lundi 16 septembre 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 11

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Christine se soumet à son patron.

Ce matin, j'habillai Christine avec une mini-jupe couvrant à peine son derrière, des sous-vêtements noirs ainsi qu'un chemisier rouge sang, si bien que son soutien-gorge était visible. Aujourd'hui, elle était complètement habillée étant donné qu'elle allait au travail directement.

Lorsque nous sommes sortis, je lui donnai une première série d'instructions pour la journée. Arrivée à son bureau, elle devait appeler Marc et dire aux autres membres de son équipe qu'ils ne seraient pas disponibles les deux prochaines heures sous prétexte d'une formation quelconque.

Elle devait allumer la webcam et attendre nue à quatre pattes sur le sol son collaborateur. Il devrait la doigter jusqu'à ce qu'elle mouille suffisamment. Christine était bien consciente qu'il lui faudrait plus.

Alors qu'elle quittait la voiture elle répondit « Oui Maître » avant de s'éloigner sur ses hauts talons.

De retour à la maison, je me dépêchai d'allumer mon ordinateur. Je ne fus pas surpris de voir ma belle-mère à quatre pattes, son assistant derrière elle en train de la fourrer profondément avec ses doigts.

J'écoutai Christine gémir et je sentais l'orgasme monter en elle. Elle jouit environ 10 minutes après que j'eus commencé à regarder. En bourrant son poing dans sa bouche, elle faisait de son mieux pour retenir ses cris afin que les autres membres de la société ne l'entendent.

L'orgasme terminé, elle se leva et s'assit sur le bureau. Elle écarta les jambes puis avec sa main droite elle attrapa les plis humides de sa chatte afin de les séparer, exposant ainsi son clitoris et son vagin. On arrivait ainsi au bout de ce que j'avais imaginé pour elle toute la semaine.

- Marc, il est temps de vous indemniser entièrement. Venez me baiser s'il vous plaît. Mettez votre bite dans mon sexe.

Elle attendit complètement offerte que son assistant la comble.

Marc ne se fit pas prier. Il se dirigea vers elle avec détermination. Il baissa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Puis il plaça la tête de son membre en érection à l'entrée mouillée de la femme. Ma soumise allait enfin être prise par son subordonné. Celui-ci dit :

- J'ai attendu ça toute la semaine Christine. Fourrer ma bite dans votre chatte est un fantasme que j'ai depuis le jour où vous êtes devenue ma patronne.

Ma belle-mère retira sa main et se pencha en arrière, se préparant à l'invasion de son intimité par son assistant.

- Si j'avais su que vous étiez si pute, nous aurions pu faire cela plus tôt. Dit marc en frottant sa queue le long de la fente et du clito de Christine.

Comme je lui avais demandé, elle commença à supplier :

- S'il vous plaît Marc, arrêtez de me faire languir et enfoncer votre grosse bite en moi. Je la veux entièrement.

Il continuait à taquiner sa chatte en plongeant légèrement son sexe puis en le retirant aussitôt.

- S'il vous plaît Marc......Baisez-moi comme une pute.... S'il vous plaît..... Allez-y......

- D'accord salope!

Marc grogna et d'un grand coup de hanche, il enfonça son membre profondément.

- ARGGGGGHHHH! OUI! OUI! Cria Christine en jetant sa tête en arrière.

Alors qu'il la pilonnait d'un rythme puissant, la faisant gémir, Marc lui dit :

- Si seulement les collègues pouvaient vous voir maintenant. S'ils savaient qu'ils travaillent pour une pute.

Il était tellement excité de baiser sa patronne qu'il se raidit et lui dit qu'il allait jouir.

- Attendez marc. Je voudrais que vous éjaculiez sur mon visage s'il vous plaît.

Elle le poussa et se mit à genoux devant lui, prenant sa bite dans la main et ouvrant grand la bouche. Une minute plus tard, Marc déchargea cinq jets de sperme sur le visage et dans la bouche de sa patronne. Les cheveux, le front, le nez ainsi que le menton de Christine furent enduits de la semence gluante de son assistant.

Ils se rhabillèrent tous les deux. Marc s'excusa avec un grand sourire mais Christine s'était déjà assise à son bureau pour commencer à travailler, le visage couvert de sperme. Elle devait le laisser pendant une demi-heure, en priant que personne ne la dérange, puis elle pourrait se nettoyer avec des lingettes.

A midi cinq je lui envoyai un message dans le chat :

« Emmène Marc aux toilettes et dis-lui de te baiser. Qu'il fasse une vidéo avec son téléphone. Je veux qu'il éjacule sur tes seins. Ok? »

Elle répondit une minute plus tard :

« Oui Maître »

Christine quitta le bureau à midi douze et revint à 12h40. Elle m'envoya un message :

« C'est fait Maître »

« C'est bien salope. Envoie moi la vidéo et attends des instructions »

Je regardai la vidéo. Christine était sur le siège des toilettes, la tête coincée sur le côté du réservoir de chasse d'eau. Elle avait une jambe sur le porte rouleau. Elle tenait l'autre en arrière avec une main derrière l'articulation du genou. Son chemiser était ouvert, ses seins énormes étaient sortis du soutien-gorge.

Il y avait très peu de paroles sur la vidéo. Marc disait seulement à sa patronne qu'elle était une sale pute pendant qu'il la baisait rapidement de peur d'être pris. Puis il sortit son sexe avant de gicler sur ses seins et son chemisier.

C'était parfait. Je pensai déjà à la suite de la journée. Ma belle-mère ignorait encore ce que j'avais comme idée.

Alors qu'elle devait penser qu'elle avait terminé sa journée, je retournai à mon ordinateur afin de lui envoyer un autre message.

«Appelle Marc et dis-lui que tu as besoin de lui plus tard et qu'il va devoir rester tard au bureau. Ensuite lorsque tous les employés seront partis, tu te mettras nue, laissant tes vêtements sur le bureau. Tu garderas juste tes talons. Ensuite tu demanderas à ton assistant de te rejoindre. Tu l'attendras devant la porte, à genoux. Tu lui feras une fellation et ensuite tu le laisseras te prendre en levrette. »

Comme d'habitude je reçus une réponse positive et je l'entendis téléphoner à Marc :

- Marc, j'ai besoin de vous ce soir après cinq heures. Appelez-moi lorsque les bureaux seront vides.

Son téléphone sonna à 17h07. Elle décrocha et le reposa aussitôt. Puis ses mains commencèrent à défaire les boutons de son chemisier. Elle empila ses vêtements un par un sur le bureau. Quelques minutes plus tard elle fut cul nu sur ses talons. Je regardai ses gros seins balancer et rebondir alors qu'elle allait ouvrir la porte de son bureau.

Tout en appelant son subordonné, elle se laissa tomber à genoux, prête à le satisfaire. Il arriva, son pantalon déjà défait, sachant que sa patronne allait le sucer.

Il descendit son pantalon et son caleçon, plaçant son sexe et ses couilles près du visage de Christine.

- Vous n'arrêtez pas d'avoir envie de ma grosse bite n'est-ce pas sale pute?

Il oubliait que sans moi, il continuerait à seulement fantasmer sur sa collègue.

- Mummphh, mumppppphh

Christine marmonna alors qu'elle avait pris la bite tout au fond de sa gorge et qu'elle s'activait à le sucer.

Je pris alors mon téléphone et tapai le texte suivant :

- Je pense que vous devriez voir ce que fait Christine dans son bureau après les heures de travail.

Puis je l'envoyai. Ce message était destiné à Francis MULLER le patron de ma belle-mère.

Les quarante minutes suivantes, je regardai Marc utiliser soigneusement la bouche et la chatte de Christine. Il alternait souvent afin qu'elle puisse goûter son propre jus sur la bite de son assistant. Cette fois, lorsque Marc indiqua qu'il allait jouir, ma belle-mère eut un orgasme. Elle hurla qu'elle voulait qu'il éjacule dans ses entrailles. Et pour la première fois, son collaborateur se vida en elle.

Une fois qu'ils se furent rhabillés tous les deux, j'appelai Christine et lui demandai de prendre un taxi pour rentrer. Elle arriva vers 19 heures. Alain son mari étant encore couché complètement saoul, je penchai ma belle-mère sur le bras du canapé, soulevai sa jupe et baissai sa culotte avant de l'enfiler rapidement.

Je la baisai durement pendant quinze minutes avant d'ajouter mon sperme dans son vagin. Une fois terminé, je la laissai à moitié évanoui sur le canapé. Elle avait eu encore deux orgasmes.

Le lundi matin suivant, nous revenions à une routine normale. Christine choisit ses vêtements et s'habilla avant de descendre. Toutefois elle savait maintenant ce que je voulais d'elle donc sa tenue était très sexy.

Elle se rendit au travail, tout étonnée que je ne lui donne aucune instruction. J'étais sûr que Marc serait tout aussi surpris alors qu'il passerait la journée sans activité sexuelle avec sa patronne.

Christine pris un appel téléphonique juste après le déjeuner. Cette communication attira mon attention. Je ne compris que la fin :

- ...... Oui M. MULLER, je peux rester plus tard ce soir........ D'accord, je vous attend dans mon bureau à 17h15.

Je me demandai si son patron l'avait vu vendredi. Avait-il reçu mon message? En tout cas Christine n'était pas au courant.

A 17h05, je m'assis devant mon ordinateur et j'attendis, comme ma belle-mère, que son chef arrive.

A 17h15, il frappa une fois à la porte du bureau puis entra avec autorité et arrogance. Il laissa la porte battre derrière lui et s'assis sur la chaise en face du bureau de son employée. Un grand sourire éclairait son visage. Je sus alors qu'il avait vu la femme en action vendredi soir. Aujourd'hui, il voulait prendre son tour.

Il y eu une minute de silence. Je regardai Christine gênée, se déplaçant maladroitement sur sa chaise. Elle se posait des questions. Francis demanda :

- Aimez-vous votre travail ici Christine?

Ma belle-mère était complètement inquiète :

- Euhhh.... Oui bien sûr. Pourquoi demandez-vous cela Monsieur?

- Parce que si vous voulez continuer à travailler dans ma société vous devez vous présenter ici.

Il montra le sol juste entre lui et le bureau.

- Pardon Monsieur MULLER? demanda-t-elle.

- Vous avez très bien entendu. Dois-je me répéter?

Il avait haussé le ton. Sa voix irradiait l'autorité et le pouvoir.

Christine se leva de sa chaise et fit le tour du bureau afin de se placer entre son patron et son bureau. Francis leva les yeux. Pendant une minute ou deux, le silence mit mal à l'aise ma belle-mère. Elle déplaçait son poids d'un talon sur l'autre ne sachant que faire jusqu'à ce qu'il parla de nouveau.

- Enlevez vos vêtements! Fut tout ce qu'il dit.

- Par..... Pardon? Balbutia-t-elle.

- Enlevez vos vêtements comme vous le faites pour Marc DELAIN. Dit-il en la fixant et en attendant.

- Je.... Je..... ne sais pas.... ce que......

Elle bégaya jusqu'au moment où son patron la coupa :

- Comment dois-je vous faire comprendre Christine? Enlevez vos vêtements ou je dois le faire moi-même? Je suis sûr que Marc n'a pas eu le même problème vendredi soir lorsqu'il vous a baisé. N'est-ce pas?

Il se mit debout en face d'elle, la forçant à faire un pas en arrière, ses fesses tapant le bord du bureau.

- Non..... M. MULLER. Dit-elle en levant les yeux alors qu'il la plaquait contre le bureau.

- Je le savais.

Il tendit la main et enleva la veste de la femme et la laissa tomber sur le bureau. Puis ses mains commencèrent à déboutonner le chemisier. Christine ne bougeait pas et ne disait rien alors que son patron défaisait méthodiquement les cinq boutons. Ensuite il retira le vêtement qui rejoignit la veste sur le bureau.

L'index de sa main droite courra le long de son cou vers son décolleté. Ils ne se parlèrent pas alors que le doigt passa sous le tissu du soutien-gorge afin de trouver le mamelon gauche. Il le pinça entre le pouce et l'index. Il fit la même chose avec le sein droit.

- Défaites votre soutien-gorge. Dit-il.

Puis il attendit. Christine leva ses mains derrière son dos et dégrafa le fermoir. Le soutien-gorge glissa le long de ses seins, s'arrêtant juste au-dessus des mamelons si bien que la moitié de ses auréoles sombres était maintenant visible.

Francis utilisa une fois encore son index afin de finir de faire tomber le sous-vêtement sur le sol.

- Vous avez une superbe poitrine Christine.

Il agrippa à pleine main le sein droit, puis tira le mamelon et le fit rouler entre ses doigts.

- Ahhh, Ahhhh

Christine ne pouvait s'empêcher de gémir. Francis sourit et tira un peu plus fort sur le mamelon, sachant qu'elle aimait. Son sourire me fit comprendre qu'il appréciait de jouer avec ma belle-mère.

- Maintenant, enlevez votre jupe et votre culotte.

Il se rassit sur la chaise en face d'elle.

Il aurait été futile de protester alors elle dézippa sa jupe et la descendit sur ses pieds. Elle se tenait devant son patron en talons avec une culotte en dentelle rouge. Elle hésita encore pendant un moment et son chef dut lui répéter d'enlever sa culotte. Christine mit ses mains sur l'élastique et baissa sa culotte pour se tenir enfin complètement nue devant son patron.

- Tournez-vous!

Après qu'il ait donné l'ordre, il la regarda obéir et il défit sa braguette afin de sortir son sexe de son caleçon. Non seulement, il était riche et propriétaire d'une grande compagnie mais il avait aussi une grosse bite.

- Penchez-vous de telle sorte que votre tête et vos seins soient sur le bureau.

Il enleva ses chaussures, son pantalon et son caleçon puis il se leva et déboutonna sa chemise.

J'avais une meilleure vue sur sa queue. Je devinai qu'elle mesurait environ 15 cm. Elle était encore en expansion et pointait vers le haut. Elle était très épaisse et impressionnante.

- Ouvrez votre chatte Christine.

Il avança de trois pas pour se tenir juste derrière elle. Il baissa les yeux alors que chaque main de la femme attrapait une fesse afin d'ouvrir le passage pour la bite en érection de son patron.

Vulnérable et exposée, elle n'eut pas à attendre plus de dix secondes avant de connaitre les intentions de l'homme. Il poussa son gland gonflé à l'intérieur du vagin et ne s'arrêta pas avant que son membre soit entièrement dans ma belle-mère.

Le cri de Christine emplit la pièce et ne stoppa pas même lorsque qu'elle fut complètement distendue et remplie par la verge de Francis.

- Oh mon dieu! Oh mon dieu! Oh mon dieu! fut tout ce qu'elle put dire alors qu'elle était harponnée et épinglée sur son bureau par son supérieur qui avait les mains sur son dos.

- Maintenant, quand je vais enlever mes mains, vous allez bouger d'avant en arrière sur mon sexe. Je veux que vous fassiez tout le travail afin de me prouver que vous méritez votre emploi. Vous me comprenez Christine?

- Oui Monsieur MULLER. Dit-elle

L'homme leva les mains et les mit derrière son dos. Puis il se positionna de façon à rester stable. En s'aidant de ses mains sur le bureau, Christine avança, laissant juste le gland à l'intérieur de son sexe puis elle recula jusqu'à ce que les couilles giflent ses cuisses.

Je la regardai alors qu'elle répéta lentement le mouvement pendant trois à quatre minutes, s'habituant à l'énorme bite. Mais Francis ne fut pas satisfait :

- C'est un bon début Christine mais je pense que vous pouvez faire mieux. Faites plus d'efforts.

Instantanément, elle avança et recula plus brutalement. Le claquement de leur peau était maintenant audible ainsi que la lourde respiration et les petits gémissements de ma belle-mère.

- C'est mieux. Dit-il en se raidissant pour contrer la force de la femme qui allait presque le renverser.

Après cinq minutes, je pus voir sur mon écran que Christine transpirait beaucoup et que sa respiration devenait courte et rapide. Elle n'était pas loin de jouir et Francis s'en aperçut.

- Vous allez jouir n'est-ce pas? demanda-t-il.

- Ou.....iii. Dit-elle alors que ses fesses claquèrent contre le ventre de l'homme.

- Accélérez la cadence et ne vous arrêtez pas même si vous avez un orgasme.

- OUUUUIIIIIIII MONS....IEUR MUUUU...LLER! ARGGHHHH

Elle cria alors qu'elle matraquait ses fesses contre l'homme, cherchant le plaisir d'un orgasme.

- ARGGGGHHHH OH JE.... VIENS! ARGHHHHH

Elle jouit, ses genoux la lâchant presque. Mais elle reprit rapidement le contrôle d'elle-même tout en frémissant d'extase.

Une fois qu'elle eut fini de trembler, son patron se retira et lui demanda de se retourner.

- Voyons si vous sucez aussi bien que vous baisez Christine.

Il attrapa une poignée de ses cheveux et tira sa tête vers son énorme verge enduite du jus de la femme.

- Ouvrez grand!

Il poussa son gland entre ses lèvres, le faisant pénétrer profondément. Une fois que Christine eut pris le rythme pour le sucer, il remit les mains dans son dos et poussa son bassin contre le visage de la femme essayant d'emplir au maximum la bouche.

- Vous sucez très bien Christine. Si vous m'aviez sucé comme cela lors de l'entretien d'embauche, vous auriez obtenu le poste immédiatement.

Le patron profita de la sensation agréable de cette bouche sur son sexe. Mais après quelques minutes, il repoussa son employée puis il s'allongea sur le sol, sa bite dressée comme un piquet de tente. Je me doutais de la suite.

- Maintenant, chevauchez ma bite Christine jusqu'à ce que vous jouissiez de nouveau.

Sans hésitation, ma belle-mère l'enjamba et abaissa sa chatte mouillée sur le membre jusqu'à ce qu'elle fut complètement remplie. Puis elle rebondit sur la verge comme si elle montait un cheval. Si bien qu'en moins de dix minutes elle eut un autre orgasme. Mais Francis n'était toujours pas satisfait.

- Allez Christine, prouvez moi que vous méritez ce travail. Continuez!

Elle continua à chevaucher son patron essayant de faire jouir l'homme. Au bout de quinze minutes, elle jouit de nouveau. Le membre de son patron restait raide alors qu'il était noyé par le jus de la femme. Ma belle-mère n'en pouvait plus. Sa tête retombait en arrière, ses yeux étaient à moitié fermés mais elle continuait à rebondir sur son patron.

Il fallut encore quatre à cinq minutes avant que Francis lui dise de venir sur ses genoux pour le sucer car il allait éjaculer. Elle lui obéit et je vis ses joues enfler. Son chef emplit sa bouche de sa semence et elle avala consciencieusement avant qu'il sorte sa bite et gicle le reste sur son visage.

En s'habillant et en regardant son employée recouverte de sperme il dit :

- Quelle baise d'enfer Christine. Nous nous verrons demain afin de décider ce que vous allez devenir. D'accord?

Il se dirigea vers la porte.

- Oui Monsieur MULLER. Répondit-elle en le regardant partir.


à suivre....

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