lundi 23 septembre 2019

Les joies de la campagne

Les joies de la campagne - Récits érotiques - Contrainte - soumission.

Mon mari venait d’être muté dans une petite ville de province. Nous étions mariés depuis 3 ans (j’en avais 25 à l’époque) et pour le suivre j’avais quitté mon travail. Il avait été mon premier amour et c’est lui qui m’avait dépucelée. Pour tout dire, notre vie sexuelle ne m’avait jamais vraiment satisfaite, mais je m’y étais habituée. 

Je finis par être engagée par le boulanger pour aller livrer le pain dans le village voisin et les fermes environnantes. Au bout de 3 semaines je commençais à bien connaître les clients. Un matin j’arrivai dans la ferme de monsieur Guibert, un vieux garçon de 45 ans qui vivait avec son père. 

Je toquai à la porte et entrai dans la cuisine. Monsieur Guibert était là et me regardait d’un drôle d’air. Sur la table il y avait un litre de vin bien entamé. 

- Bonjour monsieur, je vous pose votre pain sur la table comme d’habitude?

Je n’avais pas fini ma phrase qu’il se jeta sur moi me coinçant contre la table. Il saisit mes seins à travers mon pull et se mit à les malaxer. J’essayai de me débattre mais en vain, il était trop costaud pour moi. 

- Arrêtez, mais qu’est-ce que vous faites ?

- T’en as bien une idée ma salope !

- Non arrêtez, non !  

Mes cris ne faisaient que l’exciter davantage et il me retourna pour que je me retrouve face à lui. En une seconde il réussit à m’enlever mon pull. Il dégagea mes seins de mon soutien-gorge et se mit à les malaxer et à les pincer brutalement, puis il se pencha pour les sucer avidement. Une de ses mains passa sous ma jupe et entra dans ma culotte. Il commença à titiller mon clitoris. A ma grande honte je commençai à apprécier malgré moi ce qu’il me faisait et à mouiller, et il s’en rendit compte. 

- Ah ben on dirait que t’aimes ça ma cochonne, on va pouvoir passer aux choses sérieuses ! 

D’un geste il enleva ma culotte, remonta ma jupe et m’assit sur la table. Il m’embrassa tout en ouvrant son pantalon. Il en sortit une queue bien bandée que je ne pus m’empêcher d’admirer, elle devait bien mesurer 23 cm et il avait un gros gland. 

- Depuis le temps que j’ai envie de te la mettre, ma petite salope, tu vas voir qu’on sait y faire à la campagne ! Je parie que ton mari n’en a pas une si grosse ? 

(Il avait raison !) Il présenta son engin à l’entrée de ma chatte et me pénétra sans ménagement puis il commença à me besogner. 

- tu la sens bien hein, ça te plaît ma salope !

Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de butoir car c’était vrai j’aimais sentir pour la première fois une si grosse queue dans mon vagin et je dois dire que la situation m’excitait, me faire baiser brutalement par un étranger, ses grossièretés, ses gestes brusques. Ma chatte était d’ailleurs toute dégoulinante de mouille et sa bite n’avait aucun mal à aller et venir si bien que j’eus un premier orgasme. Jamais je n’avais ressenti cela avec mon mari. 

- Eh ben dis donc je ne m’étais pas trompé tu es une vraie salope, elle t’a fait jouir ma bite et tu mouilles comme une fontaine. Attends j’en ai pas fini avec toi !

Il me fit descendre de la table et mettre à quatre pattes par terre. Là il me pénétra de nouveau. Il attrapa mes hanches et se mit à me limer encore plus vigoureusement. Quand il se retira je n’eus aucune idée de ce qu’il allait faire. J’étais très innocente et ne connaissais pas la sodomie. Aussi je n’eus pas le temps de protester quand il se mit à lécher mon anus et à le mouiller de sa salive. Je dois même dire que j’appréciai quand il me mit un doigt dans le cul, mais je n’imaginai pas ce qui allait suivre. 

Il présenta son gourdin bien lubrifié par ma mouille et posa son gros gland sur ma rosette et commença à pousser. Alors je compris, mais je ne pus réagir. Mon sphincter s’ouvrit sous la pression et c’est dans la douleur que son gland d’abord puis sa queue entière pénétra mon petit trou. Il poussa un grognement de plaisir et commença à bouger tout en branlant mon clitoris. Ses mouvements s’amplifièrent, il prenait soin de bien me la mettre jusqu’à la garde. 

- Tu la sens bien ma queue dans ton petit cul de salope ? Depuis la première fois que je t’ai vu j’ai eu envie de t’enculer.

Cela commença à me plaire malgré la douleur. Ses va et vient étaient de plus en plus rapides, et il grognait de plus en plus, visiblement il aimait malmener mon petit cul avec son gros pieu. Je finis par jouir une deuxième fois, d’emblée convertie à la sodomie. Mais lui était toujours en pleine forme. Il se retira et s’allongea sur le sol. 

- Allez viens chevaucher ton étalon !

J’obéis et plaçai sa queue à l’entrée de ma chatte, puis je m’empalai dessus en gémissant. Je bougeai mon cul et me soulevai à un bon rythme 

- Allez plus vite salope ! Dit-il en me mettant une claque sur les fesses. 

J’accélérai, je sentais son gourdin coulisser dans mon con détrempé. Il me pétrissait les seins et je jouis encore une fois quand il envoya son jus au fond de ma chatte , pas moins de 5 longs et chauds jets de sperme ! 

- AAAAAAahhhhh ! Je me suis bien vidé les couilles et t’en as bien profité ma cochonne, ça t’as plu de te faire mettre par un paysan pas vrai ? 

Après cela je me rhabillais et reprit ma tournée. 

 ****

Le lendemain je m’arrangeais pour terminer ma tournée par la ferme de Guibert et je pris soin d’enlever ma culotte avant de descendre de ma camionnette. 

La première chose qu’il fit quand j’arrivai fut de passer la main sous ma jupe. 

- Ça t’a plu la petite séance d’hier hein pour que tu te balades les fesses à l’air ? Tu vas voir ce sera encore mieux aujourd’hui. Mets-toi à genou et suce ma bite je sais que tu en as envie !

J’obéis et m’agenouillais devant lui. Je caressai sa queue à travers le pantalon puis j’ouvris la braguette pour la faire jaillir, bien dure et dressée. Je léchai délicatement son gland turgescent pendant un moment avant de prendre l’engin en bouche. Je pompai du mieux possible, faisant entrer la grosse bite jusqu’au fond de ma gorge, tout en massant ses couilles d’une main. J’étais très excitée et je sentais ma chatte qui dégoulinait. J’attendais qu’il me dise d’arrêter mais brusquement je le sentis se crisper et il éjacula dans ma bouche en poussant un cri rauque. Pour la première fois de ma vie j’avalai le sperme d’un homme. 

- Maintenant suis-moi !

Il m’emmena à l’étage et me fit entrer dans une chambre. Là assis sur le lit était son père, il devait bien avoir 70 ans. Il était gros et je vis qu’il lui manquait des dents. Pourquoi m’amener ici ? 

- Papa voilà la salope que j’ai baisée hier, et en plus elle suce bien. 

- Mets-la à poil que je me rende compte 

- Tu as entendu, déshabille-toi ! 

Je n’avais aucune envie de me mettre nue devant cet homme répugnant et je refusai. Mais le fils baissa ma jupe d’un coup et arracha mon chemisier sans que je puisse résister. Je me sentis rougir de honte et pourtant cela m’excitait d’être traitée comme un objet. 

- Alors t’en dis quoi ? 

- C’est vrai qu’elle est bandante. 

Le fils me força à m’approcher du lit et à me mettre à genou devant son père qui était déjà en train de déboutonner son pantalon. 

- Tu vas faire plaisir à Papa, ça fait des années qu’il n’a pas touché une femme. Suce le !

Le père fit jaillir sa queue devant moi. Je fus impressionnée car elle était encore plus longue que celle de son fils, 25 cm au moins, et bien dure malgré son âge. Je commençais à branler ce vieux cochon, mais il saisit ma tête et la força à la descendre. Je dus me résoudre à le sucer. 

A ce moment, le fils sortit de la pièce et revint avec un caméscope. Il nous filma pendant que je pompais avidement son père. J’étais de nouveau toute mouillée et je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes cuisses pour me caresser, et même de glisser un puis deux doigts dans ma chatte. Le fils s’en aperçut et me filma en gros plan, les doigts dans la chatte et une queue dans la bouche. 

- Papa, je crois qu’elle veut qu’on la baise !

Aussitôt le père m’allongea sur le lit et écarta mes cuisses. Il s’approcha de moi et se mit à lécher mes seins, puis il descendit sur mon ventre et enfin entre mes cuisses où il se mit à me lécher la fente, le clitoris. Je ne pouvais retenir mes gémissements. Rapidement, il se redressa et s’effondra sur moi en enfilant d’un seul coup sa grosse bite dans mon con. Toujours sous l’œil du caméscope de son fils, il commença à me limer avec une vigueur incroyable pour son âge. 

- Ça te plaît de te faire baiser par un vieux, t’aimes la bite toi ma salope !

- Oui, oui j’aime ça , oh oui c’est bon,oui oui !

- Je vais t’envoyer la sauce salope !

Et il éjacula au fond de mon ventre. Je n’arrivais pas à croire que j’avais joui sous les coups de boutoir d’un personnage aussi répugnant. 

Mais ce n’était pas terminé car le fils, excité par le spectacle, prit la place de son père quand celui-ci se retira et me besogna à son tour. Il donnait de grands coups de reins pour bien me faire sentir son pieu. 

- Tu la sens bien ma queue ?

- Oui vas-y, bourre-moi à fond !

- Il te baise pas comme ça ton mari.

- Oh non !

- Mais ça te plaît hein ?

- Oui , vas-y plus vite ! 

Il se retira et s’allongea sur le lit pour que je puisse monter sur lui et m’enfiler sa bite bien au fond. 

-Je crois que tu plais bien à Papa.

En me tournant je vis que le père avait retrouvé toute sa virilité et se branlait en me regardant monter et descendre sur la queue de son fils. 

- Tu sais Papa, tu pourrais t’occuper de son autre trou ! 

Le père se déshabilla (je pus voir à quel point il était laid avec son gros ventre et sa peau ridée) et s’approcha de nous. Il commença à caresser mes fesses, puis à titiller mon anus avant d’y mettre un doigt. 

Puis ce fut son gland qu’il présenta sur mon œillet. Il poussa et fit entrer doucement sa queue. Je criais mais rien à faire, j’étais bel et bien enculée par un vieux dont le fils occupait ma chatte. Le père se mit à aller et venir, faisant par moments presque sortir sa queue pour mieux l’enfoncer l’instant d’après. J’avais l’impression d’être un objet, la situation était terriblement humiliante et pourtant je sentis la jouissance monter et exploser. J’avais deux grosses bites pour moi, une dans le con et une dans le cul, et j’aimais ça, j’étais vraiment une salope.

Le fils jouit en premier puis le père se retira pour éjaculer et envoyer son sperme sur mes fesses. 

- Allez maintenant tu peux rentrer chez toi et aller voir ton mari ! Dit Guibert en riant.

Et c’est ce que je fis. 

Croyez-le ou non, le soir même, le père Guibert fit un malaise cardiaque et fut hospitalisé en maison de retraite, ce qui n’empêcha pas son fils de continuer à me baiser chaque jour !

FIN.


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