Piégée au supermarché - Récits érotiques - Contrainte - soumission.
J’avais 38 ans quand cela a commencé. Je venais de divorcer. Un vendredi soir, je sortais du supermarché, près de chez moi.
Immédiatement après le passage en caisse, je fus abordée par deux vigiles, l’un des deux était Robert, le mari d’une collègue et amie, nous étions voisine également. Comprenant de quoi il s’agissait, je les suivis sans histoires. Arrivé dans un local ils me firent vider mon sac et mes poches. Il y avait deux strings roulés en boule dans mon sac. Celui qui paraissait être le chef demanda à me fouiller. Je lui répondis :
-Il n’y as pas de femmes dans votre équipe ?
- Non, nous pouvons appeler le commissariat, mais nous devront porter plainte pour ceci. Dit-il en montrant les strings.
Résignée, je le laissai remonter ma jupe. Apparurent alors, deux autres strings que j’avais enfilés par-dessus mon collant.
- Cette fois c’est trop grave nous devons porter plainte !
Affolée j’eus cette phrase malheureuse :
- S’il vous plaît, ne dites rien, je ferais ce que vous voulez.
- Très bien ! Dit le chef en s’approchant.
Il me fit enlever mon imperméable, puis il ouvrit mon chemisier. Il sortit mes seins du soutien-gorge, se pencha et attrapa un téton avec ses lèvres. En même temps sa main remonta ma jupe et atteignit mon pubis. J’étais tétanisée. Un instant plus tard il enleva ma jupe, descendit mon collant et mon slip. Il introduisit un doigt dans ma chatte, puis deux. Son autre main caressait mes seins.
Malgré moi mon corps réagit à ses attouchements. Il me poussa vers la table, me coucha en travers. Il vint derrière moi. A ce moment Robert, qui n’avait rien fait jusque à présent vint devant moi. Il ouvrit sa braguette, sortit sa bite et me la présenta. Je le regardai et je pris sa queue en bouche.
Pendant ce temps, le "chef" m’avait pénétrée, et commençait ses va-et-vient. Robert à son tour commença à me baiser la bouche. Les cuisses du type qui baisait ma chatte claquaient sur mes fesses, il m’attrapa par les hanches et il me besogna de plus en plus fort. Soudain, Robert attrapa ma tête à deux mains, et il jouit dans ma bouche. Je n’avais jamais reçu du sperme ainsi.
J’eus un mouvement de recul mais il me tenait fermement. Il me dit :
- Avale !
Ne pouvant résister, je déglutis. Pendant ce temps, l’autre me baisait de plus en plus fort. Il s’enfonça le plus profond possible, s’arrêta subitement et je le sentis décharger en moi.
Ils me laissèrent partir avec mon chariot, mon collant et mon slip roulés en boule au fond du sac. Je sentais encore le goût du sperme dans ma bouche, et aussi la semence couler de ma chatte. Rentrée à mon appartement je pris une douche. J’aurai voulu tout oublier.
Le lendemain matin, samedi, Julia ma copine vint m’inviter pour boire un café avec un bon gâteau. il se dirigea vers le poste de télévision, qu’il alluma. Il a introduisit un CD dans le lecteur. Et je vis, affolée, des images filmées dans le local des vigiles.
Je me vis en train de me faire baiser par les deux hommes. Julia avais l’air abattue. Robert me dit :
- Si tu ne veux pas que ces images circulent dans le quartier, l’immeuble ou même dans l’entreprise qui t’emploie, tu feras désormais ce que l’on t’ordonne.
Il me commanda alors de me déshabiller. Pendant que je m’exécutais, il ouvrit la robe de Julia qui était boutonnée sur le devant. Elle m’apparut alors, en bas, porte-jarretelles et un soutien-gorge qui laissait les bouts apparents. Son sexe n’avait plus aucun poils.
- Tu ne porteras dorénavant que ce genre de sous-vêtements, et tu seras lisse également.
J’étais nue maintenant. Il me fit allonger sur la table du salon. Julia revint avec une bassine. Elle enduit mon pubis de mousse et entreprit de me raser. Robert précisa bien que je devrais maintenant être constamment épilée. Mais pour aujourd’hui il y avait urgence. Et le rasage suffirait.
Une fois lisse, entièrement nue, il me fit redescendre à mon appartement. Heureusement, nous n’avons croisé personne. Chez moi, il inspecta ma garde-robe. J’avais des bas et des porte-jarretelle, il en choisit. Puis il désigna la plus courte de mes jupes et un chemisier presque translucide. Il précisa bien que je ne devais en aucune façon porter un slip ou un string. (Quelle ironie !)
Il sortit son téléphone et dit seulement :
- Elle est prête !
Nous rejoignîmes le parking où nous attendaient deux hommes : le vigile que je connaissais déjà et un inconnu, ainsi que Julia, sa robe toujours grande ouverte. L’inconnu fouillait sa chatte avec les doigts et Julia, l’air résigné, le laissait faire.
Nous embarquâmes dans un minibus. Moi avec le vigile, Julia avec l’autre homme. Robert conduisait. Pendant tout le trajet ma chatte fut explorée, mes seins triturés. Il en était de même pour Julia. Nous arrivâmes dans un hangar. Là une quinzaine d’hommes attendaient. Deux matelas étaient posés sur le sol. Quelques secondes plus tard nous étions nues toute les deux, puis poussées sur les matelas.
Alors que je suis à quatre pattes, un homme présenta sa bite à ma bouche, et je sentis qu’un autre passait derrière moi. Sans précaution il s’introduisit en moi. Et le défilé commença, les bites se succédèrent. Un moment j’étais empalée sur un homme couché sur le dos, pendant qu’un autre voulut me sodomiser. Je voulus le repousser mais l’homme couché me ceintura avec ses bras. Ce fut ma première sodomie. Je criai mais cela ne l’arrêta pas. Il introduisit son gland, s’immobilisa, puis lentement s’enfonça dans mon anus. Je sentis mes parois s’écarter, la douleur était insupportable. Je gémis mais cela sembla l’exciter encore davantage. Il commença à me pilonner.
Un autre homme entra sa bite dans ma bouche. J’étais baisée par tous les trous. Mes gémissements étaient ainsi étouffés. Une grande partie de la nuit, Julia et moi nous avons été baisées. Selon le mot de Robert nous étions devenues de simples vide-couilles.
A suivre...
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