiser. Je voulus le repousser mais l’homme couché me ceintura avec ses bras. Ce fut ma première sodomie. Je criai mais cela ne l’arrêta pas. Il introduisit son gland, s’immobilisa, puis lentement s’enfonça dans mon anus. Je sentis mes parois s’écarter, la douleur était insupportable. Je gémis mais cela sembla l’exciter encore davantage. Il commença à me pilonner.

Un autre homme entra sa bite dans ma bouche. J’étais baisée par tous les trous. Mes gémissements étaient ainsi étouffés. Une grande partie de la nuit, Julia et moi nous avons été baisées. Selon le mot de Robert nous étions devenues de simples vide-couilles.

A suivre...

Susan et les bidouilleurs de PC Ch.09

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

La fin des aventures de Susan.

Solitaire Susan attendait l'arrivée de son bus pour retourner chez elle à l'issue de sa journée de travail.

- "Hé Susie, j'étais sur de te rencontrer ici! ..."

Susan se figea, cela faisait deux semaines qu'elle n'avait plus entendu parler des ses maîtres chanteurs, elle commençait presque à espérer qu'ils l'avaient oubliée.

- Bonjour..." répondit-elle platement alors que le bus approchait de l'arrêt.

- "On va prendre le bus avec toi ma petite chérie! ... Prends ton ticket et va t'installer au fond du car! ..." lui ordonna Ray alors que les portes s'ouvraient.

Elle s'exécuta docilement, il n'y avait qu'un passager, un jeune gars assis sur les premiers sièges derrière le chauffeur.

Comme elle s'asseyait sur la banquette arrière, Gary et Ray la rejoignirent.

- "Bouge ton cul Susie! ... Je prends toujours la place le long de la vitre! ..." lui intima Gary avec autorité.

Elle se glissa sur le siège, ils s'assirent de chaque coté d'elle.

- "On est bien installé..." apprécia Ray se serrant contre elle.

- "T'as-t-on manqué ma petite chérie? ..."

Elle décida de ne pas répondre.

- "C'est nos bites qui lui ont manqué n'est ce pas Susie? ..."

Elle se refusa à nouveau à répliquer quoi que ce soit.

- "T'es-tu fait ramoner par une grosse bite depuis notre dernière rencontre? ..."

Comme elle ne répondait toujours pas Ray commença à s'agacer.

- "On t'a posé une question! ..." grogna-t-il empoignant sa tête pour la regarder droit dans les yeux.

- "Réponds-moi! ... T'es-tu fait baiser depuis notre dernière visite? ..."

- "Non..." souffla-t-elle misérablement.

- "Non quoi ma chérie? ..."

- "Non je n'ai pas fait l'amour depuis notre dernière rencontre! ...."

- "C'est mieux ainsi, ainsi tu n'as pas laissé ton mari te baiser depuis! ..."

- "Non, il ne m'a pas sautée! ..."

En vérité il n'avait pas même essayé, et c'est là que gîtait son problème.

- "Tu dois avoir drôlement envie d'une grosse bite ma pauvre petite Susie! ..." se marra Gary.

Elle entendit le zip d'une fermeture éclair que l'on descendait et pensa illico :

- "Oh non... Pas ici! ...."

- "J'ai ici ce dont tu as besoin ma petite Susie! ..." la taquinait-il, sa bite en semi-érection en pleine main.

- "Non pas ici...", chuchota-t-elle embarrassée..

-  "Branle-le! ... "lui intima Ray sèchement, "personne ne verra ce que tu fais, à moins que tu nous fasses une scène! ..."

- Elle tendit lentement la main, empoignant la mentule de Gary à contrecœur.

- "Ne te contente pas de la tenir, branle-moi! ..." ordonna Gary à son tour.

Elle obéit servilement.

Tandis qu'elle masturbait Gary, Ray baissa la fermeture éclair de son chandail et lui caressa les nibards au travers de son corsage.

- "Penche-toi en avant et suce-le! ..." lui commanda alors Ray.

- "Non... Je vous en prie... Pas ici..." les supplia-t-elle larmoyante.

- "Personne ne regarde et je surveille les montées dans le bus! ..." Il explosèrent de rire.

Ray lui poussa la tête sur la bite de Gary, elle entrouvrit les lèvres et enfourna docilement la grosse bite.

La main de Gary remplaça celle de Ray sur sa nuque.

- "Avale la plus profond ma petite Susie! ... Oh ouiiiiiiiiii! ..."

Susan faisait de son mieux pour combler ses désirs, il durcissait de plus en plus entre ses lèvres.

Gary jeta un coup d'œil furieux à son pote en l'entendant dire :

- "C'est assez pour le moment! ..."

Elle se redressa.

- "Passons à autre chose ma petite Susie! ..."

- "Oh oui! ..." surenchérit Gary.

Il entreprit de descendre la fermeture éclair de son pantalon noir, mais Susan agrippa sa main.

- "S'il vous plait arrêtez... Ne faites pas ça... Pas ici..." quémanda-t-elle à nouveau.

- "Cesse de pleurnicher ou je te couche sur mes genoux et je te colle une bonne fessée cul nu! ..." l'avisa Ray, sur ces mots il la releva un peu permettant à Gary de baisser son pantalon sur ses genoux.

- "Regarde-moi ça! ..." rigola Ray en désignant du doigt une petite culotte extrême sexy.

- "T'es une bonne fille ma Susie, c'est sacrément érotique."

La petite culotte était constituée de deux pans soyeux reliés entre eux par un cordon.

- "C'est parfait! ..." poursuivit Ray écartant le coté droit s'offrant ainsi un accès aisé à sa fentine, son pote en fit de même avec le pan gauche.

Sa chatte rasée était entièrement exposée sous leurs yeux ravis, Susan pensait mourir de honte.

Mais ils n'en avaient pas fini, d'une petite chiquenaude Ray délia les cordons retenant sa petite culotte, la lui ôta vivement et la fourra dans sa poche.

Puis il sortit de son autre poche son nouveau jouet.

Un petit vibromasseur à télécommande dont la base était faite d'une mince couche de plastique

- "Tu vas te régaler Susie! ..."

- "Non je vous en prie... Non... Pas ça...".

- "Tiens-lui les mains Gary! ..."

Gary s'empressa de s'exécuter, Ray fit coulisser le bourgeon du godemiché dans sa fentine avant de le glisser dans sa caverne.

La base du vibro en plastique fin se moula de suite à la conformation de sa cramouille, en épousant les formes les plus subtiles, alors qu'il l'introduisait aussi profondément que possible.

- "Tu peux maintenant remonter ton pantalon, ma petite chérie! ..." lui annonça Ray jubilant.

- "Et ma petite culotte? ..." réclama-t-elle confuse.

- "Tu rentreras chez toi sans! ..." lui annonça Ray en riant aux éclats.

- « Remonte bien ton pantalon dans ta raie, je ne voudrai pas que tu perdes ton vibro! ... " lui intima-t-il d'une voix rauque.

- "Et maintenant faisons un test! ..."

Susan agrippa son entrecuisse à deux mains lorsque le vibro se mit à vibrer.

Elle ferma étroitement les yeux et se mordit les lèvres au sang ne voulant pas laisser échapper un murmure.

- "Regarde ça marche au poil! ..." jubilait Ray, et au grand soulage-ment de Susan il arrêta les vibrations, le bus arrivait à destination.

Comme ils se levaient, Ray répéta à Susan de tenir son pantalon serré contre ses fesses.

Susan montra le chemin, et comme elle les attendait Ray appuya sur la télécommande le gode se remit à vibrer doucement dans sa chatte embrasée.

Cette fois elle ne put s'empêcher de gémir.

- "Ca va mon amour? ..." l'interrogea le conducteur alors qu'elle serrait ses cuisses l'une contre l'autre.

- "Oh oui... Ce n'est rien! ..."

- "Juste le temps de terminer ce qui est encours? ..."

- Oui... Oui... C'est cela même! ..." s'efforça-t-elle de lui répondre alors que le bus s'arrêtait à la station et que les portes s'ouvraient.

Ray appuya sur le bouton d'arrêt.

Quand ils furent tous sortis du bus, au grand soulagement de Susan ils lui dirent d'aller chez elle, qu'ils la rejoindraient une dizaine de minutes plus tard.

Alors qu'elle rejoignait sa maison, elle repensa à ce qui venait de se passer dans le bus et se dit qu'elle devait mettre une bonne fin à tout cela.

Une fois chez elle, elle grimpa à l'étage et se débarrassa de son uniforme.

Le vibreur chut au sol alors qu'elle enlevait son pantalon humide.

Elle était maintenant déterminée à mettre un terme au chantage de ces deux jeunes gens.

Elle reposa la première petite culotte sortie dans le tiroir, elle était bien trop sexy, elle en prit une autre bien plus classique. Elle l'enfila sous un vieux jean défraîchi.

- "Bon sang, il est un peu trop étroit mais il fera l'affaire! ..."

Elle garda son affriolant petit soutien-gorge de dentelle celui que Ray avait volé disant qu'il allait avec sa petite culotte.

Puis elle enfila un tee-shirt, elle redescendit au rez-de-chaussée et lança le gode vibrant au dessus du vaisselier de la cuisine, juste à temps, ils frappaient déjà à la porte.

Ils pénétrèrent dans la cuisine.

- "Que se passe-t-il Susie, Tu t'es changée? ..."

Susan se tenait droite, appuyé contre la table, elle leur dit qu'elle voulait tout arrêter.

- "On s'est bien amusé les gars, mais je suis mariée, et cela ne peut plus continuer plus longtemps! ... Nous allons tous reprendre le cours de nos vies habituelles! .... leur dit-elle d'une voix assurée.

- "Veux-tu vraiment qu'on arrête ma petite Susie? ..."

- "Oh oui... Oui... Oui... Vous êtes de jeunes adolescents, je suis une ménagère avec des responsabilités et tout ça! ..."

- "Viens ici Susie, je sais bien ce dont tu as besoin! ..."

- "Tu n'es qu'une salope affamée de grosses bites! ..."

- "Je ne veux plus que vous parliez de moi comme ça! ... Et maintenant filez! ..." leur intima-t-elle pointa son doigt vers la porte.

- "Ouais, et on ne sera pas sortis depuis 5 minutes que tu te rueras à l'étage pour te branler avec le gode vibrant! ..."

- "Non... Non... Je ne ferai jamais ça! ..." pleurnicha-t-elle égarée.

Ils s'approchèrent d'elle et Ray poursuivit :

- "Rien qu'à voir ta bouche on sait que t'as envie de sucer une bonne bite! ..."

Feignant de ne pas avoir entendu ce dernier commentaire elle reprit

- « Allez, filez! ..."

- Ta chatte est trempée, t'as une folle envie de te faire ramoner! ..."

- "Non... Je vous en prie..." murmura-t-il sentant son corps sur le point de la trahir à nouveau en entendant les jeunes gens s'adresser à elle aussi vulgairement.

- "Et une qu'autre bite te fore le trou du cul! ..."

- "Je vous en prie.. Laissez-moi tranquille... Partez! ..."

Ils ne voulaient pas renoncer aussi facilement, et se réjouissaient de la voir lutter avec sa bonne conscience.

- "Prouve-nous que tu n'es pas une fieffée salope et on te laisse tranquille ma petite Susie! ..."

- "Je veux juste que vous partiez! ..."

L'ignorant Ray se lova contre et frotta sa bite contre ses cuisses.

Il poursuivit :

- "Ecoute-moi bien ma petite chérie, si tu veux qu'on parte, dis-nous trois petites choses et c'en sera fini avec nous! ..."

- "Non, Je veux seulement..."

- «On sait! ..." la coupa-t-il sèchement.

La petite ménagère dut faire appel à toutes ses ressources pour endiguer sa faiblesse grandissante.

- "Ensuite vous partirez? ..."

- "C'est le marché! ..."

- "Pour commencer dis-nous que tu n'as aucune envie de sucer nos grosses bites bandées! ..."

- "Mais..."

Ils savaient pertinemment qu'employer un langage vulgaire et sexuel retournerait "l'honnête petite femme".

- "Je te rappelle que tu dois nous répondre si tu veux qu'on parte! ..."

- "Je... Je ne veux pas... Je ne veux pas... Sucer vos grosses queues! ..." parvint-elle à murmurer.

Ray sourit à son pote.

- "Je ne la crois pas! ..." commenta Gary.

- "Moi non plus, mais c'est elle qui le dit! ..."

- "Et maintenant Susie dis-moi que veux pas qu'une épaisse mentule te ramone le trou du cul! ..."

- "Je.. Je ne veux.. Je ne veux pas.. Qu'une... Une grosse bite me ramone... Me ramone le trou du cul! ...." balbutia misérablement la malheureuse.

- "T'es une bonne fille ma Susie... répéter-nous ça! ..."

Que le ciel en soit remercié se dit-elle rassemblant ses dernières ressources morales.

- "Dis-nous que tu n'as pas envie de sentir nos doigts fureter dans ta chatte, ni nos lèvres lécher ta chatoune, encore moins nos bonnes grosses mentules te labourer la cramouille! ..." avança Ray lente-ment.

- "Mais..." voulut-elle protester.

- "Allez Susie, si ta petite foufoune détrempée n'a besoin d'aucune attention dis le nous! ..."

- "Mais... Mais... Je ne veux pas.. Je ne veux pas de bite... De bite dans ma petite... Dans ma petite chatte! ..."

- "Est-ce bien vrai ma petite Susie? .... On en doute! ..."

- "C'est... C'est vrai... " ajouta-t-elle éperdue.

- "Très bien, Susie, alors écoute-moi bien..." lui doit-il et immédiate-ment elle sentit sa chaude haleine envelopper son oreille.

- "Dis-nous que tu n'as pas envie de sentir nos doigts fureter dans ta chatte, ni nos lèvres lécher ta chatoune, encore moins nos bonnes grosses mentules te labourer la cramouille! ..." répéta Ray lente-ment.

Alors qu'une fois de plus elle se raidissait pour répondre, Ray décida de changer les règles du jeu, il commença à frotter lentement sa main dans son entrecuisse.

- "Ohhhhhhhhhhmon Dieuuuuuuuuuuuuuu..." gémit-elle en empoignant son poignet.

- "Allez Susie dis-nous que tu ne veux plus qu'on te doigte..." reprit-il forant son doigt dans sa cramouille au travers de son jean.

- "Ohhhh, je vous en prie, tu... » pleurnicha-t-elle en tentant faiblement de lui faire lâcher prise.

- "Non... Ooooh.. Je vous en prie..."

Et voilà que Gary s'en mêlait à son tour, il empoigna son nibard gauche et entreprit de le peloter rudement au travers de son corsage.

Elle saisit aussi le poignet de Gary mais les deux ados savaient que ce n'était qu'une imploration.

- "Si tu veux que l'on te baise ma petite Susie, il faut t'allonger sur le dos..." l'admonestation-il suavement.

- Non, Je... Je... "

- "Tu n'es qu'une fieffée salope avide de grosses bites ma petite Susie..."

La pauvre ménagère tenta en vain de protester, elle chancelait tant sur ses jambes qu'elle dut s'appuyer contre la table.

Elle agrippa le bord de la table pour s'équilibrer, ce qui livra son corps à la complète disposition de Ray et Gary.

Ils comprenaient tous trois que le corps de Susan était sur le point de trahir sa volonté.

Ils savaient pertinemment quoi faire pour la subjuguer, Rien n'était perdu pour les deux ados, Gary la poussa en arrière tout en lui pétrissant les loches.

- "S'il vous plait... J'aime... J'aimerai que vous partiez! ...."

- "Allonge-toi sur le dos petite Susie! ..." lui susurra Gary et d'un petit effort il la coucha le dos sur la table.

Ils l'avaient disposée dans la position qu'ils voulaient, allongée le dos sur la table, jambes pendantes sans toucher le sol.

Ses jambes étaient légèrement ouvertes, ce qui permettait à Ray de continuer à lui pétrir l'entrejambe au travers de son jean.

Il arrêta et se pencha sur elle :

- "C'est mieux ainsi ma petite Susie, tu vas redevenir notre petite pute ma petite chérie! .... Tu t'es comportée en méchante fille, n'est ce pas! ..."

Susan hocha la tête sans dire un mot.

- "Notre histoire prendra fin quand on décidera d'y mettre fin, et pas avant, t'as bien compris! ..."

De nouveau elle hocha la tête.

- "Comme punition on va te donner une bonne fessée, tourne-toi en vitesse! ..."

- "Non... Je vous en prie... Je suis désolée..." les supplia-t-elle misérablement.

- "Désolée de te comporter comme une sale gamine? ... C'est d'accord Susie si tu promets de te conduire en gentille petite fille, on ne te donne pas de fessée! ..."

- "Oh oui... Oui... Je le promets! ... Je serai une gentille fille! ...

Ray déboutonna son jean et vit alors sa culotte."

- "Qu'est ce que ça veut dire? ..."

- "Je... Je suis désolée! ... C'est une erreur! ..."

Ray remarqua le "mercredi" inscrit sur la ceinture de la culotte rose.

- "Quel jour sommes-nous Susie? ..."

- Mardi..."

- "Il est marqué mercredi sur ta culotte, t'es donc si négligente que tu oublié quel jour on était? ..."

- "C'était une erreur! ..."

- "As-tu une culotte pour chaque jour de la semaine? ..."

- "Oui..."

- "C'est très bien, j'aime cette idée, on te baisera dans chacune d'elle! ..."

Gary était déjà occupé à lui malaxer les nichons lorsque son pote lui dit :

- "Vire-lui sa chemise..."

Elle n'opposa aucune résistance alors que son tee-shirt franchissait ses épaules et sa tête.

Ray la fit s'asseoir, ainsi son pote put plus facilement dégrafer son sou-tien-gorge.

Comme elle s'allongeait à nouveau sur le dos, son soutien-gorge rejoignit son tee-shirt sur le sol de la cuisine.

- "Caresse tes nibards Susie! ...." comme ordonné, elle entreprit de se pétrir les nichons.

- "Et maintenant glisse ta main dans ta culotte du mercredi et branle toi! ..."

Elle obéit lentement, insérant sa main dans sa petite culotte.

- "Es-tu mouillée petite Susie? ..."

- "Oui..."

- "Montre-nous tes doigts! ..." elle sortit sa main de sa petite culotte pour leur montrer ses doigts trempés de mouille.

- "Je savais bien que ta petite chatte était trempée! ...."

- "Suce tes doigts... Oui comme ça... Et maintenant on veut te voir te branler frénétiquement! ..."

Sa main disparut rapidement dans sa sage petite culotte et s'agita bien-tôt avec ardeur.

- "Et maintenant je veux que tu te fasses jouir! .... Ici sur ta table de cuisine! .... Sinon on te refile une bonne fessée! ...."

- "Nonnnnnn... » répondit-elle d'une voix rauque, alors qu'il lui ôtait son jean.

Ils la regardaient étendue sur le dos sur la table de cuisine, en petite culotte se branlant frénétiquement pour leur faire plaisir.

- "Bordel elle me fait bander comme un cerf! ..." explosa Gary.

- "C'est trop bon, mon gars, filme la donc sur ton mobile! ...."

Susan haletait lourdement, elle s'était déjà souvent branlée, mais jamais allongée sur la table de la cuisine. Elle se mit à se tortiller d'un coté à l'autre alors que montait son orgasme.

- "Es-tu sur le point de jouir ma petite Susie? ..." lui demanda l'un des deux.

- "Oui, oh ouiiiiiiiiii... " souffla-t-elle éperdue.

- "Dis-nous que tu n'es qu'une fieffée salope ma chérie! ..."

- "Oui, oui, je suis une fieffée salope! ..."

- "Et à qui appartient cette foutue salope Susie? ...."

- "A vous, je vous appartiens totalement... Vous me faites faire des choses si... Si dégradantes... Je ne devrai pas! ...." balbutiait-elle sur le point d'exploser.

- "Je suis à vous... A vous! .... Je vous appartiens! .... Ohhhhh mon Dieuuuuuuuuuu..." un puissant orgasme la terrassait toute, lorsque ses sursauts convulsifs s'apaisèrent, elle resta allongée sur le dos, la main toujours enfoncée dans sa petite culotte haletant difficile-ment.

Elle avait les yeux fermés ses cheveux lui couvraient le visage.

Gary cliqua sur son portable photographiant une des scènes les plus sexy qu'il ait jamais connue.

Ils se tenaient tous deux de chaque coté d'elle médusé de l'avoir vue jouir avec une telle intensité.

- "Une bonne performance de salope Susie... » la félicita Ray hilare.

- "Je crois qu'elle a bien gagné une récompense, ne crois -tu pas Gary? ..."

- "Bordel, elle va commencer par me sucer la bite! ..." répliqua Gary posant son gland sur ses lèvres.

- Allez ouvre la bouche ma petite chérie! ..."

Elle obéit promptement.

- "Ouais, t'as raison elle peut aussi sucer la mienne! ..."

- "T'as juste à ouvrir un peu plus la bouche pour les prendre toutes deux en bouche en même temps! ..."

Une fois de plus elle obtempéra servilement, ils glissèrent simultanément leurs deux mentules dans sa bouche écartelée.

- "Sers-toi de ta langue! ..." lui ordonna Ray sèchement.

Voulant plus, Gary extirpa sa bite de sa bouche la laissant sucer docile-ment son pote. Il se déplaça vers l'autre bout de la table, il remarqua, je-té sur le vaisselier, le vibromasseur qu'ils lui avaient fourré dans la chatte dans le bus,

Celui lui donna une excellente idée.

Susan était couchée sur le flanc pour sucer Ray plus à son aise.

Gary lui releva les jambes la remettant à plat sur la table, La bite de Ray glissa de ses lèvres.

Susan en profita pour respirer à, plein poumons, et Gary en profita pour la débarrasser de sa petite culotte.

Comme Ray replaçait sa grosse bite entre ses lèvres accueillantes, son pote enfonçait le vibromasseur dans le trou du cul de Susan.

Il lui replaça les jambes sur la table et les écarta en grand.

Elle poussa un sourd grognement alors qu'il enfonçait l'olibos vibrant dans soin anus, une seconde plus tard il enfournait son chibre épais dans sa petite chatte frémissante.

- "Mmmmmmmmmmp oooooooh..." cria-t-elle alors que Ray coulissait activement entre ses lèvres.


- "Aaaaaah... Ooooooh mmmmp... "Ray s'enfouissait dans sa gorge étouffant ses cris, alors que déjà elle succombait à un orgasme fulgurant.

Ray continua à la baiser en bouche alors que son pote lui labourait la chatte, ils entendaient vibrer l'olibos qui trépidait dans son anus.

- "Ahhhh je jouis! ..." hennit Ray en crachant son foutre au fin fond de sa gorge. Comme il reprenait ses sens, Susan secouait la tête de droite à gauche terrassée par un second orgasme aussi intense que le premier.

- "Oooooooh... Ouiiiiiii, mon Dieuuuuuuuu... Ouiiiiiiiiiiii... " hurlait-elle éperdue.

Encouragé par ses hurlements Gary explosa à son tour dans les profondeurs de son utérus, elle l'enserra de ses jambes tandis qu'il se vidait à gros bouillons dans son intimité embrasée.

- "Je pense que c'est assez pour aujourd'hui ma petite salope chérie! ...." commenta Ray le regard braqué sur leur jouet sexuel qui haletait sourdement.


- "T'aurais pu te faire baiser plus, si tu n'avais pas joué les vilaines petites filles plus tôt! ... Garde ton mobile ouvert et chargé, il semble qu'il te vienne de mauvaises idées quand on te laisse trop longtemps sans nous voir! ... Aussi reviendra-t-on très bientôt te baiser! ...."

FIN.

lundi 23 septembre 2019

Ma femme devient une pute Ch. 04

Ma femme devient une pute - récit érotique

Michelle baise un stagiaire.

Le problème de Michelle au travail ne fit qu'empirer. Pendant quelques mois, elle s'était volontairement conduite en prostituée. Elle faisait le trottoir ou travaillait dans un bar et son proxénète collectait son argent ou la laissait pendant tout le week-end avec un des membres de son gang. Cela dura quelques mois sans problème car son travail dans un grand cabinet d'avocats se trouvait dans une autre région que l'endroit où elle se prostituait.

Mais tout changea le jour où un stagiaire qui travaillait au courrier se rendit dans le bar pour une soirée et reconnut Michelle. Il la filma en train de faire la pute et de solliciter des clients. Le lundi suivant, Tony avait montré les vidéos à ma femme puis l'avait baisée sur son bureau en lui disant qu'elle était maintenant sa putain de bureau. Il avait édicté de nouvelles règles : elle ne devait porter ni soutien-gorge ni culotte et elle avait deux semaines pour se faire baiser par tous les stagiaires du bureau. Si elle n'obéissait pas, il rendait les vidéos publics.

Ma femme avait réussi à se conformer aux exigences de Tony en matière d'habillement sans trop attirer l'attention. Elle portait toujours une veste de costume sur son chemisier. Mais d'après elle, Tony était sans pitié, trouvant constamment une raison pour se glisser derrière elle dans un couloir ou une pièce isolée, et passer une main sous sa jupe ou dans son chemisier pour tripoter un sein tandis qu'elle se laissait faire.

C'était le mercredi de la semaine où Tony avait commencé à la faire chanter. Elle réalisa qu'il était temps de répondre à ses autres exigences. A la fin de la journée, elle demanda à un autre des stagiaires du courrier, Roy, un grand garçon de 18 ans, de venir dans son bureau pour l'aider à déplacer des meubles.

Quand il arriva, Michelle ne portait plus sa veste. Ses gros seins tendaient le chemisier, ses tétons et aréoles clairement visibles sous le tissu transparent.

Ma femme commença à marcher comme son proxénète lui avait appris, en balançant son cul et en mettant ses seins en avant. Alors qu'elle demandait à Roy de déplacer une grande chaise en cuir, elle se leva et vint derrière lui. Elle pressa ses seins dans son dos en faisant semblant de l'aider pour la chaise.

Roy lâcha la chaise et se retourna rapidement. Lui et Michelle était très proches. Michelle regarda l'horloge sur le mur. Au centre se trouvait une petite caméra. Tony l'avait installée en disant qu'il voulait une preuve qu'elle lui obéissait bien. Elle pouvait imaginer qu'il la regardait maintenant. Elle savait que la vidéo me serait envoyée par courrier électronique et que je la regarderai.

Michelle demanda à Roy de s'asseoir sur le canapé. Elle lui tourna le dos et lui demanda de lui masser l'épaule.

- Ça fait si mal!

Roy commença masser doucement les épaules de l'avocate de 41 ans. Mon épouse se pencha vers lui. Elle attrapa sa main et la tira en avant. Roy comprend très vite et il n'y a rien besoin de lui dire. Sa main se pose sur un gros sein et il commence à titiller un téton à travers le chemisier. Michelle gémit. Le garçon dit alors :

- Donc c'est vrai. Tony m'a dit que tu avais des problèmes à la maison et que tu étais toujours excitée.

Michelle se pencha en arrière alors que Roy lui embrassait le cou.

- je suis une chaude salope. Tu me veux?

Roy mordit le lobe de son oreille. Ses mains tâtonnèrent avec le chemisier. Quand il l'eut enlevé, ma femme se leva et se dirigea vers la porte pour la verrouiller, en balançant ses seins et son cul sur ses talons hauts.

Elle revint vers le canapé et s'assit sur les genoux de Roy. Il devait faire plus d'1m80 et avait des cheveux longs noirs. Il faisait rocker et ça excitait Michelle. Elle passa ses mains sous sa chemise et sur les muscles de ses bras. Roy l'embrassa et elle l'accompagna. Les mains du garçon tripotaient sa poitrine, caressaient ses seins et tiraient ses tétons.

- J'aime les vieilles! Murmura Roy.

- Mmmmm. Répondit Michelle en tâtant son entrejambe à travers le pantalon.

Après qu'ils se soient bien embrassés, ma femme réalise que Roy la pousse sur le sol. Elle se met à genoux et sort sa bite. Juste au moment où elle va la prendre en bouche, Roy lui l'enlève et dit :

- Demande salope!

Michelle baissa les yeux pendant une minute, puis, toujours à genoux, elle leva les yeux vers le stagiaire et dit :

- S'il te plaît, laisse-moi sucer ta queue!

Elle attrapa sa bite mais il la repoussa :

- Est-ce que ton mari sait que tu suces de bites?

Michelle attrapa de nouveau la bite de Roy et dit :

- Oui il le sait, mais il ne peut rien y faire.

Elle commença à sucer sa queue avec de longues et profondes caresses. Roy sortit son membre de sa bouche :

- Embrasse-la! Dis à ma bite que tu la veux!

Michelle fit des petits bisous de haut en bas sur la verge de ce garçon de 18 ans en disant :

- Je te veux! Cette salope te veut.

Roy laissa ma femme lui sucer la queue. Il demanda :

- Tony dit que tu es une vraie pute et que le week-end tu te vends à des gars. C'est vrai?

Michelle continua de sucer et hocha la tête. Roy retira à nouveau sa bite. Ma femme baissa la tête et dit :

- Oui c'est vrai. J'aime faire la pute parfois.

Roy lui tendit la main et la tira vers lui. Il la fit le chevaucher. Sa queue pénétra sa chatte lisse et humide. Michelle rebondit sur lui à plusieurs reprises. Il regarde les seins bouger en rythme.

- Dis m'en davantage sur ce que tu fais en tant que putain.

Michelle ferma les yeux tout en montant et descendant sur sa bite.

- je m'habille en vraie salope et je me rends dans le mauvais quartier d'une ville voisine et je fais le trottoir devant un bar. Je ne tarde pas à attirer l'attention.

Roy continua à la baiser.

- As-tu un proxénète?

- Oui.

- Est-ce que ton mari le sait?

- Oui.

- Que se passe-t-il dans le bar?

Michelle se pencha en arrière alors que la bite de Roy l'amenait à l'orgasme.

- Je me promène dans la salle et les hommes touchent mon cul ou mes seins. J'essaie de me faire inviter pour danser ou j'essaie de les emmener dans un coin à l'arrière.

- Et tu suces leur bite dans ce coin?

- Oui je le fais! Gémit ma femme en réalisant qu'elle est sur le point de jouir.

- Et ils peuvent te baiser aussi?

Michelle jouit.

- Oui. Oui. Ils peuvent me baiser ou je les suce. C'est ce qu'ils veulent. Je suis une salope et une pute et j'aime ça.

Pendant son orgasme, Michelle serra ses jambes autour de Roy qui continua à la pilonner. Quand elle eut fini, Roy sortit sa queue et tourna ma femme sur le canapé. Puis il commença à la baiser en levrette.

- Dis m'en plus salope!

Michelle se mordit la lèvre inférieure alors que la queue du garçon frappait au plus profond d'elle. Elle réalisa qu'elle allait jouir de nouveau.

- Eh bien, je marche dans la rue sur des talons hauts en roulant mon cul. Parfois je fais sortir un de mes seins de mon haut. Les hommes arrêtent leur voiture et je marche jusqu'à la fenêtre. Je les laisse jouer avec mes seins en essayant de les faire payer pour me sauter ou que je les suce.

Roy accéléra le rythme. Il attrapa et tira son mamelon droit.

- Tu es une vraie pute n'est-ce pas?

Michelle jouit de nouveau quand il tire ses cheveux. Elle se cambra et leva la tête.

- Oh oui, je suis une vraie salope, une pute, une prostituée sur le trottoir. Tu connais mon secret maintenant.

- Alors je peux te baiser quand je le veux salope?

- Oui. Il suffit que tu montes ici et que tu fermes la porte. Alors tu pourras me baiser. Je suis ta pute.

Michelle eut un autre orgasme et quelques instants plus tard, Roy se vida dans son ventre.

Après que le garçon soit parti et qu'elle se soit nettoyée, elle rentra chez nous. Son téléphone sonna. Il s'agissait d'un message de Tony : « Très bien salope. Demain je veux que tu viennes à cette adresse. »

Elle rentra dans la maison complètement épuisée et pris un bain avant de se coucher. Je n'essayai même pas de lui parler. Tandis qu'elle se couchait, elle se demanda ce que Tony lui réservait le lendemain.


A suivre...

Les joies de la campagne

Les joies de la campagne - Récits érotiques - Contrainte - soumission.

Mon mari venait d’être muté dans une petite ville de province. Nous étions mariés depuis 3 ans (j’en avais 25 à l’époque) et pour le suivre j’avais quitté mon travail. Il avait été mon premier amour et c’est lui qui m’avait dépucelée. Pour tout dire, notre vie sexuelle ne m’avait jamais vraiment satisfaite, mais je m’y étais habituée. 

Je finis par être engagée par le boulanger pour aller livrer le pain dans le village voisin et les fermes environnantes. Au bout de 3 semaines je commençais à bien connaître les clients. Un matin j’arrivai dans la ferme de monsieur Guibert, un vieux garçon de 45 ans qui vivait avec son père. 

Je toquai à la porte et entrai dans la cuisine. Monsieur Guibert était là et me regardait d’un drôle d’air. Sur la table il y avait un litre de vin bien entamé. 

- Bonjour monsieur, je vous pose votre pain sur la table comme d’habitude?

Je n’avais pas fini ma phrase qu’il se jeta sur moi me coinçant contre la table. Il saisit mes seins à travers mon pull et se mit à les malaxer. J’essayai de me débattre mais en vain, il était trop costaud pour moi. 

- Arrêtez, mais qu’est-ce que vous faites ?

- T’en as bien une idée ma salope !

- Non arrêtez, non !  

Mes cris ne faisaient que l’exciter davantage et il me retourna pour que je me retrouve face à lui. En une seconde il réussit à m’enlever mon pull. Il dégagea mes seins de mon soutien-gorge et se mit à les malaxer et à les pincer brutalement, puis il se pencha pour les sucer avidement. Une de ses mains passa sous ma jupe et entra dans ma culotte. Il commença à titiller mon clitoris. A ma grande honte je commençai à apprécier malgré moi ce qu’il me faisait et à mouiller, et il s’en rendit compte. 

- Ah ben on dirait que t’aimes ça ma cochonne, on va pouvoir passer aux choses sérieuses ! 

D’un geste il enleva ma culotte, remonta ma jupe et m’assit sur la table. Il m’embrassa tout en ouvrant son pantalon. Il en sortit une queue bien bandée que je ne pus m’empêcher d’admirer, elle devait bien mesurer 23 cm et il avait un gros gland. 

- Depuis le temps que j’ai envie de te la mettre, ma petite salope, tu vas voir qu’on sait y faire à la campagne ! Je parie que ton mari n’en a pas une si grosse ? 

(Il avait raison !) Il présenta son engin à l’entrée de ma chatte et me pénétra sans ménagement puis il commença à me besogner. 

- tu la sens bien hein, ça te plaît ma salope !

Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de butoir car c’était vrai j’aimais sentir pour la première fois une si grosse queue dans mon vagin et je dois dire que la situation m’excitait, me faire baiser brutalement par un étranger, ses grossièretés, ses gestes brusques. Ma chatte était d’ailleurs toute dégoulinante de mouille et sa bite n’avait aucun mal à aller et venir si bien que j’eus un premier orgasme. Jamais je n’avais ressenti cela avec mon mari. 

- Eh ben dis donc je ne m’étais pas trompé tu es une vraie salope, elle t’a fait jouir ma bite et tu mouilles comme une fontaine. Attends j’en ai pas fini avec toi !

Il me fit descendre de la table et mettre à quatre pattes par terre. Là il me pénétra de nouveau. Il attrapa mes hanches et se mit à me limer encore plus vigoureusement. Quand il se retira je n’eus aucune idée de ce qu’il allait faire. J’étais très innocente et ne connaissais pas la sodomie. Aussi je n’eus pas le temps de protester quand il se mit à lécher mon anus et à le mouiller de sa salive. Je dois même dire que j’appréciai quand il me mit un doigt dans le cul, mais je n’imaginai pas ce qui allait suivre. 

Il présenta son gourdin bien lubrifié par ma mouille et posa son gros gland sur ma rosette et commença à pousser. Alors je compris, mais je ne pus réagir. Mon sphincter s’ouvrit sous la pression et c’est dans la douleur que son gland d’abord puis sa queue entière pénétra mon petit trou. Il poussa un grognement de plaisir et commença à bouger tout en branlant mon clitoris. Ses mouvements s’amplifièrent, il prenait soin de bien me la mettre jusqu’à la garde. 

- Tu la sens bien ma queue dans ton petit cul de salope ? Depuis la première fois que je t’ai vu j’ai eu envie de t’enculer.

Cela commença à me plaire malgré la douleur. Ses va et vient étaient de plus en plus rapides, et il grognait de plus en plus, visiblement il aimait malmener mon petit cul avec son gros pieu. Je finis par jouir une deuxième fois, d’emblée convertie à la sodomie. Mais lui était toujours en pleine forme. Il se retira et s’allongea sur le sol. 

- Allez viens chevaucher ton étalon !

J’obéis et plaçai sa queue à l’entrée de ma chatte, puis je m’empalai dessus en gémissant. Je bougeai mon cul et me soulevai à un bon rythme 

- Allez plus vite salope ! Dit-il en me mettant une claque sur les fesses. 

J’accélérai, je sentais son gourdin coulisser dans mon con détrempé. Il me pétrissait les seins et je jouis encore une fois quand il envoya son jus au fond de ma chatte , pas moins de 5 longs et chauds jets de sperme ! 

- AAAAAAahhhhh ! Je me suis bien vidé les couilles et t’en as bien profité ma cochonne, ça t’as plu de te faire mettre par un paysan pas vrai ? 

Après cela je me rhabillais et reprit ma tournée. 

 ****

Le lendemain je m’arrangeais pour terminer ma tournée par la ferme de Guibert et je pris soin d’enlever ma culotte avant de descendre de ma camionnette. 

La première chose qu’il fit quand j’arrivai fut de passer la main sous ma jupe. 

- Ça t’a plu la petite séance d’hier hein pour que tu te balades les fesses à l’air ? Tu vas voir ce sera encore mieux aujourd’hui. Mets-toi à genou et suce ma bite je sais que tu en as envie !

J’obéis et m’agenouillais devant lui. Je caressai sa queue à travers le pantalon puis j’ouvris la braguette pour la faire jaillir, bien dure et dressée. Je léchai délicatement son gland turgescent pendant un moment avant de prendre l’engin en bouche. Je pompai du mieux possible, faisant entrer la grosse bite jusqu’au fond de ma gorge, tout en massant ses couilles d’une main. J’étais très excitée et je sentais ma chatte qui dégoulinait. J’attendais qu’il me dise d’arrêter mais brusquement je le sentis se crisper et il éjacula dans ma bouche en poussant un cri rauque. Pour la première fois de ma vie j’avalai le sperme d’un homme. 

- Maintenant suis-moi !

Il m’emmena à l’étage et me fit entrer dans une chambre. Là assis sur le lit était son père, il devait bien avoir 70 ans. Il était gros et je vis qu’il lui manquait des dents. Pourquoi m’amener ici ? 

- Papa voilà la salope que j’ai baisée hier, et en plus elle suce bien. 

- Mets-la à poil que je me rende compte 

- Tu as entendu, déshabille-toi ! 

Je n’avais aucune envie de me mettre nue devant cet homme répugnant et je refusai. Mais le fils baissa ma jupe d’un coup et arracha mon chemisier sans que je puisse résister. Je me sentis rougir de honte et pourtant cela m’excitait d’être traitée comme un objet. 

- Alors t’en dis quoi ? 

- C’est vrai qu’elle est bandante. 

Le fils me força à m’approcher du lit et à me mettre à genou devant son père qui était déjà en train de déboutonner son pantalon. 

- Tu vas faire plaisir à Papa, ça fait des années qu’il n’a pas touché une femme. Suce le !

Le père fit jaillir sa queue devant moi. Je fus impressionnée car elle était encore plus longue que celle de son fils, 25 cm au moins, et bien dure malgré son âge. Je commençais à branler ce vieux cochon, mais il saisit ma tête et la força à la descendre. Je dus me résoudre à le sucer. 

A ce moment, le fils sortit de la pièce et revint avec un caméscope. Il nous filma pendant que je pompais avidement son père. J’étais de nouveau toute mouillée et je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes cuisses pour me caresser, et même de glisser un puis deux doigts dans ma chatte. Le fils s’en aperçut et me filma en gros plan, les doigts dans la chatte et une queue dans la bouche. 

- Papa, je crois qu’elle veut qu’on la baise !

Aussitôt le père m’allongea sur le lit et écarta mes cuisses. Il s’approcha de moi et se mit à lécher mes seins, puis il descendit sur mon ventre et enfin entre mes cuisses où il se mit à me lécher la fente, le clitoris. Je ne pouvais retenir mes gémissements. Rapidement, il se redressa et s’effondra sur moi en enfilant d’un seul coup sa grosse bite dans mon con. Toujours sous l’œil du caméscope de son fils, il commença à me limer avec une vigueur incroyable pour son âge. 

- Ça te plaît de te faire baiser par un vieux, t’aimes la bite toi ma salope !

- Oui, oui j’aime ça , oh oui c’est bon,oui oui !

- Je vais t’envoyer la sauce salope !

Et il éjacula au fond de mon ventre. Je n’arrivais pas à croire que j’avais joui sous les coups de boutoir d’un personnage aussi répugnant. 

Mais ce n’était pas terminé car le fils, excité par le spectacle, prit la place de son père quand celui-ci se retira et me besogna à son tour. Il donnait de grands coups de reins pour bien me faire sentir son pieu. 

- Tu la sens bien ma queue ?

- Oui vas-y, bourre-moi à fond !

- Il te baise pas comme ça ton mari.

- Oh non !

- Mais ça te plaît hein ?

- Oui , vas-y plus vite ! 

Il se retira et s’allongea sur le lit pour que je puisse monter sur lui et m’enfiler sa bite bien au fond. 

-Je crois que tu plais bien à Papa.

En me tournant je vis que le père avait retrouvé toute sa virilité et se branlait en me regardant monter et descendre sur la queue de son fils. 

- Tu sais Papa, tu pourrais t’occuper de son autre trou ! 

Le père se déshabilla (je pus voir à quel point il était laid avec son gros ventre et sa peau ridée) et s’approcha de nous. Il commença à caresser mes fesses, puis à titiller mon anus avant d’y mettre un doigt. 

Puis ce fut son gland qu’il présenta sur mon œillet. Il poussa et fit entrer doucement sa queue. Je criais mais rien à faire, j’étais bel et bien enculée par un vieux dont le fils occupait ma chatte. Le père se mit à aller et venir, faisant par moments presque sortir sa queue pour mieux l’enfoncer l’instant d’après. J’avais l’impression d’être un objet, la situation était terriblement humiliante et pourtant je sentis la jouissance monter et exploser. J’avais deux grosses bites pour moi, une dans le con et une dans le cul, et j’aimais ça, j’étais vraiment une salope.

Le fils jouit en premier puis le père se retira pour éjaculer et envoyer son sperme sur mes fesses. 

- Allez maintenant tu peux rentrer chez toi et aller voir ton mari ! Dit Guibert en riant.

Et c’est ce que je fis. 

Croyez-le ou non, le soir même, le père Guibert fit un malaise cardiaque et fut hospitalisé en maison de retraite, ce qui n’empêcha pas son fils de continuer à me baiser chaque jour !

FIN.


lundi 16 septembre 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 09

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Livrées aux clients d'un bar.

J'avais donné rendez-vous à ma mère dans un café afin que nous discutions toutes les deux de la décision de porter plainte contre Mohamed et ses complices. J'ai choisi un bar tranquille en dehors du centre ville, pas vraiment la grande classe mais au moins discret...Je lui racontais comment j'avais assisté à l'horrible humiliation du proviseur. Elle me raconta de son côté comment elle était devenue l'esclave de son stagiaire à la banque, qui ne perdait pas une occasion de la sauter soit dans son bureau soit dans les toilettes. Maman est habillée d'un tailleur gris sur un chemisier rose fuchsia et je porte une jupe rouge avec un chemisier blanc avec des talons aiguilles crème. Nous sommes assises à une table et je remarque plusieurs regards de consommateurs masculins qui lorgnent sur nos jambes croisées très haut. La porte s'ouvrit et j'eus l'impression que mon cœur s'arrêtait de battre! Cela dut se voir sur mon visage car ma mère se retourna et elle blêmit à son tour. Moussa venait d'entrer dans la café!

Comment a-t-il pu savoir? Ce n'est pas possible! Je comprends soudain que c'est sans doute Claudine, le proviseur du lycée, qui a dû vendre la mèche. Maintenant qu'elle est devenue la nouvelle proie de Mohamed et surtout de Gérard, le gardien et de son horrible femme! Je maudis ma naïveté d'avoir cru qu'elle garderait le secret, elle doit être totalement sous l'emprise de ce couple pervers...

Moussa s'approche de nous et s'assoie à notre table. Il nous lance un regard noir.

- Alors, espèce de chiennes! Vous vouliez nous baiser? Et bien c'est vous qui allez vous faire baiser encore une fois et cette fois votre punition va être à la hauteur de votre trahison!

Maman et moi nous n'osons pas protester. Moussa avance sa main sous la table et me caresse mes cuisses faisant crisser le nylon de mes bas. Il regarde maman et lui demande de retrousser sa jupe!

- Mais...Mais, ce n'est pas possible, les clients vont...

- S'en apercevoir? mais justement ma chérie, tu vas les exciter un peu!

Rouge de honte, maman s'exécute soulevant un peu sa jupe en plein café dévoilant généreusement ses cuises gainées de bas noirs, elle s'arrête juste à la lisière du bas. Mortifiée par cette exhibition forcée...

Moussa se retourne et ricane. En effet, plusieurs clients du café en oublient de boire leurs verres, la bouche ouverte, ils matent les jambes de maman. Moussa se lève et va voir le patron du café, un homme bedonnant. J'observe le conciliabule, inquiète...Que nous réserve Moussa?

Je compte rapidement les clients du bar, ils sont quatre. Il y a deux jeunes, un vieillard d'au moins 70 ans et un homme genre routier.

Le patron nous lance un regard égrillard. Ce qui ne me rassure pas vraiment...

Moussa revient vers nous et nous empoignent par le bras. Il nous pousse vers l'arrière salle du café qui fait aussi restaurant. Il nous demande d'attendre. Apeurées, maman et moi nous nous regardons...

Des pas nous font frissonner. C'est le vieillard! Il s'approche de Moussa et sans un mot, lui donne une somme d'argent. Le vieil homme s'approche de nous et nous demande d'ouvrir nos vestes et nos chemisiers. Dociles et sous le regard autoritaire de Moussa, nous obéissons. Il salive littéralement devant nos seins. Il posa ses mains sur les miens, les malaxant sans douceur. Il baissa les balconnets du soutien-gorge et se pencha gobant la pointe de mes seins. J'eus un sursaut de dégoût en voyant ce visage ridé se pencher vers moi. Des éclats de voix retentirent de nouveau. Les autres clients étaient venus voir suivis du patron.

- J'ai carrément fermé pour être tranquille lança-t-il à la cantonade.

Tous payèrent Moussa. Le routier s'approcha de maman et lui souleva sa jupe. Elle tenta de se débattre.

- Fais voir salope! Tout à l'heure tu nous montrais bien plus...T'as un porte-jarretelles, putain!

Les trois hommes entourent maman et commencent à la toucher partout, les mains deviennent baladeuses. Elles s'insinuent partout. Maman se retrouve vite la jupe de son tailleur tirebouchonnée autour de la taille, le chemisier ouvert, les seins à l'air malaxés par des mains avides. On lui fouille la chatte.

Le vieux me suce les tétons en salivant dessus, il me mord la pointe par moment et je pousse un petit cri. Il me repoussa soudain et sortit un sexe de bonne taille vu son âge canonique. M'agrippant violement par les cheveux, il me contraignit à m'agenouiller devant lui et il m'enfonça sa queue dans ma bouche. Il posa sa main sur ma tête et il donna des petits coups de reins pour mieux s'enfoncer entre mes lèvres.

Maman suce aussi des bites. Elle a la mâchoire déformée par les deux queues des deux plus jeunes qui veulent absolument qu'elle les suce ensemble. Campée sur ses talons aiguilles, elle est penchée en avant et derrière elle le routier et le patron lui enfoncent leurs doigts dans sa chatte et son cul, la branlant sans ménagement. Nos gémissements se mêlent aux halètements de nos clients...

- La salope! qu'est ce qu'elle mouille, une vraie fontaine.

- Elle suce comme une pro, la petite...

Le vieillard me poussa vers une table où je dus m'allonger, il me souleva les jambes et sa langue s'engouffra dans mon intimité. Il me lape à grand coups, léchant mes petites lèvres intimes...Il sait y faire le salaud et je ne tarde pas à mouiller comme une folle, poussant de petits jappements. Il me mordilla le clitoris et je fis un saut de carpe sur la table arquant mon corps.

Un cri me fait tourner la tête. Maman courbée sur une table, les seins écrasés, se fait besogner par le routier. Sa queue rentre et sort du vagin, les fesses de maman tressautent sous les coups de boutoir de l'homme. Il la pilonne avec brutalité.

Cela donna des idées au vieux qui me pénétra. J'eus un petit sursaut. Me tenant les jambes, il me donne de violents coups de reins, s'enfonçant dans ma chatte, je gémis...

On alterne les clients. Maman est maintenant prise en main par le patron qui la tenant aux hanches, la défonce comme un sauvage en l'insultant. Le routier a enfoncé sa bite entre les lèvres de Christiane qui le pompe avec frénésie. Le vieux me bourre sauvagement et se retire laissant la place aux deux jeunes. Ils manipulent mon corps me forçant à me lever. Un des jeunes s'allonge sur la table, la bite victorieusement dressée et je dois m'empaler dessus en grimaçant. Il commença à bouger tous en me suçant les seins. Derrière moi, l'autre jeune s'enfonce dans mon anus et je pousse un cri. Bien rempli par ces deux bites, j'halète...Il commence tous deux à bouger alternant les coups de queues.

On entendit alors Moussa qui criait :

- Eh les gars, on s'active, j'ai encore du travail pour ces deux salopes!

Maman et moi nous fûmes agenouillées au milieu de la salle. Les quatre types regroupés autour de nous se masturbant comme des fous. Les premiers jets giclèrent allant s'écraser sur nos seins. Puis le vieux voulut se branler dans la bouche de maman et il éjacula l'étouffant avec son sperme. J'en reçus dans les cheveux et sur mon visage...


Moussa nous releva et nous entraîna dehors...

A suivre...

La nouvelle vie de Christine Ch. 11

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Christine se soumet à son patron.

Ce matin, j'habillai Christine avec une mini-jupe couvrant à peine son derrière, des sous-vêtements noirs ainsi qu'un chemisier rouge sang, si bien que son soutien-gorge était visible. Aujourd'hui, elle était complètement habillée étant donné qu'elle allait au travail directement.

Lorsque nous sommes sortis, je lui donnai une première série d'instructions pour la journée. Arrivée à son bureau, elle devait appeler Marc et dire aux autres membres de son équipe qu'ils ne seraient pas disponibles les deux prochaines heures sous prétexte d'une formation quelconque.

Elle devait allumer la webcam et attendre nue à quatre pattes sur le sol son collaborateur. Il devrait la doigter jusqu'à ce qu'elle mouille suffisamment. Christine était bien consciente qu'il lui faudrait plus.

Alors qu'elle quittait la voiture elle répondit « Oui Maître » avant de s'éloigner sur ses hauts talons.

De retour à la maison, je me dépêchai d'allumer mon ordinateur. Je ne fus pas surpris de voir ma belle-mère à quatre pattes, son assistant derrière elle en train de la fourrer profondément avec ses doigts.

J'écoutai Christine gémir et je sentais l'orgasme monter en elle. Elle jouit environ 10 minutes après que j'eus commencé à regarder. En bourrant son poing dans sa bouche, elle faisait de son mieux pour retenir ses cris afin que les autres membres de la société ne l'entendent.

L'orgasme terminé, elle se leva et s'assit sur le bureau. Elle écarta les jambes puis avec sa main droite elle attrapa les plis humides de sa chatte afin de les séparer, exposant ainsi son clitoris et son vagin. On arrivait ainsi au bout de ce que j'avais imaginé pour elle toute la semaine.

- Marc, il est temps de vous indemniser entièrement. Venez me baiser s'il vous plaît. Mettez votre bite dans mon sexe.

Elle attendit complètement offerte que son assistant la comble.

Marc ne se fit pas prier. Il se dirigea vers elle avec détermination. Il baissa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Puis il plaça la tête de son membre en érection à l'entrée mouillée de la femme. Ma soumise allait enfin être prise par son subordonné. Celui-ci dit :

- J'ai attendu ça toute la semaine Christine. Fourrer ma bite dans votre chatte est un fantasme que j'ai depuis le jour où vous êtes devenue ma patronne.

Ma belle-mère retira sa main et se pencha en arrière, se préparant à l'invasion de son intimité par son assistant.

- Si j'avais su que vous étiez si pute, nous aurions pu faire cela plus tôt. Dit marc en frottant sa queue le long de la fente et du clito de Christine.

Comme je lui avais demandé, elle commença à supplier :

- S'il vous plaît Marc, arrêtez de me faire languir et enfoncer votre grosse bite en moi. Je la veux entièrement.

Il continuait à taquiner sa chatte en plongeant légèrement son sexe puis en le retirant aussitôt.

- S'il vous plaît Marc......Baisez-moi comme une pute.... S'il vous plaît..... Allez-y......

- D'accord salope!

Marc grogna et d'un grand coup de hanche, il enfonça son membre profondément.

- ARGGGGGHHHH! OUI! OUI! Cria Christine en jetant sa tête en arrière.

Alors qu'il la pilonnait d'un rythme puissant, la faisant gémir, Marc lui dit :

- Si seulement les collègues pouvaient vous voir maintenant. S'ils savaient qu'ils travaillent pour une pute.

Il était tellement excité de baiser sa patronne qu'il se raidit et lui dit qu'il allait jouir.

- Attendez marc. Je voudrais que vous éjaculiez sur mon visage s'il vous plaît.

Elle le poussa et se mit à genoux devant lui, prenant sa bite dans la main et ouvrant grand la bouche. Une minute plus tard, Marc déchargea cinq jets de sperme sur le visage et dans la bouche de sa patronne. Les cheveux, le front, le nez ainsi que le menton de Christine furent enduits de la semence gluante de son assistant.

Ils se rhabillèrent tous les deux. Marc s'excusa avec un grand sourire mais Christine s'était déjà assise à son bureau pour commencer à travailler, le visage couvert de sperme. Elle devait le laisser pendant une demi-heure, en priant que personne ne la dérange, puis elle pourrait se nettoyer avec des lingettes.

A midi cinq je lui envoyai un message dans le chat :

« Emmène Marc aux toilettes et dis-lui de te baiser. Qu'il fasse une vidéo avec son téléphone. Je veux qu'il éjacule sur tes seins. Ok? »

Elle répondit une minute plus tard :

« Oui Maître »

Christine quitta le bureau à midi douze et revint à 12h40. Elle m'envoya un message :

« C'est fait Maître »

« C'est bien salope. Envoie moi la vidéo et attends des instructions »

Je regardai la vidéo. Christine était sur le siège des toilettes, la tête coincée sur le côté du réservoir de chasse d'eau. Elle avait une jambe sur le porte rouleau. Elle tenait l'autre en arrière avec une main derrière l'articulation du genou. Son chemiser était ouvert, ses seins énormes étaient sortis du soutien-gorge.

Il y avait très peu de paroles sur la vidéo. Marc disait seulement à sa patronne qu'elle était une sale pute pendant qu'il la baisait rapidement de peur d'être pris. Puis il sortit son sexe avant de gicler sur ses seins et son chemisier.

C'était parfait. Je pensai déjà à la suite de la journée. Ma belle-mère ignorait encore ce que j'avais comme idée.

Alors qu'elle devait penser qu'elle avait terminé sa journée, je retournai à mon ordinateur afin de lui envoyer un autre message.

«Appelle Marc et dis-lui que tu as besoin de lui plus tard et qu'il va devoir rester tard au bureau. Ensuite lorsque tous les employés seront partis, tu te mettras nue, laissant tes vêtements sur le bureau. Tu garderas juste tes talons. Ensuite tu demanderas à ton assistant de te rejoindre. Tu l'attendras devant la porte, à genoux. Tu lui feras une fellation et ensuite tu le laisseras te prendre en levrette. »

Comme d'habitude je reçus une réponse positive et je l'entendis téléphoner à Marc :

- Marc, j'ai besoin de vous ce soir après cinq heures. Appelez-moi lorsque les bureaux seront vides.

Son téléphone sonna à 17h07. Elle décrocha et le reposa aussitôt. Puis ses mains commencèrent à défaire les boutons de son chemisier. Elle empila ses vêtements un par un sur le bureau. Quelques minutes plus tard elle fut cul nu sur ses talons. Je regardai ses gros seins balancer et rebondir alors qu'elle allait ouvrir la porte de son bureau.

Tout en appelant son subordonné, elle se laissa tomber à genoux, prête à le satisfaire. Il arriva, son pantalon déjà défait, sachant que sa patronne allait le sucer.

Il descendit son pantalon et son caleçon, plaçant son sexe et ses couilles près du visage de Christine.

- Vous n'arrêtez pas d'avoir envie de ma grosse bite n'est-ce pas sale pute?

Il oubliait que sans moi, il continuerait à seulement fantasmer sur sa collègue.

- Mummphh, mumppppphh

Christine marmonna alors qu'elle avait pris la bite tout au fond de sa gorge et qu'elle s'activait à le sucer.

Je pris alors mon téléphone et tapai le texte suivant :

- Je pense que vous devriez voir ce que fait Christine dans son bureau après les heures de travail.

Puis je l'envoyai. Ce message était destiné à Francis MULLER le patron de ma belle-mère.

Les quarante minutes suivantes, je regardai Marc utiliser soigneusement la bouche et la chatte de Christine. Il alternait souvent afin qu'elle puisse goûter son propre jus sur la bite de son assistant. Cette fois, lorsque Marc indiqua qu'il allait jouir, ma belle-mère eut un orgasme. Elle hurla qu'elle voulait qu'il éjacule dans ses entrailles. Et pour la première fois, son collaborateur se vida en elle.

Une fois qu'ils se furent rhabillés tous les deux, j'appelai Christine et lui demandai de prendre un taxi pour rentrer. Elle arriva vers 19 heures. Alain son mari étant encore couché complètement saoul, je penchai ma belle-mère sur le bras du canapé, soulevai sa jupe et baissai sa culotte avant de l'enfiler rapidement.

Je la baisai durement pendant quinze minutes avant d'ajouter mon sperme dans son vagin. Une fois terminé, je la laissai à moitié évanoui sur le canapé. Elle avait eu encore deux orgasmes.

Le lundi matin suivant, nous revenions à une routine normale. Christine choisit ses vêtements et s'habilla avant de descendre. Toutefois elle savait maintenant ce que je voulais d'elle donc sa tenue était très sexy.

Elle se rendit au travail, tout étonnée que je ne lui donne aucune instruction. J'étais sûr que Marc serait tout aussi surpris alors qu'il passerait la journée sans activité sexuelle avec sa patronne.

Christine pris un appel téléphonique juste après le déjeuner. Cette communication attira mon attention. Je ne compris que la fin :

- ...... Oui M. MULLER, je peux rester plus tard ce soir........ D'accord, je vous attend dans mon bureau à 17h15.

Je me demandai si son patron l'avait vu vendredi. Avait-il reçu mon message? En tout cas Christine n'était pas au courant.

A 17h05, je m'assis devant mon ordinateur et j'attendis, comme ma belle-mère, que son chef arrive.

A 17h15, il frappa une fois à la porte du bureau puis entra avec autorité et arrogance. Il laissa la porte battre derrière lui et s'assis sur la chaise en face du bureau de son employée. Un grand sourire éclairait son visage. Je sus alors qu'il avait vu la femme en action vendredi soir. Aujourd'hui, il voulait prendre son tour.

Il y eu une minute de silence. Je regardai Christine gênée, se déplaçant maladroitement sur sa chaise. Elle se posait des questions. Francis demanda :

- Aimez-vous votre travail ici Christine?

Ma belle-mère était complètement inquiète :

- Euhhh.... Oui bien sûr. Pourquoi demandez-vous cela Monsieur?

- Parce que si vous voulez continuer à travailler dans ma société vous devez vous présenter ici.

Il montra le sol juste entre lui et le bureau.

- Pardon Monsieur MULLER? demanda-t-elle.

- Vous avez très bien entendu. Dois-je me répéter?

Il avait haussé le ton. Sa voix irradiait l'autorité et le pouvoir.

Christine se leva de sa chaise et fit le tour du bureau afin de se placer entre son patron et son bureau. Francis leva les yeux. Pendant une minute ou deux, le silence mit mal à l'aise ma belle-mère. Elle déplaçait son poids d'un talon sur l'autre ne sachant que faire jusqu'à ce qu'il parla de nouveau.

- Enlevez vos vêtements! Fut tout ce qu'il dit.

- Par..... Pardon? Balbutia-t-elle.

- Enlevez vos vêtements comme vous le faites pour Marc DELAIN. Dit-il en la fixant et en attendant.

- Je.... Je..... ne sais pas.... ce que......

Elle bégaya jusqu'au moment où son patron la coupa :

- Comment dois-je vous faire comprendre Christine? Enlevez vos vêtements ou je dois le faire moi-même? Je suis sûr que Marc n'a pas eu le même problème vendredi soir lorsqu'il vous a baisé. N'est-ce pas?

Il se mit debout en face d'elle, la forçant à faire un pas en arrière, ses fesses tapant le bord du bureau.

- Non..... M. MULLER. Dit-elle en levant les yeux alors qu'il la plaquait contre le bureau.

- Je le savais.

Il tendit la main et enleva la veste de la femme et la laissa tomber sur le bureau. Puis ses mains commencèrent à déboutonner le chemisier. Christine ne bougeait pas et ne disait rien alors que son patron défaisait méthodiquement les cinq boutons. Ensuite il retira le vêtement qui rejoignit la veste sur le bureau.

L'index de sa main droite courra le long de son cou vers son décolleté. Ils ne se parlèrent pas alors que le doigt passa sous le tissu du soutien-gorge afin de trouver le mamelon gauche. Il le pinça entre le pouce et l'index. Il fit la même chose avec le sein droit.

- Défaites votre soutien-gorge. Dit-il.

Puis il attendit. Christine leva ses mains derrière son dos et dégrafa le fermoir. Le soutien-gorge glissa le long de ses seins, s'arrêtant juste au-dessus des mamelons si bien que la moitié de ses auréoles sombres était maintenant visible.

Francis utilisa une fois encore son index afin de finir de faire tomber le sous-vêtement sur le sol.

- Vous avez une superbe poitrine Christine.

Il agrippa à pleine main le sein droit, puis tira le mamelon et le fit rouler entre ses doigts.

- Ahhh, Ahhhh

Christine ne pouvait s'empêcher de gémir. Francis sourit et tira un peu plus fort sur le mamelon, sachant qu'elle aimait. Son sourire me fit comprendre qu'il appréciait de jouer avec ma belle-mère.

- Maintenant, enlevez votre jupe et votre culotte.

Il se rassit sur la chaise en face d'elle.

Il aurait été futile de protester alors elle dézippa sa jupe et la descendit sur ses pieds. Elle se tenait devant son patron en talons avec une culotte en dentelle rouge. Elle hésita encore pendant un moment et son chef dut lui répéter d'enlever sa culotte. Christine mit ses mains sur l'élastique et baissa sa culotte pour se tenir enfin complètement nue devant son patron.

- Tournez-vous!

Après qu'il ait donné l'ordre, il la regarda obéir et il défit sa braguette afin de sortir son sexe de son caleçon. Non seulement, il était riche et propriétaire d'une grande compagnie mais il avait aussi une grosse bite.

- Penchez-vous de telle sorte que votre tête et vos seins soient sur le bureau.

Il enleva ses chaussures, son pantalon et son caleçon puis il se leva et déboutonna sa chemise.

J'avais une meilleure vue sur sa queue. Je devinai qu'elle mesurait environ 15 cm. Elle était encore en expansion et pointait vers le haut. Elle était très épaisse et impressionnante.

- Ouvrez votre chatte Christine.

Il avança de trois pas pour se tenir juste derrière elle. Il baissa les yeux alors que chaque main de la femme attrapait une fesse afin d'ouvrir le passage pour la bite en érection de son patron.

Vulnérable et exposée, elle n'eut pas à attendre plus de dix secondes avant de connaitre les intentions de l'homme. Il poussa son gland gonflé à l'intérieur du vagin et ne s'arrêta pas avant que son membre soit entièrement dans ma belle-mère.

Le cri de Christine emplit la pièce et ne stoppa pas même lorsque qu'elle fut complètement distendue et remplie par la verge de Francis.

- Oh mon dieu! Oh mon dieu! Oh mon dieu! fut tout ce qu'elle put dire alors qu'elle était harponnée et épinglée sur son bureau par son supérieur qui avait les mains sur son dos.

- Maintenant, quand je vais enlever mes mains, vous allez bouger d'avant en arrière sur mon sexe. Je veux que vous fassiez tout le travail afin de me prouver que vous méritez votre emploi. Vous me comprenez Christine?

- Oui Monsieur MULLER. Dit-elle

L'homme leva les mains et les mit derrière son dos. Puis il se positionna de façon à rester stable. En s'aidant de ses mains sur le bureau, Christine avança, laissant juste le gland à l'intérieur de son sexe puis elle recula jusqu'à ce que les couilles giflent ses cuisses.

Je la regardai alors qu'elle répéta lentement le mouvement pendant trois à quatre minutes, s'habituant à l'énorme bite. Mais Francis ne fut pas satisfait :

- C'est un bon début Christine mais je pense que vous pouvez faire mieux. Faites plus d'efforts.

Instantanément, elle avança et recula plus brutalement. Le claquement de leur peau était maintenant audible ainsi que la lourde respiration et les petits gémissements de ma belle-mère.

- C'est mieux. Dit-il en se raidissant pour contrer la force de la femme qui allait presque le renverser.

Après cinq minutes, je pus voir sur mon écran que Christine transpirait beaucoup et que sa respiration devenait courte et rapide. Elle n'était pas loin de jouir et Francis s'en aperçut.

- Vous allez jouir n'est-ce pas? demanda-t-il.

- Ou.....iii. Dit-elle alors que ses fesses claquèrent contre le ventre de l'homme.

- Accélérez la cadence et ne vous arrêtez pas même si vous avez un orgasme.

- OUUUUIIIIIIII MONS....IEUR MUUUU...LLER! ARGGHHHH

Elle cria alors qu'elle matraquait ses fesses contre l'homme, cherchant le plaisir d'un orgasme.

- ARGGGGHHHH OH JE.... VIENS! ARGHHHHH

Elle jouit, ses genoux la lâchant presque. Mais elle reprit rapidement le contrôle d'elle-même tout en frémissant d'extase.

Une fois qu'elle eut fini de trembler, son patron se retira et lui demanda de se retourner.

- Voyons si vous sucez aussi bien que vous baisez Christine.

Il attrapa une poignée de ses cheveux et tira sa tête vers son énorme verge enduite du jus de la femme.

- Ouvrez grand!

Il poussa son gland entre ses lèvres, le faisant pénétrer profondément. Une fois que Christine eut pris le rythme pour le sucer, il remit les mains dans son dos et poussa son bassin contre le visage de la femme essayant d'emplir au maximum la bouche.

- Vous sucez très bien Christine. Si vous m'aviez sucé comme cela lors de l'entretien d'embauche, vous auriez obtenu le poste immédiatement.

Le patron profita de la sensation agréable de cette bouche sur son sexe. Mais après quelques minutes, il repoussa son employée puis il s'allongea sur le sol, sa bite dressée comme un piquet de tente. Je me doutais de la suite.

- Maintenant, chevauchez ma bite Christine jusqu'à ce que vous jouissiez de nouveau.

Sans hésitation, ma belle-mère l'enjamba et abaissa sa chatte mouillée sur le membre jusqu'à ce qu'elle fut complètement remplie. Puis elle rebondit sur la verge comme si elle montait un cheval. Si bien qu'en moins de dix minutes elle eut un autre orgasme. Mais Francis n'était toujours pas satisfait.

- Allez Christine, prouvez moi que vous méritez ce travail. Continuez!

Elle continua à chevaucher son patron essayant de faire jouir l'homme. Au bout de quinze minutes, elle jouit de nouveau. Le membre de son patron restait raide alors qu'il était noyé par le jus de la femme. Ma belle-mère n'en pouvait plus. Sa tête retombait en arrière, ses yeux étaient à moitié fermés mais elle continuait à rebondir sur son patron.

Il fallut encore quatre à cinq minutes avant que Francis lui dise de venir sur ses genoux pour le sucer car il allait éjaculer. Elle lui obéit et je vis ses joues enfler. Son chef emplit sa bouche de sa semence et elle avala consciencieusement avant qu'il sorte sa bite et gicle le reste sur son visage.

En s'habillant et en regardant son employée recouverte de sperme il dit :

- Quelle baise d'enfer Christine. Nous nous verrons demain afin de décider ce que vous allez devenir. D'accord?

Il se dirigea vers la porte.

- Oui Monsieur MULLER. Répondit-elle en le regardant partir.


à suivre....

lundi 9 septembre 2019

Ma femme devient une pute Ch. 03

Ma femme devient une pute - récit érotique

Son secret est découvert au travail.

Ma femme Michelle rentra de son cabinet d'avocats vers 19 heures. Nous étions lundi. Tout le week-end, qui commençait le vendredi soir, elle était soit dans un bar, soit dans la rue devant le bar comme prostituée d'un gang.

C'était son choix de devenir une pute et de ressentir les frissons que lui apportait cette dépravation sexuelle. Depuis quelques mois, elle se prostituait dans la rue et un de ses tétons était percé et portait un emblème du gang. Ma femme avait 41 ans avec des longs cheveux blonds et une grosse poitrine. Les heures passées à marcher dans la rue avec des talons de 15 centimètres avaient renforcé ses mollets et ses jambes et raffermi son cul. Même si je m'inquiétais pour ce qu'elle faisait, je pouvais voir que, sexuellement, elle était satisfaite, beaucoup plus qu'avec moi. En fait elle avait l'air épanouie, même si elle était souvent très fatiguée et avait des cernes.

- J'ai un problème... un gros problème. Dit-elle en entrant.

Je la regardai et ne dit rien quand elle alla dans la cuisine se servir un verre puis revenir.

- Un gamin du courrier était au bar ce week-end. Il a des vidéos et...

Elle s'arrêta de parler, alluma son téléphone et me le tendit :

- Regarde les vidéos qu'il m'a envoyées!

Dans la première vidéo, Michelle se promenait dans le bar sur ses hauts talons dans un short en jean très serré. En marchant, elle se déhanchait de manière exagérée tout en secouant ses seins libres sous son haut. C'était sa démarche de pute et son proxénète la faisait marcher comme ça quand elle travaillait. Pendant qu'elle se déplaçait, je pouvais voir que les hommes qu'elle approchait tripotaient ses seins ou lui mettaient la main au cul. Elle parlait à certains et elle les conduisait vers un canapé dans un coin à l'arrière pour les sucer ou plus s'ils payaient bien.

Dans la deuxième vidéo, Michelle était sortie du bar et discutait avec un des membres du gang qui lui avait pris la main. Je reconnus DJ. Ma femme avait l'air très fatiguée et ivre. L'homme lui disait qu'il voulait la baiser :

- Je veux ta chatte, tu me le dois.

Ma femme secoua ses seins et frotta l'entrejambe du garçon en disant :

- Allez bébé, laisse cette pute te sucer. Tu as besoin d'une bonne fellation. Demain tu pourras avoir ma chatte. Je suis trop fatiguée ce soir. Ok bébé?

Le membre du gang l'attira plus près. Je sais qu'il avait 19 ans. Il sortit un des seins du haut de Michelle et commença à torturer le mamelon.

- Je veux ta chatte de vieille. Je veux gifler ton cul. Une pipe ne suffit pas. Allez chienne, laisse-moi te baiser.

Michelle passa son ongle sur le bras nu de l'homme et le laissa la tripoter.

- Je sais que tu es mon homme bébé. Et j'aime tellement ta bite. Mais je suis vraiment fatiguée. Je vais te sucer comme il faut et demain je viendrai dans ton lit et tu pourras me baiser tant que tu le veux ok?

Avant que DJ ne puisse dire quoi que ce soit, elle se laissa tomber à genoux et défit sa braguette.

Ses vidéos étaient vraiment compromettantes et ruineraient sa réputation si quelqu'un les montrait à son cabinet d'avocats. Sur les vidéos Il n'y avait pas de doute qu'elle se prostituait.

- Comment as-tu pu laisser quelqu'un te filmer? Demandai-je.

- Arrête. Tu sais bien que les hommes me filment tout le temps avec leur téléphone. Je ne peux rien y faire. Je suppose que ce n'était qu'une question de temps avant que l'on me fasse chanter.

- Que veut ce gars? Demandai-je.

- Ne soit pas stupide! Ricana-t-elle.

Elle ajouta :

- Que penses-tu qu'il veuille? Cet après-midi, il m'a baisée sur mon bureau et l'a filmé sur son téléphone. Il a tiré mes cheveux et m'a fait tourner la tête pour que mon visage soit bien visible. Voilà la vidéo. Ça va rendre les choses très difficiles pour moi au travail.

Sur l'écran, Michelle est penchée sur son bureau, et le gars, Tony, un stagiaire noir de 19 ans qui est célèbre au bureau parce qu'il vient d'obtenir une bourse dans une université prestigieuse à la rentrée, la baise rudement par derrière. Il tire les cheveux de ma femme pour qu'elle tourne la tête vers l'objectif et que l'on voit bien sur son visage qu'elle se fait sauter.

Michelle gémit quand son chemisier est relevé et quand Tony attrape un de ses seins. Le garçon demande :

- Qu'est-ce que vous êtes?

Michelle dit doucement :

- Une salope.

Tony gifle durement son cul. Ma femme couine.

- Ne te moque pas de moi salope. Maintenant, dis-moi ce que tu es.

- Je suis une pute. Dit Michelle alors que Tony continue de la marteler.

Tony lui tire les cheveux. Ma femme gémit face à la caméra.

- Dis le encore! Commande Tony alors que sa main se met à pincer le mamelon du sein exposé.

- Oh merde! Gémit Michelle.

Puis elle dit :

- Je suis une salope et une pute. Je fais le trottoir le week-end en remuant mon cul et mes nichons.

- Très bien! Dit Tony en augmentant le rythme.

Il ramène la caméra et je peux voir le cul de ma femme sur ses talons hauts. Elle gémit encore.

- Nouvelles règles putain! Dit Tony à ma femme gémissante

- Tu es maintenant une pute de bureau. Et je possède ton cul.

Michelle continue de gémir.

- Dis-le salope!

Ma femme hésita alors Tony donna une grande claque sur son cul. Elle cria :

- Je suis une putain de bureau et tu me possèdes.

- Bien salope. Autre règle : tu ne porteras plus de soutien-gorge au bureau.

- Tony, je ne peux pas...

Michelle ne peut pas terminer sa phrase. Tony tire violemment sur ses cheveux pour tirer sa tête en arrière. Il lui donne de grands et violents coups de reins en disant :

- Ne me mets pas en colère salope!

- Ok, ok, pas de soutien-gorge.

- Et pas de culotte.

- Pas de culotte! répond mon épouse.

- Il y a quatre autres stagiaires au bureau. Avant la fin de la semaine prochaine, je veux que tu ailles les voir, que tu les suces, les baises et leur dises que tu es une salope. Tu diras que ton mari ne te satisfait plus et qu'ils peuvent t'avoir quand ils veulent. Tu as compris putain?

Michelle gémit alors que Tony la baise encore plus fort. Je pouvais voir qu'elle était proche d'un orgasme.

- Oh Jésus.... Ohhhhh je jouis...

Tony claque son cul.

- Tu es idiote? Est-ce que je t'ai autorisée à jouir?

- Non.

- A qui appartient ton cul ici au bureau?

- A toi Tony.

Il claque à nouveau son cul.

- Ne jouis plus jamais sans ma permission!

- Tu as raison Tony. Je suis désolé. Je suis une stupide salope.

- Et qu'est-ce que tu vas faire? Demande le garçon.

- Je vais baiser tous les stagiaires et leur faire savoir que je suis une salope et qu'ils peuvent m'avoir quand ils le veulent... Oh Tony, puis-je jouir encore s'il te plaît?

Tony la laboure en silence pendant quelques instants

- Tony, s'il te plaît... J'ai besoin de jouir.

- Tu es ma pute?

- Oh oui je suis ta pute, ta putain de bureau.

- Ok, vas-y, tu peux jouir.

Michelle crie et son corps tremble. Elle gémit et attrape le coin de son bureau. Tony se vide en elle et la vidéo prend fin.

Ma femme termina son verre ;

- Il va faire de moi une salope au travail. Pas de soutien-gorge et pas de culotte. Je dois faire la pute pour les stagiaires et les laisser penser que j'ai besoin d'eux pour être baisée quand ils le voudront. Ça ne va pas être facile et ce n'est pas ce que je voulais.

- Que peux-tu faire? Demandai-je.

Michelle haussa les épaules.

- Je ne sais pas encore...


A suivre...


Susan et les bidouilleurs de PC Ch.08

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Susan découvre le lesbianisme.

Susan était rentrée de sa matinée de travail lorsque Ray se manifesta.

Deux semaines s'étaient écoulées depuis leur sortie en bateau et elle commençait à croire qu'ils s'étaient lassés d'elle.

Elle posait son sac sur sa table de cuisine lorsque Ray surgit dans la petite pièce.

Elle était légèrement surprise de le voir seul, sans son compère, mais il la prévint tout de suite que Gary arriverait sous peu.

Il commença à lui peloter gentiment les fesses.

- "J'espère qu'on t'a manqué ma Susie chérie..."

Elle ne répondit pas.

- "Ton mari t'as-t-il baisé depuis? ...."

Elle lui rétorqua que non, en fait, il n'avait même pas essayé.

Elle ne semblait plus l'intéresser, c'est peut-être pour cette raison que ces deux jeunes l'avaient si facilement subjuguée.

- "Si je comprends bien la petite salope..... Tu dois mourir d'envie de te faire baiser par une grosse queue! ..."

Il lui massait les nichons au travers de son chemisier, elle frétillait sous ses caresses.

- "J'ai l'impression que t'en as drôlement envie ma chérie! ..."

Il ne comptait pas qu'elle lui réponde, aussi ne fut-il pas déçu de son mutisme, mais il pressa sa bite contre sa croupe.

- "Tu sens ma grosse bite Susie, si tu te montres très gentille tu y auras droit tout à l'heure! ..."

Elle ferma étroitement les yeux, déjà son esprit défaillait.

Il lui passa la main dans les cheveux et se penchant à son oreille murmura :

- "Je parie que t'es déjà trempée? .... Laisse moi vérifier! ..."

Il lui tripotait les nibards tout en descendant la fermeture éclair de la braguette de son pantalon de travail, il introduisit une main dans sa braguette et empauma sa chatte, elle gémit sourdement. Il avait inséré ses doigts dans sa petite culotte et fourrageait ses babines.

- "Hemm... C'est bien ce que je croyais! ...." s'esclaffa-t-il les doigts plantés dans sa chatte engorgée de cyprine.

- "Eh ben, il ne faut pas grand chose pour que ta foufounette soit trempée... "

Il remonta sa main sur son ventre et déboutonna sa ceinture de pantalon pour se ménager un meilleur accès à la ceinture élastiquée de sa petite culotte, puis il replongea sa main dans le petit cache sexe.

- "Qu'est que c'est! ... Tourne-toi... " lui ordonna-t-il alors qu'il explorait sa chatoune.

- "Quoi? ..." lui demanda-t-elle l'air gêné alors qu'il continuait son exploration, il lui baissa son pantalon sur les chevilles.

- "Qu'est que c'est? ..." répéta-t-il baissant sa petite culotte.

- "Je ne savais pas que vous viendriez me voir..." s'insurgea-t-elle pitoyablement.

Il tendit la main et s'empara d'une paire de ciseaux

- "On va savoir rapidement! ..." rétorqua-t-il coupant les deux cotés de la ceinture de la petite culotte.

Une fois la petite culotte jetée au sol, il l'attira à lui et rugit :

- "Je croyais que tu ne devais jamais porter ce genre de culotte en notre présence! ..."

- "Mais je..... Je ne savais que je vous verrai... " répétait-elle effarouchée.

- "Dans ce cas tu devrais peut-être toujours porter des petites culottes sexy! ..."

- "Et qu'est ce que cela? ..." l'interrogea-t-il laissant traîner sa main sur sa chatte.

Elle savait ce à quoi il faisait allusion. Il parlait de sa fourrure qui repoussait, elle ne répondit point.

Il se redressa et lui murmura à l'oreille :

- "Tu sais ce qu'on t-as dit à ce sujet Susie! ..."

- "Oui... "

- "Je sais bien que cela fait une paire de semaines que tu ne nous as pas vus..." continua-t-il lui caressant toujours la foufoune la faisant gémir sourdement.

- "Aurais-tu oublié quels sont les propriétaires de ta foufoune? ..."

- "N... Non..."

- "Quels sont les propriétaires de ta cramouille Susie? ..." l'interrogea-t-il ses doigts s'agitant frénétiquement dans sa cramouille dé-trempée.

- "Vous... Vous deux..."

- "Alors tu sais bien que j'aime que ta chatoune soit impeccable! ..."

Elle hocha humblement la tête.

- "Très bien ma chérie, monte à l'étage et fais le nécessaire pendant que j'appelle Gary, puis, je monterai inspecter ta moule! ..."

Elle remonta son pantalon et monta dans la salle de bain tandis que Ray passait son coup de fil.

Un court moment plus tard, Ray entra dans la salle de bain, Susan v-nait de terminer de rafraîchir le rasage de son mont de Vénus.

Il était de nouveau chauve, seule une petite touffe de poils subsistait juste au-dessus de sa fente, Ray s'approcha d'elle se saisissant d'une serviette sur le présentoir.

- "Tu me sembles avoir fait un bon boulot! ..." la félicita-t-il essuyant de la serviette les dernières traces de savon à barbe.

Susan était assise sur le bidet, les cuisses grandes ouvertes, Ray jeta la serviette et entreprit de caresser sa fentine.

Elle rejeta la tête en arrière et ferma étroitement les yeux, Ray sourit.

- "Aimes-tu mes caresses Susie? ..."

- "Oh oui! ..."

- "Je veux que désormais ta chatoune soit toujours impeccablement rasée ma chérie! ..."

- "Je ferai attention de toujours avoir la chatte impeccablement glabre puisque c'est ce que tu veux! ..."

- "T'es une bonne fille ma petite Susie! ..." se relevant brusquement.

- "Ohhhhhh..." soupira Susan désappointée.

Il enfouit sa main dans sa belle chevelure noire lui annonçant :

- "Ne te tracasse pas Susie, continue à te conduite comme une bonne petite salope être une bonne petite salope et je te baiserai à couilles rabattues avant de repartir! ..."

Sur ces mots il dégrafa sa braguette et extirpa sa grosse bite de son caleçon.

- "En attendant, je parie que tu aimerais te régaler n'est ce pas? ..."

Susan hocha la tête en signe d'acquiescement, sachant ce qu'il voulait obtenir d'elle.

- "T'es une bonne fille ma chérie, tu sais ce que tu dois faire! ..."

Elle empoigna sa bite et la couvrit de bisous avant de l'emboucher

- "Oh, ohhh que c'est bon! ...." gémit Ray.

Encouragée par ses compliments elle avala plus profondément encore sa mentule et accrut la vitesse de ses allées et venues.

Elle était vraiment devenue une excellente fellatrice.

Gary passa soudain la tête dans l'encadrement de la porte de la salle de bain :

- "Bordel elle était vraiment désespérée! ..."

- "Tu peux le dire, es-tu prêt? ..."

- "Ouais fin prêt! ..."

Ray releva la tête

- "Il semble que tu vas devoir attendre encore un peu pour avoir ta ration de protéine ma chère Susie! ..." lui dit-il en la remettant sur ses pieds.

- "Pour l'instant retourne dans ta chambre, fous-toi à poil et enfile une petite culotte sexy... Ta tenue est préparée sur ton lit... appelle-nous quand tu seras prête! ..."

- Comme elle quittait la salle de bain, Gary dit à Ray que tout était en ordre pour cet après-midi.

- "Je... Je suis prête..." souffla-t-elle d'une voix sourde.

Ils entrèrent dans la chambre, la jeune femme avait enfilé une étroite petite culotte rouge et s'était étendue au centre du grand lit.

Les deux gaillards ne soufflèrent pas un mot mais se mirent en petite te-nue et s'assirent de chaque coté du lit.

Gary avait en main un bandeau noir :

- "Lève la tête petite Susie que je te mette ceci! ..."

- "Que... Que... Que voulez-vous faire? ..." protesta-t-elle pour la forme, mais déjà Gary lui couvrait les yeux du bandeau.

- "Et maintenant Susie tu gardes ce bandeau sur les yeux tant qu'on ne te dira pas de l'enlever! ..." la prévint Ray sèchement.

- "C'est... C'est d'accord, mais pourquoi? ..."

- "Ne t'en fais pas pour ça, on veut juste être sûr que tu n'essaieras pas de l'enlever! ..."

Elle sentit Gary se relever et sortir du lit.

Mais elle ne savait pas qu'une troisième personne avait rejoint ses tourmenteurs dans la chambre.

C'était une jeune femme du même âge que Ray et Gary.

Elle jeta un œil sur la somptueuse beauté qui gisait aveuglée sur le lit, sourit et se pourlécha les babines.

Ray triturait les mamelons de Susan, la fille s'assit sur le lit entre les cuisses de Susan et commença à la caresser, légèrement effleurant la face interne de ses cuisses.

A chaque caresse elle s'approchait un peu plus du fond de l'affriolante petite culotte rouge, puis elle s'agenouilla sur le lit et se pencha pour pétrir son nichon gauche.

Bientôt elle utilisait sa bouche, sa langue, ses dents faisant couiner Susan tout en se tortillant de plaisir sur le lit.

Susan avait tant envie de jouir que, bien qu'elle ait senti que ce n'était pas Gary qui la mignotait, il lui semblait ressentir des sensations différentes, inhabituelles mais elle n'aurait pas su dire en quoi.

Elle s'en souciait très peu toute soumise aux caresses de la langue de la fille qui couraient de ses tétons à la ceinture de sa petite culotte.

Ray continuait à la malaxer impavide. Gary était bien un peu frustré de n'être que spectateur, mais il adorait ce qu'il voyait.

Lorsque la jeune fille en eut marre de caresser labialement le ventre de Susie, elle glissa une main dans sa petite culotte.

Elle grogna sourdement alors que la jeune fille caressait pour la première fois sa chatoune embrasée. La jeune comparse descendit sa petite culotte exposant à la vue de tous, sa chatte imberbe fraîchement rasée.

Elle sourit à Gary et Ray et se pourlécha les babines avant de se pencher pour embrasser l'intimité de Susan.

Dès le premier contact de la langue avec son clito un orgasme violent déferla sur Susie, la jeune fille était légèrement désappointée, elle aurait voulu la travailler plus longuement avant qu'elle ne jouisse, mais elle décida de poursuivre ses caresses sur la chatte enfiévrée de Susan.

Alors qu'elle travaillait la chatte de Susan de la langue la ramenant à la limite d'un nouvel orgasme, Ray décida que c'était le bon moment pour enlever le bandeau qui aveuglait Susan.

Il le remonta sur son front, elle mit quelque seconde à réaliser que Gary la regardait à quelques pas d'elle

- "Mais qui donc? ..." pensa-telle brutalement.

Relevant la tête elle se figea alors que la jeune fille se redressait aussi lui souriant de toutes ses dents.

- "Quand Susie rencontre Karen! ..." ironisa Ray hilare.

- Bonjour Susie, c'était une vraie joie... Ta chatte est drôlement goûteuse! ..." s'exclama Karen embrassant à nouveau sa foufoune.

Susan était en pleine confusion, elle ne savait pas quoi dire, quoi faire.

Elle n'était pas lesbienne mais cette fille venait de lui donner un plaisir qu'elle n'avait jamais ressenti sous les caresses d'une langue fouineuse, elle en restait muette, abasourdie.

- "Qu'y a t-il Susie? ..." la titilla-t-elle sarcastiquement

- "Tu ne t'étais jamais fait bouffer la chatte par une autre fille? ...

Sans attendre de réponse elle parcourut de la langue sa fentine détrempée s'arrêtant plus longuement sur son clito dardé.

- "Oooooooooooh..." gémit Susan rejetant sa tête de coté, ses cheveux bruns lui couvrant le visage.

- "Elle n'était pas lesbienne, alors pourquoi ces caresses lui donnaient-elle tant de plaisir... " se répétait-elle au fond d'elle-même.

Alors que Karen l'amenait à la marge d'un nouvel orgasme, elle cessa soudain ses caresses se redressa et s'étendit le long d'elle.

Tout en plongeant ses doigts dans sa chatte détrempée elle embrassa ses nibards puis son cou et les lobes de ses oreilles.

- "Aimes-tu que je joue avec ta petite chatoune ma petite Susie? ..." demanda-t-elle suavement.

Susan s'abstint de toute réponse.

Ray qui pétrissait un de ses nichons reprit :

- "Karen t'as posé une question, tu ferais bien de répondre honnêtement! ... Repose-lui ta question Karen..."

- "Aimes-tu que je joue avec ta petite chatoune ma petite Susie? ..."

- "Euh, Oui... Oui.. J'aime ça! ..."

- "Je m'en rends bien compte petite salope! ..." s'esclaffa-t-elle se tournant vers Gary qui les regardait attendant d'entrer en action.

- "Tu devrais venir jouer avec sa cramouille... "

Il ne fut pas besoin de lui répéter deux fois.

- "Et maintenant Susie, c'est à toi de me donner du plaisir! ..." dit Karen en s'agenouillant prestement sur le lit, se débarrassant de son chemisier, mettant à l'air ses gros nibards.

Elle empoigna la main gauche de Susan et la posa sur son nichon droit.

- "Allez ma chérie caresse moi les miches " lui intima-t-elle, mais Susan écarta sa main.

Elle n'avait jamais caressé de poitrine féminine.

Lorsque refit la même chose, Karen sentit sa colère monter.

Elle chopa fermement son menton ce qui coupa court le plaisir que Su-san ressentait aux caresses de Gary dans sa chatoune.

- "Et maintenant écoute-moi bien petite salope de chienne, tu vas t'allonger et te livrer aux caresses de Gary qui te fait jouir, mais je veux qu'en même temps tu en fasses autant pour moi, t'as bien compris? ..."

- "Non.. Oui... C'est juste que..." balbutiait Susan affolée.

Karen coupa court à ses lamentations en l'embrassant à pleine bouche, explorant sa bouche d'une langue curieuse.

La langue de Gary se démenait à l'orée de sa foufoune. Eperdue, en pleine confusion, Susan lui rendit ses baisers.

Cela ne l'empêchait pas de penser qu'elle se gouinait avec une autre fille, mais déjà une scandaleuse jouissance l'envahissait.

Cette fois elle se mit à malaxer allègrement les nibards de Karen qui étaient légèrement plus gros que les siens.

Karen ne lui lâcha le poignet qu'une fois qu'elle fut certaine qu'elle était en son pouvoir.

Lorsqu'ils cessèrent leurs caresses buccales, Susan était pantelante de plaisir, en partie à cause des manipulations de Karen et en partie grâce aux menées de Gary qui la menaient droit à l'orgasme.

- "Ne la fais pas jouir si vite! ..." lui cria son comparse.

- "Auparavant, elle doit prouver qu'elle est vraiment une bonne fille! ..."

- "Ohhh non... Je vous en prie! ...." gémissait-elle alors que Gary extirpait ses doigts de sa chatoune embrasée.

Karen toujours agenouillée à sa tête ordonna à Susan de descendre son short.

Les doigts tremblants elle dégrafa les boutons un à un, Karen l'aida alors à la glisser sur ses genoux exposant sa ravissante petite culotte jaune.

- "Et maintenant broute-moi le gazon, et si tu fais de ton mieux pour me satisfaire, mes copains s'occuperont à nouveau de ton cul! ..."

Lentement Susan se tourna vers elle et entreprit de descendre la petite culotte culottes jaune de Karen.

Elle se montrait très hésitante n'ayant jamais caressé une autre chatoune que la sienne.

Karen empoigna sa chevelure noire.

- "C'est un bon début ma petite chérie, mais il va falloir faire mieux Susie! ..."

Pour toute réponse Susan repoussa la petite culotte de Karen sous ses genoux et se mit à caresser es appâts de Karen d'une main timide.

Gary continuait à jouer de sa cramouille histoire de la maintenir à un haut niveau d'excitation.

- "Oh oui..." miaula Karen

- "C'est ça... C'est si bon! ..." Susan promenait ses doigts sur et dans sa chatoune enfiévrée, rendant à Karen la monnaie de sa pièce.

- "Oh oui... C'est bien comme ça, mais laisse moi bouger un peu! ..."

Elle jeta sa petite culotte au sol et écarta ses cuisses en grand.

Susan était à genoux, penchée en avant utilisant ses deux mains pour caresser la foufoune de Karen.

Gary et Ray tirèrent avantage de sa position et entreprirent de lui caresser la chatte et la croupe. Karen attira Susan à elle

- "Allez et bouffe-moi la chatte! ..." lui enjoignit-elle l'œil lubrique.

Susan résista quelques secondes mai se retrouva bientôt inspectant de la langue les alentours du clito de Karen.

Karen ne plongeait pas dans l'extase en dépit des caresses maladroites de Susan, Ray s'agenouilla dans son dos

- "Je vois que tu ne jouis pas de tout ton saoul! ...." constata-t-il rail-leur l'attirant contre sa bite.

Gary travaillait la moule de Susan deux doigts plongés dans ses tréfonds, Susan bouffait le gazon de Karen qui faisait une pipe à Ray.

Karen jouit la première bientôt suivie de Susan, ils ne leur laissèrent pas le temps de récupérer.

Gary vira Susan du lit et s'enfonça profondément dans sa chatte, la prenant de dos. Pendant ce temps Ray contournait le corps de Karen, lui relevait les jambes en l'air et entreprenait de la baiser vigoureusement.

Gary se sentait sur le point d'exploser, aussi extraya-t-il sa bite de la chatte de Susan lui enjoignant :

- "Ouvre la bouche Susie..." et il planta sa grosse queue dan sa bouche s'enfonçant jusque dans sa gorge la bâillonnant littérale-ment.

- "Ça vient salope... Aaaaaaaaaaah foutue salope, aaaaaaaaah... " et il se vida les couilles dans sa bouche asservie, lui tapissant la bouche et la gorge.

Karen cria terrassée par un orgasme fulgurant alors que Ray giclait dans les tréfonds de son utérus. Alors que Gary frottait sa grosse bite contre la bouche de Susan, Karen se pencha en avant et l'embrassa avec passion.

- "C'était bon ma petite Susie, t'es vraiment une chaude salope! ..." la félicita-t-elle ravie.

Susan émue regardait ses visiteurs se nettoyer puis se rhabiller.


- "A très bientôt..." la salua Ray en refermant la porte sur eux.

A suivre...